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Hiruzen Nobunaga

>> Hiruzen Nobunaga



]Hiruzen Nobunaga  14399710

Pseudonyme : La lame souriante
Age: 17 ans
Sexe : Homme
Race : Tenryuubito
Rang :Chasseur de Prime Exceptionnel [∞] [0/1 obtenue dès la présentation]

Métier : Bretteur+Météorologue+Navigateur
Groupe : Chasseurs de primes
Déjà un équipage : Moi et mon Oiseau
But : Trouver le véritable sens de ma vie
Fruit du démon ou Aptitude pour la suite :Hiruzen est un Drunken master*, de plus il à manger le Koukai Koukai Fruit (Voyage Voyage Fruit). Ce fruit permet à son utilisateur de se téléporter n'importe où. Pour cela, il doit au préalablement être déjà passé dans le lieu où il souhaite se rendre. Seul l'utilisateur peut se téléporter avec le temps et plus de niveau, l'utilisateur peut parcourir de plus grande distance (il doit comme au début de la description avoir déjà vu l'endroit voulu) et pourra se téléporter avec d'autre personne. Un léger brouillard noir enveloppe l'utilisateur à chaque téléportation. Ce brouillard noir, n'obstrue pas la vue des personnes se trouvant à côté (cela permet de le trouver, le localiser ça évite le GB).
Drunken master -> Désigne une personne qui maîtrise la technique de l'homme saoul.
Équipements :Hiruzen se balade partout avec une sacoche en métal qui contient une dizaine de sabre. Rien de bien méchant, il s'agit de sabre standard, que l'on peut trouver dans les marchés et autres armureries. Il les aiguille à l'extrême afin de fendre ses adversaires comme du beurre ainsi qu'un simple Wakizashi de 60 cm dans le dos au cas où le combat ne tournerait pas en sa faveur. Deux gants aux niveaux des mains avec des plaques de métal afin d'augmenter sa puissance défensive.
Codes du règlement (2) :
...oh oui ♪

Parrain : Moi même

>> Physique


Hiruzen est un jeune garçon très jeune comparé aux autres personnes qui se lancent dans l'aventure du monde sauvage et cruel. Âgé seulement de dix-sept, Hiruzen est apte à braver tous les défis que la vie pourrait mettre en travers de sa route. Pour son âge, le jeune homme est quand même assez petit. Il culmine à un mètre quarante, ce qui pour son âge n'est pas vraiment grand. Si l'on regarde ce jeune homme avec un peu de recul et avec attention, il parait encore plus petit. Il n'est pas rare qu'une passante où une bonne sœur ne prennent, se jeune chasseur de prime pour un enfant qui joue au jeu du soldat et du pirate, plus communément appeler police et voleur. D'ailleurs, à chaque fois qu'il se présente devant un individu afin de procéder à son arrestation, le jeune garçon deviens la cible de toutes les moqueries. Pourquoi ? Tout simplement à cause de son air innocent et enfantin. Comment un jeune qui ne possède même pas encore de poils sous les bras peut arriver à être crédible devant les criminels les plus recherchés de leur patelin. Hiruzen à bien conscience de son problème de taille, mais n'y peut rien, il est né ainsi. Déjà l'or de sa naissance il ne mesurait pas plus de trente centimètres, alors il est tout à fait normal qu'il ne soit pas grand pour son âge.

Malgré cela, le jeune homme possède un corps assez entretenu pour son âge. Aucune couche de graisse inutile n'entache son corps, quant au reste, il est idéalement placé afin de faire de ce petit homme, un redoutable adversaire. Hiruzen à un secret que personne sur terre ne connait hormis ses proches qui se sont ni plus, ni moins que sa mère, son grand-père et le médecin de famille. Née avec une malformation de naissance, il possède son cœur de l'autre côté de son abdomen. Cette malformation se nomme dextrocardie, ce qui fait que son cœur se trouve dans la moitié droite du thorax. La pointe du cœur elle elle aussi orientée à droite. Ce qui fait que l'ensemble de ses points vitaux se retrouve donc inversé. La position de ses points vitaux est la seule particularité physiologique qui diffère entre lui et les individus ordinaires.

Ses jambes, fines et puissantes, lui octrois une très bonne vitesse de course. Quand il s'agit de fait des bonds, des sauts ainsi que des mouvements d'esquives, il est le roi. Il bouge tout le temps, ce qui déstabilise assez souvent ses adversaires. Ainsi ce qui parait être un inconvénient chez certaines personnes se transforme avec sa manière de combattre, de se mouvoir dans son environnement pour lui comme étant un avantage important sur ses adversaires qui ne peuvent suivre son rythme effréné. Il faut aussi ajouter que ce petit être possède une incroyable endurance pour son âge, contrairement à ses semblables, il est capable de marcher trois fois plus longtemps qu'un garçon de son âge, capable de courir à la même vitesse qu'un homme adulte et pour couronner le tout, il peut effectuer un cent mètres en pas moins de dix secondes. Ce n'est pas pour rien que l'on surnomme ce jeune fauve, le croc blanc. Capable de se mouvoir tel un prédateur de la brousse, sa vitesse n'a, d'égal que son intelligence. Ses bras, frêle et mince et élancer, ne sont pas capables de briser de la pierre, ni assez puissant pour lever des objets lourds, mais lui sont très utiles afin avec vitesse et précision.

Le mot puissance physique ne rime pas avec lui, il représente plutôt le genre de personne qui doivent leur réussite à l'utilisation de leur cerveau dans le but d'obtenir de bons résultats. Sur son bras, mais caché aux yeux de tous, Hiruzen possède une marque spéciale, marque qu'il ne comprend ni le sens, ni même la valeur, mais une chose est certaine, il n'est pas le seul à ne pas savoir pourquoi il possède cette marque de naissance. Sans doute qu'un jour, il trouvera le sens de cette marque en forme de dragon qui débute de son avant-bras pour terminer au niveau du verso de son poignet.

Même s'il est encore jeune, ses cheveux ont atteint leur taille maximale et ne pousse plus depuis qu'il a douze ans, phénomène bien étrange, car les cheveux des êtres humains poussent constamment jusqu'à l'heure de leur mort. Sa chevelure en forme de pics donne souvent une mauvaise première impression du jeune homme, le fessant passer pour un voyou, mais il n'est pas bon de juger un livre sur sa couverture. Ses yeux, de deux couleurs différentes est le seul héritage que le jeune garçon possède de son défunt père. Ses yeux bicolores, n'ont aucun effet positif où négatif sur sens de la vue, malgré qu'il possède un oeil aussi sombre que les ténèbres eux-mêmes, tandis que l'autre est couleur rouge brasier. Selon sa mère, sa particularité provient de ses ancêtres, mais il n'en sait pas plus.

S'il ne portait pas constamment son vêtement au-dessus de son nez, ce jeune garçon arriverait à se fondre dans la masse, mais son style particulier fait qu'il se fait toujours remarquer quelques sois le lieu où il décide de se rendre, mais ce n'est pas de sa faute, il adore son style plus que tout, c'est les autres qui n'ont pas de style vestimentaire. Vêtu comme un shinobi, le jeune homme possède comme chaussure, des sandales ninja qui laissent ressortir ses orteils dehors. Son pantalon a été fabriqué spécialement pour lui au sein de son l'école martiale où il resta étudier avant de partir de son plein gré. Le tissu de ce vêtement provient d'un verre qui produit un fil extrêmement souffle accordant ainsi au jeune homme une meilleure mobilité dans l'air et l'eau. Le haut de son vêtement est quant à lui un mélange du précédent tissu avec l'ajout de fil de toile d'araignée qui possède la propriété d'empêcher l'eau de pénétrer au travers, ce qui est très utile pour se mouvoir dans l'eau.

Dans son dos un puissant symbole rappelle à tous ceux qui croisent sa route son surnom afin de marquer les esprits. Ce symbole est une mâchoire d'un fauve grand ouverte situé exactement au niveau de ses omoplates. Ses mains sont protégées par une paire de mitaine ninja muni d'une plaque d'acier adapté à sa main afin de lui permettre de se protéger en cas de combat trop rapproché. Ses mains ne sont pas la seule partie de son corps protéger par des plaques d'acier, ses deux avant-bras eux-aussi sont protégés, mais par une plaque moins épaisse, seulement 1/2 centimètre afin de ne pas entraver sa vitesse et sa précision.

Niveau équipement offensif, Hiruzen possède un Wakizashi ordinaire situé au niveau de son dos le long de sa colonne vertébrale. Cette lame assez courante et facile à trouver mesure 60 cm a été spécialement affuter par le jeune homme afin d'augmenter sa puissance destructrice, ainsi elle est capable de trancher la chair humaine avec beaucoup de facilité. En augmentant la puissance de son arme au maximum, Hiruzen diminua par la même occasion sa puissance défensive, ainsi cette arme secondaire n'est utilisé que dans les derniers retranchements. Le fourreau de l'arme d'ordinaire assez standard, possède de nombreuses marques de coupure et autres marques d'agression, car situé dans le dos du jeune homme, celui-ci l'utilise parfois comme léger bouclier quand la situation le lui permet. Avec le temps, les différents combats et autres intempéries, le fourreau perd sa belle couleur marbre pour ne laisser qu'un bout de bois solide très peu esthétique.

L'arme principale de ce jeune chasseur de prime est ses poingts et ses pieds. Une arme très puissante quand il s'agit de combattre un adversaire à moyenne et courte distance.




>> Psychologie

Hiruzen est un jeune garçon au grand coeur.

Il laisse entrer dans son monde toutes les personnes dignes d'intérêt sans rien demander en retour. Il est le genre de personne qui aime prendre soin de ce qui l'entoure. Son amour pour la vie et les êtres vivants est tel qu'il ne supporte pas de voir la souffrance autour de lui. Toujours prêt à faire le sacrifice de son corps pour subvenir aux besoins des autres. D'après un proverbe, la pomme ne tombe jamais loin de l'arbre et son côté bien bienfaisant, il le tient de sa mère qui a tout donné pour faire de lui un jeune homme plein d'attention.

Dans ce monde injuste, ce jeune homme apprécie particulièrement les animaux qu'il considère dans un sens supérieur aux êtres humains. Les animaux non pas cet esprit de destruction, de haine et de pouvoir qui ronge les humains et les pervertis au point de faire du mal à leur prochain sans raison. La haine gratuite, voilà ce qui gangrène le monde actuel et qui a conduit le jeune garçon à essayer de changer le monde à sa manière. Hiruzen voue un amour sans égale à celle qui lui à donner la vie. Il s'agit de son rayon de soleil. Elle est la seule personne sur cette terre qui lui permet d'avance et pas un jour ne se passe sans qu'il n'ait une pensée à son égard. Dans son cœur une seconde personne occupe une place prépondérante, il s'agit de son paternel qu'il n'a pas eu le temps de connaitre.

Hiruzen aime passer des heures entières à écouter sa mère lui raconter encore et encore la manière dont son père essayait de changer le monde après leur rencontre, voilà pourquoi quand elle lui parle de lui, le jeune garçon ressent au plus profond de son être un sentiment de béatitude, suivi de quelques picotements agréables au niveau de son cœur. Très souvent, quand son grand-père dort et qu'il n'y a plus personne en activité, ce petit être aime passer du temps avec ses amis qui sont les esclaves et domestiques de la maison. Ils sont les seules à le comprendre et à l'apprécier tout en sachant ce qu'il est réellement. Les meilleurs amis du jeune garçon sont une sirène nommée Sindy et un semi-géant de quatre mètres. Malgré leur sort immuable, Hiruzen les considèrent comme ses frères et sœur et au plus profond de lui ressent une tristesse éternelle à chaque fois qu'il voit autour de leur coup ce collier d'esclave ainsi que la marque de son grand-père, marque qui prouve qu'ils sont et resteront des esclaves.

