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Notes complémentaires
Nom: Inconnu.
Prénom: Wohrwèlch.
Pseudonyme: Aucun.
Âge: 25 ans.
Sexe: Homme.
Race: Humain.
Rang: Aucun.
Fruit du démon: Aucun.
Haki: Aucun.
Métier:
Historien:
- Lorsque Wohrwèlch était enfant, son père l’avais élevé et éduqué dans un enseignement qui pour le jeune homme semblerait être qu’un tissus de mensonges. C’est pourquoi, dès qu’il quitta le milieu familial, il décida de s’installer dans une ville pour apprendre réellement l’Histoire. C’était un moyen pour lui de retrouver sa propre identité.
Archéologue:
- Parallèlement, Wohrwèlch s’était spécialisé en archéologie. Étant un homme de terrain, il n’appréciait guère d’être enfermé trop longtemps dans un bureau… Il préférait sortir en pleine nature à la recherche d’artéfacts, de reliques et autres babioles divers.
Groupe: Civil.
Équipage: Aucun, il se débrouille pour voguer.
But:
- En tant qu'historien, il rêvait de découvrir des nouvelles antiquités enfouilles et des vieux savoirs oubliés. C’était un archéologue aventureux qui souhaitait trouver des reliques anciennes pour les exposer dans des musées ou pour les vendre.
- Retrouver sa véritable identité. Depuis son enfance, il soupçonne que ses proches lui ont menti sur sa nature et son nom... Aujourd'hui, il est toujours à la recherche de son passé perdu, de sa véritable identité.
Équipements:
Armes:
- Deux sabres jumeaux.
[Veuillez m'excuser pour la qualité mais un petit dessin vaut mieux qu'un grand discourt.]
Accessoires:
- Une sacoche en cuir. Il y a son livre autobiographique à l'intérieur, un livre d’Histoire et son manuel d’archéologie, sa bourse, une boite à énigme, une pierre de quartz violacé, quelques outils et matériels de fouille, deux fioles vides pour des prélèvements et enfin une petite pince en fer.
- Des gantelets en cuirs.
Style de combat:
Wohrwèlch forgea un style de combat le long de ses voyages. Il préféra inventer deux sabres ayants pour particularité de s’unir par leur extrémité (Voir plus haut). Ainsi, cette manière lui donne plus de maniabilité et de manœuvre qu’une simple lame même deux. Avec son arme, il perfectionna son utilisation dans une souplesse impressionnante. Il est plus fluide et lui permet de prendre d'assaut plusieurs ennemis à la fois.
Wohrwèlch joue beaucoup sur l’acrobatie, n'hésitant pas à se saisir des éléments autour de lui. Ainsi, son style de combat lui permet de se centrer sur plusieurs cibles, de loin comme de près, dans des environnements plus ou moins difficiles d'accès normalement.
Codes du règlement:
Parrain: Pénélope Solète et Sören Hurlevent.
Description physique
Wohrwèlch est plutôt un homme désagréable à voir sans son capuchon qu'il met constamment pour occulter son véritable visage. Il est plutôt grand, de corpulence correcte pour sa taille. C'est quelqu'un d'assez fort et de relativement robuste. Ses yeux sont d'un gris presque blanc. La teinte de son derme est d'une couleur normale. Depuis son enfance, l’historien développe une maladie orpheline, son corps semblerait être peu à peu lépreux mais sans que la maladie soit contagieuse. En effet, l'homme est défiguré sur la partie gauche de son visage et le reste de son flanc. La peau se décompose d'une manière impressionnante. Suite à cette affection particulière, il avait perdu complètement son cuir chevelu. L’archéologue boite légèrement de sa jambe gauche à cause de la maladie, ce qui lui empêche relativement d'avoir une bonne agilité lors des combats.
Wohrwèlch a pour habitude de porter les mêmes vêtements, une fabrication artisanale dont la simplicité lui suffit. Il se couvre d'un grand manteau sombre muni d’une capuche et d'un pantalon de même couleur et de même texture. Sa fourrure le tient chaud. Une chemise blanche complète le tout. L'homme protège ses mains avec de magnifiques gants artisanaux faits de cuir et aime marcher avec ses grandes bottes de cuir noir et de crin claire. Il est toujours accompagné de sa sacoche sur son épaule qui est remplie d'objets anciens et de ses trois livres. Il garde toujours avec lui ses trouvailles affin de ne rien se faire voler et vendre ce qu'il désire. Sa ceinture lui donne la possibilité de porter sur son dos deux fourreaux croisés où sont rangés ses deux sabres.
Description psychologie
Depuis que Wohrwèch est parti de son milieu familial, il vit plutôt en solitaire mais apprécie la bonne compagnie, et souvent, il se fait accompagner d’équipier lors de ses expéditions. Il recherche à tisser des liens avec des personnes bon-vivant. Il erre dans le but de découvrir des nouveaux objets d’antiquités et surtout, il persiste pour découvrir sa véritable indenté que ses parents lui avaient cachées. Il croit toujours que ses proches lui mentaient sur sa personne. Il prend part au monde autour de lui et trouve qu'il n'aura pas le temps de tout voir. « Le monde est grand, même trop grand ». Il aime bien prendre certains risques et goûter à l'aventure. C'est un passionné pour les vieilleries, il adore collectionner les armes et objets anciens.
Il réfléchit et agit avec sagesse. Il fait d’assez bons jugements et on dit souvent du bien sur sa personne. Il sait être quelqu'un de généreux et plein de bonté, il est toujours prêt à tenir secours autour de lui. Il n'aime absolument pas le mal gratuit, et trouve injuste de laisser autrui à l'abandon. Il est prêt à aider les gens qui sont dans le besoin, les pauvres, les errants au point de risquer sa propre vie pour eux.
Il va voir de temps en temps ses amis car il trouve qu'il ne faut pas perdre le lien fraternel entre eux. Il estime aussi qu'il ne faut pas négliger le passé et retourne de temps à autre voir ses parents. Apprendre du passé est nécessaire selon lui pour mieux réagir dans le présent. Étant un historien de base, il aime se renseigner sur les anciennes cultures et voir les erreurs d’antan afin de ne pas les reproduire.
