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Un Ville, Des Esclaves & Un Pirate.

    Alucard ce trouvait sur une île au loin des côtes de West Blue. Celle-ci était connue pour ses nombreux trafiques d'humains et de personnes en tout genre. On lui avait souvent parler de cette ville "d'esclave", mais aujourd'hui il avait l'intention de la voir de ses propres yeux. Il s'était levé de bonne heure pour pouvoir monter à bord de la première et seule embarcation qui prenait la direction de cette île maudite. Il s'était donc introduit dans un navire de très bonnes fortunes. Clandestin d'un jour, il naviguait sur un richissime bateau en direction de son but. Il souriait bêtement, pensant aux nombres de personnes qui avaient payé cette embarcation pour rien. Certes, ils n'étaient pas du même milieu que Alucard, mais en temps de crise, il fallait savoir ce salir les mains. Alucard avait pris cette destination, non pas pour faire l'acquisition de belle demoiselle d'un pays lointain, mais pour constater la misère du monde. Le trajet était long et sens intérêt. Alucard était dans l'arrière du navire, regardant tranquillement la mer et l'écume passer sous ses pieds. Respirant à plein poumon, il accumulait cette odeur qui plaisait tant à ses narines, celle du sel et de l'eau, celle de l'écume et des coraux, celle de la mer. Cet étendu bleuâtre qui symbolisait la liberté et l'aventure à ses yeux. Son rêve actuel, était de devenir un pirate craint et respecté sur le monde entier. Mais il lui faudrait du temps et beaucoup de courage pour arriver à ses fins. Il n'était pas aisé de marquer du poing et d'imposer son nom dans un tel milieu, mais ce qu'il était sûr, c'était qu'un jour il y arriverait tant bien que mal. Il avait déjà la chance de faire partie d'un équipage de fer. Un équipage dirigé par un capitaine auquel il a confié sa vie. Il se nommait Kaygen et depuis qu'ils se sont rencontré, Alucard n'obéit qu'à cette personne. En parlant de Kaygen, cela faisait un bout de temps qu'il ne l'avait plus vue. Il était surement en train de préparer leur départ et devait de ce faite être très occupé. Soudainement, la course du navire se mit à ralentir. Alucard se leva et regarda vers l'avant, une île était visible. Le bateau était arrivé à destination. Al' regarda une dernière fois que ses armes étaient bien dissimulées et il prit les devant. Arrivé à quelques mètres du port, ne voulant pas s'enfoncer directement dans celui-ci, il sauta sur un bout de pont pour quitter son embarcation de bonne fortune. Bien sûr à quelques mètres près, il finissait dans l'eau la tête la première. Heureusement que cela ne c'est pas produit, sinon il n'aurait même pas oser ressortir de l'eau.

    Puis se fut d'un pas lent, qu'il prit la route pour arriver au centre de la ville. Sur le chemin, il ne vit rien d'anormale. S'était une ville comme toutes les autres, avec des habitations et quelques ordures qui trainent par si par là. Pourtant au furent et à mesure qu'il avançait, tout ce qu'il avait vue précédemment semblait devenir une simple façade. Le point culminent qui lui avait mis la puce à l'oreille, était le fait qu'il n'avait aucun citoyen dans les rues de toutes ses nombreuses habitation. Après quelques minutes de marche, il put entendre du bruit provenir d'une place ou d'un autre édifice du même genre. Il arriva rapidement sur les lieux. Il y avait foule ! Des centaines de personnes étaient rassemblées sur cette place de marché, elles attendaient toutes que quelque chose débute. Soudainement un homme surgit d'une estrade au loin avec des jumelles autour du coup et un interphone (ou micro) à la main. Il se mit alors à crier des nombreux mots auxquels Alucard n'avait pas porté attention, puis des acclamations éclatèrent dans tout le publique. Un rideau s'ouvrit et Alucard put constater de ses yeux innocents, l'horreur d'une vie humaine. Il y a sur cette estrade, des dizaines de races femmes, hommes ou enfants représentées sur un plateau d'argent, une corde autour du coup avec une pancarte chiffré. La vie avait donc un prix !!! Alucard était en train d'assister à la vente aux enchères d'une dizaine d'esclaves devant une foule de riche et odieux personnages. La colère surgit rapidement dans ses veines, et il pouvait déjà sentir son pouls marteler ses tympans. Il dut de ce faite quitter les lieux pour ne pas provoquer un bain de sang. Mais l'horreur ne s'arrêta pas pour autant ... Il ce trouvait belle et bien au centre de la ville comme il l'avait désiré, mais se fut à contre cœur qu'il put voir la misère du monde. Il y avait des personnes par millier agglutinées dans ces ruelles. Toutes étaient aussi pauvre les une que les autres. Ils n'avaient rien à manger, qu'on pouvait voir leur os à travers leur peau. Certains se battaient pour une tranche de pain devant les rires aigus de certains bourgeois. Une larme glissa de son œil droit, pour finir sa course sur son menton. Il deviendrait surement quelqu'un de recherché, mais qu'importe il ne pouvait plus supporter une seule seconde cette vision d'horreur. Il lui fallait frapper fort, pour que son acte marque les esprits.

