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Qui tremble meurt [Légion et Alucard]

Les histoires de croix sur les cartes, d'ongles encrassés de terre retournée et de coffres qui présagent fortune et mutinerie au sein des équipages de forbans, ça a toujours été une composante du folklore pirate. Dans tous ces racontars, ces rumeurs, ces visions de poivrots, il y en a une qui accorde tout le monde et a tant suscité les convoitises qu'aucune herbe l'a le temps de pousser sur cette terre constamment labourée. Ce morceau de caillasse qui était jadis une simple montagne au milieu de nulle part a pris le nom de celui qui l'a épousée quand il y a enfoui son immense fortune. L'île du Capitaine John.

Johnny a fait venir ici des centaines de milliers de personnes, et pas que des pirates. Au début ouais, c'étaient des criminels qui venaient ici. Faut dire que c'était une bonne planque et que les clébards ont plantés leurs os ici depuis quelques millénaires. Alors quand Johnny y a entreposé la pièce maitresse avant de claquer, t'imagines bien que les chiens se sont mis à chercher leur os dans les trous des autres. Sais pas comment c'était hiérarchisé à l'époque pour ne pas finir en carnage, mais la dernière cachette a fait couler du sang et s'entretuer plus d'un équipage. Les mecs devenaient dingues, c'est comme si on annonçait que la pierre épiscopale se trouvait dans ton jardin. T'aurais beau mettre des barbelés et tirer sur la fouler, la taupinière se mettrait en marche. C'est ce qui est arrivé ici. Les coffres ont appartenu aux premiers qui les trouveraient, tu pouvais graver tes initiales sur le cadenas, plus personne n'en n'avait rien à foutre. Ce gros coffre fort naturel a sombré et la montagne a pris la forme des cranes qui la couvraient. C'est ce que disent les bardes en tout cas, t'auras capté qu'il y a de métamphore là-dedans.

Quand les pirates en ont eu marre de se crever la panse pour quelques ronds, ils se sont barrés. Les coffres restants appartiennent à des rogers disparus et ce sont les civils et parias qui se sont mis à gratter pour leur fortune. Aucun n'a fini couvert d'or, du coup on a gardé l'histoire du Capitaine John comme un genre de symbole graalique que seuls les plus pieux s'évertuent encore à vouloir trouver. Un chose est sûre: Dieu existera cette semaine.

Fin aprem, début de soirée. Alors que le soleil file sous le drap de l'horizon sans se douter que sa donzelle est impatiente d'exposer sa lune à qui pointera du nez, des cris de joies saturés d'endorphine jaillissent de l'une des galeries. Alucard, un pirate dont la prime ferait un beau coffre pour els lieux, déclare avec quelques mineurs affiliés qu'il a découvert un coffre immense, grand comme une pièce et qu'il faut atteler des dizaines de coffres vides pour transporter le magot. Quelques mineurs dont barrage dans l'entrée de la galerie. Ils privatisent le couloir au nom de la Légion et quiconque osera passer la sécurité devra se frotter au pirate. Alucard est très connu aux Blues, mais sa réputation coule aussi sur Grandline depuis qu'il a massacré tous les habitants de Baterilla. Les mineurs ne forcent pas le passage, mais les langues se délient. Certains, frustrés de voir le trésor qu'ils estiment promis à eux-mêmes, trahissent humainement le secret des dieux pour filer vers une autorité jugée plus juste et partageuse: la Marine. "On a trouvé le trésor de John" disent-ils. Les gradés veulent des précisions, incrédules dans un premier temps. Puis le nom de la Légion tombe, ainsi que celui de Yukiji. Des étrangers reconnus pour leurs oppositions à la marine, c'en est trop. Qu'ils fassent escale, pourquoi pas. Il est délicat d'attaquer tout criminel en ces lieux où l'autorité n'a qu'un contrôle minime, surtout quand il s'agit de tels arrivants. Mais qu'il filent avec la raison de leur présence en ces lieux hostiles comme ça, par pur caprice divin, c'est intolérable. Les trois lieutenants albinos s'affairent. Les unités sont hâtées et les armes se saisissent dans une frénésie qui ne peut être due qu'à l'appel des sirènes d'or. Le Commandant n'en fait partie. pendant ces événements, il dort, encore et toujours. L'un des Lieutenants albinos consacre de précieuses minutes à vouloir le réveiller du bon pied tandis que les deux autres, épées plus brillantes que jamais, foncent dans les galeries avec deux grosses unités anti-émeute. L'objectif de la marine est d'éloigner mineurs et légionnaires afin de privatiser à leur tour le boyau où siège la légende qui fait des Edmond Dantès des comtes de Monte-Cristo.

Quand le gros des troupes dépêchées s'est introduite dans la zone de Yukiji, un énorme pierre scelle l'issue, une pierre que seul un puissant pirate ou deux puissants lieutenants pourraient avoir une chance d'ôter. Emmurés vivants dans un boyau obscur, les hommes en blancs auront pour tout éclat dans les yeux le reflet de la lame d'Alucard et ne crouleront que sous le poids des éboulement qu'il provoquera.

Moi, après avoir posé le gros rocher, je me tourne vers les troupes restantes. Fait assez noir et je fais la taille du couloir, la panique ne tarde pas à les gagner. L'un d'eux tente quand même de m'ajuster, mais je fais trembler le sol d'un pas combattif au point qu'il tire à côté. Pas le temps de recharger pour lui, un peton de quasi un mètre le compresse contre la roche et garantira à mes prochaines enjambées des morceaux rouges et fragments d'os. Ma grosse paluche noire d'ombres fauche les trois de la première ligne et les colle aux murs. Ca éclabousse et fait tomber des gros paquets de viande qu'on peut vaguement identifier s'ils sont reliés à des godasses. La terreur les gagne, le minotaure qui leur fait face est la vengeance de John, le châtiment de l'avarice, le courroux du dahaka.

Qui tremble meurt [Légion et Alucard] Dahaka

Ils flottent.Ils flottent tous en bas.
Quand les humains parviennent à la lumière de la lune, leurs uniformes poisseux sont moins blancs que leurs yeux vide de toute raison. Monstre plus souvent mais aussi minotaure, homme cornu ou démon, tous les qualificatifs y passent. Le descriptif parvient aux oreilles du troisième Lieutenant, dernier frères albinos libre. Ses ordres sont clairs, la Légion les a piégés. Faisant confiance à ses deux sangs liés dans les mines pour s'occuper de la menace, il rassemble ses unités en vue d'une vague unique et implacable vers le navire des révolutionnaires. Si leur véhicule de transport est détruit, ils ne pourront fuir. A cette heure, le Lieutenant ignorait qu'on ne comptait pas sur autre chose qu'une totale annihilation de leurs forces.


Dernière édition par Minos le Sam 4 Fév 2012 - 4:36, édité 1 fois
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Braff très très pas content!

Grozumin descendre dans le trou pour faire de la baston, mais pas vouloir Braff aller avec lui. Dire que Braff trop gros. Pas juste ! Braff vouloir voyager dans le trou pour baston. Kiki avoir essayer expliquer un truc à Braff, mais Braff pas écouter, Braff bouder.

Kiki avoir parler avec vieuzumin. Vieuzumin pas gentils, vieuzumin voler kiki à Braff. Donc Braff bouder kiki. Braff besoin de personne. S'amuser tout seul dans son coin. Se plaindre contre le vilain grozumin parce que pas vouloir que braff vienne bagarrre. Puisque être comme ça, Braff creuser! Comme ça, trou être assez gros pour Braff et pouvoir aller taper.

Se mettre debout, et tourner la tête vers bâteau grozumin.

Plein de zumin dedans. Être copains à grozumin, comme Braff. Jouer à des jeux telectuels. Faire cartes, course, ou même osselet. Braff pas tout comprendre. Trop compliquer. Préférer casser des bâteaux ou taper sur gros monstre, ça rigolo. Et pas truc de gens telligents. Même Kiki faire truc sérieux. Marché à côté vieuzumin. Dire que être pour faire tratégie. Braff pas croire. Braff même pas savoir quoi être tratégie. Jeu pas drôle, penser!



Braff oublier pourquoi debout...

Pas important surement. Braff telligent, Braff pas oublier trucs important!

Oh oui, Braff souvenir! Devoir contempler gros caillou de l'île. Ressembler à truc Braff connaitre. Braff devoir souvenir. Montrer à vilains zumin que Braff bonne mémoire. Pas aimé vilains zumin qui dire bête. Seul grozumin gentils. Souvenir surnom. Pas oublier Braff s'appeler Ducon. Aimé beaucoup Grozumin. Kiki aussi très gentils. Kiki toujours dire à Braff quand autres vouloirs chose.

Braff retourné vers bateau zumin.

Kiki toujours sur bateau. Jouer cartes. Faire truc de telectuels. Vieuzumin regarder partout. Vouloir surveiller surement. Ca bonne idée. Braff vouloir aider. Braff gentil. Braff surveiller avec vieuzumin. Regarder d'un côté. Grand truc bleu. Ca mer kiki dire toujours. Braff pas croire. Penser être gros tas d'eau. Maman à Braff pas toute bleue. Maman à Braff jolie géante! Pas voir choses sur grand truc bleu. Braff continuer à surveiller autre côté.

Voir un truc. Très très gros caillou. Occuper beaucoup de place. Gros caillou ressembler à truc Braff déjà vu. Un peu comme machin sevir à papa Braff pour boire bière. Très gros pour boire bière. Penser appartenir à très gros géant. Pas grave. Braff plus fort du monde, Braff pas inquiéter par gros géants. Braff aussi voir un truc plus loin.