Il a parfois des principes assez stricts sur certaines choses comme sur la façon de se comporter, de savoir vivre et de politesse...Il est indéniablement loyal, fidèle et demeure un véritable altruiste.
Cela dit, Wohrwèlch a aussi quelques défauts. Quand il désire une chose, il a tendance à tenir tête. Il n'apprécie pas trop qu'on le contredise. Mais surtout, il est très orgueilleux, et aime se dire du bien. Il prend parfois la mouche.
Extrait de son autobiographie
Je suis né un jour pluvieux du mois d'octobre dans un petit village de pêcheurs au large de toute civilisation. J'ignore complètement si le gouvernement serait en mesure de connaitre le nom de ce hameau. Mon nom ? Mes parents m'ont toujours appelé Wohr. Je ne sais pas pourquoi ils ne m'avaient jamais rien dit là-dessus mais j'avais beau leur demander, à peine la question posée, je prenais une rossée. Avaient-ils honte ? Il y avait-il quelque chose à me cacher ? Seule l'Histoire me le dira.
Très vite mon père m'enseigna le français (le japonais ?)et l’Histoire et un peu de mathématiques. Je m'ennuyais affreusement dans ce patelin, il n'y avait pas d'enfant de mon âge avec qui jouer. Parallèlement, mon vieux, qui était forgeron, m'enseignait péniblement comment se servir de l’épée mais je n'aimais vraiment pas cela. J’y voyais comme une contrainte bien que mon père estimait que c’était pour mon bien... Je me battais contre lui pour m’entrainer mais je préférais vraiment de loin les études, quel qu’en soit la matière. Pour tout dire, j'étais plus doué pour me cultiver. Je stoppai un jour ce pénible devoir que mon père me forçait malgré ses mises en garde.
Préparation.
Je me souviens qu'un jour, un client de mon père me donna une leçon sur le maniement d'une nouvelle arme que je ne connaissais pas: le bâton. Je trouvais cela intéressant car je trouvais ce genre assez fluide, ce qui me fit changer mon fusil d’épaule, et finalement je lui avais demandé de me perfectionner avec cette arme, reprenant ainsi l’entrainement. Je m’entraînais donc à un style acrobatique qui me plaisait vraiment de plus en plus. Je demanda alors à mon père de me forger deux sabres ayant la possibilités de s'unir par leurs extrémités, pour faire comme un bâton. Je nomma ma première lame: Erx. Avec cette arme dans la main, je me sentais prêt, prêt à partir, loin d’ici ! J’avais toujours eu envie de quitter mon foutu village, voir du pays et surtout découvrir et palper ce que les livres d’Histoires nous enseignent.
Le grand jour.
C'était enfin le grand jour. J'ai senti que c'était le moment de quitter mon trou. J'avais atteint ma majorité (21 ans). Un navire marchand fit son apparition, chose rare dans ce coin reculé du monde. J’avais négocié avec le capitaine Shinji Zaarïn affin qu’il m'accorde de voyager sur son embarcation. Il m’avait donné pour seule condition de préparer la popote avec le chef cuistot, Hiroki Gosta. Le chef cuisinier me réconfortait tous les soirs en me contant des légendes de marin, des histoires ancestrales ou même sa propre vie.
La profondeur de l'horizon.
Le capitaine Shinji Zaarïn me parlait souvent pour apprendre sur moi, connaitre mes convictions et apercevoir comment je pouvais réagir face à telles ou telles situation. Un peu comme un petit test. Il m'aimait bien, beaucoup même. Je dirais plus qu’il me prenait pour son propre fils. Un jour, il voulut me faire un combat amical pour voir mon niveau et à sa grande surprise je l’avais désarmé majestueusement. Après le duel, il me remercia pour ce magnifique moment et me donna sa boite à énigme. J’ai alors nommé en son honneur ma seconde lame: Zaarïn.
Aujourd'hui, c’était une journée comme bien tant d'autre, du bleu à perte de vue. C'est incroyable toute l'étendue de cet azur si magnifique. J'aimais le contempler lors de mes désœuvrements, cela m'apaisait. Combien de jours avais-je passé sur ce rafiot ? Le fait de voir toute cette mer couleur d'argent était à la fois impressionnant mais à la fois frustrant. J'en perdis mon nord. Je naviguais depuis déjà une semaine et demie.
Yumi Haibara.
Une fois à bon port, je fis la connaissance de Yumi Haibara, une jeune femme séduisante avec du caractère âgée de 23 ans. Elle était venue se joindre à ma table dans une taverne. On se mit à parler pendant longtemps. J'appris qu'elle visitait des ruines sous-marine avec une expédition, comme moi je le rêvais, des vestiges pour y trouver aussi de vieilles reliques. J’avais demandé alors de participer avec eux et elle en fit par à son patron, Kenji Kodama. Ce dernier accepta mais à condition que je garde mes distances.
Ainsi, mon premier voyage débuta. L’équipe de Kenji Kodama et moi-même naviguions pendant un mois pour entamer les premières fouilles du temple oublié Teh-mija. Un édifice qui aurait été submergé au large de l’océan. Je commençais à prendre l’habitude des transports maritimes. Je passais la plupart du temps avec Yumi Haibara dont j’avais très vite sympathisé. Notre relation devenait même intime. Elle m’avais enseigné un peu son métier d’archéologue. Je lui avais expliqué que je m’intéressais à l’Histoire et que je préférais l’étudier dehors.
Les ruines du temple Teh-mija.
L’équipage tomba enfin sur le magnifique temple en ruine. J'y pénétrai avec tout le monde. Au bout de quelques minutes, on fit des binômes et je me retrouvai alors avec Yumi. On était dans une grande salle richement travaillée et on commença nos fouilles. Soudain, le sol s’écroula sous mes pieds et je chuta d’au moins 4m. Heureusement que l’eau me réceptionna. Il faisait froid et humide. De plus, il n’y avait pas de lumière. Je cherchais à sortir d’ici en tâtant la paroi. Lorsque vis une lueur s’activer. J’entrevis une sphère à hauteur des yeux qui flottait l'air de rien (Principe de la lévitation magnétique). La babiole se nommait Hèl. Je la pris à pleine main sans hésiter. Au bout de 3h, je réussissais enfin à m’en sortir mais les archéologues avaient pris les voiles. Pensaient-ils que j'étais mort ? Néanmoins, après 2 longs jours d'attentes désespérés, j'avais pu enfin quitter l'île grâce à un baleinier. Quel chance !
