Tokigawa Mizuki

>> Tokigawa Mizuki

Pseudonyme : l'Œil de Lynx Age: 22 ans Sexe : Homme Race : Humain Rang : Pirate Métier : Tireur d’élite / Ingénieur Groupe : Pirate Déjà un équipage : Si vous aviez un parrain, il est probable que vous ayez déjà un équipage, mettez son nom ici ! But : Inventer l’arme à feu utltime Secondaire : Goûter à tous type d’alcool dans le monde ! Fruit du démon ou Aptitude pour la suite :Fruit des Sable / Sune Suna no Mi Équipements : Mes poings, mon revolver (Angel / Tenshi)/ mon grappin en forme de revolver Codes du règlement (2) : Parrain : Aucun

>> Physique Il est extrêmement difficile de me décrire à vue d’œil, il faudrait passer énormément de temps avec moi pour connaître tout sur tout à mon sujet… ma description semble compliqué, il y a que moi qui puisse la faire à la perfection … quoique mes parents aussi la faire à une époque. Premièrement ce qu’on remarque directement sur moi, plus précisément sur mon visage, c’est ma longue chevelure rouge écarlate et lisse, une marque de fabrique de ma famille, ma mère comme mon père possédaient la même couleur de cheveux. Certaine personne osaient dire que c’était une malédiction, mais moi j’ai toujours pensé que c’était une couleur de cheveux comme les autres. Passons à mon apparence … avec ma voix grave on aurait pu croire que je suis un gros loubard de 200 kilos, mais détrompez-vous, je suis loin d’être obèse et d’ailleurs c’est mieux comme ça, je ne m’imagine pas parcourir les mers avec un corps gros et gras … ah ! Horrible ! Moi, je me place plutôt dans la catégorie mince, je ne suis pas très musclé, mais mon corps est bien dessiné, c’est suffisant pour me plaire. On m’a toujours dis que mon regard donnait l’illusion que je suis une personne fourbe avec plein de mesquineries je n’ai jamais dis que ce n’était pas le cas, mais ça donne cette impression. Dans ma jeunesse, on me surnommait le fantôme à cause de mon teint très pâle, mais cela me faisait rire plus qu’autre choses c’est donc pour ça que je porte un masque de fantôme d’opéra à mon œil droit, c’est juste un style que je me suis donné, car il me sert beaucoup pour avoir dans ma ligne de mire mes ennemis et je préfère le protéger en en même temps. Vous vous imaginez un tireur d’élite sans son œil de prédilection ? Nous arrivons à mon style vestimentaire qui intrigue souvent les gens, surtout les pirates. Venant d’une famille de noble, il est normal que je m’habille un peu comme un noble non ? Bon d’accords ce n’est pas une raison … Mes fameux costard, mes vestes bien carrés sont souvent mal vue dans la piraterie, c’est donc pour ça que j’ai abordé un second style assez simple, mais un peu mieux vu. Des chemises et des jeans. Simple, léger et efficace, ce n’est pas pour autant que je ne mets plus mes autres vêtements. Je change un peu tous les jours et selon mon humeur toujours festive. >> Psychologie Hip… désolé je viens de boire un petit verre de rhum … voir deux ou trois ?, enfin je pense que je peux décrire ma façon de penser, de réfléchir et d’agir sans me tromper, non je ne suis pas encore saoul ! Ma tête tourne seulement un tout petit peu. Déjà la première étiquette qu’on me donne lorsqu’on me vois pour la première fois c’est que je parais froid et beaucoup trop sérieux, mais tout dépend dans quel état vous me voyez ! Car j’adore hip … l’alcool ! D’ailleurs j’aimerais découvrir tous les types d’alcools, toutes les marques et toutes les bouteilles. Pour enrichir ma culture … et ma gorge par la même occasion. Non ! Je ne suis toujours pas saoul ! Devant un adversaire, la seule chose qui m’importe c’est comment je vais faire pour le mettre hors d’état de nuire, le plus simple serait de lui mettre une balle entre les deux yeux, mais il m’arrive parfois de ne pas avoir Tenshi sur moi. Donc cela se règle au poing et dans ce domaine-là, je ne suis pas trop mauvais, mais je suis meilleure à distance c’est pour ça que j’essaye