Mon voyage initiatique avait démarré depuis maintenant un an... A bord de la barque à voile dont m'avait fait don le village avant mon départ, j'écumais les mers de South-Blue, cherchant à rejoindre un équipage pirate et à acquérir une renommée certaine.
Pour l'instant, ces deux objectifs n'étaient en rien abouti : je n'avais toujours pas trouvé d'équipage voulant me recrute, et pour ce qui est de la renommée... Elle était à peu près aussi grande que celle du poulpe que j'avais mangé à midi.
J'avais récemment fait escale sur le cimetière d'épaves. Je savais pertinemment qu'il s'agissait d'une zone mal famé, mais c'était sur mon trajet. Et cela me permettait de passer la nuit sur quelque chose de ferme.
Je me rendis compte le lendemain que des pirates m'avait dépouillé dans mon sommeil : je n'avais maintenant presque plus de nourriture. Je ne m'attendais pas à ce que la vie de pirate soit aussi dure...
Après quelques jours de voyages et de privations, j'atteignis enfin le port de Suna-Land. J'allais pouvoir reprendre des forces !
Une ville aussi densément peuplée que celle-ci était un bonheur pour les pick-pocket comme moi ! Une bourse par ci, une pomme par là... Je fis assez rapidement le plein de berrys et de nourriture.
Ce qui n'aurait dut être qu'une courte escale c'était transformé en un bon mois de pause : j'étais vraiment très bien ici, et je n'avais nulle envie de reprendre la mer tout de suite.
Mais il me fallait bien partir un jour, un pirate n'étant pas fait pour rester à terre. Il m'en coutait un peu de quitter Suna-Land, car ce nouveau départ signifiait un retour à ma vie rustre et difficile sur les mers...
Ce jour-là était un jour de marché. Je décidais donc d'effectuer mes derniers larcins ici avant de reprendre mon voyage.
J'adore les jours de marché ! Les badauds se pressaient, la foule étaient très compacte... Les meilleurs conditions était réunis pour m'en mettre plein les poches.
Je décidais de faire une pause dans mon honnête travail pour m'attarder devant un spectacle nouveau pour moi : les combats de coq. Intéressé, je misais 500 berrys sur l'un des coqs. Un homme gras en fit autant, mais donna sa mise sur l'autre coq.
Le problème, c'est que mon coq mourut très vite. Pas que je sois sentimental (après tout, c'était juste un piaf), mais ça m'avait fait perdre 500 berrys et ça, j'aimais pas.
Je me remis donc de plus belle à faire discrètement les poches des honnêtes gens. Mes mains entraient à tout hasard dans les bourses passant à ma portée.
Un incident survint toutefois : alors que j'accomplissais mon devoir de pirate, l'homme que je m'apprêtais à dépouiller se retourna brusquement vers moi. Il m'avait repéré.
C'aurait été un simple passant que j'aurais neutralisé l'homme assez facilement. Le truc, c'est que les gens qui portent un uniforme de marine sont rarement de simple passant...
Pour l'instant, ces deux objectifs n'étaient en rien abouti : je n'avais toujours pas trouvé d'équipage voulant me recrute, et pour ce qui est de la renommée... Elle était à peu près aussi grande que celle du poulpe que j'avais mangé à midi.
J'avais récemment fait escale sur le cimetière d'épaves. Je savais pertinemment qu'il s'agissait d'une zone mal famé, mais c'était sur mon trajet. Et cela me permettait de passer la nuit sur quelque chose de ferme.
Je me rendis compte le lendemain que des pirates m'avait dépouillé dans mon sommeil : je n'avais maintenant presque plus de nourriture. Je ne m'attendais pas à ce que la vie de pirate soit aussi dure...
Après quelques jours de voyages et de privations, j'atteignis enfin le port de Suna-Land. J'allais pouvoir reprendre des forces !
Une ville aussi densément peuplée que celle-ci était un bonheur pour les pick-pocket comme moi ! Une bourse par ci, une pomme par là... Je fis assez rapidement le plein de berrys et de nourriture.
Ce qui n'aurait dut être qu'une courte escale c'était transformé en un bon mois de pause : j'étais vraiment très bien ici, et je n'avais nulle envie de reprendre la mer tout de suite.
Mais il me fallait bien partir un jour, un pirate n'étant pas fait pour rester à terre. Il m'en coutait un peu de quitter Suna-Land, car ce nouveau départ signifiait un retour à ma vie rustre et difficile sur les mers...
Ce jour-là était un jour de marché. Je décidais donc d'effectuer mes derniers larcins ici avant de reprendre mon voyage.
J'adore les jours de marché ! Les badauds se pressaient, la foule étaient très compacte... Les meilleurs conditions était réunis pour m'en mettre plein les poches.
Je décidais de faire une pause dans mon honnête travail pour m'attarder devant un spectacle nouveau pour moi : les combats de coq. Intéressé, je misais 500 berrys sur l'un des coqs. Un homme gras en fit autant, mais donna sa mise sur l'autre coq.
Le problème, c'est que mon coq mourut très vite. Pas que je sois sentimental (après tout, c'était juste un piaf), mais ça m'avait fait perdre 500 berrys et ça, j'aimais pas.
Je me remis donc de plus belle à faire discrètement les poches des honnêtes gens. Mes mains entraient à tout hasard dans les bourses passant à ma portée.
Un incident survint toutefois : alors que j'accomplissais mon devoir de pirate, l'homme que je m'apprêtais à dépouiller se retourna brusquement vers moi. Il m'avait repéré.
C'aurait été un simple passant que j'aurais neutralisé l'homme assez facilement. Le truc, c'est que les gens qui portent un uniforme de marine sont rarement de simple passant...