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Ryuuzaki alias Zabuza [En attente de validation]

>> Nom & Prénom

Itagaki Zabuza
Ryuuzaki alias Zabuza [En attente de validation] 111112122342698296

Pseudonyme : Itagaki Zabuza
Age: 18 ans
Sexe : Homme
Race : Humain
Rang : Membre du CP9

Métier : Assassin/Espion
Groupe : Cipher Pol
Déjà un équipage : Non
But : Devenir toujours plus fort et avoir des cibles toujours plus fortes.

Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Pratiquant de Muay Thai et Manieur de Dague.
Équipements : Dagues, aiguilles.

Codes du règlement (2) :

Parrain : Aucun

>> Physique

Les apparences sont souvent trompeuses. Et c’est le cas de Ryuuzaki alias Zabuza. Cet homme a deux apparences. L’une qui a un attrait à la bonté et l’autre un attrait aux ténèbres, le sang. Commençons par celle ayant la bonté. Ryuuzaki est plutôt bel homme. Cheveux mi-long bruns et soyeux comme ceux d’une demoiselle. Il a le visage ovale et la peau plutôt pâle. Ses yeux sont d’un vert céladon comme celui des forêts sous un éclat de lumière du soleil. Ses lèvres sont plutôt filiformes et son nez est en forme de bec d’aigle qui est en parfait harmonie avec le reste de son visage. Les sourcils de cet homme sont noirâtres et toujours fin. Ses oreilles sont ordinaires, ni trop grande, ni trop petite, ni trop grosse, ni trop fine. Elles ont un juste milieu entre ces différentes catégories. Il a une dentition parfaite parfaitement blanche.

Son regard sous cette apparence est émouvant, doux. Dans l’abime de ses yeux, de nombreux sentiments forts se cachent. Notamment la haine, la solitude. Il a une mâchoire plutôt forte et cela est dû aux nombreux combats qu’il a effectués durant son enfance et aux tortures de Lei. Il a un corps bien bâti grâce à ses entraînements au muay thai. Ses abdominaux sont correctement dessinés aux nombres de 6 et il en va de même pour ses pectoraux qui sont tout à fait correctes bien que pas immensément gros. L’épaisseur des muscles de ses bras et de ses jambes sont proportionnelles à sa corpulence soit 75 kilos pour 1m80. Ses entraînements au Muay Thai lui ont permis de se forger un corps tout à fait acceptable. Son dos est toutefois l’endroit le plus musclé chez lui. Son dos est large et taillé en V. Ryuuzaki possède des cicatrices plus épaisses les unes que les autres dans le dos suite aux séances de tortures effectuées avec son Père. Le jeune Itagaki n’est pas un homme particulièrement velu, on pourrait le classer comme un homme imberbe. Il a une allure plutôt discrète, féline. Il pourrait passer n’importe où avec une grande agilité.

Sous cette apparence il porte des vêtements relativement très simples. Un ensemble noir tout ce qu’il y a de plus normal tout ceci pour ne pas attirer la curiosité. Il essaye d’avoir une démarche qui masque sa présence pour ne pas être remarqué par quiconque.
Enfin sous son autre apparence. La différence est immense. Il n’est plus question de jolies yeux verts ni même de beaux cheveux mi-longs bruns. Sous son apparence plus commune, nous ne voyons guère ses yeux ni même ses cheveux. Il porte un masque blanc ayant deux énormes pupilles noires et une bouche droite cachant ses émotions.

Ce masque a pour but de ne dévoiler aucun sentiment, aucune identité et de créer un certain effroi aux personnes rencontrées. Zabuza, son nom sous cette apparence, porte une longue tunique rouge qui habille son corps tout entier. Par-dessus cette tunique rouge il porte une écharpe sanglante ainsi qu’une capuche pourpre. Ses mains ne sont aucunement visibles, il met des gants noirs. Il porte aussi des chaussures fines de couleurs ténébreuses. C’est une technique plutôt originale qui lui permet de rester anonyme en toute circonstance. C’est dans cette tenue qu’il est le plus souvent. Lorsqu’il prend l’apparence du doux et charmant Ryuuzaki c’est lorsqu’il s’agit d’une mission d’infiltrations. Et lorsqu’il est vêtu de cette apparence il a permission d’occire à tout moment, n’importe qui, n’importe quand. Il utilise cette apparence aussi lors de missions d’assassinats. Sous cette tenue, la démarche de Zabuza est légèrement différente. Elle est plus adroite, plus sûr d’elle contrairement à l’apparence de Ryuuzaki.