    Il se mit alors en quête d'une proie qui se distinguerai des autres par leur tenue ou leur gloire. Au bout de seulement quelques minutes, il découvrit l'individu qui ferait office de proie et d'informateur pour la suite de son plan. C'était un vieille homme bien garnit et entouré de nombreuses courtisanes. Il avait de nombreux bijoux autour de son cou et sur ses mains, des médailles étaient accrochées sur sa veste. S'était surement un ancien combattant ou il les avait tout bonnement acheter pour un prix qui était pour lui dérisoire. Alucard se mit en alors en quête de kidnapper cet homme, afin que celui-ci lui délivre des informations. Mais il y avait toujours trop de monde autour de lui et il devait le faire en toute discrétion. Alors, il n'eut d'autre choix que de suivre sa proie, jusqu'à qu'un moment propice se présente. Alucard suivit le vieillard jusqu'à l'heure du repas de midi. Bien sûr il ne pouvait accéder à l'établissement où celui-ci était entrée, mais il avait déjà sa petite idée pour contré ce désagrément. Au beau milieu du repas, l'homme se leva et pris congé de ses invités pour se rendre au cabinet. Al' bondit sur ses jambes, le temps était venu d'entrée en action ! Il fractura rapidement la vitre et attrapa l'individu qui venait de se laver les mains. Une corde et un bandeau et l'individu était maitrisé en quelques minutes. Aucun cri de détresse n'eut le temps de sortir de sa bouche. Un coup puissant sur le haut du crâne l'avait mis hors d'état de nuire. A son réveil l'individu se trouvait dans une habitation délabrée qui lui était inconnue. Attacher à une chaise, il se mit directement à gindre. Alucard apparut d'un coin de la pièce, émergeant de l'ombre de la chambre d'hôte. Le vieillard devint blanc et ses diffamations finirent dans un bruit sourd.

    Que que me voulez ... lez-vous ? Balbutia le vieille homme.

    Alucard souria et avança vers l'individu en dégainant sa lame. Le bruit produit lors de son contact avec le fourreau résonna durant quelques secondes dans l'habitation. Un frisson émergea sur l'échine dorsale du vieillard horrifié. Les yeux rougeâtres d'Alucard semblaient rajouter une dose de monstruosité à toute cette scène.

    J'ai de l'argent !!! Beaucoup d'argent !!! Je vous donnerai tout, si vous me laissez partir.

    L'argent ! L'argent ! Vous n'avez que se mot à la bouche. Et hélas pour vous mais je ne suis pas intéressé par votre fortune. Votre punition doit être un exemple pour les futures personnes qui fouleront de leur pas ses terres délabrées. Dite-moi dans quel lieu vous vous rassemblez !

    Jamais vermine !!!


    La pointe de la lame vint directement se loger dans la clavicule de l'individu. Du sang surgit de la plaie assez rapidement pour venir tâcher tout son ensemble blanc d'aristocrate.

    Aaaaahhhh !!! Beugla le vieillard, hurlant de douleur et de peur.


