>> Lundqvist Thorn
Pseudonyme : Liti pour les intimes, Jongleur pour les autres Age: 32 ans Sexe : Homme Race : Humain Rang : Briseur de silence chronique Métier : Artiste de rue Groupe : Chasseurs de primes Déjà un équipage : Nope But : Rassembler le plus grand nombre de meitous possible. Fruit du démon ou Aptitude pour la suite :Le fruit des poches s’il est libre, et comme aptitude, un style de combat se situant entre le jonglage et une école d’escrime qui sera redécrit dans ma fiche technique. Équipements : Balles de jonglage (une bonne petite vingtaine), un sabre (éventuellement un meitou), une canne à pêche et une panoplies d'objets utiles contenus dans un sac à dos. Codes du règlement (2) : Parrain : On a pas le droit de se mettre soi-même, ou bien ? |
>> Physique Une sombre figure s’active dans l’ombre d’une ruelle alors que la soirée avance et le crépuscule avec elle. Très vite une lumière nait, sa source provenant d’une petite torche qui transmet sa flamme à une pile de branches déposées dans un brasero devant l’homme dont le visage s’éclaire. On voit très vite qu’il a déjà bien avancé sur le chemin de la vie, on se rend tout aussi rapidement compte que le temps qu’il a passé dans ce monde était plaisant, les première rides naissantes soulignant le sourire qu’il affiche apparemment en permanence. En s’approchant plus, on peut voir la couleur de ses iris, un brun sombre qui fait écho aux cheveux châtains rattachés en arrière et partant quelque peu en bataille. L’homme se relève et part fouiller dans un sac posé un peu plus loin. On peut alors avoir un aperçu de l’équipement du personnage, un fourreau fixé à son flanc droit indique qu’il porte un katana. Du sac, il sort d’autres torches, des balles de jonglages et un flacon rempli de ce qui semble être de l’huile. Le tout est apporté près du feu, dans lequel d’autres morceaux de bois sont jetés, l’homme reste accroupi, le regard perdu dans les flammes. La lumière devient plus vive et le sac se trouve lui aussi pris dans son cercle. Juste à côté se trouve une sorte de longue tige en bois avec une ficelle reliée à son bout : une canne à pêche. Un morceau de tissu traine également non loin de là, son odeur indique qu’il enveloppait certainement un morceau de poisson. L’homme est toujours accroupi, d’un geste automatique, il verse de l’huile sur les torches avant de les allumer. Il les dispose ensuite autours du feu afin de former un grand cercle. La ruelle s’illumine alors que la lueur jusque-là encore faible gagne en vigueur, révélant encore un peu plus le physique de l’homme. Il est assez grand et plutôt musclé. Ses épaules sont recouvertes d’une veste de kimono bleue avec des motifs de vagues à sa base. Un hakama beige recouvre ses jambes, retenu par une large ceinture faisant plusieurs fois le tour du bassin du personnage. Ce dernier se dresse sur une paire de sandales et observe les préparatifs qu’il vient de terminer. Il est temps de passer à la suite de la soirée. D’une voix agréable bien que puissante, l’homme commence de parler dans une langue que les passants ne comprennent pas, mais qui les intrigue. Doucement, ils s’agglutinent autour des torches et, le temps que le poème se termine, une vingtaine de personnes sont rassemblées pour écouter ce que ce saltimbanque est venu leur offrir. Strogef cam tou vem Wo goud alsey doe Cham naver schol fiyl En gloor vem schol noe Restrit bragt tou vem Sheldan frim ol sin If dem corps isch stiyl So vil dem spirt bin >> Psychologie In Prudan won finds Wiys to atchiys Al direst disers Wit ti list priys Alwys Justice vyinds Will show ti void Thet hiros covers En mecrants avoid « Mesdames, mesdemoiselles et messieurs, bonsoir. Je vous remercie de bien vouloir vous rapprocher un peu plus, vous risqueriez de ne pas pleinement profiter sinon ! Voilà, comme ça, derrière les grands et les petits devant ! N’hésitez pas à vous asseoir ou à partir si le spectacle ne vous plait pas, quelqu’un avec meilleur goût que vous nous rejoindra. Vous voilà tous bien installé ? La lumière vous sied ? Aah, les flammes d’un petit feu fait toujours son effet. Profitez des choses simples, voilà ce que je dis toujours. Bon, nous allons pouvoir commencer. Je me présente : Lundqvist Thorn. Je serai ce soir à votre service aussi longtemps que vous m’écouterez. J’aime les desserts à la crème, le rire des petits et des grands ainsi que les sourires des gens. C’est pourquoi je tenterai de vous divertir par mes traits d’esprit et mes jongleries. Et si le temps que nous partagerons passe trop vite à vos yeux, vous resterez bien un moment de plus pour une histoire ou deux. J’en ai entendu beaucoup durant ma vie, de celles qui tirent des larmes aux pires ennemis, ou qui feraient d’eux d’excellents amis. Toujours ! J’ai grand plaisir à les conter. Encore plus ! Lorsque c’est moi qui les ai traversées. Vous saurez, d’ailleurs, que des péripéties, j’en ai connu pas mal. Aventurier, artiste ou guerrier à mes heures, j’ai vécu de grands moments de bonheur ! Marines, marchands et pirates au grand cœur, tous furent mes compagnons aux leurs, d’heures. J’ai accompagné les plus improbables compagnons : du général Niklaus au capitaine Walon. Tous relevèrent mes talents : une langue aussi acérée que mon épée, ainsi que mon ardeur à me plonger dans le combat. Car sachez-le, le défi est un ami que je ne me lasse jamais de croiser. Et, jusqu’ici toujours victorieux, je rendais le sort de mes collègues heureux. Si bien qu’à mes côté, tous ne redoutaient qu’un seul instant, celui où, souriant, nos chemin allaient se séparer. Pourquoi tant de cruauté vous demandez ? Car je ne pourrais me satisfaire d’une vie trop claire. Je suis constamment en quête de nouveautés, tant pour mes histoires que pour mes amitiés. C’est la raison pour laquelle j’évite de m’installer et préfère, lorsque j’en sens le moment venir, m’envoler. » >> Biographie Beaucoup de questions peuplent l’enfance d’un garçon : pourquoi doit-on manger des légumes, quel goût ça a, qu’est-ce qu’il y a dans cette boite, ça fait quoi de voler ? Toutes ces interrogations résultent de l’environnement dans lequel il vit. S’il est né dans une famille riche, il demandera pourquoi cet homme fait la manche, si ses parents sont pauvres, en revanche, il leur demandera peut-être un jour pourquoi il n’a pas le droit d’aller à l’école, lui. Le fils d’Elen Lundqvist avait lui aussi ses questions, des questions dont il avait finalement appris les réponses par cœur : « Pourquoi je m’appelle Thorn ? » Thorn veut dire épine. Un petit aiguillon piquant d’une belle rose qui fait qu’on la prend délicatement quand on veut humer son parfum. Et toi tu es mon aiguille qui me fait faire attention à la vie quand je veux la saisir à deux mains. Mais ton nom ne définit pas qui tu es, mon garçon, c’est à toi de lui donner une signification par tes actes. « Pourquoi j’ai pas un papa ? » Parce que tu n’en as pas besoin. Tu es entouré de personnes qui t’aiment autant qu’un père et qui feront toujours ce qui est le mieux pour toi. « Pourquoi on ne peut pas avoir une maison ? » Nos ancêtres en avaient, autrefois. Ils vivaient ensemble dans un village nommé Frevirbilt, ce qui veut dire « construit pour toujours ». Ils défendaient ce village à tout prix, armés de ce qu’on considérait être les lames les plus tranchantes. Mais un jour, les guerriers du village perdirent leurs armes, volées par un très grand poisson, Striwael. Depuis ce jours, les hommes et les femmes de Frevirbilt vivent en nomades, à la recherche de ses armes qui leurs avaient permis de garder leur foyer à l’abri de tous les dangers