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The Strongest

The Strongest 20100814072609!Whiskey_peak

Les Truands sont arrivés au port de Whiskey Peak avec des étoiles dans les yeux, certains se demandaient si une épine de cactus se revendrait à bon prix, d'autres voulaient guérir des maladies avec, une multitude de réaction émergèrent à la vue de cette île loufoque qu'on ne peut trouver que sur cet océan de malade. Bien accueillit, certains prennent le temps de faire la fête tandis que d'autres prenaient du bon temps autrement. Mais ils ne sont pas les seuls pirates à être arrivé sur cette île aujourd'hui. En effet, l'équipage des barbes jaunes est aussi de la partie, et quelque chose me dit qu'ils ne vont pas être copain.

« Whiskey Peak, sous sol d'une petite maison sans valeur, environ 23h...




Dernière édition par Satoshi Noriyaki le Mer 6 Juin 2012 - 13:39, édité 7 fois
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Etape précédente: Here we are


Quelques heures plus tôt, dans le port de Whiskey Peak…


Tout l’équipage avait été émerveillé (bon, d’accord, sauf peut-être les endormis, les hurluberlus, les hommes-robots sans doute, et ceux dont le regard était plus attiré par les nouvelles passagères que par le paysage)… enfin en tout cas, la vue des gigantesques cactus impressionna la majorité de l’équipage.
Comme à l’accoutumée, les habitants de Whiskey Peak firent bon accueil aux pirates. Le navire s’amarra au quai sous les vivats, et chacun des Truands fut invité à se restaurer et à faire la fête. Trop contents de leur sort, les pirates ne virent pas le sourire en coin que l’homme qui s’était présenté comme le maire de la ville échangea avec son adjoint.

A la nuit tombante, dans la grande salle des fêtes, Ange vidait son cinquième verre d’alcool ; dans le pot à plante d’à côté ; comme les trois précédents. Car si le sauvage était désireux de faire la fête, il avait encore plus envie de profiter de la nuit et de son nouveau pouvoir pour faire le tour des maisons. Après quelques heures de ripailles, estimant s’être suffisamment montré, le second prétexta un mal de crâne et une furieuse envie de vomir et se fît conduire à un lit ou il pourrait se reposer en paix. Dès que ses aimables hôtes eurent le dos tourné, il se releva, s’appuya contre la cloison, murmura le nom qu’il avait donné à sa technique -« porte-porte »- parce que toute le monde le faisait alors c'était surement classe, et disparut à travers le mur. Il réapparut aussitôt de l’autre côté, au niveau de la rue. La, il put constater que sa chambre se trouvait au premier étage…

Ahem… jusque la, ton plan était parfait. Mais maintenant, je fais quoi ?
Eh bien, tu… toooombes !!!


***

Une fois remis de sa chute, et après s’être longuement frotté le postérieur, le cambrioleur se mît en chasse. Il n’allait pas faire de coup exceptionnel, mais simplement vider quelques coffres de leur contenu et embarquer deux ou trois bibelots afin de maintenir sa bourse à un niveau correct, après quoi il retournerait se coucher. Il parcourut silencieusement les rues de la ville jusqu'à trouver une maison qui par son apparence l’inspirait plus que les autres, s'appuya contre le mur, et se transforma à nouveau en porte.
L’intérieur de la maison était coquet : de nombreux tapis s’étalaient sur le sol, des plantes en pot s’alignaient sur les nombreuses tables et étagères, et de la porcelaine de valeur ornait les murs.

Il faut croire que l’exportation de cactus géant rapporte bien, car les habitants de cette ville n’ont pas l’air dans le besoin !
Une fois que tu auras fini a tournée, tu devrais aller faire un tour du côté des cactus alors, pour voir si tu ne peux pas en récupérer quelques tronçons.
Oh oui, bonne idée !


A pas feutrés, en tâtonnant un peu dans le noir l’albinos visita la maison, ramassant au passage les objets qui lui paraissaient avoir de la valeur. La capacité que lui conférait son fruit était encore plus pratique pour les cambriolages que prévu, puisque le fait de pouvoir traverser les cloisons, y compris à l’intérieur du bâtiment, lui évitait de faire grincer les portes en changeant de pièce. Cela dit, c'était sans importance puisque la maison était vide: ses occupants participant probablement à la fête d’accueil, et le voleur eut tout son temps pour localiser, crocheter bruyamment, puis vider le coffre dans lequel les propriétaires de la maison rangeaient leurs économies. Avant e partir, afin de ne pas laisser trop de traces évidentes de son passage, il essaya de remettre en ordre les éventuels dégâts causés par son passage. Cela fait, il sortît comme il était entré et passa à la maison suivante.

