Galowyr : 500 dokiris
La vie d’un homme est faite de rencontre. C’est du moins ce que les gens racontent. Il est vrai que la vie de Galowyr fut marquée par plusieurs rencontres. La première celle avec le capitaine Dyrian qui marqua un tournant majeure dans sa vie ce fut pour lui le passage de la vie d’enfant des rues à celle de pirate. Il y eu aussi ce jour à Luvneel où il rencontra Drogo, puis suivirent tous les autres Bloody Sorrrow et un paquet d’autres personnes. Ces rencontres qui jalonnèrent ses aventures de pirates firent de lui l’homme qui l’est aujourd’hui et il est toujours prêt à en raconter quelques une. Mais il y en a deux qu’il a plus de mal à conter, la rencontre avec son père car il ne supporte pas d’expliquer les origines de sa cicatrice et de sa main en moins et une autre encore pire … Une rencontre qui marqua beaucoup le pirate mais surtout l’image qu’il avait des femmes.
Il venait d’avoir vingt ans même si il n’en savait rien. Soit deux ans avant qu'il ne rencontre Drogo. A cette époque il menait sa petite vie de malfrat bien tranquillement cagnant sa vie en réalisant un paquet de petits boulots plus ou moins légaux. Depuis plusieurs semaines il bossait pour une petite frappe du banditisme sur une île dont le nom ne vous dira rien sur North Blue. Son boulot des plus simples consistait à s'assurer que les habitants de la bourgade payent bien leur dette envers son patron, ce contrôle bien entendu n'était que la partie la moins intéressante du travail puisqu'il consistait aussi à persuader les gens de payer. Souvent la vue de Galowyr et de ses multiples mutilations suffisait à faire cracher les berrys, mais comme se plaisait à dire le balafré dans son métier il y avait toujours des clients récalcitrants. Dans ces cas-là il fallait souvent se montrait persuasifs, on pouvait dégainer son sabre, casser un bras ou les phalanges, il n'y avait pas vraiment de règles l'important était de montrer qu'en plus d'être un larbin on était un larbin violent et cruel. Le bandit avait cependant refusé de s'occuper du quartier pauvre n'oubliant pas d'où il venait, puis il préférait s'occuper des riches s'était plus gratifiant et on remarquait moins lorsque quelques millions de berry disparaissaient. Après tout il ne faisait pas ça par loyauté envers le « chef de famille » mais pour se remplir les poches, et ce n'était pas la bande de tocard qui lui servait de collègue qui viendrait l'emmerder. Une vie qui n'était pas des plus gratifiantes d'un point de vue personnel mais qui assurait un revenu des plus corrects, il ne demandait rien de plus.
Après une journée de boulot comme les autres, il était rentré au repaire pour rapporter la récolte du jour. Les marchands du port venaient en effet de payer leur taxe du mois, et ceux afin d’éviter qu’il arrive le moindre accident à leur précieux navire, ça brule vite un navire. Le repaire n’avait strictement rien de particuliers, une simple maison de pierre et de bois, le genre de bâtisse qui passait totalement inaperçu pour le commun des mortels. Le toit couvert de vieilles tuiles de terre semblait vouloir s’écraser et les larges fenêtres qui perçaient les murs étaient devenues opaques tellement la poussière s’était accumulée personne n’aurait jamais pu deviner que c’était au sous-sol de la maison que se réunissait les quelques bandits qui régnaient sur l’île. Le partage s’était fait comme à l’habitué. Un cinquième de la somme allait au commandent du poste de la Marine locale afin de s’assurer de son total soutien à «l'honorable société » pour laquelle le balafré travaillait. Le reste allait au parrain d’opérette qui avait eu de la chance de s’arroger les services d’hommes comme Galowyr. Ce dernier recevait alors les quelques millions de berrys de son salaire habituel.
Ne pouvant supporter ses collègues, il ne restait jamais longtemps au repaire. Il récupérait son fric et se tirait dès que les billets étaient dans ses mains. Sortit du repaire, il se demanda ce qu’il pourrait bien faire de son salaire. Se rappelant ce qu’on lui avait raconté à propos de l’effet positif du tabac sur les capacités de réflexions, il s’alluma un de ces cigares qu’il avait acheté avec son dernier salaire. Tout en fumant, il se promenait dans les rues. Toutes les maisons se ressemblaient, la nuit commençait à tomber et tout le monde se précipitait chez lui, si bien que les rues se vidaient peu à peu. Bon où pouvait-il aller ? Ah mais bien sûr, il fallait déjà qu’il boive un coup. C’était bien ça boire, ça lui faisait penser à rien surtout pas à Dyrian. Mais où aller ? Bah il n’y avait pas trente-six endroits où picoler sur l’île après tout, et puis le moins cher restait l’auberge de la guerrière bedonnante. Il s’était toujours demandé d’où pouvait venir un tel nom. Il avait deux hypothèse soit ça venait de l’embonpoint des serveuses où alors c’était le fantasme du tenancier de se faire taper dessus par une gonzesse ventripotente. Sa préférée restait la deuxième. Mais alors qu’il était perdu dans ses réflexions, on lui percuta l’épaule faisant tomber son cigare par terre.
