Une vente qui tourne mal

Je resserrai les pan de mon long Trench-coat autour de moi, il descendais jusqu’au mollet et j'avais réussi à cacher je ne sais comment mes armes en dessous, j'attendais qu’un videur au cou de taureau avec un œil estropié non caché et une carrure de buffle,me fasse entrer dans une petite battisse où la marine n'était pas bienvenue.
Je portais un simple chemise (sans cravate, pas envie de me faire étrangler par mes vertement) et un pantalon noir.

Le cerbère m'évalua tandis que je faisais des grimaces pour avoir l'air méchant (pour lui on dirait que j'avais une crasse dans l’œil et que j’essayai de l'enlever sans les mains en que je mangeais un chewing-gum au gout poubelles et tripes de rat). Il ne se laissa pas impressionner et me fis entrer avec un petit sourire et un clin d’œil à son compère .

La salle n'était pas très propre,le sol était couvert d'immondice,l'air était enfumé et du sang recouvrait les murs. un bar sur lequel était posé des verres d'une hygiène douteuse et des bouteille au contenu sûrement illégal.Une quarantaine de gars se massait au premier rang, impatient de voir ce que le "boss" des lieux avait dégotté.

Je m’assis sur un des rare bancs encore libre, ma mission très simple espionner une vente aux enchère illégale et intervenir si des objets volé ou interdit sur le marché étaient mis en vente et y mettre fin ...définitivement, dans mas poche droite se trouvait un petit escargophone pour appeler les renforts si besoin.

Un homme opulent apparu sur l'estrade armé d’un lourd marteau se posa et casa sa lourde carcasse derrière son bureau e clama.

-Chers amis vous êtes venus nombreux pour assister à ma vente je vois même de nouvelles tête.aujourd'hui je vais vous faire rêver,...


Il partit dans un long discours très "laxatif",en utilisant des mots inventé dans son petit cerveau,j'en profitai pour e détailler.
Gros longs cheveux noir (gras )en frac les épaules couvertes de pellicules, barbe de trois jour et visage carré à croire qu'il faisait exprès de ressembler à une caricature de mafieux.
Enfin quand je crus que mes oreilles allaient vomir,le premier objets arriva : une épée sertie de diamant.

Les objets se suivaient, ils avaient l'air légaux, mais j'étais pas sûr puis vint un objet qui titilla ma curiosités:un livre sur les meitou. IL annonça que beaucoup de gens étaient mort pour l'acquérir.
c'était assez j'avais les preuves (et un bouquin intéressant).

Je me levai;dégainai Gostu sans que le moindre bruit ne se produise, sortit un flingue me levait,le pointai vers l'homme et tonnai.

-Vous êtes en états d’arrestation.

Le jeune combattant de la marine se méprenais en pensant que la bâtisse était seulement limité à la salle de vente. Bien à l'abri de ce que l'on pouvait voir depuis l'entrée, il y avait un couloir, menant droit à la réserve, là où tous les objets en vente étaient entreposés. Bien sur seuls les membres de l'équipe de vente avait normalement le droit d'y rentrer. La porte était en général gardée.

Mais ce jour là, il n'y avait personne.

Dans l'entrepôt, deux mafieux faisaient la ronde. Il ne se promenait qu'avec une petite troche. Par soucis de discrétion, et pour préserver la qualité de certaines peintures, l'entrepôt n'avait pas de fenètre, et on avait réduit le nombre de lumière à la quantité la plus minimale possible.

Cela ne dérangeait pas nos deux hommes, qui discutaient tranquillement sur leurs femmes et enfants. Après tout, si la marine s'en prenait à eux, leur patron n'aurait qu'à tirer quelques ficelles pour les tirer d'affaire. Don Carbopizza avait un accord avec lui, et Don Carbopizza avait des liens dans la marine. Et puis Tempiesta n'était pas un problème, il ne le serait pas tant qu'il n'aurait pas des véritables combattants dans sa troupe. Pour l'instant il n'avait que des retraités, des anciens criminels, et des petits combattants sans grande envergure. pourquoi aurait-on peur de ce genre d'homme.

Une lame se posa sur la gorge de l'homme de gauche, et fit un mouvement qui lui trancha net la gorge. La même lame s'enfonça l'instant d'après dans le coeur du deuxième homme, qui avait à peine eu le temps de faire un pas en arrière.