Même un être qui possède le cœur sur la main possède au fond de lui un côté sombre. Même s'il ne le montre que rarement, Hiruzen reste un homme comme les autres et possède ce sentiment qui se nomme la haine. Pour résumer, il ne hait que très peu de choses, mais quand il est en présence de ce qu'il n'aime pas, il à beaucoup de mal à s'en cacher.

Premièrement il déteste par-dessus tous les dragons célestes. Lui-même demi dragon céleste, il a beaucoup de mal à supporter ces semblables. Imbu de leur personne, avec un ego surdimensionné, incapable d'apprécié la vie, ces personnes sont haït par le garçon. Après ces vermines, à la seconde places se placent toutes les personnes possédants des esclaves. Véritable fléau de l'humanité, ils sont considérés par le jeune homme comme des bêtes noires. Des personnes dont la valeur de leur vie est plus insignifiante que celle des prisonniers condamnés par la loi. Le problème avec ces personnes est qu'ils sont directement où indirectement sous la protection du Gouvernement Mondial qui les rend intouchables. A la troisième place du podium se trouve les pirates. Ces hommes qui parcourent les mers à la recherche de trésor. Incapable de ressentir le moindre respect pour les êtres qu'ils dépouillent, viols et tuent. Ces hommes représentent un fléau pour le bien-être et la vie de leurs propres frères.

Malgré son ressentiment à l'encontre des pirates, Hiruzen apprécie l'histoire des légendaires Mugiwara, mais de nos jours rare sont les hommes comme eux. Voilà pourquoi il a fait de tous les pirates du monde ses ennemis. Pour eux, il n'y a que deux solutions possibles, la mort où la prison. Cas exceptionnel, parler de sa mère est aussi dangereux que de sauter dans le basin d'un requin avec une plaie au ventre. Si une remarque désobligeante parviens à ses oreilles avec sa mère dans cette même phrase, il n'est pas impossible que le jeune homme sort de ses gonds et devenir colérique au point de ne plus se stopper. Pour lui, personne sur terre ne possède le quart de la bonté et de l'amour qu'elle possède, voilà pourquoi il s'agit sans doute du plus grand des interdits.

Hiruzen est un donne désintéressé par l'argent. Pour lui l'or, les diamants et les berry représentent en partie ce qui pousse les hommes à devenir des bêtes. La recherche de profit à conduit l'humanité au bord de l'impasse, mais malgré cela il trouve le concept assez bien, car sans argent, les hommes n'auraient aucun intérêt pour le sens du partage. L'avarice, n'est pas dans ses cordes et même s'il est dans la profession de chasseur de prime, la plus grande partie de son argent est utilisé afin de servir des causes qu'il trouve juste.
Secrètement l'argent de ses capturent est utilisée afin de payer des groupes de révolutionnaire actif dans la chute du gouvernement mondial. Il s'agit de sa manière à lui d'agir à l'encontre de ce système pourri. Subvenir à quelques groupes de révolutionnaire ne fait pas de lui un partisan de la révolution. Tous les révolutionnaire ne sont pas ses alliés. L'ennemie de mon ennemi, n'est pas mon ami, voici comment il conçoit les choses et n'hésite pas à pourchasser ceux dont les actes sont considérés comme inhumain.

Sans doute dû à sa moitié dragon céleste, Hiruzen possède un orgueil assez grand. Il ne supporte pas que ses idées soient remis en cause où bafoué. Véritable combattant, Hiruzen est un exemple. Il ne bride jamais ses efforts dans la réalisation de ses objectifs. La paresse n'est pas dans son vocabulaire. Toujours prêt à rendre service où à apporter son aide, il est prêt à déplacer des montagnes afin d'arriver à ses fins. L'envie, un des sept péchés capitaux et sans doute le pire selon lui, n'est pas dans les mots qu'il affectionne, mais au fond de lui, Hiruzen voit en les personnes fortes et puissantes un sentiment de frustration, car il le sait sans force et pouvoir, il est impossible d'être au sommet. La gourmandise est sans doute le plus gros péché d'Hiruzen, mais il ne faut pas lui en vouloir, il n'est encore qu'un garçon. Qu'elle enfant dirais non à des bonbons, certainement pas lui. Les friandises, les bons plats et le jus de pommes sont ses petits péchés mignons.

Dans ce monde de brut, où seul la force dicte ce qui est bon de ce qui ne l'est pas, Hiruzen a choisi de vivre tel un déserteur. Avec l'âge, il ne pouvait pas se résigner à vivre une vie banale jusqu'à la fin de ses jours. Une force en lui le pousse à faire son maximum afin de modifier ce monde. Si personne ne voyait les imperfections qui font de l'homme une créature plus sombre que les fonds sans fin de l'océan et plus cruel qu'un roi des mers, alors il serait prêt à porter sur ses maigres épaule le poids du monde pour ne serais-ce qu'une minute de paix et de tolérance. Malgré sa forte volonté de changer le monde et ses idées utopiques, Hiruzen sait pertinemment que pour imposer ses idéaux, il devrait sans doute passer par des moments tristes et sombres.

Le plus grand de ses défis arrivera sans doute plus tard quand il sera en âge de comprendre qu'il n'y a pas d'effet sans cause et que la première cause de son problème est directement lié à ses origines. Est-il capable de commettre le plus grand massacre gratuit du monde afin de voir si sa philosophie du monde est la meilleure, tel est la question qui germe lentement en lui. Une graine de changement peut elle apporter espoir et paix où désolation et perdition.




>> Biographie

Chapter I


Loin du regard des hommes ordinaires, sur la terre sainte de Marijoa où seul quelques privilégiés résident, un jeune homme venait de fêter ses vingt ans. Comme chaque membre de sa famille avant lui, lors de son vingtième anniversaire, le jeune homme venait de gagner le droit d'avoir une esclave concubine. Dragon Céleste, descendant d'une des plus illustres famille de noble, Saint Michel était tout excité à l'idée de se rendre en dehors de la terre sacrée afin de fouler la terre des insectes. Il avait attendu ce jour depuis pas mal d'année et maintenant que le jour "j" était enfin arrivé, il n'arrivait pas à tenir en place. Sur son visage, l'excitation, l'impatience et la joie pouvait se lire à un tel point que cela pouvait être interprété comme un sentiment malsain. Son père, Saint Daniel, patriarche de la famille, avait beaucoup de mal à retenir son fils. Depuis qu'il lui avait dit qu'à vingt ans il allait enfin quitter la maison royale afin de se rendre sur terre, son fils vouait un culte au monde des hommes. Enfin, il aimait les esclaves et dès son plus jeune âge il harcelait son père afin d'avoir lui aussi une ribambelle de créature à ses ordres.

D'ordinaire très strict et protecteur avec son fils, Saint Daniel accorda à son fils ce jour là le droit de se rendre seul sur l'archipel Sabaody afin de choisir lui-même ses esclaves. Bien sûr le jeune Michel serait accompagné d'une bonne trentaine d'homme de main de son père comme protection. Il n'était pas dit qu'un dragon céleste s'aventure dans cette grande favelas de Sabaody sans protection. Tout avait été prévu longtemps à l'avance, Michel serait directement conduis dans la plus grande salle de vente d'esclave afin d'assister à sa première vente. Chocopos directeur directeur de salle de vente d'esclave du Grove 1 avait fait venir des quatre coins du monde le meilleur choix possible de créature, d'hommes, mais aussi les plus belles femmes. Un seul objectif, réussir à vendre ses plus belles pièces au dragon céleste.

Après quelques minutes sur un navire aux couleurs de la famille affrète pour l'occasion, le jeune homme arriva sur l'archipel et se mit en route pour le Grove où devait se dérouler la vente. Vêtu de son scaphandre de noble, pour ne pas respirer le même air que les parasites qui pullulaient sur l'île, Saint Michel marchait d'un pas de conquérant. Son père, Saint Daniel avait mis à sa disposition, l'un de ses esclaves personnel, un demi-géant de six mètres afin de servir de monture, mais il refusa le cadeau de son père. Il marcherait à l'aller et reviendrai à la maison avec sa propre monture. Ne voyant pas d'objection à cela, St Daniel accepta.

La population de l'archipel s'agenouilla sans broncher devant le convoi du dragon céleste. Tous les habitants connaissaient ce qui pouvait se passer si jamais un dragon céleste se sentait offenser, voilà pourquoi ils se soumettaient. St Michel aimait par-dessus tout dévaloriser les hommes, alors il s'approcha d'une personne dans la foule et sans aucune raison, il fit de lui son premier esclave. L'homme se leva et commença à crier, à supplier le noble de l'épargner, mais en vain. La foule restait immobile, malgré l'acte inhumain qui se produisait sous leur nez. Le nouvel esclave qui préférait mourir que finir sa vie en tant que chien tenta de retirer le collier à l'aide de sa propre force, mais il n'était pas assez puissant pour cela et comme punition, il reçut du plomb en plein cœur. Un coup à bout portant. Ne laissant aucune chance de survie possible au jeune homme qui tomba sur le sol. Après cet épisode triste et cruel, le groupe continua son avancé à travers les Grove. Les témoins du crime ressentaient au plus profond d'eux de la colère envers les dragons célestes qui avaient tous les droits, mais devant leur protecteur, ils ne pouvaient absolument rien faire. Sacrifier une vie pour la survie de tous était le meilleur choix.

Au bout d'une longue marche, ils arrivèrent enfin à destination. Le monde des hommes était vraiment comme son père lui avait dit, contaminé par la vermine humaine. Un monde de renégat et d'ordure. A l'entrer de la salle, Une dizaine de soldats filtraient les clients. D'une part les nobles, venu de l'ensemble de la première partie de Grandline et de l'autre côté, les gros clients, la plupart du temps d'importants marchands où financier ayant une grande fortune. Pour l'occasion, les choses avaient été fait en grand. La venu d'un dragon céleste était pour le propriétaire un grand coup markéting. S'il réussissait sa journée, alors sa salle de vente pourrait devenir la plus importante de tout l'archipel. Sans même lever le petit doigt, deux hommes invitèrent le groupe à entrer sans même passer le dispositif de contrôle. Des places de choix avaient été réservés pour St Michel. Il avait pour lui une rangée entière. Personne ne pouvait se poser près de sa personne et les deux rangs au-dessus et en dessous étaient vide afin de laisser une distance entre les autres et sa sainteté.

En tout plus de quatre cents personnes avaient fait le déplacement. Dans leur poche, des millions et des millions de Berry prêt à être dépensé, mais parmi toutes ces personnes, le seul objectif de Chocopos était de ventre le maximum d'esclave au dragon céleste, car il le savait, un jeune noble cherche forcément à avoir une dizaine, voir une vingtaine d'esclave personnel.

Après un discours assez barbant, la vente commença. Le premier lot était un peintre. L'homme était décrit comme une valeur montante de l'art contemporain. Sa valeur était fixée à quatre millions de Berry. Très vite, la folie des acheteurs commença et l'homme fut vendu à plus de quinze millions à un noble. Le second un homme du nom Maza. Ancien voleur, il était responsable de la chute de plusieurs royaumes dans les mers bleues. Il était décrit comme une prise rare. L'homme parti à plus de vingt millions. Le reste de la vente n'était pas très intéressant et St Michel s’endormit. Quand la vente des femmes commença, le major d'homme réveilla son jeune maître.