du monde, et moi, ta mère, je fais comme eux. Je parcours le monde à la recherche des meilleures défenses pour te protéger. Vous l’aurez compris, Elen a éduqué le jeune Thorn seule. Elle lui raconta de nombreuses histoires, que ce soit dans la langue que tous comprenaient ou dans celle des guerriers de Frevirbilt. Selon elle, ces contes apportèrent bien plus à son fils que n’importe quelle autre éducation. Il ne savait pas lire mais il avait appris à se souvenir. Il ne savait pas écrire mais elle lui avait appris comment raconter. Elle l’avait fait peu à peu, alors que la petite famille de deux naviguait d’îles en îles, au sein d’une troupe de cirque itinérante. De rencontre en rencontre, le petit Lundqvist appris à rencontrer des gens et à s’en séparer. Il acquit aussi les nombreux talents qu’on attribue aux clowns, dompteurs, jongleurs et acrobates. Il se révéla d’ailleurs excellent dans ces deux derniers domaines. Mais la vie est comme elle est, et elle va parfois de travers. Thorn ragea souvent à cause de ce mode de vie. Ils arrivaient à un endroit, et à peine avait-il le temps de se faire un ami qu’il devait s’en séparer. Mais il ne fut jamais plus triste que le jour où sa mère mourut, emportée par une maladie, en pleine mer, sans aucune médication disponible pour la soigner. Sur son lit de mort, Elen ne demanda que deux choses : à son fils elle demanda qu’il ne pleure pas, malgré la douleur qu’il ressentait et au reste de la troupe, elle leur demanda de laisser Thorn à la garde de son oncle, la seule famille qu’il lui restait dorénavant. Les deux souhaits furent exaucés et jamais le garçon ne versa une larme en pensant à la mort de sa mère. La vie est comme elle est et elle semble parfois injuste. Thorn savait ce qu’il l’attendait, et il avait pris l’habitude des séparations. Souvent elles avaient souvent été sources de disputes avec sa défunte mère, mais aucune n’avait vu autant de larme couler que celle qui eut lieu le jour où il rencontra son oncle. Ce n’était pas une question d’incompréhension ou de refus. Il perdit à ce moment-là ce qui s’était le plus rapproché d’une famille alors qu’il rencontrait la dernière personne sur ce monde à partager son sang. Il était alors âgé de treize ans. Il fut accueilli par Kurt Lundqvist, chasseur de prime à la retraite et maitre d’un dojo de ken. Dès son arrivée, le garçon dut se plier aux règles strictes que chaque élève devait suivre. C’était la fin des cabrioles et des jongleries, il était venu le temps des entrainements et des punitions pour les avoir manqués. Mais malgré tout, un lien se forma entre l’oncle et le neveu, et ce dernier accepta finalement les enseignements du premier, du moins jusqu’à ses vingt ans. Il lui fallut du temps pour s’en rendre compte, mais il lui manquait quelque chose dans sa vie. Il en avait parlé à son oncle, comme il lui avait parlé de la légende Frevirbilt dont il connaissait d’ailleurs les moindres détails. À ce sujet, Thorn lui demanda pourquoi il était devenu sédentaire. La réponse qu’il reçut était la suivante : Kurt avait longtemps arpenté les mers à la recherche de ces armes perdues jusqu’à ce qu’il se rende enfin compte qu’elles n’étaient pas importantes : les lames sont des outils qui ne deviennent « puissantes » que grâce aux hommes qui le manient et de ce qu’ils en font. Pour sa part, le vieil homme avait trouvé l’épée qui lui permettrait de protéger son foyer. Il fonda alors son dojo et y était resté. Thorn comprit alors qu’il ne trouverait pas ce qu’il lui manque en restant sur place, c’est pourquoi il quitta une nuit le domaine de son oncle sans avertir qui que ce soit afin de trouver ce qu’il recherchait. Il traversa South Blue de long en large, vivant de nombreuses aventures avec les compagnons les plus improbables. Il toucha à toutes