Non mais regarde où tu marches connard.
Le terme juste eu plutôt été connasse, en effet c’était une femme qui l’avait bousculé. Et pas une des plus moches en plus. En quelques fractions de secondes il la reluqua de la tête aux pieds. Elle avait l'air du même âge que lui même si il avait toujours été mauvais à ce jeu là. Ces cheveux auburn étaient tirés en arrière révélant un front aux proportions parfaites. Ces yeux étaient d’une couleur comme il n’en avait jamais vu, un jaune doré donnant à son regard insolant un air unique. Pour une femme elle était plutôt grande, même si elle ne dépassait pas le balafré en taille. Elle portait une longue robe verte dotée d’un décoté provoquant dans lequel les yeux du bandit se perdirent un instant. Elle était bien roulée, la donzelle. Un long manteau noir au col en fourrure était posé sur ses épaules, lui donnant un air de capitaine pirate. Toutefois il y avait plusieurs taches parmi ce tableau jolie jeune femme. Une cicatrice traversait son visage horizontalement qui sans la rentre laide, rendait son physique moins agréable et surtout bien plus étrange. Sa main gauche comme celle de Galowyr avait été remplacée par un crochet. Mais celui-ci ne ressemblait en rien au vieux bout de fer qui remplaçait la main du balafré. Il était bien plus massif et surtout en or. Elle devait être riche la nénette. Mais ce qui choqua le plus, c’est ce qui était dans la bouche de celle qui l’avait bousculé. Un cigare. Non mais d’où qu’elle se permettait de faire tomber le sien et de fumer devant lui avec cette air supérieur. Dans le milieu où il vivait, les femmes se devaient d’être discrètes. Le reste de sa pensée sur la gente féminine était plus personnel. Elles devaient la boucler et faire se qu’on leur disait parce que de toute façon les femmes sont des faibles. Et il ne respectait que la force. Ce machisme, provenait du fait que les seules femmes que Galowyr avait rencontré depuis Carole le médecin qui l’avait soigné n’avaient été que des femmes de petites vertus. Elle l’avait foutu en rogne, et il allait la remettre à sa place, c’était son boulot de faire peur au gens après tout.
Fait gaffe à qui tu percutes la gonzesse. Je déteste allonger les plus faibles mais ça ne posera aucun problème de m’occuper de ton cas, alors tu vas t’excuser, vite avant que je perde patience et que je te ramène chez mon boss pour distraire sa soirée.
La vie d’un homme est faite de rencontre. C’est du moins ce que les gens racontent. Il est vrai que la vie de Galowyr fut marquée par plusieurs rencontres. La première celle avec le capitaine Dyrian qui marqua un tournant majeure dans sa vie ce fut pour lui le passage de la vie d’enfant des rues à celle de pirate. Il y eu aussi ce jour à Luvneel où il rencontra Drogo, puis suivirent tous les autres Bloody Sorrrow et un paquet d’autres personnes. Ces rencontres qui jalonnèrent ses aventures de pirates firent de lui l’homme qui l’est aujourd’hui et il est toujours prêt à en raconter quelques une. Mais il y en a deux qu’il a plus de mal à conter, la rencontre avec son père car il ne supporte pas d’expliquer les origines de sa cicatrice et de sa main en moins et une autre encore pire … Une rencontre qui marqua beaucoup le pirate mais surtout l’image qu’il avait des femmes.
Il venait d’avoir vingt ans même si il n’en savait rien. Soit deux ans avant qu'il ne rencontre Drogo. A cette époque il menait sa petite vie de malfrat bien tranquillement cagnant sa vie en réalisant un paquet de petits boulots plus ou moins légaux. Depuis plusieurs semaines il bossait pour une petite frappe du banditisme sur une île dont le nom ne vous dira rien sur North Blue. Son boulot des plus simples consistait à s'assurer que les habitants de la bourgade payent bien leur dette envers son patron, ce contrôle bien entendu n'était que la partie la moins intéressante du travail puisqu'il consistait aussi à persuader les gens de payer. Souvent la vue de Galowyr et de ses multiples mutilations suffisait à faire cracher les berrys, mais comme se plaisait à dire le balafré dans son métier il y avait toujours des clients récalcitrants. Dans ces cas-là il fallait souvent se montrait persuasifs, on pouvait dégainer son sabre, casser un bras ou les phalanges, il n'y avait pas vraiment de règles l'important était de montrer qu'en plus d'être un larbin on était un larbin violent et cruel. Le bandit avait cependant refusé de s'occuper du quartier pauvre n'oubliant pas d'où il venait, puis il préférait s'occuper des riches s'était plus gratifiant et on remarquait moins lorsque quelques millions de berry disparaissaient. Après tout il ne faisait pas ça par loyauté envers le « chef de famille » mais pour se remplir les poches, et ce n'était pas la bande de tocard qui lui servait de collègue qui viendrait l'emmerder. Une vie qui n'était pas des plus gratifiantes d'un point de vue personnel mais qui assurait un revenu des plus corrects, il ne demandait rien de plus.
