Pour accéder à une promotion au sein du CP0, Pénélope devait passer une épreuve en deux temps : une évaluation psychologique et une enquête sur le terrain. En ce qui concerne le second test, elle était sereine ; elle avait confiance en ses compétences. Cet excès de confiance lui fut immédiatement reproché par Équerre, un homme particulièrement avisé qui avait le don de toujours avoir raison. Quand elle expliqua à cette satanée tête de mule qu'elle savait ce qu'elle faisait, elle se replongea dans l'anticipation de ce qu'elle allait subir.
Là-dessus, elle eut l'ingénieuse idée de déployer son large décolleté pour détourner l'attention de son examinateur, mesure qui s'avéra fort inutile vu l'état d'esprit dans lequel celui-ci serait. Au même moment, un homme engagé en qualité de consultant arrivait au QG dans des conditions bien particulières.
Il y avait des fois où la vie pouvait se montrer particulièrement pénible. C'était ce que se disait Enarik Santa quand il allait au boulot ce matin-là. La veille, il avait retrouvé sa femme au lit avec un autre et n'était pas d'humeur à se faire emmerder. À aucun moment il ne s'était dit que ses performances sexuelles alliées à ses tendances violentes l'avaient mené inexorablement à cet incident. Sur le moment, il céda à un accès de folie et tua les deux amants et s'évanouit dans le même lit où il commit le forfait. Le lendemain, il entama sa routine quotidienne sans sembler s'émouvoir des deux corps fumants qui partageaient son lit. Ce ne fut qu'au bureau qu'il sortit de son état apathique signe d'une psychose sous-jacente connue de tous sauf lui. Il allait retourner rapidement pour tenter de dissimuler les corps quand il se fit alpaguer par son chef de service qui lui jeta un dossier dans les mains. Monsieur Santa ne pensait qu'à repartir chez lui à l'instant et lâcha le fichier pour se diriger directement chez lui. Cependant, son chef ne l'entendait pas de cette oreille ; il n'aimait pas qu'on l'ignora et souleva littéralement Enarik par le col pour le traîner dans la salle d'audience. En chemin, il lui dit ces mots :
Enarik murmura une réponse positive qui fut accueillit par un compréhensible : "Putain de psychiatre de merde !". En effet, le quiquagénaire fraîchement veuf gagnait son pain en tripotant le cerveau des autres, le seul qu'il épargnait était le sien et c'était pourtant le plus atteint. Il finissait de prendre un teint oscillant entre le verdâtre et le terreux quand il fut balancé sans ménagement dans la fosse aux lions. Ce fut donc une stoïque jeune femme qui réceptionna un homme pantelant et à l'air hagard. Avec le départ de son chef parti s'installer derrière le miroir sans teint qui occupait toute une longueur de cette pièce rectangulaire, il put se reprendre suffisamment pour réfléchir à un plan d'action ; il comptait bâcler son travail vite fait pour dissimuler son crime. Ayant établit son plan d'action, il se composa une expression qu'il croyait neutre, mais qui lui faisait ressembler à un homme pris en faute.
De son côté, Pénélope se foutait royalement de ce qui pouvait le préoccuper. Elle s'était installée depuis deux heures dans cette pièce nue. Elle était assise sur une chaise en métal et avait une table du même matériau devant elle. Énarik s'était écroulé sur un siège semblable au sien. Le lieu, l'attente et le réveil matinal avaient été calculés de manière à mettre mal à l'aise la jeune secrétaire dont la demande de promotions avait fait sourire plus d'un. Cependant, elle affichait un calme résolu et un visage impassible pendant qu'elle meublait le temps en conversant avec les esprits venus l'accompagner, soit Équerre et Sieur Rapporteur, en temps réel et non pas instantannément comme à son habitude. Stylo Plume s'était abstenu trouvant l'évènement barbant et sans saveur. Il l'arracha donc à une conversation délectable où elle se moquait de Sieur Rapporteur avec la complicité d'Équerre pendant que celui-ci s'empourprait à ne plus en finir.
