Rappel du premier message :
>> Jones & Cross
Pseudonyme : DX-0.
Age: 34 ans.
Sexe : Homme.
Race : Humain et Cyborg.
Rang : The Iron Avenger -> Le vengeur de fer en fr.
Métier : Bretteur.
Groupe : Marine.
Déjà un équipage : Tout dépend du grade.
But : Retrouver le ou les coupables de la mort de ma femme et de ma descente aux enfers.
Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Aucun.
Équipements : Deux bras cybernétiques (je les développerai dans ma fiche), deux jambes cybernétiques. (J'ai discuté avec Trinita concernant les capacités que m'offre ces membres).
Codes du règlement (2) :
>> Physique
Humaine, telle était ma nature avant mon accident qui me coûta mon humanité. Aujourd'hui, je ne suis plus que l'ombre de moi-même, mais la science du Dr Vegapunk me permet encore de fouler cette terre, malgré le fait que la mort m'ait attrapé il y a un an de cela. Quelle est cette science qui permet de ramener les déchus dans notre bas monde ?
Le Dr Vegapunk est le titre que l'on attribut à l'homme le plus intelligent de la Marine, les inventions qu'il créait son capable de raser une ville entière. L'homme qui obtient ce titre est tellement brillant que sa science à des siècles d'avance sur l'humanité. Il y a un an, le plus grand scientifique réalisa une œuvre qui ne peut que démontrer ça toute puissance dans ce domaine. Il me sauva ou plutôt il me ramena à la vie en remplaçant mes organes meurtris par des appareils ayant comme fonction principale de reproduire ce qu'ils remplacent. Seul mon cœur est encore en place, néanmoins il n'est plus le même qu'à ma naissance, du fait qu'il est accouplé à une petite machine. Cette dernière a pour but d'augmenter le flux sanguin de mon cerveau ainsi que mes pulsations cardiaques pouvant atteindre les trois cents pulsassions minute sans que mon cœur explose. De cette façon, mes réflexes sont accentués et permettent d'anticiper bien plus tôt les actions de mes adversaires.
L'accident qui me toucha une nuit d'octobre eu pour conséquence la perte de mes deux bras ainsi que ma jambe gauche. Ces membres arrachés furent remplacés par des prothèses de très hautes qualités, aliénant élégance, agilité et légèreté. Le Dr Vegapunk a pu les connectés grâce à un dispositif des plus ingénieux. En effet, l'homme implanta dans mon cerveau des puces ayant pour but de me connecter avec ces quatre membres de fer. Non, vous ne vous trompez pas en lisant « quatre membres de fer », le génie de la Marine demanda à ce que l'on m'ampute ma jambe droite, car elle serait un fardeau pour moi du fait qu'elle serait moins rapide que ma prothèse gauche. Cet homme ne laisse rien au hasard, tout ce qu'il fait est parfaitement orchestré et millimétré.
Les bras qu'il me donna sont d'une maniabilité déconcertante, dès le premier jour j'ai su tout de suite les maîtriser. Le docteur m'expliqua que c'était les puces qui étaient responsables de cette capacité d'adaptation hors normes. J'avais l'impression d'être né avec ; mais leurs apparences me faisaient penser que ce n'est pas le cas. Dans chacun des bras, on retrouve un sabre qui est caché dans l'avant-bras, ces derniers mesures précisément quarante centimètres et sont faits dans un acier de bonne qualité. Pour ce qui est de leurs forces mes bras mécaniques peuvent soulever cent kilogrammes chacun. Mais la plus grande qualité de ces prothèses résident dans les mains, en effet ces dernières sont capables de broyer un crâne humain du fait qu'elles exercent une pression de cinq cents kilogrammes (la force de pression sera égal aux nombres de Dorikis que je posséderais). Pour ce qui est de la souplesse, mes bras peuvent faire un tour sur eux-mêmes ce qui est impossible pour un bras humain. Néanmoins, ces derniers ont un gros défaut majeur qui se situe au niveau des articulations (coude et épaule), ces derniers sont d'une grande fragilité, un coup bien placé sur l'une de ces deux zones et c'est le bras qui se disloque de mon corps. Le Dr Vegapunk n'a pas pu faire autrement, pour gagner en souplesse, légèreté et maniabilité, il faut rendre certaines zones sensibles.