Les deux corps tombèrent casi-simultanément sur le sol. Il ne surent jamais à qui appartenait ce couteau cranté et ces bottes noires.

Il faut dire, dans la pénombre, l'homme était difficlement visible. Sa tenue tout en nuance de gris était parfaite pour se glisser dans un tel décor. Seul la ceinture de minutions qu'il avait attaché sur son torse pouvait indiquer où il était. Même son visage avait été peint de nuances de gris et de noir pour qu'aucune parcelle de peau ne puisse le trahir. Il avait les cheveux grisonnants.

Spoiler:

2013 essuya calmement son couteau en regardant autour de lui. La torche était en train de s'éteindre d'elle-même, il n'avait donc pas de soucis à se faire concernant le fait que quelqu'un puisse repérer les corps. Il n'y avait ni bruit ni mouvements dans l'entrepôt. On pouvait même entendre au loin les enchères faites sur les différents articles.

Il avait été envoyé par TnT Tempiesta pour ça : il devait récupérer les registres de la vente, et, si possible le plus d'objet de valeurs qu'il pouvait. Avec ça, il pourrait enrichir considérablement son patron, et surtout, il pourrait avoir accès à un très grand nombre de fournisseurs et de criminels qui travaillaient pour son frère. Plus ils seraient connus, plus il serait facile de les faire tomber.

Le vieil homme s'avança tranquillement tandis que la torche s'éteignait. Dans quelques minutes, l'ambiance de la salle des ventes allait changer...

Il se plaqua dans l'ombre du mur du couloir dès qu'il fut assez proche de la salle pour être vu. Son camouflage était assez travaillé pour qu'on ne le remarque pas d'ici. La vente en était à un petit livre sur les grandes lames. Beaucoup était morts pour l'obtenir. C'était le cas de 95% des objets en vente, même si bien sur, la plupart du temps, cela n'était pas un bon moyen pour faire monter leurs prix. Parmis tout ces objets, combien avaient été récupérés légalement, et non par vol, trafic corruption, ou meurtre. Deux, peut-être trois? Peu importait pour le moment, la priorité n'était pas de savoir comment, mais qui.

C'est alors que la voix du jeune homme se fit entendre. Il était courageux le gamin, de mettre en état d'arrestation comme ça une bande de malfrats dans leur propre territoire, et tout seul.

Par le reflet qu'il pouvait voir sur un miroir, portant le numéro de lot 21, deux gros bras avaient même déjà encadré le jeune marine. Le garçon allait devoir se battre s'il voulait avoir une chance.

Silencieusement, 2013 retira son fusil de chasse de son étui. Certes ce qu'il s'apprêtait à faire allait attirer l'attention de la marine sur Don Tempiesta, certes, il y avait peu de chances qu'il soit féliciter pour ses actes, mais ce gamins pouvait avoir son utilité dans l'opération. Il allait lui donner l'occasion d'avoir l'avantage sur les deux hommes beaucoup plus grands que lui.

Calmement, il pointa son arme sur le directeur des ventes qui attendait sagement que ses hommes neutralise le marine. Il expira. Il appuya sur la gachette.

La volée de plomb percuta le gros homme en plein torse. La poussée le propulsa sur le côté avec violence. La salle était bouche bée devant ce coup qu'ils n'avaient pas vu venir. Personne ne savait d'où venait le tir, personne ne s'attendait à ce que l'homme meurt de cette manière. Mêmes les gros bras qui encadraient Yamamoto était scié. C'était maintenant à lui de les mettre au tapis avant qu'ils ne se ressaisissent.

Pendant ce temps, le vieil homme bondit sur l'estrade. La lumière rendait inutile son camouflage, mais il ne comptait pas rester longtemps ici de toute façon.

D'une main il réunis et prit tous les livres qu'il voyait à sa portée, ce qui comprenait le registre de la vente ainsi que le livre sur les sabres. Il pointa son arme vers la foule de l'autre et tira une deuxième fois. La volée de plomb fit un véritable carnage, et un mouvement de panique s'éleva. Tout le moude courrait partout en hurlant. Le chasseur s'était assit derrière le bureau, hors de vut de tous. Il rangea dans sa ceinture ce qu'il venait de prendre, ouvrit son fusil et y mit deux autres cartouches.