Dès le début, elle pensa que sa tête ne lui revenait pas et en fit immédiatement la remarque à ses accompagnateurs. Ceux-ci prirent un air résolu devant la gravité de l'évènement qui allait suivre. Bien que Pénélope n'était pas du genre à céder au stress, elle appréhendait un tantinet sans oser se l'avouer. Au bout de quelques exercices de respiration, il entama les questions usuelles où elle dut décliner son nom, son identité avant de se lancer dans les questions les plus sérieuses. Tout au long de cette première partie, ses grands yeux bleus étaient fixés sur le visage du psychiatre et l'immobilité de ce regard dans un visage à l'expression sévère perturbaient grandement ce dernier. Il évitait au mieux de croiser ses prunelles inquisitrices sans que cela empêche son inquiétude de croître. À l'intérieur de son âme, une voix qui n'était au début qu'un murmure arriva graduellement à hurler à son oreille un leitmotiv qui brisait peu à peu le mental de cet homme : "Elle sait !".
Bien qu'il lisait un questionnaire standard, il avait pour tâche d'évaluer la réaction de son patient en interprétant sa gestuelle et sa mimique. Il allait entrer dans les questions délicates quand son chef débarqua pour l'inviter à un échange en apparté où il lui ordonna fermement de faire face à la donzelle et de faire son boulot ou sinon il y aurait des représailles. Le mystère fut levée avec un doigt passé transversalement sur la gorge.
L'échauffement était fini et la joute allait enfin commencer. Les deux adversaires se firent face. La menace de son supérieur avait requinqué le psychiatre qui contrôla un peu mieux son langage du corps, mais il était trop tard, la suspicion avait déjà cheminé dans l'esprit de la secrétaire et elle voulut se divertir en apprenant ce qu'il cachait et en profiter pour faire un coup d'éclat. Elle prit la décision de l'épingler au moment même où il prononça :
Ceci avait été prononcé avec une certaine hargne. Santa ne le comprenait probablement pas, mais il avait l'attitude même d'un fou furieux et il en voulait subitement de tout son être à Pénélope, cette femme qui le toisait comme si elle pouvait découvrir son secret. Il avait fait sa toilette méticuleusement, comme chaque matin et était certain qu'il n'y avait ni trace de sang sur sa chemise, ni de culpabilité sur son visage. Elle marqua soudain une pause et le toisa en laissant passer sur ses lèvres un sourire si éphémère qu'il était le seul à pouvoir le voir.
Après avoir estimé qu'elle avait pris le temps nécessaire pour qu'il ne mette pas le mouvement de ses lèvres sur le compte d'un hasard, elle répondit :
Par cette phrase, elle comptait jouer sur l'intimidation et rendre l'atmosphère encore plus pesante. Au pire, elle pourrait lui donner envie d'écourter l'interrogatoire et passer directement à sa nouvelle prise de fonction. De l'autre côté, Enarik sentait qu'elle le provoquait que ce soit par perspicacité ou sous l'effet de son inquiétude. Il embraya sur une question absente du formulaire pour tenter de sonder subtilement son vis-à-vis :
Les méthodes psychologiques, elle s'en contrefichait, mais un mec qui pâlit, verdît puis rosit devant elle, ça faisait trop de couleurs pour un homme qui n'avait rien à se reprocher. De plus, il se mit à pianoter de sa main gauche son accoudoir sous l'effet de la nervosité. En effet, il ne savait pas si il restait des traces de sang sous ses ongles. Ce geste attira l'attention d'Équerre sur la manucure de mauvais goût de son psychiatre.