>> Psychologie

Ryuuzaki était un garçon bon avant qu’un personnage ne déclenche en lui un côté malsain et sombre. Le meurtre fut tellement une tâche quotidienne durant son enfance jusqu’à maintenant qu’il ne peut vivre sans assassiner, sans voir couler le sang. Toutefois sous son apparence civile. Il est un garçon charmant, aimable. Ryuuzaki est même légèrement timide et parfois maladroit. Il n’aime pas la violence, l’injustice. Il a la main sur le cœur disons et serait capable de secourir une vie si cela n’enfreint pas la mission. Le jeune Itagaki a aussi des activités qu’il apprécie notamment les jeux de cartes où l’on pari de l’argent. Sous son apparence angélique se cache un personnage avare. En réalité, lorsqu’il est habillé en civil.

Il incarne le garçon qu’il aurait pu être. Bien qu’il joue un rôle, il le jouera jusqu’à en croire ce qu’il dit. Néanmoins sous son apparence d’assassin. Il n’est plus question de ne pas aimer la violence, l’injustice et toutes les conneries qu’on peut entendre. Sous cette apparence se cache un homme qui tuerait pour peu, voire rien. Aucune émotion ne dégage de ce masque ni même derrière ce masque. Juste une satisfaction de faire son devoir qui pour lui est d’occire les cibles du Gouvernement. Lei a réussi à rendre ce gamin qui avait certainement un bon avenir ; une machine à tuer. Obnubilé par la soif de puissance. Zabuza n’est plus un humain ayant un cœur.

C’est un prototype programmé pour assassiner. Les joies, les pleures, il ne connait plus. Lorsqu’il repense à son village, il soigne ses douleurs en tuant encore et encore jusqu’à ce que ceci disparaisse. Cependant, ce n’est pas pour autant un homme qui ne réfléchit pas. En dehors de ses crises de sangs, il est un homme très calme, réfléchi. Un parfait leader qui sait prendre les bonnes décisions. Il s’arrange d’ailleurs pour n’être jamais à courts de meurtres. Il a un humour plutôt horrible mais il en reste pas moins un tueur compétent. Zabuza aime se foutre de la gueule du monde et à une répartie plutôt étrange. Où est la cible ? Dans ton cul. Ce sont les trois mots qui reviennent le plus souvent chez Itagaki Zabuza.



>> Biographie

Histoire d'une enfance.


Regarder le ciel c’était un passe-temps qui n’ennuyait jamais cet enfant. Issu d’une famille modeste qui vivait au milieu des forêts, des animaux sauvages, il était en harmonie avec la nature. Le ciel était grand, majestueux c’était ce qu’il aimerait être. Toutefois ce n’était guère possible et Ryuuzaki le savait bien du haut de ses huit printemps. Le mode de vie auquel il recourrait ne le dérangeait pas. Il aimait les horizons, il aimait ces gens tout autour de lui. Jamais, il n’avait rêvé d’aventures. Le monde extérieur, Ryuuzaki n’en savait rien. C’était un monde diabolique ; d’après la mince population du village enfoui dans les forêts. Le Père était un Chasseur. Fier de son métier, il enseignait l’art de la chasse à son fils pour qu’il prenne le relais un jour. La Mère était une femme au foyer qui tricotait les vêtements, nettoyer la maison et faisait la cuisine.

Un mode de vie banal mais qui les rendaient heureux. Le jeune Atami lui arpentait les forêts à la recherche d’herbe aux propriétés curatives et d’autres aux propriétés néfastes pour empoisonner les lances de son cher Père. Le corps du modeste enfant était athlétique. Il n’était ni trop maigre ni trop musclé. Robuste à la fois souple. Son faciès était ovale dont la peau était pâle. Ryuuzaki avait les yeux d’un vert céladon, une bouche fine, un nez en forme de bec d’aigle et des cheveux noirâtres qui tombaient jusqu’en bas du dos. Avec les autres enfants du village, ils organisaient des combats où tous les coups étaient permis. Ce n’était point l’Atami le plus fort. C’était un garçon qui venait du monde diabolique et en ce jour. Ryuuzaki devait le combattre. Dire qu’il ne craignait pas sa défaite, c’était un mensonge. Son corps était nourri d’effroi à l’idée d’affronter une personne aussi forte. Pourtant Ryuuzaki n’était pas le plus faible mais il avait cette amère impression qu’il ne pouvait s’en sortir indemne de ces échanges de coups infernaux. Son adversaire était immense et robuste.

L’Atami partit rejoindre le terrain de combats où tous les enfants du village attendaient impatiemment. Lui, il était déjà sur les lieux. Lorsqu’il sautillait, sa corpulence faisait trembler la terre ferme. Tandis que le modeste Ryuuzaki essayait de cacher ses craintes et faire face à l’enfant diabolique. Le combat commença d’un coup de poing puissant du monstre en face de Ryuuzaki. Ce-dernier esquiva et refrappa tout de suite. Toutefois c’était un coup inutile, il n’avait guère fait mal. Durant tout le combat les coups du jeune Atami ne servait point. C’était alors ainsi qu’il perdit la rencontre. Epuisé, il reçut un coup de poing qui le projeta contre un arbre et l’assomma. Une défaite injuste mais, qui toucha un homme aux visages marqués par des cicatrices profondes.

