Il venait de sortir de passer la porte de la base, fuyant les scientifiques et les soldats, fuyant l'emprisonnement et les expériences, chérissant la liberté. Il courait comme si le diable était à ses trousses, la ville était proche et avec un moyen de perdre ses poursuivant. Des balles commencèrent à fuser sur lui, ils étaient prêt à le démolir pour ne pas perdre leur produit industriel, pour ne pas perdre leur propriété. Heureusement, et c'était la seule chose d'heureuse avec ces types, des assistants s'étaient mélés au groupes de recherche et donnèrent des ordres à propos de la poursuite :
-Non il nous le faut en bonne état !
Il put atteindre la ville sain et sauf, mais ce n'était que le prélude à la véritable course. Soudain son coeur se mit à palpiter anormalement, une voix dans sa tête commençait à s'affoler en lui débalant tous les problèmes de son organisme. Pour pouvoir se concentrer et reprendre son souffle il se dirigea vers un amas de tonneaux et s'y cacha.
*Analyse corporelle...problème cardiaque, vasculaire, membranes extérieures, oculaires, nasales...défficience générale, demande de mise en veille.*
-Venez ! Je l'ai vu il est là-bas dans les tonneaux !
Il souffla, il eut du mal à respirer, il cracha de l'huile et souffrait à chacun de ses mouvements comme si ses articulations étaient transpercées de centaines de clous. Expirant et inspirant toujours plus vite il n'eut pas le temps de rester sur place car les soldats arrivaient, il fallait vite changer d'endroit. Shimeru traversa la rue comme un malade mental, se foutant royalement du fait que s'il était repéré il risquait de retourner au laboratoire, tout ce qu'il voulait c'était de la protection et un abri même si faire peur aux gens n'était pas la meilleure manière de s'attirer leurs faveurs. Alors qu'il créa un nuage de poussière derrière lui il sentit les regards se poser sur lui. Entendant une voix dans sa tête qui ne s'arrêtait jamais de parler il décida de suivre ses instructions rien que pour savoir dans quel camp elle était, la situation ne pouvant pas s'aggraver.
*Alerte fuite...recherche d'une zone à danger réduit...coordonnées transmises...activation des systèmes moteurs.*
La voix était continuelle est ne s'arrétait jamais, comme une malédiction. Des informations lui arrivèrent dans la partie du cerveau qui lui restait. Instinctivement il sut où tourner pour prendre le meilleur raccourci, où sauter pour atteindre le lieu salvateur. Après plusieurs centaines de mètres et quelques murs il atteignit un cul-de-sac bouché par une petite armurerie miteuse, il s'y précipita quand il entendit le bruit d'un groupe d'homme se dirigeant vers lui, les soldats couraient plus vite que prévu. Il traversa la cloison d'entrée, emportant le linteau par la même occasion à cause de sa taille, en appelant à l'aide du mieux qu'il pouvait en continuant de suffoquer pour une raison inconnue.
-De l'euhar ... euharhède... de l'euhède ... de l'aide kof kof.
L'homme du comptoir était paralysé et recula pour essayer d'atteindre une arme pour se défendre, un autre homme se retourna et avait sorti celle à sa ceinture, pointant d'abord Shimeru, puis pointant la rue après que ce-dernier ait terminé sa phrase. Venait-il de se trouver son premier alliée ? Ne pouvant plus tenir debout il s'écroula au sol, faisant vibrer le plancher, puis se mit en veille prolonger. Il était comme un bébé qui prenait sa première bouffée d'air, mais là le bébé venait de se faire poursuivre par une trentaine d'homme dans toute la ville après s'être fait trafiquoter de l'intérieur et de l'extérieur. Il voulait dormir rien que quelques secondes...minutes.
-Non il nous le faut en bonne état !
Il put atteindre la ville sain et sauf, mais ce n'était que le prélude à la véritable course. Soudain son coeur se mit à palpiter anormalement, une voix dans sa tête commençait à s'affoler en lui débalant tous les problèmes de son organisme. Pour pouvoir se concentrer et reprendre son souffle il se dirigea vers un amas de tonneaux et s'y cacha.
*Analyse corporelle...problème cardiaque, vasculaire, membranes extérieures, oculaires, nasales...défficience générale, demande de mise en veille.*
-Venez ! Je l'ai vu il est là-bas dans les tonneaux !
Il souffla, il eut du mal à respirer, il cracha de l'huile et souffrait à chacun de ses mouvements comme si ses articulations étaient transpercées de centaines de clous. Expirant et inspirant toujours plus vite il n'eut pas le temps de rester sur place car les soldats arrivaient, il fallait vite changer d'endroit. Shimeru traversa la rue comme un malade mental, se foutant royalement du fait que s'il était repéré il risquait de retourner au laboratoire, tout ce qu'il voulait c'était de la protection et un abri même si faire peur aux gens n'était pas la meilleure manière de s'attirer leurs faveurs. Alors qu'il créa un nuage de poussière derrière lui il sentit les regards se poser sur lui. Entendant une voix dans sa tête qui ne s'arrêtait jamais de parler il décida de suivre ses instructions rien que pour savoir dans quel camp elle était, la situation ne pouvant pas s'aggraver.
*Alerte fuite...recherche d'une zone à danger réduit...coordonnées transmises...activation des systèmes moteurs.*
La voix était continuelle est ne s'arrétait jamais, comme une malédiction. Des informations lui arrivèrent dans la partie du cerveau qui lui restait. Instinctivement il sut où tourner pour prendre le meilleur raccourci, où sauter pour atteindre le lieu salvateur. Après plusieurs centaines de mètres et quelques murs il atteignit un cul-de-sac bouché par une petite armurerie miteuse, il s'y précipita quand il entendit le bruit d'un groupe d'homme se dirigeant vers lui, les soldats couraient plus vite que prévu. Il traversa la cloison d'entrée, emportant le linteau par la même occasion à cause de sa taille, en appelant à l'aide du mieux qu'il pouvait en continuant de suffoquer pour une raison inconnue.
-De l'euhar ... euharhède... de l'euhède ... de l'aide kof kof.
L'homme du comptoir était paralysé et recula pour essayer d'atteindre une arme pour se défendre, un autre homme se retourna et avait sorti celle à sa ceinture, pointant d'abord Shimeru, puis pointant la rue après que ce-dernier ait terminé sa phrase. Venait-il de se trouver son premier alliée ? Ne pouvant plus tenir debout il s'écroula au sol, faisant vibrer le plancher, puis se mit en veille prolonger. Il était comme un bébé qui prenait sa première bouffée d'air, mais là le bébé venait de se faire poursuivre par une trentaine d'homme dans toute la ville après s'être fait trafiquoter de l'intérieur et de l'extérieur. Il voulait dormir rien que quelques secondes...minutes.