Cette fois-ci, elle laissa flotter sur son visage un rictus malsain en regardant ostensiblement la main de Santa ce qui le fit blêmir après vérification de l'état de ses ongles. Elle savait, il savait qu'elle savait et elle savait qu'il savait qu'elle savait. Soudain, il prit un teint cireux et se mit littéralement à bredouiller l'ultime ligne du questionnaire :
Il n'y tint plus et se jeta sur elle avant d'être matrîsé brutalement. Il déchanta quand il réalisa que ce n'était pas facile de la battre contrairement à son épouse. Son chef était stupéfait et pénétra furibond dans la pièce prêt à jeter la candidate dehors par la peau du cou. De sa voix la plus ferme, elle tonna :
Elle dit ce dernier mot en lui tordant le bras violemment et il parla de sa voix la plus haineuse
L'évaluateur tomba des nues, il regardait avec perplexité Pénélope sans comprendre. Après un court moment où ses idées se chamboulaient dans la tête, il fit emmener le psychiatre et celui-ci entendit le mot de la fin :
Sur ces mots, il partit d'un pas résolut, la psychiatrie, il ne l'aimait pas forcément, encore moins à compter de ce jour.
* Bordel, et si quelqu'un s'apercevait que je sais des choses, on ne va jamais me croire. Je l'ai déjà appris, je ferme ma gueule au mieux. Faîtes que je trouve un moyen de m'en sortir.*
Là-dessus, elle eut l'ingénieuse idée de déployer son large décolleté pour détourner l'attention de son examinateur, mesure qui s'avéra fort inutile vu l'état d'esprit dans lequel celui-ci serait. Au même moment, un homme engagé en qualité de consultant arrivait au QG dans des conditions bien particulières.
Il y avait des fois où la vie pouvait se montrer particulièrement pénible. C'était ce que se disait Enarik Santa quand il allait au boulot ce matin-là. La veille, il avait retrouvé sa femme au lit avec un autre et n'était pas d'humeur à se faire emmerder. À aucun moment il ne s'était dit que ses performances sexuelles alliées à ses tendances violentes l'avaient mené inexorablement à cet incident. Sur le moment, il céda à un accès de folie et tua les deux amants et s'évanouit dans le même lit où il commit le forfait. Le lendemain, il entama sa routine quotidienne sans sembler s'émouvoir des deux corps fumants qui partageaient son lit. Ce ne fut qu'au bureau qu'il sortit de son état apathique signe d'une psychose sous-jacente connue de tous sauf lui. Il allait retourner rapidement pour tenter de dissimuler les corps quand il se fit alpaguer par son chef de service qui lui jeta un dossier dans les mains. Monsieur Santa ne pensait qu'à repartir chez lui à l'instant et lâcha le fichier pour se diriger directement chez lui. Cependant, son chef ne l'entendait pas de cette oreille ; il n'aimait pas qu'on l'ignora et souleva littéralement Enarik par le col pour le traîner dans la salle d'audience. En chemin, il lui dit ces mots :
"Écoute crétin, je ne sais pas ce que t'es allé imaginer, mais ici on est au CP0, désobéir à un ordre direct d'un supérieur peut te valoir plusieurs années de taule et tu n'es pas bâti pour ce genre d'environnement, mais plutôt pour celui d'une crêche. Si tu esquisses le moindre geste d'insurrection, je m'assure que tu croupiras en prison jusqu'à ce que la mousse te recouvres en entier. C'est clair ?"
Enarik murmura une réponse positive qui fut accueillit par un compréhensible : "Putain de psychiatre de merde !". En effet, le quiquagénaire fraîchement veuf gagnait son pain en tripotant le cerveau des autres, le seul qu'il épargnait était le sien et c'était pourtant le plus atteint. Il finissait de prendre un teint oscillant entre le verdâtre et le terreux quand il fut balancé sans ménagement dans la fosse aux lions. Ce fut donc une stoïque jeune femme qui réceptionna un homme pantelant et à l'air hagard. Avec le départ de son chef parti s'installer derrière le miroir sans teint qui occupait toute une longueur de cette pièce rectangulaire, il put se reprendre suffisamment pour réfléchir à un plan d'action ; il comptait bâcler son travail vite fait pour dissimuler son crime. Ayant établit son plan d'action, il se composa une expression qu'il croyait neutre, mais qui lui faisait ressembler à un homme pris en faute.