Ca ressembler un peu à fourmi. Mais fourmis toutes blanches. Pas faire de bruit et approcher doucement vers bâteau. Devoir le dire aux autres? Eux trop petit, pas voir aussi loin que Braff. Mais Braff pas penser ça utile. Ca pas dangereux. Grozumin partit bagarrer contre gens dans trou. Vouloir dire que gens pas dangereux dehors. Gens dangereux dans trou pour bagarre!

Donc Braff voir trucs pas utile signaler. Surement petits insectes. Braff content aimer petits insectes! Se lever et courir vers eux.

Crier pour que tout le monde sache.

PHAPHYOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON!

Petits insectes faire bruit.

Boom, Boom...

Papillons faire bruit bizarre. Demander à Kiki pourquoi plus tard.
    Tu n'aimes pas ce genre de moment où la tension monte et où les nerfs se crispent, où les hommes s'occupent sans y penser, l’esprit tourné vers la futur bataille. Certains soldats jouent aux cartes, tentant parfois un brin d'humour, d'autres s'occupent en faisant des parties d’échec. Mais toi, t'en as cure de ces jeux, ton regard est bloqué vers le grand crane d'où les mouettes devront arriver.

    La lune commence son long réveil tandis que le grand zouave te servant de géant de compagnie tente de s'incruster dans la conversation à coups de grognements incompréhensibles. Tant de tonnes de muscles, tout le monde prendrait ce poids comme un avantage, mais toi tu te demandes juste comment faire pour lui donner des ordres... Est ce qu'il parle humain au moins ? Est ce qu'il comprendrais si tu lui demandais quelque chose ? Rien n'est moins sur et tu appréhendes le moment où l'animal décidera d'agir sous son propre chef. Tu mires le mastodonte, admirant son air perpétuellement hébété qui lui va si bien au teint. Tu sens que sous la grimace de réflexion de l'animal se cache une très prochaine horreur...


    _PHAPHYOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON !

    Ca y'est, la bête rentre en action et tu as beau chercher, tu ne vois pas trop ce qu'est un phafion. Un papillon ? Un faux-cul ? Un vrai ? T'en sais fichtrement rien alors tu scrutes du regard par où part le géant avant de crier un juron qui alerte tous tes soldats.

    _Tous à vooos pooooooostes !!

    Ils arrivent, enfin. Le goût du sang vient lécher tes babines déjà alléchées. Tes doigts se craquent et ton regard se porte vers Mike qui te lance aussitôt une barre de fer. Un petit sourire amusé illustre son visage, tu le lui rends avant de lever ton bras armé au dessus de ton crane dégarni. Les discours de motivation, les regards de tueur, les offrandes de peur à l'adversaire, tu n'as jamais eu aucun talent pour ce genre de chose, ayant toujours préféré frapper sans réfléchir plutôt que d'agir sans frapper. Et puis vu comment le géant a décidé d'agir, la délicatesse sera pour plus tard...

    Cet affreux monstre risque de faire exploser les mines s'il continue à foncer vers les mouettes. Heureus'ment pour ton plan, ceux cis sont déjà à porté de balles alors que le mastodonte est encore assez loin. Le problème c'est bien qu'avec sa masse, il empêche tes troupes de toucher au moins la moitié des mines. Tant pis pour lui, il n'a pas eu de chance dans la vie, c'est tout. Ton bras se baisse et aussitôt une rafale de balles se fait entendre suivie d'un amas d’explosions. Sauf que les bougres en face, ils répondent, et avec autant de violence, le pauvre géant doit avoir prit violent dans le ventre malgré que tes soldats aient tentés de l'éviter. Tu ne leur avais pas demandé tant de gentillesse mais il faut croire que t'es une plus grosse ordure que tes hommes.

    Les mouettes tombent dans les trous et les explosions semblent avoir fonctionné, tu sais bien que seuls les imbéciles tomberont dans ces pièges grossiers, alors tu sautes du bateau et cours maintenant rejoindre le géant, accompagné du reste de tes hommes. Ceux s'étant fait rafler par les munitions adversaires restent se cacher sur la coque de noix, derrière la rambarde leur servant de protection, le reste sort les épées et court d'un même pas hurlant de vive voix un cris aussi rageur que l'est ta vie.

    Plus tu avances et plus tu distingues les mouettes courant à leurs pertes, menés par un grand homme aux longs cheveux blancs. L'un des trois frères que tu te dis, celui là sera pour toi.

    Spoiler:

    Cette fichue grosse mouette s'avance vers toi sa longue épée à la main en ricanant d'un rire bien de trop moqueur.

    _Mouhaha, ils foutent un vieillard édenté pour tenter de me battre, ils rêvent Mouhahaha. Meurs sale blanc bec !

    Tu te demandes s'il croit vraiment ce qu'il dit ce gros gaillard mais tu ne te laisses pas le temps de la discussion et sautes directement en l'air le bâton de fer plongé vers sa trogne. La mouette ne se laisse pas faire et tente de te couper en rondelle à l'aide de sa lourde épée que tu pars au dernier moment. Pas habitué à manier autre chose que tes poings, tu ne peux vraiment encaisser le choc et vole sous l'impacte quelques mètres plus loin. Le bougre en a dans les bras, bien plus que tu ne t'y serais attendu.

    _Mouhaha, tu n'as pas de chance, tu es tombé sur le deuxième meilleur marine de l'île ! Je suis capable de combattre avec une épée aussi lourde que celle du boss Mouhahaha ! Je vais te saigner à blanc !

    Tu lui répondrais bien avec de noms d’oiseaux, mais l’intérêt étant limité, c’est par une tentative de coup de bâton que tu répliques. Courant pour être à porté de lui, tu t’essayes à une violente calotte batonnale dans l’estomac, usant de l’extrémité de l’outil pour la lui fourrer dans l’estomac. La mouette a l’air de trouver ça trop facile et détourne ton attaque aussi facilement que tu écrases un moustique. Tu te rends bien compte que cette racaille bleutée ne sera pas facile à avoir si ne te décides pas à un peu plus de sérieux. Enlevant ton manteau d’une main avant de le balancer un peu plus loin, tu mires ton adversaire du jour d’un regard noir.


    -Héhé, tu n’es pas la dernière des bouses ouai. Mais t’crois vraiment que tonton Barbie m’a confié cent hommes pour m’voir flancher contre l’premier de mes adversaires. T’vas voir que je vais faire de toi un vrai gruillère.

    _Mouhahaha j’ai trop longtemps blanchi sous le même harnais pour toi. Je manie l’épée depuis plus de vingt ans, tu ne fais pas le poids !! Mouhahaha!!


        L'heure était venue pour nous de nous amuser un petit peu ... Le plan de Minos était en marche et plus personne ne pourrait contrer cette déferlante. La révolution serait victorieuse et ce soir nous pourrons festoyer tranquillement sur le pont de notre navire. Hélas pour se faire, il faudrait passer aux choses sérieuses. Al' n'avait pas peur pour sa vie, s'il devait mourir alors s'était son destin ! De toute façon il le méritait depuis bien longtemps. Il ne voulait juste pas que la Légion ne perde trop d'hommes. Il aimait bien Minos et il ne lui souhaitait que de réussir dans sa quête de pouvoir. Un pouvoir et une vision différente des autres hommes qu'il a pu connaitre durant sa vie et c'est bien cela qui ait de ce grand gaillard un être à part entière. Alucard devait s'occuper de la première vague d'assaut ... Pas très compliqué pour notre jeune homme, mais, au fond de lui, il espérait vraiment en finir assez rapidement pour aller porter main forte au reste de troupes qui devront lutter pour protéger le navire. Il ne se faisait pas trop de soucis pour eux, surtout avec l'autre géant qui dégommerai tout à tour de bras. Mais il risquerait de faire autant de dégâts chez l'ennemi que dans notre propre camp. Bien sûr il y avait le vieux, un bon gars et sûrement le second du Boss. Cela ne faisait aucun doute, sinon il ne lui aurait pas laisser les reines pour défendre cette position. Notre embuscade était importante pour réduire les troupes adverses et les séparées sur plusieurs fronts, mais celle du navire était encore plus importante. Car sans embarcation ou un navire endommagé, la fête serait fini et on resterai coincer sur ce caillou. Pour la survie cela devrait le faire, mais le jour où les renforts arriverons ... ce sera la fin du rêve ! Et cela n'était point envisageable.

        Yukiji s'était rendu devant un groupuscule d'ouvrier avec quelques gars de la Légion et Minos. Il prirent position et laissèrent s'échapper une courte discussion sur le fait qu'il venait tout juste de trouver le trésor de John. Il leur fallait de nombreux chariots, afin d'emporter le tout sur le navire. La plus part des ouvriers voulurent en venir aux mains, mais quand ils virent notre jeune pirate se dresser devant eux, ils firent rapidement demi tour et se tournèrent vers une institution bien plus légitime. Le loup venait de rentrer dans la bergerie ... Les hommes se mirent en place et Alucard resta en place au beau milieu de la cavité. Un simple tunnel qui n'avait qu'une seule entrée, car l'autre avait été bouchée par ses soins. Il planta sa nouvelle lance dans le sol et attendit les bras croisés. Des bruits de pas se firent entendre au loin. Minos quitta les lieux et la mouette s'engouffra dans le tunnel ou l'attendait un serpent. Il y avait deux hommes qui se démarquaient du lot blanchâtre. Deux albinos avec des épaulettes plus grandes que les autres. L'un portait une longue épée et l'autre disposait d'une énorme hache. Il semblait avoir la même force, sauf qu'un ressemblait à un nain et l'autre à un géant. Le cliché petit intelligent et grand musclé s'offrait à ses yeux. Notre jeune pirate ne broncha point. Une pierre scella l'entrée et la nuit fit place à la luminosité qui éclairait quelques secondes auparavant la cavité. Les hommes gardèrent les rangs, formant plusieurs vagues bien distinctes. Al' saisit sa lance et embrocha le premier individu. Il arrivait à peine à distinguer les premières silhouettes des soldats.

