>> Nom & Prénom
Pseudonyme : Yudhisthira Dharma Age: 20 Sexe : Homme Race : humaine Rang : demi-dieu autoproclamé Métier : héros Groupe : Cipher pol Déjà un équipage : N/A Ce qui se rapproche le plus d'un but : Trouver la réponse à la deuxième question de Catharsis (voir bio). Mais à la limite, si il n'y arrive pas, c'est pas très grave. Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Aucun pour l’instant, mais après tout, ça pourrait venir. Équipements : Un kimono gris insalissable. Codes du règlement (2) : Parrain : N/A |
>> Biographie Je me suis permis de faire passer la biographie en premier, parce que je trouve que le personnage est plus facilement compréhensible comme ça. Désolé pour ce manquement au modèle ! Si une chose est certaine, c’est que le besoin de religion n’étouffe pas les habitants du monde, d’une manière générale. Ce qui est gonflé. Car quand on vit dans un univers où la moitié des êtres vivants sont classés dans la catégorie « animal dangereux », où un quart de la moitié restante est composée de brutes épaisses appelées « pirates » (sans compter qu’un bon nombre d’ « animaux dangereux » rentrent aussi dans cette catégorie) et où un huitième de la susdite moitié restante regroupe toutes les bestiasses qui emplissent les rangs de la Marine, quand on vit dans un monde où passer d’un île à l’autre relève pour différentes raisons de l’exploit et où chaque minute passée à survivre dans ces îles mériterait une épopée, enfin, quand on vit dans ce cosmos qui semble avoir été assemblé avec l’aide d’une notice rédigée initialement en japonais puis traduite en monégasque, il faut être réellement sûr de soi pour compter seulement sur la chance. Ou inconscient, ce qui est plus probable. Ou tout simplement, manquer d’imagination. Pourtant, inventer un dieu, c’est quand même pas compliqué. Car c’est un fait, peu de divinités arpentent les mers, les cieux ou plus rarement les terres. Il y a bien un culte voué à un genre de panda, auquel il existe une manière particulière de s’adresser (« O,GM ! »), mais son culte est peu répondu, et de toute façon ses adeptes sont des illuminés. Qui irait sérieusement vénérer un panda ? A priori, il existe un genre de divinité chez les habitants des îles célestes, mais ces gens ont tendance à en changer régulièrement, ce qui le disqualifie grandement aux yeux des autres puissances : normalement, dieu, c’est un job qui offre une bonne sécurité de l’emploi. Oh, bien sûr, des tas de gens croient en l’or, mais ce n’est pas une déité connue pour son habitude à répondre aux prières, sauf celles suivant un rituel préétabli (« Et cela nous fera… 70 Berry, s’il vous plaît ! »). En réalité, le mystique est dans un triste état chez les gens de ce bas monde (et haut monde aussi d’ailleurs) : pour compenser ce manque de croyances, car il faut bien un modèle à suivre, une personne en qui croire, ou tout simplement l’espoir qu’une intervention miraculeuse te sauvera de ce monstre marin qui fonce sur toi la gueule grande ouverte, les gens ont remplacé les dieux par des héros, ces personnes hors du commun qui sillonnent (ou qui, pour la plupart, sillonnaient) l’univers. Alors a commencé ce que dans certains milieux on ne mentionne qu’avec un profond dédain et le sourcil droit levé, avec un hochement entendu : la dégradation du référentiel religieux. Un règlement entre deux truands sera qualifié d’ « affrontement épique » ; un équipage ayant bourlingué suffisamment devient automatiquement « mythique » ; si il se débrouille bien, le lieutenant de la garnison du coin pourra vite devenir « légendaire ». Même un bête fruit pourra être qualifié de « divin ». T’as déjà essayé d’encenser un kiwi, toi ? Avec un tel système de croyances, il était clair que le monde n’allait pas faire long feu : c’est bien connu, un dieu ne s’occupe que de ceux qui le révèrent, et encore, quand il a envie. L’avantage, quand on est dieu, c’est qu’on n’a pas besoin de trouver une bonne excuse quand on pose un lapin à quelqu’un. Heureusement, il y a toujours quelqu’un pour se taper le boulot que personne d’autre ne ferait sinon. Le Mythe, le vrai, raconte que le peuple religieux de Catharsis