>> Nom & Prénom
une image 200*300 | Pseudonyme : Inari D. Hooligan Age: 22 ans Sexe : Homme Race : Homme Rang : Faiseurs de p'tites bulles Métier : Charpentier Groupe : Pirate Déjà un équipage : Le futur équipage de Seido D. Noroma But : Abolir l'esclavage. Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Je demanderai un Fruit du démon (peut être) plus tard Équipements : Une batte de baseball pour le combat (je pense peut être l'utiliser) en bois d'adam si possible afin d'éviter de devoir en changer (et pour des raisons de goût). Si possible avec une sorte de ventouse sur le dessous afin de la fixer horizontalement sur une surface verticale et permettre à mon personnage de faire des tractions lorsqu'il s'ennuie. Codes du règlement (2) : Parrain : Seido D. Noroma |
>> Physique
Comme tous les Hooligan avant lui, Inari est de sexe masculin. Comme ses ancêtres, il possède un corps fait pour l'effort. Et tout comme son père il possède des cheveux noirs impossibles à coiffer. Aussi ne prend t'il jamais la peine de les coiffer. Inari a hérité de sa mère ses yeux d'un gris reposant. C'est tout ce qu'il a gardé d'elle.
Sinon, pour ce qui est des généralités, Inari mesure 1m 85 pour un poids de 90 kilos. Alors, vous allez me dire ok, il est en sur-poids et tout. Mais non, n'oubliez pas que la densité d'un muscle est supèrieure à celle du gras. Enfin bref si on se rapproche un peu, on remarque, comme son poids le laisse supposer qu'Inari est loin d'être un homme maigrichon et squelettique. En effet, on remarque de suite que son corps est tout en muscles. Ceux-ci sont bien dessinés et secs et sans tomber dans le culturisme, on peut dire qu'Inari a un joli corps. Il a donc un corps sec et musclé sans graisse superflue. On peut deviner, rien qu'en voyant son corps, qu'il a subi des heures et des heures d'entrainement. Ses paumes sont rugueuses, ses mains abimées, ses muscles sont solides, sa peau est bien ferme et la plante de ses pieds dure comme la pierre. Il a de nombreuses marques, cicatrices, éraflures sur le corps. On devine facilement que ce jeune pirate a fait de son corps son arme principale. Sinon au niveau de ses habits, Inari privilégie les tenues légères sans froufrous ni fioritures. Idéalement, il met un marcel blanc et un jogging noir qui ne le gène que très peu pour bouger et se battre. Sinon, il a des bandages aux mains afin de protéger légèrement ses mains. A noter, qu'il se déplace les trois quarts du temps pieds nus.
>> Psychologie
Il déteste toute personne, peu lui importe son bord, si elle fait du mal à autrui gratuitement. Bien que pirate, il n'aime pas plus ses frères de nom que les marins qui les poursuivent. Il est devenu pirate car ca correspond plus à ses idéaux. Et puis il faut dire que pirate, ca sent plus l'aventure, le danger, le défi et la liberté que marin
Sinon niveau gout, il est assez simple. Il adore le contact du bois dans ses mains, cela lui confère un agréable sentiment de calme. Cela augmente sa confiance en lui. Il a d'ailleurs extrèmement confiance en lui et surtout en ses capacités. Il se sait capable de grande chose et cela lui porte parfois préjudice. Inari n'est pas quelqu'un de tétu. Bon comme tout les Hooligan, il l'est un petit peu, mais rien d'extraordinnaire. Sans plus. Il aime la nourriture simple. Les plats alambiqués et tarabiscotés ne sont pas son fort. Il aime particulièrement la viande bien ferme dans laquelle il peut croquer à pleines dents. Il néglige un peu les légumes, mais il se rattrape avec les fruits. Son truc à lui, ce n'est pas la finesse. Il est plutôt du genre à passer par la grande porte. C'est pas qu'il soit particulierement stupîde, c'est juste que c'est comme ca qu'il à toujours fait et puis c'est la dedans qu'il excelle.