        Les marines avançaient plus à cause de la contrainte que par le courage. Ils entendaient au loin des cris et des bruits sourds, qui signifiaient à chaque fois la mort d'un de leur compatriote. Yukiji était concentré et son visage n'exprimait rien. Ce n'était que de la bleusaille rien de plus. Après plusieurs morts, les lieutenants décidèrent de passer à l'action. Il venait déjà de perdre la moitié de leur effectif, enfin c'est ce qu'il supposait. Enfaite sur les trente mouettes, il en restait encore une vingtaine. Al' n'avait tué aucun soldat, il leur avait juste infligé des coupures qui les avaient mis hors d'état de combattre. En coupant quelques ligaments on arrive toujours à ses fins. Il avait fait une promesse un jour ! Et il devait la respecter ... Il ne devait plus donner la mort directement à un membre du Gouvernement. Bien sûr il se permettait quelques contournement, surtout quand il arrivait à un point de non retour en terme d'agressivité. Les deux lieutenants se mirent en marche, mais ils ne voyaient rien dans toute cette galerie. Notre jeune pirate regarda et les laissa faire. Autant les laisser choisir leur terrain, car celui-ci sera sûrement leur dernier. Les deux albinos détruisirent le rocher, afin de permettre aux hommes de se retirer vers un environnement plus adéquate. Mais Yukiji n'était pas de cet avis ... Les deux hommes réussirent à quitter la cavité juste à temps avant que notre héros ne créer un fossé de plusieurs mètres de hauts et de larges. Pas moyen de quitter le boyau sans sauter dans le vide ! Voyant le pirate primé arriver vers leur direction, certaines mouettes sautèrent dans le vide oubliant qu'elles n'avaient pas d'ailes ... Je vous laisse imaginer la suite. Bon après c'est vrai ! Avec un tel coup de genoux permettant de créer un fossé, ça peu vous faire perdre les pédales. Les autres marines voulurent aller à sa rencontre, mais il les envoya valser au sol. Il créa une boule sur l'extrémité de sa lance et frappa dans la vide en direction des soldats. Une explosion surgit soufflant les derniers survivants.

        Certains tombèrent également dans le vide, les autres eurent plus de chance et se retrouvèrent le nez dans la poussière. Al' lança sa lance dans une paroi, prit une impulsion s’accrocha à la lance et se balança de l'autre côté. Les hommes commencèrent à se relever et voulurent faire usage de leurs armes à feu. Maintenant que la lumière était revenu, ils leur étaient plus simple de visé sans toucher un allier. Yukiji sa rapprocha rapidement d'un côté de la cavité et frappa de toutes ses forces dans le mur. Celui-ci ce craquela et tomba sur les soldats sur toute la longueur du tunnel. Le sol se mit alors à trembler et ce fut au tour du plafond de tomber sur les derniers encore en vie. Un petit éboulement, rien de plus simple pour s'occuper de ceux qui gêne. Sa lance se retrouva à porter de main. Il l'a prit et fit face à ses deux derniers ennemis sur ce secteur. Les deux lieutenants étaient enragés. La partie n'était pas encore gagnée.


      Dernière édition par Yukiji Alucard le Mer 29 Fév 2012 - 13:13, édité 2 fois
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      Tu mires le type qui se bat avec le vioc ? Ben avant de rassembler ses troupes pour aller à l'assaut, il a fait ce que tout subordonné se doit de faire, prévenir son supérieur. le bon Commandant Green. Normalement, c'est le Commandant qui aurait dû guider le pâté d'ailleurs, mais en plus d'avoir de vraies difficultés à se réveiller, il a marqué une certaine incapacité à s'afficher en bonne et due forme auprès de ses hommes. j'étais pas là lors de la scène, mais je vais te la narrer comme si. Léger flashback donc, ça veut dire rétrospection en langage post-Libération.

      Poc poc poc, l'albinos qu'a des bons de réduction chez Burger King fonce à l'étage pour réveiller le grand dormeur. Il frappe vivement à la porte du bureau, entre pour éviter de perdre trop de temps après un laps d'attente estimé suffisant et répète l'opération à la chambre du Commandant. Bien sûr, le mec pionce. Boule de chantilly ne se démonte pas et entre. Il parle à son supérieur qui se retourne dans son plumard pour lui signifier mollassement qu'il le fait chier, insiste, bombarde des infos en vrac comme "on nous attaque", "urgent", "Légion" "trésor de John". Ah, le Commandant trouve la force de se relever à l'énonciation du dernier gros titre. Il mire avec de gros yeux l'albinos qui mire aussi avec de gros yeux son supérieur. du coup, le sup' le prend mal et injurie burger boy. Sais pas très bien ce qu'il a pu lui dire, mais un "qu'est-ce que gros t'as à me regarder comme ça ? T'as jamais vu un mec qu'un oreiller a recoiffé pendant la nuit ?" Ouais parce que je te le dis déjà en spoil, le Commandant a une coupe à la con et il se l'est faite tout seul. Là, Fatty bave un machin ambigu pour Green, un truc qui fait un peu "Commandant, votre visage!" Le chef se bouge le fion et se dirige vers son miroir de chambre. Il se matte, ouvre encore plus ses yeux coléreux de mec levé du pied gauche et gueule si fort que là je peux témoigner que c'est de l'authentique, je l'ai entendu d'ici.


      " AAAAAAAAAAAAAH, mon visage! je suis défiguré! Lieutenant, vous allez crever pour avoir osé vous foutre de moi. "

      J'imagine que le Lieutenant s'est pas trop mal défendu, parce que la grosse voix a repris:

      Alors je devrais vous tuer pour m'avoir vu dans cet état. Mais il y a plus urgent. Vous allez me traquer ces fiantes de révolutionnaires et tous les massacrer. Hommes, femmes, enfants, canaris, je ne veux aucun survivant, vous exécuterez même les asticots qui ressortiront de leurs corps putrides. EXECUTION! Vous avez déjà assez glandé comme ça.

      Et l'albinos s'exécute. Tu connais le reste via Sergueï, le type a rassemblé le gros des hommes et a filé vers le point stratégique pour nous couper la retraite. Ce que tu ne sais pas encore, c'est ce que je fous depuis ma sortie de la grotte. L'était inutile de rester près du piège. Alucard était assez bon pour se démerder comme un grand et même si l'envoyer seul contre un bataillon avait sa part de risque, il avait l'avantage du terrain et de la vue pour faire la différence. Lui faire courir moins de risques, ça aurait été le prendre pour une pucelle du champ de batailles. Sergueï et Braff m’inquiètent déjà un peu plus, vu que le vieux n'était pas rodé niveau commandement. Cela dit l'est pas con et j'ai confiance en ses talents de vieux roublard pour canaliser le sac de viande et d'acier. Z'ont beaucoup de monde à affronter par contre, un poil trop. Pas que c'est impossible de la remporter à cent cette guerre, mais les types de notre camp sont des forbans ou civils fraichement reconvertis en militaires. J'ai eu le temps de forger leur corps et un peu leur esprit, mais sans ma voix d'ogre pour les mettre au pas ils risquent de se dissiper quand même.

      Faudrait un gain de moral significatif pour leur donner la rage qu'on attend d'eux. Braff qui se prend une crise de rage contre tous les types habillés en blanc, Sergueï qui bousille le Lieutenant ou Alucard qui ressort de la grotte, tout ça c'est de la carte moral à jouer, je dirais même les facteurs de victoire à remplir. T'as dû le capter depuis le temps que tu me vois me battre, le moral de bataille c'est sûrement le truc le plus important. Peu de gens y font gaffe, mais tu peux bousiller du mecton nettement supérieur à toi en frappant là où il faut. J'ai moi aussi une condition moral à remplir et elle peste encore devant son miroir.

      Il reste très peu de marines dans la baraque, juste une pincée de types destinés à recevoir les gueulantes du Commandant. j'entre sans me préoccuper de la discrétion et avance vers ma cible, vu que je connais bien les lieux. Une taloche par ci, un coup de pompe par là et le couloir est dégagé, le reste des ennemis préfère me laisser passer et offrir à leur boss l'occasion de me stopper. Quand j'entre dans le bureau, il est là, devant la porte de sa chambre encore ouverte et il me lance un bon gros regard de tueur. Je fais un sourire de contemplation, pas envers lui mais envers mon oeuvre.

      Spoiler:

      Moi je r'connais mes dessins, t'es le mec qui dit qu'il les aimes moustachus durant son sommeil.

      Me demande si une vaine peut péter quand le sang s'y crashe, parce qu'avec ma sale gueule de sarcaustique ses globules font un bras d'honneur aux limitations de vitesse.

      C'est toi qui m'as défiguré ? Je vais te crever le géant, je vais te hacher, te débiter en petit morceaux et te réduire en poudre sous mes semelles. Tu vas avoir le temps de regretter.

