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{1623} - Obéis ! [Mission du même nom]

Cela fait à peine quelques jours que j'ai rencontré le colonel et qu'il ma fait signer pour servir sous le drapeau. Malgré ce qu'il ma dit j'ai la vague impression que je ne serais pas intégré à son équipage. Dans tous les cas j’attends la décision de la marine quand à mon entrer ou non dans ses rangs. Avec le peu qu'il me reste je vis dans un petit bâtiment miteux habituellement réservé aux marins de passages vu que je n'ai plus de logis. Finalement plus propre qu'il en avait l'air de l'extérieur, les chambres de se taudis délabré dont le bois semble provenir d'un autre temps suffit à dormir, surtout après plusieurs nettoyages que j'ai fait pour réussir à dormir. Enfin bref c'est au bout de ces quelques jours qu'en me baladant en ville j'ai vu une affiche. C'est donc une annonce demandant main forte pour épauler la Marine dans une action demandant de la main d'œuvre. C'est surement un bon moyen de me faire bien voir en attendant la réponse à ma candidature et de toute manière je n’ai rien de mieux à faire en ce moment, alors je me rends au rendez-vous ou un sergent doit expliquer le pourquoi du comment et recueillir les recrues pour une opération nécessitant des paires de bras supplémentaires. Une fois sur place je n'ai plus qu'a attendre et observer, petit à petit un certain nombre de personnes diverses c'était amassé autour du petit podium où le sergent entouré de deux hommes à lui certainement attendait une cigarette au bec. Jugeant du regard les quelques gens ce muant en petite foule je ne peux que constater que celle-ci est des plus hétéroclite. Il y a un peu de tout, du paysan au regard et au corps forgé par les heures de durs labeurs aux jeunes gens à peine adulte essayant certainement de se trouver un moyens de se faire un nom, jusqu’aux vieux poivrots de la taverne d'en face. En tout as tout ce beau monde est la pour la même chose et moi avec, une fois le tas de personnes bien compact presque prêt à écouter sagement les paroles du sous-officier de la Marine celui-ci ne se lève. Une fois debout il est plus simple de voir le bonhomme, c'est un personnage à la carrure d'armoire à glace dont le visage strict et balafré sous sa coupe au carré noire comme la nuit ne cache pas une certaine lassitude certainement induite par la raison de cet appel d'ouvriers. Dans un geste théâtral pour impressionner la foule de badaud, il a tendu la main vers nous, froissant légèrement son uniforme jusque la droit, presque comme s'il avait été repassé avec un fer directement sur sa peau. Suite à son mouvement imposant le silence, il dit donc de sa voix rauque et sec.

"Bon je suis le sergent Ikki et je ne vais pas tourner autour du pot. Sur une petite île pas loin il y a eu un incident naturel et ont a besoins de gens pour déblayer le port. C'est loin d'être passionnant ou relisant, mais faut du monde et le plus important c'est que cela est rémunéré, le tout en plus logé aux frais de la princesse, que demande le peuple ?"