Comme je vous l'ai dit, en plus de mes deux bras cybernétiques, on me donna également des jambes robotisées, ces dernières sont faites dans le même alliage que les membres supérieurs d'où leurs légèretés et leurs maniabilités. Néanmoins, il n'y aucune arme dans ces prothèses, elles ne me confèrent qu'un seul avantage : une vitesse supérieure à celle d'un humain. Les tests que l'on me fit faire il y a quelques mois de cela, ont révélé que je pouvais courir le cent mètres en huit secondes, chose qu'aucun homme ne peut réaliser. Maintenant, vous savez les différentes améliorations qui m'ont été conférées par l'incroyable Dr Vegapunk, mais il me reste encore des vestiges de mon ancien physique.
Mon visage a été épargné par le terrible accident que j'ai eu, chose qui me surprend encore aujourd'hui, car lorsque l'on me raconte cette tragédie, je suis étonné de savoir que j'ai autant minimisé les dégâts. Mes yeux sont châtains, mes cheveux sont bruns et hérissés sur mon crâne, j'aborde également une barbe brune. Pour ce qui est du gabarit, je mesure dans les un mètre quatre-vingt-dix pour environ cent-cinquante kilogrammes, ce poids est bien évidemment dû aux membres cybernétiques. Ma touche personnelle dans ce physique est le port de lunette de soleil noir, j'aime que mon regard soit caché aux yeux des autres.
>> Psychologie
Ma femme me reprochait souvent de trop fumer, elle désirait que j'arrête le jour où notre enfant naîtra. Étant donné que je l'aimais de tout mon être, je n'avais pas d'autre choix que d'accepter sa requête et puis elle me disait que ce serait excellent pour ma santé. J'avais déjà la chance de naviguer sur les mers et de respirer le bon air frais marin, il était stupide d'abimer mes poumons avec cette « merde » qu'est la clope. Si, je fume c'est justement par nervosité, car en mer on ne sait jamais si on reviendra le lendemain. Si Marlène m'a épousé c'est pour mon humour, elle était d'accord avec mes collègues que j'étais un vrai boutentrain et qu'avec moi on ne s'ennuyait jamais. Il s'agit de ma plus grande qualité, que je n'ai plus au jour d'aujourd'hui. A part cela, je suis quelqu'un que l'on peut considérer d'aventurier, bosseur, courageux, gentil, respectable, mais aussi de chien-fou, teigneux.
Un officier de la Marine se doit d'être irréprochable dans son comportement, la rigueur est quelque chose de très important dans notre métier, car nous servons la Justice. Ce qui signifie que nous devons respecter les ordres de nos supérieurs sans les contredire, ceux qui ne respectent pas cette notion, ne mérite pas de porter l'uniforme de la Marine. Voilà ma conception du parfait officier de la Marine.
La Justice est quelque chose qui me tient beaucoup à cœur, du fait qu'elle régit nos vies et nous empêche de nous écarter du droit chemin, mais ils arrivent que certaines « brebis s'écartent du troupeau » et enfreigne ces lois fondamentales. Le fait de se détourner de la voie de la raison entraîne l'insécurité des populations, il est donc nécessaire de les protéger des oppresseurs. Le fait de combattre cette terreur, me donne la satisfaction de faire un don aux autres, si la nature nous donne des prédispositions physiques, c'est pour les mettre aux services d'autrui. Quand, je dois appliquer une sentence au nom de la Justice, je le fais sans remords. J'ai déjà donné ma vie pour cette cause, je suis donc prêt à le faire une seconde fois, même si cette fois-ci je serais plus coriace à supprimer grâce à mes ajouts cybernétiques.
Mourir est une chose, mais revenir à la vie en est une autre. Quand la mort est venue me prendre, je n'ai pas eu le temps de réaliser ce qui s'était passé, car l'explosion avait été bien trop rapide pour que je comprenne ce qui se tramait autour de moi. Je suis mort sur le coup, puisque je n'ai pas ressentie l'agonie dans mes chairs, néanmoins la douleur de la renaissance était d'un tout autre genre. Dans chaque parcelle de mon corps, je ressentais la douleur la plus effroyable possible, la sensation que des milliers de poignards s'abattaient sur moi afin de perforer de part en part mon corps meurtri m'était insupportable. Je poussais des cris pour essayer de faire disparaître cette souffrance que je n'avais pas souhaitée. Mes yeux voyaient les machines et les mains des scientifiques travaillés autour de moi, posant des prothèses sur les membres amputés. L'opération s'était faite sans anesthésie, j'étais conscient et j'aurais préféré ne l'être pas. Il m'arrive souvent de revivre cette scène la nuit, provoquant mon réveil en sursaut. J'aurais aimé que l'on ne me ramène pas à la vie, l'homme est fait pour mourir, il ne doit pas vaincre la mort ! Les premiers mois furent durs, mais maintenant je suis capable de voir la chance que j'aie de pouvoir de nouveau fouler cette terre de damnés.
