ø Mizuiro Aozome ø
Pseudonyme : The Shark Age: 27 ans Sexe : A une très longue queue... Dans le dos enfin ! Non mais. Doit y avoir un modèle réduit sur le côté face, caché quelque part entre le nombril et les genoux. Race : Homme Poisson Rang :~ Rappeur des Aquariums ~ Métier : Musicien (plus précisément, rappeur Yo o/) Groupe : Pirate Déjà un équipage : Nop', j'ai pas d'amis :'( But : Vivre libre, les branchies en éventail Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Karaté Amphibien, mais ça c'est pas vraiment pour la suite... Capacité à parler et commander les animaux marins aussi, si possible Équipements : Aucun, exceptés les doigts palmés, les branchies, la longue queue susnommée et quelques bijoux incrustés sur les mains du gaillard pour faire mal en tapant. Codes du règlement (2) : Parrain : J'ai pas d'amis, j'te l'ai déjà dis, tu suis ou quoi ? oO |
Bon, le physique. Clairement, c’est aussi barbant à lire pour vous qu’à écrire pour moi, donc je vais faire mon possible pour rendre ça un minimum intéressant, promis. Et si ce n’est pas le cas… Allez, lapidation autorisée, mais avec des boulettes de papier, sinon ça fait trop mal. Ceci étant, attaquons la chose dès maintenant.
D’un point de vue global, Aozome est plutôt… Interloquant (et BIM, un ballon de hand ! J’espère que quelqu’un aura la référence). D’abord parce qu’il est bleu et ça, le moins qu’on puisse dire, c’est que ça n’est pas banal. Mais aussi qu’il dépasse largement le double mètre, très largement même (concrètement, il culmine à près de deux mètres quarante, rien que ça). Alors bien sûr, avec vos références humaines étriquées, ça doit choquer. Mais pour un Homme-Poisson, c’est quelque chose d’assez courant. On pourrait même dire qu’il est dans les nains du groupe. Bon bien sûr, je ne prends pas en compte les Hommes-Poissons Clowns qui, en dehors de leurs pieds démesurés, sont plutôt des nains de petites tailles (des supers nains donc ? ou un truc du genre).
Passons maintenant à la description plus précise, méticuleuse. Soyons logique et commençons par les pieds (quoi, ça n’est pas logique ?). Ces derniers sont semblables à ceux d’un être humain, à ceci près que les doigts y sont palmés. Ce détail mis à part, ils comptent tous les deux cinq doigts et sont habillés par des chaussures couvrant la voûte plantaire ainsi que le talon et le derrière de la cheville. Sur le dessus, de simples fils permettent de tenir la chose et de ne pas tenir trop chaud. C’est important, surtout dans une île hivernale où la température est souvent excédante (Oui oh ça va hein, j’abuse de l’ironie si je veux…). Le haut des chevilles et le bas des mollets du poiscaille sont recouverts par des bracelets d’or d’un poids très appréciable n’alourdissant que très peu le poids des jambes, n’handicapant ainsi pas le moins du monde les déplacements. Le reste est à l’air libre jusqu’aux cuisses. Et cela donne la visibilité de la peau bleutée du personnage, agrémentée de taches noires ça et là disposées en « splash » relativement agressives puisque ces peintures vont toujours de l’arrière du corps vers la face avant par des « pointes ». Le plus gros habit d’Aozome, et pour ainsi le seul, est un short relativement court, noir, avec seulement deux poches pour les mains. Il est tenu à la taille par un foulard violet foncé et une ceinture plaquée or qui lui donne un genre bling-bling bien clinquant (c’est le côté rappeur, clairement). La plus grosse différence avec un être humain vient dans les lignes qui suivent et qui vont vous décrire la longue queue du bonhomme. Non pas que je considère la verge d’un Homme-Poisson comme intrinsèquement supérieure, mais tout de même, celle-ci dépasse aisément le mètre, alors faut s’incliner les mecs. Son gland, à défaut d’être circoncis, est recouvert d’une plaque de métal dorée et pointue, de quoi déchirer l’hymen de ces dames en deux temps trois mouvements, ce métal étant lui-même orné de trois pierres précieuses violettes (pour aller avec le foulard, voyez…) Sur le corps de la bête sont aussi percés trois anneaux d’or, là encore, je vous laisse imaginer la douleur…
Passons au buste à présent. Ce dernier met en évidence un corps bien sculpté et des muscles franchement entretenus. Si ce torse n’était pas bleu et tatoué de la manière précédemment décrite, j’adorerais avoir le même. Notons qu’au niveau du dos se trouve la terrifiante nageoire de requin, celle qui a fait le succès de nombres de navets dont le plus célèbre est sans nul doute « les Dents de la Mer ». Je ne vais pas m’attarder là-dessus, signalons simplement la présence de deux anneaux d’or. A part ça, R-A-S comme disent les militaires. Les bras du bonhomme sont aussi musclés que son torse et les avant-bras sont eux aussi recouverts de bracelets dorés, pour un effet de style… Franchement dégueulasse hein, faut le dire. Parce que l’association bleu – noir – or – violet, si c’était le quatuor gagnant pour être beau gosse, j’pense que ça se saurait… M’enfin passons, les mains sont plutôt grandes, les doigts bien entendus palmés et d’un bleu plus clair que le reste du corps, un bleu azur dirons-nous, tout comme les ongles. Ces derniers sont d’ailleurs très longs et font plus penser à des griffes qu’à des ongles… Notons que quelques pierres précieuses sont aussi incrustées et là, elles ont clairement pour but de vous casser le nez hein, j’crois qu’il faut le dire. Des genres de poings américains constamment installés… Tant qu’à faire, pourquoi s’emmerder hein !