de me confectionner une artillerie lourde à distance pour ne plus avoir besoin de me rapprocher des ennemis. Malgré mon air sérieux à première vue, j’adore mettre de l’ambiance surtout lorsque j’ai la tête pleine d’alcool, je suis toujours en chasse de belles femmes, serait-ce un défaut ? J’adore les femmes, c’est un être doux et merveilleux noué d’une beauté inégalable … oui, la femme ! Je ne suis pas un obsédé. Et ne vous méprenez pas, il m’arrive d’être sérieux de temps en temps, lorsque j’étudie les livres des précédents inventeurs et ingénieurs qui ont constitués des armes à feu inimaginables où lorsque j’étudie la façon d’améliorer mon arme avec à mes côtés un bon panier de fruits ! Oui je raffole des fruits ! Je peux en manger toute la journée voir la soirée où même la nuit. Lorsque je découvre un nouvel environnement, je ne peux m’empêcher d’aller chercher des fruits. Voilà j’ai fini de décrire psychologiquement, le reste vous allez découvrire tout seul comme des grands, il est temps pour moi d’aller me … "Il tomba à la renverse, puis ronfla aussi fort que des tires de la marine contre des pirates." >> Biographie Le premier souffle, les premiers cris, les premiers pleures … tous les êtres humains sur cette terre sont déjà passés par là. Le son assourdissant de l’innocence d’un nourrisson, un véritable plaisir pour la mère qui vient de mettre au monde un enfant. Ma mère aussi l’a eu se plaisir lorsqu’elle me tenait dans ses petites mains tremblotantes, mais apparemment ma naissance ne sait pas passer comme l’avait prévu mes parents. Je suis né dans un château au lieu d’un hôpital et pour couronner le tout, ce n’était absolument pas le jour de ma naissance, enfin normalement, donc j’étais un enfant né prématurément. Mais ça n’enlevait rien au plaisir et à la joie cachée de mon père. Yoroshi Mizuki était un homme assez distant de sa femme et même du reste de ma gigantesque famille. Il ne parlait à personne et sa vie se résumait qu’à une seule pièce du château … le sous sol … je me demandais bien se qu’il pouvait y faire durant tout ses années. Pour moi, c’était comme s’il n’existait pas, je le voyais à peine sortir pour manger et prendre une petite douche au passage. Bien évidemment j’étais qu’un enfant, mais l’absence paternelle se faisait ressentir au fil du temps. Chaque jour, des nourrisses et des majordomes étaient à ma disposition … bon c’est vrais que l’île ne comptait pas beaucoup d’habitant à cause peut être de la chaleur qui régnait, mais je trouvais toujours un moyen de me détendre avec se peu d’habitant. Je n’étais pas trop attaché aux enfants du village qui me traitait de fils de bourge où encore de fils à papa … il y en avait pour tous les les gouts. Le seul endroit où je me sentais bien c’était près de ma mère. Hana, était une simple femme au foyer qui gardait pratiquement tous les enfants du village dans ma maison … dans mon château, vous comprenez maintenant pourquoi au début je parlais d’une gigantesque famille ? Car les autres enfants du village était comme ses enfants, cela m’arrivait parfois de ressentir une certaine jalousie envers les autres. Je n’arrivais pas à comprendre pourquoi elle s’en occupait, ils avaient toujours leurs parents, mais ils venaient s’accaparer la seule personne qui comptait pour moi. Lorsqu’ils rentraient tous chez eux … le calme absolue, il restait que ma mère, moi les employés de la maison et mon père invisible. Lorsque l’heure du repas approchait, ce même vide, mon père restait silencieux et la seule phrase qu’il daignait me dire est la suivante : « tu as bien mangé ? » Comme si à l’âge de quatre ans je vais lui répondre « non, car tu me parles jamais », mais ma question fut encore plus pertinente que ça que ça. « Papa, je peux venir avec toi en bas ?» je me rappel de ce moment, il fut comme pétrifié pendant un instant en jetant un regard à ma mère, le genre de regard qui voulait dire « sors moi du pétrin ». Hana ne fit rien du tout et faisait comme si elle n’avait pas entendus ma question. Il ne me répondit pas au moment présent, il prit le temps de terminer son assiette, puis saisit mon bras pour m’emmener dans son monde, ce monde qui le passionne tant au point de m’oublier. Il traversa la porte, puis alluma la lumière, je le suivis de très près et ce que j’ai vu était incroyable, mais vrais. Une panoplie de gadget en tout genre, des armes à feu, on pouvait passer du simple revolver à un fusil long porté, des objets explosifs et pleins d’autres choses comme des petites boules de fumigènes. A ce moment-là, un énorme sourire illuminait le visage de mon père, il devait sans aucun doute être fier de son petit arsenal. En saisissant l’une de ses merveilles, ce dernier se jura qu’il allait faire de moi un futur ingénieur de l’armement comme lui. Bien évidemment je n’y comprenais rien à cette époque et j’étais loin de me douter que c’était les armes à feu notre gagne pain. C’est en prenant de l’âge que je commençais à voir l’importance des armes à feu dans la vie de la famille, à l’âge de huit ans, je confectionnais ma toute première arme au côté de mon père. L’arme qui allait devenir mon ange gardien comme disait Yoroshi … c’est pour cela qu’on lui donna le nom de Tenshi (Ange en japonais). C’était ma toute première production avec l’aide de mon père, main dans la main on avait confectionné mon arme à feu. Apparemment ce dernier avait hâte de l’essayer. Il se dirigea vers une cible puis commença à tirer deux voir trois balles, la détonation de l’arme était assourdissante et cela amusait Yoroshi. Le sourire aux lèvres, il me tendit l’arme, puis se plaça derrière moi pour que j’essaye à mon tour. La puissance de l’arme me propulsa sur son torse, puis juste après on se mit à rire bêtement de la situation. On sentait naitre une complicité que je n’avais pas auparavant avec mon père et cela je le dois aux armes à feu. C’est peut être bête de le dire comme ça, les armes à feu on vraiment changé ma vie. Plus je grandissais et plus j’apprenais au côté de mon père en même temps je m’entrainais à tirer avec mon arme personnel et tout ça en allant à l’école en même temps. Lorsqu’on finissait de faire une petite série d’arme, mon père allait les vendres à des galions marchands ou à des passagers sur l’île. Tout le monde à notre époque avaient besoin d’arme à feu, c’était essentiel pour se défendre, surtout contre les pirates, c’est d’ailleurs ses individus qui allait tout chambouler dans ma vie prospère. Une matinée ensoleillée comme tous les jours d’ailleurs sur cette île, mon père avait rendez-vous au large de l’île pour vendre des armes aux pirates, ce dernier m’annonça cela comme si c’était normal. Je ne comprenais pas pourquoi il avait l’air d’être aussi content de vendre ses armes aux pirates alors qu’il savait comment ça allait se terminer. Ils allaient essayer de le piller sans lui donner d’argent en échange où pire encore, le tuer … son aspect était assez étrange … on dirait qu’il voulait mourir aujourd’hui où il sentait son heure arrivé. A table, il était aussi bavard que ma mère et il s’occupait même des enfants du village qui venait nous voir même s’ils avaient eux aussi grandit. Non ce n’était pas clair tout ça. Lors de son départ, je pris la décision de le suivre en emmenant Tenshi avec moi. Arrivé sur le rivage je me positionnai sur une petite colline pour avoir une vue de l’ensemble du rivage. Le bateau de pirate était déjà sur place, un homme vêtu de noir de la tête au pied en sorti, les négociations commencèrent. Par la suite, deux hommes armés montrèrent le bout de leur nez. Je saisis mon arme pour le pointer sur celui qui semblait être le capitaine. La négociation terminé, je vis les deux hommes pointés leurs armes sur mon père et sur un reflexe je changeai de cible pour tirer sur l’un d’eux. Malheureusement, il était simplement blessé et j’étais