      Bha, t'avais déjà une coupe de merde avant que j'intervienne ma gueule. Tu comptes me raconter la suite de tes fantasmes ou on peut se battre ?

      A peine fini de dire ça que le type me charge avec pour arme son bureau. Sûr qu'il est costaud, puis enragé aussi. Il me balance le meuble avec de la pure vitesse et je sens l'endorphine reprendre du service. Pong! Je renvois le bloc de bois à sa source. Il n'a pas le temps de filer bien loin, une grosse lame épaisse ressemblant à un couteau à requin traverse le pavois volant pour me fondre en plein dans le ventre. Ce mec a vraiment pété une corde, il m'attaque en grand saut aérien en se foutant que je lève le genou ou abatte mon coude sur lui. De fait, je balance ma jambe vers sa tronche pour le calmer et là, le mec se permet un changement de position pour transformer la tentative d'estoc en coup latérale sur ma guibole. Suis lancé moi, pas de quoi récupérer ma jambe. Mon tibia fouette son arme et je sens par vibrations qu'il a une bonne force d'enfoiré. Le choc ne lui rentre pas son jouet dans la gueule, il garde les bras tendus et laisse son corps foncer vers le mur. Green percute sa bibliothèque et la défonce bien. Quelques tomes de romans un brin axés cul lui tombent dessus. Il s'en tape, l'épée est plus forte que la plume chez lui. L'est quand même un peu plus calme, suffisamment pour mater comment ça se fait que je ne sois pas unijambiste. Némésis est un acier royal doublé de peau de minotaure, il constate que son couperet ne suffit pas à la fendre. C'est pas parce que je suis un colosse que je suis assez con pour penser que les muscles arrêtent les lames. L'armure, c'est une sacrée aide quand je dois défoncer des merdeux équipés d'armes blanches. C'est ce qu'il constate.

      Alors ma gueule, t'as plus envie de rejoindre tes potes au combat ? Je te laisse passer si tu te montres à eux avec mon petit maquillage. Seront pantois devant leur Commandant quand ils découvriront qu'il a enfin du charisme.

      Mr Green revire au rouge et me charge à nouveau. Ca promet de mettre du temps avant qu'il tombe. Prochain assaut, c'est moi qui testerai la qualité de son cuir.

      Qui tremble meurt [Légion et Alucard] Baston10
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      Braff pas comprendre.

      Alors que charger, recevoir plein truc piquants partout. Ca chaud. PLein de fumée vers papillons blancs. Papillon en feu ?

      Braff s'arrêter. Avoir truc bizarre. Sentir bruler. Chaud aux jambes et ventre. Ca rapeler Braff bagarre avec Papa, quand papa frapper Braff avec baton en flamme. Braff heureux. Ca bon souvenir. Ca avant Braff tuer papa avec chandelier maison. Maman pas encore commencer musculation. Maman encore jolie. Maintenant Maman trop forte. Pas battre Braff parce que plus fort du monde, mais championne bras de fer. Braff fier! Maman plus dangereuse maman du monde!

      Braff bobo! Tout plein de splosions sur Braff. Ca faire bobo. Beaucoup taper dans ventre. Braff pas se sentir bien. Braff se pencher.

      Braff vomir sur papillons blancs.

      Grosse gelée verte tomber sur papillon. Avoir des qui patauger dedans. Eux plus blanc, eux tout verts maintenant. Odeur bizarre. Ca comme comme quand Braff faire prout.

      Hahahaha Braff dire prout. Braff bien rire. Braff être grand comique. Peut être faire un spectacle un jour. Kiki dire que faire si Braff sage. Kiki très gentils. Comme grozumin. Grozumin dire pas grave si Braff vomir truc, parce que parfois quand Braff vomir trucs gens en dessous avoir bobo. Braff pas comprendre. Braff toujours manger truc pas solide. Sauf peut être piano, mais piano bon, et faire musique quand Braff mâcher.

      Braff se rendre compte truc bizarre.

      Papillon plus papillon. Papillon deviendre zumins. Put comprendre. Avant papillons, maintenant zumin.

      Puis vieuzumin charger. Être entouré de zumin qui travailler avec Grozumin. Grosse bagarre. Braff regarder ça d'en haut. Pas comprendre. Zumins taper autre zumins. Ca parfois arriver chez géants, mais géants pas être anciens papillons. Se redresser. Absolument rien comprendre. Pourtant Braff très très telligent d'habitude.

      Braff, c'est moi, attaques les hommes en blanc c'est des méchants.

      Kiki être là. Viendre pour aider Braff! Kiki gentils! Kiki meilleur ami de Braff. Braff content. Obéir instructions Kiki. Voir bonhomme blanc bizarre qui courir au milieu copains grozumin. Braff attrapé vilain zumin blanc.

      Non! Pas celui là, lui c'est le...

      Braff manger le zumin. Lui gout pas bien. Avoir gout chaussettes Braff. Mais pas grave Braff penser. Protéger les copains grozumins. Se tourner vers les papillons qui deviendre zumin.

      Médecin de la Légion... Oui voilà, très bonne idée mon grand charge-les, fait leur mal. Et prend soin du vieux bonhomme, il est important.

      Trop d'informations. Braff pas tout comprendre. Kiki trop tratégique. Pas aimé tratégie. Tratégie pas être pour Braff. Pas truc drôle. Pas contre Braff croire Kiki parler vieuzumin. Braff pas comprendre.

      Braff chercher vieuzumin. Trouver lui.

      Se mettre debout au dessus. Vieuzumin entre pieds Braff. Braff protéger. Vieuzumin copain Kiki et Grozumins. Eux gentils. Braff protéger vieuzumin. Plein de papillons autour.

      Braff colère!

      Braff veut pas papillon faire mal à copain. Braff faire cri de guerre!

      WAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAGH
        Le combat arrive à son summum, la pression est aussi présente dans l’atmosphère que la bêtise chez le géant, c'est pour dire. Tu mires le gros épéiste, il te mire et vous vous regardez ainsi en chien de faïence un moment. C'est à celui qui attaquera l'dernier, celui qui supportera le mieux la pression. Forcément, toi qui ait toujours été têtu comme une vieille mule, tu ne tiens pas longtemps et cours vers lui pour faire tâter du bâton.

        C'est à ce moment là, lorsque tu te trouves à moins de quelques centimètres du guss qu'un vieux bruit de dégueulis arrive à tes oreilles. Un bruit si énorme que tu le confonds un moment avec celui d'une chasse d'eau de chiotte à géant. T'en a jamais vu ni entendu, mais ça te donne cette impression. L'odeur venant avec, tu t’arrêtes net dans ton élan, secoué d'horreur devant une chose si immonde. Et là, tu aperçois une chose dont il te faudra du temps pour t'en remettre. Une vieille gerbe immonde, à la limite du supportable vient s’étaler comme une énorme vague sur les pauvres mouettes. Celle là, elles n'ont peut être pas connu la marée noir, mais tu crois bien que la marée verte leur suffit amplement. C'est vraiment immonde, mais c'est efficace, tu vois une pelleté d'hommes se faire engloutir, le visage secoué d'horreur par un tel cauchemars. Ton adversaire est l'premier de vous deux à s'en remettre et il profite de ton moment d’hésitation pour tenter une taillade. Tu réagis aussitôt et pars plus par réflexe qu'autre chose, usant ton bâton de fer. Le garçon a de la force et de l’énergie à revendre, tu vois bien qu'il n'y a pas que de la graisse dans ses bras. Tu vois, mais tu sens surtout et il te faut user de tous tes muscles pour encaisser l'attaque.


        Usant de toute ta force possible, tu projette le guss pour l'éloigner de toi, et ça fonctionne plutôt bien. Sûr qu'il ne se fait pas valser par ta poussée, mais il est obligé de reculer de quelques pas. Ton arme, t'as encore du mal avec elle, alors tu la fait danser entre tes mains pour t'y habituer et tu ré attaques, cette fois sans faire dans la rapidité, mais dans la brutalité. Tous tes muscles se crispent sous la force utilisée, toute ta hargne est emmagasinée dans chacun de tes coups. Ahah oui tu en as de la rage à revendre, et là, tu en fais une vraie démonstration. De violence et de haine. La grosse mouette commences à montrer sa trogne des mauvais jours, et une grimace de concentration vient buriner son visage.

        Mais l'habitude des combats comme ceux là t'empêche de te réjouir. C'est toujours dans ce genre de moment que l'adversaire se réveille, que le lion se déchaîne et que tu te fais avoir. T'en as perdu un bon nombre, de batailles que tu pensais gagner, alors tu restes aux aguets, prêt à voir la mouette sortir ses ailes.

        Et c'est ce qu'elle fait, avec vigueur.

        La grosse mouette décide d’arrêter de jouer la défensive, d’arrêter de subir et de contre-attaquer tout simplement. Comme toi, il n'agit pas dans la délicatesse et te met au pied du mur. Au pied du géant plutôt. Le gros Braff fait son apparition dans le combat, effrayant de son immense carrure le marin qui malgré ses deux mètres fait minuscule à coté de lui . Gentil Braff, brave bête qu'il est, vient te donner un coup d'immense main. Tu profites du moment d'incrédulité du marine pour courir le long de la jambe du monstre. Il te faut courir vite, parce que la pente est dure, mais surtout supporter l'odeur insupportable qui se dégage de la bête. Une fois bien haut perché, tu prends appui contre la peau du monstre et te sers de lui comme d'un tremplin pour sauter à pleine vitesse vers l'épéiste. Tes yeux en prennent pour ton grade mais tu les gardes ouverts. Tes mains tremblent, peu habituées à autant de vitesse, mais tiennent tant bien que mal ton bâton comme un bélier. La pauvre mouette ne s’attendait pas à un coup comme ça, et tu arrives bien de trop vite pour que le bougre puisse éviter l'attaque.

