Une petite barque s'éloignait paisiblement d'une petite île dans un petit coin de West Blue au petit matin...
À son bord se trouvait un homme qui ramait des deux mains, l'esprit tranquille et envahi d'un étrange sentiment de satisfaction qu'il n'avait pas ressenti depuis un moment. En vérité, Walters Scott, autrement dit l'unique passager de la petite barque, avait été la victime de nombreux troubles intérieurs récemment, en grande partie expliqués par l'anéantissement total qui s'était déroulé sur son île natale et depuis lesquels il avait été plutôt troublé et avait passé des nuits plutôt agitées peuplées de rêves ou il était entouré par quatre personnages étranges. Il y repensait alors qu''il ramait, et était certain d'avoir pris la bonne décision, et qu'il la reprendrait plus que volontiers si l'occasion se représentait à lui.
À son bord se trouvait un homme qui ramait des deux mains, l'esprit tranquille et envahi d'un étrange sentiment de satisfaction qu'il n'avait pas ressenti depuis un moment. En vérité, Walters Scott, autrement dit l'unique passager de la petite barque, avait été la victime de nombreux troubles intérieurs récemment, en grande partie expliqués par l'anéantissement total qui s'était déroulé sur son île natale et depuis lesquels il avait été plutôt troublé et avait passé des nuits plutôt agitées peuplées de rêves ou il était entouré par quatre personnages étranges. Il y repensait alors qu''il ramait, et était certain d'avoir pris la bonne décision, et qu'il la reprendrait plus que volontiers si l'occasion se représentait à lui.
En effet, moins d'une heure plus tôt, juste avant de prendre la mer en fait, Walters était en train de de boucher le trou dans lequel se trouvait le cadavre d'une jeune fille dont la profession ne sera pas nommée, sachez juste qu'elle offrait des services très intimes en échange de quelques berrys. D'ailleurs, un de ses meilleurs clients reposait déjà sous quelques mètres de terre juste à côté d'elle. L'homme avait été trainé dans le trou environ une heure après sa mort, qui lui avait été infligé de manière on ne peut plus écransante par un puissant coup de masse. Il avait avant cela mené un combat plutôt honorable, armé d'une épée longue, il avait failli toucher son adversaire mortellement et aurait pu le mettre à terre si celui-ci avait été un zeste moins rapide. L'issue avait en effet été serrée, et c'est à cause de sa fatigue que le marchand avait perdu face au passager qu'il avait laissé monter à bord de son navire lors de son dernier passage à Terrett.
Il avait de son côté essayé toutes les bottes qu'il connaissait, mais l'allonge que procurait cette masse à son adversaire bloquait toutes ses attaques. Il y avait pourtant bien des failles dans le style de combat de Walters, mais il avait tout de même le temps de voir venir les mouvements dont il avait à se défendre.
Au final, Walters avait pu profiter d'une occasion en or. Le sang étalé au sol, parsemé par des morceaux de cervelle, projettés du crâne du capitaine marchand comme le contenu d'un oeuf jetté sur le sol. Voilà plus ou moins le résultat d'un crâne défoncé par un très gros marteau. La boite en question, crâniène évidemment, avait eu la mauvaise idée de reposer par terre. Il faut dire que le reste du corps en faisait de même, tout ça parce qu'une jambe, soutenant au mauvais moment le poids habituellement attribué à sa frangine, s'était fait fauchée par un grand balayage de la masse.
Quelle poisse de se retrouver ainsi déséquilibré à un moment aussi peu propice ! Mais bon, quand on met toute sa force dans un coup de taille horizontal qui se retrouve paré par une barre en acier trempé, faut avoir les bras solides. Dans le cas contraire, toute l'énergie mise dans l'attaque revient dans le corps, et c'est assez pénible de supporter le contrecoup.
Bien dommage d'ailleur, c'était la meilleure botte que le capitaine gardait bien au chaud dans sa manche. Elle se terminait par ce coup horizontal, porté sur le côté gauche de l'adversaire, qui suivait une pirouette après une feinte d'estoc. Simple mais très souvent efficace. L'adversaire esquivait le coup la plupart du temps, et s'il tentait de le parer sa garde souvrait sur le côté.
Walters, lui, n'avait pas vu l'astuce venir en avance, mais était en position pour frapper en force depuis le haut. Il eut simplement le reflex laisser le manche de son arme se planter dans le sol quand il vit le marchand pivoter. La suite, eh bien, vous la connaissez.
Dernière édition par Walters Scott le Mer 25 Jan 2012 - 16:53, édité 2 fois