repéré. Yoroshi reconnaissait la détonation et sans hésiter, il plongea sur l’autre. Au moment où j’allais commencer à courir « Bam ! Bam ! » Deux coup qui me pétrifia sur place. Non je n’étais pas touché, mais les larmes coulaient le long de mon visage. Je ne voulais même pas voir. Je m’en voulais terriblement. Alors que je pleurais sans doute la mort de mon père, j’entendais des pas qui s’approchaient dangereusement de moi, j’essayais de les contourner pour rejoindre mon Yoroshi. Je me rappel encore de cette image, le voir sourire tout en suffoquant. Mon premier réflexe c’était de le tirer pour l’emmener au village, mais apparemment il n’était pas du même avis que moi, il poussa légèrement ma main. « C’est terminé pour moi, va sauver le village ». Je refusais catégoriquement tout en insistant, mais il était trop tard et le dernier mot que j’entendis de sa bouche « je t’aime mon fils ». Je n’avais même pas le temps de pleurer, je devais sauver le village, je chargeai mon arme tout en me précipitant dans l’autre direction. Mais j’étais sur le fait accomplis … le village en feu et en sang. Même en voyant cette image je ne pu me résoudre à pleurer. Ils n’allaient pas s’en sortir comme ça ses trois brigands. Je voulais venger tout mon village donc je rebroussai chemin en direction de leur bateau pour y monter à bord. La seule cachette que j’avais trouvé était juste devant moi, une petite barque recouvert d’un énorme drap pour sans doute le protéger de la pluie. Puis sans même le savoir, je me suis endormi. Voilà comment mon aventure commença … sur un simple coup de tête, j’avais quitté mon île dans un but bien précis. La vengeance… La nuit était tombé, mon réveil fut paisible, la mer ne faisait pas des siennes. Une belle nuit pour une vengeance tout en douceur. Je pris la direction des dortoirs, Tenshi serré contre mon torse, je n’avais jamais tué auparavant, certes cela me faisait peur, mais la haine avait pris le dessus. Je devais en finir le plus vite possible. Je ne cherchais pas à comprendre quoique se soit ni comment les tuer … je fis une intrusion dans le dortoir pour tirer quatre balle en tout, deux sur chaque matelots présent. Deux minutes plus tard j’entendais les pas du capitaine juste devant le dortoir. Je me saisis d’une épée, puis je pris place dans un petit recoin sombre. Je le regardais progresser dans la pièce, puis sur un cri assourdissant, je fis un bond sur lui avec le sabre en avant pour le transpercer littéralement l’estomac, je le retira de toute mes force pour le planter une seconde fois, mais cette fois si au visage. Mais je n’y parviens pas et fut repousser avec violence contre le mur. Ce dernier se leva en ricanant « ce masque protège mon œil tu ne peux pas atteindre mon visage ! » il était blessé et il osait se venter de la sorte ? Je saisis Tenshi pour tirer les dernières balles dans sa direction. Il s’écroula enfin, un sourire victorieux pouvait se lire sur mon visage, mais tout de suite après je me mis à pleurer… non pas parce que j’avais perdu mon père et sûrement ma mère, mais parce que mon dos me faisait terriblement mal. Le plus terrible dans tout ça c’est que j’ai apprécié me battre ! je n’avais que seize ans à cette époque, mais je savais que la baston allait être mon passe temps plus tard. Pour l’instant, j’étais sur le bateau à la dérive, sans me soucier de la destination que prenait le rafiot. De toute façon je n’avais plus d’endroit où me sentir à sécurité, alors autant voyager …. >> Test RP La mer est belle ! Belle et fantastique à regarder. Elle l'ai encore plus lorsqu'on croit que notre dernière heure est finalement arrivé plutôt que prévu. Cela faisait exactement trois jours que je naviguais sur une petite barque de rien du tout. A vrais dire, le rafiot était composé que de tronc d'arbres recoller entre eux, donc autant vous dire que je n'irais pas loin avec ça, j'avais quitté le nid d'hébergement secondaire. Oui, je ne vous