        Alors il subit de front, comme tu l'as toujours fait, et le choc arrive dans un grand fracas de côtes, d'os et de nerfs en tout genre. Pour sûre que celle là, il aura du mal à s'en remettre.



        Dernière édition par Sergueï Suyakilo le Mar 21 Fév 2012 - 11:15, édité 1 fois
            Alucard sortait de la grotte sa lance à la main. Il avait une démarche nonchalante et était couvert de poussière. Les deux lieutenants le regardaient d'un air de représailles. Il venait tout juste d'anéantir leur bataillon dans un piège de débutant. L'avidité du gain avait eu raison de leurs expériences et de leurs talents. Ils s'étaient tout droit jetés dans la gueule du loup et maintenant en payaient les conséquences. Une trentaine d'hommes au tapis et sûrement plus de la moitié de décédés. Ils voulaient leur revanche sur le pirate primée. Il n'était plus actuellement l'homme le plus recherché sur les mers, mais sa prime pourrait leur permettre de vivre un peu plus aisément les quelques années qui leur reste à servir dans la Marine. La tâche ne serait tout de même pas aisé, car dans toutes cette pénombre ils n'avaient vue qu'un homme et une lame. Ils n'avaient pas connaissance de ses pouvoirs. Ils devraient donc rester sur leurs gardes. Chacun disposait d'un kit d'effets bien distinct, le premier albinos semblait petit et nerveux avec une rapière, le second était grand et imposant avec une masse. Al' pourrait rapidement s'en débarrasser, mais il ne fallait pas sous-estimer ses adversaires. Ils se connaissaient bien et devaient sûrement avoir des techniques en corrélation. Yukiji serra sa poigne sur son arme et attendit l'offensive des deux mouettes. Il devrait s'en débarrasser afin de rejoindre le champ de bataille vers le navire. Avec quelques gaillards en plus là bas, la victoire serait assurée. Les albinos ne semblait pas avoir envie de bouger les premiers et les deux camps campèrent sur leur position durant plusieurs minutes. Notre jeune pirate avait tout son temps ... Alors que les troupes de marines se faisaient écraser de plus en plus au fur et à mesure que les minutes passaient.

            Le premier à se mouvoir fut le corpulent qui fonça droit sur notre jeune homme, la masse au dessus de son crâne. Elle retomba lourdement sur le sol, ne touchant point sa cible qui à eut largement le temps de faire plusieurs pas sur le côté. Mais ce fut également à cet instant que Yukiji fut surpris d'entendre le son d'une lame dans son dos. Masqué dans son angle mort, l'autre lieutenant tenta une attaque en traitre. Al' ne put quasiment rien faire et vue la rapière fendre une partie de son épaule gauche. Du sang gicla de la plaie et il serra les dents. La haine et la colère se lisait sur son visage. Il se tenait l'épaule, le membre gauche raide. Plus moyen de combattre avec sa lance dans une telle position. Il était blessé et l'affaire n'était pas dans le sac. Il aurait dû être plus méfiant au lieu de simplement éviter le gros loubard. Quel imbécile !!!! Du sang coulait abondement de sa plaie et il déchira une de ses manche pour faire un garrot. Il avait les nerfs à vif ... Et cela les deux lieutenants le payeront de leur vie. L'armoire à glace fonça à nouveau sur notre jeune pirate. Yukiji prit son courage à deux mains et fonça également à sa rencontre. L'homme frappa en direction du pirate qui stoppa l'élan de son arme d'une main. Bien sûr cela n'était possible que par ce qu'il venait d'activer les pouvoirs de son fruit. Il avait créer un frottement avec ses ondes et les laissaient parcourir la masse de son ennemi. Après quelques secondes l'arme se morcela et s'envola en plusieurs brindilles de métal. L'homme blêmit et s'écarta rapidement. Il entendit à nouveau l'air se déchirer dans son dos. Au dernier instant, alors que la pointe de l'épée ne le toucha. Il fit un bon sur l'opposé de la pression exercé sur son organisme. Une légère entaille apparut au niveau de son abdomen, mais le coup en valait la chandelle. Il était en parfaite position pour contre attaquer.

            La petite mouette était prise dans son élan et venait de frapper dans le vide. Entrainer par sa force, elle ne pouvait ralentir sa course et perdait son équilibre. Alucard empoigna sa lance et l'utilisa comme un javelot qui vint transpercer le torse de l'individu en question. L'homme gémit avant de s'écrouler sur le sol dans une marre de sang. Un de moins !!! Voilà une bonne chose de faite. Le géant était désarmé et n'avait plus qu'une seule opportunité. Il ôta toutes ses armures et protection, laissant apparaitre une large torse et un corps de mastodonte. Yukiji ne broncha même pas et resta sur place essayant de retenir sa plaie et de lutter contre la douleur. L'homme avança lentement vers lui et se plaça en garde. Un combat à main nue venait de débuter. Notre jeune héros n'était toujours pas avantager, ne disposant que d'un seul bras et surtout que son équilibre était approximatif. Le lieutenant commença à balancer ses poings vers le pirate. Al' faisait de son mieux pour éviter et contrer ses immenses offensives. Mais il commençait à s'épuiser. Son cardio n'était plus aussi athlétique après une telle blessure. Et ce qui devait arrivé, finit par se produire. Il reçut une immense droite en pleine mâchoire. Sa tête se balança en arrière et il tomba lourdement au sol. Il avait le tournis et le goût du sang en bouche. Il cracha et se releva avec beaucoup de peine. Il se crispa et prit sur lui. I laissa s'échapper tout son aura de sa petite personne qui morcela le sol aux alentours. Il venait de rentrer dans une colère noire !!!! Il frappa le sol à plusieurs reprises et un orifice d'un mètre se forma sous les pieds du soldat. L'homme tomba dans celui-ci jusqu'au niveau de la taille. Il essaya de se soulever, mais sa corpulence était trop grande et il était bel et bien coincé. Notre jeune pirate s'approcha. L'individu tenta d'utiliser ses membres avant pour se défendre. Il les brisa d'un coup de pied chargé de la puissance du Gura Gura. L'homme regarda son bourreau arriver. Al' chargea toute sa puissance dans l’extrémité de son pied droit. Puis il frappa le haut du crâne de l'individu. Le choc fut si violent que son front toucha le sol de l'île. Il était pourtant toujours relier par une colonne vertébrale démembrée bien apparente. Al' frémit, direction un autre champ de bataille pour trouver une trousse de soin.
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          • https://www.onepiece-requiem.net/t118-yukiji-alucard-une-vie-un-but-un-hommetermine
          Jamais tu crèves toi ?

          Je resoulève mister Green qui a viré au rouge à pleins de recoins de sa sale tronche et lui fais encore un gros choc contre le pied restant de son lit qui cède sous la pression. Je m'apprête à le percuter contre un autre truc qui doit faire mal quand il emporte son matelas avec lui. Envie de pioncer ? Il veut répliquer avec un coup de gros mousse ? L'est con ou quoi ? C'est là que le fourbe me perce la peau avec un des ressors de son plumard. Pourriture communiste! Blondie s'échappe de ma poigne en donnant une impulsion et me percute l'intérieur de la guibole de son genou. Il doit les entraîner à casser des pierres, je m'attendais à un épéiste de folie mais c'est tout son corps qui est une arme. Je plie un peu, aussi navré que toi mon lecteur. La petit merde en profite pour se décoiffer un peu plus en m'assénant un coup de boule à te filer un carton rouge en finale de Coupe. Je me vautre pas comme une fiante latine, mais ma gueule pivote de quelques dizaines de degrés et il surenchérit avec un masta punch dans la mouille. Et il l'appuie encore le gars, il accompagne ma descente jusqu'à ce que j'enfonce le plancher. Suis pas à mon avantage et lui il a la classe malgré sa coupe, c'est pas le meilleur moment de ma journée. Je me demande même si je l'ai pas un peu vexé, je sens bien qu'il y met du personnel dans les mimines. Hé hé, cette douleur, c'est jamais que sa petite frustration qu'il essaye d'évacuer. Je crachote un mollard couleur grenadine et lui laisse un petit mot d'encouragement.

          T'en fais du boucan, t'as pas peur que tes hommes craignent que t'aies viré tantouze ? Cette coupe doit pas plaire à beaucoup de donzelles après tout.