>> Biographie
Inari est né sur une petite île de East Blue. Sur cette île, il y avait une grande ville principale, Hometown City, plus connue sous le nom de Hometown la Corrompue. Comme son nom le laisse penser, celle ci était peu recommendable et en général, les étrangers l'évitaient. Mais Inari naquit à l'exterieur de la ville avec son père et sa mère. Son père, ancien pirate repentit ex-primé à 125 millions de berrys, travaillait la terre. Il avait coupé tout contact avec le monde de la piraterie et s'occupait de subvenir aux besoins de sa famille. Mais un jour, un agent du Cipher Pol débarqua. Un combat s'engagea, mais le père d'Inari ne put résister aux techniques Rokushiki du serviteur de la Justice et lui succomba. L'homme tua alors sa mère et brula sa maison. Inari ne garde aucun souvenir de cette portion de sa vie étant donné qu'il avait environ 3 ans lorsque cela arriva. C'est dans cette ville qu'Inari grandit donc, aussi loin que sa mémoire lui permet de s'en rappeler. Le premier endroit qu'il connu alors fut l'orphelinat local, situé en péripherie de la ville. L'orphelinat St Emeraude, la où la vie resplendit... Resplendit, mes fesses ouais. Dès l'age où Inari fut capable de penser, la seule chose qui occupait ses pensées était de fuir ce lieu. A cause de son désir de liberté, il tatat souvent le fouet du gardien et gouta au moins autant au silence des cachots. Les conditions de vie spartiate et ces mauvais traitements étaient son lot quotidien. Il finissait par s'habituer à tout cela et en tira même de bonnes choses. Il avait appris à encaisser, à vivre de rien et dans une ville comme Hometown City, cela aidait fortement. C'était ca sa plus grande force, malheureusement, seul point noir, pire que la faim, pire que les cicatrices... la solitude. Dans de telles conditions, il était impossible de se faire des amis, ici c'était chacun pour soi. C'est ce qui manquait le plus à notre jeune homme, un ami. Son meilleur ami ici était Bobby, un bout de roche dans la cellule n°7 qui servait au jeune homme à faire des tractions. Cela permettait au jeune homme de muscler son corps et d'oublier le temps de quelques heures, la misère dans laquelle il était plongé. Mais un beau jour, tout cela changea. Après une n-ième tentative de fuite (cette fois-ci en essayant de sauter le mur à l'aide d'une catapulte de fortune) Inari se retrouva à nouveau au fin fond des cachots. Plusieurs heures après, à moins que ce ne soit plusieurs jours, le temps s'écoulant étrangement dans le noir, la porte de la cellule s'ouvrit sur un autre orphelin qui poussé par le gardien alla s'effondrer au fond de la cellule. La lourde porte se referma aussitôt et le nouveau se leva et alla s'asseoir dans un coin sans dire un mot. Les heures passèrent, aucun des deux ne parlait. Inari se surprit lui même à sourire. Peut être que le seul fait d'être dans cette pièce avec quelqu'un d'autre en faisait automatiquement un ami. Quoi qu'il en soit, Inari, après un long moment d'hésitation, sans regarder le jeune homme, dit
Inari... Je m'appelle Inari
Gemna...
T'es la pour quoi?
J'ai essayé de m'évader
Oh moi aussi! Avec une catpulte
Une catapulte?
Le dénomé Gemna se tourna alors.
Oui, elle devait me faire passer par dessus le mur...
Haha tu es fou! ... C'était une sacrément bonne idée!
Une grande amitié commença alors entre ces deux la. Ils partagaient un désir commun de liberté. Dès que l'un se retrouvait en cellule, l'autre se débrouillait pour se faire punir et le rejoignait aussitôt, et ensemble, ils établissaient un plan d'évasion qui devait leur assurer la liberté. Mois après mois, ils étudiaient, la moindre faille dans le système, connaissaient par coeur les horaires de rondes des gardiens, les allés et venus de chacun. Puis un jour, ils furent pret.
23h00
Dans un bloc, servant de chambre, battit uniquement de béton, un gardien rentre, éteint les chandelles encore allumés, regarde la dizaine d'enfant endormi et ressort
23h01
Deux couvertures se soulèvent et dévoilent deux jeunes hommes encore habillés. Dans le bloc, pas un bruit. Une chandelle s'allume.
