Bel Kenji
Pseudonyme:
Age: 20
Sexe: Homme
Race: Humain
Rang: Nettoyeur Cinq Étoiles
Métier: Assassin, Samouraï, guerrier
Groupe: Révolution
But: Gagner de l'argent
Aptitude: Aucune pour le moment
Équipement: Dague et deux épées
Codes du règlement (2) :
Le Physique
Pseudonyme:
Age: 20
Sexe: Homme
Race: Humain
Rang: Nettoyeur Cinq Étoiles
Métier: Assassin, Samouraï, guerrier
Groupe: Révolution
But: Gagner de l'argent
Aptitude: Aucune pour le moment
Équipement: Dague et deux épées
Codes du règlement (2) :
Le Physique
Kenji Bel est un homme d’une vingtaine d’année mesurant approximativement un bon mètre quatre vingt dix. Sa carrure est imposante, se situant dans un juste milieu mais son corps est taillé par les nombreuses heures d’entrainements le rendent puissant et résistant. En ce qui concerne ses jambes, et bien, elles sont musclé proportionnellement à la partie haute de son corps également sculpté par les heures d’entrainement laissés derrières. Mais ce corps qui à première vu paraît rigide est en fait assez souple de nature. Ses bras sont musclés et parfaitement égaux en taille et en longueur portant à leurs extrémités des mains puissantes et des ongles coupés de près. La peau de Ken’ est d’un doux beige, conséquences d’un corps qui ne veut pas bronzer. Nous pouvons également constater que le système pileux de notre ami est très peut présent sauf sur sa tête portant une chevelure noire qui devient bleu foncé en présence de lumière. Plus l’exposition est forte, plus ils s’éclaircissent. Bel est coiffé d’une courte queue de cheval. Son visage encadré par deux mèche rabattu de chaque coté de celui-ci cachant des oreilles peu charnues presque collés au crane ainsi qu’une courte mèche passant par le milieu de son front sans rides et descendant jusqu'à son nez fin et vertical. Le teint de ce visage est relativement doux et clair dégageant une impression de fraicheur faisant ressortir ses profonds yeux gris marqués de sourcils fins et discrets.
Ses lèvres douces cachent une dentition propre et droite reflétant la lumière du soleil sur les eaux de North Blue.
En somme, un esprit saint dans un corps sain.
Parlons de sa tenue vestimentaire qui est assez légère. Notre cher Révolutionnaire porte un pantalon de tissus blanc peu épais n’entravant donc pas ses mouvements. Ses pieds sont couverts d’un bandage en cuir lui permettant de marcher sur n’importe quelle surface, qu’elle soit chaude ou froide tout en lui offrant une souplesse pour ses déplacements acrobatiques. Il ne porte aucun vêtement sur la partie haute de son corps mis excepté une cape posé sur ses épaule le protégeant des quelques intempéries que lui offre le ciel. Il porte une large ceinture qui lui sert à ranger sa dague, ses deux lames et ses quelques autres effets personnels. Il porte également une paire de gant en cuirs lui permettant de préserver ses mains lors de ses escalades.
Biographie
Quelque part sur les eaux de North Blue vivait un garçon nommé Bel Kenji âgé de 15 ans, fils de riches commerçants de bois de tous types et de tous usages ayant pour seule habitation un grand navire leur permettant également d’exercer le métier. Son père Shiro et sa mère charpentière Rosa furent d’anciens marines l’ayant quitté pour des raisons que seuls eux connaissent. Voulant découvrir la vie sur la mer notre héro décida de se joindre à ses parents malgré leur réticence par peur de perdre leur fils à cause des nombreux dangers que North Blue peut offrir.
*Nord North Blue, en vue de Crushed Ice*
« Je m’en souviens encore, le Wood Cutter, bateau de mes parents naviguait vers l’île nommé Crushed Ice. Nous étions en hiver et le nom de notre destination lui convenait parfaitement.