Loguetown.
Je naviguais environs un mois sur le navire de pêche. J'avais vraiment cru que j'allais crever sur ce bout de rocher. Le capitaine Yamamoto Mouri me fit rentrer dans la ville de Loguetown, où je passais 4 ans à chercher un boulot d'aventure sans grand succès... Je n'arrivais pas à travailler dans le domaine qui m'intéressais vraiment. Toujours des petits jobs sans stabilités, un peu comme mes relations amoureuses... Aujourd'hui encore, je pense que Yumi Haibara serait une parfaite compagne malgré ce qu’il s'était produit auparavant. D'ailleurs, je n'avais pas eut l'occasion de voyager à nouveau depuis mon arrivé dans la ville. Cela me manquait, je m'ennuyais à mourir sans pouvoir bouger. N'aurais-je pas du quitter mes parents prématurément ? Je me posais plein de questions sans réponses.
[Je suis bien conscients que mon PJ use un métier dangereux au risque de se faire courser par le gouvernement. Et pourquoi pas les pirates aussi ? Ce serait palpitant ]
Autres informations et Demandes
Test RP
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Le phare.
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Fini[3/3]
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Informations IRL
Test RP
T'es à Logue Town toussah, et t'entends une conversation parlant de reliques trouvées. Ce serait soit disant les restes de Roger, malheureusement on s'est foutu d'toi, c'est juste pour attirer les trop curieux et il n'y a qu'une pauvre dent, la marine tacle tous ceux qui s'approchent de là bas. Raconte toussah, ton combat, et ta fuite si y'en a une.
Wohrwèlch entra épuisé dans une taverne du port de Loguetown. 18h30 sonna. Il chercha de vu une place de libre et s'installa au fond de la pièce sur une table encore vide et patienta. Il était vraiment fatigué, il avait marché longuement, ses jambes engourdis ne demandaient que du repos. « Encore une trisse journée sans rien de particulier, quel perte de temps ! Diantre, personne n'est intéressé par l'Histoire... » pensa-t-il. Du moins, il croyait l’avoir parlé dans sa tête. Le barman arriva avec une serviette à la main et de l'autre un calepin. Il s'adressa au jeune homme:
- Bonsoir Wohr, que puis-je te servir ? Comme d'habitude, je présume ?
En effet, l'historien prenait comme à son habitude un potage de légume et du pain à chaque visite nocturne mais ce soir cela serait différent. Du fait que le tavernier et lui se connaissaient aussi bien, c'est que le petit homme venait manger régulièrement ici, les mauvais jours de tristesse, ce qui était assez fréquent. Son ami le serveur, lui était d'un réconfort remarquable, il l'aidait moralement en parlant après la fermeture des problèmes occasionnés. Un vrai père pour Wohrwèlch. Il l'admirait beaucoup, il était un modèle pour lui. Il répondit à son interlocuteur:
- Bonsoir Masato, eh non, je n'ai pas très faim ce soir, se serait juste une soupe mon ami.
Lasse de cette journée, l'aventurier profita du temps à patienter pour se reposer aussi bien physiquement que mentalement mais il n'avait pu s'empêcher d'écouter une conversation un peu moite qui provenait du mur. Derrière la paroi il entendit malgré les étouffements de son le dialogue entre deux personnes à propos de relique unique. Intéressé par ces dires, il chercha à écouter d'avantage.
- Chuuut, j'te dis. Parles moins fort, j'ne compte pas finir moisir dans une cellule d'la p'tain marine, moi !
- Ne crains rien, voyons, ya personne qui pourrait nous surprendre ici. Il n'ya pas de foutu marine à la ronde, crois moi, c’est moi qui t’le dis, parole d’Haruki.
- Bon, alors c'est quoi ces satanés reliques ? Elles sont où, nom dieu !
- Calme-toi. D'après la rumeur, un navigateur aurait aperçut une piste comme quoi, il y aurait les restes de Roger qui traineraient au fond d'l'océan. Mais il y aurait d'autres qui seraient intéressés et l'aurait fait zigouiller après avoir craché l'morceau.
- Moins fort, bon sang.
Wohrwèlch avait presque l'oreille contre la cloison. Surpris d'être ainsi positionné, il se redressa normalement, mine de rien, au moment où Masato vint lui servir sa commande. Voulant lui engager la conversation, ce dernier lui adressa:
- Encore une mauvaise journée ?
- Ne m'en parle pas.
Le ton de Wohr s'était presque étouffé, juste assez audible pour que le barman entende mais assez
discret pour que lui seul écoute. Il était évident qu'il voulait en savoir plus sur la conversation voisine. Il bafouilla une excuse bidon:
- Merci vieux, si tu veux bien, je souhaiterais être au calme pour ce soir. On discutera une autre fois.
Masato mima de la tête un mouvement en guise de compréhension et alla vers d’autres clients plus ou moins habitués. De l’autre côté de la séparation, Haruki poursuivit:
- Alors, c’est pigé, p’tit gars ? Un mot et ça tombe à l’eau.
- Tu peux compter sur moi, mec. Motus et bouche cousu.
Les deux individus se quittèrent sans dire un mot. Celui qui avait parlé en dernier se dirigea vers le comptoir. Il avait un bout de papier à la main et le tendit à Masato et ce dernier le déposa sur la banque. L’inconnu lui expliqua à ce dernier qu’il devait le donner en main propre à son supérieur. Pendant ce temps-là, Wohrwèlch c’était éclipsé de sa table et se rendit vers son ami. Une fois que l’homme mystérieux sortit, le jeune homme engagea la conversation en commençant par lui dire de donner son repas à un malheureux. Tout en étant discret, il récupéra le parchemin posé encore sur le plan de travail et s'en alla. Masato ne vit que du feu.
- Bonsoir Wohr, que puis-je te servir ? Comme d'habitude, je présume ?