    Puis-je avoir une réponse ...


    Non !!!

    Vous êtes têtu et plein de courage ... Ou bien serai-ce de la folie !

    La pointe fut retirée de la première blessure pour aller ce loger dans la cuisse droite du force nez. Un hurlement vint à nouveau troubler le calme des lieux. Alucard dégaina à nouveau son arme, mais l'individu le stoppa rapidement.


    Stop ! Je vous en supplie ... Arrêter par pitié, je vais vous dire où nous avons trouver demeure ...

    Je vous écoute ...
    Dit Alucard d'une voix calme, le sourire aux lèvres.

    Notre demeure se trouvent dans la centre ville, sur les hauteurs. Une grande villa blanche au portail bleuâtre. Il n'y en a qu'une seule, vous ne pouvez pas la louper.


    Uhm très bien c'est parfait ... Je vais donc prendre congé de vous, cher monsieur.

    Merci, mais s'il vous ...

    Un bruit de détonation coupa la parole du vieille homme. Une giclée de sang apparut sur le mur derrière l'individu. Son crâne était en lambeau, une balle de fer logée en son front. Sa bouche était encore grande ouverte et ses yeux semblaient être étonnées. Alucard posa une bâche sur le cadavre et partie de la scène de crime. Personne ne viendrait rechercher se bourgeois par ici.

    Alucard partit de l'habitation, la nuit était déjà tombée sur la ville. Il lui fallait agir vite pour pouvoir punir et frapper au fer rouge les personnes qui favorisent ce trafique d'esclave. Il se dirigeait d'un pas rapide vers la demeure que lui avait son ancien otage. Il dut hélas faire un petit détour vers une planque de mercenaire. Il lui fallait de l'attirail pour cette petite mission inopinée. Une corde, plusieurs pillés et des explosifs. Il fallait frapper fort et rapidement. La demeure se trouvait à deux kilomètres de sa position. La discrétion était essentielle pour cette virée nocturne. Il avait de ce faite changer de costume, pour arborer un ensemble totalement noir. Sa lame était dans son dos et ses pistolets dissimulés sous son ensemble. Il avait remarqué que de nombreux avis de recherche avaient été installés partout dans la ville, sa petite enquête n'était donc pas passée si inconnue que cela. La prudence était donc également de rigueur. La demeure était une grande villa blanchâtre coupée en plusieurs bâtiment bien distinct. Trois étages, trois bâtiments, tous aussi grand l'un que l'autre. Il n'avait pas de plan du bâtiment, il ne pouvait donc pas agir pour le moment. Il lui fallait faire une acquisition du terrain avant de pouvoir entreprendre sa guerre de moralité. La clôture était haute de quelques mètres et plusieurs gardes servaient de sentinelle aux alentours de la propriété privée. Il n'y avait aucun tour de garde, les hommes semblaient être fatigués. Il lui serait aisé de passer au travers de leur maillage. Mais le problème serait la mise en place de la claustration des ses invités. D'un bond et de plusieurs appuis, il réussit à passer la barrière du périmètre. Personne en vue, il partit rapidement vers le façade nord du bâtiment. Contournent la villa, il remarqua rapidement qu'il n'existait qu'une entrée principale et une sortie de secours à l'ouest. Il plaça rapidement une charge sur chacune des portes, afin de contrée toute sortie ou entrée dans la demeure principale. Il ne pouvait pas perdre ses proies si facilement ...