Je n’avais jamais vu autant de neige de toute ma vie, immaculé de blanc, certainement parce que cette île était tout au nord de North Blue, mais passons. Lorsque nous sommes arrivés au port mon père sollicitait déjà mon aide pour porter les caisses. Malgré mon âge je voulais déjà partir pour me plonger dans la neige jusqu’à disparaître dessous et peut être y trouver un endroit où construire un grand repaire… N’est-ce pas marrant de rêver ? Le port était un endroit attrayant, de nombreux bateaux y étaient amarré et alignés avec précision. Le sol dallé de pierres grises était propre et large d’une dizaine de mètres, la neige devait être dégagée régulièrement pour faciliter les transports de marchandise. Les hangars étaient alignés face à la mer et entre chacun d’eux étaient tracé un chemin permettant d’accéder aux hangars construit derrière. La foule affluait dans ce port et paraissait même chaleureux, surtout lorsque l’on voyage plusieurs jours avec ses seuls parents et les quelques poissons qui veulent bien se laisser pêcher. La pêche, ma seule occupation. Après avoir enfin déchargé toutes ces caisses de bois, nous devions aller avertir au bureau du port que nous avions amarré et payer l’importante taxe qui nous permettrait de rester un mois sur cette île, mes parents ayant envie de faire une pause dans les affaires et se reposer sur une île. Ma mère décidant de partir trouver un logement pour vivre, mon père lui partait rencontrer de vieilles connaissances datant de sa carrière dans la marine. Pendant ce temps, j’étais livré à moi-même et pouvais enfin partir là où je voulais. Ne savant pas par où se trouver la sortie je me demandais déjà par où je devais aller. A gauche ou à droite ? J’ai décidé de prendre à gauche et me suis mis à marcher. Il n’était pas dur de circuler sur le port même si il était bondé. Il y’avait comme deux routes, une allant dans un sens et l’autre allait à l’opposé et marchaient au centre de ces deux foules distinctement séparés les gens pressés et saouls qui percutaient tous ce qui se trouvait sur leur chemin. Je pouvais voir la mer recouverte par la neige entre chacun des bateaux. Elle paraissait cacher des secrets de par son opacité due au froid certainement.
Arrivé à l’extrémité du port je prenais le virage m’emmenant vers les hangars du fond suivant d’autres personnes qui avaient l’air de savoir où aller. L’ambiance était malsaine par ici, on pouvait apercevoir des gens dans des caisses ou autour d’un feu. Les parois des entrepôts étaient sales et des débris de bouteilles ou de caisses étaient éparpillé un peu partout, il y’avait même des carcasses d’animaux qui avaient du servir de repas. Je décidais donc d’accélérer le pas, il aurait été dommage qu’il m’arrive quelque chose le premier jour, et puis, je tenais quand même à mon argent et à ma vie. Arrivé à la clôture séparant le port et la ville, je me mis à le longer pour y trouver une issus. Lassé de marcher pour ne rien trouver, j’ai tout simplement escaladé le grillage mais cela n’avait pas l’air de plaire à un des gardes du port qui lâchait déjà son chien sur moi. Je n’eu que quelques secondes pour escalader et partir en courant pour que le garde ne se souvienne pas de mon visage, j’allais quand même passer un bon mois sur cette île. Je me dirigeais vers le centre ville cherchant un endroit animé pour m’occuper lorsque j’entendis la voix de ma mère crier mon nom. Je cherchais d’où venait l’appel et ne trouvant pas la source de sa voix, m’en alla. Je reçu un objet en pleine tète qui retombais sur le sol en créant un écho harmonique. Je me retournais violement, énervé et repérais ma mère en train de me faire de grands signes par la fenêtre d’un hôtel. Je lui rendis son signe pour lui faire comprendre que j’avais compris. La rue était plutôt tranquille et bien placée. Sur chacun de ses coté se trouvaient des magasins de nourriture et quelques tavernes d’où l’on entendait crier et rire au son d’une musique d’ambiance joyeuse. Les commerçant criaient à s’en faire saigner la gorge pour attirer le client et d’autres avaient fait un feu pour attirer les passants et les mètres au chaud qui en profiteraient pour jeter un œil aux étales des marchants. Au bout de la rue se trouvait une place où l’on pouvait apercevoir une fontaine dont l’eau était fumante. Je fus surpris de constater que l’eau de cette fontaine était chauffée attirant un bon nombre d’habitant autour de celle-ci. Soudain un jeune fille surgit d’une des rues débouchant sur la place de la fontaine avec un stock important de victuailles dans ses bras et courrait en direction de la rue par laquelle j’étais arrivé. Elle courait tellement vite que je n’eu pas le temps de mémoriser sont apparence excepté le fait qu’elle était pieds nues, une mendiante certainement. J’avais donc trouvé un endroit sympathique pour divertir mes pensées et me détendre. Je m’asseyais sur le rebord de la fontaine pour reprendre une certaine chaleur corporelle et observer ce qu’il se passait ici. Jetant mon regard de droite à gauche, j’apercevais une personne qui attirait mon attention. C’était cette fois ci un garçon qui paraissait avec deux ou trois ans de plus que moi attirant mon regard car il était peut vêtu et cela m’avais choqué la première fois surtout quoi toi tu es à coté d’une fontaine chauffé et couvert de nombreuses fourrures et que pourtant, tu as toujours froid… Il s’approchait vers moi et me dis :