La sève qu’il émanait, montrait son austérité et surtout sa force. Cette défaite l’avait énervé. Voir un corps si agile aux bras si peu efficace contre un tas de muscles bon à rien, qui en plus de ça, avait réussi à vaincre, rendait fou ce vieil homme. Il partit ramasser Ryuuzaki et l’emmena au-delà du village. Dans les montagnes près d’une cascade. Lorsque le petit Atami reprit conscience, il fut effrayé par le visage de l’homme qui l’avait secouru. Ce-dernier lui raconta en détail comment il avait perdu son pittoresque combat. C’était de la merde, d’après les paroles de l’homme aux cicatrices. Cela l’avait tellement énervé qu’il voulait enseigner à Ryuuzaki comment frapper vite et fort et non pas juste toucher.

« Quand tu frappes il doit y avoir un mouvement de l’épaule et du bassin qui suivent ton coup. Frappe-moi de toutes tes forces. »

Ryuuzaki s’approcha à proximité du vieil homme et lança un coup de poing. Le vieil homme ne bougea pas. Maintenant il devait essayer avec le mouvement du corps. Dès lors l’homme aux cicatrices bougea légèrement. La puissance de frappe avait bel et bien augmenté mais ce n’était pas encore ça. Dorénavant l’Atami suivrait un entraînement dans les montagnes. Chaque matin, il devra escalader la montagne et venir s’entraîner avec l’homme aux cicatrices qui avait pour nom Lei. Les jours défilaient. Ryuuzaki prenait cet enseignement au sérieux. Il était euphorique d’avoir un nouveau quotidien différent de celui d’antan. Il apprenait vite, il était passionné et il commençait à considérer Lei comme un membre de sa propre famille. Ce garçon appréciait fortement ce Vieil Homme.

Jusqu’à ce qu’un matin Lei partit sans laisser de traces ni de mots à son jeune ami. C’était un moment douloureux pour Ryuuzaki, il se sentait comme trahi. Il reprit alors ses vieilles habitudes à contrecœur. Il n’y avait plus aucune motivation dans chacun de ses gestes et plus aucune motivation pour les combats. L’enfant qui était considéré comme un Démon partit alors à l’encontre du petit Atami. Dans l’espoir de le remotiver. En vérité ce garçon n’était pas un monstre. C’était un garçon robuste au grand cœur qui avait fini par se lier d’amitié avec Ryuuzaki. Dans ses histoires sur l’autre monde dit « monde diabolique » par les villageois du village. Ahzuu, c’était le nom de ce soi-disant monstre, racontait que son Père était recherché par des vilains hommes qui en voulaient à sa vie. Ces histoires intéressaient beaucoup Ryuuzaki. Au fur et à mesure, ces deux garçons étaient devenus les meilleurs amis du monde et la tristesse du départ de Lei s’évapora grâce à ça.

Le parcours du Diable


Hélas le bonheur fut encore de courtes durées quand des hommes en tenues sombres débarquèrent dans le village brûlant les maisons, violant les femmes et tuant les hommes. Un des hommes s’attaqua à la famille de Ryuuzaki mais celui-ci frappa de toutes ses forces l’homme l’assommant sur le coup. Les autres hommes pointèrent alors les armes sur le jeune Atami et tirèrent sans retenues. Quand les coups de feu s’arrêtèrent. Ryuuzaki était encore debout néanmoins ce n’était guère le cas de ses parents. Les hommes rechargèrent pour une seconde rafale pour achever le garçon cependant ce même garçon était si furieux qu’il ne laissa aucunement le temps à ces assassins de recharger. Le petit Ryuu fonça sur cette armée devant lui et sauta infligeant un coup de poing à l’un des soldats.

Il prit l’arme du soldat et frappa les autres avec. Ahzuu vint immédiatement aider son camarade en voyant son total refus de coopérer. A eux deux, ils s’étaient débarrassées des plus faibles mais, malheureusement pas des plus forts qui désormais, pointaient leurs armes sur eux. C’était à ce moment précis que la vie de Ryuuzaki allait changer à tout jamais. Lei apparut et ordonna d’épargner le « gamin aux longs cheveux bruns et aux yeux céladons » et d’occire tout le reste du village. Deux hommes forts attrapèrent Ryuuzaki et l’emmenèrent de force avec eux. Le jeune Atami regardait son ami les yeux emplis de désespoir, leurs regards se faisaient face lorsque le coup de feu retentit et que Ryuuzaki vit son meilleur ami mort au sol et piétiner par les soldats comme un vulgaire déchet.