était tout d’abord très réfléchi. En même temps, quand on vit sur une île au beau milieu de Calm Belt, on a beaucoup de temps pour méditer. Mais le peuple religieux de Catharsis était aussi dans une situation extrêmement tendue : si on n’a pas d’autre solution que d’aller pêcher un monstre marin pour faire son quatre-heures, il ne faut pas être surpris de n’avoir qu’une très faible espérance de vie. C’est à se demander comment un peuple a pu être assez crétin pour venir s’établir sur une île pareille (mais étrangement, le Mythe ne donne pas d’explication claire à ce sujet). Quoi qu’il en soit, le peuple religieux de Catharsis s’est vite posé deux questions fondamentales : pourquoi le monde, comment, dans quel but ? et : Si j’essaie de pêcher à la ligne un monstre marin, est-ce que ça va marcher ? Le Mythe assure que peuple religieux de Catharsis a vite trouvé des réponses. D’abord, il a vite arrêté de diviniser les monstres marins, parce que ce n’était pas rentable. Il n’a jamais divinisé les pêcheurs de monstres. Ceux qui réussissaient un coup d’éclat comme faire échouer une bête sur une plage, avaient la fâcheuse tendance à se planter lors d’une seconde tentative. Les habitants les plus inventifs de Catharsis ont alors fini par imaginer une puissance supérieure à l’homme et au monstre marin. Puis à se dire qu’il pouvait en avoir plusieurs ; et, tant qu’on y est, et si le monde en était rempli ? Le peuple religieux a donc décidé de vénérer toutes les divinités du monde, pour s’en attirer les faveurs, et accessoirement pour empêcher que ledit monde sombre dans le Chaos, ce qu’il ferait certainement sinon. A l’époque, c’était facile. Ils s’en sont mordus les doigts plus tard, quand ils se sont rendu compte que le monde était plus grand qu’ils ne le pensaient (pourquoi chaque peuple de bouseux perdu dans un coin paumé a tendance à se prendre pour le centre de l’univers ? Complexe d’infériorité ?). Une île perdue, un monde hostile, un peuple dévot : toutes les conditions étaient réunies pour produire, soit une tribu d’arriérés se baladant tous nus, ou une civilisation disposant d’une technologie performante et dont les recherches scientifiques sont en avance sur leur temps, au choix. Le peuple religieux de Catharsis a opté pour la seconde solution, parce que bien que religieux, il restait très pragmatique, et il préférait nettement opérer la Chasse Rituelle Du Monstre Marin Pour Honorer Enki-Ea Et Pour Manger Ce Midi, plutôt que de pratiquer le sacrifice humain. Catharsis devint donc rapidement le centre d’une culture très développée comprenant l’intérêt d’aller voir ailleurs que chez eux si c’est mieux, (ce qui est le cas, où qu’ils aillent) et continuant à collectionner les dieux. Sur ce, et comme le Mythe est un bon mythe, l’île de Catharsis coula corps et biens, entraînant des milliers d’habitants avec elle pour faire bonne mesure. Et le Mythe prit fin. Pour laisser la place à la Légende… Des siècles plus tard, la religiosité de l’ancien peuple religieux de Catharsis, dispersé un peu partout, n’a pas diminué. Son panthéon n’a presque pas changé, puisque les autres habitants du monde, on l’a vu, ne semblaient pas se préoccuper beaucoup de la question et n’inventaient pas des masses de dieux. Il n’y a pas de tabous pour les descendants de Catharsis : seulement, comme la plupart d’entre eux se pensent investis d’une mission divine, ils tentent d’accéder à des postes à responsabilité pour étendre, par leur seule présence, l’influence de leurs dieux. Du moins, c’est ce qu’ils pensent, et c’est ce qui ne les rend pas trop dangereux. Et puis de toute façon, c’est ça ou distribuer des tracts au porte-à-porte. Yudhisthira Dharma est l’héritier de cette longue histoire (elle n’aurait rien à faire ici, sinon). Contrairement à ce que veut la tradition dans un monde peuplé de pirates, il n’a pas été un délinquant dès ses deux ans ; il n’a perdu ni père, ni mère, ni frère ni ami et il ne possède pas de poisson rouge; ses parents sont d’ailleurs des gens tout à fait charmants, mais pas assez intéressant pour qu’ils constituent le sujet central d’un flash-back. Et non, il n’a pas vécu dans sa