« As-tu vu une jeune fille passer sur cette place en courant tout en portant beaucoup de nourriture ? »
« T’es qui toi et pourquoi tu me demandes ça à moi d’abord ? »
« Hey petit, détends toi, t’as pas l’air d’être du coin. Je m’appel Takeshi et je suis un ami de cette jeune fille, elle s’appelle Agathe. »
« Mais pourquoi vous êtes tous pieds nue d’abord ?! Elle est partie par là bas, vers le port »
« Hahaha ! Merci petit, au fait comment tu t’appelle ? »
« Bel, et je ne suis pas petit, j’ai le même âge que toi. »
« D’accord, à la prochaine ! »
Après l’avoir vu partir je décidais aussi de m’en aller et me dirigeais vers l’hôtel sans chercher à comprendre ce qu’il se passait ici. L’hôtel de « l’oiseau ivre » était assez accueillant malgré son nom quelque peut… troublant. Il se trouvait sur le coté droit de la rue si l’on marchait dans la direction de la place. Lorsque j’entrais dans l’hôtel, je vis ma mère en sortir, elle me dit qu’elle allait retrouver Papa à la taverne de la rue voisine. Et oui, mes parents aimaient boire et faire la fête, on est jamais trop vieux à c’qui paraît. La suite était plutôt agréable. Deux chambres munis de grands lits et d’un den-den mushi, deux sales d’eau et un seul toilettes. Notre suite était au dernier étage et l’on avait un accès privilégié au toit. Une belle terrasse s’y trouvait. Elle paraissait être éloigné du bruit de la ville d’en dessous. J’étais comme excité, comme si je foulais le pied d’un autre monde, qui m’était inconnu. Les toits surplombaient la ville, on pouvait y apercevoir toute sorte d’issus, ils dégageaient une sensation de sécurité pour tous ceux qui montaient dessus. Les hangars du port étaient non loin d’ici. En forçant un peu sur mes yeux exercés à voir loin pour repérer nos iles de destination, je pouvais voir sur le mur d’un hangar une sorte de chemin fait d’attaches en tous genre. Curieux de voir où cela menait et sachant que mes parents ne rentreraient que très tard la nuit je décidais de me diriger par là bas mais je devais d’abord me séparer d’une couche de vêtements. Garder l’équilibre et ne pas glisser à cause du givre n’était pas aisé, mais ayant vécu la majorité de ma vie sur un bateau, j’avais déjà l’habitude de récupérer mon équilibre. Je savais à peu près comment procéder dans ces situations. Je posais un pied devant l’autre avec précautions, du moins au début. Plus je m’approchais de mon but, plus je me déplaçais aisément. Le soleil commençait à tomber derrière l’horizon et je me pressais donc vers mon objectif, ou alors il serait très difficile d’emprunter le chemin mural du hangar dans la nuit totale. Les toits étaient calmes, on y entendait les bourdonnements de conversation venant des rues qui se trouvaient à mes pieds. La pénombre rendait le chemin plus difficile à parcourir. Enfin arrivé à la limite des toits, je cherchais une issus pour rejoindre le toit du hangar. La clôture que j’avais escaladée précédemment était à, à peu près un mètre de distance. Jetant un coup d’œil rapide à la façade du hangar pour y trouver les accroches qui étaient d’ailleurs inexistantes à la base du mur. Légèrement contrarié, je décidais de m’en aller en passant par la route conventionnelle, celle d’en bas. Lorsque je tournais le dos à la clôture, une voix derrière moi m’interpella, je recevais encore un objet en plaine tête mais qui cette fois ne fit qu’un bruit sourd. Je tournais la tête et vis une pomme et lorsque je levais les yeux, une paire de pieds nues m’apparurent et c’est que je réalisais qui me parlait et je lui dis :« T’es qui toi et pourquoi tu me demandes ça à moi d’abord ? »
« Hey petit, détends toi, t’as pas l’air d’être du coin. Je m’appel Takeshi et je suis un ami de cette jeune fille, elle s’appelle Agathe. »
« Mais pourquoi vous êtes tous pieds nue d’abord ?! Elle est partie par là bas, vers le port »
« Hahaha ! Merci petit, au fait comment tu t’appelle ? »
« Bel, et je ne suis pas petit, j’ai le même âge que toi. »
« D’accord, à la prochaine ! »
« Ah, c’est toi Agathe ?»