La partie intéressante allait commencer. Plus d'une centaine de femmes allait être présenté, puis vendu aux acheteurs. Chocopos connaissait la raison de la venu du jeune saint et avait fait en sorte de faire venir le maximum de belle créature dans sa salle de vente. Il y avait des femmes à en craquer. Des femmes couleurs ébènes, des jaunes, des blondes, des rousses, des brunes. Des femmes à fortes poitrines, d'autre avec de petits saints. Certaines avec des fesses bombés, d'autre avec des fesses assez plates. Il y en avait pour tous les goûts. Avant la vente, un défilé avait été organisé afin de montrer l'étendue de la marchandise. Un avant gout de ce qui allait se passer. Les femmes avaient été vêtu de manière assez sexy pour l'occasion. Il fallait que tous les hommes présents dans la salle ouvre leurs bourses afin de faire grimper leur prix.

St Michel avait jeté son dévolu sur une bonne dizaine de femmes. Elles étaient toutes ravissante. Elles avaient tout ce qu'il recherchait cher une femme esclave. Chocopos repéra l'excitation du saint et en profita afin de doper ses ventes, mais avec un portefeuille aussi important, St Michel pouvait se permettre toutes les folies. Au total, le noble dépensa plus de deux cents millions dans l'achat de concubine. Alors qu'il allait quitter la salle afin de rentrer chez lui, un homme de main du propriétaire monta sur scène et parla discrètement à l'oreille de son patron. Suite à l'information qu'il venait de recevoir, Chocopos, annonça un dernier lot. Il s'agissait d'une femme très active au sein d'un groupe de révolutionnaire qui avait réussi à couler un royaume de noble sur Grandline. Ce genre de lot était d'une rareté extrême, car tous révolutionnaire capturé était soit tué, soit conduis directement dans la grande prison de la marine.

En tant que Dragon céleste, St Michel aurait pu ordonner l'arrestation de cette femme sans même donner un Berry en échange, mais quand il posa son regard sur elle, son coeur se mit à battre comme jamais. Il venait de trouver, la femme la plus belle qu'un homme puisse rencontrer.

Chapter II


La mise à prix de la jeune femme débuta à cinquante millions de Berry. Une belle somme de départ, pour un lot tout aussi extraordinaire. Mais le prix du lot ne fut pas annoncé par le vendeur, mais directement par une personne dans la salle. Il s'agissait d'un noble. L'homme avait la ferme intention de faire de cette femme un exemple pour toutes les personnes qui oseraient s'en prendre à son île. Une réaction normale pour des états en craint à la peur de l'armée de la révolution, mais visiblement il n'était pas le seul à convoiter cette beauté fatale. Une, puis deux et pour finir trois autres acheteurs indiquèrent des prix bien plus intéressant que le premier. C'était de la folie, le prix grimpait à vive allure à un tel point que personne dans la salle ne savait à combien pouvait être vendu cette femme.

Immobile, les yeux fixer sur la jeune femme, St Michel, n'arrivait plus à bouger. Ses yeux d'habitude plein de perversité, montrait une expression rare. Deux cœurs remplaçaient ses globes oculaires. Dans sa combinaison, la température venait de monter d'un cran. Ses pieds en tremblaient presque. Son major d'homme qui se trouvait près de lui, commençait à croire qu'il avait attrapé une maladie en venant sur l'archipel et lui demanda de bien vouloir rentrer au plus vite avant que son état ne s'aggrave, mais rien n'y fait, St Michel ne bougeait pas. Il n'entendait plus personne dans la salle. Il se voyait dans une grande pièce sombre avec pour seul colocataire, la jeune femme. Son âme sœur se trouvait à quelques mètres de lui.

Chocopos allait annoncer la vente de la jeune femme à un très riche marchand, quand la main du saint se leva et annonça en même temps par sa voix qu'il triplait son prix. Le marchand avait misé deux cents millions de Berry, mais l'offre du dragon céleste était tel que personne ne voulait surenchérir. Le major d'homme lui-même tomba à la renverse quand il entendit cela. C'était la première vente aux enchères de son maître et il venait d'acheter une jeune femme à plus d'un demi million. Il en avait la certitude, une fois rentré, St Daniel le ferait décapiter. L'assemblée regarda le dragon bouche bée et sans tarder, Chocopos accorda la jeune femme au jeune Dragon pour le plus grand désarroi des nobles. Une fois le dernier lot vendu, le groupe de St Michel quitta la salle et se dirigea vers la sortie où il allait récupérer ses biens.

Dehors, le propriétaire arriva avec la marchandise du jeune homme et pour le remercier de sa participation très active, il lui fit cadeau d'un semi-géant qu'il n'avait pas réussi à vendre, car trop pleurnichard. St Michel, n'avait rien contre les cadeaux et puis il avait besoin d'une monture. C'est donc à dos de semi-géant qu'il se mit en route pour le bateau qui l'attendait. Sans même payer de monture, il venait d'en gagner une, autant dire qu'il venait de gagner sa journée.

En terre sainte, ce que le major d'homme redoutait le plus arriva. St Daniel, affichait une légère crispation au niveau de son visage quand son fils lui indiqua le prix de sa dernière trouvaille. En tant que Saint et patriarche de la famille, St Daniel ne se rabaissa pas à gronder son fils, il l'aimait trop pour cela, mais il lança un regard glacial en direction du pauvre major d'homme. Après la pluie vient forcément le beau temps. La petite colère intérieure qui avait touché St Daniel passa. Pour son fils, c'était quand même une bonne occasion d'entrer dans un monde qui lui était inconnu et par la suite, il lui donnerait deux trois leçons afin de pouvoir faire de bonnes affaires. Les esclaves concubines du jeune St Michel étaient toutes très douce, très soumise, mais une seule avait gardé son côté rebelle, il s'agissait de la jeune femme qu'il avait acheté en dernier. Elle avait un tempérament explosif et c'est aussi cela qui la rendait aussi unique aux yeux du noble. Malgré son côté insoumis, il n'arrivait pas à s'en défaire, elle était jour et nuit dans sa tête. Son père lui conseilla de la battre où de la torturer afin de la rendre docile comme un mouton, mais il s'y refusait. Il ne voulait pas l'abimer.

Plus le temps passait et plus la jeune femme perdait de sa rage. Elle comprenait au fil du temps qu'elle n'avait aucune chance de sortir de cette maison. Elle avait perdu sa liberté le jour où elle avait été trahie par ses propres partenaires de combat. La jeune femme se laissait aller, elle ne voulait plus manger, ni boire. Pour une combattante comme elle, la mort était un meilleur choix de vie que l'esclavage. Voyant l'état de santé de sa favorite se dégrader, St Michel demanda à un esclave médecin de prendre soin d'elle. Si jamais elle devait mourir, il en payerai de sa vie. Après un mois de soin, le médecin stabilisa l'état de la jeune femme. St Daniel qui entre deux obligations importantes, assista au petit manège de son fils afin de conquérir la jeune femme. Pour lui, il ne voyait qu'un simple caprice d'enfant. Il était inconcevable pour lui qu'un homme tel que son fils tombe éperdument amoureux d'un esclave. Ce n'était sans doute qu'un jeu, rien de plus. St Michel était au petit soin pour la jeune femme et négligeait complètement ses autres concubine qu'il relégua au simple fait de domestique.

Ce qui ne devait jamais se passer arriva, la jeune femme finie par trouver en son maître, de bons côtés. Elle n'arrivait pas à se l'expliquer, mais il y avait quelques choses en lui qu'elle n'arrivait pas à expliquer. Le Noble passait de plus en plus de temps avec elle dans le domaine interdit aux domestiques quand son père n'était pas présent. Secrètement, il lui parlait d'amour, lui chantait des poèmes. Il était près à tous pour elle, malgré qu'il s'agisse d'un interdit. Tous être humain à droit à une seconde chance et avec la jeune femme à ses côtés, St Michel commençait à changer peu à peu. Il avait de plus en plus d'estime pour la vie humaine. Sa vision de l'être humain changeait, il ne les voyait plus comme des bêtes de foires, mais bien comme des êtres comme lui, capable d'aimer, de raisonnement etc..

Au sein de la maison, la jeune concubine reçu un statut spécial, elle n'était plus une domestique, mais n'avait pas le droit non plus de quitter sa cambre, mais sa semi-liberté lui convenait, car elle pouvait voir son tendre assez souvent. St Michel passait de moins en moins de temps à l'étude des pratiques et apprentissage du protocole céleste, qui devait le conduire à prendre un jour la tête de la famille comme patriarche et consacrait ce temps à sa femme. Cela rendait son père fou de rage, mais que pouvait-il faire, il s'agissait de son fils unique. Le seul à pouvoir prendre un jour sa relève.

Par une journée ensoleillée, la jeune femme expliqua à son homme, qu'elle ne tarderait pas à donner naissance à un bébé, son bébé. St Michel était heureux et sera la jeune femme dans ses bras. Mais quelques choses le tracassait tout de même. Il savait que son père interdirait cette union. La conception d'un enfant de noble avec une esclave, il ne voudrait même pas en entendre parler et si jamais il l'apprenait, il ferait en sorte de tuer la jeune femme. Afin de ne pas éveiller de soupçon, le couple conclu un marché, ils passeraient moins de temps ensemble et ne se verrais qu'en cachète. La solution était draconienne, mais c'était le seul moyen de cacher le plus gros scandale du siècle.

Voyant du jour au lendemain son fils s'impliquer de plus en plus dans ses devoirs de noble, le patriarche reprenait espoir. Son fils était enfin revenu à la raison. Les mois passèrent et l'année allait bientôt se terminer. Il ne restait plus que deux mois avant le grand évènement et pour le moment, personne mise à part les deux parents étaient au courant de ce qui allait arriver. St Michel ne pouvait plus garder le secret pour lui, il ne s'y connaissait pas en matière d'accouchement, tout cela était nouveau pour lui et il alla à la rencontre de son père pour lui demander de l'aide. En écoutant le terrible secret de son fils, St Daniel tomba de haut. Jamais, au grand jamais il n'avait imaginé pareille catastrophe. Dans toute son illustre famille, personne n'avait jamais commit un tel sacrilège. Une seule solution possible, faire disparaître la jeune femme au plus vite, tel était les ordres du patriarche, mais son fils s'y opposait et menaça de s'ôter la vie si jamais il arrivait malheur à celle qu'il aimait.

Père et fils étaient en désaccord. L'un était contre cet enfant, l'autre prêt à tous pour le garder. L'âge pesait sur St Daniel, il n'était plus le même que dans sa jeunesse et ne pouvait pas renier son fils, seul être capable de prendre le contrôle de la famille. Fils unique, St Michel ne pouvait être banni de plus cela ne se fessait pas. Un Dragon céleste ne pouvait être mis à la porte. St Daniel craqua, il accepta l'enfant, à la condition qu'il ne porte en aucune manière son nom. Il ne devra en aucune manière quitter le domicile familial, ni même se montrer. S'il venait au monde, il ne devrait en aucun cas quitter ses quartiers. De plus, St Michel allait devoir se plier à l'intégralité des devoirs familiaux ainsi que ses devoirs de Noble.