les carrières possibles, d’aspirant marine à instructeur flibustier, en passant par la poste ou encore la poterie. La profession qu’il exerça toutefois le plus souvent fut celle d’artiste itinérant, profitant des talents acquis dans sa jeunesse. Mais rien à faire, aucune de ces aventures ne put satisfaire le besoin que Thorn ressentait sans pouvoir l’expliquer. À trente-deux ans, il prit sa décision. Il allait marcher sur les traces de son oncle et traverser le monde. Il allait aussi reprendre la quête des guerriers de Frevirbilt, tout du moins à sa manière, et tenter de rassembler des armes assez puissantes pour protéger cette chose qu’il ne pouvait pas même entrevoir. Il retourna chez Kurt, après douze années d’absence. Ce dernier le salua comme s’il n’était parti que quelques heures. Lorsque son neveu lui fit part de ses projets, autour d’une bouteille de saké tout de même, il se leva et décrocha le katana qui était accroché au mur. Il s’en suivi un instant étrange que Thorn ne compris pas tout à fait. Les deux hommes échangèrent leurs armes, Kurt Lundqvist conseilla à son neveu de trouver un homme connu sous le nom de « Midas » avant de le saluer sur ces mots : « Un jour, tu auras trouvé ce que tu cherches. Ce jour-là, reviens me voir et nous nous rendrons nos lames. » >> Test RP "Plus vite ! Attrapez le ! Le capitaine a promis une récompense à ceux qui le ramèneront j'vous rappelle ! Et j'pense pas qu'vous vouliez qu'ce soit Jacky et ses gars qui le chopent !" Voilà comment les choses se passaient dans l'équipage Kesko Agendo, dit "La Mangouste". Une concurrence constante entre les différentes équipes formées par le capitaine ce qui, selon lui (et à juste titre d'ailleurs) les poussaient à se surpasser, mais il arrivait que les membres de l'équipage n'hésitent pas à se tirer dans les pattes lorsqu'une confrontation avait lieu. Les pirates s'affrontaient actuellement dans une des épreuves préférées de La Mangouste: la course au lapin. Le principe était simple, un unique adversaire contre tout l'équipage divisé en trois groupes de trois. Wilt et ses deux comparses étaient en tête, poursuivant le fugitif dans les rues de la ville qu'ils prévoyaient d'attaquer après avoir repéré les lieux. Deux pierre d'un coup, c'était dit le capitaine, se débarrasser de cet abruti qui nous attend comme un con à l'entrée de la ville pour me tuer et faire une première excursion dans cette cité malgré la nuit qui était déjà bien avancée. Wilt tenait donc la tête, il lui suffirait de suivre ce chasseur de prime dans la ruelle où il était parti se cacher et le tour était joué. Il s'agissait d'une impasse en plus. Les trois pirates s'en étaient tout de suite rendu compte lorsqu'ils tombèrent sur le mur bloquant le chemin. De nombreuses caisses et autres détritus en jonchaient le sol, le fuyard s'était certainement caché quelque part là dedans. "Fouillez moi ce bordel les gars ! Faites gaffe, il a encore son arme et j'vous veux tous pour foutre le bordel dans la ville plus tard !" *T'cheu, ils sont tenaces...* Thorn se tenait à une gouttière, à environ deux mètres des cranes de ses poursuivants. Il espérait qu'ils se soient rapidement découragés avant que lui, ou sa prise, ne lâche. Mais Wilt et ses hommes ne paraissaient pas vouloir laisser leur proie s'échapper si facilement. Puis l'un d'entre eux se baissa pile sous les pieds du fugitif. Pas de chance. Près de quatre-vingt kilogrammes de muscles, d'os et, en cherchant un peu, de graisse, c'est pas le meilleur des traitements pour le dos. Bien entendu, le bruit avait alerté les deux hommes qui s'étaient directement jetés sur leur victime. Le premier d'entre eux fut transpercé par le sabre du chasseur de prime et seul restait le chef d'équipe, qui reculait lentement devant le sourire et la pointe de sa