>> Saru O. Suiji
Pseudonyme : S.O.S ou le Singe Age: 25ans Sexe : Homme Race : Homme Rang : Boucher en Chef Métier : Cuisinier – Zoologue – Botaniste Groupe : Pirate Déjà un équipage : Gun and Gun's But : Cuisiner un Zoan, et découvrir plein de nouvelles races animales sur Grand Line (la découverte de All Blue est comprise dans les Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Empathie avec les animaux (mon personnage arriverait à bien s'accorder avec les animaux, ce qui favorise l'apprivoisement, le dressage etc.) Ce n'est pas un pouvoir de FDD, ni Haki. Juste une capacité spéciale quelconque. Équipements : Ses ustensiles de cuisine (couteaux, cuillères en bois, rouleau à pâtisserie etc) Codes du règlement (2) : Parrain : // |
>> Physique Au premier regard, Saru ne paraît pas particulièrement impressionnant. Il atteint le mètre soixante quinze, frêle d'apparence, silhouette élancée, mais il ne faut pas pour autant s'y fier. Ses années passées à pratiquer le karaté lui ont sculpté une musculature fine mais résistante, et s'il n'est pas très fort, Saru a une endurance assez inattendue compte tenu de son gabarie. Un regard affuté pourra cependant voir dans sa démarche une fluidité dénotant un parfait contrôle de ses gestes dû aux années d'entraînement subies. La plupart du temps stoïque, son visage pâle ne reflète que peu ses émotions, sauf lorsqu'il est face à un zoan, auquel cas il n'est pas rare de voir une lueur de folie illuminer son regard gris, pourtant inerte en temps normal. La pâleur de son visage, renforcée par la noirceur de ses cheveux, donne parfois l'impression que Saru est d'ascendance vampirique, mais je vous rassure, il n'en est rien. Autre chose de remarquable chez lui : ses mains. Les ongles courts, sous lesquels sont souvent incrustés des saletés diverses et variées du fait qu'il manipule beaucoup la nourriture. On peut également voir de nombreuses coupures et brûlures sur ses mains et ses avant-bras, résultats de divers accidents au court de sa carrière de cuisinier. Une cicatrice surplombe également son sourcil droit, reste de son naufrage sept ans plus tôt. D'un point de vue vestimentaire, il ne fait pas vraiment l'original, pantalon noir, chemises blanches, et veste noire. Il n'aime pas vraiment varier dans sa tenue, et n'aime pas se montrer excentrique. Par conséquent, il est peu probable de le voir vêtu d'une chemise rose à fleurs, à moins qu'il n'ait fait un pari stupide et qu'il l'ait perdu. De plus, il porte toujours à l'oreille une boucle en forme de croix chrétienne, faite en granite maritime (bien qu'il ne le sache pas). Il y tient autant que Luffy tient à son chapeau de paille, et ne l'enlève jamais. >> Psychologie Saru apparaît avant tout comme une personne calme. Esthète dans l'âme, il aime ce qui est beau, et pourra passer des heures à admirer la musculature d'un cheval, la couleur d'une nouvelle fleur, ou simplement apprécier le son de la pluie sur le feuillage d'une forêt. Le problème est qu'il a sa propre conception de la beauté, et que lorsqu'il s'agira de se battre contre quelqu'un, il trouvera nécessaire de placer des coups de couteau de manière esthétique, afin de faire gicler le sang d'une manière bien précise, ou bien que la coupure entre en harmonie avec le reste du corps. Il n'est pas sadique pour autant, et semble en fait presque immunisé au sentiment. D'un stoïcisme parfait, il ne se met jamais en colère, ne montre jamais sa joie, ou sa peur, ce trait de caractère étant dû à l'entraînement inculqué par son maître d'arts martiaux. Seul un zoan peut lui faire perdre la tête : dès qu'il en voit un, une envie de meurtre soudaine le prend, et il est prêt à n'importe quoi pour le découper et le cuisiner. Il n'y est cependant encore jamais parvenu. Tuer un zoan et le cuisiner est actuellement le rêve de Saru, et sa persévérance l'a toujours empêché de se découragé face à ses échecs. Tout ce qu'il entreprend, il le fait avec passion, et va jusqu'au bout de ses projets. Sa persévérance a d'ailleurs souvent trait à de l'entêtement, et s'il s'est