St Michel quitta aussitôt le domicile familial afin de rejoindre une délégation qui devait se rendre sur Grandline. Le but était une sorte de message de paix à l'encontre des peuples inférieurs. L'organisation de ce voyage avait été programmée depuis longtemps et devait durer un mois. Ce voyage était si important pour lui qu'il ne pouvait le reporte où l'annuler et puis c'était aussi l'occasion de maître en pratique ses idéaux de paix et de respect des uns et des autres. Le voyage se passa très bien pour le jeune noble, qui rassemblait des foules à chacun de ses déplacements. La venue d'un dragon céleste était une très bonne chose pour les royaumes receveur, qui voyait dans la venue du dragon céleste une sorte de reconnaissance bénéfique. St Michel avait fait la promesse à sa femme, qu'il serait présent le jour J malgré son emploi du temps très chargé, mais une chose encore jamais arrivé se produisit.

La délégation ne retrouva jamais le chemin du retour. Jamais dans toute l'histoire une telle chose ne s'était produite. Afin de retrouver le navire ainsi que le jeune Céleste, la marine et le gouvernement mondial tout entier déploya d'importante forces de recherche. Il fallait le retrouver au plus vite. Malgré la mise en place du plus grand dispositif de recherche, le navire restait introuvable.

Chapter III


L'éminent St Daniel se retrouva brusquement sans héritier. Plus personne ne pouvait prétendre prendre la tête de la famille après sa mort. Dans sa jeunesse, il n'avait eu qu'un seul enfant et dieu merci il s'agissait d'un garçon. Mais maintenant qu'il était trop vieux pour procrée, le destin lui repris son enfant. La jeune femme quant à elle, échappa de peu à la mort quand la nouvelle de la disparition du père de son enfant arriva à ses oreilles. Au début très hostile à la venue au monde du jeune bâtard, St Daniel garda l'enfant à la naissance. Il ne pouvait se résigner à le tuer où à l'abandonner hors des terres saintes, car il représentait la dernière chance pour lui d'avoir un héritier.

Ce jeune enfant ne porterai jamais son nom et ne serait jamais considéré comme un Dragon céleste de sang noble, mais il avait quand même l'image de son fils à chaque fois qu'il posait les yeux sur lui. Le fruit d'un terrible pêché. St Daniel s'efforça de garder secret ce qui s'était passé, il valait mieux ne pas ébruiter cela. Mais un tel secret ne pouvait rester longtemps caché. La fuite de l'information provoqua beaucoup de bruit et de désordre au sein de la communauté des Dragons célestes et de nombreuses familles tentaient de faire pression sur St Daniel afin de le convaincre de se débarrasser du problème. Pour le moment, ils étaient seuls au courant de cette affaire gênante, mais si cela s'apprenait en dehors des territoires sacrés, qui pourrait deviner ce que ça pourrait engendrer. St Daniel gardait la tête haute et refusait catégoriquement d'attenter à la vie du bâtard.

Afin de protéger sa réputation ainsi que l'honneur de sa famille, il confina le jeune Hiruzen à jamais dans sa chambre. Il ne devait en aucun cas se montrer. Il avait interdiction de croiser son grand-père, interdiction de tenter d'une manière où d'une autre de communiquer avec lui et enfin l'interdiction d'essayer de quitter la maison. Il était prisonnier de sa propre famille. Une personne qui ne connaissait pas l'histoire de la famille "Célestin" pourrait croire qu'il s'agissait d'une sorte de vengeance où d'un effet de haine qui retombait sur le jeune garçon, mais au plus profond du coeur du patriarche, il avait pris ces mesures dans le but de le protéger contre un monde où il n'avait pas sa place.

Hiruzen qui n'avait pas le droit de porter le nom de son père hérita de celui de sa mère. Un nom qui provenait de la terre des hommes. Un nom très illustre dans certaines histoires. Un grand nom pour un grand homme. Voilà ce que lui racontait souvent sa mère qui prenait soin de lui. Le jeune homme qui grandissait à l'ombre tel un mécréant, nourrissait pour son grand-père une haine grandissante, mais sa mère tendait de lui faire comprendre qu'il n'avait pas le choix d'agir ainsi. Née d'un amour interdit, Hiruzen représentait le changement. Mais dans une classe aussi fermé, puissante et importante que celle des Dragons célestes, il évoquait la possible chute de leur pouvoir longtemps garder fermement en main par des règles strictes.

Même s'il ne montrait aucun signe d'amour envers Hiruzen, sa mère lui expliquait qu'au fond de son coeur, son grand-père l'aimait. Dans chaque coeur sombre se trouve une once de lumière. Sa mère en avait la certitude, St Daniel avait derrière sa carapace un peu d'amour envers lui même s'il était impossible de le déceler.

Au cours de ses longues années, Hiruzen passait son temps à lire. Il aimait lire. Il pouvait lire des livres entiers sans se fatiguer. Il tenait cette passion de sa mère. Elle fessait tout le temps en sorte qu'il s'ouvre à la culture du monde des hommes. Parmi ses activités favorites, Hiruzen aimait particulièrement la météorologie, la botanique et les arts du combat. Pour l'apprentissage des deux premières sciences, il avait la chance de posséder de nombreux ouvrages dans la bibliothèque de son grand-père. Quand celui-ci dormait, il s'y aventurait afin d'y emprunter deux où trois ouvrages. Quant à l'apprentissage des arts martiaux, il se rendait discrètement dans le quartier des esclave la nuit tombée et écoutait les histoires héroïques d'ancien combattant qui n'hésitaient pas à lui apprendre deux trois mouvements.

Hiruzen s'arrangeait toujours pour ce faire petit comme une souris, il ne voulait pas mettre en colère son grand-père qu'il considérait comme son pire ennemi sur terre. Prisonnier de son petit monde, Hiruzen rêvait de vivre de grandes aventures. Voyager, rencontrer d'autres personnes, parcourir le monde. Couché sur son lit il aimait passer du temps à s'imaginer le monde extérieur.

Un jour, alors qu'il se trouvait avec un domestique, celui-ci lui demanda comment il était devenu un esclave. Après une courte histoire assez triste, Hiruzen lui promis qu'un jour il réussirait à changer sa condition. L'esclave se mit à rire, car son jeune maître était condamné à une vie enfermer dans la maison sans aucune chance de voir le jour. Le jeune garçon lui demanda ce qui lui fessait bien rire. Les deux hommes s'expliquèrent et à la fin de leur discussion, Hiruzen se demanda pourquoi il ne bravait pas lui aussi les interdits. Le jeune homme excité expliqua à son ami esclave, qu'il allait tenter de quitter en douce la maison. L'esclave effrayer tenta de convaincre son ami de ne pas quitter la maison, il ne voulait pas voir son jeune maître souffrir à cause des histoires qu'il lui a racontées. Si jamais il n'arrivait pas à le convaincre de rester, le maître de maison le punirait de mort. Devant l'état de panique du serveur, le jeune garçon lui fit croire qu'il n'allait rien faire. Qu'il avait dit cela exprès dans le but de lui faire peur, rien de plus. Une bonne blague quoi.

Le lendemain, en milieu d'après-midi, le jeune esclave n'arrivait pas à trouver son jeune maître. En temps normal, ce dernier venait directement à lui passer une certaine heure, mais étrangement aujourd'hui, celui-ci était absent. L'esclave le chercha dans ses quartiers, puis alla à la rencontre de sa mère afin de savoir où diable il avait pu passer, mais en vain. D'un coup, le jeune garçon ce souvenu de la dernière conversation qu'il avait eu avec celui-ci. Jetant la serviette qu'il avait au-dessus de l'épaule, le jeune homme se mit à courir de toutes ses forces à travers l'immense propriété. Jamais il n'aurait pensé qu'une simple histoire aurait pu déclencher chez le jeune maître une telle réaction.

Le garçon entra sans même prendre le temps de frapper dans la salle de repos de son maître afin d'y trouver St Daniel. Il était le seul capable de prendre des décisions dans la maison. Malheureusement pour lui, il n'était pas dans la pièce, alors le jeune homme se précipita dans l'aile ouest de la maison et de nouveau il entra sans frapper. Cette fois-ci St Daniel s'y trouvait et sans même prendre le temps d'observer la pièce et ses éventuels habitants, le jeune homme se mit à parler. Il cracha le morceau sans attendre. Quand il lui était impossible de faire marche arrière, il remarqua la présence d'un invité qui se trouvait à plusieurs pas de sa position.

St Daniel avait reçu un inviter de marque. Il s'agissait d'un noble tout comme lui qui lui parlait justement du problème que posait Hiruzen dans leur système de classe. L'esclave venait de faire une bourde et ce n'était pas tombé dans l'oreille d'un sourd. St Daniel lui ne bougeait pas d'un pouce. Toujours avec la même rigidité, il appuya sur un bouton qui appela deux soldats en armure. Pour l'avoir dérangé dans une réunion importante, l'esclave devait être puni sur le champs.

Voilà qui arrangeait les choses. Si l'indésirable venait de quitter lui-même la terre sacrée, plus rien ne les empêchaient de le faire disparaitre à jamais. Dur comme un roc, St Daniel ne montrait aucun sentiment, mais au fond de lui, cette nouvelle était une véritable onde de choc. S'il restait les bras croisés, alors son petit-fils n'aurait aucune chance de revenir un jour. Pour le second Dragons Célestes, si son bâtard disparaissait, alors leur problème serait à jamais régler. St Lucius, proposa à son homologue, un plan d'action afin de se débarrasser définitivement de la vermine. St Daniel accepta. Il ne voulait pas ternir son image encore plus et de toute manière, il avait les mains complètement liées. S'il s'opposait à cette mesure, il risquerait gros. St Lucius quitta la maison afin un sourire qu'il avait du mal à cacher. Il venait de résoudre une affaire délicate, il avait bien de quoi afficher un sourire béant. Le plan qui allait se mettre en place allait faciliter la fuite de la souris. Il n'allait rencontrer aucune résistance pour quitter la terre sainte d'habitude véritable forteresse impénétrable.

Malgré l'avance qu'il avait, une personne qui ne connaissait pas la terre sacrée avait vite fait de se perdre où de tomber sur une patrouille du gouvernement mondial qui s'assurait que tout ce passait pour le mieux en terre bénite. Mais une fois en dehors de leur territoire, le véritable pièce allait s'abattre sur lui ne lui laissant aucune chance de survivre.

Pour un enfant qui n'avait jamais quitté sa maison et qui ne connaissait théoriquement rien à l'art du combat, un groupe de truand était largement suffisent pour se débarrasser de lui. Une bourse suffit à ameuter un groupe de six hommes. Armé de sabre, ils étaient chargés de capturer le jeune homme et de le faire disparaître, là où personne n'irait jamais retrouver son corps. Une tâche facile qui ne demandait pas beaucoup d'effort. St Daniel avait lui-même financer le groupe de truand. Le problème venait de sa famille, alors il lui incombait à lui de s'en débarrasser.

Secrètement, il paya par l'intermédiaire d'un de ses esclave, deux mercenaires qui avaient pour habitude de travailler dans l'ombre afin tuer et de faire disparaitre les truands qu'il avait engagés. St Daniel ne pouvait rien faire d'autre mise à part croire en la chance. Les deux mercenaires devaient impérativement intercepter les bandits avant qu'ils ne mettent la main sur son petit-fils. Ce n'était pas grand-chose, mais il s'agissait du premier cadeau qu'il lui offrait.

Maintenant, qu'il avait quitté sa cage de cristal, Hiruzen se préparait à vivre le plus grand défi de son existence.




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Le Test rp est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation.
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Informations IRL

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    Age :21ans

    Aime :Comme Shoma

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    Personnage préféré de One Piece :Shiki, Barbe Blanche, Arlong, Dofflamingo.