    Alucard était passé par le toit pour se rendre à l'intérieur de la villa, si aucun cris de détresse n'était émis personne ne viendrait le troubler dans son œuvre. Beaucoup de bruit surgissait d'une salle au milieu de l'habitation. Pourtant il n'y avait aucun domestique dans les parages. Bizarre ! Était-il possible que quelqu'un eut connaissance de ses intentions ? Al' partit alors vers le troisième étage, il y avait des chambres par millier. Il ne savait pas où porter de l'attention, car tout était semblable par ici. La symétrie de chaque détail, avait été exécutée avec beaucoup de précision. Il ne pouvait donc pas ce fier à sa vue. Ses autres sens étaient en alerte totale, car il ne pouvait que compter sur ceux-ci. Quelques ouvertures étaient disponibles dans certains pan de mur. Il avait une légère vue sur la table des festins, mais l'angle était trop petit pour pouvoir compter tous les convives. Il opta de ce faite pour un plan plus tôt violent, afin de pouvoir contraindre ses adversaires. Durant plusieurs minutes, il se mit en marche et posta de nombreux explosifs dans toute l'enceinte du bâtiment. Plusieurs mèches permettraient de tout faire exploser en une fraction de seconde. Son cœur battait rapidement, il se trouvait à proximité de la porte d'entrée de la salle à manger. D'un coup de pied rapide, il fractura la porte pour interrompre le broua qui s'y trouvait à l'intérieur quelques minutes auparavant. Plusieurs personnes étaient en train de festoyer au moment des faits. Surprises par la bruit, là plus part se turent rapidement. Alucard rentra doucement dans la pièce et la scruta du regard. Il y avait neufs invités et une chaise vide sans assiette devant celle-ci, donc il manquait quelqu'un à l'appel. Les bourgeois n'osaient pas interpeler l'étranger par peur ou par simple méconnaissance. Al' referma la porte derrière lui et la verrouilla à l'aide d'une tige en acier. Il n'y avait pas d'autre issu, il s'était donc enfermé avec ses proies. Le loup était rentrée dans la bergerie, la fête allait bientôt commencer. Il y avait quatre hommes et cinq femmes, tous aussi vieux l'un que l'autre, toutes aussi ravissantes l'une que l'autre. Au moins ces vieillards avaient du goût pour choisir leur compagne d'un soir. Ils étaient tous habillés d'un certaine façon à mettre leur rang en valeur: couture de première classe, de nombreux bijoux, des tissus de velours et surtout un teint blanchâtre. Al' était vraiment l'opposé de cette drôle de race ! Et dire que des êtres aussi ignobles et répugnants faisaient partie de la race humaine. Soudainement un homme voulut se lever, mais Alucard le dévisagea rapidement du regard. L'homme reprit directement sa place sans un mot.

    Je vous que vous vous amusez bien. Bonne nourriture, vêtements de première classe, bijoux clinquants ... Et tout ceci grâce à votre trafique d'être humain. J'aurais honte à votre place d'utiliser ainsi de l'argent sale. N'avez-vous donc jamais penser à l'impacte et aux conséquences et toutes vos convoitises et autre diffamation psychologique. Pourtant il suffit de voir la misère qui touche ses rues dans lesquels vous lâcher vos chiens pour qu'ils mordillent les plus faibles êtres de la ville dont vous n'avez plus besoin. Ah ! mais j'oubliais, votre arrogance et votre égoïsme n'est d'autre que les seuls sentiments qui animent votre être, c'est pour cela que vous n'avez jamais réfléchis sur vos actes. Mais ne vous inquiétez pas j'ai trouvé la solution à tout vos problèmes. De plus une personne très charmante est prête à vous accueillir.

    Un homme se leva et Al' lui permit de s'exprimer.

    Mais de quelle solution parlez-vous ? Nous ne sommes pas malade !

    Alucard souria et reprit son monologue philosophique.

    Oh mais bien sûr que si que vous êtes malade !!! Vous êtes atteint du syndrome de l'avarice. Un virus qui vous a poussé à tuer de nombreuses personnes pour emmagasiner de gigantesques sommes d'argent. Mais ne perdez pas patience, car j'ai trouvé le remède qui nous sauvera tous de votre folie. Madame la Mort va vous accueillir à bras ouvert soyez en sûr.