mit quelque chose en tête, rien ne peut le faire changer d'avis. Il n'écoute généralement pas ce qu'on lui dit et s'il lui arrive de suivre un conseil ou un ordre, ce n'est pas par obéissance, mais parce qu'il n'a pas de raison de ne pas y obéir, sinon, il n'en fait qu'à sa tête. Ceci vient du fait qu'il est trop prétentieux pour croire que qui que ce soit pourrait lui apporter quoi que ce soit. La seule personne qu'il écoute réellement est son Maître, Atsuhito. Autrement, son égo l'empêche d'écouter la moindre critique, et le moindre conseil. Il a toujours raison, et se moque du reste. Il semblerait même qu'il ait un côté presque mégalomane, qui le pousse à désirer contrôler tout ce qui l'entoure, tout en refusant d'être contrôlé par qui que ce soit. Il a également un côté joueur qui le pousse sans cesse à faire des farces stupides à tout le monde, à s'engager dans des paris plus idiots les uns que les autres, et à se fasciner pour des détails n'attirant l'attention que des moins de six ans. On a donc souvent tendance à le rajeunir, puisque son comportement évoque plus celui d'un enfant mal élevé que d'un jeune homme responsable. Son côté joueur se voit aussi dans ses comportements, puisqu'il ne trouve rien de plus amusant que d'humilier les autres avec de petites remarques sarcastiques visant à faire sortir de ses gonds n'importe qui. A cause de ça, il a beaucoup de mal à trouver des gens qui l'apprécient réellement. >> Biographie Originaire de l'île du Karaté, Saru y a passé toute son enfance, et une partie de son adolescence. Sa mère travaillait comme serveuse dans un restaurant de l'île, et c'est ainsi que Saru a appris à cuisiner. En effet, depuis son plus jeune âge, sa mère le laissait en cuisine pendant qu'elle travaillait. C'est donc en compagnie du chef cuisinier et des commis que Saru a appris à manier la marmite et les aromates. Pendant dix ans, il passa ses journées dans ces cuisines, d'abord en tant que simple observateur (imaginez donc un bébé avec un couteau entre les mains...) puis, lorsqu'il fut assez âgé pour tenir une serpillère et un balais, en tant que commis aux poubelles. Doté d'un sens de l'observation développé, il appris tout de même certaines choses sans jamais toucher à un ingrédient, jusqu'à ce que finalement, on se décide à le mettre derrière un fourneau. Pendant cinq années, il aida le chef cuisinier qui lui transmis tout son savoir faire, mais sans jamais laisser le jeune Saru montrer son esprit créatif en matière d'art culinaire. La cuisine ne fut cependant pas la seule chose qu'il appris sur son île d'origine. Comme résident de l'île du Karaté, il fut inévitable qu'il reçut l'enseignement d'un maître d'arts martiaux, Atsuhito Mori. Exigeant plus que nécessaire, c'est lui qui fit de Saru un esthète et une personne extrêmement persévérante, tout en l'instruisant en parallèle sur l'histoire de ce monde. Il lui apprit le contrôle de soi, le respect d'autrui, la mesure, mais aussi l'écriture et la lecture. Plus qu'un mentor, il devint un véritable père pour l'enfant. Dès sa sixième année, Atsuhito s'occupa de lui sous la demande du père de Saru, qui tenait à ce que son fils devint un champion aussi réputé que Rey Baka. Cependant, bien qu'il fut talentueux, Saru n'était pas un génie du karaté ; et si le nombre d'heure qu'il a passé à s'entraîner on fait de lui quelqu'un d'exceptionnellement endurant, il n'est jamais devenu pour autant une véritable machine de combat. Jusqu'à ses quinze ans, cuisine et karaté étaient ses deux principales activités, et aucun événement exceptionnel ne vint perturber sa vie, malgré quelques bagarres avec des pirates éméchés venant au restaurant, ou avec deux trois individus pensant qu'ils étaient des combattants hors pairs et venaient chercher des noises au premier venu. Il mit des raclées à beaucoup, en reçut tout autant. Cependant, sa vie prit un virage décisif pendant sa quinzième année : son père, qui était un commerçant et passait la majorité de son temps en mer, transportant des marchandises, décida qu'il était temps pour