Au beau milieu de South Blue dans un endroit que très peu de personnes connaissent, se dresse une île pénitentiaire. La prestigieuse prison de South Blue ou logent tous les petits criminels n'ayant pas accès à l'imposante prison sous-marine Impel Down. Classic Town, une prison de la taille d'une ville dirigée par l'un des plus riches habitant de South Blue, cette prison est d'un point de vue humain une simple collection de criminel enfermer pour le plus grand bien du directeur qui aime avoir à porter de main la vie des criminels ayant agi sur sa Blue. Il est dit qu'une fois à l'intérieur des murs de cette prison, il est impossible d'en sortir. Même les morts n'ont pas le droit de quitter la collection.
Après un long voyage en mer enchaîné comme un esclave, Silva, la terreur de Matipalboa arriva à destination. La destination, pour un homme, ou plutôt un Okama comme lui n'était autre que la maison la plus réputé de la Blue pour les hommes tels que lui. Classic Town. Sur le pont principal, dix hommes. Une fois sur le sol, il fut pris en charge par les agents de la prison et fut conduit directement à l'intérieur des murs. Pour plaisanter sur son aspect physique, l'un des gardiens lui demanda s'il voulait une cellule individuelle, car il était le seul à être mi-homme, mi-femme, mais alors qu'il tourna la tête, l'homme lui répondit au visage que s''était pour rire et il ajouta au passage, de ne pas ramasser le savon une fois dans les douches. La plaisanterie était au gout des huits autres gardiens. Seul l'homme qui se présenta comme le gardien en chef resta de marbre à la blague de son subordonnée.
Le gardien en chef n'était pas comme les autres, sur son visage pouvait se lire l'expérience du combat. Il en imposait rien que par son regard. A bien des moments, Silva essaya de trouver un moment idéal pour tenter une manœuvre d'évasion, mais à chaque fois que son regard tombait sur le gardien en chef, il avait comme une mauvaise impression. Comme s'il se sentait en danger de mort. Par prudence, il resta calme et ne tenta rien de dangereux.
Après plusieurs minutes de marche à l'intérieur de la première section de la prison, Silva arriva devant une grande porte. Le titre directeur y était marqué. L'homme qui se trouvait derrière était sans nul doute celui, qui était à la tête de toute cette prison. A ce moment, Silva pensa à la prendre en otage et ainsi obliger les autres gardiens à le laisser fuir. Simpliste comme raisonnement, mais cela pouvait marcher. Le directeur de la prison montra enfin le bout de son nez. En main, une feuille avec le descriptif complet de non nouveau prisonnier. Il était tout excité. Il venait une fois de plus de gagner des négociations avec la marine pour détenir au sein de sa prison un prisonnier qui devrait avoir sa place à Impel Down. Véritable homme d'affaire, il ne parlait pas de pot de vin verser à la marine, mais d'échange de bien mouvant. Pour des personnes hors de leur "système" cela ne voulait rien dire, mais on pouvait qualifier cela de pot de vin, mais vu qu'il était reconnu par la marine comme directeur d'un centre pénitencier, cela n'avait aucunement de sens commercial.
Le directeur posa les yeux sur sa nouvelle pièce et tamponna sa feuille avant de se retourner et donner comme consigne à son homme le plus fidèle de le transférer dans les quartier Est de la prison. La rencontre fut très rapide et afin de ne pas perdre de vue le petit homme, Silva se précipita sur lui. Personne ne s'y attendait, il avait réussi. Du moins, il le pensait, mais un coup de poing dans le dos le mit au sol. Le coup était si rapide qu'il n'avait pas eu le temps de voir d'où il provenait, mais sur les mains du gardien en chef, de la fumée s'élevait. Silva n'était pas le premier et sans doute pas le dernier prisonnier à avoir eu cette idée et chaque jour quand de nouveaux prisonnier arrivent, tous tentent à chaque fois de prendre le directeur en otage.
Une fois sur le sol, le directeur se tourna, posa son pied sur le visage du bandit et lui rappela qu'il était ici dans sa prison et que personne, au grand jamais, personne ne posera la main sur lui. Le ton était donné. Ici, il était le seul à donner des ordres. Tenter de ce rebeller où pire encore attenter à sa vie était complètement impossible.
Dernière édition par Mantle Shoma le Sam 21 Jan 2012 - 15:18, édité 4 fois
Posté Ven 30 Déc 2011 - 23:35 par Mantle Shoma
Après sa tentative ratée, Silva fut jeté dans sa cellule. Elle était vide et pourtant les trois lits présents ne sentaient visiblement pas a rose. A première vue les détenues étaient quelques parts dehors, sans doute à travailler. Nouveau à l'intérieur de ces murs, Silva n'était pas encore chargé de réaliser de travaux forcer, mais ce n'était qu'une question de temps.
