La vie n’était pas de tout repos pour Seido. Au moins, le jeune homme avait changé sa situation. En effet, depuis un certain temps qu’il avait arrêté de compter, Seido avait fini par trouver des gens avec qui voyager. Pirate, comme lui, ils les avaient rencontrés sur l’Île d’Inu Town, lors d’une drôle d’histoire de vol. Seido ne savait pas grand-chose à leur sujet. Le premier était un homme d’une quarantaine d’année, du nom d’Archibalde Abe, un forgeron. Le pirate l’avait tout de suite trouvé sympa, comme s’il le connaissait depuis longtemps. En plus, ce pirate possédait un fruit du démon chose peu commune, lui permettant des stocker des objets dans son corps. Ce genre de chose pouvait servir à de nombreuses occasions.
L’autre personne était une jolie jeune femme, du nom de Sekai Hakua, une musicienne. Sa virtuosité au violon avait touché Seido en plein cœur. Voir une femme manier avec faux avec cette facilité était un facteur non négligeable. Lorsqu’il pensait à cette arme, une histoire faisait surface dans l’esprit de Seido, un conte de son enfance. Selon ces souvenirs, la mort apparaissait comme un squelette, armé d’une immense faux. En fait, il ne se souvenait de rien d’autre … Ca ne devait pas être très important.
Les trois pirates voguaient depuis quelques jours à bord d’une barque. Pendant que deux personnes ramaient, l’autre pouvait se reposer. Ce moyen de transport ne dérangeait pas Seido, ou du moins pas beaucoup. Il devait trouver un navire, et rapidement. Voulant devenir capitaine, le pirate ne pouvait demander à ces compagnons de rendre son équipage et voyager sur une barque ! Non, il devait avoir un maximum d’argument de son côté. Alors qu’il était plongé dans ses réflexions, on attira l’attention de Seido. Une île, on pouvait voir une île, enfin ! Le pirate redoubla d’effort, afin de rejoindre la terre ferme le plus vite possible.
Au bout d’un certain temps, la petite bande arriva au port, en poussant un petit soupir, à cause de l’effort. A peine Seido avait-il fini de ligoter sa barque qu’un homme vint à lui, un barbu.
B’jours, vous comptez rester combien de temps ? Vous savez, c’est pas gratos, le port !
Et si je vous vendais ma barque ? J’en ai plus besoin.
L’homme regarda la barque de tous les côtés, et hocha la tête. On la lui acheta pour 100 000 Berrys, un prix raisonnable, même si le pirate savait que cela en valait plus. Qu’importe, ce n’était pas une grande perte, vu qu’il l’avait volé quelques temps auparavant. En plus, trouver un acheteur un si peu de temps était une vrai aubaine. La journée s’annonçait bien. Sentant son ventre gronder, Seido s’adressa à ses compagnons.
Je pense qu’il est l’heure d’avoir un vrai repas. C’est moi qui offre !
Après avoir reçu leur réponse, Seido les conduisit vers un petit restaurant, leur montrant parfois l’emplacement de l’autre ou l’autre boutique, comme la forge, la quincaillerie ou autre. Quelques mois plutôt, Seido était venu sur cette île. Il n’aurait jamais pensé devoir y retourner. Ils marchèrent une petite dizaine de minutes avant d’arriver à destination, « Chez Joseph ». C’était un petit bâtiment, assez banal vu de l’extérieur. En y entrant, on pouvait découvrir un assez joli décor. S’asseyant à une table libre, une table de quatre, le pirate appela le serveur, un jeune garçon d’une quinzaine d’année dont la moustache commençait à se développer. Il commanda le plat du jour, qui semblait équilibré. Laissant ces compagnons décider ce qu’ils voulaient prendre, il s’adressa à eux dès qu’ils eurent passé leur commande.
Désolé pour cette traversée en barque, j’avais oublié que ce n’était pas très pratique à plusieurs …
L’autre personne était une jolie jeune femme, du nom de Sekai Hakua, une musicienne. Sa virtuosité au violon avait touché Seido en plein cœur. Voir une femme manier avec faux avec cette facilité était un facteur non négligeable. Lorsqu’il pensait à cette arme, une histoire faisait surface dans l’esprit de Seido, un conte de son enfance. Selon ces souvenirs, la mort apparaissait comme un squelette, armé d’une immense faux. En fait, il ne se souvenait de rien d’autre … Ca ne devait pas être très important.
Les trois pirates voguaient depuis quelques jours à bord d’une barque. Pendant que deux personnes ramaient, l’autre pouvait se reposer. Ce moyen de transport ne dérangeait pas Seido, ou du moins pas beaucoup. Il devait trouver un navire, et rapidement. Voulant devenir capitaine, le pirate ne pouvait demander à ces compagnons de rendre son équipage et voyager sur une barque ! Non, il devait avoir un maximum d’argument de son côté. Alors qu’il était plongé dans ses réflexions, on attira l’attention de Seido. Une île, on pouvait voir une île, enfin ! Le pirate redoubla d’effort, afin de rejoindre la terre ferme le plus vite possible.
Au bout d’un certain temps, la petite bande arriva au port, en poussant un petit soupir, à cause de l’effort. A peine Seido avait-il fini de ligoter sa barque qu’un homme vint à lui, un barbu.
B’jours, vous comptez rester combien de temps ? Vous savez, c’est pas gratos, le port !
Et si je vous vendais ma barque ? J’en ai plus besoin.
L’homme regarda la barque de tous les côtés, et hocha la tête. On la lui acheta pour 100 000 Berrys, un prix raisonnable, même si le pirate savait que cela en valait plus. Qu’importe, ce n’était pas une grande perte, vu qu’il l’avait volé quelques temps auparavant. En plus, trouver un acheteur un si peu de temps était une vrai aubaine. La journée s’annonçait bien. Sentant son ventre gronder, Seido s’adressa à ses compagnons.
Je pense qu’il est l’heure d’avoir un vrai repas. C’est moi qui offre !
Après avoir reçu leur réponse, Seido les conduisit vers un petit restaurant, leur montrant parfois l’emplacement de l’autre ou l’autre boutique, comme la forge, la quincaillerie ou autre. Quelques mois plutôt, Seido était venu sur cette île. Il n’aurait jamais pensé devoir y retourner. Ils marchèrent une petite dizaine de minutes avant d’arriver à destination, « Chez Joseph ». C’était un petit bâtiment, assez banal vu de l’extérieur. En y entrant, on pouvait découvrir un assez joli décor. S’asseyant à une table libre, une table de quatre, le pirate appela le serveur, un jeune garçon d’une quinzaine d’année dont la moustache commençait à se développer. Il commanda le plat du jour, qui semblait équilibré. Laissant ces compagnons décider ce qu’ils voulaient prendre, il s’adressa à eux dès qu’ils eurent passé leur commande.
Désolé pour cette traversée en barque, j’avais oublié que ce n’était pas très pratique à plusieurs …