Pour ce qui est de la nuque, c’est l’avènement des branchies. Particularité génétique de tout Homme Poisson qui permet de respires sous l’eau en filtrant l’oxygène contenue dans toute étendue d’eau… Ou un phénomène de ce genre, demandez à un biologiste de vous rencarder pour plus de détails. Ces dernières sont violettes foncées et donc parfaitement accordées avec le foulard et les pierres précieuses… A moins que ce soit le foulard et les pierres qui soient accordées aux branchies… Allez savoir ! Qui de l’œuf ou la poule comme on dit ! Le visage, enfin ! Là clairement, on a la gueule du type sympathique, chaleureux, ouvert à la discussion et bien déconneur (putain il fait encore dans l’ironie ? Mais c’est lourd !). Les yeux jaunes pleins de malices, la gueule en triangle, les dents pointues à en faire pâlir un vampire : bref, de la gentillesse par pack de douze ! D’ailleurs, je dis les yeux mais c’est plutôt l’œil, puisque celui de droite est constamment fermé depuis le vilain coup de sabre qu’il a pris (fallait arrêter avec l’ironie ducon !). Les cheveux sont absents, ou du moins masqués par un couvre-chef semblable à celui du grand Zoro, ce qui permet d’accentuer une fois de plus le côté chaleureux du bonhomme, vous l’aurez compris.
Alors, vous partez sans doute avec un a priori à la vue de la gueule du bonhomme : « ouais, ça va être un gros dur, bien bourrin comme on les aime et qui sa castagne avec ses mimines toutes palmées chaque fois qu’on lui cherche des poux dans l’foulard… » Eh ben non ! Faux ! Erreur ! A bas les préjugés, c’est mal !
Calmons-nous, s’il vous plait, un peu de silence. Posons les choses simplement, nous arriverons à nous comprendre. Car non, le bonhomme n’est pas un gros dur qui pète des gueules à tour de bras. Non il n’a pas pour principal passion de casser des nez ou d’arracher des dents. Son principal but dans la vie n’est pas non plus de provoquer des combats pour montrer sa force, non. Il est loin de tout ça, le p’tit Aozome. Bien au-dessus. Par altruisme ? Par gentillesse ? Non pas vraiment, quand même, c’est loin d’être un ange. Disons plutôt qu’il s’agit de l’alliance objective entre une flemme relativement prononcée et un besoin constant de, disons-le, faire le con. Alors bien sûr on pourra dire que c’est une marque de X ou Y chose venant de sa petite enfance, au risque de passer pour des psychanalystes à deux sous, alors abstenons-nous et décrivons plutôt les faits.
Et factuellement ma foi, il y a à dire. Aozome est un artiste, avec tout ce qu’il y a d’excentrique là-dedans. Il est totalement hors du temps, hors des événements. Il est incapable dans la quasi-totalité des cas de jauger la dangerosité ou le besoin de sérieux d’une situation. Il mène sa vie, se laisse porter par le courant (pour un Homme-Poisson hein… C’est rigolo comme jeu de mot, hein ? Non ? Ah merde) en attendant de voir les choses se passer. En règle général, il ne se bat que si on lui demande ou qu’on le provoque en duel. Il n’y a donc aucune charité chrétienne, simplement quelque chose qui est aux frontières de la stupidité et du génie. Cela lui donne un aspect très particulier dans l’allure et qui détonne avec son physique, vous l’aurez compris : ses sourires sincères sont souvent effrayants et je ne vous parle pas de ses rires aux éclats. Pourtant, il ne s’attarde pas sur cela : les gens qui lui sont proches finissent toujours par comprendre.