jeunesse d’élément traumatisant qui l’aurait prédestiné à devenir ce qu’il est (même si quand on le voit, on pourrait se demander). Mais en tant que descendant du peuple religieux de Catharsis, prédestiné, Yudhisthira l’est plus qu’un peu quand même : quand on a passé les 12 premières années de sa vie à répéter les noms des divinités et leurs mythes, on devient rarement marchand de ramens. Quand on a appris que le simple fait qu’on existe est une décision des dieux, on ne fait pas pizzaïolo. Yudhisthira est un peu la limite du système de Catharsis: d’abord, il n’aime pas faire du porte-à-porte. Et en grandissant, il est devenu persuadé d’être l’incarnation d’un de ces dieux ; pour lui, il est un héros, un demi-dieu appelé à un grand destin, même si il ne sait pas encore lequel. Il ne sait pas non plus de quel dieux il est l’incarnation, mais il espère juste qu’il n’est pas celle de Bès, le gnome grimaçant. Ce dont il est sûr par contre, c’est qu’il fait partie d’un plan divin concernant la destinée du monde, avec un rôle que lui seul peut remplir. Fort de cette conviction, Yudhisthira a intégré très tôt la brigade d’entraînement des Cipher Pol. Plutôt bon, sans être un génie, il excelle surtout dans les matières reconnues seulement par les postulants : fracturer la porte du dortoir pour faire des sorties de nuit et aller au bar du coin, bizuter Bourrabouriash, la tête de Turc de la promo, et voler de la nourriture, le soir, dans la réserve de la cantine (mais voler, ce n’est pas mal. C’est un acte honorant le dieu des voleurs). Faisant le bilan d’une vie passée à apprendre la mythologie, à filer des coups de lattes aux autres pendant l’entraînement et à prendre des corrections pour avoir été pris la main dans le frigo, Yudhisthira s’est rendu compte qu’il n’avait pas fait grand-chose pour étendre l’influence des dieux les plus intéressants (comme Indra, dieu spécialisé dans les mandales et le poutrage à grande échelle). Comme il n’avait toujours pas envie de faire du porte-à-porte, il a donc décidé qu’il était temps d’arrêter de glander, et qu’il allait tenter de rentrer dans l’une des unités du Cipher Pol… Accessoirement, il s'est aperçu d'une faille dans le Mythe: ce dernier ne donne jamais de réponse à la deuxième question que s'est posé le peuple religieux de Catharsis. Il espère bien trouver pourquoi, un jour. Mais c'est juste par pure curiosité. >> Physique Les héros sont tous différents, mais, et c’est bien connu, ils sont tous parfaits. Taille haute, visage agréable et avenant, volontaire et déterminé, muscles déliés, masse graisseuse inexistante, regard clair et profond, sourire chaleureux et brillant à se demander combien de temps ils passent à se brosser les dents et comment ils faisaient avant l’invention du dentifrice ; oui, en fait, l’image du héros est caricaturale au possible. Yudhisthira, lui, se contente d’une taille normale, donc la bonne pour un héros. Si certains estimeraient qu’il lui manque les pectoraux saillants et les biceps hypertrophiés indispensables à tout bon héros, lui est persuadé que puisqu’il en est déjà un, ses muscles sont développés exactement comme il faut. Si il a effectivement un regard de vainqueur, c’est un pur coup de chance, et son sourire à la « Ne t’en fais pas, j’accepte la quête ! » est le fruit de longues heures d’entraînement devant le miroir du salon (celui avec une fêlure en bas à gauche. Oui, on parle bien du même). Quand il n’utilise pas de fausse identité, Yudhisthira porte un kimono de couleur grise, considéré comme la tenue traditionnelle de Catharsis (et il refuse qu’on l’appelle Yudhisthira le Gris). Selon son évolution, s’il devient bon ou méchant, la couleur de son kimono aura tendance à changer, selon des critères arbitraires définis par lui-même (et le cas échéant, il refusera qu’on l’appelle Yudhisthira le Blanc). Oui, ça ne sert à rien, mais il ne s’en est pas encore rendu compte. Par ailleurs, sur la question vestimentaire, Yudhisthira appartient à la vieille école qui estime que les habits d’un héros qui se respecte ne sont jamais abîmés, même après un combat épique au beau milieu des égouts de la ville remplis de