***

Au même moment, le propriétaire de la maison qu’Ange venait de visiter et qui n’était autre que Mr 2, venait de décréter la treizième tournée générale pour achever les derniers pirates, ceux qui résistaient le mieux à l’alcool. Dans quelques instants, la curée pourrait commencer…
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-C'est ça des cactus ?

*Localisation générale impossible...focalisation locale activée...zone portuaire*


S'appuyant sur la rambarde du navire Shimeru observait les immenses végétaux dont Whiskey Peak était recouverte et se demanda qu'est-ce que cela pouvait précisément être comme plante, alors qu'il regardait une grosse majorité de l'équipage comprenant le second qui avait le nez levé vers les grosses boules vertes. Il faudra qu'il aille voir ça de plus près. Mais en attendant il avait toujours la charge des damoiselles qu'ils avaient recueilli au Cap des jumeaux, et même si elles avaient arrété de le ralentir dans son boulot elle n'en restait pas moins des vilaines filles d'après le cyborg. Passons, ce n'était plus la priorité de Shimeru de surveiller ces dames, elles étaient remises sur pied depuis longtemps et Shimeru détestait ne rien faire, donc il partit préparer quelques affaires et instruments pour étudier ces immenses boules vertes touffues, peut-être posséderaient-elles quelques vertues médicinales ?

-Scalpel, éprouvette, pince, cordes, écarteurs, ... tout est prêt je peux partir.

-Hé Shim' tu viens faire un tour à la fête de ce soir, il y aura p'têt pas d'huile mais on va bien rire !

-Non, j'ai des boules velues que je doit voir de plus près...

Ecarquillant les yeux vers lui son camarade de navire ne chercha pas à en savoir plus, croyant en savoir trop, et laissa le cyborg dans son fouilli. La nuit venu, les patientes en train de dormir, il put s'éclipser du navire et partir vers son nouveau sujet d'étude. Il traversa la ville en longeant les murs pour ne pas se faire voir, peut-être qu'il désobéissait un peu aux ordres mais le bénéfice du doute l'empêcha de rebrousser chemin. Au passage il crut entendre un homme tomber de haut, mais son oreille était peut-être un peu détraquée, et puis en même temps il eut plusieurs fois l'impression de voir une ombre chauve disparaître dans des murs, mais là aussi peut-être qu'il avait mal dormi la nuit dernière. Enfin il atteignit un chemin qui mena droit au sommet d'un cactus géant, il s'assit avec la ville entière face à lui et Grandline en fond, pourtant il ne trouva pas le tableau plus beau qu'un autre et détourna vite les yeux pour se concentrer sur son étude. Sortant ses instruments il découpa des échantillons de la plante qu'il plaça dans un bocal, comme ça il aurait une réserve pour plus tard.

-Je devrais rentrer tout de suite, je me suis assez amusé pour le moment.

Il rangea le tout et refit le chemin inverse pour retourner au navire, continuant à voir des ombres disparaître et réapparaître d'un mur à l'autre...décidément il faudra dormir plus longtemps la prochaine fois. Il monta sur le navire, partit dans son bureau et tripota avec ses instruments les échantillons un peu plus longuement.
    Whiskey Peak, le repaire de Baroque Works
    « La première île de Grand Line ! »

        Whiskey Peak nous voilà !


      Village de Whiskey Peak, 2 h de l'après-midi.
      Une ambiance plus que chaleureuse venait de se dégager de l'équipage du Lady Million. La première île qu'ils avaient l'occasion de découvrir venait de montrer le bout de son nez. De l'excitation, c'était certainement ça ! Impatient de voir tous ça, le capitaine accompagné de trois de ses hommes partirent sur l’archipel en quête d'aventure et à la recherche d'un minimum de butin. Satoshi,Ange ainsi que Shimeru, s'engagèrent tous trois dans différentes orientations laissant Juusei, seul à son tour, au milieu des habitants du village. Le ventre gargouillant alors, il se dirigea naturellement vers l'auberge la plus proche comme à chaque arrivé sur une île inconnu. Se nourrir à sa guise était pour lui une priorité car sans énergie, l'homme ne peu rien faire. Des boutiques encore des boutiques mais aucun restaurant ou encore aucun bar ne voulaient se montrés... Une heure consacrée à la recherche venait de passer et toujours rien, c'était navrant. Jusqu'au moment ou entre une boutique pour femme et une banque plutôt chique, se trouva le sésame. Une auberge du nom de "Chez Fran", montra enfin le seuil de sa porte et était prête à accueillir le premier client venant. Franchissant alors la porte, il se sentait dans son monde, un endroit où vos sens sont tellement déboussolé par l'alcool que ça vous entraînes à faire le mal, boire comme des trous. L'alcool, un liquide vous éloignant de tous problèmes et situations difficiles. Certains disent que c'est mal et d'autres disent que ça leurs permets de s'évader quelques instants. Juusei n'était ni pour l'un ni pour l'autre, même si il donnait raison aux deux parties. Commandant alors une bouteille de leur meilleur saké, il commença la cuite qu'il ne put prendre ses derniers jours, occupé à gérer les blessés de l'équipage. Un bon moyen, pour s'échapper des activités du train-train quotidien et pour nous faire réfléchir à d'autre chose complètement différent ou tout simplement passé un bon moment accompagné de gens que l'on ne connait pas. Et c'est ce que fit l'homme à la chevelure de feu. Grimpant dans le nombre de bouteille vide, l'effet de la substance commençait à se faire ressentir. Sous l'emprise de l'alcool, il se dirigea naturellement vers un homme dont l'identité lui était complètement inconnu et il commença à lui parler.