Alors vous allez me dire « c’est un artiste, ok, mais en quoi ? ». Et bien c’est très simple : en musique, et en rap pour être précis. Et oui, vous avez face à vous (ou presque hein, faut imaginer) le premier Homme Poisson rappeur, rien que ça. Le Eminem des aquariums, alors respect j’ai envie de dire. Il groove comme un beau gosse et impose toujours son flow. Du moins, c’est ce qu’il croit (espère ?). Parce que dans la réalité, c’est plutôt un type qui assemble des calembours de manière franchement pitoyable, voir imbuvable. La plupart des gens l’ayant un peu fréquenté finissent par le détester, d’autant qu’il ne s’arrête jamais : il lui est déjà arrivé de sortir un petit calepin pour noter ce qu’il jugeait être une bonne rime en plein combat, comme-ci de rien était.
Idéologiquement, Aozome est un « homme » qui a des valeurs. Plutôt humaniste, sans être profondément pacifiste, il est compréhensif et à l’écoute. En définitive, il est aux antipodes de ce que l’on pourrait s’attendre venant d’un Homme-Poisson, si on se base sur ce que l’on a vu avec Arlong et ses sbires.
Cette histoire commence, comme vous pouvez vous en douter, sur l’île des hommes poissons. La naissance du petit Aozome se fit dans une famille de poiscailles tout ce qu’il y a de plus ordinaires. Flottant au gré des courants, ses nageoires s’épanouirent sans réels problèmes et bien loin des problèmes que pouvaient rencontrer ceux de sa race : l’animosité envers les êtres humains, la haine de ces homo sapiens puants étaient loin, très loin de le marquer, lui, tout comme les siens. Pourtant, dans ce paysage idyllique, les choses finirent par se détériorer (Un peu de dramatique pour ne pas vous perdre, c’est sans doute mieux…).
Et pourquoi me direz-vous ? Parce que l’enfant Aozome eut une révélation : le Rap. Cet art vint à lui par le biais d’un équipage pirate cherchant à rejoindre la seconde partie de Grandline et passant par l’île. L’enfant-poisson, proche du navire, écouta alors l’homme débiter son flow dans le silence marin avec un talent gigantesque et il fut comme bercé par cette manière de jouer avec les mots : plus tard, il voulait être une star du rap. Alors là, j’imagine que vous pensez que comme élément perturbateur dans une histoire, c’est franchement à chier ? Je ne suis pas loin d’être d’accord avec vous, voyez. Pourtant, sachez ne pas négliger la naissance d’une passion, surtout quand elle est d’une part aussi merdique, et d’autre part aussi entreprenante. Les conséquences de cette vue, ou plutôt cette audition de ce flot (faute volontaire…) provoqua un raz-de-marée (pour ce jeu de mot merdique) dans l’existence du garçon.
Dans un premier temps, il se contenta de s’exercer dans la vie de tous les jours, sans rien changer au reste de ses habitudes. Mais lorsqu’il eut vingt ans, il prit une décision énorme et lourde de conséquence : il quitta l’île des Hommes Poissons pour se rendre « à la surface » et vivre sa passion. Grossière erreur. Il pensait pouvoir vivre de ses passions le petit sacripant. Mais il n’en était rien. Si bien qu’il dû mendier, voler et bien d’autres choses inavouables pour survivre. Et lorsque vous êtes un Homme Poisson et que vous vous faites prendre… C’est loin d’être simple. C’est même très compliqué. Et bien entendu, il se fit prendre plus d’une fois, se faisant dès lors taper dessus comme un punching-ball, non pour ses délits, mais pour sa seule existence. « Sous-humain » était l’insulte qu’il entendait le plus. On le perça, lui accrochant des anneaux comme un animal de ferme ne demandant qu’à se faire manger.
Un destin ignoble, mais malgré cela, Aozome ne perdit pas espoir : au fond de cette tristesse, il trouvait l’inspiration et était dès lors redevable à ses tortionnaires. Au moins, il pouvait toujours écrire, et travailler ses talents. Et puis, lorsqu’il fut près, il décida de quitter Shabondy, sur laquelle il était resté plusieurs années après avoir quitté l’île des Hommes-Poissons. Mais avant cela, il devait devenir fort. Il se remémora alors ses cours de Karaté Amphibien qu’il avait reçu lors de son éducation militaire, et s’y exerça pendant plusieurs semaines. Et ce n’était pas tout, puisqu’à cela fut ajouté le développement d’un corps d’athlète. Après deux mois d’entrainement intensif, et alors qu’Aozome avait vingt-trois ans, il partit découvrir le monde. Son objectif était évident : gagner les mers « blues » pour s’y faire connaitre et ne revenir dans cette partie du monde que lorsqu’on lui demanderait de faire des concerts.