son fils de prendre la mer à ses côtés. Sans le savoir, il était en train de mettre son fils sur la voie de la piraterie. Saru n'avait jamais été attiré outre mesure par l'aventure en mer, mais il se plia au désir de son père, et quitta l'île du karaté, emportant avec lui comme seul souvenir une boucle d'oreille en forme de croix chrétienne faite en granite marin (bien qu'il ne le sache pas) que lui offrit Atsuhito. Saru ne revint plus sur son île natale. Pendant deux ans, il navigua sur East Blue, South Blue, West Blue et North Blue avec son père, et failli perdre la vie quelques fois suite à des attaques pirates. Pourtant, il n'a jamais haï les pirates, admirant leur force plus qu'il ne détestait les dommages qu'ils lui causaient. Ces deux années furent sans doute les pires de sa vie, forcé de rester des heures à cuisiner pour l'équipage de son père, et ne pouvant jamais mettre pied à terre. Un jour, une tempête éclata tandis qu'ils navigaient sur North Blue : la quasi totalité de l'équipage périt, y compris le père de Saru, tandis que l'adolescent échouait sur l'îlot flottant. Il n'eut guère de mal à s'intégrer à la population indigène, et y passa cinq années pendant lesquelles il se passionna pour la zoologie et la botanique, et devint un expert dans la connaissance des plantes et des animaux, et où il découvrit son empathie avec les animaux, et se fit l'ami de Yaen le lémurien. Au bout de tant de temps, il commença néanmoins à s'ennuyer, et décida de quitter l'îlot flottant pour partir à la découverte de nouvelles espèces animales et végétales. Il passa alors trois années à visiter les différentes îles de North Blue en compagnie d'équipages variés qu'il quittait un à un, approfondissant ses connaissances en zoologie et en botanique, mais également en cuisine, utilisant son savoir afin de mieux accorder les saveurs et de devenir finalement un cuisinier prodigieux. Il en fut ainsi jusqu'à sa rencontre avec les Gun and Gun's. >> Test RP Assis sur le pont du navire du capitaine Boubou, chef des Sons of Boubou, Suiji aiguisait soigneusement ses couteaux de cuisine lorsque le capitaine annonça à tous qu'il avait décidé qu'ils feraient une escale à Manshon dans le but d'y trouver on ne savait trop quelle pierre rare valant une fortune. Le but fixé par le capitaine Boubou n'intéressait que peu Suiji, par contre, la perspective de se rendre dans l'une des plus grandes villes de North Blue lui suffisait : enfin, il allait pouvoir perdre des heures à jouer aux cartes, au go, ou à n'importe quoi d'autre tant qu'il y avait des paris en jeu. A peine l'ancre fut-elle jetée que le cuisinier sautait à terre et abandonnait ses « camarades » à la recherche de compagnons de jeu. Il n'avait jamais particulièrement apprécié de faire la traque aux pierres précieuses, et il était peu probable qu'il trouve en ville une nouvelle espèce de plante ou d'animal. Un zoan peut-être, mais ne rêvons pas trop, les fruits du démon sont rares dans les mers bleues. D'un pas posé, le cuisinier arpenta la ville avec son lémurien sur les talons, étudiant minutieusement tout ce qui passait à portée de son regard, repérant deux trois soldats de la Marine, et quelques animaux ne présentant qu'un intérêt limité pour un zoologue tel que lui. Des éclats de voix attirèrent son attention, et il trouva deux hommes en train de se battre devant un bâtiment, l'un accusant l'autre d'avoir utilisé un jeu de carte truqué. Sans leur prêter plus d'attention, Suiji entra dans le bâtiment dans l'espoir d'y trouver tout un regroupement de joueur assidus avec lesquels il pourrait se mesurer. Une belle journée en perspective. Le jeune pirate entra dans une taverne dont le rez-de-chaussée servait à la consommation, et l'étage aux jeux ; il commanda une bière, puis grimpa les escaliers. Son regard sembla s'illuminer brièvement lorsqu'il vit le spectacle qui s'étalait sous ses yeux. Plusieurs groupes de poker s'étaient formés un peu partout dans la salle ; dans un coin, un homme défiait tous ceux qui passaient à le vaincre aux bras de fer ; non loin