          Pas le temps d'enchaîner, il se remet à fumer du crâne et me concède le prochain coup de pilon. Plus le temps parce que c'est moi qui m’interromps, vais pas jouer à "vas-y fais-moi mal pendant que je t'insulte", pas ma came ce genre de délire, surtout dans une chambre à coucher de la marine. Ma grosse paluche raffermie à l'envie de broyer des os filoche de dextre à senestre et le souffle de sa position montée. Le mobilier pète encore un peu plus, cette fois c'est son miroir qui cède. Repose en paix noble verre poli, ta vie de misère s'arrête ici. Puisses-tu refléter en enfer les flattantes cuisses d'une déesse lubrique. Ton sacrifice n'aura pas été vain, il a permis à la petite boule de nerfs et de muscles de gagner une cicatrice en plus tout le long d'une joue. Ha ha ha, je me marre, et pas qu'en discours indirect. Je me relève aussi, sens que mes jambons vont bientôt me servir. Green récupère son coupe-coupe et opte pour un nouvel assaut avec. Tu lisais un autre acolyte durant sa dernière tentative, mais ça s'était soldé par une prise en tenaille entre mes avant-bras et un désarmement assez majestueux. Le genre de truc que je peux pas refaire et c'est bien dommage, tu serais pantois. Il a dû penser que j'étais habitué de ce genre de manoeuvre pour attendre si longtemps avant de retenter l'attaque au ciseau, faut dire qu'il a bien bouffé quand je l'ai puni d'un Meteor Shoot ayant pour goals l'embrasure d ela porte de son bureau. Manque de bol, j'ai fait un piquet rentrant, ça lui a démis une épaule. Il se les remise façon arme fatale, mais lui ai répété au coup suivant, juste histoire de l'emmerder. T'aurais entendu le bruit que ça a fait. Suis pas sensible des esgourdes niveau cartilage, rapport au nombre de carcasses de barbaque que j'ai bouloté dans ma vie, mais là c'était dégueulasse. J'ai souffert pour lui. C'est après ça qu'il m'a filé mes premiers bourre-pifs sérieux et que j'ai constaté qu'effectivement, il n'avait pas démérité l'épaisseur de ses bras.

          Là, il a mangé nettement plus que moi, mais j'aime pas le sentir encore en pleine forme. A croire que son père le battait avec des briques, ça l'a endurcit le gaillard. Je suis loin de frapper comme un doudou, surtout dans un endroit où il y a plein d'éléments du décor à péter. Mais lui, là, il encaisse et se relève comme un chevalier du Pégase, je le verrais invoquer une armure d'or que ça m'étonnerait plus. Puis ça serait classe face à la mienne, qui n'est pas en or comme sur le petit dessin que tu as pu voir, mais c'est tout aussi prestigieux. Le voilà qui arrive à portée, je le laisse encore élancer son coup de lame pour voir avec quelle pièce je vais parer. Coup direct vers la cuisse. Il a juré de me tenir la jambe. Je recule d'un grand pas et abats mon poing vers le sommet de son crâne. Il relève son arme pour jouer l'empalement, je flairais assez un énième coup de ce genre pour recroqueviller la paluche et opter pour un coup d'avant-bras. Il ne bouge pas, ça ça m'étonne quand même. Mieux, il prend appuis et veut vraiment mesurer sa lame à mon acier royal. Qu'à cela ne tienne, on verra qui a le meilleur forgeron. Nos métaux se percutent. Je ripe, mon marteau passe juste devant lui et s'écrase au sol. Il profite de mon élan pour sauter sur mon bras et jouer au champion du sprint alpin. L'ai plus de bras pour le calmer, il plante son jouet dans le creux de mon épaule. J'ai l'adrénaline qui monte, à la base il visait mon cou mais j'ai fait dévier sa lame en heurtant son plat de la pommette. L'acier me perfore la peau et je connais le bonhomme, il ne s'arrêtera pas de forcer que quand ça me ressortira pas le trou de balle. Mon deuxième bras lui saisit le haut du tronc et l'élève dans la pièce. Il me laisse l'épée plantée dans la chair, c'est sa petite vengeance pour l'épaule déboitée. pas du jeu, moi je pourrai pas refermer ma plaie avant de l'avoir butté.

          Avec une barre de métal coupant près de la clavicule, je t'avoue que je me retrouve un peu rigide dans mes mouvements. Je l'ai en haut du plafond qui n'existe plus, très bien, mais qu'est-ce que j'en fait maintenant ? Ben je le fais tourner du dernier bras valide, m'en sers de casse toiture pour ce qu'il en restait au passage et l'élance très haut, même pour moi. Père Newton me souffle à l'oreille que j'ai une bonne trentaine de secondes pour agir. J'extrais la lame dans une jolie gerbe à transfuser un bloc entier et applique bien vite un drap sur la plaie comprimée. J'espère qu'il les changeait souvent, mais vu la coquetterie du bonhomme et sa vénération du saint plumard, me fais pas trop de bile. Un noeud sommaire retarde l'hémorragie et déjà me reste plus que quelques secondes pour agir. Je vois une étoile filante, le bouffon vert retombe du ciel. Je prends son aiguille et vise. Lancer de javelot paramétré, ce soit c'est du marine à l'embroche. Je balance le projectile. Ca file, ça fuse, ça fend la bise. Le choc le repropulse vers les cieux. Ca c'est de la fatalité. Ce combat est terminé.

          Je vérifie l'état de mon épaule. pas joli, ça pisse toujours. Je me penche sur les objets répandus sur ce qui était avant un bureau entier. Des agrafes, parfait. De la colle, encore mieux. Je me récupère quelques débris du miroir de la chambre et mire le reflet de ma blessure. Pas joli joli, mais la coupure est relativement nette. J'agrafe du mieux que je peux. Sur les bords surtout parce qu'au centre de la blessure ça ne fait que me déchirer la peau. Je serre les dents en sentant que le sang qui file commence à me manquer. Plus le temps de peaufiner, je force mes vallées de peau à se bisouiller et scelle l'union avec quantité de colle forte et échange ultra rapide, un peu moins quand le sang s'en mêle. C'est brouillon, mais ça conviendra, je replace le drap dessus et sors. Je ne sors pas par la porte, mais par le plancher. Pas que je sois trop lourd, mais un choc à déplacer les cervicales me heurte la tête au point de quasi me l'enfoncer jusqu'au tronc. Le casque a amorti le choc, celui du genou de ce foutu marine qui avait réussi à bloquer mon trait en plein air, avec une classe que lui non plus ne pourrait te refaire. Je sens la pression sur ma colonne, je remercie la gaine naturelle qu'est Némésis pour l'empêcher de péter. Le choc se répercute jusqu'aux panards et on passe à l'étage du dessous. La colle tient, ça c'est pour la bonne nouvelle.

          Dans ce nuage de poussière, on tousse. Lui a du mal à se défaire des décombres, moi je me courbe pour remettre ma colonne dans sa position initiale. je sens que demain, rien que me pencher ça va se mériter. Le brouillard neutralise ses capteurs oculaires, pas mes tactiles. Je ressens sa vibration par le sol et lève un pied décisif qui s'abat sur lui une fois, puis deux. Ca fait comme quand t'as enfin eu l'araignée qui filait d'un meuble à l'autre et que tu veux être sûr qu'elle ne se relève pas. Je pilonne à m'assurer qu'il n'existe pas de cave sous lui et quand je le sens bien maqué, je tâtonne après son épée et la plonge vers sa poitrine. Tu me croiras, tu me croiras pas, il bloque encore la lame avec ses paumes et me résiste. Increvable ce machin. Mais faut pas rêver, moi aussi je suis une base de combat et en plus je suis en position montée. Ses mains glissent et je sens l'acier entrer doucement dans son buste. Ca cale un instant contre les os, qu'il défend encore d'un élan désespéré, et je mets bien mon poids sur le manche pour passer à travers son corps. La poussière est encore trop présente pour me permettre de voir le résultat, mais j'entends bien au bruit que ça a percé et jusqu'au sol. Avec ses fringues, il doit ressembler à une olive de restaurant, celle servie avec une épée en plastique en guise de cure-dent. T'étais pas mauvais du tout comme type, mais j'ai rencontré pire que toi sur les Blues, à Shell Town. Peut-être que sans cette expérience, j'aurais été moins ascendant. J'aurais quand même gagné, emporte pas un doute dans l'au-delà. J'étais meilleur c'est tout, tu peux pas test.

          Je dissipe la poussière et constate que la métaphore de l'olive était bien préméditée. J'embarque le cadavre et l'emmène aux chiottes. Là, afin de ne pas heurter ta vision du manga, je ne vais pas détailler. Disons qu'en ressortant, j'avais un petit sac de la taille d'une tête en main et que pour m'avoir fait perdre pas mal de sang, j'en ai récupéré façon coupette des braves. J'entends à l'étage des bas de grades qui essayent de demander des renforts, mais leur escargophone ne desserre pas les dents tellement il a la méga chiasse. Pas de re-match pour l'équipa blanche. Après un petit rire mesquin, je ressors de la maison en ouvrant la porte du pied, ça fait toujours plaisir. La bataille n'est pas terminée, j'approche de la zone de marave en masse et me dégote un point de hauteur. En haut d'un val, je hurle si fort qu'il faut être artificier pour ne pas m'entendre.

          WAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAGH!

          Fidèles de la Mouette, regarde ce qu'il advient de ceux qui s'opposent à la Légion.


          Et j'expose le contenu du sac à l'assemblée. L'artefact a le don d'en dissoudre certains et de ragaillardir les autres. Le surnombre ne joue plus, les pièces maîtresses du côté blanc sont tombées et le moral de l'ennemi est au plus sinistre. Histoire de leur prouver combien ils peuvent être perspicaces, je négocie les termes de leur reddition.

          Quand je dirai "Soldat", tous ceux qui ont encore une arme en main serons exécutés. Je parle de ceux qui sont du côté de la marine bien sûr, pas de panique les autres.


          On sait jamais.

          Soldés du Gouvernement...vous avez eu la trouille hein ? Ha ha ha ha! je reprends. Soldés du Gouvernement, votre mort n'est pas souhaitée de vos ennemis. Les Révolutionnaires réunis sous ma bannière luttent pour autre chose que votre massacre, vous qui ne suivez que les ordres. Acceptez de perdre cette bataille et vous aurez la chance d'en remporter d'autres. Je m'engage sur mon titre de Roi à vous rendre la liberté dans une semaine, semaine durant laquelle vous serez bien traités. A condition que vous restiez dociles.