crocodiles (ceux de la nouvelle école, eux, se retrouvent à poil même si on leur met une simple baffe. Question de réalisme paraît-il. Oh, et ça permet aussi de montrer ses tablettes de chocolat). Aussi étrange que cela puisse paraître, le kimono de Yudhisthira ne sera jamais tâché, déchiré ou troué, même si celui-ci est en train d’agoniser dans le caniveau. C’est pratique, car pas besoin de faire des machines très souvent. Bien sûr, à la fin, les gens commencent à trouver que c’est bizzare, mais bon… >> Psychologie Yudhisthira est très conscient de son statut de demi-dieu :c’est pour cela, par exemple, qu’il a tendance à déambuler dans les rues sans faire attention où il va : un demi-dieu arrive toujours là où il veut à peu près aller. Il se démarque du héros de base, parce qu’une personne doit agir de manière héroïque pour être considérée comme un héros. Lui n’en a pas besoin, parce que de son point de vue, il est un héros : toutes ses actions, quoi qu’il fasse, sont donc héroïques par nature : il ne se lave jamais les mains, mais provoque héroïquement le génocide salvateur d’une colonie de bactéries régulièrement (enfin, pas trop quand même, Yudhisthira n’est pas un meurtrier dans l’âme) ; il ne serre la main de personne, mais œuvre héroïquement à l’établissement de relations avec une entité étrangère. Malgré tout, Yudhisthira n’est pas stupide. Il jouit d’une excellente mémoire due à un apprentissage long et ponctué à coup de Baguette Rituelle de Correction ; bien sûr, ce sera encore mieux le jour où il se décidera à utiliser réellement ses capacités. Bien que pensant être envoyé des dieux et demi-dieu lui-même, Yudhisthira n’est pas condescendant, parce que c’est fatigant; il ne fait pas non plus d’efforts pour se faire des amis mais compte plutôt sur le charisme naturel que chaque héros possède. Et, heu… Etrangement, ça ne marche pas à tous les coups… De son entraînement à la brigade des Cipher Pol, Yudhisthira garde une très haute idée de la justice (et de toute façon, il y a toute une tripotée de dieux justiciers à honorer, alors …) et de l’ordre à respecter. Le lavage de cerveau a été moins efficace en ce qui concerne le gouvernement mondial, mais il ne se pose pas encore trop de question et pour lui, le gouvernement est symbole d’ordre et de justice. En dépit de sa personnalité compliquée influencée par un nombre incertain d’éléments divers, Yudhisthira reste relativement insouciant et positiviste. Au final, rien de mal ne peut arriver à un héros, même travaillant pour le gouvernement, non ? Le descendant du peuple religieux de Catharsis n’a pas réellement de projet d’avenir, ni d'obligation. En fait, il se base sur deux hypothèses : un habitant de Catharsis doit faire de son mieux pour développer l’influence des dieux, et pour cela, il doit atteindre un poste important, ou faire des actions d’éclat (non ! Distribuer des tracts, c’est hors de question !). Mais en même temps, Yudhisthira sait qu’il est un héros, et par définition, occupe un poste important et fait des actions d’éclats, par le simple fait d’exister. Donc, il a bien l’intention de continuer comme ça, c’est moins fatigant. Bien sûr, il est assez consciencieux par rapport aux tâches qu’on lui impose... ... Mais il sait que de toute façon que, quoi qu’il fasse, un poète aveugle finira bien un jour par lui écrire une épopée à son nom. >> Test RP Le Test rp est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation. Faire un test rp avant l'intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas. Bon, ben ok. |
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Informations IRL
- Prénom : Edgar, Joey ou Assurnazirpal, c’est selon.
Age : Entre 15 et 25, ce qui laisse une large marge de manœuvre.
Aime : Lire des idioties, raconter des insanités.
N'aime pas :Les gens qui pensent que leur personnage est super-balèze, même si c’est vrai ; raconter ma vie sur un forum rpg ; les carottes vichy (mais ça, c’est une question de goût).
Fais du RP depuis :un ou deux ans. Ou trois, je n’ai pas compté en fait.
Disponibilité : variable ; plus ou moins 2j/ semaine.
Comment avez vous connu le forum ? Par Top site et Ange Del Flo…