Maintenant qu'il était là, il devait rejoindre son point de fuite. Mais il y avait toujours une inconnue : où en était le jeune marine?

Toute la foule se retourna vers moi,certains tentèrent de se lever mais en voyant mon arme ils se rassirent gentiment.L'homme sur l’estrade pointa vers moi un gros doigt boudiné et hurla.
deux gorille m'encadrèrent et m'attrapèrent les bras.

"BANG"l'

Ce bruit éclata et nous vîmes les gros projeté contre un palissade,le torse défoncé par un tir puissant.
Un homme surgit sur la scène armé d'une carabine, habillé comme un commando en en nuance de gris,il avais peint son visage aux cheveux grisonnant pour être comme invisible dans le noir.c'était surement un assassin, un tueur professionnel. Le genre de gars qui était payé 6 millions par mission et qui disparait sans bruit.

pendants quelques seconde,un silence de plomb recouvrit l'assistance, tous le monde était trop choqué pour agir. ensuite vint la peur des hurlement aigu et grave déchirèrent le silence,,certains s'évanouir.
Les autres coururent en tous sens à la recherche de sortie, leur cerveau paralysé par la peur ne réfléchissait plus et ils ne pensèrent pas une seconde à la porte principale.
Une odeur d'urine,de transpiration et de peur flottait dans l'air.
deux trois homme étaient resté assis et fixait bêtement le vieux tandis que d'autre hurlait des choses qui devaient avoir une quelconque importance pour eux,j'entendis même un "c'est moi qui ai volé les chocolats".
Les gens se battirent pour sortir par une porte vérrouillée sur le coté je vis même des hommes tombé.
Les gorilles relâchèrent un peu leur prise ne sachant pas si ils devaient décamper ou continuer à me tenir,je profita de leur hébétement.

Je fis une série de coups de coude à l'homme qui bloquait le bras tenant Gostu tandis que je donnais des coups de pied au genoux de l'autre.Le premier lacha prise et je lui tranchai la gorge,j'entendis un craquement et l'autre tomba à terre le genoux brisé, il sortit un revolver.De mon bras droit à présent libre, j'attrapai le couteau de lancer dans ma manche et le lançait.
Il s’enfonça dans sa gorge et il tomba avec un gargouillis.

j'avais pas quitté le vieux du regard,celui -ci avais balayé ce qui se trouvait sur la table dans un sac (dont mon livre).
"BANG"
l’assassin avait de nouveau tiré et fauché la vie de la moitié des gars de la salle,il se cacha derrière un bureau pour je ne sais quelle raison.j'avais une nouvelle mission capture un meurtrier (et acquérir un bouquin surement utile).

Mais ce nouveau coup de feu,empira terreur et les hurlement redoublèrent, je vis même deux trois verre éclater sur le bar.quelques gars engouffrement par une sortie sur l'estrade,un gars reveint en hurant que c'étaient les ténèbres et un autre hurla de terreur.
.Un homme qui avait l'air plus lucide que les autre leur montra la sortie principale et l se fit piétiner par les fuyards. Je me jetai sur le coté pour laisser passer la horde .mais cette porte avait été également verrouillée,les survivant se laissèrent tomber au sol en pleurant, ils étaient à bout.
Je les ignorais,je m'en occuperais plus tard.

La salle était jonchée de corps agonisant ou mort, c'était horrible, mais j'étais adjugeant chef et il fallait que je n’aie pas peur, mais je ne pus m’empêcher de vomir.
je pensais à une citation célèbre "tous ce qui bouge pas est mort et tous ce qui bouge est proche de le devenir""les oiseaux passent et les gens meurent".
Un tel nombre de mort ne serait pas vu comme tragique mais nié par la marine,ou tourné pour apeurer encore plus la population.

Je rengainai Gostu,sortis mon poignard, mon flingue et repris mon couteau de lancer.J’avançais prudemment,son fusil avais ouvert en un coup le buffet du boss et tué une vingtaine de personnes. C'était pas de la gnognotte.

arrivé devant l’estrade je me retrouvai en une roulade le dos contre le bureau derrière lequel 2013 se cachait et d'une poussée je le fis tomber sur lui .le bureau éclata sur le sol dans un grand fracas

Les hurlement couvraient le clac caréctéristique que 2013 aurait dut entendre en refermant son arme. Il avait été un criminel, un révolutionnaire, et un chasseur de prime. Les hurlements ne l'émouvaient plus depuis des années. Il n'attendais qu'une chose, il devait voir la réaction du gamin qu'il avait vu.