          Déposez les armes, prenez la prime de risque que vos supérieurs vous proposeront et reprenez du service quand vous le pourrez. Demain, peut-être serez-vous la personne qui me livrera au Gouvernement et aura la satisfaction d'avoir rempli son rôle. Je m'en fous de vos idéaux, mais votre heure de gloire n'arrivera pas aujourd'hui. Offrez-vous un rab' de vie, chérissez vos gosses, pelotez votre femme comme si elle n'avait plus ses vergetures et goûtez à cette vie que vous vous serez permise en ravalant votre orgueil. Pour l'heure, l'île du Capitaine John passe sous le joug des pirates et révolutionnaires. Son crâne ser...


          Le joug, comme le joug de fruits ?

          Hein ? Non le joug joug...

          ...ah...

          Non mais cherche pas, c'est rien. Barre-toi d'ailleurs. Bon, je reprends. Restez attentifs les marines, sans vouloir spoiler, le mot arrive bientôt. Pas le moment de se coincer un doigt dans la garde. Alors...truc, perdre bataille, poum poum, vergetures, joug des pirates et révos. Ah oui, voilà! Son crâne sera un phare pour les rogers et un point de chute pour ceux qui vous ont chassé. Transmettez à vos chefs que quiconque voudra régir la terre du peuple libre devra se heurter à la colère de ses soldats.

          Si la plupart avait gardé son arme, ils s'emboîtent bien vite le pas pour rectifier le tir afin de ne pas être le dernier à sembler menaçant. Je suis satisfait d'une victoire pas trop crade, alors je conclus le traité.

          Dites-leur aussi que le Buster Call est inutile sur une île fourmilière. Et quand ils voudront savoir qui les défie, répondez-leur que l'homme qui vous a parlé est Minos et que chaque jour qu'il vivra grossira les rangs de leurs ennemis.

          La Légion est de retour.


          Et je brandis ex-Commandant pour soulever la foule.





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          La trogne à moitié sonnée par l'impacte, tu mires le sol tanguer de gauche à droite comme s'il s'était mis à trembler bien de trop fort pour tes pauvres guibolles. Tu es encore allé trop fort, tu as encore voulu jouer à celui qui avait la plus grosse, heureusement pour toi tu crois bien avoir réussi. Fier d'ton attaque, tu fais un signe de la main au géant pour le remercier. Ça ne servirait à rien de lui parler, il ne comprendrait pas. Enfin ça, c'est l’excuse que tu te donnes, mais au fond tu es simplement encore trop abîmé par le choc pour oser tenter d'ouvrir ton bec.

          Un sourire satisfait du gars qui a accompli son travail comme il faut orne quand même ton visage. Tu sais bien que la bataille est loin d'être fini mais tu sembles avoir abattu le plus gros des adversaires, alors tu peux te réjouir. Le combat est presque gagné. Récupérant durant deux dernières secondes tes forces, tu te prépares à courir de nouveau vers les marines survivants histoire d'en finir le plus vite possible avec ces mouettes. Tonton Barbie risque d'être content de toi si tu continues à faire aussi bien ton travail. Ça t'embête de l'admettre, mais tonton Barbie, tu l'aimes bien, tu l'admirerais presque si tu avais moins de fierté.


          _Kof...Kof...Kof...Regardes moi Hurg... Bien dans l'blanc des yeux.... J'vais te saigner en blanc et faire de tes pauvres yeux de magnifiques blancs en neige à la sauce sanguine... Kof... Kof

          Tu mires d'où viennent ces mots et ton esprit ne s'est pas trompé. Cette voix, cette façon de parler... C'est bien ce foutu marin qui a décidé de faire de la résistance. Tenant à peine debout, il continue à vouloir combattre. Pauvre de lui, il n'a pas compris qu'il n'avait aucune chance.

          _Mais qu'est-ce que tu fous à te relever ? Tu veux finir au fond d'un trou ou quoi ? J'te laissais une chance de faire le mort et de t'en sortir avec seulement quelques côtes de pétées là. Mais tu l'auras voulu.

          Ce bougre te surprend, agréablement même. Ce n'est pas un lâche, et il va au fond des choses, tout comme toi ce n'est pas le genre d'homme à abandonné après le premier ongle de pété. C'est ce que tu te dis en préparant ton attaque.

          _Je ne te laisserai pas un moment de... Blanc tant que tu ne ramperas pas à terre sal'tée de révolutionnaire. Et ne compte pas sur moi pour utiliser mon arme blanche à la légère !!! Ca va saigner !!!

          A croire que ton coup t'a autant secoué que lui, il semble avoir retrouvé quasiment toutes ses forces, courant à pleine vitesse vers toi. Alors qu'il arrive à portée, son bras se prépare à lancer une attaque, son arme prend de l'élan puis fonce vers ta trogne toute éberluée sous l'exploit. Alors que tu vas te prend un coup de lame pil entre les deux yeux, un énorme CRACK se fait entendre et le pauvre bougre de marine se fige dans une grimace de douleur.

          Tu en serais presque déçu. Toi qui a cru un moment que le combat allait recommencer comme avant, ses côtes ont décidé de lâcher pile au mauvais (un homme normal dirait « bon ») moment. Plus qu'à finir le travail que tu souffles d'un air presque lasse. Tirant la trogne des mauvais jours, tu lâches un Skull's rage avec ta finesse habituelle. La mouette déjà à moitié immobilisée replonge par terre encore plus mal en point.

          A ce moment, alors tu cours vers les mouettes n'étant pas encore tombées, une grande et énorme voix fait stopper tous les soldats, les faisant mirer Ton Barbie.

          Lorsque Boss en a fini avec ses jeux de mots et sa gueule d'Apotre, tu te dis que la guerre est fini et qu'il est maintenant l'heure de compter les bléssés. Le problème c'est qu'un autre ne semble pas d'accord avec cette idée.

          _Commandant Green... Ces enfoirés … J'avais beau dire tantot blanc tantot blanc, z'êtiez un modèle pour moi... Mister Green... Ces enfoirés d'blancs becs...

          _Tu la fermes oui ? C'est pas bientôit fini !

          Là tu en as mare de cette foutue mouette qui se met à chouiner qu'elle va venger son bon commandant. Rien que des tarlouzes dans cette armée de marine. Rien qu'à regarder comment l'chef de l'île se maquillait, on voit où on met les pieds ici.

          _Houinnn... Snifff... Mister Green...

          PAN

          _Argh... Ca fait du bien c'silence.

          _Kof kof... C'est des balles à blanc ton arme ou quoi ? J'vais te pulveriser …

          _Quoi t'es pas encore mort toi ?

          PAN PAN PAN

          _ Kof Kof...Va t'faire cuire Kof Kof un blanc en neige...

          Là tu es enervé, la résistance c'est bien, c'est même sympa, mais ça a ses limites ! Alors tu prends une pelle à un soldat et tu creuses le plus vite possible tandis que la mouette continue à t'insulter. Puis tu jettes le bougres qui n'rest plus en état de se défendre à l’intérieur et te dépêches de refermer. Tu crois bien ne jamais avoir été aussi rapide pour creuser un trou. Une fois fait, tu reprends ton souffle, satisfais.


          _J'vais sortir d'la et te saigner à blanc ordure..

          Là tu crois bien avoir usé de toutes tes munitions (sans jeu de mot) pour épuiser le gaillard. Rien n'empêche tu fais la sourde oreille et commences le nettoyage du champ de bataille en te disant que tu aurais du creuser plus profondément.
          Tonton Barbie a eu beau stopper le combat, les blessés sont nombreux et les quelques blouses blanches se retrouvent vite débordées. Alors tu tentes de les aider, tant bien que mal à soigner ceux qui peuvent l'être, en te rappelant les quelques vagues souvenirs que tu as gardé d'une époque lointaine où tu apprenais la médecine.
              Notre jeune pirate arriva sur le gros du champ de bataille. Il y avait une belle marre de sang et des cadavres un peu partout. La marine perdait et cela était justement le but de tout ceci. Nous avions parfaitement exécuté le plan de Minos, maintenant nous pouvions quasiment mettre cette île sous notre direction. Mais bon au fond, Al' savait qu'il ne tarderait point à quitter la Légion pour rejoindre une ancienne connaissance. Il avait reçu une lettre quelques jours plus tôt. On lui demandait de rejoindre un équipage, cela faisait bien longtemps qu'il n'avait point trouver de point fixe. A part la Légion qui l'avait accueilli à bras ouvert et qu'il garderait toujours au fond de son cœur, tout les autres équipages avaient fini en fiasco. Et cela toujours à cause d'une seule personne et d'une seule cause: la disparition du Capitaine. Alucard avait envie de rejoindre des nakamas et en avait déjà touché quelques mots au Boss. Il avait été ravi de la nouvelle et sa dernière parole lors de leur discussion fut:"Il y aura toujours une place pour toi à la Légion, si jamais tu décides de revenir !". Cela avait grandement touché notre jeune pirate et surtout mis le doute dans son esprit. Il savait pertinemment que même s'il quittait le pont du bateau. Il ferait toujours tout pour rester en contacte avec la Légion. Il avait passé de bon moment à bords de ce rafiot et espérait bien un jour les recroiser dans le Nouveau Monde.