Après une journée de boulot comme les autres, il était rentré au repaire pour rapporter la récolte du jour. Les marchands du port venaient en effet de payer leur taxe du mois, et ceux afin d’éviter qu’il arrive le moindre accident à leur précieux navire, ça brule vite un navire. Le repaire n’avait strictement rien de particuliers, une simple maison de pierre et de bois, le genre de bâtisse qui passait totalement inaperçu pour le commun des mortels. Le toit couvert de vieilles tuiles de terre semblait vouloir s’écraser et les larges fenêtres qui perçaient les murs étaient devenues opaques tellement la poussière s’était accumulée personne n’aurait jamais pu deviner que c’était au sous-sol de la maison que se réunissait les quelques bandits qui régnaient sur l’île. Le partage s’était fait comme à l’habitué. Un cinquième de la somme allait au commandent du poste de la Marine locale afin de s’assurer de son total soutien à «l'honorable société » pour laquelle le balafré travaillait. Le reste allait au parrain d’opérette qui avait eu de la chance de s’arroger les services d’hommes comme Galowyr. Ce dernier recevait alors les quelques millions de berrys de son salaire habituel.
Ne pouvant supporter ses collègues, il ne restait jamais longtemps au repaire. Il récupérait son fric et se tirait dès que les billets étaient dans ses mains. Sortit du repaire, il se demanda ce qu’il pourrait bien faire de son salaire. Se rappelant ce qu’on lui avait raconté à propos de l’effet positif du tabac sur les capacités de réflexions, il s’alluma un de ces cigares qu’il avait acheté avec son dernier salaire. Tout en fumant, il se promenait dans les rues. Toutes les maisons se ressemblaient, la nuit commençait à tomber et tout le monde se précipitait chez lui, si bien que les rues se vidaient peu à peu. Bon où pouvait-il aller ? Ah mais bien sûr, il fallait déjà qu’il boive un coup. C’était bien ça boire, ça lui faisait penser à rien surtout pas à Dyrian. Mais où aller ? Bah il n’y avait pas trente-six endroits où picoler sur l’île après tout, et puis le moins cher restait l’auberge de la guerrière bedonnante. Il s’était toujours demandé d’où pouvait venir un tel nom. Il avait deux hypothèse soit ça venait de l’embonpoint des serveuses où alors c’était le fantasme du tenancier de se faire taper dessus par une gonzesse ventripotente. Sa préférée restait la deuxième. Mais alors qu’il était perdu dans ses réflexions, on lui percuta l’épaule faisant tomber son cigare par terre.
Non mais regarde où tu marches connard.
Le terme juste eu plutôt été connasse, en effet c’était une femme qui l’avait bousculé. Et pas une des plus moches en plus. En quelques fractions de secondes il la reluqua de la tête aux pieds. Elle avait l'air du même âge que lui même si il avait toujours été mauvais à ce jeu là. Ces cheveux auburn étaient tirés en arrière révélant un front aux proportions parfaites. Ces yeux étaient d’une couleur comme il n’en avait jamais vu, un jaune doré donnant à son regard insolant un air unique. Pour une femme elle était plutôt grande, même si elle ne dépassait pas le balafré en taille. Elle portait une longue robe verte dotée d’un décoté provoquant dans lequel les yeux du bandit se perdirent un instant. Elle était bien roulée, la donzelle. Un long manteau noir au col en fourrure était posé sur ses épaules, lui donnant un air de capitaine pirate. Toutefois il y avait plusieurs taches parmi ce tableau jolie jeune femme. Une cicatrice traversait son visage horizontalement qui sans la rentre laide, rendait son physique moins agréable et surtout bien plus étrange. Sa main gauche comme celle de Galowyr avait été remplacée par un crochet. Mais celui-ci ne ressemblait en rien au vieux bout de fer qui remplaçait la main du balafré. Il était bien plus massif et surtout en or. Elle devait être riche la nénette. Mais ce qui choqua le plus, c’est ce qui était dans la bouche de celle qui l’avait bousculé. Un cigare. Non mais d’où qu’elle se permettait de faire tomber le sien et de fumer devant lui avec cette air supérieur. Dans le milieu où il vivait, les femmes se devaient d’être discrètes. Le reste de sa pensée sur la gente féminine était plus personnel. Elles devaient la boucler et faire se qu’on leur disait parce que de toute façon les femmes sont des faibles. Et il ne respectait que la force. Ce machisme, provenait du fait que les seules femmes que Galowyr avait rencontré depuis Carole le médecin qui l’avait soigné n’avaient été que des femmes de petites vertus. Elle l’avait foutu en rogne, et il allait la remettre à sa place, c’était son boulot de faire peur au gens après tout.
Fait gaffe à qui tu percutes la gonzesse. Je déteste allonger les plus faibles mais ça ne posera aucun problème de m’occuper de ton cas, alors tu vas t’excuser, vite avant que je perde patience et que je te ramène chez mon boss pour distraire sa soirée.