Il ferma les yeux et expira.

Le petit allait forcémentessayer de l'abattre, d'une manière ou d'une autre. Après tout, c'était ce que tous les gentils faisaient aux méchants. Le pauvre, il ignorait que le chasseur d'informations de Don Tempiesta était un chasseur né. S'il chargeait tête baissé, comme on pouvait l'attendre de la part de la majorité des combattants de la marine, il serait condamné.

Le chasseur inspira tranquillement. La salle c'était emplit d'une odeur d'urine, de sueur et de poudre. La panique allait croissante. Conventionnellement les mafieux fermaient les portes pour leurs ventes. Voilà toute la population enfermée avec un tueur. Ils avaient peur. Ils avaient l'impression de voir leur mort approcher. Ils n'étaient que du bétails, des êtres incapables de se maitriser face à l'adversité... Ils ne méritaient même pas son attention.

Derrière lui, le bureay commença à vaciller.

Le gamin était là.

Une roulade sur le côté lui permis de ne pas se prendre le meuble sur la tête. Le fracas qui suivit lui indiqua qu'il avait réagit juste assez tôt. Quelques secondes de plus et il était à la merci du jeune homme. Il bondit pour rejoindre le couloir d'où il avait surgit un peu plus tôt. Plusieurs balles frappèrent autour de lui. Tous les hommes armés de la salle de vente le prenait pour cible. Il serra les dents.

Plusieurs balles l'avaient touché.

Un bon le ramena dans l'ombre du couloir.

Il était temps de disparaitre...

Dans les ténèbres, sa tenue et son camouflage le transformèrent en partie du décor. Si le marine et les autres voulaient l'avoir, ils allaient devoir le suivre jusqu'à l'entrepot. S'ils voulaient l'avoir, ils allaient devoir le battre selon ses propres règles. Il ne trainait pas dans sa course. Il entendait les cris et les bruits de pas. Il était suivit. Dans l'urgence, mafieux et marine avaient probablement oublié qu'ils nétaient pas dans le même camp.

Il allait faire monter le chaos d'un cran en leur rappelant.

Le mur qu'il frolait de son coude depuis le début de sa course disparu. Il avait atteint l'entrepôt. Le tueur sélança au travers des rayonnayges du bâtiment. Il se dissimula au milieu des ombres. Les hommes qui voulaient l'avoir étaient déjà arrivés.

Ils allumèrent des torches et des lanterne pour réussir à voir leur ennemis. 2013 se déplaça le plus doucement possible pour s'enfoncer davantage dans les ténèbres.

Il respira doucement pour reprendre son souffle sans se faire entendre.

Si le gamin n'était pas là, il allait arrivé, et il allait devoir traquer le messager de Tempiesta au milieu d'un entrepôt bourré d'ennemis. Deux choix se présenterait au jeune adjudant : soit il essayait d'être aussi discret que sa cible, soit il affrontait un par un tous les mafieux de la zone.

Dans un cas comme dans l'autre, il allait devoir la jouer finement. Maintenant que le chasseur était sur son terrain, il ne comptait pas laisser la moindre chance à ses proies.

Une lumière s'approcha de la position du commando. Un homme en costume couvert de cicatrice approchait de lui. 2013 leva son fusil et le pointa sur l'homme. Bientôt, les premiers sangs seraient pour lui. Après ça, il pourra tester un peu le marine. Lui faire comprendre que s'il voulait avoir une carrière correct, il n'aurait qu'un seul choix : apprendre à composer avec la mafia, et ne jamais aller contre sa volonté.

Le tuer à gage esquiva le bureau et se retrouva sous une grêle de balle provenant des mafieux.Il se prit quelques balles et sauta dans ce qui smblait ètre l’entrepôt bientôt suivit par une horde de mafieux voulant lui faire la peau.
J'attendis que les hordes écumantes soient passé et je réfléchis.
La salle dans laquelle je me trouvais était fermée, donc il y avait une entrée dans l’entrepôt.
Je me dirigeai vers la porte, elle était blindé et mes explosifs n'étaient pas assez puissant pour la faire sauter, il fallait rentrer dans l'ombre.