23h59
Un bloc de béton sombre et humide. Autour d'une chandelle de cire jaunatre, deux gamins de 14 ans, le visage peint en noir, à l'aide de charbon.
Ca y est, c'est le grand soir!
L'un des deux garcons se dirigent vers la porte. L'autre murmure
Atttends.
Il retourne à sa paillasse, soulève son matelas de bois, et met sa main dans un trou qu'il vient de dégager. Il en ressort un vieux briquet rouillé.
Souvenir de famille sourit il
00h00
Un clocher au loin résonne. Une porte s'ouvre, deux silhouettes sortent dans le froid mordant de l'hiver et se dirigent dans la cour principale de l'orphelinat et grimpent dans le seul arbre qui s'y trouve. Silence totale. On n'entend que le mugissement du vent et le bruit que font les clés pendus à la hanche d'un gardien qui fait sa ronde tranquillement, passe sous un arbre et s'assoit dans un coin de la cour, près d'un feu.
01h45
Rouuu Calakakou!!
Acoucou!
Un gardien s'endort, réchauffé par un feu mourrant après 1h45 de lutte contre le sommeil. Deux ombres tombent de l'arbre et rejoignent un gardien qui fait sa ronde quotidienne. Chacune de ses ombres a dans les mains une arbalète. Reste d'une ancienne catapulte détruite par un gardien méticuleux. Chacun posséde une seule et unique flèche. Il faut agir vite et en silence. Tout les mouvements sont millimétrés comme répétés mentalement des milliards de fois. Ils suivent le gardien, marchant dans ses pas pour ne pas faire de traces dans la neige. Si ce dernier se retourne, c'en est fini du plan. Tout tombera à l'eau. C'est pourquoi les deux orphelins, tout en marchant, pointent leur arme dans le dos du gras gardien. Heureusement, le vent et la neige qui tombe étouffe les bruits qu'ils font, même si ceux ci sont à peine audible.
02h00
Un lourd portail de fer est en vue, à quelques dizaines de mètres. Les deux ombres se regardent, se font un signe de tête silencieux et font feu. Le gardien s'écroule, silencieusement dans la neige qui continue de tomber. L'un des deux jeunes prend les clés à la ceinture du mort, regarde son pote et lui murmure, rompant le silence.
Pouquoi t'as tiré, on a plus de flèches maintenant et il reste encore le garde du portail
C'est toi qui ne devait pas tirer imbécile... enfin j'crois. Mais t'inquiètes, le gardien j'en fait mon affaire, toi occupe toi du portail.
'Spèce d'andouille
02h05
Une silhouette s'approche d'un lourd portail. Seul obstacle restant entre l'ombre et sa liberté tant désirée. Soudain un gardien se lève.
Qui est la? Reculez, éloignez vous de ce portail dit il en tenant un fusil
*Je dois faire confiance à Gemna *
Une clé est tournée dans un lourd cadenas de fer. Un homme lève le fusil qu'il portait dans le dos et le pointe sur une ombre. Soudain cet homme armé, vacille sur ses pieds. On vient de le frapper à la tête. Il s'effondre, semble mort. Gemna enjambe le corps. Ce dernier se relève. Le lourd portail pivote. Quelqu'un lache un
Vas t'en Inari, je vais le retenir.
Quelqu'un se tourne, tourne le dos au portail, et par conséquent à sa liberté, rejoint son ami et se jette sur le dos de l'homme qui venait de se relever et recoit un méchant coup de poing dans l'estomac. L'homme sort un long couteau de sa ceinture et le pointe sur l'un des deux gamins. Les deux lui font face, l'encerclent et lui tournent autour. D'un signe entendu, les deux se jettent sur l'homme. L'un reçoit un coup dans l'estomac tandis que l'autre reçoit une entaille au visage. L'homme s'effondre à terre. Inari vacille. Sa plaie au ventre saigne abondamment. Gemna s'effondre, son entaille à la joue coule d'un liquide rougeatre. Ce dernier vacille à son tour et tombe aux pieds de son ami.