cible. Étrange comment les situations prisent par le mauvais bout ont tendant à se retourner comme un chat furieux afin de vous attaquer, n'est-ce pas ? Mais l'affaire n'allait pas se terminer ainsi. Lundqvist sorti de la ruelle, un morceau de tissu attaché autours de son bras gauche pour éviter qu'il ne saigne plus. Ils n'étaient plus que sept, et trois d'entre eux avaient déjà été semés dans le dédale de ruelle. Les derniers ne semblaient pas vouloir se prêter à la poursuite. C'était vraiment pas de chance de tomber sur un groupe aussi fourni. Thorn était confiant en ses capacité dans un duel en un contre un, voir un contre deux, mais à partir de trois adversaires, il y avait du soucis à se faire. Il avait très vite compris que seul, il n'avait aucune chance contre la bande de Kesko, mais il avait quand même tenté le coup, et avait du s'enfuir après avoir reçu un coup de sabre. Mais il avait laissé son sac derrière, ainsi que la tête de La Fouine, et ça, ça n'allait pas le nourrir. *** De retour vers l'entrée de la ville, Thorn pu voir les quatre hommes attendant leurs nakamas, entourés de lanternes. Ils avaient trouvé le sac rempli de l'équipement de saltimbanque et le gardaient bien sagement, attendant que son propriétaire revienne le chercher. Quel grand finesse d'esprit, pas besoin de chasser la souris quand on a un morceau de fromage n'est-ce pas ? Pas de chance, ce sera un affrontement frontal. "Salut les gars ! Excusez moi de vous avoir dérangé tout à l'heure, 'men voulez pas hein ? On reste pote ?" Pas de réaction de la part des pirates, du moins pas avant que La Mangouste ne commence de rire ses tripes. Les trois autres suivent alors le mouvement et laissent échapper de petits rires forcés. "Mais pas de soucis mon con ! Viens donc reprendre tes affaires et on te laissera partir sans problèmes ! Si les autres n'ont pas réussi à te coincer t'as bien mérité ta liberté. Dit moi, tu sais pourquoi on m’appelle La Mangouste ?" Jusque là, pas de soucis. Thorn pu tranquillement s'approcher des pirates et même commencer de fouiller dans son sac. "Voyons voir, tu t'es donné ce surnom toi-même, il y a quelques mois de ça, prétendant être craint par tous, même les plus vils des serpents, c'est ça ?" Nouveaux éclats de rires encore plus forts, accompagnés cette fois par le bruit accompagnant les lames des sabres lorsqu'elles sont dégainées. La trappe à souris se referme, mais le chat n'a pas tout prévu. Dans son matériel de spectacle, Thorn compte des torches ainsi que des lanternes, et que faut-il pour les alimenter ? De l'huile ou du pétrole. Le chat n'avait pas prévu que la souris serait pyromane. Les trois gaillards aveuglés par la gerbe de flammes qui avait rempli l'espace qui les séparaient du chasseur de prime ne virent jamais ce dernier fondre sur eux et les éventrer tous dans le même geste. Il s'était jeté à travers les flammes afin de bénéficier du meilleur des effet de surprise, et ça avait payé. Les trois hommes tombèrent sur le sol avec la grâce digne des sacs de patates, laissant leur capitaine seul, face à la lame du saltimbanque. Il voulu sortir son arme mais n'en eu pas le temps. Une pointe de katana avait transpercé sa gorge avant qu'il ait eut le temps de poser la main sur la crosse de son revolver. Lundqvist Thorn ne prit pas la peine de fouiller les corps, il préféra se jeter sur leurs sacs afin d'y trouver quelques petites choses à grignoter. Il se dépêcha ensuite de détacher la tête de Kesko Agendo de son corps et déguerpi avant que le reste de la bande n'arrive. Il avait déjà eu de la chance cette nuit là. Nul besoin de la tenter encore plus. |
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________
Informations IRL
Tout est là !
Dernière édition par Lundqvist Thorn le Lun 19 Déc 2011 - 15:58, édité 9 fois