L'homme qui est responsable de cette résurrection non consentie n'était autre que le Dr Vegapunk ou Sengoku Jr de son vrai nom. C'est grâce à son génie scientifique si je suis capable de combattre l'oppression avec des armes que je n'aurais pas pu avoir. Même si je lui en ai voulu, de m'avoir utilisé comme cobaye, je suis bien obligé de reconnaître en lui une sorte de père. C'est lui qui m'a créé, Cross Jones est mort le jour où la Mort l'a prise dans ses bras et la serré tellement fort que son âme a quitté son enveloppe charnelle. Je suis son fils et son jouet, je ne suis qu'un simple prototype qui recevra les essais de son créateur afin de créer une nouvelle race de super-marine.
Devenir un cyborg n'est pas quelque chose de facile à porter, les autres ne vous regardent plus de la même façon. Mais le plus dur dans tout ça, c'est de voir vous amis qui pensaient que vous étiez morts, vous renier, car vous n'êtes plus comme eux. Cette sensation d'exclusion fut très dure à vivre. Tout homme sur cette terre ne peut pas vivre seul, il a besoin des autres, l'isolation rend fous et la combattre n'est pas aisée. Heureusement pour moi, un jeune garçon a su me tirer de cette détresse et je le considère un peu comme le fils que j'ai perdu.
Si j'ai repris goût à la vie, c'est que j'ai appris quelque chose qui me bouleversa. L'accident qui me coûta ma vie d'humain ainsi que mes membres ne furent pas la seule perte, ma femme était morte avec moi, mais elle n'était plus de ce monde maintenant. L'attentat que j'avais subi a été commis par des Révolutionnaires, quand j'ai appris cette nouvelle, une haine immense est née dans mon cœur semi-robotisé. Je sais que je retrouverai la paix que lorsque les coupables seront retrouvés mort ou vivant. Ils ont peut-être réussi à me tuer, mais la science m'a donné l'opportunité de mettre à exécution cette douce vengeance.
>> Biographie
Il est dit que lorsque l'on voit la mort arrivée, notre vie défile sous nos yeux en l'espace de quelques secondes. Je n'ai jamais cru en cela jusqu'au jour où la Mort m'a souri. Ma femme était attachée sur une chaise, ligotée et reliée à des engins explosifs, le minuteur défilait sous mes yeux, j'étais impuissant, Marlène me disait de partir de sauver ma vie, mais je me refusais à la quitter. Si la Mort devait la prendre, elle me prendrait avec elle, j'ai épousé cette femme pour le meilleur et pour le pire que ce soit dans la vie ou dans la mort, personne ne pourra nous séparer et je tiendrais cette promesse. Il ne restait plus que dix secondes avant que la bombe n'explose, mon regard était plongé dans le sien, des larmes coulaient sur ses joues, elle avait peur, mais j'étais avec elle dans cette dure épreuve. Plus que cinq secondes. Je fermais les yeux attendant que mon heure arrive et lorsque je les ai rouvert, toute mon existence défila devant moi sous formes de souvenirs.
Les immenses étendues vertes de Kage Berg se dessinaient devant moi, le vent balayait de long en large les prairies, les vaches broutaient l'herbe qui faisait la renommé de l'île. Je me revoyais jouer dans les grands pâturages avec mes amis, nous nous amusions à jouer à « chat », par moment nous nous cachâmes afin de ne pas nous faire repérer par les éleveurs qui disaient que nos jeux perturbaient leurs troupeaux de vache et que le lait était tourné lors de la traite. Mais ces remarques ne nous faisaient ni chaud ni froid, tout le monde se connaissait, il y régnait une ambiance de paix et d'harmonie. Par moment cette dernière était rompue par l'arrivée de pirates venaient mettre leurs grains de sel pendant le concours annuelle de la plus belle vache de l'île. Mon père avait remporté ce concours à trois reprises comme l'avait fait son père autrefois. Cette compétition était idolâtrée par la famille Jones depuis des générations et elle était aussi le meilleur moyen de montrer qui était le meilleur éleveur de l'année. Étant un fils d'agriculteur et éleveur bovins, j'étais bercé dans ce milieu avant même de savoir marché ou encore parler. Le rêve de mon père était que je prenne sa succession comme il est de coutume dans la famille.