« Oui, oui c’est bien moi, suis moi, on parlera plus tard. »
Je suivais donc Agathe de très près. Elle avait des cheveux bleus et des yeux verts, sa peau était presque blanche.
Sa silhouette était élancée. A ce moment là, une cape blanche couvrait son corps. Elle m’emmenait dans les chemins qui étaient entre les bâtiments plus elle s’arrêta à une intersection puis me dit :
« C’est ici. »
Elle se baissait et s’étirait quelque secondes et me proposa de faire de même si je ne voulais pas tomber. La chute serait mortelle, m’a-t-elle dit. Elle m’ordonna de retirer mes chaussures, que j’attachais à ma ceinture et me donna une paire de gants en cuirs. Elle commença à monter par l’arrête du hangar, surpris je regardais de plus près et aperçu des encoches servant d’attaches pour gravir le gigantesque mur. J’imitais ses mouvements avec précision. Il m’arrivait de regarder en bas de temps à autres, heureusement pour moi que la hauteur ne me donnait pas le vertige. J’imaginais bien la scène du moi qui lâche ses prise et se retrouve en bas en un clin d’œil, mais je préfère ne pas y penser et pour cela, quoi de mieux que de taper la discute avec ma chère amie que voilà :
« Hé dis, moi Agathe, ton prénom c’est bien Agathe hein ? »
« Oui.. »
« Oui bon, hm, comment ça se fait qu’il y ait des encoches sur toute la hauteur du bâtiment ? »
« Nous les avons creusés pour pouvoir l’escalader, au couteau. »
« Et pourquoi ne pas passer par la porte ? »
« Hé bien, cela ne serait pas drôle et puis nous vivons dans l’espace situé entre le toit et le plafond à l’abris des regards et parfois même mieux installés que les gens de la ville. »
« Installés, mais vous êtes orphelin ? »
« Oui nos parents nous on abandonnés il y’a longtemps et depuis nous vivons comme ça, volant quelques victuailles aux nombreux marchants de la ville. On est arrivé. »
« Oui.. »
« Oui bon, hm, comment ça se fait qu’il y ait des encoches sur toute la hauteur du bâtiment ? »
« Nous les avons creusés pour pouvoir l’escalader, au couteau. »
« Et pourquoi ne pas passer par la porte ? »
« Hé bien, cela ne serait pas drôle et puis nous vivons dans l’espace situé entre le toit et le plafond à l’abris des regards et parfois même mieux installés que les gens de la ville. »
« Installés, mais vous êtes orphelin ? »
« Oui nos parents nous on abandonnés il y’a longtemps et depuis nous vivons comme ça, volant quelques victuailles aux nombreux marchants de la ville. On est arrivé. »
Je sentais déjà une main me hisser vers, le haut. C’était Takeshi le garçon rencontré dans l’après midi, il était blond et sa carrure était imposante, ses yeux bleus et sa peau blanche également, il était assez grand. Soudainement mon corps devenait faible et le froid m’envahissait, je sentais que mon corps faiblissait, je me sentais chaud, de la fièvre certainement puis je m’évanouis.