Je ne me munis pas de torche et rentrait dans l’entrepôt.
Il n'était pas éclairé, déguisé en zèbre il était invisible.Je me collai à un mur et attendit que mes yeux s'habituent à la pénombre.

"BANG"

Nouveau coups de feu, nouveau mort que j'estimai loin devant vers la droite .J’avançai depuis 5 minutes déjà que j'entendis une rumeur dans mon dos, une lumière venant de mon dos me révella la présence d'un groupe.Je jetai un regard en arrière : un groupe de 5 gars, hagard armé de sabre,

-On a plus de balle mais on vas te faire la peau marin.

-je m'occupe pas du menu fretin

Jenfocai deux doigts dans une de mes sacoches,en sortit une bombe l'alluma et l'envoya avec une pichenette derrière moi.l'explosion éclaira la salle quelques secondes durant lequel je photographiai le décor et vis quelques choses atterri devant moi avec un bruit mou en recolorant le parquet.
Les rescapé me foncèrent dessus, je tranchai la gorge du premier,enfonçai mon poignard dans le ventre du deuxième et de l'autre main éclatait le crane du dernier contre le sol,quintuple kill fais mieux
l’assassin.
Je fus "attaqué" une seconde fois, je me retournai une allumette (éteinte) dans le bec et un bombe entre chaque doigts (c'es à dire 8 )je grattai l’allumette sur ma brassière et allumai les bombes. le groupe eu "moins de chance" que le précédent, les bombes bien déployées éliminèrent tous le groupe.

La salle n'était qu'un amas de conteneurs, d'objets de toutes sortes (dont des morceaux humains).
Pour se déplacer il valait mieux longer les murs, ou connaitre parfaitement la postions des objets si je ne voulais pas m'empaler.
J'évitai les lumières pour ne plus avoir de confrontation.

On longeant les mur je tombai nez à nez avec ... un mannequin à roulette très réaliste, cela me donna une idée si je retrouvai les zèbre.Il roulait sans bruit devant moi et je distinguai un macabé dans la lueur d'une torche mourante.
Je retirai mon trench-coat et l'enfilai sur les mannequin attachai une corde au niveau de la ceinture et le cachait derrière un mur et mis une torche dans sa main amovible du cadavre on ne voyait rien.
Si l'hitman n'avait pas bougé il étais dans le coin .
J’avançai sans bruit et quand je n’eus plus de longueur de corde(environ 10 mètres plus loin)je dégainai Gostu qui sortit de son fourreau sans le moindre bruit, comme je l'avais forgé je tirai sur la corde et le mannequin roula doucement vers moi .

Ma stratégie était très simple le gars tirait sur le faux moi et je lui tombai dessus (simple non).

Une multitude d'explosions. Des cris. Le gamin voulait montrer qu'il pouvait jouer dans la cour des grands. Cependant il n'était encore un bleu. En provoquant des explosions dans un milieu si fermé et encombré, il n'avait qu'acroitre le chaos et multiplier les possibilités de se cacher.

2013 profita d'ailleurs du bruit pour s'éloigner en courant de sa position. Il faudrait être fou pour rester immobile après s'être trahit en tirant au fusil.

Encore une fois, il se glissa dans les ombres. Encore une fois, il disparaitrait aux yeux d'autrui. Le marine arriverait sur place beaucoup trop tard. Il prit même la peine de ranger son fusil. Un peu plus il entendait des bruits de pas se voulant le plus discret possible. Dans la pénombre, son ouï était exacerbée, et il pouvait se rendre compte que son opposant s'approchait de lui. Il quitta la sécurité du mur et s'éloigna vers une étagère renversée qu'il avait entraperçu au centre de la pièce avec le flash des explosions.

Une fois arrivé, il s'accroupit et ne quitta pas des yeux l'ombre du jeune garçon qui s'approchait de sa position d'origine. Le marine devait sans doute supposé qu'il n'avait pas bougé. C'était tant mieux, ça lui ferait l'occasion d'être un peu plus libre de ses mouvements. Il posa une main au sol.

Il sentit les formes caractéristiques d'engrenages. Il y avait eu une horloge un peu avant que l'étagère se renverse. Horloge qui s'était éclatée dans sa chute. Le patron avait besoin de ces mécanismes. Il l'avait clairement spécifié à tous les membres de la pègre.

