Yakov fusait vers la mer bleue à toutes vitesses, si bien que Shinji était contraint de tenir ses affaires d'une main et son chapeau de l'autre, obligé de se cramponner par la seule force de ses cuisses autour du cou de l'imposant rapace. C'était vertigineux mais il se sentait en vie, lui qui avait hanté la même chambre depuis plus de 7 mois. Il avait un besoin fou de cet immense bol d'air que lui offrait son compagnon qui semblait au moins aussi excité que lui alors qu'il effectuait dans les airs et avec grace, d'immenses figures aériennes. Des cris caractéristiques de l'oiseau du sud appuyait la thèse de l'excitation et de la joie de l'animal. Il avait immédiatement répondu à l'appel de son maitre après un long interminable silence.
Le duo virevoltait furieusement et plusieurs fois, Kaetsuro avait bien faillit passer par dessus plumes. Il s'appliquait avec plus de concentration à rester sur son amie plus tôt qu'à s'extasier de cette sortie céleste. Il n'en pouvait plus de ce vide incessant et infini sous ses pieds ni de vivre dans les nuages et encore moins de son état quasi paralytique. Il avait besoin d'adrénalines et de sensations. L'oiseau se mit de nouveau à piquer pour plus d'efficacité et peut être parce qu'il avait ressentit la fatigue de celui qu'il portait. La tache que formait Reverse Mountain devint distincte et malgré la vitesse qui le forçait à plisser les yeux, le Capitaine put l'apercevoir grandissante. Il regarda autour et vit sa compagne de toujours, la mer bleue. Elle lui avait terriblement manqué tout ce temps passé plus près des étoiles. Bientôt il retrouverait peut être ses amis, il n'en doutait plus en réalité à cause de la présence de Yakov qui n'était certainement pas resté seul.
Les 2 compagnons s'approchaient dangereusement du sol et une tape sur le côté de la nuque du monstre des airs lui fit comprendre qu'il devait entreprendre un redressement. La route de Reverse Mountain n'était pas dans le coin et il leur faudrait longer le récif jusqu'à trouver l'endroit où ce fameux courant débouchait. Là ils trouveraient forcément le restant des Nigawarais. Shinji débordait d'impatience à l'idée de les revoir. c'était miraculeux, il attendait cet instant depuis bien trop longtemps. Le destin ne leur avait pas fait de cadeaux si tôt qu'ils étaient entrés sur Grand line mais au final tout rentrerait dans l'ordre. Au loin, une ombre se profila. C'était une silhouette longiligne qui rappelait la ligne d'un phare. la lumière qui passa de manière circulaire sous les deux compères renforça les soupçons de l'homme au bob. L'oiseau accéléra d'un dernier battement d'aile qui les propulsa vers leur objectif pour enfin planer jusqu'à atteindre leur destination. il s'approcha à toute allure du rocher où se trouvait le bâtiment et freina son allure déjà ralentie. de quelques battements, il annula sa vitesse et vint se poser doucement devant l'édifice.
Kaetsuro jeta ses affaires qui avaient pesées sur son bras encore fragile avant de descendre précautionneusement. Lorsqu'il posa ses pieds à terre, il se retourna et eut comme un vertige. il tituba sur le côté et tomba après quelques hésitations. Il essaya de se relever mais c'était inutile. Un incommensurable mal de terre lié à un vertige comme on n'en fait plus empêchaient tous mouvements. Il comprit que rejoindre le sol ne serait pas une mince affaire après avoir passé tant de semaines haut perché et que sa descente rapide n'arrangerait rien à l'affaire. Il s'avoua donc vaincue et ferma les yeux. Sa tête tourbillonnait sans cesse si bien qu'il dut relâcher ses muscles et fermer les yeux. Toute cette pression qu'il avait accumulée redescendit en son fort intérieur et il décompressait ... Tant et si bien qu'il finit par s'endormir.
Le duo virevoltait furieusement et plusieurs fois, Kaetsuro avait bien faillit passer par dessus plumes. Il s'appliquait avec plus de concentration à rester sur son amie plus tôt qu'à s'extasier de cette sortie céleste. Il n'en pouvait plus de ce vide incessant et infini sous ses pieds ni de vivre dans les nuages et encore moins de son état quasi paralytique. Il avait besoin d'adrénalines et de sensations. L'oiseau se mit de nouveau à piquer pour plus d'efficacité et peut être parce qu'il avait ressentit la fatigue de celui qu'il portait. La tache que formait Reverse Mountain devint distincte et malgré la vitesse qui le forçait à plisser les yeux, le Capitaine put l'apercevoir grandissante. Il regarda autour et vit sa compagne de toujours, la mer bleue. Elle lui avait terriblement manqué tout ce temps passé plus près des étoiles. Bientôt il retrouverait peut être ses amis, il n'en doutait plus en réalité à cause de la présence de Yakov qui n'était certainement pas resté seul.
Les 2 compagnons s'approchaient dangereusement du sol et une tape sur le côté de la nuque du monstre des airs lui fit comprendre qu'il devait entreprendre un redressement. La route de Reverse Mountain n'était pas dans le coin et il leur faudrait longer le récif jusqu'à trouver l'endroit où ce fameux courant débouchait. Là ils trouveraient forcément le restant des Nigawarais. Shinji débordait d'impatience à l'idée de les revoir. c'était miraculeux, il attendait cet instant depuis bien trop longtemps. Le destin ne leur avait pas fait de cadeaux si tôt qu'ils étaient entrés sur Grand line mais au final tout rentrerait dans l'ordre. Au loin, une ombre se profila. C'était une silhouette longiligne qui rappelait la ligne d'un phare. la lumière qui passa de manière circulaire sous les deux compères renforça les soupçons de l'homme au bob. L'oiseau accéléra d'un dernier battement d'aile qui les propulsa vers leur objectif pour enfin planer jusqu'à atteindre leur destination. il s'approcha à toute allure du rocher où se trouvait le bâtiment et freina son allure déjà ralentie. de quelques battements, il annula sa vitesse et vint se poser doucement devant l'édifice.
Kaetsuro jeta ses affaires qui avaient pesées sur son bras encore fragile avant de descendre précautionneusement. Lorsqu'il posa ses pieds à terre, il se retourna et eut comme un vertige. il tituba sur le côté et tomba après quelques hésitations. Il essaya de se relever mais c'était inutile. Un incommensurable mal de terre lié à un vertige comme on n'en fait plus empêchaient tous mouvements. Il comprit que rejoindre le sol ne serait pas une mince affaire après avoir passé tant de semaines haut perché et que sa descente rapide n'arrangerait rien à l'affaire. Il s'avoua donc vaincue et ferma les yeux. Sa tête tourbillonnait sans cesse si bien qu'il dut relâcher ses muscles et fermer les yeux. Toute cette pression qu'il avait accumulée redescendit en son fort intérieur et il décompressait ... Tant et si bien qu'il finit par s'endormir.