    Caractère : (définissez vous en quelques mots)

    Fais du RP depuis :Longtemps

    Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif)Avec Shoma :7/7 donc avec lui 7/7

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Dernière édition par Hiruzen Nobunaga le Mar 24 Jan 2012 - 21:01, édité 1 fois
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TEST RP


Le cimetière d'épave, un mois après ta fuite de chez les Tenryuubito. La misère est au-delà de ce que tu pouvais même imaginer. Tous les rebuts de la société sont massés là, si semblables et pourtant si différents de toi. Comment vis-tu ton séjour parmi eux ?


Chapitre I


Hiruzen avait réussi à fuir ses poursuivants grâce à l'intervention de deux hommes. Grâce à eux, il avait réussi à prendre la poudre d'escampette et après une journée à fuir et à se cacher telle un lâche, il avait réussi à trouver une caravane. Profitant d'un moment d'inattention des voyageurs, il se glissa comme une souris dans une charrette et se laissa guider par le petit groupe de voyageur. Cacher à l'intérieur du véhicule, le jeune garçon se coucha sous plusieurs toiles de soie. Il avait couru et marcher depuis sa fugue, il avait besoin de reposer ses membres fatiguer par la cavale. Une halte de la caravane réveilla le jeune homme. Les voyageurs se trouvaient devant un grand port où de nombreux navires attendaient avec impatience le moment pour lever l'ancre. Avec lui, un petit sac contenant quelques morceaux de pain et de la viande séchée, Hiruzen quitta sa planque afin de parcourir le monde qu'il voulait tant voir.

Près de lui, une trentaine d'hommes s'activaient à charger les navires. Les cargaisons provenaient des quatre coins de Grandline et avaient pour destinataire des marchands situés dans les mers bleues. Pour Hiruzen, il s'agissait d'une grande opportunité. Il avait peut-être échapper à ses poursuivants, mais en restant ici, il risquait de tomber sur eux ou d'autres hommes qui lui voudraient du mal. Partir le plus loin possible était donc pour lui un moyen de prendre un nouveau départ.

Approchant le capitaine d'un navire, le jeune Dragon céleste lui demanda de le laisser monter abord. L'homme le regarda avant de lui demander d'aller jouer ailleurs. Le port n'était pas un lieu pour les petits. Hiruzen insista, mais en récompense, il eut droit à un non catégorique. Le capitaine n'était pas le seul à lui répondre ainsi, les marchands, mais les pirates aussi refusèrent de le laisser prendre le large avec eux. Devant l'impasse, Hiruzen avait compris que s'il voulait quitter cette île de merde, il allait devoir utiliser comme son cerveau. Cette dernière phrase, il avait l'habitude de l'entendre quand il était en présence de sa mère. Agir avec ses muscles ne mènent à rien, mais une action qui est mené avec la réflexion porte toujours ses fruits.

Pour monter sur l'un des navires, Hiruzen utilisa la ruse. Il quitta le port et attendit la nuit. Profitant de la baisse de vigilance des membres d'équipages, il grimpa sur la chaîne de l'ancre et se retrouva sur le navire. Une fois abords, il se faufila telle une souris entre les différentes parties du navire marchand qu'il avait choisi d'infiltrer. Après une longue aventure dans le ventre du navire, il finit par trouver la cale où était entreposée toutes les marchandises. Il s'y planqua et attendit le jour J où le navire leva l'ancre. Tôt le matin, il sentit les vagues s'écraser contre la coque. Le navire avait pris la mer. Il avait réussi. Maintenant, il ne lui restait plus qu'à attendre. Attendre que le navire fasse une escale et ainsi en profiter pour descendre à terre et une fois cette dernière condition réalisée, alors il serait enfin libre.

Planquer dans les plus bas niveau du navire, le jeune dragon céleste se nourrissait de ses maigres rations et quand le jour où il n'avait plus rien à manger, il quitta sa cachète afin d'aller chiper la nourriture des membres d'équipages. Véritable souris, il arrivait à se diriger vers la cuisine et la réserve du navire sans se faire prendre. Il en profitait tellement qu'un jour, le capitaine se mit à croire qu'un fantôme hantait son navire. A cause de cela, les marchands redoublaient de vigilance et avaient doublés la sécurité sur le navire, ce qui rendait les missions de rationnement du jeune garçon plus difficile. La vie sur un navire était assez restreinte, Hiruzen fut découvert par deux matelots. Toute bonne chose à une fin et devant la présence d'un passager clandestin, le capitaine jugea bon de s'en débarrasser. Coupable de vol et de clandestinité, la sentence du capitaine était irrévocable.

Afin de ne pas être poursuivi par la marine pour meurtre, le jeune voleur allait être balancé à la mer. La mer de South Blue abritait des monstres marin capable de faire disparaitre un homme sans laisser de trace. Une fois à l'eau son compte serait bon. Tel était les intentions du marchand. Alors qu'il marchait le long de la poutre qui devait mettre fin à ses jours, un navire arriva. En haut du mat, un pavillon noir et blanc. Aussitôt identifié, les matelots quittèrent la scène de spectacle afin de se munir d'arme au plus vite. Profitant de la zizanie à abord, Hiruzen se jeta de toutes ses forces à l'intérieur du navire. Il ne voulait pas être jeté à la mer. Il se mit à courir en direction de la cale. Durant son voyage, il avait repéré quelques objets qu'il pourrait utiliser en cas de problème. Il attrapa une boite de poignard, les plaça sous ses vêtements, puis remonta sur le pont principal.

Abord du navire marchand, tous étaient prêts à recevoir les pirates. Au lieu de prêter main forte à ces braves gens, Hiruzen se faufila entre la marée de jambe afin de sauter dans une chaloupe. S'ils voulaient se battre afin de rester en vie et protéger leurs biens, ce n'était pas le cas du jeune dragon qui ne voulait qu'une chose, partir le plus loin possible. En déliant les nœuds qui retenaient la chaloupe accrochée au navire, il fit en sorte de se frayer sa propre issue de secours, tandis que les premiers coups de canon retentissaient. Avec à peine de quoi vivre un jour et des couteaux, Hiruzen se mit à ramer de toutes ses forces. A peine s'était-il écarter d'une bonne dizaine que de la fumée commençait à monter dans les cieux. Quelques minutes plus tard, le feu commençait à ronger le navire marchand et les quelques survivants tentaient de fuir, mais des hommes aux visages horribles et sanguinaire les poursuivaient à travers le navire afin de les faire taire.

Au loin dans son navire, le jeune Hiruzen tremblait de peur. Jamais il n'avait été aussi proche de la mort. La description du monde extérieur n'était pas comme l'avait d'écrit sa mère. Elle qui lui parlait de la beauté du monde, de l'amour, de la coexistence pacifique et pleins d'autre idéaux, maintenant qu'il était confronté au monde extérieur, il venait de comprendre qu'il avait toujours vécu dans un monde idyllique, loin de la réalité de la vie.

Après cet épisode de son voyage, Hiruzen dériva sans savoir où il allait atterrir, ni même savoir si un jour il allait quitter cette immensité et infinie qu'est la mer de South Blue. Allonger au beau milieu de sa barque, il regardait le ciel le matin et les étoiles le soir. Le ventre vide, la faim le rongeait, pus rien ne le retenait, il sentait même sa vie doucement le lâcher. Devant une mort longue et moche, Hiruzen préférait s'ôter la vie lui-même et éviter ainsi la souffrance qui précédait la mort de faim. Couteau en main, il allait mettre fin à ses jours quand sa barque cogna contre quelques choses de dur et solide. Il se leva et découvrir un amas immense de bois, de voiles déchirée. Non, il ne rêvait pas, il avait fini par atterrir quelque part.


Chapitre II


Ce n'était pas une illusion, un mirage et encore moins une hallucination. Il était bel et bien arriver sur la terre ferme où du moins sur du bois assez compacte pour flotter à la surface de l'eau. Avec cet évènement, Hiruzen refusa de se donner la vie. Le ciel lui avait donné une seconde chance et il devait vivre. Vivre pour lui, pour ses rêves, mais aussi pour ne pas regretter d'avoir quitté une maison où il avait tout sans jamais le petit doigt. Tous ces esclaves lui avaient raconté leur histoire et il leur avait juré de revenir un jour dans le but de mettre fin à leur calvaire. S'il n'était pas capable d'endurer pareille vie, alors comment allait-il faire pour tenir sa promesse. Assis près de son navire, les mains sur ses genoux, il leva la tête au ciel et jura de ne pas craquer quoi qu'il devait lui arriver. A force de vivre avec son grand-père enfermer dans une prison, il se sentait le plus malheureux des garçons, mais maintenant, il comprenait, qu'il était tout, sauf le plus misérable. Pleurer et abandonner n'était pas admissible. Comme le disait souvent sa mère bien aimé, après la pluie arrive le beau temps.

Ce qu'il ne savait pas c'était qu'il avait terminé après deux jours de dérive au beau milieu du cimetière d'épave, la pire des destinations possibles pour un jeune garçon qui n'avait jamais encore été confronter à la misère de sa vie. Son nouveau départ comme il l'appelait commençait très mal. Sur cette île, le moindre faux pas et vous vous retrouvez à plusieurs mètres sous la surface de l'eau coincé à jamais dans l'épave d'un navire en ruine ou dans le pire des cas sous l'eau et avec la présence de nombreux monstres marin, sortir de cette cage monstrueuse qu'est la mer est un véritable défi.

En plus du danger permanent que représentait la vie sur la surface de l'île, un autre danger était omniprésent. Les pirates, les bandits, les voleurs et autres tueurs grouillaient sur cette île. Toujours à la rechercher de trésor, ils étaient devenus les maîtres de l'île et dirigent leur territoire sans pitié. La mort pouvait provenir de toutes les directions, c'est sans doute à cause de cela que même la marine n'ose pas intervenir ici-bas. Seul les plus forts vive, les plus faibles doivent obéir ou mourir.

Devant l'inconnue, Hiruzen respira un bon coup avant de s'aventurer en terre inconnue. Devant lui, un amas de bois assez haut pour former une petite pente. Ses chaussures abîmé par son aventure commençait à le lâcher et une fois en haut de la colline, il les retira. Les morceaux de bois et la pointe des clous avaient eu raison de ses pauvres chaussure. Partir à l'aventure avec des chaussures de bourgeois, ce n'était pas conseillé et il venait de le découvrir à ses dépends. Depuis sa position, il pouvait voir de la fumée qui montait haut dans le ciel. Le paysage qu'il contemplait était bien loin de ce qu'il s'était imaginé. Avant de se jurer de ne pas abandonner, il pensait que de l'autre côté de ce tas de bois, le monde était meilleur, mais il avait fait fausse route. Tout ce qu'il voyait était, du bois, du bois et encore du bois. Les navires en décomposition étaient partout, dans toutes les directions. Dès que son regard se posait sur quelques choses, il n'y voyait que des débris, des déchets, de la merde à perte de vue.

Maintenant qu'il ne pouvait plus faire marche arrière, Hiruzen se mit en route vers le lieu d'où provenait la fumée qu'il continuait encore et encore à déteindre le ciel gris en noir. D'ordinaire approcher de ce genre de lieu n'était pas conseillé, mais il avait vécu seul trop longtemps et n'avait pas mangé. S'il ne trouvait pas de quoi se mettre sous la dent, il ne ferait pas long feu. Là où il a du feu, il y a de grandes chances qu'il y ait un minimum d'activité humaine. Confiant, Hiruzen pensait que même dans ce lieu lugubre, il pourrait trouver des personnes qui lui viendront en aide et lui donnerons de quoi manger. C'était la moindre des choses. Quand une personne à besoin de nourriture, il ne faut pas hésiter une seconde et lui venir en aide. Telles était les paroles de sa mère. Il avait toujours fait le bien autour de lui, maintenant c'était aux autres de lui rendre l'appareil.