Des années se sont écoulés et me voilà plongé le jour où je me suis engagé dans la Marine, je n'avais que seize ans à cette époque. J'étais jeune et frêle, mais déjà animé d'une volonté de réussite. L'homme qui s'occupait des inscriptions des nouvelles recrues me regardait avec un air mitigé, il me trouvait bien trop jeune. Néanmoins, les répliques que je lui sortis eu pour effet de lui faire changer d'avis, j'étais mûr dans ma tête et ma conception de la Justice était déjà impartiale à cette époque : « les raclures de notre société doivent payer pour les crimes qu'ils commettent, car personne n'est au-dessus des lois ». Maintenant que j'étais officiellement un membre de la Marine, je devais annoncer la nouvelle à ma famille. J'appréhendais beaucoup ce moment du fait que je n'avais parlé à personne de ce choix de vocation. Mon paternel aurait souhaité que je reprenne l'exploitation, mais je n'en avais aucune envie, car je ne désirais qu'une chose, protéger autrui. J'ai attendu plus de trois heures avant de rentrer chez moi, j'ai demandé à ma famille de se réunir dans le salon. Une fois arrivée dans cette pièce, mes parents et frères me regardaient, ils se demandaient bien ce que j'étais en train de mijoter derrière leurs dos. Ma phrase fut courte : « Maman, Papa, je me suis engagé dans la Marine et je pars demain vers ma nouvelle affectation ».
Le lendemain matin, on me conduisit vers le quai où je devais embarquer et prendre la mer pour la première fois. Je n'ai jamais navigué sur l'océan, j'espérais de tout mon cœur de ne pas être malade, sinon je serais la risée de mes camarades et je me ferais mal voir par mes supérieurs. Le navire qui allait me conduire à la base auquel je suis assigné pendant plusieurs mois était immense. J'en avais la chair de poule, des centaines de marins faisaient la queue. Avant de monter sur le pavillon, il fallait donner son identité aux agents qui vérifiaient que nous étions bel et bien des matelots et non des clandestins. Il m'aura fallu attendre une heure avant de mettre le premier pied sur le pont en bois. A peine arrivé, on me demanda de me mettre au travail, il n'y avait pas une seconde à perdre : l'aventure allait pouvoir commencer.
Le rêve de tout marin, c'est de vivre à MarineFord et ce désir je l'ai réalisé à vingt-deux ans. Le jour où j'ai reçu ma nouvelle affectation, mes mains en tremblaient, mon cœur battait la chamade, je me suis même pincé la joue pour être sûr que je n'étais pas dans un songe. La lettre était d'un blanc immaculé et ces mots que je ne pourrais jamais oublier : Matelot Cross Jones vous êtes affecté à la base stratégique de MarineFord pour une durée indéterminé. Dès que j'ai terminé de lire ce document officiel, je me suis dépêché d'appeler ma famille pour leur annoncer cette nouvelle. Mon père était heureux pour moi, ma mère elle était encore plus angoissée. Je la comprenais, MarineFord est un lieu hautement stratégique qui peut être la cible de la Révolution ou des Pirates. Je me revoie faire mes tours de gardes avec mes collègues, salués les hauts gradés. J'ai même vu un amiral un jour, ce fut la plus belle période de ma vie et la plus enrichissante sur le plan professionnel, car j'avais l'impression de faire partie d'une élite. Ce séjour dura deux ans.
Vingt-six ans et toujours célibataire, cette situation déplaisait beaucoup à ma mère qui espérait que j'ai des enfants pour qu'elle devienne grand-mère. Le sujet principal de nos conversations était bien évidemment axé sur ma vie amoureuse, mais je lui disais sans cesse que je n'avais pas encore trouvé la perle rare, mais qu'un jour elle viendrait à moi. Finalement ce jour est arrivé quelques mois plus tard, j'ai rencontré une ravissante jeune femme lors de l'une de mes missions sur une île des Blues. Nous nous sommes tout de suite plu mutuellement et je savais qu'elle était la femme de ma vie, j'avais envie de le crier sur les toits : Marlène, je t'aime !
Cela faisait maintenant trois ans que Marlène et moi sortions ensemble, il était temps de franchir un nouveau cap : le mariage. Je me souviens que j'avais stressé toute la journée avant de lui faire ma demande dans un diner romantique, j'avais peur qu'elle me dise non et que notre histoire allait se terminer. Mais, je me faisais de fausses idées, le soir le genou à terre, je lui faisais ma demande, un large sourire se dessinait sur son visage, elle était émue et surprise. Ma future femme ne pouvait s'empêcher de lâcher quelques larmes. L'un de mes plus beaux souvenirs et sans doute son plus beau jour à elle. Dès qu'elle prononçait le « oui », nous nous embrassâmes et nous finîmes cette agréable soirée dans un lieu plus clos.