Inari soulève son ami, le met sur son épaule, comme un sac. Et lui dit
Je ne te laisse pas ici, tu viens avec moi.
02h15
Une lourde silhouette passe le lourd portail.
Deux gamins trouvent la liberté qu'ils souhaitaient.
...
...
...
...
Dans une grande salle, peu éclairée, tronent deux jeunes hommes. Petit à petit, la salle se remplit petit a petit de tout les gamins des rues, de tous les orphelins échappés, de toute la vermine de la ville. L'un des jeunes hommes, porte une cicatrice sur le flanc droit sous son t-shirt tandis que le deuxieme arbore fièrement la sienne qu'il a à la joue. Inari et Gemna ont maintenant 22 ans.
Inari se lève de son siege, lève la main. Le silence se fait immédiatement dans la salle.
Bienvenue à la Cour des Miracles!
Il claqua des doigts et entrèrent alors des hommes chargés de nourriture. Tous les hommes présent dans la salle s'asseyèrent alors à de grandes tables et festoyèrent de nourriture bien mal acquise mais bel et bien acquise.
...
C'est ainsi que se déroulait la vie de nos deux jeunes protagonistes. Ils avaient créé une organisation regroupant tout les déchets, hommes et femmes, dont cette ville ne voulait pas et en prirent la tête. Les égouts devinrent leur royaume. Chacun se mit à leur service, rejoignit leur étendard.
Par les temps qui courent, personne ne veut de vous! Si vous n'avez ni espoir ni rêve, vous allez crever comme des chiens. Rejoignez nous... Soyons une famille.
Leur credo était de ne rien lacher, de ne jamais rien lacher. De rester discret. Tout le monde en ville connaissait leur existence mais personne n'avait vu ou entendu l'un des membres de la Cour des Miracles. Mais principe fondamental, il fallait être pret a donner jusqu'à sa propre vie pour un frère. De ne jamais abandonner un nakama!
Ce qui vous est précieux, ce que vous aimez, même si vous risquez votre vie, vous devez le protéger, à la force de vos deux bras!
Et c'est ce qu'ils faisaient, ils s'entraidaient, se protégaient, s'aimaient mutuellement. Mais un jour, l'appel de l'aventure fut trop grand pour Inari. Il ne pût plus résister à cette voix dans sa tête qui lui disait de prendre la mer, de devenir un pirate. Ce jour la, il prit la mer. Il avait prévenu tout le monde de ce qu'il comptait faire. Mais sur le quai, il n'y avait personne pour lui dire au revoir. Cela lui était bien égal, il savait que tous le regardaient depuis les toits, depuis des cachettes. Il ferma les yeux et leur cria qu'il était fier d'avoir été leur chef. Lorsqu'il ouvrit les yeux, ils étaient tous la sur les quais à genoux devant lui, Gemna à leur tête. Inari murmura
Restez caché bande d'andouilles.
Il ferma les yeux et pleura. Quand il les reouvrit, tous avaient disparus. Inari remarqua que, la ou quelques instants plus tôt se tenait Gemna, il y avait son briquet, l'objet auquel son ami tenait le plus.
Inari hurla
Merci! Merci pour tout les gars!
Et il libera alors les dernières larmes de son corps. Il monta à bord du bateau qu'il s'était construit avec les économies d'une vie et se promit qu'un jour il reviendrai les voir. Enfin, son bateau, c'était plutôt une esquisse de bateau... Plutot une barque en faite, faute de moyen. Barque qu'Inari avait lui même batti après des journées d'effort et d'études de charpenterie. C'est en partie grâce à son amour du bois, au moins autant que de son désir d'aventure qu'Inari devint un charpentier de talent, construisant parfois des barques, des habitations legeres et parfois meme des catapultes. C'est dans cette embarcation sommaire qu'Inari s'éloigna de la côte et prit le large.
C'est ainsi que débuta la carrière pirate d'Inari D. Hooligan
>> Test RP
Envoie le test!