Lei remontait sur le navire avec les deux hommes qui tenaient fermement Ryuuzaki. Ils entrèrent dans une pièce du navire et le Vieil Homme ordonna de relâcher le gamin. Immédiatement, il tenta de fuir toutefois Lei tira sans pitié dans la cuisse droite du garçon. L’homme aux cicatrices demanda aux deux hommes de sortirent et il prit la parole.

« Si tu essayes à nouveau de fuir, je te tuerai gamin. Ecoute ce que j’ai à te dire. Tu n’as que huit ans mon garçon ce serait dommage de finir sa vie si jeune alors je te propose de vivre. Au nom du Gouvernement. Tu vivras sous ma tutelle, tu porteras mon nom. Tu auras une nouvelle identité. Toutefois si tu refuses je serais obligé de te tuer. »


Ryuuzaki se tenait la cuisse, les larmes aux yeux. Il réfléchissait. Il voulait vivre et devenir aussi fort que Lei. Après tout la première fois ce Vieil homme n’avait pas été une mauvaise personne. Il devait avoir ses raisons pour avoir abattu ces hommes. C’était ainsi que Ryuuzaki soignait cette douleur qu’il avait au niveau du cœur. Il accepta la proposition de Lei. L’homme aux cicatrices cria pour que les soldats viennent soigner son fils et ils exécutèrent sans broncher.

4 ans s’écroulèrent depuis cet incident. Itagaki Ryuuzaki avait maintenant 12 ans. L’Atami Ryuuzaki avait disparu. Il était mort lorsque le village avait été pris d’assaut. C’était inscrit dans les rapports des victimes. Cette Itagaki était le fils du Vieil Homme. Et c’était ce même Vieil Homme qui s’occupa de la formation de son garçon. Tout deux habitaient une maison dans la campagne. Pas très loin de la ville pour autant. Et comme chaque jour depuis ce jour fatidique, Ryuuzaki devait s’entraîner. Il pratiquait le Muay Thai. Un art Martial qui utilise les poings, les pieds, les coudes et les genoux.

Le fils du Vieil Homme s’entraînait à mettre des coups de poings et des coups de pieds avec les tibias dans un tronc d’arbre. Cela afin de résister à la douleur à mesure où l’on frappait plus fort. La formation de Ryuuzaki visait à ce qu’il fasse comme son Père. Lei avait été un membre du CP9 et c’était là dedans que l’homme aux cicatrices voulait mettre Ryuuzaki. Pour cela il devait être fort. Chaque fin de semaine. Lei torturait son fils de différentes manières pour lui apprendre à ne jamais révéler les informations confidentielles quelque en soit le prix. L’homme aux cicatrices emmenait tous les jours Ryuuzaki dans un QG de la Marine et le faire combattre des soldats compétents. L’Itagaki ne perdait point grâce à sa férocité à laquelle il faisait preuve lors d’un affrontement. Les mots d’ordres étaient détruire l’ennemi et ceci fort et vite.

Lorsque les nuits tombaient. Le fils du Vieil homme devait occire une cible du gouvernement. Malheureusement la cible était plus expérimentée. Lei avait surestimé son enfant qui revint dès alors bredouille. Si Ryuuzaki échouait lors d’une mission, il était battu durant des heures. Mais l’Itagaki expliqua au Vieil Homme que le Muay Thai fut d’aucune utilité face à ce type. Il avait un sabre et l’avait totalement empêché d’effectuer un seul mouvement. C’était ainsi que Ryuuzaki se mit à apprendre le maniement des armes grâce à des bouquins et des dojos très haut niveaux auxquelles son Père l’avait inscrit. La seule arme de prédilection qui sortit du lot était le maniement des Dagues. L’Itagaki avait tout simplement plus de talents avec ces fines lames. Il arrêta alors d’arpenter tous les dojos et se consacra à un seul dojo où il était question de manipuler les dagues.

En vain quelques jours plus tard. Ryuuzaki s’attaqua à la même cible que précédemment mais, il ne fit guère face pour l’affronter. Il s’était glissé dans son dos discrètement et le poignarda le tuant sur le coup. Il n’y eut aucun bruit, juste une totale discrétion. L’assassin rapporta la tête de la cible à Lei. Néanmoins, ce serait bientôt la tête du Vieil Homme qu’il portera à ses mains. L’Itagaki comptait bel et bien vivre au nom du Gouvernement mais il avait l’intention d’occire son Père lorsqu’il n’aurait plus rien à profiter de lui. L’homme aux cicatrices était satisfait de Ryuuzaki et ils eurent une discussion sérieuse à propos des jours à venir.