Le 23 novembre, sans doute le plus beau jour de ma vie, Marlène m'attendait impatiemment depuis plus de cinq mois. Quand je l'ai vu, j'ai tout de suite compris ce qu'elle allait m'annoncer, son ventre était rond. Des larmes de bonheur dégoulinaient de mon visage, elle était enceinte de moi, j'allais être papa à trente-trois ans. Dans moins de quatre mois, nous allons accueillir un heureux événement, si c'était un garçon se serait Marlène qui choisirait son prénom, si c'était une fille cet honneur me revenait. A peine les bagages posés, je parlais au fœtus, ma bouche marmonnait des centaines de paroles à ce ventre bien rond contenant l'héritier des Jones.
Dès que ces fragments de ma vie se terminèrent, je regardais ma femme et je lui adressais ces douces paroles : Je t'aime ma chérie. Puis une violente déflagration nous emporta.>> DX-0 ::
AAAAAAAAAAAAAAAAAH !!! Criais-je sur la table d'opération. Autour de moi se trouvaient une dizaine de médecins chacun avaient un ustensile dans sa main. Je me tordais dans tous les sens, mais mon torse était ligoté sur la table par une sangle. J'ai poussé un terrible hurlement lorsque l'on me posa mon bras cybernétique, puis trois autres cris du même genre se succédèrent. Les scientifiques s'applaudissaient et l'un d'entre eux s'exclama : Nous avons réussi Dr Vegapunk, le DX-0 est une réussite ! La douleur était tellement vive est horrible que je perdis connaissance.
Je suis resté inconscient pendant six jours et lorsque je me suis réveillé ce fut avec dégoût que j'apercevais ces membres de fer. J'étais dans une colère noire, on m'avait transformé en machine, ma rage était tellement grande que j'eusse réussi à me lever me dirigeant par la suite vers la salle de bain de la chambre. Lorsque je me suis vu dans le miroir et que j'aie pu constater les dégâts que j'ai subis suite à l'explosion où j'étais censé être mort avec Marlène, mon poing de fer vint percuter la glace l'explosant en mille morceaux. Mais cette crise de folie ne s'arrêtait pas, je continuais à frapper de plus en plus fort sur le reste du miroir. La force qui m'avait été donnée par les scientifiques commença à détruire le mur de la salle de bain. Soudain, un quatuor de gros bras en blouse blanche arrivèrent, me saisirent et me jetèrent sur le lit en me disant de me calmer, l'un d'eux suggéra de me ligoter pour que je puisse me calmer et que je ne blesse personne. Les autres acquiescèrent et mirent à exécution cet ordre. Une fois attaché on m'annonça la visite de l'un des scientifiques qui avaient participé à l'opération que je venais de subir il y a moins d'une semaine.« Je suis ravi de vous voir Monsieur Jones ! Je compatis à votre peine ainsi qu'à votre douleur, mais sachez que vous êtes le premier d'un nouveau genre. Il est donc primordial que vous vous conduisez correctement, car vous êtes un prototype et que ce serait un désastre si l'expérience que nous sommes en train de mener s'avère être un échec suite à un comportement primaire de votre part. » Me disait-il derrière ses lunettes.
« Je ne suis pas votre jouet, pourquoi m'avoir ramené à la vie ? J'avais fait une promesse à ma femme lui disant que nous saurions ensemble dans l'au-delà ! Vous m'avez empêché de tenir cette promesse. Pour qui travaillez-vous ? » Aboyais-je de vive voix.
« Nous sommes dans le même camp Monsieur Jones, je travaille pour la Marine pour être plus précis dans la Brigade Scientifique dirigée par le brillant Sengoku Jr ou Vegapunk, c'est grâce à sa science si vous êtes vivant aujourd'hui. » M'annonça-t-il d'un air supérieur.
« Être un cyborg c'est être vivant ? Je ne suis plus que l'ombre de moi-même. » Répliquais-je.
« La cybernétique est une science qui permet de dépasser les limites du corps humain, vous verrez dans quelques mois vous nous remercierez de vous avoir redonné la vie. Si vous avez des questions adressez-vous à moi, je suis chargé de m'occuper de vous pendant votre séjour. »
« Effectivement j'en ai une, c'est quoi le DX-0 ? J'ai entendu l'un des vôtres le dire sur le billard ! » Lançais-je au docteur.