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________Comme tous les Hooligan avant lui, Inari est de sexe masculin. Comme ses ancêtres, il possède un corps fait pour l'effort. Et tout comme son père il possède des cheveux noirs impossibles à coiffer. Aussi ne prend t'il jamais la peine de les coiffer. Inari a hérité de sa mère ses yeux d'un gris reposant. C'est tout ce qu'il a gardé d'elle.
Sinon, pour ce qui est des généralités, Inari mesure 1m 85 pour un poids de 90 kilos. Alors, vous allez me dire ok, il est en sur-poids et tout. Mais non, n'oubliez pas que la densité d'un muscle est supèrieure à celle du gras. Enfin bref si on se rapproche un peu, on remarque, comme son poids le laisse supposer qu'Inari est loin d'être un homme maigrichon et squelettique. En effet, on remarque de suite que son corps est tout en muscles. Ceux-ci sont bien dessinés et secs et sans tomber dans le culturisme, on peut dire qu'Inari a un joli corps. Il a donc un corps sec et musclé sans graisse superflue. On peut deviner, rien qu'en voyant son corps, qu'il a subi des heures et des heures d'entrainement. Ses paumes sont rugueuses, ses mains abimées, ses muscles sont solides, sa peau est bien ferme et la plante de ses pieds dure comme la pierre. Il a de nombreuses marques, cicatrices, éraflures sur le corps. On devine facilement que ce jeune pirate a fait de son corps son arme principale. Sinon au niveau de ses habits, Inari privilégie les tenues légères sans froufrous ni fioritures. Idéalement, il met un marcel blanc et un jogging noir qui ne le gène que très peu pour bouger et se battre. Sinon, il a des bandages aux mains afin de protéger légèrement ses mains. A noter, qu'il se déplace les trois quarts du temps pieds nus.
>> Psychologie
Il déteste toute personne, peu lui importe son bord, si elle fait du mal à autrui gratuitement. Bien que pirate, il n'aime pas plus ses frères de nom que les marins qui les poursuivent. Il est devenu pirate car ca correspond plus à ses idéaux. Et puis il faut dire que pirate, ca sent plus l'aventure, le danger, le défi et la liberté que marin
Sinon niveau gout, il est assez simple. Il adore le contact du bois dans ses mains, cela lui confère un agréable sentiment de calme. Cela augmente sa confiance en lui. Il a d'ailleurs extrèmement confiance en lui et surtout en ses capacités. Il se sait capable de grande chose et cela lui porte parfois préjudice. Inari n'est pas quelqu'un de tétu. Bon comme tout les Hooligan, il l'est un petit peu, mais rien d'extraordinnaire. Sans plus. Il aime la nourriture simple. Les plats alambiqués et tarabiscotés ne sont pas son fort. Il aime particulièrement la viande bien ferme dans laquelle il peut croquer à pleines dents. Il néglige un peu les légumes, mais il se rattrape avec les fruits. Son truc à lui, ce n'est pas la finesse. Il est plutôt du genre à passer par la grande porte. C'est pas qu'il soit particulierement stupîde, c'est juste que c'est comme ca qu'il à toujours fait et puis c'est la dedans qu'il excelle.