Une fois cela dit, ses hommes faisaient en sorte que ceux qui ne sont pas déjà parties voir ailleurs s'ils y sont signe d'une belle croix en bas du papier. Suite à une longue queue j'ai fini par signer de ma plus belle écriture. Au début je dois bien avouer que voir une ville et son port en vrac ma donné des sueurs froides, mais si je ne me fais pas violence je ne tiendrai jamais dans la Marine si je suis acceptée. Une fois fait j'ai demandé à l'un des Marins si je peux mettre mes affaires sur le navire, ce n'est pas que je ne fais pas confiance au tenancier du bouiboui, mais plusieurs jours loin de mon jouet ça ne me plais pas. En montant sur le navire un peu après je me rends compte que j'attire encore les regards, est-ce ma tenue fétiche rouge à fourrure blanche cette fois ou mon prototype de canon portatif qui pend sur mon dos cette fois ? Peut importe, dans une cabine je me change pour ma tenue d'artisans, mes gants en cuir épais ne seront pas de trop pour manipuler les reste de bâtiments effondrés et les autres trucs cassés et surement sales. Une fois mes affaire sous verrou, je monte sur le pont pour observer la mer pendant ces quelques petites heures de traverser, sur le coup je me dis que le sous-officier à été loin d'être prolifique d'informations sur ce qu'on aller devoir faire une fois sur place et la situation elle-même des personnes au milieu de décombre, quoi que cela avait surement du être évacué. Pendant le temps du petit voyage, profitant du vent iodé je ne cesse pas d'admirer la vue et les couleurs vives du ciel, bien sûr j'ai aussi eu le droit à quelques petites discussions banales avec les autres gens sur divers thèmes banales. En fait le plein mystère planant sur l'état des lieux une fois arrivé souleva quelques conversations sans réellement trouver de réponses. Finalement c'est avec une légère appréhension que comme d'autres j'ai observé l'île de loin quand la vigie à signaler l'arrivé proche dans le port. De loin cela n'a pas l'air si terrible je le pense, mais une fois les premiers détails en vu il n'y a rien d'autre qui qualifie ce que je pense, un vrai bordel. A première vu je pense qu'une tempête ou un truc du même genre à frapper ce port, il y a des bâtiments effondrés et des bateaux encastré dans certains ou ventre à l'air sur ce qui semble être une place plus loin. Apparemment il y a déjà du monde à l'œuvre pour entasser les morceaux qu'il est humainement possible de déplacer des logis et magasins portuaire de pierre et de bois. Une fois arrivé je débarque en ligne avec le reste de la main d'œuvre et ont est rassemblé au niveau de la place, puis répartie en petits groupes avec les marins pour aider ceux qui sont déjà affairé à rendre tout ça de nouveau vivable. Mon groupe lui semble affecté à une vieille taverne sur la place centrale.

"Très bien, faites bien attentions je n'ai pas envies de vous retrouver sous des décombres."

Eichi, notre gardien attitré est un jeune marin qui a comme moi, plus de la vingtaine. Malgré une allure asses fine et un air détacher sur son visage agréable aux yeux noisettes, il semble tout de même vif et surveiller les alentours avec vigilance, son couvre chef bien ancré sur sa toison brune. Pour moi ça me semble être un bon gars qui tranche bien au sabre et ne doit pas être trop pris à la légère, mais bon ce n'est pas le genre de lieux pour vérifier cela. Ainsi continua une journée sous le signe du bon labeur dont la monotonie est cassé par les chants de divers personnes, parfois un chant marin, d'autres folklorique il y en a même eu certains grivoises. Il a fallut un certain temps pour que l'on s'organise de manière efficace si bien que le premier jour ne serait pas des plus productif, mais ça ils l'on surement prévu quand ils ont embauchés des civils. Au couvre feu, tout le monde ce réunit pour reprendre des force autour d'un repas consistant avant d'aller se coucher dans le navire en fond de cale ou dans les premiers bâtiments remit à peu près debout sur des lits de fortunes ou des hamacs. Malgré la fatigue cette nuit j'ai mal dormit, malgré moi j'ai repensé aux familles qui ont tous perdu dans cette tragédie, en espérant au fond de moi tout de même qu'il n'y a pas eu trop de victimes. Je veux faire un tour pour prendre un bol d'air frais, mais l'une des demoiselles en charge de la surveillance de ce dortoir pour la main d'œuvre féminine refuse catégoriquement, il n'y a pas de risques, mais il vaut mieux rester prudent quand ont est en charges de civiles. Une de mes consœurs ayant aussi le sommeil léger ma proposer de discuter dans un coin de la pièce tout bas pour ne pas déranger les autres et c'est ainsi que j'ai fait la rencontre de Tomoe. Vu que je parle peu, elle a fait la conversation presque pour trois, décidément elle n'a pas sa langue dans sa poche et d'anecdotes en petites histoires j'apprend qu'elle est fille de pécheurs et rêve d'être aussi engager dans la Marine pour protéger et servir ainsi que découvrir le monde et ses couleurs un peu comme moi, son tempérament est de feu tout comme sa chevelure rousse allant bien avec ses yeux vert de jade. Son tempérament joyeux et extraverti donne une joie de vivre communicatif et je me suis surprise à sourire plus que d'habitude en sa présence.