En effet, l'historien prenait comme à son habitude un potage de légume et du pain à chaque visite nocturne mais ce soir cela serait différent. Du fait que le tavernier et lui se connaissaient aussi bien, c'est que le petit homme venait manger régulièrement ici, les mauvais jours de tristesse, ce qui était assez fréquent. Son ami le serveur, lui était d'un réconfort remarquable, il l'aidait moralement en parlant après la fermeture des problèmes occasionnés. Un vrai père pour Wohrwèlch. Il l'admirait beaucoup, il était un modèle pour lui. Il répondit à son interlocuteur:
- Bonsoir Masato, eh non, je n'ai pas très faim ce soir, se serait juste une soupe mon ami.
Lasse de cette journée, l'aventurier profita du temps à patienter pour se reposer aussi bien physiquement que mentalement mais il n'avait pu s'empêcher d'écouter une conversation un peu moite qui provenait du mur. Derrière la paroi il entendit malgré les étouffements de son le dialogue entre deux personnes à propos de relique unique. Intéressé par ces dires, il chercha à écouter d'avantage.
- Chuuut, j'te dis. Parles moins fort, j'ne compte pas finir moisir dans une cellule d'la p'tain marine, moi !
- Ne crains rien, voyons, ya personne qui pourrait nous surprendre ici. Il n'ya pas de foutu marine à la ronde, crois moi, c’est moi qui t’le dis, parole d’Haruki.
- Bon, alors c'est quoi ces satanés reliques ? Elles sont où, nom dieu !
- Calme-toi. D'après la rumeur, un navigateur aurait aperçut une piste comme quoi, il y aurait les restes de Roger qui traineraient au fond d'l'océan. Mais il y aurait d'autres qui seraient intéressés et l'aurait fait zigouiller après avoir craché l'morceau.
- Moins fort, bon sang.
Wohrwèlch avait presque l'oreille contre la cloison. Surpris d'être ainsi positionné, il se redressa normalement, mine de rien, au moment où Masato vint lui servir sa commande. Voulant lui engager la conversation, ce dernier lui adressa:
- Encore une mauvaise journée ?
- Ne m'en parle pas.
Le ton de Wohr s'était presque étouffé, juste assez audible pour que le barman entende mais assez
discret pour que lui seul écoute. Il était évident qu'il voulait en savoir plus sur la conversation voisine. Il bafouilla une excuse bidon:
- Merci vieux, si tu veux bien, je souhaiterais être au calme pour ce soir. On discutera une autre fois.
Masato mima de la tête un mouvement en guise de compréhension et alla vers d’autres clients plus ou moins habitués. De l’autre côté de la séparation, Haruki poursuivit:
- Alors, c’est pigé, p’tit gars ? Un mot et ça tombe à l’eau.
- Tu peux compter sur moi, mec. Motus et bouche cousu.
Les deux individus se quittèrent sans dire un mot. Celui qui avait parlé en dernier se dirigea vers le comptoir. Il avait un bout de papier à la main et le tendit à Masato et ce dernier le déposa sur la banque. L’inconnu lui expliqua à ce dernier qu’il devait le donner en main propre à son supérieur. Pendant ce temps-là, Wohrwèlch c’était éclipsé de sa table et se rendit vers son ami. Une fois que l’homme mystérieux sortit, le jeune homme engagea la conversation en commençant par lui dire de donner son repas à un malheureux. Tout en étant discret, il récupéra le parchemin posé encore sur le plan de travail et s'en alla. Masato ne vit que du feu.
~
L’historien s’isola dans son appartement et lu immédiatement le document qu’il avait volé. Il y avait d’inscrit juste ceci:
Le phare.
Surpris du contenu pour un vulgaire papier, Wohrwèlch réfléchis longuement de quel bâtiment s'agissait-il. Une fois trouvé il décida de s'y rendre sans plus attendre.« Ma curiosité me perdra... ».
~~~
Wohrwèlch était maintenant hors de la ville et marchait à grand pas, pas trop non plus pour pas se fatiguer trop vite. L'édifice auquel il pensait se trouvait à 3km environs à l'ouest de Loguetown. Le bâtiment se rapprochait rapidement à porté de vu. Il était enfin arrivé à destination et avait profité du voyage pour habituer à ses yeux de l'obscurité bien que la lune éclairait les environs. En effet, il faisait déjà nuit depuis la capital de l’île mais juste assez lumineux pour le jeune homme de voir la route. Il devait être au alentour de 19h45 quand il fut devant le phare. Un peu bateau comme planque. Il tenta d'ouvrir la porte d'entré, et à sa grande surprise elle fut déjà ouvert, alors il s'engagea sans réfléchir. Personne. Mais qu'es-ce qu'il pouvait donc espérer ainsi ? En un éclaire, il monta les escaliers. Ne voyant rien, Worhwèlch regarda son papier pour trouver un éventuel indice qu'il aurait pu négliger.
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« Mais qu'est-ce que cela pouvait-il signifiait ? Une direction certainement. » Il prit un instant de réflexion, puis regarda, les yeux avides, en direction de la mer qui demeurait calme. Il aperçut un navire au loin et une masse difforme sombre simulant un récif. Avec certitude, il descendit de la tour et se dirigea face à l'océan, cherchant une barque. Une fois en possession de la chaloupe, il rama en direction du voilier qui avait vu.
~
Pendant que l'archéologue voguait seul, non loin de là, une troupe de 7 pilleurs de tombe se préparaient. L'un d'eux prit la parole:
- Tout le monde est là ?
- Ouaip m'sieur, on peut y aller.
Cette deuxième voix était familière pour Wohrwèlch, elle était celle du patron de Masato. Un vieux de la vielle qui en avait vu du pays. Un marin encore robuste pour son âge avancé. Il était assez grand, une barbe de trois jours gris. Il était fort. Il se prénommait Yasumasa. Un autre mec un peu à l'ouest, plus petit et frêle s’avança vers le meneur du groupe et lui répondit:
- Haruki, il manque personne.
- Alors préparer la chaloupe, ya plus qu'à rejoindre "La Charlotte".