>> Biographie
Inari est né sur une petite île de East Blue. Sur cette île, il y avait une grande ville principale, Hometown City, plus connue sous le nom de Hometown la Corrompue. Comme son nom le laisse penser, celle ci était peu recommendable et en général, les étrangers l'évitaient. Mais Inari naquit à l'exterieur de la ville avec son père et sa mère. Son père, ancien pirate repentit ex-primé à 125 millions de berrys, travaillait la terre. Il avait coupé tout contact avec le monde de la piraterie et s'occupait de subvenir aux besoins de sa famille. Mais un jour, un agent du Cipher Pol débarqua. Un combat s'engagea, mais le père d'Inari ne put résister aux techniques Rokushiki du serviteur de la Justice et lui succomba. L'homme tua alors sa mère et brula sa maison. Inari ne garde aucun souvenir de cette portion de sa vie étant donné qu'il avait environ 3 ans lorsque cela arriva. C'est dans cette ville qu'Inari grandit donc, aussi loin que sa mémoire lui permet de s'en rappeler. Le premier endroit qu'il connu alors fut l'orphelinat local, situé en péripherie de la ville. L'orphelinat St Emeraude, la où la vie resplendit... Resplendit, mes fesses ouais. Dès l'age où Inari fut capable de penser, la seule chose qui occupait ses pensées était de fuir ce lieu. A cause de son désir de liberté, il tatat souvent le fouet du gardien et gouta au moins autant au silence des cachots. Les conditions de vie spartiate et ces mauvais traitements étaient son lot quotidien. Il finissait par s'habituer à tout cela et en tira même de bonnes choses. Il avait appris à encaisser, à vivre de rien et dans une ville comme Hometown City, cela aidait fortement. C'était ca sa plus grande force, malheureusement, seul point noir, pire que la faim, pire que les cicatrices... la solitude. Dans de telles conditions, il était impossible de se faire des amis, ici c'était chacun pour soi. C'est ce qui manquait le plus à notre jeune homme, un ami. Son meilleur ami ici était Bobby, un bout de roche dans la cellule n°7 qui servait au jeune homme à faire des tractions. Cela permettait au jeune homme de muscler son corps et d'oublier le temps de quelques heures, la misère dans laquelle il était plongé. Mais un beau jour, tout cela changea. Après une n-ième tentative de fuite (cette fois-ci en essayant de sauter le mur à l'aide d'une catapulte de fortune) Inari se retrouva à nouveau au fin fond des cachots. Plusieurs heures après, à moins que ce ne soit plusieurs jours, le temps s'écoulant étrangement dans le noir, la porte de la cellule s'ouvrit sur un autre orphelin qui poussé par le gardien alla s'effondrer au fond de la cellule. La lourde porte se referma aussitôt et le nouveau se leva et alla s'asseoir dans un coin sans dire un mot. Les heures passèrent, aucun des deux ne parlait. Inari se surprit lui même à sourire. Peut être que le seul fait d'être dans cette pièce avec quelqu'un d'autre en faisait automatiquement un ami. Quoi qu'il en soit, Inari, après un long moment d'hésitation, sans regarder le jeune homme, dit
Inari... Je m'appelle Inari
Gemna...
T'es la pour quoi?
J'ai essayé de m'évader
Oh moi aussi! Avec une catpulte
Une catapulte?
Le dénomé Gemna se tourna alors.
Oui, elle devait me faire passer par dessus le mur...
Haha tu es fou! ... C'était une sacrément bonne idée!
Une grande amitié commença alors entre ces deux la. Ils partagaient un désir commun de liberté. Dès que l'un se retrouvait en cellule, l'autre se débrouillait pour se faire punir et le rejoignait aussitôt, et ensemble, ils établissaient un plan d'évasion qui devait leur assurer la liberté. Mois après mois, ils étudiaient, la moindre faille dans le système, connaissaient par coeur les horaires de rondes des gardiens, les allés et venus de chacun. Puis un jour, ils furent pret.
23h00
Dans un bloc, servant de chambre, battit uniquement de béton, un gardien rentre, éteint les chandelles encore allumés, regarde la dizaine d'enfant endormi et ressort
23h01
Deux couvertures se soulèvent et dévoilent deux jeunes hommes encore habillés. Dans le bloc, pas un bruit. Une chandelle s'allume.
23h59
Un bloc de béton sombre et humide. Autour d'une chandelle de cire jaunatre, deux gamins de 14 ans, le visage peint en noir, à l'aide de charbon.
Ca y est, c'est le grand soir!
L'un des deux garcons se dirigent vers la porte. L'autre murmure
Atttends.
Il retourne à sa paillasse, soulève son matelas de bois, et met sa main dans un trou qu'il vient de dégager. Il en ressort un vieux briquet rouillé.
Souvenir de famille sourit il
00h00
Un clocher au loin résonne. Une porte s'ouvre, deux silhouettes sortent dans le froid mordant de l'hiver et se dirigent dans la cour principale de l'orphelinat et grimpent dans le seul arbre qui s'y trouve. Silence totale. On n'entend que le mugissement du vent et le bruit que font les clés pendus à la hanche d'un gardien qui fait sa ronde tranquillement, passe sous un arbre et s'assoit dans un coin de la cour, près d'un feu.