Cela fait maintenant plusieurs jours que l'on travail et la différence se récent par rapport à l'arrivé, sans être réellement exceptionnelle il y a un mieux indéniable. Néanmoins j'ai ressentis depuis hier une certaine tension, je ne sais pas d'ou cela viens exactement, mais certains marins semble a crans et plus occupés à surveiller qu'a aider, je me dis que ça doit être normal même si... Le soir venue je me place à coter de la jeune femme avec qui je me sens bien finalement, hier elle ma même donner une petite chose qu'elle à tressé elle-même et qu'elle à nommé un bracelet de l'amitié. Le sergent Ikki et ses hommes eux n'étaient pas la, je crois les avoir vu monter sur le navire en avance surement pour faire quelques chose d'important qui ne nous regarde pas. A l'heure du couché en chuchotant avant de dormir Tomoe me dit qu'elle ne sait pas non plus, je pense alors que certains ont dû faire du zèle et être blessés ce qui peut expliquer que les marins soit en garde. Ils ne veulent certainement pas se faire taper sur les doigts par la hiérarchie. Par la suite je m'endors un peu plus tranquille bien qu'un peu perplexe quand même, une bonne gueulante pour remettre tout le monde dans les clous aurait surement fonctionné. Le lendemain j'y retourne avec mon équipe et c'est vers le début de l'après midi que l'on change de bâtiments, bonne surprise d'ailleurs puisque nous rejoignons l'équipe de Tomoe pour la mairie. La bâtisse est bien grande d'ailleurs, mais le travail est déjà en bonne partie avancé. Au bout de deux heures, je peu voir Tomoe partir avec madame Akeboshi surement pour aller au petit coin ce qui ne m'inquiète pas plus que ça, par contre ce qui a commencer à m'alarmer c'est qu'au bout d'un quart d'heure elle n'était toujours pas revenue, Eichi aussi l'a remarqué, mais ne peu pas laisser les civiles seuls je pense. Alors qu'il essaye d'appeler un collègue surement pour aller voir ce qui se passe, une fois fait j'accompagne malgré lui le jeune homme, n'ayant pas le temps ni l'envie de perdre du temps à m'en dissuader ont commence à chercher. C'est devant une vieille boutique qu'il remarque un objet à la couleur vive que je reconnais immédiatement. Et commence à observer le lieu.

"C'est un de ses bracelets de l'amitié, mais où sont-elles ?"
"Peut-importe, retournez avec les autres immédiatement"
"Très bien... Aaaaaaaah!"

Suite à une petite chute je me retrouve sur le dos, dans une pièce sombre et la jambe gauche qui me fait mal, apparemment le sol été fragile, enfin c'est ce que j'imagine, je ne voie pas le trou par lequel je suis tombé, aujourd'hui le temps est nuageux.

"Surtout ne bougez pas !"