En parcourant les îles, le jeune Mizuiro fit aussi la rencontre de la piraterie. Il observa ces étranges spécimens et se rendit compte d’une chose : c’était leur mode de vie libre, totalement débridé et entouré d’amis, qui inspirait le fantastique rappeur qui lui avait donné le goût de la musique. Pour devenir une star, il n’avait pas le choix : il devait se trouver lui aussi une bande de compagnons, des joyeux lurons qui accepteraient de le considérer comme un frère et avec qui il pourrait s’épanouir. Dès lors, Aozome se mit à la recherche de cela, se prétendant « pirate itinérant » partout où il allait… Encore une fois, belle connerie. Car la rumeur d’un homme-poisson pirate solitaire grossi, et il fallait la faire taire…
Assez vite, le crédule homme-poisson dû faire face à la Marine. Il ne comprenait pas ce qui allait avec le mot « pirate » jusqu’alors : l’illégalité, la peur des autres à votre égard, la traque du Gouvernement… Pour lui, qui était « différent » depuis sa montée à la surface, ces choses-là étaient très naturelles, il les avait toujours connu. Face à ces hommes pourtant cette fois, il ne voulait pas se laisser faire. Il comprit au dernier moment que pour se faire connaitre, en tant que pirate, il devait faire du mal aux « hommes en blanc ». Pour la première fois de sa vie, réellement, il utilisa le Karaté Amphibien sur des ennemis vivants. Et il se rendit compte à quel point il était fort, comparé à ces hommes. Sans le faire exprès, il les blessait mortellement. Et plus il le faisait, plus les vers montaient en lui : l’hémoglobine, que ce soit la sienne ou celle d’autrui, semblait doper son inspiration. Si bien, entrant dans une sorte de transe, il finit par se faire blesser de manière extrêmement profonde : il perdit son œil droit et se fit arrêter. Une fois de plus, il était de retour en prison. Quand il ressortirait, il serait prêt pour trouver des compagnons, partir à l’aventure, et écrire le plus grand des rap.
Dans la pénombre des fonds marins, un seul îlot parvenait à la lumière : la mythique île des Poissons, féérique et sauvage. Elle abritait une population fort peu banale, à mi-chemin entre l’Homme et l’Amphibien. Et au milieu de ces créatures si étranges, l’une d’entre-elle se démarquait. Elle était physiologiquement identique : doigts palmés, branchies, queue de poisson. Tout en elle était identique, sauf une chose, un détail, qui faisait d’elle un véritable être humain : son esprit. Cette chose était plus humaine que vous et moi grâce à cela. Elle était artiste, et en cela, côtoyait les plus grands. Et le moment auquel je pense, justement, revenait sur sa première véritable œuvre…« Faut ajouter des « Yo », Yo… Et un peu de « Yeah », Yo »
Il froissa son corail pourtant empli d’encre de poulpe. Ca n’allait pas. Tout ceci manquait de panache. Il fallait faire mieux, marquer le coup. C’était un grand jour après tout. Et il ne lui restait que quelques heures avant le moment prévu. Il devait s’y mettre plus sérieusement. Plancher convenablement sur l’œuvre, afin de la rendre vraiment unique. Mais Aozome ne désespérait pas, ayant confiance en son talent qui l’avait frappé depuis quelques années maintenant. Tant de temps avait passé, tant d’heures passées là à travailler. Oh oui, ça allait être un moment grandiose, son heure de gloire.
Seul au milieu de ce qui servait de place centrale à la « ville », il était enfin prêt. Finalement, il avait réussi à faire quelque chose de littéralement génial. Pourtant, personne ne semblait s’intéresser à lui. Qu’à cela ne tienne, il finirait par avoir leur attention de toute façon. Il finit par crier, pour attirer vers lui tous les regards. Tout raide, immobile, on aurait pu croire qu’il était paralysé. Sans doute le fut-il, quelques secondes, par le trac. Et puis finalement, il se mit en mouvement. Tout était parfaitement su, répété mille fois dans sa tête : tout devait bien se passer. Il se relaxa les nageoires avant de gonfler les branchies et de s’y mettre :« Eh Yo ! Aoz’ dans la place, Yoooo !
J’ai l'impression d'être un gladiateur qui rentre au colisée
Alors qu’jsuis plutôt un sénateur qui rentre alcoolisé, Yeah
C'est pas du rap de carnaval - vieille carne, avale !