01h45
Rouuu Calakakou!!
Acoucou!
Un gardien s'endort, réchauffé par un feu mourrant après 1h45 de lutte contre le sommeil. Deux ombres tombent de l'arbre et rejoignent un gardien qui fait sa ronde quotidienne. Chacune de ses ombres a dans les mains une arbalète. Reste d'une ancienne catapulte détruite par un gardien méticuleux. Chacun posséde une seule et unique flèche. Il faut agir vite et en silence. Tout les mouvements sont millimétrés comme répétés mentalement des milliards de fois. Ils suivent le gardien, marchant dans ses pas pour ne pas faire de traces dans la neige. Si ce dernier se retourne, c'en est fini du plan. Tout tombera à l'eau. C'est pourquoi les deux orphelins, tout en marchant, pointent leur arme dans le dos du gras gardien. Heureusement, le vent et la neige qui tombe étouffe les bruits qu'ils font, même si ceux ci sont à peine audible.
02h00
Un lourd portail de fer est en vue, à quelques dizaines de mètres. Les deux ombres se regardent, se font un signe de tête silencieux et font feu. Le gardien s'écroule, silencieusement dans la neige qui continue de tomber. L'un des deux jeunes prend les clés à la ceinture du mort, regarde son pote et lui murmure, rompant le silence.
Pouquoi t'as tiré, on a plus de flèches maintenant et il reste encore le garde du portail
C'est toi qui ne devait pas tirer imbécile... enfin j'crois. Mais t'inquiètes, le gardien j'en fait mon affaire, toi occupe toi du portail.
'Spèce d'andouille
02h05
Une silhouette s'approche d'un lourd portail. Seul obstacle restant entre l'ombre et sa liberté tant désirée. Soudain un gardien se lève.
Qui est la? Reculez, éloignez vous de ce portail dit il en tenant un fusil
*Je dois faire confiance à Gemna *
Une clé est tournée dans un lourd cadenas de fer. Un homme lève le fusil qu'il portait dans le dos et le pointe sur une ombre. Soudain cet homme armé, vacille sur ses pieds. On vient de le frapper à la tête. Il s'effondre, semble mort. Gemna enjambe le corps. Ce dernier se relève. Le lourd portail pivote. Quelqu'un lache un
Vas t'en Inari, je vais le retenir.
Quelqu'un se tourne, tourne le dos au portail, et par conséquent à sa liberté, rejoint son ami et se jette sur le dos de l'homme qui venait de se relever et recoit un méchant coup de poing dans l'estomac. L'homme sort un long couteau de sa ceinture et le pointe sur l'un des deux gamins. Les deux lui font face, l'encerclent et lui tournent autour. D'un signe entendu, les deux se jettent sur l'homme. L'un reçoit un coup dans l'estomac tandis que l'autre reçoit une entaille au visage. L'homme s'effondre à terre. Inari vacille. Sa plaie au ventre saigne abondamment. Gemna s'effondre, son entaille à la joue coule d'un liquide rougeatre. Ce dernier vacille à son tour et tombe aux pieds de son ami.
Inari soulève son ami, le met sur son épaule, comme un sac. Et lui dit
Je ne te laisse pas ici, tu viens avec moi.
02h15
Une lourde silhouette passe le lourd portail.
Deux gamins trouvent la liberté qu'ils souhaitaient.
...
...
...
...
Dans une grande salle, peu éclairée, tronent deux jeunes hommes. Petit à petit, la salle se remplit petit a petit de tout les gamins des rues, de tous les orphelins échappés, de toute la vermine de la ville. L'un des jeunes hommes, porte une cicatrice sur le flanc droit sous son t-shirt tandis que le deuxieme arbore fièrement la sienne qu'il a à la joue. Inari et Gemna ont maintenant 22 ans.
Inari se lève de son siege, lève la main. Le silence se fait immédiatement dans la salle.
Bienvenue à la Cour des Miracles!