De son côté, Pénélope se foutait royalement de ce qui pouvait le préoccuper. Elle s'était installée depuis deux heures dans cette pièce nue. Elle était assise sur une chaise en métal et avait une table du même matériau devant elle. Énarik s'était écroulé sur un siège semblable au sien. Le lieu, l'attente et le réveil matinal avaient été calculés de manière à mettre mal à l'aise la jeune secrétaire dont la demande de promotions avait fait sourire plus d'un. Cependant, elle affichait un calme résolu et un visage impassible pendant qu'elle meublait le temps en conversant avec les esprits venus l'accompagner, soit Équerre et Sieur Rapporteur, en temps réel et non pas instantannément comme à son habitude. Stylo Plume s'était abstenu trouvant l'évènement barbant et sans saveur. Il l'arracha donc à une conversation délectable où elle se moquait de Sieur Rapporteur avec la complicité d'Équerre pendant que celui-ci s'empourprait à ne plus en finir.
Dès le début, elle pensa que sa tête ne lui revenait pas et en fit immédiatement la remarque à ses accompagnateurs. Ceux-ci prirent un air résolu devant la gravité de l'évènement qui allait suivre. Bien que Pénélope n'était pas du genre à céder au stress, elle appréhendait un tantinet sans oser se l'avouer. Au bout de quelques exercices de respiration, il entama les questions usuelles où elle dut décliner son nom, son identité avant de se lancer dans les questions les plus sérieuses. Tout au long de cette première partie, ses grands yeux bleus étaient fixés sur le visage du psychiatre et l'immobilité de ce regard dans un visage à l'expression sévère perturbaient grandement ce dernier. Il évitait au mieux de croiser ses prunelles inquisitrices sans que cela empêche son inquiétude de croître. À l'intérieur de son âme, une voix qui n'était au début qu'un murmure arriva graduellement à hurler à son oreille un leitmotiv qui brisait peu à peu le mental de cet homme : "Elle sait !".
Bien qu'il lisait un questionnaire standard, il avait pour tâche d'évaluer la réaction de son patient en interprétant sa gestuelle et sa mimique. Il allait entrer dans les questions délicates quand son chef débarqua pour l'inviter à un échange en apparté où il lui ordonna fermement de faire face à la donzelle et de faire son boulot ou sinon il y aurait des représailles. Le mystère fut levée avec un doigt passé transversalement sur la gorge.
L'échauffement était fini et la joute allait enfin commencer. Les deux adversaires se firent face. La menace de son supérieur avait requinqué le psychiatre qui contrôla un peu mieux son langage du corps, mais il était trop tard, la suspicion avait déjà cheminé dans l'esprit de la secrétaire et elle voulut se divertir en apprenant ce qu'il cachait et en profiter pour faire un coup d'éclat. Elle prit la décision de l'épingler au moment même où il prononça :
"- Agent Solète, êtes vous quelqu'un de loyal ?
- Sans nul doute, oui. Je le suis.
- Répondez par oui et par non. Avez-vous pas peur de mourir ?"
- Sans nul doute, oui. Je le suis.
- Répondez par oui et par non. Avez-vous pas peur de mourir ?"
Ceci avait été prononcé avec une certaine hargne. Santa ne le comprenait probablement pas, mais il avait l'attitude même d'un fou furieux et il en voulait subitement de tout son être à Pénélope, cette femme qui le toisait comme si elle pouvait découvrir son secret. Il avait fait sa toilette méticuleusement, comme chaque matin et était certain qu'il n'y avait ni trace de sang sur sa chemise, ni de culpabilité sur son visage. Elle marqua soudain une pause et le toisa en laissant passer sur ses lèvres un sourire si éphémère qu'il était le seul à pouvoir le voir.
*Maintenant, je l'ai ferré et je vais le laisser se condamner lui-même.*
Après avoir estimé qu'elle avait pris le temps nécessaire pour qu'il ne mette pas le mouvement de ses lèvres sur le compte d'un hasard, elle répondit :
"Oui, j'ai peur de mourir. Toutefois, j'ai tué plusieurs fois sans m'en sentir coupable, j'ai vu le sang couler à plusieurs reprises sans broncher. Je n'y ai jamais pris de plaisir, mais je n'ai jamais hésité à abattre ma cible."