              Les mouettes tombaient comme des mouches, mais cela n'était point assez rapide aux vues de notre jeune pirate. Il lui fallait encore marqué au fer rouge le champ de bataille. Il lui fallait encore un peu de sang sur les mains. Il voulait encore frapper du marine, si déjà il y en avait pour tout le monde et tous les goûts. Les hommes de la Légion se battaient avec hargne. Ils avaient la rage au ventre et seul une victoire pouvait les satisfaire. Alucard s'approcha de la bataille. Son bras lui faisait atrocement souffrir, il ne pouvait donc plus compter sur ses facultés avec une lame voir sa lance. Il plissa les genoux et se concentra. Il avait plusieurs ennemis devant lui, mais il ne pouvait pas risquer de toucher un camarade. Il devait donc faire des petites frappes chirurgicales. Il commença tout d'abords par un petit groupe de trois marines. La déflagration les envoya valser sur plusieurs mètres vers le ciel. Ils retombèrent lourdement dans un fracas d'os et de cris. Cela eut pour effet d'alerter certaines personnes qui se déplacèrent directement vers notre jeune pirate. Mauvais choix pour eux, ils auraient mieux dû rester à leurs places. Il envoya directement une onde de choc dans le sol, faisant s'écrouler celui-ci sous leurs pieds. Les mouettes tombèrent dans le piège et les hommes de la Légion n'eurent cas tirer dans le tas. Un bon vieux tire aux pigeons ne fait jamais de mal .

              Puis ce fut ainsi quelques minutes ... parfois alucard préférait venir en aide, par derrière, à un légionnaire en mauvaise posture et parfois il préférait frapper dans le tas en balançant technique sur technique. En fin de compte il réussit à mettre encore une vingtaine de soldats au sol. Il ne s'occupait plus de savoir s'ils étaient mort ou encore en vie, l'important était qu'ils ne puissent plus combattre. Il avançait d'un pas lent, terrassant les ennemis qu'il avait sur sa route. Puis soudainement Minos apparut en hauteur ! Il exhibait la tête de tonton Green, le vieux gay qui s'occupait de diriger les hommes sur ce cailloux. Les marines baissèrent les armes, la bataille était terminée. Une belle victoire ... la première de la Légion et une série qui ne faisait que débuter. Al' rejoignit le reste des troupes. Il fallait maintenant s'occuper des blesser. Dix minutes sous la tente et son bras était à nouveau comme neuf, enfin façon de parler. La blessure avait été cousue et il put continuer à aider. Il alla sur le champ de bataille et s'occupa de ramasser les armes. N'ayant qu'un bras valide, les autres tâches étaient trop compliquées pour notre jeune homme.
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            • https://www.onepiece-requiem.net/t118-yukiji-alucard-une-vie-un-but-un-hommetermine
            Braff pas tout compris.

            Vieuzumin sauter sur Braff et faire truc bizarre pour taper gros bonhomme pas beau. Plein de papillon vouloir attaquer vieuzumin. Braff pas content, frapper très très fort dans papillons. Papillon voler partout. Rigolo. Braff beaucoup rire.

            Vieuzumin parler avec gros bonhomme. Peut être gros bonhomme copain de vieuzumin. Kiki caché dans cheveux. Kiki peur. Braff comprendre, Kiki tout petit, Kiki pas pouvoir chasser méchant papillon. Braff défendre Kiki. Piétiner vilains papillon. Entendre son rigolo. Quand Braff marcher sur papillon, faire musique. Braff danser sur papillon. Braff beaucoup rire. Kiki beaucoup trembler. Papillon beaucoup courir.

            Gros cris d'un coup. Assez fort pour couvrir rire Braff. S'arrêter. Cri ressembler à voix de Grozumin. Braff aimer Grozumin, toujours gentils avec Braff.

            Grozumin tenir truc dans sa main. Ressembler à morceau de zumin. Comme tête de zumin, mais pas y avoir corps dessous. Grozumin magicien. Faire apparaitre morceaux de zumin pas complet. Braff aplaudir. Pas avoir compris quoi dire Grozumin. Faire trop grande phrase. Mais Grozumin puissant sorcier, donc Braff aplaudir. Essayer de faire comme Grozumin.

            Braff attraper papillon. Attraper tête papillon avec deux doigts. Tête faire sprotch. Braff appuyer trop fort. Essayer avec autre papillon.

            Kiki descendre pour manger. Avoir sang partout. Kiki pouvoir manger beaucoup. Braff pas faim. Braff finir faire tour de magie avant. Tête encore faire sprotch. Papillon pas solide. Braff pas content. Attraper autre papillon.

            Papillons commencer à partir. Grozumin dire truc qui avoir fait peur papillon. Pas gentil ça. Braff pas pouvoir faire tour de magie si a put papillon. Surtout que avoir encore fait sprotch. Braff courir derrière papillons pour que rester. Papillons courir vite et crier. Pas vouloir jouer avec Braff. Papillons méchants. Braff pas aimer papillons. Vilains ! Papillons faire magie aussi. Disparaitre dans trous. Braff pas réussir à rentrer.

            Doigt trop gros.

            Braff reviendre vers zumins. Vieuzumin faire trous. Mettre gros bonhomme dedans.

            Braff triste. Pas pouvoir jouer avec papillon. Pas pouvoir rentrer dans trous pour bagarre avec grozumin. Même pas pouvoir faire magie. Braff trouver ça pas juste. Toujours petit truc qui s'amuser. Braff jamais pouvoir jouer. Braff pas content. Vouloir papillon pour s'amuser. Kiki manger. Pas bien déranger Kiki quand Kiki manger.

            Braff lever et aller vers Grozumin. Lui copain. Gentils avec Braff. Aider Braff être utile. Peut être apprendre comment faire magie. Avoir encore tête dans la main. Grozumin trop fort. Puissant sorcier. Braff triste pas pouvoir faire pareil. Papillons partis.

            Braff pleurer très très beaucoup. Approcher grozumin pour faire Ghraukalyn.

            PHAHYOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON
              Bon ils ont rendus les armes, comme quoi un peu de chaleur humaine et de sang sur les pompes, ça chatouille l'empathie humaine. La reddition se signe avec le claquement des sabres et fusils sur le sol, je tiendrai ma parole et les épargnerai. Enfin, si Braff le permet. Qu'est-ce qu'il me fout ce con ? La bataille est finie, qu'il arrête de se battre tout seul comme un furet.

              Hey, tous dans le crâne, notre géant est détraqué.

              Tu verrais ça, marines et ex-pirates devenus révolutionnaires courant main dans la main vers la grotte aux trésors. Bon, j'extrapole un chouilla faut l'admettre. Ils cavalent tous comme des fous pour ne pas crever à cause de ce grand débile qui me pète ma scène de Roi magnanime. Si je savais comment punir ce gros paquet de viande, je lui apprendrais à me casser mes effets. Pas pour que ça lui serve de leçon, il ne captera même pas que la sanction en est une. mais pour me détendre, pour mes nerfs. Oh, idée trouvée, t'es un génie Minos, et pour une fois c'est pas TNT qui le dit. a la seconde île, je prépare un concours de bouffe et je me débrouille pour qu'il le perde. Ca lui fera les pieds à ce ventre à pattes. Pour l'heure, faut le canaliser. Il a perdu ses jouets, maintenant il vient pleurnicher dans les jupons de sa mère. Et sa mère, aussi étrange que ça puisse paraître, c'est moi. Sur tous les géants du monde qui existent, j'en embauche un et faut que ce soit le plus arriéré. Suis sûr qu'il est balèze au jeu du caillou, ou qu'il sait compter les allumettes, un truc dans le genre. Faut compenser toute cette débilité, Braff ne peut quand même pas être juste bête, son créateur n'a pas pu permettre ça. Trève de spéculations, il arrive.

              Hey, Ducon, regarde le truc que tu pourrais bouffer.


              Que je fais en pointant la lune.

              C'est hyper bon ce truc, ça goûte un mélange de toutes les viandes du monde. Seulement tu dois essayer de l'attraper sans quitter l'île. Tends fort les bras et tu peux réussir.

              Bon, occupé pour la nuit le bonhomme. En plus, il ne va plus fixer le sol et on va pouvoir soigner les blessés toutes couleurs confondues. On récupère les armes marines et on les rafistole. du mieux qu'on peut vu que, rappelle-toi, notre meilleure Doc Kana s'est fait la malle et le doc substitut est en train de voyage d'un côté à l'autre des intestins de l'autre bas de plafond. Heureusement, parmi les blancs, il y en a un qui s'y entend à peu près niveau médecine, je lui permets de curativer les gens. Quand c'est fait, on leur rend leurs fringues de civils pour qu'ils n'excite pas le chasseur de papillons et je leur fais juste une tite griffe à l'arrière de l'oreille, juste histoire d'avoir une trace qu'ils sont bien marines. Les instructions sont simples, ils sont prisonniers dans un cul de sac de la grotte le temps qu'on démilitarise leur ancienne baraque et leurs navires. Ils captent que s'ils sont réglos, on le sera. Je les emmure momentanément le temps d'organiser les tours de garde et les laisse pioncer, ils ont des couvertures pour ne pas trop galérer et une lampe à huile. Le matos de guerre est entassé dans l'entrepôt et je te dis pas la voix de gueulard que j'ai dû me maintenir pour garder alertes les légionnaires en service. Mais bon, ça a fini par s'organiser tout ça. Avant d'aller pioncer, je me récupère l'escargophone constipé qui me tire la gueule et signale à tout le monde qu'un rassemblement général aura lieu devant le port à midi. Pour le temps qu'il nous reste ici, il y a encore beaucoup à faire.
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