« Ryuuzaki. Jusqu’à maintenant tu tuais les cibles sans masque car tu agissais durant la nuit maintenant tu devras en porter un. Car je souhaite que tu tues autant le jour que la nuit. A partir du moment où je poserai ton masque sur la tête. Tu ne pourras plus jamais l’enlever. Tu seras sous anonymat. Tu ne seras plus Ryuuzaki. Dorénavant tu t’appelleras Zabuza, celui qui ne tue jamais deux fois. Tu seras sous mes ordres jusqu’à ton admission au CP9. Bien que je ne fasse plus partie de ce groupe, j’en ai fais parti. J’ai encore le type de profil des personnes que l’on doit tuer. Tu tueras sous mes ordres. Un nom, un mort. Tu m’apporteras leurs têtes en preuve de réussite mais, ça, ca ne change guère. File te coucher demain est un grand jour »


Zabuza partit dans sa chambre et s’endormit. Le Lendemain comme prévu Lei attendait Ryuuzaki avec impatience. Il lui donna le masque et à partir de cet instant précis ; Ryuuzaki était devenu Zabuza. Un homme créé et entraîné pour tuer. Il tuait maintenant autant de jours que de nuits.

5 ans plus tard. Zabuza était maintenant un adulte. Il était au paroxysme des arts que Lei lui avait appris. Maître en Muay Thai et en Maniement De La Dague. Comme depuis toujours. La vie de l’Itagaki se résumait à tuer les cibles que le Vieil Homme avait au préalablement choisi. Mais comme il se l’était toujours promis. Zabuza tuerait Lei quand celui-ci ne lui servirait plus à rien. Ce soir de pleine lune était la dernière pleine lune de l’homme aux cicatrices. Ce serait aussi la dernière mission de Zabuza sous les ordres de son Père. L’assassin partit occire la cible. Elle était chez elle avec sa femme et ses enfants. Au milieu d’une plaine sans personne aux alentours.

Un endroit idéal pour mettre fin à plusieurs vies en quelques secondes. Le tueur avançait petit-à-petit parmi le feuillage de la plaine puis à proximité de la sonnette de la porte. Il appuya et se cacha non loin de la porte. Il avait l’intention d’égorger la personne qui ouvrirait … et ce fut malheureusement la femme qui reçut une dague en pleine gorge. Elle voulut crier mais, la dague profondément enfonçait parmi sa chair l’empêchait de le faire. Zabuza retira la dague et laissa tomber la femme en dehors de la maison. En entrant, il éteignit les lumières plongeant la maison dans l’obscurité. L’homme criait aux enfants de sortir de la maison. Hélas la porte était verrouillée. Il n’était point question d’épargner qui que ce soit, que ce soit femme ou enfant. Tous ces jours, toutes ces années à tuer n’étaient pas pour finalement jouer les cœurs tendres.

Un premier enfant approcha la porte. Le furtif assassin balaya le môme qui tomba la tête la première au sol. Le môme tenta de se relever cependant Zabuza se glissa dans son dos et lui tordit la nuque. L’Itagaki en était à deux morts. Il n’en restait plus que deux. La cible et son dernier enfant encore vivant. La cible avait prit une arme à feu. Le jeune Assassin avait put entendre des munitions tomber au sol et ouïr un chargement d’une quelconque arme. La lumière se ralluma grâce au gosse qui avait allumé une bougie. Toutefois ce fut une erreur. Repéré par Zabuza, le dernier enfant reçut une dague en pleine poitrine. L’assassin se dirigea vers la lumière et la ralluma tout en se dirigeant discrètement dans le dos de la cible. La cible était sur le cadavre de son enfant en larme. Le jeune Itagaki dit alors.

« Ce n’est pas votre faute. Vous n’y êtes pour rien. Vous êtes juste malchanceux d’avoir été la cible de mon Père. Et moi votre Assassin. »

Il tordit la nuque de la cible. Zabuza prit une pelle dans la maison et creusa un trou béant pour y mettre les corps sans têtes de cette famille qui n’eut malheureusement pas de chance. L’Itagaki repartit avec un sac sur le dos. Le contenu de ce sac était évident. Il y avait 4 têtes pour son adorable Père. Bientôt peut-être 5 en comptant celle de ce même Adorable Père. Depuis qu’il vit avec Lei. Zabuza n’était jamais entré par effraction cependant aujourd’hui était un jour différent. Il passa discrètement par une fenêtre. Lei attendait devant son bureau. Il se glissa derrière le dos de L’homme aux cicatrices et posa en passant par-dessus son épaule le sac rempli de 4 têtes. Lei dit ainsi.

« Tu n’as pas été tendre. Tu aurais pu ne tuer que la Cible. M’enfin je suis fier de toi quand même mon fils »

Zabuza rétorqua une phrase étrange.

« Papa as-tu d’autres choses à m’enseigner ?

Et ce fut un non de la part du Père. Sur le moment il n’avait pas compris la profondeur de cette phrase. Mais il était trop tard pour Lei de faire quoi que ce soit. Zabuza était déjà dans son dos. Tout avait bien été orchestré. Lei tapa des mains. L’Itagaki coupa court aux discussions avec des dernières paroles.