de là, on pouvait voir une femme et un homme en plein combat d'insultes, etc. Une envie de tous les rejoindre prit Suiji qui ne savait pas vraiment quoi choisir, jusqu'à ce qu'un éclat coloré passe dans son champ de vision. Un Calao. Un oiseau rare sur les mers bleues. Il avait eu l'occasion de lire des articles consacrés à ce volatile dans différentes encyclopédies au cours de ses voyages, mais jamais il n'avait pu en voir un en chair et en os. Il resta pétrifié face à cette apparition quasi divine, lorsque Yaen (le lémurien) se percha sur son épaule et lui tira l'oreille pour le ramener à la réalité. Au moins, il savait désormais contre qui il allait jouer, et à quel jeu. En effet, le Calao était la propriété d'un pirate pas particulièrement avenant : le cheveu gris, une barbe mal entretenue lui rongeant le visage, une balafre traversant sa joue gauche, et une jambe de bois. Il devait avoir passé la quarantaine, et nul doute qu'il s'agissait là d'un vieux loup de mer qui ne serait pas facile à vaincre. Il gardait l'oiseau dans une cage : il ne semblait donc pas le considérer comme son animal de compagnie et devait sans doute être décidé à le parier. Parfait. Saru n'aurait pas pu rêver mieux. Le vieux pirate fila droit vers une table de poker et s'y installa. Sans réfléchir plus longtemps, Suiji le suivit et fit de même, tandis que Yaen partait étudier le derrière d'un jeune ouistiti emmené par quelqu'un d'autre comme prix. La partie dura bien toute l'après-midi. Les bières se succédaient, les mises aussi. Peu à peu, les autres joueurs furent dépouillés, et ne restèrent à la table plus que Suiji et le vieux pirate. Dans un accès d'impatience, Suiji décida de faire tapis alors qu'il avait bien moins d'argent que son adversaire. Tout ce qu'il voulait, c'était remporter l'oiseau, qui était en jeu depuis le début de la partie. La chance ne fut malheureusement pas de mise, et alors que son adversaire dévoilait un carré, Suiji n'avait qu'une suite. Grinçant des dents intérieurement, il siffla Yaen, tourna les talons, et sortit de la salle. Comment avait-il pu se montrer aussi négligeant dans une situation telle ? Un Calao ! Il n'en verrait peut-être plus jamais ! Quel drame ! Une occasion tellement belle, et tellement unique ! Une pointe de déception le prit un instant, avant qu'une petite voix ne lui rappelle qu'il était un pirate, et qu'en tant que tel, rien ne le forçait à suivre les règles pour obtenir ce qu'il voulait. Il passa une main dans son veston, cherchant l'arme la plus appropriée à vaincre un homme aguerri, et ses doigts s'arrêtèrent sur son fusil à aiguiser. L'arme idéale. Il attendit patiemment à la sortie de la taverne, préférant agir dans un espace ouvert, passant le temps en comptant le nombre de pirates borgnes qui passaient dans la rue. Un passe-temps tout à fait agréable, et qui vous permet de supporter deux heures d'attente sans vous ennuyer. Soudain, Yaen se mit à émettre une série de petits couinements : le Calao était là. Dans sa cage, l'air plus malheureux que jamais, toujours en possession du même pirate. Il suffit d'un claquement de langue de la part de Suiji pour que Yaen se jète sur la cage pour tenter de la subtiliser. Bien entendu, le vieux loup de mer ne se laissa pas faire, et fit un mouvement en arrière pour se dégager du lémurien ; il ne s'était néanmoins pas rendu compte que Suiji était passé dans son dos. « Mille ans de souffrance ! » En même temps qu'il énonçait le nom de sa technique, le jeune pirate enfonçait son fusil à aiguiser dans le derrière du pauvre homme, déchirant par la même son pantalon. Un hurlement retentit dans la rue, tandis que Suiji se délectait à l'idée de la souffrance qu'il était en train de lui infliger : la meilleure des vengeances possibles pour avoir osé le battre au poker. Il ne retint pas le rire machiavélique qui montait, enfonçant son arme le plus loin possible, avant de la retirer d'un geste sec. Profitant de la déstabilisation de son adversaire, il lui assena un coup sur la nuque afin de le mettre hors d'état de nuire, vérifia