"La Charlotte" était le nom du navire que possédait Haruki. Âgé à peine de 23 ans, tout le réussissait. Ce bien demeurait un gain mystérieux pour quelqu'un de son milieu. Les hommes avaient travaillés tellement vite qu'ils étaient à l'eau en l'espace de quelques secondes. Ils avançaient tranquillement en direction du même navire que Wohr. La lune éclairait toujours de son bel éclat blanchâtre.
- Tout le monde est là ?
- Ouaip m'sieur, on peut y aller.
Cette deuxième voix était familière pour Wohrwèlch, elle était celle du patron de Masato. Un vieux de la vielle qui en avait vu du pays. Un marin encore robuste pour son âge avancé. Il était assez grand, une barbe de trois jours gris. Il était fort. Il se prénommait Yasumasa. Un autre mec un peu à l'ouest, plus petit et frêle s’avança vers le meneur du groupe et lui répondit:
- Haruki, il manque personne.
- Alors préparer la chaloupe, ya plus qu'à rejoindre "La Charlotte".
"La Charlotte" était le nom du navire que possédait Haruki. Âgé à peine de 23 ans, tout le réussissait. Ce bien demeurait un gain mystérieux pour quelqu'un de son milieu. Les hommes avaient travaillés tellement vite qu'ils étaient à l'eau en l'espace de quelques secondes. Ils avançaient tranquillement en direction du même navire que Wohr. La lune éclairait toujours de son bel éclat blanchâtre.
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L'historien vit de plus en plus net l'îlot près du bateau. Ce n'était qu'un bout de rocher pointu et dangereux. Il y avait juste un troue d'homme qui s'enfonçait dans les profondeurs de la cirque que venait de découvrir le jeune imprudent. La distance était suffisante pour être assez discret. C'était calme. Maintenant, il s'engagea dans la paroi. De l'autre coté l’ouverture s’agrandir. La berge à l'intérieur semblait être aménagé en un minuscule port, il ne faisait pas trop noir à cause des lueurs des torches mais plutôt froid et humide. Wohrwèche observait de pare en pare, ses yeux longeaient les murs au plafond, puis, de nouveau en face de lui. Il emprunta un escalier rongé par l'érosion qui descendait. Il était extrêmement abrupte et la pierre écorchait la peau au moindre faux pas. En effet, le temps et l'eau en abondante rongeait les roches de la grotte engloutie. Il préféra ne pas prendre de flambeaux et avançait prudemment. Il songeai: « Une cachette peu banal pour un seigneur de pirate célèbre, cela me semble presque loufoque... A propos de pirate, faudrait mieux que je fasse plus attention, on ne sait jamais. Qui sait, y aurait-il le fameux One Piece ? Fort improbable... Ma curiosité me perdra...».
Il pénétra ensuite dans une caverne un peu plus aménagé et plus grande que la précédente. Cependant, cela devenait de plus en plus dangereux, il longeait un mur râpeux au risque de se rompe le cou en contre bas. En effet, un immense précipice dont la profondeur incertain s'imposait dans le milieu de la salle. De plus, le sol glissant fit à plusieurs reprise déséquilibrer le jeune historien. Quel mort absurde ! Le seul bruit qu'on pouvait entendre clapotaient les gouttes d'eau du plafond de stalactite. De tout l'étendu de l'immense chambre se trouvaient des installations d'ouvrages minières. Il y avait au milieu du chemin un pont de singe en bois et de corde incertains.
Il pénétra ensuite dans une caverne un peu plus aménagé et plus grande que la précédente. Cependant, cela devenait de plus en plus dangereux, il longeait un mur râpeux au risque de se rompe le cou en contre bas. En effet, un immense précipice dont la profondeur incertain s'imposait dans le milieu de la salle. De plus, le sol glissant fit à plusieurs reprise déséquilibrer le jeune historien. Quel mort absurde ! Le seul bruit qu'on pouvait entendre clapotaient les gouttes d'eau du plafond de stalactite. De tout l'étendu de l'immense chambre se trouvaient des installations d'ouvrages minières. Il y avait au milieu du chemin un pont de singe en bois et de corde incertains.
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Alors que Wohrwèlch s'aventurait dans les noires abysses, une brigade de la marine l'observaient depuis l'autre coté du ravin. Ces soldats étaient aux nombres de vingt. La marine avait reçut l’ordre de prendre d'assaut les trop curieux, les pilleurs de tombe, même les simples fouineurs. Une organisation claire pour une attaque surprise efficace qui permettrait de capturer les gens que le gouvernement raclait depuis un moment. Seulement, il semblerait que la présence de l'archéologue pourrait tout faire chambouler. Cela faisait un bon moment qu'ils patientaient maintenant, ils attendaient depuis au moins une bonne heure et commençaient à gesticuler jusqu'à que l'un d'eux chuchota à son collègue:
- Que fait ce mioche dans ce lugubre endroit ? Il n'a rien à faire là, celui-là bon sang.
- Chute, ne nous fais pas repérer.
- Monsieur, il y a un freluquet qui s'aventure. Que fait-on?
- On l'arrêt immédiatement, avant que cela ne devienne un merdier pas possible. Je ne veux pas savoir, on agit.
Un groupe de quatre guerriers se faufila alors à la rencontre du jeune homme, prêt à l'intercepter. Le maitre de l'opération ne voulait absolument pas de bavure.
- Que fait ce mioche dans ce lugubre endroit ? Il n'a rien à faire là, celui-là bon sang.
- Chute, ne nous fais pas repérer.
- Monsieur, il y a un freluquet qui s'aventure. Que fait-on?
- On l'arrêt immédiatement, avant que cela ne devienne un merdier pas possible. Je ne veux pas savoir, on agit.
Un groupe de quatre guerriers se faufila alors à la rencontre du jeune homme, prêt à l'intercepter. Le maitre de l'opération ne voulait absolument pas de bavure.
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Durant ce temps, les hommes d'Haruki avaient déjà abordés l’embouchure de l'escalier. Ils se rapprochaient dangereusement. Ils étaient bientôt là. Le chef marchait en arrière, poussant un peu pour les inciter à aller plus vite. Les sons de leurs voix résonnaient:
- Dépêchez-vous bande de ramollos, j'souhaite revenir sur "La Charlotte" avec l' trésor et les reliques avant l'aube, moi.