2013 ramassa tout ce qu'il put d'un seul mouvement, et les plaça dans son sac. Il n'y en avait qu'une grosse poignée, mais si on l'additionnait aux ressources qu'apporteraient les autres, ça commencerait à faire un peu plus. Et le patron se montrait généreux avec ceux qui étaient efficaces. Intransigeant avec ses ennemis, loyal envers ses amis, c'était là ce qui caractérisait le mieux le jeune parrain. Il était original dans son genre, mais cela faisait ses preuves. Il pourrait renverser les pouvoirs en place.

L'ombre du marine bougea encore.

Il était resté immobile trop longtemps, il fallait esquiver.

Le tueur camoufler s'enfonça davantage encore dans la pénombre. Les lampes des mafieux qui le cherchait renvoyaient juste assez de lumière pour qu'il s'oriente correctement. Droite, Gauche, acroupis, allongé, debout. Il suivait un trajet parfaitement aléatoire qui empéchait quiconque de venir le piéger. Il était un chasseur, un chasseur qui jouait avec ses proies. Tant qu'ils ne savaient pas où il étaient, il seraient condamnés à mourir, et quand ils aprendraient sa position, cela serait trop tard pour eux.

Mais avant les mafieux, il lui fallait le jeune sous-officier de la marine.

Il posa la main dans son sac et en ressortit un des livres qu'il avait prit plus tôt. Il ne le savait pas vu qu'il avait fait ça en aveugle, mais il s'agissait du livre sur les sabres qui avait fait tiquer le garçon.

Il balança l'objet juste à la limite de son champs de vision, dégaina son fusil et s'allongea. Dans la pénombre ambiante, son camouflage le dissimulait parfaitement. Il était impossible à voir pour quelqu'un qui ne savait pas où il était. Il dégaina à nouveau son fusil.

Il ne restait plus qu'attendre. Bientôt la cible tomberait dans son piège. Le chasseur allait frapper, et le cahssé n'aurait d'autre choix que se rendre...

J'avais bien calculé,avec cet angle, je pouvais tirer le manequi sans qu'il soit "sur la même ligne que moi" donc j’avais plus ou moins (pas +-) de chanche de le rencontrer si il était du coté droit ou gauche de la torche... et si il s'était déplace, il savait allumé sans problème plein de gars et se cacher parfaitement,c'est un pro, il ne ferait donc pas l'erreur de se trouver au même endroits.N'importe qui pouvait déduire en voyant le macabé qu'il s'était pris le tir de face.

Je me retrouvai bloqué par une étagère, en la contournant par la droite, Roger (fallait bien que je trouve un nom au mannequin non ?)se la prendrait par la gauche je me rapprochai de la torche mais il ne se la prenait pas ou bien je changeai de chemin et je risquai que le zebré tombe pas dans mon piège.
Je me retrouvai dans un entrepôt de la pègre, si je fouillai un peu cette étagère je trouverai peut ètre un truc et ca me laissait un peu le temps de réfléchir et Bryan (je trouvai que Roger c'était moche) attendrait un peu mais avant ca faudrait que le gris se concentre autre part .

Je rampai vers Bryan,dans son dos se lançai une bombe le plus loin possible (dans la direction où je pensais que se trouvait 2013), l’illusion était parfaite, le gars croirait que Bryan avait lancé la bombe.
En rampant ver l'étagère j'évaluai la distance entre la torche et moi je dirai une dizaine de mètre (oui +-)
si je prenais en compte un cercle de 20 mètre autour de la torche et que la sortie se trouvait a l'opposée de l'entrée se trouvant dans mon dos, théoriquement un humain normal se trouverait dans le demi cercle après la torche, mais comme il agissais d'un pro qui voulait m'envoyer bouffer les pâquerettes par la racine il resterait en vue de la torche qui servirait d’appât, il fallait que je trouve un bâton pour que Bryan passe devant.

Je craquai une allumette et inspectait l'étagère en cachant la flamme avec ma main pour ne laisser passer qu’un peu de lumière entre mes doigt en fait juste assez pour distinguer les objets (et me réchauffer la main).Je trouvai une boite de scalpels (ou une boite de couteau de lancé customisé avec mauvais goût) et une bandoulière a couteau de lancer,?)( je le sous-pesai et regardai sa courbe quoi que se soit ça se lançait .J'en portai a présent une vingtaine sur moi de quoi rivaliser avec sa pétoire.