« Oh, je suis étonné que vous ayez été aussi longtemps conscient lors de votre opération. Le DX-0, veut dire Deus Ex, vous êtes le premier d'où le chiffre zéro. Vous connaissez l'expression « deus ex machina » ? Cette dernière se traduit littéralement par « Dieu issu de la machine », ce qui signifie que vous serez une sorte de cyborg meneur. Mais pour le moment nous n'en sommes pas encore-là, donc inutile de tergiverser à ce sujet. » La surprise se lisait sur son visage.
« Je souhaite rencontrer l'homme qui est responsable de cette abomination ! » Dis-je d'un air interrogateur.
« Ahahah, on ne rencontre pas le docteur Sengoku, c'est lui qui vient à vous. Il est temps que je vous laisse, demain sera une grande journée pour vous, tachez d'être calme. » Me dit-il.
Le lendemain on m'annonça que les prochains mois seraient consacrés à des tests de performance. On ne me demanda pas si j'étais d'accord, je n'avais pas le choix, je me suis donc plié à leur exigence, mais la motivation n'était pas là. Le scientifique qui devait faire l'évaluation de mes compétences me révéla une information qui éveilla la douce vengeance. Il m'annonça que ceux qui avaient posé la bombe n'étaient autres que des révolutionnaires. Dès que j'aie entendu cela, des larmes coulèrent de mes yeux, je les essuyais avec ma main de métal. Je la regardais sous toutes les coutures puis je m'adressais à l'homme : quand est-ce que l'on commence ! Si je suis revenu à la vie avec des armes d'un autre genre c'est pour venger la mort de Marlène. Je n'avais pas pu tenir ma première promesse, mais celle-là je la tiendrai jusqu'à mon dernier souffle : je pourchasserai les responsables jusqu'à qu'ils soient jugés par la Justice.
Huit mois se sont écoulés depuis mon opération, maintenant que les tests étaient terminés et que les scientifiques avaient toutes les données qu'ils voulaient, j'étais de nouveau libre. Je n'avais plus qu'un seul souhait retourner dans mon ancienne division, retrouver mes anciens compagnons me semblaient la meilleure chose pouvant me remonter le moral. Mais cela ne sait pas passer comme je le souhaitais, mes anciens frères d'armes m'ont tous renié du fait que j'étais différent d'eux, mais surtout ils pensaient que je n'avais plus rien à voir avec l'ancien Cross Jones. Il est vrai que j'aie perdu mon humanité, mais je suis encore le même à l'intérieur, malheureusement aucun d'entre eux ne le comprenaient. Je suis devenu un solitaire dans la Marine, mais un événement vint perturber cette solitude. Un jeune garçon du nom de Yuji osa me parler, c'était un jeune Marine encore insouciant possédant la flamme de la jeunesse en lui. Je voyais en lui le fils que je n'aie jamais eu et je me suis très vite lié à ce jeune homme. Maintenant, il fait partie de mon monde, de ma vie.
>> Test RP
Deux jours de traques t'ont suffi pour rattraper un évadé en fuite. Il serait actuellement dans la même ville que toi : retrouve-le et ramène le !I° Mission, départ et recherche- Agent Jones, merci d'avoir répondu à notre appel dans les plus brefs délais sachant que vous étiez en congés aujourd'hui.
Une fois l’enveloppe remise, je quittais sur les talons le bureau de la Marine qui m’avait appelé en urgence pour régler une affaire. Je rentrais chez moi, saluant les passants qui me reconnaissaient ainsi que les voisins. De retour dans mon petit nid, je m’essayais sur le canapé, posant mes pieds par la même occasion sur la table basse. J’entendis une voix surgir derrière moi.
- Aucun problème monsieur, la Justice passe avant tout ! Alors, qu'elle est cette mission que vous m'avez annoncée ce matin sur mon escargophone ?
- Naturellement, voilà votre ordre de mission tous les papiers d'on vous aurez besoin se trouve dans cette enveloppe.
- Très bien, je vais aller potasser ce dossier et je me mettrais en route une fois que j'aurai fini de l'examiner, y a-t-il une recommandation particulière ?
- Oui, il vous est demandé de faire cela dans la plus grande discrétion, donc nous ne voulons aucune bavure, agent Jones.
- C'est entendu monsieur, il est temps pour moi d'y aller. Je reviendrai vous faire mon rapport une fois la mission achevée.
- Au revoir et bonne chance.« Cross, je te l’ai dit mille fois, ne met pas tes pieds sur cette table, ce n’est pas un pouf. Vous les hommes quand on vous dit quelque chose ça entre dans une oreille et ça sort par une autre. » Me disait Marlène de sa douce voix d’ange.