    Par la suite plusieurs cris se firent entendre et tous les convives partirent en courant vers les quatre coins de la pièce. Alucard dégaina son arme, afin de les terroriser encore plus et d'avoir assez de marche d'action pour s'échapper des locaux. L'un des vieillards se dirigea directement vers un Den Den Mushi et fit sonner l'alerte. Une sirène d'alarme se fit alors entendre dans tout le duplexe. Plusieurs bruits de pas commencèrent à émerger dans toute la propriété. Les gardes étaient en train de se munirent d'arme et de venir porter secours à leur commanditaire. Mais Al' avait bien préparer son coup et avait envisagé un tel option. La première détonation se fit entendre à la sortie de secours ouest. Les gardes voulurent surement gagner du temps en passant par l'entrée la plus proche de la salle des repas. Dommage pour eux, ils venaient tout juste de la condamner. La second détonation vint de la porte d'entrée principale de la demeure royale. Le bruit résonna bien plus longtemps et l'explosion fit trembler toute la villa. Les invités de notre jeune pirate étaient horrifiés, ils ne savaient même plus où se cacher. Alucard se dirigea ensuite vers l'interphone pour faire part de ses exigences au reste de la garde.

    Je désire 100.000.000.000 de Berry dans un sac, sinon je fais sauter toute la demeure. N'essayez pas d'entrée dans la villa, car j'ai disposé des explosifs partout.

    Nous nous ... regardons ce que nous pouvons faire. Veuillez patienter quelques instants. Répondit difficilement une voix à travers le Den Den Mushi.

    Vous avez 5 minutes ... Dit-il sèchement. Puis Al' se retourna vers son beau publique pour lui faire par de l'ultimatum.

    Voilà c'est parfais ! Dans 5 minutes vous serez tous morts. Rétorqua Alucard, un grand sourire aux lèvres.

    Les aristocrates étaient blanc et tremblaient de tout leur membre. Certaines femmes étaient déjà en pleure, d'autres parlaient une dernière fois du bon vieux temps. Mais ce qui était le plus bizarre dans cette situation, c'était que personne n'osait s'insurger contre Alucard. Ils étaient neuf et lui était seul, ils auraient bien pu trouver un moyen de le mettre hors d'état de nuire. Enfin c'est ce qu'il aurait fait dans pareil situation. Les minutes passaient et toujours pas de réponse ! Al' décida donc de prendre l'appareil avec lui et quitta la salle à manger. Bien évidement, il verrouilla à nouveau la porte, mais cette fois-ci ce fut de l'extérieur. Certains des convives se ruèrent directement contre la porte, afin de frapper fortement et de crier à l'aide. D'autres se sentaient déjà en sécurité et surtout pensaient déjà être libre. Ils ne savaient pas que Al' leurs avaient réservé une petite surprise pour le bouquet final. Il se dirigeait de ce faite, rapidement vers les hauteurs. Une corde balançait au gré du vent au milieu d'un étage. Il l'attrapa d'une main et se prépara pour la gravir. D'un geste rapide il alluma un briquet qu'il fit choir sur une fine cordelette qui s'incendia directement. Elle se consuma rapidement pour se diriger vers d'autres liens qui eux étaient relier à des explosifs. Al' se mit alors en chemin pour grimper sur le toit. Une fois arrivé sur celui-ci, il prit ses jambes à son coup pour quitter le plus rapidement possible la demeure. Bien sur en chemin, il s'était dors et déjà débarrasser de l'interphone de la villa. Au bout de quelques minutes de course, une fois arrivé de l'autre côté de la route, caché derrière une aitre maison fortunée, Alucard put admirer les prouesses de son art. Le bâtiment explosa en une cacophonie de bruits sourds et gravats. Tout l'édifice partit en fumée en quelques secondes. Il ne restait plus qu'un tas de débris et de pierres sur le sol. Plusieurs gardes fouillaient tant bien que mal les restes de l'explosion, afin d'entrevoir une source d'espoir pour les occupants de la villa avant sa destruction. Mais seul des restes humains furent sortis des décombres de l'ancienne demeure bourgeoise.

    Par la suite, Alucard quitta l'île pour continuer son aventure quelque part dans le monde. Les journaux parlèrent durant de longues semaines de cet acte terroriste. La marine dénonça la révolution, mais personne ne sut jamais réellement qui fut à l'origine de cet acte de barbarie. Depuis ce tragique accident, la ville d'esclave a perdu en intensité. Les trafiques se font plus rare, mais ce qui est sûr: c'est qu'un jour Alucard devrait à nouveau faire le ménage sur cette île.
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