J'vais envahir le monde et j'commence par l’aval
Toucher le fond, j’le fais tous les matins Yo
Mais ça m’empêche pas d’être à fond p’tain !
C’l’moment d’applaudir, d’me montrer qu’t’es pas puni
En écoutant mon flow d’poiscaille à base de branchies Yeah
Astique-toi les nageoires, titille-toi les palmes
C’est surtout pas l’moment d’rester calme
Les filles, j’tez moi vos sous-algues, que j’respire d’la cyprine
Avant que j’me taille et qu’vous soyez toute seule ‘vec vos pines !»
Mais malheureusement, la prestation fut écourtée. Devant tant de vulgarité, et si peu de talent, la foule ne pouvait rester inerte. A défaut de tomates, elle jeta des crevettes à la face de la futur star, si bien qu’il fut bien rapidement enseveli par une montagne de petites bêtes roses. Il l’avait bien cherché, me direz-vous. Il allait devoir travailler. Mais pas ici. Ce public n’était pas assez bon pour lui, voilà ce qu’il se disait. Le lendemain, à la première, il avait disparu. Il était temps pour lui d’entrer dans le grand bain. (et oui, je termine sur une vanne aussi pourrie, même pas honte)
__________ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ __ _ _ _________
Informations IRL
Informations IRL
- Prénom : Quentin
Age : 20 ans
Aime : Littérature, écriture, mangas, jeux vidéos, cinéma, musique, football... Et des tas d'autres trucs o/
N'aime pas : Mauvaise littérature, mauvaise musique, les footix et les cons de manière plus ou moins générale.
Personnage préféré de One Piece : Wow, vaste question. Zoro, Shanks, Law, Smoker, pour donner quelques noms...
Caractère : Chiant, relativement intelligent et cultivé, très modeste (voir proposition précédente) mais pas dénué d'un certain humour.
Fais du RP depuis : Oh ça doit bien faire trois ou quatre ans maintenant...
Disponibilité : Tous les jours logiquement, sauf contrindication, mais je suis relativement actif généralement.
Comment avez vous connu le forum ? Ca doit être via un Top-Site. Mais me demandez pas lequel, sinon je tape !
Dernière édition par Mizuiro Aozame le Dim 4 Déc 2011 - 17:08, édité 10 fois
Bonjour bonjour (c'est toi qui a mis en doute les mises à jour de la base de donnée au coin des invités hein, t'es fishé maintenant. Ok désolé pour le jeu de mot c'était nul ^^')
Bref bienvenue, ce sera un sujet libre pour ton test rp.
Maximum 40 lignes par contre, et ça doit être sous-marin !
Bonne chance !
Bref bienvenue, ce sera un sujet libre pour ton test rp.
Maximum 40 lignes par contre, et ça doit être sous-marin !
Bonne chance !
Et oui, c'est bien moi (Pas de soucis, mon but est d'essayer de mettre le plus de vannes de ce genre dans mes posts alors tu sais... Tu verras en lisant, j'ai fais bien pire ^^)
J'ai reçu le message sur la longueur, donc j'ai fais bref. En espérant que ça vous plaira
J'ai reçu le message sur la longueur, donc j'ai fais bref. En espérant que ça vous plaira
Bonjour bonjour, un premier commentaire de présentation :
Niveau longueur : parfait
Niveau syntaxe : presque parfait (oui, mes profs de français m'ont traumatisé, je ne mets jamais 20/20 en rédaction)
Le style est là j'ai beaucoup aimé les descriptions physiques et mentales qui sont passées comme des lettres à la poste, tout comme le tout début du test rp. (très poétique).
Le petit texte de rap était pas mal, malgré sa vulgarité que tu as souligné, ça passe...
Le personnage est construit, on l'imagine parfaitement... Mise en page sympathique.
J'ai quand même relevé une petite faute : Après deux mois d’entrainement intensif, et alors qu’Aozome avait vingt-trois ans : voilà c'est un peu lourd comme tournure : à l'âge de 23 ans aurait été mieux. Et je ne suis pas sûr que l'imparfait soit bien utilisé (passé simple ?!).
Voilà, mais pour moi ça vaut 1000 dorikis, mon respect et les deux voix que je peux te donner ;)
Niveau longueur : parfait
Niveau syntaxe : presque parfait (oui, mes profs de français m'ont traumatisé, je ne mets jamais 20/20 en rédaction)
Le style est là j'ai beaucoup aimé les descriptions physiques et mentales qui sont passées comme des lettres à la poste, tout comme le tout début du test rp. (très poétique).