Après un bon kilomètre de marche, il arriva devant une autre colline. Celle-ci était bien plus rude que la première, mais déterminé, il grimpa au risque de tomber et de se blesser. Une fois en haut, il avait le sourire, la satisfaction d'avoir accompli un exploit qui semblait difficile, mais très vite, le sourire et la joie quitta son visage. En contre-bas, une dizaine de pirates s'amusaient à torturer des innocents. Ils avaient allumé un important feu et au milieu sur les flammes cinq corps brûlaient tandis qu'un autre était en train de subir des actes de tortures. Les pirates rigolaient tandis que le pauvre homme se faisait frapper tout en étant obligé de regarder les autres dans les flammes.

Après un bon kilomètre de marche, il arriva devant une autre colline. Celle-ci était bien plus rude que la première, mais déterminé, il grimpa au risque de tomber et de se blesser. Une fois en haut, il avait le sourire, la satisfaction d'avoir accompli un exploit qui semblait difficile, mais très vite, le sourire et la joie quitta son visage. En contre-bas, une dizaine de pirates s'amusaient à torturer des innocents. Ils avaient allumé un important feu et au milieu sur les flammes cinq corps brûlaient tandis qu'un autre était en train de subir des actes de tortures. Les pirates rigolaient tandis que le pauvre homme se faisait frapper tout en étant obligé de regarder les autres dans les flammes. Ce n'était pas possible, ce genre de choses ne pouvait exister. Jamais personne ne lui avait parlé de ce genre de choses. Pourquoi, personne ne lui avait expliqué que des hommes se tuaient et arrivaient à prendre du plaisir, comme était-ce possible. Pourquoi sa mère ne lui avait-il pas parler de la réalité du monde, de la cruautés des hommes. Sous le choc, Hiruzen resta bloquer. La peur avait pris le dessus.

Debout en haut de la colline, il ne pouvait plus bouger, son esprit était brisé, déboussoler, il en tremblait même de peur. Ses muscles se crispèrent avant de le faire tomber sur le sol. C'était la première fois qu'il était confronté à ce genre d'évènement. En lui, ses convictions venaient de partir en fumée. Jeune, beau, il avait tout pour être heureux. Il était nourri, loger, il avait des amis et même un grand-père qui ne voulait pas lui parler, mais avec eux il n'avait jamais dans le besoin. Il pouvait manger trois à quatre fois par jour, pouvait se laver quand bon lui semblait. Il avait également l'amour éternelle de sa mère. Elle qui était toujours présente pour lui, elle qui lui jura d'être toujours là pour son jeune et intelligent fils. Pourquoi avait-il décider de partir à l'aventure. Où avait-il échouer. Son grand-père qu'il prenait pour un diable, l'avait-il mal jugé ?

Alors qu'il était à genou, l'un des pirates, le remarqua et cria à son chef qu'il avait trouvé un autre intrus sur leur territoire. Le chef des pirates ordonna à ses hommes d'aller le chercher. Mou comme un légume, Hiruzen avait toujours l'esprit détruit et fut conduit de force devant le chef de la bande. Ce dernier le remua dans tous les sens afin d'obtenir de lui des mots, des phrases, des informations sur quelque chose qu'il semblait chercher. C'était d'ailleurs parce que ces personnes ne savaient pas la localisation de ce qu'il cherchait qu'il les avait tués.

Voyant qu'il ne pouvait vraiment rien tirer de son nouvel otage, il ordonna de le tuer à son tour. La fin approchait pour le jeune dragon. Lui qui rêvait de vivre de grandes aventures, allait mourir par le jugement des flammes. Alors que le capitaine allait le jeter en pâture au dieu du feu, dans la tête du jeune garçon, sa mère apparut. Avant de partir et quitter le territoire céleste, il était entré en douce dans la chambre de sa mère, l'embrassa dans son sommeil et lui jura de revenir après avoir vécu de nombreuses aventures à lui raconter. Devant la promesse qu'il avait faite à sa mère, il rouvrit les yeux. Se trouvant dans les bras d'un pirate qui s'approchait dangereusement du feu, il attrapa l'un des couteaux qu'il avait caché sous ses vêtements et le planta au niveau du bras pour qu'il le lâche.

Le monde avait beau être terrible, jamais il ne trahirait une promesse faite à sa mère. Devant le danger, il se mit à fuir de toutes ses forces droit devant lui. Il ne savait pas où il allait, mais ses jambes ne voulaient pas se stopper. Son instinct de survie était plus grand que sa peur et même si ses yeux lâchaient d'importantes larmes de peur, son corps lui, ne voulait se résoudre à rester sur place. Derrière lui deux pirates ne le lâchaient pas d'une semelle. Laisser l'un de leur ami se faire agresser n'était pas dans la politique de la maison. Une fois qu'ils auraient rattrapé ce petit rat, ils le feraient longtemps souffrir avant de l'achever. La poursuite dura plusieurs minutes. Hiruzen, jeune et souple, sautait tous les obstacles qu'il pouvait, glissait sur le sol quand des obstacles à mi-hauteur étaient sur sa route, tandis que derrière lui, les pirates, plus grands et plus lourds que lui le perdaient de vue à force de devoir faire attention à ne pas retomber sur des débris contondants ou tomber à l'intérieur des épaves. Malgré le fait qu'ils se faisaient distancer, les bougres ne lâchaient rien et continuaient toujours à le pister jusqu'à finir par lui mettre la main dessus.

Même s'il avait la fougue de la jeunesse et que ses jambes le portaient, un clou s'était logé à l'intérieur de son pied, le stoppant dans sa fuite. Handicapé par cette blessure au pied, le jeune dragon rampait sur le sol. Même incapable de courir, il ne se résignait pas à se laisser capturer. Les deux hommes le regardaient tenter de fuir, alors que c'était peine perdue. Le savant incapable de leur échapper, ils voulurent s'amuser avec lui avant de le livrer à leur boss. Il devait être puni pour les avoir obligés à courir ainsi. Ramassant des planches de bois, ils allaient s'occuper de lui, quand un bruit étrange stoppa les deux hommes. Le sol sous leur pied lâcha et entraîna la chute des deux hommes dans les bas fonds du navire. Trop occupé à fuir, Hiruzen ne se tourna pas. Dans le reste du navire qui venait de céder, les deux hommes étaient tombés sur des planches très aiguisées. Pourtant, ils le savaient, le moindre signe d'inattention était mortel ici. Leur poids réuni avait fait craquer les planches et ainsi provoquer leur mort.

Après la disparition de ses poursuivants, Hiruzen rampa sur une vingtaine de mètres avant de tomber de fatigue. Son corps avait atteint ses limites. Son gosier était sec, son ventre criait famine et ses yeux commençaient à lui jouer des tours. Afin de ne pas quitter ce monde avec la seule vision de ce tas de bateau en ruine, il se tourna et regarda le ciel. Bien qu'il était gris, pour lui il s'agissait d'une goutte de bonheur cachée au fond de l'enfer. Malgré son corps asséché tel une momie, une dernière larme quitta son corps avant de fermer ses yeux.



*pardon, maman, je n'ai même pas une histoire à te compter, quel nul je fais*

Chapitre III


La fin était venue pour lui. La mort frappait à sa porte. Il avait quitté un nid douillet afin de trouver un sens à sa vie et maintenant que l'oisillon avait réussi à ouvrir sa cage, le voici entre les serres d'un aigle affamé. Voilà comment pouvait se résumer sa triste vie, mais parfois, il arrive que l'aigle en question décide de laisser voler librement l'oisillon qu'il avait capturé, car celui-ci n'était pas à son gout. La mort était présente sur cette île, mais elle ne frappa pas à sa porte, non, il était sur le point de s'en aller quand un homme arriva et le trouva allongé sur le sol. En voyant le jeune garçon ainsi, l'homme pensa directement que s'occuper d'une personne ne lui apporterait que des problèmes. Il avait raison, personne sur cette île ne prenait le temps de veiller sur les autres, mais au fond de lui, une voie lui conseilla de lui apporter un peu d'aide. Un peu d'aide pour une âme encore fébrile. En la personne d'Hiruzen, il se voyait, lui quand il était encore un jeune vagabond. Natif de cette île, il avait réussi à survivre, mais chaque jour pleurait en silence. Vivre seul sur cette île est un enfer qu'il ne souhaitait à personne et c'est sans doute pour cette raison qu'il porta le petit dragon dans sa cabane.

Il n'avait pas grand-chose à proposer à son invité, mais étant toujours inconscient, il le posa sur un lit de fortune constitué de vieille voile de navire qu'il avait nettoyé à l'eau de mer. Dans une bassine, il avait récolte de l'eau de pluie qu'il égouttait lentement dans la bouche de l'inconscient. D'un mouvement sec, il lui retira le clou qui s'était logé dans son pied. Avec des haillons, il nettoya la blessure du mieux qu'il pouvait. Une fois le saignement stopper, il lui posa sur le front une petite chemise humide. Après une demi-heure de soin et d'attention, l'homme quitta le jeune homme et retourna à l'extérieur. Il avait fait son maximum, maintenant, il ne pouvait que croiser les doigts et espérer que son jeune invité avait assez de volonté pour combattre et ne pas lâcher prise.

Dans son monde, Hiruzen se trouvait coincé dans un labyrinthe, le labyrinthe des souvenirs. Son aventure très mal commencer et maintenant était terminé. Il se repassait tous les bons et mauvais moment de sa vie. Tous ses fous-rires, tous ses excès de colères, tous les plats qu'il avait mangés et refuser de manger par caprice. Il se trouvait au milieu de nulle part et au-dessus de lui, ses meilleurs moments qui défilaient à toute vitesse. Sur le côté, ses coups de colère, ses mauvaises blagues. Tout se rapprochait de lui avant de s'éloigner au loin. Dans ce monde, il ne pouvait avancer, ne pouvait parler, il était comme prisonnier de lui-même. Il voyait à travers ses yeux, mais était incapable de faire la moindre action. Après un grand flash blanc, il tomba dans ce qui semblait être un lac, une mer, une importante quantité d'eau qu'il ne pouvait quitter. Son corps bascula vers le fond et se faisait aspirer dans les profondeurs de l'abysse. Plus son corps s'enfonçait et plus il avait mal à la tête. Après la tête, il sentait le reste de son corps se briser morceaux par morceau. Une longue descente, une torture cérébrale et physique qui se termina par une chute contre le sol. Il se trouvait de l'autre côté de la barrière, il se voyait sur le sol dans un piteux état, mais toujours de ce monde.

Devant son propre corps et dans l'incapacité de l'intégrer, Hiruzen tomba sur ses genoux. Il ne savait pas où il était et cette idée l'effrayait, quand un homme posa la main sur son épaule. L'homme en question avait des aires de ressemblance avec son grand-père. Les deux hommes se ressemblaient à un point quHiruzen pensa même que son grand-père était également mort, mais la réalité était toute autre. L'homme lui expliqua qui il était et les yeux du jeune dragon s'écartèrent. La vérité était parfois de l'autre côté du miroir. Avant même qu'il puisse lui poser toutes les questions qu'il avait toujours envie de lui demander, l'homme le poussa en arrière et lui murmura quelques mots avant d'être aspiré dans un énorme gouffre noir.