Je tirai Bryan jusque moi, je fis en sorte que la lumière ne me révèle pas, avec un couteau se dévissai un des poteaux de l'étagère, il fessait 3 mètre a tous casser.d'une main je retints l'étagère et de l'autre j'accrochai avec un nœud à l'arrache ( le genre de truc ou t'enmelle tous t'espère que ca tienne et tu passe 3 heures a le défaire.)l'étagère s'écrasa devant moi et je poussais Bryan a l'aide du baton attaché dans son dos.

J'entendis le bruit d'un livre devant moi et je distinguai une forme sombre sur le sol carré de la taille d'un bouquin je poussai le mannequin avec force pour qu'il roule et passe devant le bouquin et fis le tour pour arriver (je crois près de l'endroit d'ou venait le bouquin et me cachai derrière une petite armoire
.Le zebré ferat bang sur le mannequin et je ferai slash sur 2013.

Le piège était vieux comme le monde, la ruse évidente.

Si de loin il était passablement compliqué de faire la différence entre un mannequin et un humain, en dessous d'une certaine distance, ça devenait d'une simplicité déconcertante, même dans le noir. Pour se déplacer un humain avait besoin de bouger son corps, et pas seulement ses jambes, un mannequin sur roulettes, non. Dans le noir, les perceptions des mouvements étaient exacerbés, il était donc très simple de repérer un piège aussi grossier. Sans parler du son caractéristique des roulettes.

Le gamin aurait pout avoir un homme moins expérimenté que 2013, mais le chasseur avait passé tellement de temps à pratiquer ce genre d'activités qu'il savait faire face à la plupart des pièges de ce style qu'on pourrait lui tendre. Le petit était malin, mais pas encore assez. Peut être qu'avec le temps il deviendrait une menace réelle pour lui.

Mais avant tout, il fallait le neutraliser.

Si le mannequin était devant, c'était que forcément, il voulait le prendre à l'opposer. Fort d'années d'expériences comme commando chasseur de prime et révolutionnaires, l'agent de la mafia se mit sur le dos et pointa son arme dans la direction supposée de son adversaire. Il était dans une position défensive, il avait l'avantage. Il fallait en profiter.

Il n'arrivait pas à voir son ennemis. La possibilité que celui-ci soit caché n'était pas inenvisageable. Dans tous les cas, il ne pourrait le voir si celui-ci ne bougeait pas... Mais il avait un autre atout dans son sac. Bien sur cela signifierait abandonné les informations qu'il venait de récupérer, mais que serait la perte d'une ou deux informations pour un homme aussi bien informé que Don Tempiesta?

Il attrapa doucement le sac qu'il avait sur lui et l'enleva. Tant qu'il ne faisait que des mouvements discrets, il ne courait aucun risque, il était camouflé, et son ennemi ne savait pas où il était. La preuve : il vivait.

Il jeta le sac sur la torche la plus proche dont il devinait la présence.

Il en profita pour se redresser et courire dans les ombres. Un fracas retentit, et la lumière se fit très vite de plus en plus intense.

Le sac et les livres qu'il y avait dedans commençaient à s'enflammer!

Il apperçu ensuite divers projectiles qui attinrent les mur et les étagères autour de lui. Dans l'ombre, il était difficile à cibler. Heureusement d'ailleurs, car s'il ne savait pas si c'était des mafieux ou le marine qui lui tirait dessus, il n'était pas assez idiot pour savoir ce qui lui arriverait si l'un des coups le touchait.

Les flammes se répendaient vite dans l'entrepot, les livres, parchemins et autres produits inflammable s'enflammant à totue vitesse.

Le marine allait devoir se concentrer sur le fait de sauver le contenu de l'entrepôt plutôt que sur la poursuite s'il ne voulait pas avoir de gros ennuis avec ses supérieurs. Après tout, vu son maquillage et sa tenu, personne ne pourrait identifier l'agent de Tempiesta, à quoi bon le poursuivre?

Il ouvrit d'un coup la porte de l'entrepot en flamme et s'échappa.

Il avait certes échouer dans sa chasse et dans son attaque, mais il avait récupérer quelque chose de bien plus précieux que toutes les informations du monde. Il avait trouver un combattant qui pourrait lui tenir tête. Dans quelques années, il pourrait peut être rencontrer la mort sur le champ d'honneur après un véritable duel.