Lorsque je mes yeux s’ouvrirent, mon corps lui paraissait comme paralysé mais j’étais enfaite dans un duvet de couverture. Lorsque mon corps fut complètement éveillé, je me rendis compte que j’étais de retour dans la suite de l’hôtel. Je me levais pour voir si il y’avait quelqu’un. Je constatais que mes parents n’étaient toujours pas rentrés. Je me souvenais des évènements de l’après midi précédente et me demandais comment j’étais arrivé jusque là, il était peu probable que mes nouvelles connaissances sachent où se trouvait mon logement. Et surtout que m’était t-il arrivé, pourquoi m’étais-je évanouis ? A cause de la fièvre je pense. Après cela s’en suivit des réflexions sur le monde et sa façon de fonctionner puis vint l’heure du déjeuné. Retenant la leçon de la veille, je m’habillais avec des habits chauds mais fins pour éviter de suer et d’attraper quelques maladies désagréables. Je me dirigeais vers le restaurant le plus proche à une centaine de mètres de l’hôtel, je pensais pouvoir y retrouver mes parents. La rue était animée ce jour là. Lorsque j’étais en vue de l’établissement, une foule impressionnante était rassemblée devant l’entrée. Je me faufilais au travers des observateur lorsque… Au début j’étais paralysé, mon corps, même ma pensé étaient bloqués. Seulement la vue de mes parents empalés sur le bar.
Cela faisait cinq ans que j’avais perdu mes parents. J’ai appris que la marine était responsable de ce bain de sang. Le haut commandement de la marine aurait apparemment fait assassiner mes parents, ex marines car ils avaient en leur possession des informations pouvant porter préjudice à la réputation de nos « justiciers », du moins c’était notre théorie, à Takeshi, Agathe et moi. Il y’a cinq années de cela, ils m’ont aidé à me remettre de ce traumatisme et mon logé, j’ai appris avec eux les rudiments de la vie en solitaire, à voler discrètement et toutes ces choses utiles pour un orphelin sans argent. Mais j’avais décidé de rejoindre la révolution. Haineux envers la Marine, je veux renverser ce gouvernement qui prône la justice et qui est pourtant immoral, trop à mon gout.
Flanqué de deux épées, je m’en suis allée pour de nouvelles découvertes, laissant mes amis derrières. Peut être un jour pourront-ils me rejoindre.
Sa Psychologie
Yop-là !! Comme vous avez pu le constater, je suis quelqu’un de sensible qui aime ses proches et tout ça. Malgré le fait que je n’ai que deux amis et quelques connaissances, je sais que je pourrais aller jusqu'à risquer ma vie pour les aider jusqu'à en oublier tout sens moral. L’immoralité ce que je déteste le plus, mais il y’a des exceptions à tout, je pense… De ce que j’ai compris, je suis quelqu’un de drôle, mais ça n’est pas vraiment volontaire, ma bêtise naturelle fait rire ceux qui sont autour de moi. Mais il arrive parfois que je me sente seul et triste pour des raisons inconnus, j’ai l’impression de ne pas me connaître moi-même.
Mais cette sensation de méconnaissance de ma personnalité ressort vraiment lorsque je combats, dans ces moments là, je fais preuve d’une grande violence, à m’effrayer moi-même d’ailleurs, je me rappel du visage horrifié d’Agathe lors d’une bataille de rue, cette foie si, j’avais exagéré. Mis appart cela, j’ai un attachement extrême à l’argent, plus j’en ai mieux je me porte.
En plus de tout cela, j’aime dormir, j’aime manger mais je n’aime pas les enfants et les insectes. Je suis assez nerveux et je m’emporte parfois pour un rien.
Je n’ai jamais vraiment aimé la chaleur, j’ai toujours préféré le froid parce que lorsqu’il fait froid, il n’y a pas d’insectes et mon esprit est plus serein. En plus j’adore la neige…
Carnivore de nature je ne me nourris que de viande et très rarement de légumes. J’apprécie le fait de manger des fruits, mais de temps en temps. Au niveau de la boisson, je préfère l’alcool. Une bonne pinte est toujours meilleure qu’un verre d’eau pour moi. Les jus de fruits, c’est bon aussi. Voilà tout !
Test RP
Les rues sont propres, les gens bien vêtu, du parfum à s’en crever les narines et à s’en faire pleurer les yeux. Bref tout ce que j’aime est rassemblé ici, dans une ville, sur une île dont je ne connais pas le nom. Je sais seulement que ce n’est pas loin de Calm Belt. Je me suis retrouvé ici complètement par hasard suite à une tempête et j’ai fait naufrage.