d'un coup d'œil que Yaen avait bien pris la cage, et fila au pas de course avant que l'équipage de l'homme qu'il venait d'attaquer ne s'en prenne à lui. Suiji était heureux. Il avait un bel oiseau tout neuf, il avait pu placer l'une de ses techniques fétiches, et il allait bientôt pouvoir faire la fête avec les autres membres de l'équipage, puisque pas un instant il ne doutait de la réussite de l'entreprise du capitaine Boubou. Prenant la direction du bateau, il eut donc la surprise de trouver tout l'équipage capturé par la Marine. Réagissant sur le champ, il s'enfonça dans la foule et partit dans la direction opposée. Hors de question qu'il se fasse capturer par une bande de fayots du gouvernement alors qu'il venait tout juste de mettre la main sur une pièce de collection rare. D'ailleurs, du Calao aux fayots, ce serait peut-être bon, qui sait ? Il garda cette idée dans un coin tout en cherchant une auberge où rester quelques jours, le temps que la Marine ne cherche plus un possible membre restant de l'équipage de Boubou. Cependant, il oubliait que les Marines ne devraient pas être sa seule préoccupation. Il n'eut pas le temps d'atteindre d'auberge, puisqu'il fut pris dans un guet-apens fomenté par celui auquel il avait dérobé l'oiseau. Deux hommes dans son dos, un perché sur un toit prêt à lui sauter dessus, trois qui lui faisaient face. Autant dire qu'il était en suffisamment mauvaise posture pour que Yaen file à toute allure. Bien. Cool. Chouette. Génial. Super. Le lémurien n'était pas particulièrement peureux, sa fuite signifiait donc que Suiji était dans le pétrin. Il n'avait plus qu'à espérer qu'il n'allait pas trop se faire écrabouiller. Enfin, comme on dit, l'espoir fait vivre. Le plus proche de lui fut le premier à passer à l'action. Bien entendu, Suiji n'était pas prêt à se laisser faire, et alors qu'un coup de sabre manquait de lui emporter la main, il sortit lestement un couteau d'office de son veston, et l'envoya sur le premier pirate qui entra dans son champ de vision. Il avait visé le cœur mais manqua son but et n'atteignit que son bras. Geste qu'il eut tôt fait de regretter car celui qui était au corps à corps avec lui en profita pour lui entailler le bras jusqu'à l'os. Lâchant un juron, Suiji fit un bon en arrière et tenta de sortir du cercle dans lequel il était, non pour fuir, mais simplement pour prendre un peu de distance et attaquer de manière plus efficace. Il n'avait pas prévu de se battre, et n'avait que deux autres couteaux d'office sur lui, et un couperet. Un peu léger pour tenir tête à six pirates, même si l'un d'entre eux était blessé et bras et l'autre profondément humilié. Il tenta de résister vaillamment, en tuant un d'un lancé précis, blessant un autre au pied, puis faisant pas mal de blessures avec son couperet. Il ne résista cependant pas bien longtemps, malgré toute l'endurance dont il était capable, et fut forcé de fuir en catastrophe, abandonnant sa précieuse acquisition du jour pour sauver sa peau. Épuisé, en sang, il décida de prendre plusieurs jours de repos avant de partir à la recherche d'un nouvel équipage avec qui voyager, et avec l'espoir de pouvoir retrouver le Calao avant de quitter Manshon. |
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Informations IRL
- Prénom : Anne Sophie
Age : 19ans
Aime : Le orange – les petits pois – le pays des toupoutou – mon ordinateur
N'aime pas : TNT – les épinards – ranger ma chambre
Personnage préféré de One Piece : Nico Robin <3
Caractère : Perfectionniste – Ironique – pas du tout sérieuse – chiante
Fais du RP depuis : 2ans et demi environ
Disponibilité : 1,5jour /7. Je suis en prépa alors je me connecte régulièrement dans la semaine mais je peux pas rp en dehors des week end (et encore, pas tous les week end). Par contre, en semaine, je suis beaucoup plus disponible ^^ Reprise d'une activité normale courant mai (donc 5jours/7 de disponibilité je pense à ce moment là)
Comment avez vous connu le forum ? Par TNT et Unwin =)
Dernière édition par Saru O. Suiji le Mar 21 Déc 2010 - 17:57, édité 2 fois