avez pas raconter ce qui s'était passé six ans plutôt après ma dérive dans le navire pirate ? Je me suis fais recueillir par une superbe femme, elle était trop belle, mais sa beauté n'égalait certainement pas sa puissance. Un ancien pirate reconverti en simple chasseuse. A son époque, elle avait été une tireuse d'élite or paire, c'est ce que raconte les habitants. Revenons à notre rencontre. Je ne peux vous expliquez comment le bateau dans lequel j'étais à bord avait échoué sur cette rive, mais tout ce que je peux vous dire c'est que lorsque j'ai ouvert les yeux, je me retrouvais face à face avec le canon d'un revolver tenue par une belle jeune femme à la couleur de cheveux océan. « Kyaaaa !!!!!! » c’était le seule et unique mot que j’avais pu sortir, elle était belle, mais ne semblait pas avoir l’esprit noir pour faire ce genre de blague elle était sérieuse. - Tu es venu foutre quoi sur mon île, pirate ! Qui ? Moi ? Elle me prenait vraiment pour un pirate ? Je jetai un regard à gauche, puis à droit pour enfin reposer mon regard sur la femme, enfin sur le canon de son revolver. C’est vrais qu’en ayant un regard extérieur à ma situation, on pouvait parfaitement comprendre pourquoi la jeune femme avait directement pensé que j’étais un pirate. Le drapeau de la tête de mort flottait sur le mats … il fallait absolument que j’évite la mort. - Non non non ! Tu te trompe, je ne suis pas du tout un pirate je t’assure, je me suis retrouvé accidentellement sur ce bateau … bon d’accord c’était volontaire, mais je t’assure que ce n’était pas pour devenir un pirate. Finalement elle baissa son arme pour aller faire un tour dans les compartiments du bateau. Elle allait surement tomber sur les cadavre des trois pirates … oui, je n’avais pas eu la force de les jeter en mer. Bah quoi ? J’étais encore qu’un type de 16 ans. Après quelque minute de solitude totale, la jeune femme remontre à la surface pour me rejoindre, elle voulait surement me parler des cadavres qu’elle venait de trouver dans le dortoir des matelots. - Hey gamin ! dit moi, c’est normal pour toi de garder à bord des cadavres ? Alors pour elle j’avais fais exprès de garder ces cadavres ? Elle est véritablement cinglée pour croire une chose pareille. - Je ne suis pas un collectionneur de cadavre … c’est juste que c’est eux les vrais pirates et il fallait que je m’en débarrasse tout simplement pour ne pas mourir. Depuis plusieurs jour, je suis seul dans ce bateau, je n’ai pas de destination comme une âme errante. Elle était étonnée… étonné de voir un enfant de mon âge se débarrasser de trois pirates, bah oui j’ai l’âme d’un grand combattant ! Elle finit par m’aider à me remettre sur pied en rangeant son arme à feu dans sa veste. - J’ai de la place chez moi, je peux t’héberger quelque temps … appel moi Lin, maîtresse des armes à feu et chasseresse dans mes heures perdues. Je vais peut être faire de toi quelqu’un … Faire de moi quelqu’un ? Elle ne rigolait jamais, elle me faisait très peur et si se n’était pas encore assez, cette femme était aussi une adepte des armes à feu. Qu’est-ce qu’elle avait derrière la tête ? Quoique je n’avais rien à perdre à présent et refusé de l’hospitalité par une belle femme ce n’était pas dans mon genre. - Moi c’est Tokigawa Mizuki, mais appel moi Toki où Mizuki. J’accepte de vous suivre qu’à une seule condition. - Hein ? Laquelle ? - Que tu fais de moi un tireur d’élite, un véritable génie de la gâchette ! - Tu as frappé à la bonne porte gamin ! C’est ainsi que débute ma formidable vie sur cette île … six ans plus tard, je pris mon envol dans une destination inconnue. J’avais grandit et muri, je n’étais plus un gamin, mais un homme et je ne faisais plus qu’un avec Tenshi. A la fin on m’appelait juste par le nom « d’œil de lynx sur l’île » ou encore l’homme à l’œil fantomatique. Je me suis fais un nom sur cette île, reste maintenant à me faire une réputation en mer à travers le monde.