Wohrwèlch se trouvait dans une mauvaise position, il était décidément mal au point. Les pilleurs de tombe arrivèrent dans la salle à une cinquantaine de mètre de lui. De l'autre coté, les militaires étaient plus proche, à une trentaine de pas dans sa direction.« Que faire. Plus de retour en arrière, je fonce ! » Tout en même moment, l'escouade engagea la lutte. Les grappins lancés à la volés percutèrent des hommes et des poteaux. Quelques uns tirèrent une slaves dans le tas. C'était vraiment pas le moment de réfléchir. Le jeune homme courra de toute sa puissance vers l'avant.
Les hommes d'Haruki tentèrent de repousser l'offensive mais les soldats étaient plus nombreux. L'effet de surprise fut néanmoins acquit. Les militaires sautèrent de leur paroi avec leur grappin comme un vrai abordage. Alors que les quatre gaillards de la marine circulaient sur une zone en semi pont avec des sections de bois sur le coté du vide, Wohr retira Erx de son fourreau, la lame en avant à la main droite. Au passage, il récolta une chaîne à moitié rouillé qui tenait fermement de son poing gauche. Le point de contacte se comptait en quelques seconde. Il percuta d'un violent coup d'épaule le premier venu, ce qui le projeta dans le ravin. Il profita de sa vitesse emmagasiné pour trancher le torse du deuxième avec frénésie, histoire de ne pas reprendre à plusieurs fois. Le troisième avait déjà dégainé son arme et commença à croiser le fer avec le malheureux historien. Manque de pot, l'autre soldat vint en renfort et tenta un coup d'estoc mais le pauvre archéologue profita de son mauvais geste pour que sa parade le propulse dans sa lancé, c'est à dire en direction du précipice. Seulement, il fut juste tombé sur le chemin derrière lui. Pas question de se battre de cette manière, il chercha un quelconque issu vite fait. Il accrocha la chaîne sur le poteau d'un seul lancé et tenta le tout pour le tout de se balançait avec sur le coté du vide tout en donnant un coup de pied contre le mec en face de lui. Entre temps, il échappa malencontreusement son sabre sur le sol. Une fois derrière son adversaire et grâce à la rotation, il sortir avec rapidité Zaarïn dont le fatal coup coupa la hanche de sa victime. Mécontent, le type s'élança avec rage vers Wohrwèlch qui était prêt à se défendre. Mais à ce moment là, l’aventureux reçut méchamment un coup de crosse derrière le crane. D'autres soldats étaient venu secourir leurs quatre malheureux camarades. En effet, concentré sur ses opposants, il n'avait pas vu les soldats de derrière.
- Dépêchez-vous bande de ramollos, j'souhaite revenir sur "La Charlotte" avec l' trésor et les reliques avant l'aube, moi.
Wohrwèlch se trouvait dans une mauvaise position, il était décidément mal au point. Les pilleurs de tombe arrivèrent dans la salle à une cinquantaine de mètre de lui. De l'autre coté, les militaires étaient plus proche, à une trentaine de pas dans sa direction.« Que faire. Plus de retour en arrière, je fonce ! » Tout en même moment, l'escouade engagea la lutte. Les grappins lancés à la volés percutèrent des hommes et des poteaux. Quelques uns tirèrent une slaves dans le tas. C'était vraiment pas le moment de réfléchir. Le jeune homme courra de toute sa puissance vers l'avant.
Les hommes d'Haruki tentèrent de repousser l'offensive mais les soldats étaient plus nombreux. L'effet de surprise fut néanmoins acquit. Les militaires sautèrent de leur paroi avec leur grappin comme un vrai abordage. Alors que les quatre gaillards de la marine circulaient sur une zone en semi pont avec des sections de bois sur le coté du vide, Wohr retira Erx de son fourreau, la lame en avant à la main droite. Au passage, il récolta une chaîne à moitié rouillé qui tenait fermement de son poing gauche. Le point de contacte se comptait en quelques seconde. Il percuta d'un violent coup d'épaule le premier venu, ce qui le projeta dans le ravin. Il profita de sa vitesse emmagasiné pour trancher le torse du deuxième avec frénésie, histoire de ne pas reprendre à plusieurs fois. Le troisième avait déjà dégainé son arme et commença à croiser le fer avec le malheureux historien. Manque de pot, l'autre soldat vint en renfort et tenta un coup d'estoc mais le pauvre archéologue profita de son mauvais geste pour que sa parade le propulse dans sa lancé, c'est à dire en direction du précipice. Seulement, il fut juste tombé sur le chemin derrière lui. Pas question de se battre de cette manière, il chercha un quelconque issu vite fait. Il accrocha la chaîne sur le poteau d'un seul lancé et tenta le tout pour le tout de se balançait avec sur le coté du vide tout en donnant un coup de pied contre le mec en face de lui. Entre temps, il échappa malencontreusement son sabre sur le sol. Une fois derrière son adversaire et grâce à la rotation, il sortir avec rapidité Zaarïn dont le fatal coup coupa la hanche de sa victime. Mécontent, le type s'élança avec rage vers Wohrwèlch qui était prêt à se défendre. Mais à ce moment là, l’aventureux reçut méchamment un coup de crosse derrière le crane. D'autres soldats étaient venu secourir leurs quatre malheureux camarades. En effet, concentré sur ses opposants, il n'avait pas vu les soldats de derrière.
~~~
Quand Wohrwèlch reprit ses esprits il était attaché fermement sur une chaise, dans la cabine du capitaine de "La Charlotte". Deux gardes à sa droite et à sa gauche le tenaient en joue. Un autre soldat qui se trouvait derrière lui, alla cherchait son supérieur après avoir vu le prisonnier de nouveau conscient. Aussitôt, un homme vêtue d'un grand manteau assez prestigieux, coiffé d'un magnifique chapeau assez long sur le bord et la canne à la main fit son entré, suivis d'un officier de la marine. Ils se placèrent devant le jeune homme et le premier lui adressa la parole:
- Bonsoir jeune imprudent, je me prénomme Haruki Fujita, capitaine de "La Charlotte" et voici mon ami le sergent de la marine spécialisé dans les commando, Benjiro Ogawa. A qui avons-nous affaire ?