Après le noir la lumière. Faible, mais toujours en vie, Hiruzen ouvrit légèrement les yeux. Sa vision était trouble, mais il pouvait voir de la lumière. Ses bras et son corps le picotaient. Il resta ainsi quelques secondes avant de fermer les yeux et s'endormir. Comme un brave, il avait surmonté cette étape. Sans doute n'aurait-il pas réussi si cet homme n'était pas apparu. Debout près de la porte de sa cabane, le vieil homme observa son invité ouvrir les yeux avant de les fermer. Avec cette nouvelle, il le quitta afin d'aller chercher à manger. Il avait réussi à combattre la mort, maintenant il fallait lui donner quelques choses à manger afin de ne pas tenter la mort. Elle avait manqué de peu de le prendre, mais ce genre de femme était plutôt très rusée pour attirer les gens dans ses bras. Attrapant sa cane à pêche, il disparut. Les heures passèrent, sans nouvelle, puis une fois la nuit tombée, le propriétaire arriva. Avec lui, six poissons. Ce n'était pas grand-chose, mais pour deux personnes, ce repas était largement suffisant. Le menu du soir était constitué exclusivement de poisson, mais dans un lieu comme celui-ci, demander plus était un luxe qu'aucun d'eux ne pouvaient se permettre.

L'odeur du poisson grillé leva le jeune dragon comme un écolier qui n'attendait que le jour de la rentrer scolaire pour s'y rendre en premier. Son odorat l'avait réveillé, mais ses blessures lui rappela qu'il n'était pas dans un rêve et qu'un corps faible ne pouvait bouger comme le corps d'un jeune garçon en parfaite santé. Devant la fougue de son patient, le vieil homme lui tendit une planche de bois travailler en forme de plateau qui contenait son repas pour la soirée. Trois poissons. Les bêtes avaient des têtes étranges, mais devant l'odeur alléchante et son estomac qui criait famine, il ne fit qu'une bouchée de son plateau repas. Après ses poissons, il leva son plateau en l'air et en demanda d'autre, mais rien ne venait. Il baissa sa tête et laissa tomber le plateau sur le sol. Manger lui avait fait tellement plaisir qu'il avait oublié le temps d'un instant qu'il n'était plus le jeune petit-fils de riche qui vivait dans le luxe et l'abondance.

Une fois son repas terminé, Le vieil homme et lui se mirent à discuter. Pourquoi était-il venu à son secours, où se trouvaient-ils ? Le vieil homme répondit à toutes ses interrogations avant de lui raconter son histoire. A la fin du récit, Hiruzen ne savait pas quoi dire. Sa vie était cent fois meilleurs que la sienne et pourtant il n'avait pas été capable de le voir quand il était encore auprès des personnes qui prenaient soin de lui. Voyant le jeune garçon perdu dans ses souvenirs, le vieil homme lui demanda de lui expliquer son histoire, ainsi il pourrait comprendre comment un garçon comme lui, qui ne savait même pas où il se trouvait faisait sur cette île. Il n'était pas rare de voir de nouvel arrivant sur cette île, mais très peu d'entre eux étaient de jeune adolescent en herbe. En connaissant son histoire, il pourrait ainsi se faire une idée de toutes les épreuves qu'il avait dû traverser dans sa vie. Hiruzen ne pouvait se résoudre à parler. Il ne voulait pas que l'on sache qui il était, il s'était fait une promesse, il ne reviendrait pas dessus. Même s'il se sentait coupable, il lui raconta une histoire. Ce n'était pas son véritable vécu, mais cela y ressemblait. L'histoire d'un jeune garçon qui décide de fuir sa famille afin de vivre de grandes aventures comme sa mère avant lui.

La nuit se termina ainsi et les deux protagonistes s'endormirent sur des histoires tristes. Allongé dans son lit de voile, Hiruzen regardait le plafond et repensait à tout ce qu'il avait laissé derrière lui. C'était un au revoir, mais certainement pas un adieu. Un jour il retournerait d'où il venait et profitera de la joie de revoir les êtres chers, mais pour le moment, il allait vivre des aventures, même si pour cela il devait toutes les vivres ici en enfer. Il surmonterait ce défi et en sortirait vainqueur.

Trois jours passa sans que le jeune dragon puisse quitter son lit et comme pour son premier jour, il passait ses journées à se reposer, à manger le résultat de la pêche de son nouveau précepteur. Quand celui-ci ne faisait rien, il passait son temps avec lui, à lui expliquer les base de la pêche, de l'art de vivre dans ce monde et la raison pour laquelle il ne fallait jamais s'aventurer sur des lieux appartenant aux équipages pirates et autres gangs. La vie sur cette île était un enfer quand on ne connaissait pas les règles qui régissaient la vie des habitants, mais une fois les grands points assimilés, il était très facile de se faire une place. Le tout était de ne jamais baisser la tête. S'affirmer au risque de bluffer était la meilleure des choses à faire face à un ennemi et prendre ses jambes à son coup quand celui-ci était en gang.

Une semaine, un mois, puis deux. Hiruzen s'était maintenant familiarisé avec la vie sur l'île et passait le plus clair de son temps à pêcher, dérober de la nourriture en territoire pirate et s'amuser dans les décombres des navires. Il s'était juré de quitter cette île un jour ou l'autre, alors quand il ne faisait rien, il s'engouffrait dans la carcasse d'un navire et tentait de récupérer quelques pièces et morceaux de navire encore en bon état afin de se construire une embarcation assez solide pour naviguer sur la mer. Il avait bien un radeau, mais depuis l'épisode avec ces pirates qui l'avaient conduit dans la cabane de Yahuko, il n'était pas arrivé à le retrouver. S'il ne pouvait pas utiliser sa barque, alors il en ferait une et partirait avec son précepteur loin d'ici. Yahuko trouvait cette idée folle, car très peu de personnes quittait cette île en un seul morceau. Cette île était comme un grand jardin, elle cultivait la vie et une fois que la date était passée, elle faisait en sorte de détruire ce qu'elle avait abrité jadis.

Comme tout voleur en herbe, Hiruzen s'était fait pas mal d'ennemis et il ne pouvait même pas compter le nombre de truands et de gangs qui étaient prêts à payer pour l'attraper. Il va s'en dire que véritable globe-trotter, il avait rapidement repéré les lieux adéquat pour distancer, semer et se débarrasser de ses poursuivants. Le tout dans la non-violence. Attraper une souris qui arrive à ce faufiler sous des poutres, qui n'hésite pas une seconde à se jeter dans le ventre d'une carcasse et arriver à en sortir quelques mètres plus loin n'était pas donné à tous. Pour dissuader les plus téméraires, il avait posé des pièges qui pouvaient s'avérer mortel en cas de danger imminent pour sa vie où celle de Yahuko.

Un jour, alors qu'il marchait afin de trouver de nouveaux matériaux pour sa construction secrète, il tomba sur un lieu qui ne lui était pas étranger. Il s'agissait du lieu où les deux hommes qui l'avaient poursuivi étaient tombés. Avec prudence il s'approcha et constata que le corps des deux hommes étaient toujours présents. L'odeur avait attiré bons nombres de charognards. Contournant le trou, il poursuivi son chemin, remontant le trajet qu'il avait fui il y a plusieurs mois déjà. Plus il avançait et plus le souvenir de ce terrible moment faisait surface. En arrivant au niveau d'une place vide où seul les rats et les cafards séjournaient, Hiruzen se stoppa. C'était à cette place, ici même où les pirates prenaient leur pied en tuants des personnes incapables de se défendre. Maintenant qu'il connaissait le mode de fonctionnement sur cette île, Hiruzen arrivait à comprendre pourquoi il avait été terrifié, mais c'est même en sachant cela, il sera les poings et n'arrivait pas à pardonner. Pardonner aux pirates les atrocités qu'ils avaient infligées à des pauvres personnes.

Toute cette histoire était du passé, mais si jamais il retombait sur cette bande de pirate, il leur ferait la peau afin de venger la mémoire de ces pauvres gens. Alors qu'il commençait à partir dans la direction de sa cabane, une détonation retenti et une balle le manqua de peu. Un homme sortit de l'ombre. Son visage ne lui était pas inconnu. En scrutant bien les détails de son corps, il se rappela qui il était. son chapeau, sa barbe, sa cicatrice et son gros nez. Aucun doute, il s'agissait du capitaine de la bande qui résidait autrefois ici. L'homme responsable de la mort de cette bande d'innocent, celui-la même qui avait ordonné de le tuer également. Contrairement à leur première rencontre, le pirate était seul. Sa bande n'était pas avec lui. Dans sa poche, Hiruzen avait l'un de ses couteaux, mais face à un pistolet, il savait qu'il n'avait aucune chance.

Hiruzen ne le savait pas, mais après sa rencontre avec ces pirates, un équipage venu d'une autre parcelle de l'île était venu afin d'annexer ce territoire au leur et le résultat de cette bataille était l'annihilation des deux équipages. Maintenant seul, le capitaine était la dernière pièce encore vivant de son ancien empire de terreur.

Préférant vivre, Hiruzen se mit à courir. Il connaissait à peu près bien cette partie de l'île. S'il arrivait à ne pas tomber sur des obstacles contondant comme la première fois, il arriverait à battre cet homme. Comme une impression de déjà, le jeune homme pris ses jambes à son cou, tandis que le pirate tiraient sur lui. Très vite, il réussi à quitter le territoire du pirate, mais ce dernier ne lâche pas l'affaire. Il voulait sa mort, pour quelle raison, il ne le savait pas, mais maintenant qu'il se trouvait sur le terrain de jeu du jeune dragon, il était déjà pris au piège. Alors qu'il sauta dans une coque de navire en ruine, une balle entra dans son bras. Trop confiant, il n'avait pas été assez vigilant et maintenant était blessé. Le pirate approcha la coque du navire où sa cible avait trouvé refuge. Il se mit à tirer à l'intérieur sans savoir sur quoi il tirait, puis pensant être aussi rusé que ce dernier, il y pénétra.

Sous son poids, les planches de bois commençaient à grincer, mais fou de rage, il continua d'avancer dans le ventre du navire. Le peu de lumière qui entrait dans le navire laissait clairement voir sur le sol les gouttes de sang que perdaient Hiruzen et après une centaine de mètre parcouru dans la carcasse, le pirate tomba nez à nez sur le jeune garçon. Assis sur un baril, Hiruzen attendait la venue de celui qui n'allait pas tarder à couter la monnaie de sa pièce. En entrant dans le navire, le pirate avait fait une grosse erreur. Les fondations étaient très fragiles, c'était d'ailleurs pour cela qu'Hiruzen s'y était précipité. C'était la dernière ligne droite pour eux. La fin d'une histoire, le rideau allait enfer se baisser. Le pirate avança de quelques pas, pointa son pistolet sur lui et tira. Pas la moindre détonation. Il n'avait plus de balle. Tirer en courant n'était pas très conseillé quand on n'est pas un expert de la gâchette. Maintenant qu'il avait joué sa dernière carte, Hiruzen joua la sienne. Il tira sur une corde qui fit basculer une poutre. La poutre tomba et détruisit une grande partie de la cale, emportant le pirate dans l'autre monde. La vie sur cette île était rude. Si seul les plus forts dirigeaient, alors lui allait rester très loin du pouvoir, mais aller utiliser sa ruse et son intelligence afin de survivre.

Vivre avec des rébus était peut-être une vie difficile, mais au moins, ce monde lui avait fait prendre conscience de la cruautés des hommes. Même en enfer les fleurs poussent, même si pour cela elles doivent se nourrir de sang, elles poussent.