Par cette phrase, elle comptait jouer sur l'intimidation et rendre l'atmosphère encore plus pesante. Au pire, elle pourrait lui donner envie d'écourter l'interrogatoire et passer directement à sa nouvelle prise de fonction. De l'autre côté, Enarik sentait qu'elle le provoquait que ce soit par perspicacité ou sous l'effet de son inquiétude. Il embraya sur une question absente du formulaire pour tenter de sonder subtilement son vis-à-vis :
"Est-ce que vous êtes capable de démasquer le coupable d'un meurtre simplement en vous basant sur des méthodes psychologiques ?"
Les méthodes psychologiques, elle s'en contrefichait, mais un mec qui pâlit, verdît puis rosit devant elle, ça faisait trop de couleurs pour un homme qui n'avait rien à se reprocher. De plus, il se mit à pianoter de sa main gauche son accoudoir sous l'effet de la nervosité. En effet, il ne savait pas si il restait des traces de sang sous ses ongles. Ce geste attira l'attention d'Équerre sur la manucure de mauvais goût de son psychiatre.
*Je le tiens là, mais je vais quand même faire durer l'interrogatoire pour impressionner mon évaluateur.*
Cette fois-ci, elle laissa flotter sur son visage un rictus malsain en regardant ostensiblement la main de Santa ce qui le fit blêmir après vérification de l'état de ses ongles. Elle savait, il savait qu'elle savait et elle savait qu'il savait qu'elle savait. Soudain, il prit un teint cireux et se mit littéralement à bredouiller l'ultime ligne du questionnaire :
"-Une dernière question : qu'est-ce que vous pouvez apporter au CP0 ?
-Pour commencer, ta tête à toi."
-Pour commencer, ta tête à toi."
Il n'y tint plus et se jeta sur elle avant d'être matrîsé brutalement. Il déchanta quand il réalisa que ce n'était pas facile de la battre contrairement à son épouse. Son chef était stupéfait et pénétra furibond dans la pièce prêt à jeter la candidate dehors par la peau du cou. De sa voix la plus ferme, elle tonna :
" T'as une seule chance de sauver ta peau, tu me dis ce que tu as fait et tu ne te fais pas pendre ce soir. Tu entends ? Une seule chance, tu parles maintenant et tu vis ou bien tu fais ton malin et tu crèves. Alors ?"
Elle dit ce dernier mot en lui tordant le bras violemment et il parla de sa voix la plus haineuse
"Elle m'a trompée, cette pute et lui, je n'avais pas le choix, ils l'ont bien mérité."
L'évaluateur tomba des nues, il regardait avec perplexité Pénélope sans comprendre. Après un court moment où ses idées se chamboulaient dans la tête, il fit emmener le psychiatre et celui-ci entendit le mot de la fin :
"- À propos de cette grâce accordée à celui qui avoue, en fait, je mentais. Sans rancune, j'espère.
- On fait quoi pour le test psychologique, monsieur ?
- Je l'emmerde le test psychologique.
- Mais il faut en remplir un, monsieur. Non ! Non ! Non ! Ne tentez pas de me faire manger ces feuilles, flublbl..
- Tu m'en trouves un autre et tu le remplis à sa place. Envoyez-moi cette folle sur le terrain, aussi loin que possible, je ne veux plus la voir."
- Je l'emmerde le test psychologique.
- Mais il faut en remplir un, monsieur. Non ! Non ! Non ! Ne tentez pas de me faire manger ces feuilles, flublbl..
- Tu m'en trouves un autre et tu le remplis à sa place. Envoyez-moi cette folle sur le terrain, aussi loin que possible, je ne veux plus la voir."
Sur ces mots, il partit d'un pas résolut, la psychiatrie, il ne l'aimait pas forcément, encore moins à compter de ce jour.