Avec pour seul paquetage un drap et un oreiller, il jeta sur le sol tout ce qui se trouvait sur l'un des lits et s'y allongea. Une sonnerie retentit et un mouvement de foule collective sembla se rapprocher. Très vite un nombre incalculable de prisonnier se rassembla. Devant la cellule du jeune Okama, deux hommes. L'un assez fin avec un visage de pervers ainsi qu'un second qui lui était bien plus baraqué et imposant que le premier. Silva leva la tête afin de voir avec qui il allait partager sa cellule, puis ferma les yeux comme s'il savait qu'il n'avait rien à craindre de ses deux crapules.
Le petit pervers, devant les formes imposantes de sa nouvelle camarade de chambre commençait déjà à se faire pleins d'idées. Visiblement son visage collait parfaitement avec sa personnalité et même depuis sa position et les yeux fermé, Silva pouvait entendre les gouttes de salive de l'homme tomber sur le sol. S'en était répugnant et l'odeur écœurant. A croire qu'il n'avait aucune hygiène. Le second, se toucha les parties intimes avant d'ouvrir la bouche. Visiblement le problème d'odeur n'était propre au petit être. Lui aussi avait de sérieux problème, à croire qu'il s'était fâcher avec son tube de dentifrice. Grosse brute il l'était, mais il ne savait pas qu'il avait en face de lui sans doute le plus cruel de tous les Okamas de cette prison, si tenter qu'il y avait des Okama enfermer ici.
Déterminé comme jamais, la brute fit un signe de la tête à son camarade. Il devait faire le guet le temps qu'il prenne son pied avec le nouveau venu. Même un aveugle aurait remarqué que Silva n'était une véritable femme, mais une fois à l'intérieur de ces murs, il fallait bien prendre du plaisir avec ce que l'on trouve et lui en avait une grosse paire qui semblait plus vrai que vrai, alors autant en profiter.
Tandis qu'il approchait de sa cible, la brute baissa son pantalon et attrapa avec sa main rude la jambe de l'Okama. Au moment ou les deux personnes entrèrent en contact, il venait de signer son arrêt de mort. Silva était sans doute un homme femme, où un homme avec une belle paire de sein, mais il n'aimait pas être traité comme un vulgaire bout de viande et puis, l'individu qui l'empoignait était trop moche à son gout pour avoir le droit de toucher à sa magnifique peau. Il se redressa à une vitesse si rapide que sa tête écrasa celle de la brute.
Reculant de quelques pas étonné de cette réaction au combien violente et rapide, il remonta son pantalon et sera les poings. S'il devait la battre pour ensuite prendre son pied, il n'allait pas s'en priver. Dans cette prison il était connu pour ne pas être un tendre, Silva allait comprendre pourquoi. Son poing fusa dans le visage de l'Okama. Un coup direct. One Shot. Avec ce coup, un homme ordinaire serait tombé sur le sol et aurait beaucoup de mal à se redresser, mais Silva resta de marbre.
Son nez coulait et il perdait un peu de sang. D'ailleurs quand il constata qu'il perdait du sang, il se rua sur lui. Sa puissante main attrapa son coup et le leva assez haut pour qu'il ne puisse plus toucher le sol. Plus il se débâtait et plus il resserrait l'étreinte. Alors qu'il ne lui restait plus longtemps à vivre, il le lâcha et lui donne un direct du gaucher dans les parties. Cet endroit ou les hommes sont le plus sensibles. Ses bourses se retournèrent avec de ce liquéfier. Du sang coulait abondamment de sa bouche. Silva n'était pas une pute et maintenant il venait de le comprendre et l'imprimer dans son cerveau.
Presque mort sur le sol, "Plus de couille" regarda son ami avant de tomber dans les pommes. Silva appela le second "Le rat" Il avait une tête de pervers à la manière de ces bestioles. Voyant la manière dont il s'était débarrassé de son ami, il baissa la tête et lui demanda ce qui lui ferait plaisir. Celui-ci était un petit suiveur, pour ne pas perdre ce qui faisait de lui un homme, il préférait avoir Silva comme nouveau chef.
La décoration de la cellule n'était pas du gout du nouveau chef des lieux et il fit la remarque au "Rat", qui présenta aussitôt ses excuses et lui dit qu'il ferait de son mieux pour rendre la pièce plus présentable. C'était un bon début. Avant de le laisser se coucher sur son lit, il lui demanda de ramasser ce qui restait de "Plus de couille" et de l'installer sur le troisième lit, celui qui était le plus répugnant. Même s'il était en prison, Silva allait faire en sorte de faire de son mieux pour se rendre la vie plus facile.