FIN


Dernière édition par Hiruzen Nobunaga le Jeu 26 Jan 2012 - 22:29, édité 52 fois
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Re-bienvenue !

Voici ton test RP :

Le cimetière d'épave, un mois après ta fuite de chez les Tenryuubito. La misère est au-delà de ce que tu pouvais même imaginer. Tous les rebuts de la société sont massés là, si semblables et pourtant si différents de toi. Comment vis-tu ton séjour parmi eux ?

Bonne chance !
    Hello
    Voilà après 3 jours
    J'ai terminer mon Test RP
    Bonne lecture ;)
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    Salut. Me voilà pour commencer la salve de voix.
    Et bourge de marsouin, tu m'en as donné du boulot ! :p

    Comme pour les autres, je passe la forme pour m'attaquer au fond, les autres staffien gérant ça bien mieux que moi. Surtout que pour la forme c'est pas mal écrit, reste deux fautes d'ortho qui m'ont brûlé la rétine trop de fois pour les laisser passer :
    - Fesait > faisait !
    - Major d'homme > Majordome !

    Fiche de perso : Là par contre on a du boulot. Beaucoup...
    - Tenryuubito : là je crispe un peu. On en sait pas grand chose par le manga, ils sont plus ou moins intouchables par le GB, et on commence à avoir des bâtards et fils de Tenryuubito à tous les coins de rue dans le forum... du coup pas très original non plus. En plus, vu le nombres de femmes qu'ils ont, ça m'étonnerait que les bâtards puissent prétendre au titre de Tenryuubito. Donc pour moi... c'est non. Tu es dans le fond le fils d'un Tenryuubito, mais au final tu n'en est pas un toi même.
    - Chasseur de Prime Exceptionnel : ça me semble très optimiste, mais qui ne tente rien n'a rien.
    - Bretteur+Météorologue+Navigateur : pourquoi pas, mais ça commence à faire pas mal.
    - Drunken master ? Il me semble pas t'avoir vu revenir ivre de tes sorties d'entrainement... ca se serait vu car l'entrainement de Drunken master doit laisser pas mal de "traces" :p
    - Koukai Koukai Fruit : félicitation, tu as tablé dans un des rares fdd qu'on avait bien dit : interdit à la création (avec celui du temps et celui de l'eau de mer).
    - style de combat tiré tel quel d'un manga + même ava... bof... surtout avec le cumul drunken master par dessus...

    Bon... comme tu vois là y a des bases qui ont du mal à passer... dommage ton perso est basé en grande partie dessus. On verra si ça gène par la suite en continuant la prez.

    Pour le style, c'est le tiens, donc pas de grand changement à ce niveau là... suffit de lire mes com' à tes dons de recomp' ;)

    Pour l'histoire : AAaaaaargl que c'est long. Tu n'as pas de pitié pour le staff ou bien ?! :p Rien que les deux 1er chapitre auraient pu être résumés en un seul paragraphe, vu que ça ne parle pas directement de ton perso. Mais bon, ça me permet de voir ta vision des Tenryubbito, et là j'aime déjà plus. J'avais peur vu ton perso que une fois de plus les Tenryuubito soient montrés comme pas si méchant, alors que c'est bel et bien des monstres (mais bon visiblement ni les gène ni leur éducation ne t'ont touché... moins bien ça... trop facile...
    Le scénar est logique (pour du OP), donc ça passe à ce niveau... sauf à la fin. La quintuple changement d'avis du grand père + trahison + protection + je te hais mais je te sauve tout en ne voulant pas que tu vives + salto piqué pointé... j'ai eu du mal. La pirouette de fin fais sortie du chapeau, et au final ton perso pour un passif délicat s'en tire avec tous les avantages. Pourquoi sa haine des tenryuubitos du coup ? Son passif ne colle pas vraiment à l'ampleur de sa psycho ou à ses ambition à mon gout... j'ai du mal à voir la cause à effet sans tomber dans du méga schizo revanchard (c'est le cas ? :p)...

    Bref, un bon début mais une fin qui dépare et qui gâche mon plaisir et ma compréhension.

    Pour le test rp c'est grosso modo pareil. Looooooong... tu m'as perdu je ne sais combien de fois... Privilégie un fond original et sensé plutôt que de la quantité stp, vu que pour la forme tu sembles gérer bien mieux.



    Pour résumer : Beaucoup de lignes pas trop mal écrites, mais un fond qui demande encore du travail...
    Reste aussi la fiche de perso à modifier grandement pour pouvoir être validée. Pour ce qui est de la note je taperai à ce moment là dans du 600, en y allant pas avec le dos de la cuillère. ^^

    • https://www.onepiece-requiem.net/t154-fiche-de-toji
    • https://www.onepiece-requiem.net/t115-marine-toji-arashibourei


    -> - Tenryuubito : là je crispe un peu. On en sait pas grand chose par le manga, ils sont plus ou moins intouchables par le GB, et on commence à avoir des bâtards et fils de Tenryuubito à tous les coins de rue dans le forum... du coup pas très original non plus. En plus, vu le nombres de femmes qu'ils ont, ça m'étonnerait que les bâtards puissent prétendre au titre de Tenryuubito. Donc pour moi... c'est non. Tu es dans le fond le fils d'un Tenryuubito, mais au final tu n'en est pas un toi même.

    -> Tu es le seul homme poisson à ne pas aimer sa race au détriment des humains, il n'y à pas un souci ? Tu tue toute la manière d'être des hommes poissons. Même Jinbei homme poisson qui travail pour le GM en tant que Shishi, aime son peuple. (Tu la dit toi même tu n'a aucune considération pour les HP), donc pourquoi, moi je peux pas faire de même pour les Dragon ? Une race existante est fait pour être par les utilisateur, tous ne sont pas des fourbes, des être qui veulent tuer et dominer les autres (Voir la reine HP qui reviens avec un traité de paix.) Je joue mon perso comme je l'entend, tu fais de même en jouant le poisson de la marine.... (chaque perso à sa personnalité et volonté)

    - Chasseur de Prime Exceptionnel : ça me semble très optimiste, mais qui ne tente rien n'a rien.
    C'est un grade possible à la présentation. Personne ne le tente, il m'intéresse j'essaye.

    - Bretteur+Météorologue+Navigateur : pourquoi pas, mais ça commence à faire pas mal.
    Bretteur n'est pas un métier, en soit, il s'agit du style de combat. Après navigateur et Météorologue -> Nami.
    Je me bat comme comme zorro, je n'utilise que mes muscles, quand il s'agit d'utiliser mon cerveau, je suis un bon navigateur. Sinon : Œil de faucon est à peu près tout.(Seul dans une barque il arrive à ne pas se perdre, naviguer sur GL et pister un galion sur les Blue)

    - Drunken master ? Il me semble pas t'avoir vu revenir ivre de tes sorties d'entrainement... ca se serait vu car l'entrainement de Drunken master doit laisser pas mal de "traces" :p
    J'ai pas le droit de RP, car pas validé. Mon test rp ne concernait pas cela, donc j'ai pas pu développer. Le retirer n'est pas un souci, faire un rp plus tard où je découvrirait cela n'est pas aussi un souci.

    - Koukai Koukai Fruit : félicitation, tu as tablé dans un des rares fdd qu'on avait bien dit : interdit à la création (avec celui du temps et celui de l'eau de mer).
    Un FDD de temps : neige, orage, pluis
    Un FDD d'espace temps : téléportation
    Deux catégories de fruit à l'opposé, car sinon :/Sorry, Foxy à un fruit du temps Hé oui, le temps à proprement parler est déjà lancer par ... Oda. Fruit ralentisseur Crying or Very sad Crying or Very sad
    moi il s'agit d'espace temps. Je n'ai en rien proposer un fruit interdit.
    N'oublions pas que : Le fuwa Fuwa était "interdit" quand je le voulais avec "Shoma" et que maintenant il est "mangé" Twisted Evil Twisted Evil
    J'ai pas envie de me faire avoir deux fois de suite, si tu vois ce que je veux dire... Mad

    - style de combat tiré tel quel d'un manga + même ava... bof... surtout avec le cumul drunken master par dessus...
    J'ai pas lu dans le règlement que le plagiait de style de combat est interdit.
    Une fois de plus je suis en règles ;)
    C'est juste un avis personnel, tu as raison, mais si je veux le faire, les règles ne m'en empêche pas.


    - Major d'homme > Majordome !
    Je l'ai trouver aussi à la manière dont je l'ai écrit sur internet, sur une offre d'emplois.
    Si je me trompe Internet après correction aussi. DSL

    Pour ce qui est de la note je taperai à ce moment là dans du 600, en y allant pas avec le dos de la cuillère. ^^
    Je trouve cela à mon humble avis trop peu. Shoma à commencer avec plus et selon moi une fiche présentation de plus basse qualité.





    • https://www.onepiece-requiem.net/t1129-mantle-shoma
    Après (longue X)) lecture, je rejoins Toji sur tous les points : toute cette longueur... tu noies le poisson !
    Il faut aller au principal, en étoffant certes mais pour donner de la forme.
    Du fond avec de la forme : ok
    De la forme sans fond : pas beaucoup d'intérêt.
    Le tout est de doser et de ne pas trop s'éparpiller, c'est le principal reproche sur cette présentation !

    J'ai noté pas mal de fautes d'orthographe mais tu as bien progressé dans ce domaine (enfin cette présentation semble le prouver ^^), mais la longueur ne joue pas en ta faveur pour cette section.

    Attention à la répétition d'emblée : "Hiruzen est un jeune garçon très jeune comparé".

    Concernant les problèmes soulevés par Toji et auxquels tu as répondu :
    > - Tenryuubito : ok avec Toji, et ta réponse est franchement très déplacée, un argument ad hominem avec un exemple mal choisi ne peut pas jouer en ta faveur.

    > Tu as raison de tenter chasseur de prime exceptionnel, qui ne tente rien n'a rien !

    > Bretteur+Météorologue+Navigateur : pourquoi pas, mais ça commence à faire pas mal.
    D'accord avec Toji. Pour tes contre exemples : on ne devient bon qu'en se spécialisant. Si tu veux travailler ton escrime, tu ne peux pas le faire en travaillant sur des cartes !
    Pour Mihawk : pas sûr qu'il soit un excellent navigateur et là tu n'es pas assez précis dans le niveau que tu demandes dans chaque discipline pour faire la comparaison.

    > Drunken master : à voir plus tard Smile

    > Ton fruit ne sera pas autorisé, les fruits d'espace temps ne sont pas autorisés. Et je n'ai pas souvenir que le fuwa fuwa no mi ait été interdit, d'autant plus qu'il s'agit d'un fdd du manga. Peut-être mais ça m'étonnerait...

    > - style de combat tiré tel quel d'un manga + même ava... bof... surtout avec le cumul drunken master par dessus...

    Ce que l'on te reproche c'est de faire presque un copié-collé d'un autre personnage d'un autre manga : pas très original. Donc inutile de nous ressortir les règles que nous avons fixé à toutes les sauces !

    > pour major d'homme : apparemment les deux écritures sont bonnes.

    > Pour la note : tu n'as certainement pas de remarque à faire là-dessus. Désolé d'être aussi sec mais si on commence à faire ce genre de comparaisons on est pas sorti de l'auberge.
    Et je suis ok pour 600.
    Il ne te manque qu'un avis pour être validé !


      Je vais faire court, très court même...Amen sur ce qui a été dit et pour du 600 cailloux
        Validay

        Déplacay
        • https://www.onepiece-requiem.net/t109-greed#772
        • https://www.onepiece-requiem.net/t100-termine-satoshi-noriyaki