Le petit texte de rap était pas mal, malgré sa vulgarité que tu as souligné, ça passe...
Le personnage est construit, on l'imagine parfaitement... Mise en page sympathique.
J'ai quand même relevé une petite faute : Après deux mois d’entrainement intensif, et alors qu’Aozome avait vingt-trois ans : voilà c'est un peu lourd comme tournure : à l'âge de 23 ans aurait été mieux. Et je ne suis pas sûr que l'imparfait soit bien utilisé (passé simple ?!).
Voilà, mais pour moi ça vaut 1000 dorikis, mon respect et les deux voix que je peux te donner ;)
Je te remercie pour ces louanges, ca fait toujours de voir que son travail est apprécié =)
Concernant la petite faute, je prend note. Je ne trouve pas ça particulièrement lourd, même si j'admets que la tournure "alors que" n'est pas toujours ce qu'il se fait de mieux ^^
Merci également pour les 1000 Dokiris, du respect en retour aussi, bien entendu ;)
Concernant la petite faute, je prend note. Je ne trouve pas ça particulièrement lourd, même si j'admets que la tournure "alors que" n'est pas toujours ce qu'il se fait de mieux ^^
Merci également pour les 1000 Dokiris, du respect en retour aussi, bien entendu ;)
Salut Ao, deuxième comm' qui tombe.
Dans l'ensemble, c'est très sympa à suivre, j'vais m'attarder sur ce qui m'a gêné, flemme de taper du dithyrambique sur ce qui baigne.
Les détails qui coincent, donc. D'abord, sur la description physique, rien à redire sur le contenu, par contre les digressions de l'auteur tous les 10 mots, c'est franchement déroutant. Déconner tout en tapant ses Rps, c'est fun, youpi etc, mais là on garde pas le fil de ce que tu dis sur trois phrases. À doser. Ça passe nettement mieux côté psy, les délires sont amenés de manière plus subtile, le tout est plus homogène.
Sinon, sur l'histoire, tu crains pas l'entorse au poignet côté quantité, détails apportés; c'est bien sympa de poser du son, mais il a fait quoi de ses vingt premières piges à part ça notre MC en herbe ? L'île des hommes poissons, c'est un lieu qui laisse matière à exploiter; faire un clin d'œil au contexte; évoquer la situation de sa famille aussi aurait pu aider. Fournir quelques repères donc. Après, que le mec soit perché dans ses lyrics, cool, mais il en reste un HP pour autant. Faire partager son point de vue sur la condition de poiscaille ? Les relations avec les humains ?
Tout ça pour dire, jouer un Homme-Poisson, ça offre monstre opportunités à ce niveau, et là, finalement, on les met carrément de côté. Sans compter que monter sur terre pour faire la manche, c'est limite masochiste taper un pied de nez pareil aux humains, en vingt ans chez les siens, on a dû avoir le temps de le mettre en garde.
Pour la fin de l'histoire, un Homme-Poisson qui tue des marines, il finit esclave avec de la chance.
Bref, perso original, potentiel comique inépuisable, qualité d'écriture certaine mais des grains de sable dans les branchies quand même. 675 Dorikis pour moi.
Dans l'ensemble, c'est très sympa à suivre, j'vais m'attarder sur ce qui m'a gêné, flemme de taper du dithyrambique sur ce qui baigne.
Les détails qui coincent, donc. D'abord, sur la description physique, rien à redire sur le contenu, par contre les digressions de l'auteur tous les 10 mots, c'est franchement déroutant. Déconner tout en tapant ses Rps, c'est fun, youpi etc, mais là on garde pas le fil de ce que tu dis sur trois phrases. À doser. Ça passe nettement mieux côté psy, les délires sont amenés de manière plus subtile, le tout est plus homogène.
Sinon, sur l'histoire, tu crains pas l'entorse au poignet côté quantité, détails apportés; c'est bien sympa de poser du son, mais il a fait quoi de ses vingt premières piges à part ça notre MC en herbe ? L'île des hommes poissons, c'est un lieu qui laisse matière à exploiter; faire un clin d'œil au contexte; évoquer la situation de sa famille aussi aurait pu aider. Fournir quelques repères donc. Après, que le mec soit perché dans ses lyrics, cool, mais il en reste un HP pour autant. Faire partager son point de vue sur la condition de poiscaille ? Les relations avec les humains ?
Tout ça pour dire, jouer un Homme-Poisson, ça offre monstre opportunités à ce niveau, et là, finalement, on les met carrément de côté. Sans compter que monter sur terre pour faire la manche, c'est limite masochiste taper un pied de nez pareil aux humains, en vingt ans chez les siens, on a dû avoir le temps de le mettre en garde.