Renforce toi petit... Aprends à maîtriser tes arts. Hais moi pour avoir détruit une bonne partie de ce qui aurait put te rendre célèbre. Quand nous nous retrouverons, seule la mort de l'un de nous deux mettra fin à notre combat.

C'est sur ces pensées que disparu 2013, le chasseur d'information de Don Tempiesta

30 secondes...rien...30 seconde que je suis derrière une étagère,que le mannequin ne bouge plus et que le rayé ne tire pas...40 seconde (peut-être que quelqu’un a écrit son nom dans un cahier....houla je m'égare).
Loin derrière moi j’entends une rumeurs,des mafieux approchent...50 secondes nous sommes tous les deux tapis sns bruit à attendre une erreur de l'autre,un professionnel ayant surement plus d'une centaines de missions à son actifs passé maitre dans l'infiltration,assassinat,disparition, vu son niveau sa ne m’étonnerait pas ...et moi .

Soudain,je discerne une forme qui effectue une trajectoire en cloche vers...une torche,le sac s'enflamma et éclaira les environs.je vis l'homme sortir de sa cachette et j'en profitai pour sauvegarder son image dans mon esprit.Un homme la cinquantaine,visage teinté de gris, pas vraiment de trait particulier.avec ce que j'avais vu et ce que je revoyais je pouvais reproduire un portrait robot plus ou moins ressemblant.des tirs des gars que j'avais entendu approcher ratèrent le vieil homme.Si je voulais pas me faire allumer fallait que je m'en occupe je lançai mes couteaux qui atteignirent leur cible (enfin je crois j'ai entendus deux blllrrge, un harg et un ouch ).

Le coin commençait à flamber, hitman avait disparu je ne distinguai qu'un triangle de lumière naturelle là où j'estimai la sortie, je m"élançai, je reçus une balle dans l'épaule, je rengainai mon sabre et sortis mon flingue,je tirai à l'aveuglette, le rangeai attrapai de ma main valide le livre qui m'intéressait (quand un entrepôt est remplis de flamme on voit mieux),attrapai le sac mais usuel la sangle vient il était trop consumé.Arrachai mon trench-coat du mannequin( c'est une bonne veste qui m'as couté cher)et sortis du bâtiment en flamme à peine brulé.

2013 avait disparu, ça servait à rien de le chercher je le retrouverai jamais...du moins pour le moment.

-j'te retrouverai mon vieux, et on fêtera nos retrouvailles par la mort d'un de nous deux,tu m'as fais comprendre que je manquai d'expérience, je veux m'entrainer devenir célèbre... et te vaincrai

J'attrapai mon escargophone et appelai le qg du coin.

-allo ...allo tu marche comment le visqueux1,2 1,2 frite, takoyaki vous m'entendez ici l'adjugeant en chef kogaku...vous m'entendez les planqués..

-5 sur 5 veuillez ne pas nous appelez pour nous insulter quel est vrotre situation ?
-envoyez moi ce que je demande et j'expliquerai, primo il me faut des pompiers, des marins, des docs, les planq...bureaucrates s'occupant des avis de recherche,un gars des portraits robots, des croquemort et des légiste

-bien votre rapport si'l vous plait.

-j'avais pour mission de m'occuper d'une vente aux enchère mafieuse au moment où j'allai intervenir et où j'avais assez de preuves pour agir, un homme a fais irruption dans la salle et a descendu beaucoup de monde avant de s'enfuir avec des documents,je l'ai poursuivi dans les entrepôts,il à détruits le sac contenant ces documents à l'aide d'une torche ce qui à provoqué un incendie dans le bâtiment.ash...et de la pommade contre les brûlures

Les renforts étaient arrivé et avait réussi tant bien que mal à contenir la foule et éteindre le feux, il y avait eu un quarantaine de mort et une soixantaine de blessé.La mission avait été classé réussie un avis de recherche fus lancé sur l'homme que j'avais vus mais nous ne disposions que d'un dessin.

J'étais couché sur le lit de l'infirmerie mes blessures était plus grave que je ne imaginais.j'avais feuilleté le livre qui était codé il éait divisé en plusieurs parties qui avaient chacune un code différent que se soit dans l'écriture que dans la mise en page, je reconnu quelques symbles que l'on retrouvaits souvent dans les livres de forges, je m'en occuperai plus tard.