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Informations IRL

Prénom : Ced’

Age :19 ans

Aime :Les animes, les jeux vidéo, les mangas, les films, écrire, la musique, le foot.

N'aime pas :les films d’horreurs et plein d’autres choses qui ne me viennent pas à l’esprit à l’heure actuelle. ^^

Personnage préféré de One Piece :C’est pas facile … je dirais Sanji pour ses saignements de nez épiques, luffy pour son côté délirant et zorro pour son charisme naturel.

Caractère : faignant, sympas, un grands sens de l’analyse.

Fais du RP depuis :je dirais six ans avec énormément de pauses.

Disponibilité : deux voir trois fois par semaines minimum ^^

Comment avez vous connu le forum ? Top RP ^^

Ps: désolé pour les fautes d'ortographes, j'ai un problème avec Bonpatron en ce moment je ne sais pas si c'est tout le monde ...

Un petit up au passage, histoire de ne pas me faire oublier

Bon, ne sera dit qu'une fois : on ne up pas, sauf contrindication sur CB de la part d'un @, merci.

Ah d'accord désolé ^^

On reboutonne sa chemise et on éteint sa clope aussi, non mais se croient où les jeunes de nos jours ? Salut Cédric et bienvenue, j'espère que tu t'amuseras bien parmi nous.

Je ne vais pas te mentir, il y a pas mal de choses que tu pourrais faire pour améliorer ta plume. Même si tu sembles écrire très facilement et sans te forcer à ajouter des lignes (ou en tout cas le faire très naturellement), il y a des choses à apprendre pour que ton personnage rende mieux et que tu t'amuses davantage dans tes prochains écrits.

Il y a des poncifs dans les histoires qu'on ne veut pas forcément voir, et si on les voit, on va demander un travail particulier afin de ne pas sembler autant cliché. Et le principal problème, c'est que tu ne surprends jamais le lecteur. Le père passionné par son travail qui possède la compétence que développera le personnage pour se définir, l'attaque de pirates qui tuent les parents pour justifier la lancée dans l'aventure, la scène vue et revue du héros échoué sur la plage avec une gonzesse qui l'accueille chez lui, ce sont toutes des situations qui n'ont plus grand intérêt parce qu'on en a déjà mangé par packs entiers. Pour apprécier ces choses, il faut du neuf et là un style fort marqué te fait défaut, pour le moment du moins.

Tu as parlé du souci de bonpatron, alors je n'insisterai pas sur l'orthographe. Mais c'est bien criblé de fautes, il parait qu'antidote est un très bon correcteur aussi, équipe t'en. ^^

Niveau cohérence, tu présentes des situations très simples, mais on butte quand même quand tu nous dis que le père fabrique des armes qui se vendent afin de se défendre des pirates. parce que le père, tout gentil qu'il semble, effectue une transaction qu'il saura d'avance vouée à tourner au vinaigre et il chargera son pauvre gamin de 16 ans d'empêcher une bande de brutes de détruire tout le village, en vain. Ca veut dire que le brave type a sacrifié ses amis, ses voisins, une tripotée d'enfants, sa femme et, en toute logique, son fils juste parce que....parce qu'il estime qu'il peut mourir ? Sympa le mec, des types comme ça je les préfère loin de chez moi. j'en plaisante, mais tu vois un peu le problème. Chaque action que font tes personnages doivent comporter une logique, chacun d'entre eux veut survivre, même s'il n'est qu'un PNJ que tu as déjà condamné.

Pourquoi un village entier armé se fait avoir par 3-4 pirates ? Pourquoi 3-4 pirates attaquent leur fournisseur d'armes et un village entier où il a forcément fait commerce ? Pourquoi ne pas avoir appelé la Marine dont le boulot est de régler le compte à ce genre de bandit ? Aucune idée. En tout cas, je pense qu'il serait bien difficile de tuer tout le monde dans un bon vieux village Texan, où les armes restent à côté des berceaux.

Bref, je dirais qu'en fait tu as besoin tout simplement de faire tes armes hu hu. Comme je l'ai dit, ce que tu n'écris n'est pas moche, surtout si on oublie l'orthographe, donc il te faut continuer à gratter, prendre conseils et voir comment donner plus d'épices à ton récit, le rendre particulièrement savoureux. On a un groupe d'aide pour ça, ils seront ravis de t'aider je pense. Ils sont là-bas: http://onepiece-requiem.forums-actifs.net/f99-aide-au-rp

Si tu persistes et améliores point par point ce qui te manque, tu peux briller. Tente ta chance, t'as rien à perdre.