Pour la fin de l'histoire, un Homme-Poisson qui tue des marines, il finit esclave avec de la chance.
Bref, perso original, potentiel comique inépuisable, qualité d'écriture certaine mais des grains de sable dans les branchies quand même. 675 Dorikis pour moi.
Yop o/
D'abord merci pour le com'
Concernant les digressions, c'est clairement pour moi une manière de rendre les descriptions et notamment celle sur le physique, un minimum intéressant. Sans ça, même en l'écrivant je m'emmerde et pour être fréquemment à votre place sur d'autres forums, c'est encore pire à la lecture. Mais 'est quelque chose que vous ne retrouverez pas dans mes posts Rp ;)
Ensuite, concernant la bio', y'a eu comme qui dirait un problème de compréhension. Je m'arrête sur cette phrase : "Après, que le mec soit perché dans ses lyrics, cool, mais il en reste un HP pour autant.". Justement non, en faite. Il n'a rien d'un HP et c'est bien le but que je recherche de le démarquer des autres de sa race que l'on a pu voir dans le manga. Alors en faire des caisses sur les vilains humains qui nous harcèlent n'aurait avancé à pas grand chose (rien ?), d'autant qu'il ne quitte pas l'île avant son départ définitif, donc à quoi bon être empli de préjugé. Quant à "son point de vue sur la condition de poiscaille", tu auras compris qu'il n'en a absolument pas conscience, ni même de la relation avec les humains. Il n'est pas seulement perché dans ses texte : il est en dehors de tout, ne déduit rien (cf le 3ème paragraphe du profil psychologique pour plus de détails). C'est pour ça qu'il va faire la manche sans se rendre compte qu'il risque à tout moment de finir esclave etc. C'est un con extrêmement chanceux de s'en sortir "bien" et il ne le remarque même pas, pour faire court ^^
D'abord merci pour le com'
Concernant les digressions, c'est clairement pour moi une manière de rendre les descriptions et notamment celle sur le physique, un minimum intéressant. Sans ça, même en l'écrivant je m'emmerde et pour être fréquemment à votre place sur d'autres forums, c'est encore pire à la lecture. Mais 'est quelque chose que vous ne retrouverez pas dans mes posts Rp ;)
Ensuite, concernant la bio', y'a eu comme qui dirait un problème de compréhension. Je m'arrête sur cette phrase : "Après, que le mec soit perché dans ses lyrics, cool, mais il en reste un HP pour autant.". Justement non, en faite. Il n'a rien d'un HP et c'est bien le but que je recherche de le démarquer des autres de sa race que l'on a pu voir dans le manga. Alors en faire des caisses sur les vilains humains qui nous harcèlent n'aurait avancé à pas grand chose (rien ?), d'autant qu'il ne quitte pas l'île avant son départ définitif, donc à quoi bon être empli de préjugé. Quant à "son point de vue sur la condition de poiscaille", tu auras compris qu'il n'en a absolument pas conscience, ni même de la relation avec les humains. Il n'est pas seulement perché dans ses texte : il est en dehors de tout, ne déduit rien (cf le 3ème paragraphe du profil psychologique pour plus de détails). C'est pour ça qu'il va faire la manche sans se rendre compte qu'il risque à tout moment de finir esclave etc. C'est un con extrêmement chanceux de s'en sortir "bien" et il ne le remarque même pas, pour faire court ^^
Okay je prends note; seulement, l'aspect en marge de la société, cette mentalité de mec dans les nuages, tout à ses préoccupations et rarement les pieds sur terre aurait gagné à être plus développé dans la psycho. À la lecture, ton perso ressemble à un bon ado rebelle dans sa bulle et qui cherche toujours à faire des gaffes; le côté sur une autre fréquence est pas avancé plus que ça, et justement, signifier clairement cette particularité de sa personnalité dans l'histoire aurait favorisé la compréhension générale de qui est le gusse; là on reste simplement dans de l'omission, d'où le flou.
Sinon, bah pour ma part, je prends plaisir à lire des présentations, il suffit d'apprécier la lecture de mon point de vue. Et quand on cherche à se faire un portrait du mec qui se présente sur scène et que t'as un comique dans le fond de la classe qui bavarde, ça aide pas des masses.
Sinon, bah pour ma part, je prends plaisir à lire des présentations, il suffit d'apprécier la lecture de mon point de vue. Et quand on cherche à se faire un portrait du mec qui se présente sur scène et que t'as un comique dans le fond de la classe qui bavarde, ça aide pas des masses.