Ayant reconnu la voix qui plutôt dialoguait dans la taverne de Masato, Wohrwèlch ne fit que remonter la tête pour identifier le visage de son questionneur. Alors que ce dernier attendait une réponse rapide, il enchaina:
- Ce n'est pas parce que vous avez fais preuve d'un combat impressionnant qu'il faut vous abstenir de parler. Nous voulons savoir pour quel raison êtes vous venu ce soir en un tel endroit.
- Pourquoi n'aurais-je pas le droit ?
Wohrwèch se doutait que cette discutions se transformerait en interrogatoire, il savait également que la marine n’appréciait guère les gens qui fouinaient le passée. C'était pour lui, un nouveau combat, celui du plus malin. Pour provoquer la peur, Benjiro répliqua:
- On vous a posez une question misérable, répondez ! Qui êtes vous et que venez vous chercher ici ?
- Wohrwèlch...
Le ton diminua à chaque syllabe
- Et votre nom, cloporte ? Nul nait sans nom, qu'en est-il, bon dieu ?
- Il se trouve que je me nomme que Wohrwèlch, c'est tout.
- Voyez-vous ça. Et comment ce fait-il ? Nous avons pas le temps avec des enfants comme vous alors parlez une bonne fois pour toute. De toute façon, nous allons voir enfin votre visage.
Ces propres dires lui firent esquisser un sourire dans le coin de sa bouche et il fit le tour du bureau pour se tenir à porter de Wohr. L'historien regretta de cette réponse fort stupide de sa part. Haruki pointa sa canne au visage et enleva son capuchon avec. Apeuré, un des militants à coté de lui cria:
- Ah ! C'est un lépreux, ne vous approchez pas monsieur.
- Lépreux ou non, il nous doit des explications sur sa présence. L'opération commando aurait pu mal tourner. Résulta, nous avons fait trois morts chez les chercheurs de trésor et un mort chez nous, sans compter ceux que vous avez tué. Et dire que cela aurait dû être une simple capture sans problème...
- N'ayez crainte, toutes les maladies de peau ne sont pas forcément contagieuses, n'est-ce pas ? L'êtes vous?
- Jugez-vous vous-même.
- Certes, cela va de soit. J'en déduis que non étant donné que tu ne porte pas de linge pour recouvrir les zones concernés.
- C'en est assez, je veux qui parle, je veux qui parle ! Haruki, je vous ordonne de le faire cracher le morceau !
De nature calme et très posé, Haruki restait un homme ayant du sang-froid et parvenait à ses fins lors de ses négoces, toujours. Désirant à présent pourquoi son prisonnier était-il venu leur rendre visite et en lui renversant son sac pour faire tomber les objets trouvés, il continua:
- Ce que je ne comprends pas, c'est la raison de votre venu. Et qui puis est au moment de l’interception. Que cherchait-tu vraiment ? Sachez qu'en agissant ainsi, vous vous mettez dans un pétrin considérable. J'ai le pouvoir de vous laissez en vie ou de vous tuer.
Pendant que le capitaine lui parlait, Wohrwèlch réfléchissait à ce qu'il allait dire, il répondit alors à coté de la plaque:
- En quoi suis-je donc fautif ? C'est bien sont de ma propriété.
Benjiro rajouta une louche. Il tenait les deux sabres caillés encore de sang que les soldats lui avaient confisqué lorsqu'il était inconscient:
- Ces lames aussi ? Elles ne sont pas répertoriés, avez vous le permis d'obtenir de telles épées ? Ceci peut faire l'objet également d'un lourd procès. De plus, c'est bien avec ces dernières que vous avez sauvagement meurtrie trois de mes valeureux hommes ? C'est bien cela, le reconnaissez vous au moins ?
Le sergent y allait avec des propos violents mais cela ne fit rien à l'historien et celui-ci répondit doucement:
- En effet. il s'agissait d'une réaction défensif face à cette affront. Si je n'avais pas agis, ils m’auraient embrochés. Et ces sabres sont le fruit du travail de mon père, elles me reviennent entièrement de plein droit.
- Soit. Il ne faut pas oublié que vous ne deviez en aucun cas demeurer dans les parages. La preuve en est que vous avez mis en danger tout le monde et résulta, vous avez massacrez trois soldat pour rien.
- Veuillez m'excusez mon bon seigneur, mais la prochaine fois songez à mettre un panneau d'avertissement "Attention danger, ne pas entrer".
L'humour de Wohrwèlch ne fit pas rire ses deux bourreaux, Haruki lui dit sèchement:
- Puisque vous ne voulez pas coopérer et que je ne sais faire de vous, je vous mets au fer le temps que vous "songiez" qu'il ne faut pas vous frottez à la milice qu'est autre la marine. Je vous souhaite malgré tout une bonne nuit.
Le sergent termina:
- En réalité, jeune homme, nous ne savons que faire de vous car vous être trop unique. La marine se fera une joie d'éplucher votre histoire plus clairement. Vous êtes sans nom, eh bien vous verrez qu'on ne la joue pas si facilement avec moi. Croyez moi que vous allez cracher le morceaux de grès ou de force. De plus, vous serais jugé pour le crime de trois meurtres dès qu'on en saura plus sur vous. Sur ce, bonsoir. Emmenez-le.
Benjiro et Haruki restait un peu dans la cabine pour parlait de son mystérieux cas. Ils ne voulais pas le lâcher car il avait commis des fautes graves mais surtout car il n'y pas de nom. Chose sur laquelle ils voulaient tant étudier.
A suivre...
- Bonsoir jeune imprudent, je me prénomme Haruki Fujita, capitaine de "La Charlotte" et voici mon ami le sergent de la marine spécialisé dans les commando, Benjiro Ogawa. A qui avons-nous affaire ?
Ayant reconnu la voix qui plutôt dialoguait dans la taverne de Masato, Wohrwèlch ne fit que remonter la tête pour identifier le visage de son questionneur. Alors que ce dernier attendait une réponse rapide, il enchaina:
- Ce n'est pas parce que vous avez fais preuve d'un combat impressionnant qu'il faut vous abstenir de parler. Nous voulons savoir pour quel raison êtes vous venu ce soir en un tel endroit.