J'ai hésité entre 200 et 250 dorikis, mais comme tu as eu un test libre et que je pense que t'imposer des points à remplir aurait été une bonne façon de te forcer à quitter les sentiers battus, je te mets à 250 dorikis. Que le post soit avec toi.

Merci beaucoup pour ces conseils Minos ! ^^

C’est vrai qu'il est facile pour moi de trouver des histoires, mais les mettre en œuvre, surtout pour lancer l’aventure j’ai bien lutté et ça doit se voir

Pour les fautes, je vais essayer antidote.
Encore merci ;)

Second comm' au rapport.

Alors, y'a eu un joli compte-rendu de Minos, j'ai aussi relevé quelques détails gênants, je m'en vais t'en faire part.

Tout d'abord, concernant ta description psy, j'ai deux soucis; le premier, si l'idée de jouer l'homme ivre peut être sympa, le problème est qu'à de rares "hips" près, on ne ressent pas le mec bourré dans ton écriture. L'état second, ça autorise de joyeuses entorses aux conventions ordinaires du RP ( n'est ce pas Minos héhé ), et là c'est finalement assez commun, dommage. Plus problématique, toujours sur ce côté commun, ben ton perso en lui-même. Finalement, il aime picoler et se faire des salades de fruit ok, mais tu ne nous proposes pas beaucoup d'éléments de sa personnalité à proprement parler, juste ses goûts. Donc, la suite n'aidant pas trop pour cerner le perso, je suis un peu dans le flou et me demande encore qui est concrètement l'ami Mizuki.

Pour l'histoire, j'ai relevé un passage qui m'a estomaqué, de par une utilisation ultra-abusive du mot "arme". Admire :

Bien évidemment je n’y comprenais rien à cette époque et j’étais loin de me douter que c’était les armes à feu notre gagne pain. C’est en prenant de l’âge que je commençais à voir l’importance des armes à feu dans la vie de la famille, à l’âge de huit ans, je confectionnais ma toute première arme au côté de mon père. L’arme qui allait devenir mon ange gardien comme disait Yoroshi … c’est pour cela qu’on lui donna le nom de Tenshi (Ange en japonais). C’était ma toute première production avec l’aide de mon père, main dans la main on avait confectionné mon arme à feu. Apparemment ce dernier avait hâte de l’essayer. Il se dirigea vers une cible puis commença à tirer deux voir trois balles, la détonation de l’arme était assourdissante et cela amusait Yoroshi. Le sourire aux lèvres, il me tendit l’arme, puis se plaça derrière moi pour que j’essaye à mon tour. La puissance de l’arme me propulsa sur son torse, puis juste après on se mit à rire bêtement de la situation. On sentait naitre une complicité que je n’avais pas auparavant avec mon père et cela je le dois aux armes à feu. C’est peut être bête de le dire comme ça, les armes à feu on vraiment changé ma vie.

On a de quoi en garder quelques caisses au chaud pour les rudes nuits d"hiver quoi. Côté style, à ce détail près, on peut regretter les fautes d'ortho fréquentes ( au passage, le mot "vrai" ne prend pas de s ) mais également une manière d'écrire assez étrange; on a l'impression que tu écris comme tu parles, mais par laxisme plus que par choix ( oubli des "ne" ou n' de négation notamment ).

Sur le fond de l'histoire, la manière dont tu introduits l'idée que le père veuille mourir est bizarre. Le personnage traverse l'histoire comme une ombre malgré le fait que tu essayes de lui donner une dimension en faisant partager à son fils sa vocation. Autre regret côté bio, la fin est un peu expédiée. Tu as "sûrement" perdu ta mère et ne prends pas la peine de vérifier ? Une telle fin ouverte à 16 ans alors que tu aurais pu développer ton perso justement sur la suite c'est dommage. Le passage à l'âge adulte c'est un facteur déterminant que tu zappes, même si tu apportes un ou deux éléments de réponse dans le test RP.

Test RP convenable, certes, mais qui manque un peu de punch je dirais, dans le contenu ou dans le style.

Au final, je propose 300 Dorikis.

Sitôt qu'un admin passera, tu seras validé, félicitations.

Ah oui j’avoue que le mot "arme", je l'ai beaucoup trop utilisé O_o

Merci pour ton observation Trinita