Avant de commenter, je dois juste rappeler, à toute fin utile, que passer de 1000 à 675 dorikis n'est pas une divergence énorme d'opinion. On a entre 100 et 800 de base et on va jusqu'au mille quand c'est dans le mil. Eh ouais, ca calme.
Niveau forme, c'est bien écrit et avec de rares fautes. J'en ai juste relevé deux, négligeable malgré la taille totale de la présentation. D'ailleurs pour la phrase soulevée par GM, que je ne compte pas parmi mes deux fautes, le souci ce n'est pas le temps mais le "et" du et alors que, c'est une tournure un peu disgracieuse. Le "alors que" suffisait largement, mais soit passons c'est du détail tout ça. Moi ce qui m'a bloqué, c'est effectivement cette manie de faire du hors rôleplay dans ton rôleplay. Le narrateur est l'auteur, c'est très fortement supposé, mais il se parle quand même ? C'est comme si je me répondais après m'être parlé dans mon journal intime, c'est peut-être techniquement faisable, mais pas quand on veut maintenir un rythme, ou rhythm if ya prefer. Du coup, j'ai eu l'effet en te lisant d'une blague que tu coupes de réflexions parasites et en plus de chutes que tu ne rends plus drôles en me les expliquant, comme si je ne les avais pas comprises et qu'il fallait insister dessus pour que je constate bien où est Charlie. A ne plus faire ça, ou alors de façon très dosée. Je m'en ficherait un peu si tu écrivais mal, parce que je n'accrocherais de toute façon pas à l'histoire alors la couper, sans gêne réelle. Mais quand tu apprécies un film, l'image qui saute devient vite insupportable.
Comme l'histoire est courte et se contente d'énumérer les compétences (je schématise grossièrement, disons que les dons mangent un bon pourcentage), je comptais justement sur un test plus long et bien travaillé pour raconter une histoire chouette et te laisser t'éclater avec ta plume. Là tu t'en sors bien, mais j'encourage tout membre du staff à plutôt placer des exigences de tests basées sur le fond et non la forme d'écriture. J'ai personnellement beaucoup de mal à juger quand on force quelqu'un à écrire peu, en "vous" ou avec une lettre sur deux en pourpre.
Une fois n'est pas coutume, je donne plus de dorikis que mon estimé collègue Trinita. J'arrivais pour ma part à 700 et en faisant une moyenne honnête des différents avis je pense qu'on s'en tire bien à 730 dorikis. Bon jeu. ^^
Niveau forme, c'est bien écrit et avec de rares fautes. J'en ai juste relevé deux, négligeable malgré la taille totale de la présentation. D'ailleurs pour la phrase soulevée par GM, que je ne compte pas parmi mes deux fautes, le souci ce n'est pas le temps mais le "et" du et alors que, c'est une tournure un peu disgracieuse. Le "alors que" suffisait largement, mais soit passons c'est du détail tout ça. Moi ce qui m'a bloqué, c'est effectivement cette manie de faire du hors rôleplay dans ton rôleplay. Le narrateur est l'auteur, c'est très fortement supposé, mais il se parle quand même ? C'est comme si je me répondais après m'être parlé dans mon journal intime, c'est peut-être techniquement faisable, mais pas quand on veut maintenir un rythme, ou rhythm if ya prefer. Du coup, j'ai eu l'effet en te lisant d'une blague que tu coupes de réflexions parasites et en plus de chutes que tu ne rends plus drôles en me les expliquant, comme si je ne les avais pas comprises et qu'il fallait insister dessus pour que je constate bien où est Charlie. A ne plus faire ça, ou alors de façon très dosée. Je m'en ficherait un peu si tu écrivais mal, parce que je n'accrocherais de toute façon pas à l'histoire alors la couper, sans gêne réelle. Mais quand tu apprécies un film, l'image qui saute devient vite insupportable.
Comme l'histoire est courte et se contente d'énumérer les compétences (je schématise grossièrement, disons que les dons mangent un bon pourcentage), je comptais justement sur un test plus long et bien travaillé pour raconter une histoire chouette et te laisser t'éclater avec ta plume. Là tu t'en sors bien, mais j'encourage tout membre du staff à plutôt placer des exigences de tests basées sur le fond et non la forme d'écriture. J'ai personnellement beaucoup de mal à juger quand on force quelqu'un à écrire peu, en "vous" ou avec une lettre sur deux en pourpre.
Une fois n'est pas coutume, je donne plus de dorikis que mon estimé collègue Trinita. J'arrivais pour ma part à 700 et en faisant une moyenne honnête des différents avis je pense qu'on s'en tire bien à 730 dorikis. Bon jeu. ^^