« Merci de m’avoir permis de découvrir ce monde extérieur. Tu as été mon passeport pour une nouvelle vie. D’ailleurs je porterai ton nom et ce masque pour toujours. Toutefois, vois-tu … Comme tu n’as plus aucune utilité pour moi. Je vais mettre fin à ta vie. J’ai fais falsifié quelques papiers notamment des lettres où tu dis vouloir vivre loin de tout. J’ai pendant longtemps étudié ton écriture et tes signatures. Tout ceci est déjà envoyé au gouvernement depuis pas mal de temps. Et tu as eu l’autorisation de partir très loin. Alors à bientôt Papa. »

Il égorgea de sang-froid Lei. Il brûla les têtes, les documents, les objets ainsi que le corps du vieil homme. Zabuza partit avec ce masque et cette tenue rouge sanglante qu’il s’était lui-même fabriqué. Il ferait parti du gouvernement mais tout ceci pour vivre parmi ce soi-disant monde diabolique.






>> Test RP

Le Test rp est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation.
Faire un test rp avant l'intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas.


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Informations IRL

    Prénom : Brandon

    Age : 15 ans

    Aime : Le sport, les mangas, les livres, l'ordinateur.

    N'aime pas : Mon Prof de FR.

    Personnage préféré de One Piece : Shanks le Roux

    Caractère : (définissez vous en quelques mots) Sociable, Comique, Agréable, j'ai de la répartie, je suis plutôt franc. J'aime pas tellement me prendre la tête. Je suis ici pour m'amuser donc les embrouilles vraiment trop peu pour moi.

    Fais du RP depuis :2 ans

    Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) Tous les jours environs 3 ou 4H voire plus si je suis en avance sur le taff.

    Comment avez vous connu le forum ? Top Site.






Dernière édition par Itagaki Zabuza le Mar 15 Nov 2011 - 18:30, édité 1 fois
    Bonjour et bienvenue sur OPR !
    Si tu as la moindre question n'hésite pas et pour ton test rp, ce sera un sujet libre. Seule information : l'ambiance doit être sombre et pesante ;)

    Bonne chance !
      Dans le noir, c’étaient des souvenirs qu’il ressassait. Chaque nuit, faire face aux souvenances qui le hantaient, agrandissait ses soifs de sangs. Alors quand la lumière disparaissait, il veillait à s’occuper le temps d’un soir et seulement lorsque le soleil pointait le bout de son nez ; Zabuza revenait les mains empourprées. Comme, soulagé de toutes peines qui le prenaient part de tous les côtés, l’Assassin pouvait fermer les yeux et partir dans ses utopies les plus profondes. C’était intéressant de se dire à quoi pouvait bien rêver un homme qui vit de violence, c’était surtout intéressant de considérer que ses rêves n’avaient rien de rêves d’Assassin. Ses utopies étaient enfantines, mirifiques, le total opposé d’ici bas où occire était ordinaire.

      Il rêvait souvent d’une enfance caractéristique à toute bonne enfance, sans se soucier de ce que pouvaient voir les yeux. Ignorer les profonds problèmes qui faisaient rage en ce monde. Parfois ses nuits de sommeils duraient des jours. C’était avec regret que dans la journée, il se levait. A trop dormir, le corps n’y arrivait plus et c’était comme ça que la vie de cette Itagaki prenait des tournants infernaux. Oui, c’était comme ça qu’un homme en arrivait à massacrer des familles, des villages, des coins perdus entiers.

      Semblable aux drogues qui rendaient dépendantes, lui, c’était cette couleur pourpre dont il était dépendant. D’une simple passion, il voulait en faire un métier. C’était sans mépris qu’il se regardait refléter dans le miroir à se dire. Je veux être Assassin. C’était sans honte qu’il égorgeait femme et enfant. S’habituer à un train de vie de tueur, c’était accepté sa dépendance à la mélancolie et à la solitude. C’était accepté de finir en homme haït par les mœurs. Ryuuzaki le savait pertinemment et il en avait fait l’amer sacrifice.

      Ce fut un soir de pleine lune où Zabuza avait poussé l’atroce à son paroxysme. Jamais il n’avait immolé de ces manières peu orthodoxes. C’était un jour où la souffrance était si insupportable que la seule façon qu’il avait de ne plus pâtir était un massacre plus sanglant que les précédents. Il était tard et le jeune tueur voulait pour une fois s’endormir durant la nuit, malheureusement, ses voisins faisaient une fête plutôt bruyante. Au départ, il pensait que les bruits seraient éphémères mais peu à peu cette fête s’éternisait sur de longues heures. Pris de compatis, il alla sonner à la porte néanmoins la personne qui ouvrit se moqua totalement des paroles de Ryuuzaki et ferma la porte au nez de celui-ci. Zabuza refrappa et la même personne ouvrit.