- Pourquoi n'aurais-je pas le droit ?
Wohrwèch se doutait que cette discutions se transformerait en interrogatoire, il savait également que la marine n’appréciait guère les gens qui fouinaient le passée. C'était pour lui, un nouveau combat, celui du plus malin. Pour provoquer la peur, Benjiro répliqua:
- On vous a posez une question misérable, répondez ! Qui êtes vous et que venez vous chercher ici ?
- Wohrwèlch...
Le ton diminua à chaque syllabe
- Et votre nom, cloporte ? Nul nait sans nom, qu'en est-il, bon dieu ?
- Il se trouve que je me nomme que Wohrwèlch, c'est tout.
- Voyez-vous ça. Et comment ce fait-il ? Nous avons pas le temps avec des enfants comme vous alors parlez une bonne fois pour toute. De toute façon, nous allons voir enfin votre visage.
Ces propres dires lui firent esquisser un sourire dans le coin de sa bouche et il fit le tour du bureau pour se tenir à porter de Wohr. L'historien regretta de cette réponse fort stupide de sa part. Haruki pointa sa canne au visage et enleva son capuchon avec. Apeuré, un des militants à coté de lui cria:
- Ah ! C'est un lépreux, ne vous approchez pas monsieur.
- Lépreux ou non, il nous doit des explications sur sa présence. L'opération commando aurait pu mal tourner. Résulta, nous avons fait trois morts chez les chercheurs de trésor et un mort chez nous, sans compter ceux que vous avez tué. Et dire que cela aurait dû être une simple capture sans problème...
- N'ayez crainte, toutes les maladies de peau ne sont pas forcément contagieuses, n'est-ce pas ? L'êtes vous?
- Jugez-vous vous-même.
- Certes, cela va de soit. J'en déduis que non étant donné que tu ne porte pas de linge pour recouvrir les zones concernés.
- C'en est assez, je veux qui parle, je veux qui parle ! Haruki, je vous ordonne de le faire cracher le morceau !
De nature calme et très posé, Haruki restait un homme ayant du sang-froid et parvenait à ses fins lors de ses négoces, toujours. Désirant à présent pourquoi son prisonnier était-il venu leur rendre visite et en lui renversant son sac pour faire tomber les objets trouvés, il continua:
- Ce que je ne comprends pas, c'est la raison de votre venu. Et qui puis est au moment de l’interception. Que cherchait-tu vraiment ? Sachez qu'en agissant ainsi, vous vous mettez dans un pétrin considérable. J'ai le pouvoir de vous laissez en vie ou de vous tuer.
Pendant que le capitaine lui parlait, Wohrwèlch réfléchissait à ce qu'il allait dire, il répondit alors à coté de la plaque:
- En quoi suis-je donc fautif ? C'est bien sont de ma propriété.
Benjiro rajouta une louche. Il tenait les deux sabres caillés encore de sang que les soldats lui avaient confisqué lorsqu'il était inconscient:
- Ces lames aussi ? Elles ne sont pas répertoriés, avez vous le permis d'obtenir de telles épées ? Ceci peut faire l'objet également d'un lourd procès. De plus, c'est bien avec ces dernières que vous avez sauvagement meurtrie trois de mes valeureux hommes ? C'est bien cela, le reconnaissez vous au moins ?
Le sergent y allait avec des propos violents mais cela ne fit rien à l'historien et celui-ci répondit doucement:
- En effet. il s'agissait d'une réaction défensif face à cette affront. Si je n'avais pas agis, ils m’auraient embrochés. Et ces sabres sont le fruit du travail de mon père, elles me reviennent entièrement de plein droit.
- Soit. Il ne faut pas oublié que vous ne deviez en aucun cas demeurer dans les parages. La preuve en est que vous avez mis en danger tout le monde et résulta, vous avez massacrez trois soldat pour rien.
- Veuillez m'excusez mon bon seigneur, mais la prochaine fois songez à mettre un panneau d'avertissement "Attention danger, ne pas entrer".
L'humour de Wohrwèlch ne fit pas rire ses deux bourreaux, Haruki lui dit sèchement:
- Puisque vous ne voulez pas coopérer et que je ne sais faire de vous, je vous mets au fer le temps que vous "songiez" qu'il ne faut pas vous frottez à la milice qu'est autre la marine. Je vous souhaite malgré tout une bonne nuit.
Le sergent termina:
- En réalité, jeune homme, nous ne savons que faire de vous car vous être trop unique. La marine se fera une joie d'éplucher votre histoire plus clairement. Vous êtes sans nom, eh bien vous verrez qu'on ne la joue pas si facilement avec moi. Croyez moi que vous allez cracher le morceaux de grès ou de force. De plus, vous serais jugé pour le crime de trois meurtres dès qu'on en saura plus sur vous. Sur ce, bonsoir. Emmenez-le.
Benjiro et Haruki restait un peu dans la cabine pour parlait de son mystérieux cas. Ils ne voulais pas le lâcher car il avait commis des fautes graves mais surtout car il n'y pas de nom. Chose sur laquelle ils voulaient tant étudier.
A suivre...
Fini[3/3]
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
Informations IRL
Prénom: Peu importe.
Âge: 21 piges.
Aime: Créer !!
N'aime pas: [...]
Personnage préféré de One Piece : Pas encore. De nature, je ne suis pas manga. Mais j'en aime quelques uns. Faudra juste qu'un jour je vois One Pièce^^
Caractère: Je suis un créateur par définition (livres, scénarios, compositions musicales, dessins...etc)
Fais du RP depuis: Disons fin octobre 2011.
Disponibilité: Trop tôt pour le dire. Juste une chose, en général je suis chez moi tous les soirs, ce qui voudrait dire que je peux Rp ici. Seulement je suis encore lycéen et notamment en terminal de BAC. Ce qui veut dire que je fais aussi mes devoirs. En outre, je ne sais si oui ou non, je serait bien disposé.
Comment avez vous connu le forum ? J'ai connu par l’intermédiaire de Sören Hurlevent.
Enjoy
Dernière édition par Wohrwèlch le Lun 30 Jan 2012, 17:21, édité 243 fois