Mon regard se plongeait dans le sien, elle était magnifique, elle abordait un grand sourire et m’embrassa sur la joue et me laissa faire mon travail. J’ouvrais l’enveloppe qui était cacheté par la Marine. Je déposais tout ce qu’il y avait à l’intérieur sur la table qui se trouvait devant moi. Au final, je me retrouvais avec plusieurs clichés d’un individu, et des feuilles sur son sujet ainsi que l’ordre de la mission.
« Désolé ma chérie, c’est une vieille habitude que j’avais avant de te connaître. » Lui répondis-je en rigolant.Mission intéressante me disais-je. Je regardais attentivement le visage de l'homme, un borgne ça ne passe pas inaperçu. Je devrais me mettre tout de suite en route, se serait dommage qu'il quitte l'île avant que j'arrive. J'appelais Marlène et je lui expliquais que j'allais devoir partir pour une semaine, elle était un peu triste que je m'en aille, mais elle savait que je ne faisais que mon métier. Elle me supplia de revenir indemne, du fait qu'elle n'avait pas envie d'élever seul notre enfant lorsqu'il naîtra. Une heure c'est le temps qu'il m'aura fallu pour me préparer et rejoindre le navire qu'il allait me conduire à Inu Town dans deux jours.
- Spoiler:
Bonjour à vous agent !Si vous tenez entre vos mains cet ordre de mission, cela signifiera que vous avez été choisi pour remplir cette mission. Nous venons d’apprendre qu’un criminel c’est évadé de sa prison, ce dernier devait terminer sa vie à Impel Down, mais il a réussi à s’enfuir pendant le transfert. Votre tâche sera de le retrouver et de le ramener si possible en un seul morceau, nous vous demandons de faire cela dans la plus grande discrétion. Il est inutile que les journaux s’emparent de cette information, nous ne voulons pas être la risée du peuple et cela ferait bien trop plaisir à la Révolution.
Ci joint sa photo.
- Spoiler:
Cordialement l’état major de la Marine.
Ps : l’homme aurait été vu à Inu Town.II° La traque du Marine
Après deux jours de mer, j'arrivais enfin à Inu Down, étant donné que ma mission était spéciale je me devais de revêtir une tenue de civil. J'ai donc opté pour un grand manteau noir cachait mon arme, ainsi que des lunettes de soleil. Sous cette veste, je portais une tenue de couleur sombre idéale pour les missions d'infiltration et de recherche. En parlant de recherche, je me devais de me mettre en route, car j'en avais pour plusieurs heures voir jours avant d'obtenir une adresse. J'ai donc fait le tour des indics potentiels qu'utilise la Marine sur cette île. Certain m'ont été utile d'autres moins, à chaque fois on me dirigeait vers une autre personne, car cette dernière était susceptible de m'apporter plus d'informations.
Après trente heures de recherches dans l'immense ville d'Inu Town, j'avais une adresse, cette information m'avait demandé beaucoup d'efforts pour l'obtenir entre soudoyées des hommes, tabassés des petites frappes et vanter les mérites de certains. Mais que voulez-vous, il faut savoir se montrer persuasif si on désire trouver ce que l'on cherche. Avant d'entrer en action, j'avais préalablement communiqué la position de la cible au QG de la Marine d'Inu Town, en cas de pépin ces derniers interviendraient. Je préférais me montrer prudent, car l'homme était un véritable pro de la prise d'otage. D'ailleurs c'est à cause de cela qu'il fut condamné à Impel Down. Zeke de son nom avait pris trente-huit civils en otage, heureusement aucun d'entre eux ne furent tués, mais il y avait plus de la moitié qui étaient blessés. Ayant avec moi un escargophone de poche on m'annonça que ma demande de renfort fut acceptée et qu'ils viendraient d'ici un quart d'heure dans la plus grande discrétion possible. C'était une bonne nouvelle, maintenant, je n'avais plus qu'a pénétré dans l'enceinte du bâtiment.