      La maison brûlait et des cris d’agonies retentissaient dans la nuit … Ce qui c’était passé durant cette nuit personne ne pouvait le décrire. C’était d’une rare violence ; aucun mot ne pouvait exprimer cela. Le jeune Ryuuzaki dormait les vêtements encore rempli de sangs. Cette odeur stimulait son cerveau et l’aider à s’endormir. Et dans sa cuisine gisait un corps pendu dont l’abdomen avait été tranché et dont les entrailles avaient été vidées. Les gouttes de sangs s’écroulaient, elles produisaient un son. Toc … Toc … Toc … Toc … Toc … Toc … Toc … Toc. AAAARG ! Le jeune Itagaki se leva de sursaut et entra dans la cuisine. A bout de nerf il s’acharna sur le cadavre froid qui pendait au milieu de la cuisine et s’arrêta en entendant des bruits de pierres qui frôlaient l’eau. Il sortit et vit un gamin. Gentiment, Zabuza tentait de le dépersuader de continuer ce bruit énervant.

        « Dégage espèch’ de caca Boudin ! »


      Il y avait des coups de poignards qui se perdaient. Mais quand le petit l’insulta de nouveau. Ryuuzaki approcha du gamin et l’emmena de force dans sa propriété où il ficela le môme. Les chevilles et les mains étaient ficelées. Le tueur reprit le gamin et le jeta dans le lac. Le môme se débattait et criait un appel au secours quand … subitement … plus aucun son ne se faisait entendre. L’enfant s’était noyé et Zabuza n’en pouvait plus de rire …

      [HRP : Le sujet ne m'inspirait pas énormément. Mais je ne cours pas après les dorikis. Je veux avant tout prendre du plaisir à jouer. J'attends toutefois vos jugements.]
        $alut,

        Alors, tout d'abord, tu dis qu'il a deux apparences, et qu'elles sont bien distinctes, je m'attendais que ce soit la même chose dans la psycologie, un homme avec deux façons de pensées différentes, l'une plutôt lumineuse et l'autre obscure, donc le fait que tu t'arrêtes aux vêtements, je trouve ça un peu dommage. Malgré ça, c'est assez bien écrit et je n'ai pu relevé que très peu de fautes. Quelques répétitions par ci par là mais rien de trop grave. Parfois, tu places tes virgules assez maladroitement par contre. Défaut facilement corrigeable, suffit de se relire à voix haute.

        Sinon, franchement on voit que tu as pris ton temps pour la faire et que tu as essayé de t'appliquer au mieux. Malgré l'histoire cliché du gamin avec le village qui se fait dévaster et d'un homme qui lui propose de vivre, j'ai trouvé ça assez bien. Pour une fois, j'ai l'impression que ton personnage est fait pour être CP9 et que la discretion et l'assassinat seront ton fort. N'oublie pas qu'un CP9 agit dans l'ombre et ne se dévoile jamais trop, et que seuls quelques personnes connaissent leur identité donc je t'invite à faire très très gaffe IRP si tu veux pas te faire powned aux récompenses ^^.

        Au niveau du test RP, c'est pas que j'ai été déçu mais juste un peu. Comparé au niveau de ta fiche, celui ci rabaisse un peu le truc. On voit que tu as pas été inspiré, pas la peine de le dire ^^. Vu que c'était un sujet libre et plus difficile à traité ( je suppose ) je te pénaliserais pas trop vu le reste.

        Donc, je tablerais sur du 500-600 Dorikis
        • https://www.onepiece-requiem.net/t109-greed#772
        • https://www.onepiece-requiem.net/t100-termine-satoshi-noriyaki
        Bonjour bonjour, alors premier commentaire de présentation (qui va aussi servir de up à ta présentation ^^)
        Niveau taille rien à redire, si ce n'est que le test rp est plus court que le reste (mais tu as bien précisé que le sujet ne t'avais pas trop inspiré donc bon...
        Le traditionnel relevé des fautes :
        "est en parfait harmonie"
        "Ses oreilles sont ordinaires, ni trop grande, ni trop petite, ni trop grosse, ni trop fine. Elles ont un juste milieu entre ces différentes catégories."
        "Le meurtre fut tellement une tâche quotidienne durant son enfance jusqu’à maintenant"
        "La sève qu’il émanait" (émaner de la sève ? ^^)
        "Hélas le bonheur fut encore de courtes durées"
        Bon, je n'ai pas tout relevé, c'était rapide. Ca montre bien en tout cas que tu n'en fais pas beaucoup, c'est très bien. Parfois tu loupes des formulations : tu te répètes ou rajoutes des adverbes pour rien... Mais dans l'ensemble c'est bien plus que satisfaisant.
        Sinon ce n'est pas trop mal, concernant le fond :
        -il aurait fallu plus décrire l'antagonisme d'apparence et de personnalité et ses origines. Je trouve que l'on ne sent pas très bien le déclic : ok le traumatisme mais comment ton ancienne vie refait-elle surface ?
        "celui qui ne tue jamais deux fois." : mouais...
        Donc je ne suis pas très très fan de la bio même si elle est assez bien construite et tenue.
        Le test rp est mieux réussi :
        attention tout de même à la ponctuation (Comme, soulagé de toutes peines qui le prenaient part de tous les côtés, l’Assassin pouvait fermer les yeux et partir dans ses utopies les plus profondes.)