Il claqua des doigts et entrèrent alors des hommes chargés de nourriture. Tous les hommes présent dans la salle s'asseyèrent alors à de grandes tables et festoyèrent de nourriture bien mal acquise mais bel et bien acquise.
...
C'est ainsi que se déroulait la vie de nos deux jeunes protagonistes. Ils avaient créé une organisation regroupant tout les déchets, hommes et femmes, dont cette ville ne voulait pas et en prirent la tête. Les égouts devinrent leur royaume. Chacun se mit à leur service, rejoignit leur étendard.
Par les temps qui courent, personne ne veut de vous! Si vous n'avez ni espoir ni rêve, vous allez crever comme des chiens. Rejoignez nous... Soyons une famille.
Leur credo était de ne rien lacher, de ne jamais rien lacher. De rester discret. Tout le monde en ville connaissait leur existence mais personne n'avait vu ou entendu l'un des membres de la Cour des Miracles. Mais principe fondamental, il fallait être pret a donner jusqu'à sa propre vie pour un frère. De ne jamais abandonner un nakama!
Ce qui vous est précieux, ce que vous aimez, même si vous risquez votre vie, vous devez le protéger, à la force de vos deux bras!
Et c'est ce qu'ils faisaient, ils s'entraidaient, se protégaient, s'aimaient mutuellement. Mais un jour, l'appel de l'aventure fut trop grand pour Inari. Il ne pût plus résister à cette voix dans sa tête qui lui disait de prendre la mer, de devenir un pirate. Ce jour la, il prit la mer. Il avait prévenu tout le monde de ce qu'il comptait faire. Mais sur le quai, il n'y avait personne pour lui dire au revoir. Cela lui était bien égal, il savait que tous le regardaient depuis les toits, depuis des cachettes. Il ferma les yeux et leur cria qu'il était fier d'avoir été leur chef. Lorsqu'il ouvrit les yeux, ils étaient tous la sur les quais à genoux devant lui, Gemna à leur tête. Inari murmura
Restez caché bande d'andouilles.
Il ferma les yeux et pleura. Quand il les reouvrit, tous avaient disparus. Inari remarqua que, la ou quelques instants plus tôt se tenait Gemna, il y avait son briquet, l'objet auquel son ami tenait le plus.
Inari hurla
Merci! Merci pour tout les gars!
Et il libera alors les dernières larmes de son corps. Il monta à bord du bateau qu'il s'était construit avec les économies d'une vie et se promit qu'un jour il reviendrai les voir. Enfin, son bateau, c'était plutôt une esquisse de bateau... Plutot une barque en faite, faute de moyen. Barque qu'Inari avait lui même batti après des journées d'effort et d'études de charpenterie. C'est en partie grâce à son amour du bois, au moins autant que de son désir d'aventure qu'Inari devint un charpentier de talent, construisant parfois des barques, des habitations legeres et parfois meme des catapultes. C'est dans cette embarcation sommaire qu'Inari s'éloigna de la côte et prit le large.
C'est ainsi que débuta la carrière pirate d'Inari D. Hooligan
>> Test RP
Envoie le test!
Informations IRL
- Prénom : Kevin
Age : 19 ans
Aime : Tout (ou presque). En particulier le sport, la lecture, mes potes, le RP (ma copine xD) et manger. Rien de bien extraordinnaire
N'aime pas : Les choux de bruxelles et deux-trois autres trucs
Personnages préférés de One Piece : Baggy, Kaku et Pipo
Caractère : Timide, je m'excuse souvent (trop même) pour rien, gentil et j'adore rire ^^
Fais du RP depuis : 2-3 ans
Disponibilité : Tous les jours en general sauf bien sur en cas de sorties, soirées, vacances à l'étranger etc. En bref tout ce qui fait une vie!
Comment avez vous connu le forum ? Par mon parrain et capitaine, Seido D. Noroma
ps: Voila, maintenant elle est finie (j'ai plus qu'à mettre une image)
[edit] J'arrive pas à mettre l'image [/edit]
Dernière édition par Inari D. Hooligan le Lun 9 Jan 2012 - 16:23, édité 10 fois