Au dessus de moi j’entends les pas d'Eichi, il semble chercher un moyen de descendre et moi de remonter. Une fois à genoux je tâte le sol pour trouver quelques chose, puis je me relève mes yeux pas encore habitué au manque de lumière je heurte un baril, un second puis pour varier une caisse. Il y a une odeur des plus épouvantables et j'ai marché dans une sorte de liquide visqueux alors que je viens d'atteindre un mur dont je ne veux absolument pas savoir la provenance. Bingo... malheureusement non pas de torche ou autre, juste des bouteilles bien poussiéreuse ce qui commence à me faire avoir des sueurs froides. En m'essuyant frénétiquement la main sur mon pantalon je me rends compte qu'en haut il y a des bruits de pas. Cette odeur, ce n'est pas que du moisie, une légère odeur de fer aussi qui me rappel de mauvais souvenir et c'est en percutant encore autre chose que je tombe à plat, le bras droit dans un liquide visqueux et chaud. Comme un effet de scène minutieusement préparer pile à ce moment là, le soleil se dévoile et un rayon chaud laisse apercevoir un peu mieux la pièce. Je suis de nouveau debout et le bras droit maculé de sang, a mes pieds ce trouve Tomoe égorgé et sa gardienne l'arme à la main sur le ventre une tâche de sang sur le dos. A bien y regarder il y a deux autres cadavres dans un coin alors que je reste silencieuse comme si mon cerveau choisies entre la panique ou l'évanouissement. Il a trouvé encore mieux puisque je salis encore plus le sol avec mon déjeuné, n'ayant pas tenue face à cette boucherie allier à la surprise. En regardant dans un coin de la pièce essayant d'éviter à tout prix de laisser mes yeux fixer encore l'un des cadavres je fini par m'apercevoir qu'il y a une ombre qui dépasse du cadre d'une porte, a moins que ce soit mon imagination qui me joue des tours, dans tous les cas je veux partir d'ici au plus vite. Avec un pas feutré l'ombre bouge, la présence du Marin juste au dessus ne l'effraie peut-être pas asses pour l'empêcher de continuer sa basse besogne ? Je suis encore plus effrayé et recule face à cette incarnation du mal jusqu'a être bloquer par le mur. C'est fou ce qu'en deux pauvres minutes il peut se passer, d'ailleurs pourquoi le soldat ne me rejoint pas ? Enfin pourquoi le ferait-il puisque je n'ai pas appeler à l'aide, le dos littéralement au mur j'entrevois un manche à coté de moi... Mais que fait une pelle dans une cave à vin ! Et où est l'ombre ? C'est à ce moment précis que j'ai sentit un souffle chaud près de moi et qu'une voix grave et grasse tentant d'être suave chuchote.

"Tu suinte la peur gamine, viens jouer avec moi."

Un quart de seconde et de l'adrénaline, c'est ce qui viens de sauver ma vie et change une futur mort en "simple" douleur atroce alors que je sent une lame me trancher le gras sous le sein gauche, c'est mieux que de se faire perforer l'estomac en tout cas. Evidement n'ayant pas tous les bons reflexes, je n'ai pas aussi l'initiative de me défendre avec la pelle qui n'a toujours rien à faire ici, non. Heureusement alerté par les bruits étranges Eichi à eux la bonne idée de descendre, n'aimant pas l'idée d'être dos à un épéiste mon agresseur se met de sorte à être de coté avec nous deux ce qui semble logique. Pendant que je reste immobile dans mon coin, les deux hommes se jauge du regard dans un combat de regard ou chacun attend une erreur de l'autre pour frapper. Doucement ma main attrape la pelle, IL semble l'avoir remarqué et ne semble pas vouloir prendre le risque de tourner le dos à l'épéiste même un tout petit instant. Je me sens toujours aussi mal, mais il doit payer et je ne lui donnerai pas le plaisir de me voir tomber au sol comme une poupée de chiffon, enfin pas tout de suite. Cela resta ainsi jusqu'a maintenant, des bruits de pas au dessus de nous et en un tout petit instant tout bascule. Alors qu'il tente de poignarder mon sauveur je tente et réussis de justesse à lui asséner un coup de pelle dans le dos ce qui laisse la petite ouverture suffisante pour que le sabreur place sa lame sous la gorge du criminel. Tout est fini, la pression descend ainsi que d'autre marine avec une échelle... et moi je tombe inconsciente.

Tout est flou, finalement j'ouvre les yeux dans une chambre coquette, tout ceci n'était qu'un cauchemar ? Non une douleur me lance au torse pour me rappeler à la réalité. Je suis entourée de bandages et tout est immaculé, surement une clinique de la marine et je ne sais pas combiens de temps je suis resté dans les choux. J'essaye de me lever sans résulta.

"Du calme mademoiselle Yanagiba, vous êtes en sécurité maintenant."

Recroqueviller sur le lit j'écoute l'infirmière qui tente de ma calmer, en revoyant le bracelet sur la table de chevet cela me remémore la peur, la fatigue, a souffrance et j'en conclus que malgré tout quoi qu'il soit arrivé au monstre cela ne ramènera pas Tomoe et les autres victimes d'entre les morts, bien que l'idée qu'il soit dans une cage ou fusiller m'inspire un certain sentiment de justice.
  • https://www.onepiece-requiem.net/t2578-fiche-de-rei-yanagiba
  • https://www.onepiece-requiem.net/t2480-presentation-de-rei-l-armuriere