        Sinon les problèmes sur le rp sont très secondaires, l'ambiance y est, le vocabulaire aussi...
        Bref, beaucoup de positif dans l'ensemble, je te donne ma voix qui compte double pour 650 dorikis !




          Juste une petite précision pour la sève qu'il émanait. C'était un style littéraire pour expliquer qu'il émanait une énergie.

          > sève, nom féminin
          Sens 1 Liquide qui circule dans les végétaux et les nourrit [Botanique]. Synonyme suc Anglais sap
          Sens 2 Energie, vigueur [Littéraire]. Synonyme énergie

          Voilà tout. En tout cas merci d'avoir pris le temps à tous les deux d'avoir lu ma présentation et de ce fait l'analyser ce qui m'a permis d'avoir des avis un peu sur ce que je faisais.

          Merci encore ^^
            Pas de soucis, je me coucherais moins bête ce soir.
            Pour moi la sève ça ne correspondait qu'au contenu de l'arbre ou éventuellement les divines larmes d'or du poète selon Théophile Gautier ^^.
              Content de t'avoir appris quelque chose. Encore merci pour ta voix.

              Itagaki Zabuza.
                Et voilà le tant attendu 3è commentaire.

                Je vais m'attacher à relever ce que Sato et GM n'ont pas forcément noté. Tout d'abord, un souci de style, tu enchaines constamment les phrases suivant la construction Sujet Verbe Complément. Particulièrement criant à la lecture de la description physique en entame. Donc, pense à alterner, cela t'évitera également certaines répétitions ( faire passer le sujet complément ... ). Car ouaip, il y a quelques répétitions, particulièrement dans l'histoire où il te manque quelques appellations différentes pour ne pas en revenir aux plus évidentes, concernant ton personnage.

                Un autre petit malaise, c'est Lei. On ressent mal la gravité, l'acharnement, l'insensibilité du personnage. Sans doute le mode 3è personne y est-il pour quelque chose, mais le narrateur pourrait en partager un peu plus sur cet individu singulier et mystérieux. Ce qui inciterait naturellement à fournir plus d'éléments sur Itagaki, la relation respect / haine qu'il entretient avec son sensei, et son adaptation à un mode de vie qui lui a été imposé.

                Cela aurait été bienvenu car la description psychologique est assez brouillonne; les éléments pas forcément bien ordonnés, résultat, on cerne mal ce concept de double-face qu'entretient ton personnage. Concernant la description psy encore, curieusement, certains passages y sont rigoureusement hachés en phrases courtes, mais le rendu est pas extra.

                Voilà, les points qui gênent donc. J'insisterai sur le fait que ton personnage reste malgré tout assez insaisissable, ses accès de sadisme, sa mélancolie, sa nostalgie qui suppose une certaine humanité, tout cet ensemble là reste un peu confus il me semble.

                Ceci dit, et comme il y a aussi de bons aspects, le texte reste agréable à lire, le test RP est bon. Le vocabulaire fourni suppose que tu as de bonnes notions à ce niveau, et tu t'exprimes de manière compréhensible, même si les idées véhiculées restent elles assez absconses.

                Voilà, je sais que j'avais dit 600 sur la CB, mais pour moi cela vaut plus 550 Dorikis. Sato semble du même avis, mais GM proposait sensiblement plus, donc suspense, l'admin qui te validera tranchera. Dans tous les cas de figure, ton accession au CP9 ne saurait tarder.
                  Arrivée de Toji-sama en renfort !
                  Pour avoir lu ta fiche et les commentaires de tous me confrères, je dois avouer être d'accord sur bon nombre de leurs remarques. Pour ce qui est de la validation elle même, on est pas encore à mon goût au niveau des 650. Mais comme 550 c'est encore dur et que je veux croire à ton potentiel comme les deux loustics du haut, j'coupe la poire en deux (et j'en vole une moitié) en validant à 600 !

                  Original n'est il pas ? ^^'

                  Jte mets tes couleurs.
                  Félicitation pour ta validation ! Bienvenue dans le monde du rp !

                  • https://www.onepiece-requiem.net/t154-fiche-de-toji
                  • https://www.onepiece-requiem.net/t115-marine-toji-arashibourei
                  Merci beaucoup de la validation et de croire en mon potentiel *-*

                  Au plaisir de te voir IG un jour Razz
                    Bien joué pour ta validation manque plus que je finisse mon histoire et en espérant d'être validé aprés toi Very Happy