Le ciel est bleu, les oiseaux chantent. Un vent chaleureux se frotte contre mon visage. Je me sens bien aujourd’hui
Des chevaux tiraient les calèches de riches citoyens. Ceux-là me regardaient avec dégout lorsqu’ils avançaient près de moi. Affamé mais ruiné, je décide de voler discrètement quelques fruits dans les paniers du marchant passant près de moi… Les façades sont chargés de décorations inutiles. La couleur des murs attaque les yeux de ceux qui ne sont pas habitué. Je n’aime pas cet endroit. Je m’y suis retrouvé par hasard en vagabondant dans la ville. Ce quartier sens mauvais.
Je continu d’avancer et vois un groupe d’enfants de riches battre un pauvre chiot. Je décidais de passer mon chemin lorsque l’un d’eux m’intercepta, m’empêchant d’avancer. La rue était devenue déserte pour une raison inconnu
Il me dit :
- Hé t’as envie de manger ce chiot on l’a tué pour toi ! dit il en rigolant
Un autre s’approcha de moi et me cracha dessus. Je les observais avec indifférence ne sachant pas trop quoi penser d’eux. Je me moque totalement de ce chiot et de ces gamins. J’suis donc passé en contournant le petit qui me barrait la route. Je sorti un vieux tissus de ma poche et essuya la salive sur mon pantalon et laissa le morceau flotter librement dans les airs.
Mais j’aurais du me douter que le petit groupe ne me laisserais pas tranquille. Ils se croient supérieur parce qu’ils ont de riches parents mais je suis persuadé que ces mêmes parents ne s’occupent pas d’eux, après tout les nobles ne voient que leurs intérêts.
- Oy Oy Oy ! Le clochard ! Qui t’as autorisé à partir ? je ne me souviens pas de t’avoir laissé passer.
- Tu devrais faire attention à ce que tu dis petit, ne me pousse pas à bout ou tu pourrais finir comme ce chiot là-bas.
Le groupe de gamins m’encercla, ils sont six. Ces mômes pensent pouvoir m’attaquer avec de si lourds habits. Quelle blague.- Tu devrais faire attention à ce que tu dis petit, ne me pousse pas à bout ou tu pourrais finir comme ce chiot là-bas.
Alala ! Quelle mauvaise journée, un naufrage et une bagarre avec des petits nobles. J’aurai tout eu !
Après quelques étirements, je fis tomber ma cape laissant mes lames et ma dague prendre un bain de soleil. Ces petits paraissaient choqués. Voir des armes ne devait pas être habituel pour eux.
Mais l’un d’eux ne se laissant pas impressionner me chargea en poussant un cri. Je l’esquivais facilement puis les autres se mirent à me charger à leur tour.
Je sautais, j’esquivais, je les écartais. Je m’amusais bien et ils continuaient en plus. Mais il fallait que je trouve un logement pour la nuit.
- Hé les gamins ça ne vous dit pas d’arrêter là ? Vous n’arriverez pas à me toucher de toutes manières et puis à quoi ça vous sert de m’attaquer ?
- Tu es pauvre donc tu nous dois obéissance à nous les nobles !
- Tu es pauvre donc tu nous dois obéissance à nous les nobles !
Un autre répliqua :
- Ouais c’est vrai, donnes nous tes armes et déshabilles toi.
Je parti dans un fou rire de quelques secondes puis repris mon calme. Les gamins étaient intrigués par mon attitude. Lassé de cette distraction, je dégainais une des mes lames et assomma l’un des pets violement avec le dos de la lame. Le noble tomba sur le sol comme une masse. Les autres enfants pris de panique prirent la fuite.
Je décidais des les chasser, mais ils n’étaient pas très rapide. Je fini de tous les assommer avant qu’ils n’atteignent le prochain croisement. Je me suis d’abord demander pourquoi ne pas les tuer ?
Et puis je me suis dis que peut être il y’a des l’espoir pour eux. Après tout il ne sont que des enfants, on change en grandissant. Puis je suis parti chercher un endroit où dormir les laissant gire sur le sol. Il ne faisait pas froid après tout.
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________
Informations IRL
Prénom : Link
Age : 16
Aime : Tout
N'aime pas : /
Personnage préféré de One Piece : Tous
Caractère :
Fais du RP depuis : aujourd'hui ?
Disponibilité : Au minimum trois soirs par semaine et le dimanche matin
Comment avez vous connu le forum ? En tapant One Piece RP sur Google
Dernière édition par Bel Kenji le Dim 5 Fév 2012 - 14:42, édité 6 fois