Une fois à l'intérieur de ce dernier, le concierge me demanda la raison de ma visite, ayant une tenue de civil ce dernier ne pouvait pas savoir que je faisais partie du gouvernement. Je lui montrais mes papiers ainsi que la photographie du scélérat. Il me donna l'étage où se trouvait ce dernier, de plus je lui demandais s'il était accompagné, l'homme me répondit qu'il était seul. Après avoir monté les cinq étages, j'attendais que les Marines se rapprochent de ma position. Je me trouvais derrière la porte de l'appartement qu'avait loué Zeke pour six jours. Dans deux minutes le bâtiment sera cerné, sachant que j'avais du soutien derrière, j'enfonçais la porte : Que personne ne bouge, Zeke vous êtes en état d'arrestation. L'homme m'attendait, il avait prévu son coup, dans sa main gauche se trouvait un pistolet qui était posé sur la tempe d'une jeune femme, sans doute une prostituée vue ses vêtements. Merde, j'avais pourtant demandé au concierge s'il avait vu quelqu'un entré dans l'appartement du bandit. L'homme avait un otage, soudain il jeta un rapide coup d'œil par-dessus la fenêtre et vu qu'un comité d'accueil l'attendait en bas. Ces imbéciles avaient fait un boucan du diable, on les entendait du haut de notre position.III° Tête à têteMa cible avait prit un otage avec lui, il l'avait maintenant en joue, au moindre faux-pas il la tuerait. Je voyais la peur dans son œil, il n'était pas serein ce qui était normal il sait que s'il tire, je le tue, car il aura baissé sa garde à ce moment-là. Mais ma mission est de la ramener en vie et qu'aucun civil ne soit tué, j'avais devant moi un dilemme. Zeke était dans ma ligne de mire, moi aussi j'étais prêt à tirer, la femme me supplia de baisser mon arme et demanda à son kidnappeur de la libérer qu'elle n'avait rien à voir avec tout ça. Le fourbant lui demanda de la fermer, je restais impassible même si je sentais mon cœur battre à toute vitesse, j'avais une poussé d'adrénaline.« Zeke, libère-là ! De toute façon le bâtiment est cerné, j'ai demandé des renforts à la Marine, donc quoi qu'il arrive tu es fichu ! Mais il est inutile de faire du tords à autrui, cela ne peut te causer que plus de préjudices. » Lui disais-je.
Plus les secondes défilaient, plus les chances de la femme de s'en sortir s'amoindrissait. Il fallait que j'agisse vite, sinon le sang coulera de la tête de l'otage. Deux options s'offraient à moi : la première neutralisé le preneur d'otage d'une façon létale, la seconde tirée sur ce dernier sans le tuer. Néanmoins, la deuxième option était risquée, car si mon tir ne le désarmait pas, la femme trépassera. Mais avant de faire mon choix, j'essayais de raisonner une dernière fois l'individu.
« Ferme-là le boy scout ! » Hurla-t-il.« Poses ton arme et rends-toi, c'est la meilleure solution qui s'offre à toi ! » Dis-je.
J'avais tiré dans le bras gauche de Zeke puis je me jetais sur ce dernier afin de l'immobiliser et de l'écarter de la femme. Son arme était tombée sur le sol, d'une simple prise le brigand fut mis à terre. Un groupe de Marine entra dans la pièce m'aidant à capturer et ligoter le criminel. Finalement tout se passa sans encombre, l'homme avait été retrouvé et arrêté, l'otage en ressortait juste avec une grosse frayeur. La mission était un franc succès. Néanmoins, la discrétion n'avait pas été respectée du fait que j'ai fait venir du renfort et cela n'avait pas dû passer inaperçu. Tant pis, l'importance c'est qu'il n'y ait aucun blessé.
« Tu es con ou quoi ? Si je me rends, j'irai à Impel Down et c'est pire que la mort. Cette femme peut me permettre d'échapper aux autorités de l'île et de quitter ce guêpier. » S'exclama-t-il.
« Réfléchis cinq minutes, tu crois vraiment que tu quitteras cet endroit ? Les hommes dehors ont pour consigne de tirer sur toi avec ou sans otage. Si tu te rends, tu vivras ! » J'essayais de le persuader de se rendre, mais la tâche s'annonçait difficile.
« Va te faire... » PAANN !!!
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Informations IRL
- Prénom : Funplay3.
Age : 19 ans.
Aime : Beaucoup de choses et inutile de les énumérer ici.
N'aime pas : Le vert.
Personnage préféré de One Piece : Jinbei.
Caractère : (définissez vous en quelques mots) Surprise, je suis quelqu'un de très gentil, je n'ai jamais eu une seule embrouille sur un forum depuis 4 ans.
Fais du RP depuis : 4 ans.
Disponibilité : 2 heures/jour hors vacances.
Comment avez vous connu le forum ? Google et top site. J'ai hésité à m'inscrire car je n'étais pas fan du design vert (il était beau, mais je n'aime pas le vert), mais en bleu j'ai craqué xD.