      « Hey ! Ç'va toi ? On est g'bien ici non ? Ah,ahahah ! »


      L'homme, lui qui n'était pas dans l'ivresse, lui répondit d'un voie grave et agressive.

      « Non mais j'te connais pasz toi ! Dégage de là ! S'pèce de sale gay vah ! »


      Surprit par la réaction de l'homme, Juusei lui était là pour passer un bon moment et au lieu de ça, il venait de se faire un nouvel ennemi. Il lui répondit alors.

      « Nan mais cam'l toi, on est là pour passer un bon moment ! Ah,ahahahah ! »


      S'en était trop pour l'individu. Recevant alors son point en pleine face, Phoenix partit en arrière venant alors s'écraser contre l'une des tables du bar. Éclatant alors la plaque de bois, en plus de l'effet de l'alcool, le choque était lourd, même très lourd. Étourdit, il resta à terre quelques secondes avant de se relever,n reprenant ses bons esprits. Demandant de l'aide aux personnes l'entourant, il se remit sur pieds et avança vers l'homme l'ayant frappé. Il s'assit de nouveau et adressa une simple phrase à l'individu avant de donner une somme de 50 berry's pour les bouteilles bues auparavant. « Tu sais, on m'a toujours appris à être toujours plus sympa avec les cons ça les énerves encore plus, alors je ne vais pas te rendre ce coup et je vais partir. Bonne chance à toi pour la suite » Tout en lui jetant un sourire mesquin voulant lui dire je t'emmerde la prochaine fois que je te vois, t'es mort, Juusei sortit du bar et remercia en passant la barman du nom de Fran pour ce délicieux saké. De retour à l'air libre, il venait de passé une heure et des poussières à l'intérieur de l'auberge. Ne sachant plus quoi faire, il se redirigea vers le navire, voulant se reposer un peu avant de reprendre la mer.

      Village de Whiskey Peak, 00 h. Heure d'un nouveau jour.
      S'étant reposer et ayant manger à sa faim, il était tant de retourner en ville retrouver le capitaine et les deux autres membres de la bande. Sautant par dessus le pont, retombant sur un sable doux et fin, il fit signe aux mousses du bateau de prendre soin du reste des hommes ainsi que de leur moyen de déplacement. Au loin il vue une silhouette lui faisant tilte, tout en lui indiquant le physique du cap'tain. Il se pressa d'aller le voir, lui tapa sur l'épaule lui indiquant qu'il était pour éviter l'effet de surprise et là, c'est le drame ...



    Dernière édition par Phoenix D. Juusei le Mar 7 Fév 2012 - 22:13, édité 1 fois
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    Whiskey Peak, alentours de 23h30...


    Mh.

    Rien ne se passe. Il ressent néanmoins quelque chose de changé. Posant sa main instinctivement sur le sol, le Gentleman se concentre longuement.

    ...

    Rien ne se passe. Mais il sait qu'il n'est sensiblement pas le même. Se redressant et tentant des incantations avec ses mains, il cherche à lancer quelque chose.

    ...

    Rien ne se passe. Néanmoins, alors qu'il continue de faire des mouvements plus que bizarre avec ses mains, quelque chose surgit de l'ombre. Trop concentré pour s'en rendre compte, le capitaine pirate ne voit pas arriver l'énorme sabre qui s'abat sur lui avec une rare force.

    ...

    Il s'attend à un giclement prolongé de sang due au coup d'estoc sur son coup, mais c'est l'acier trempé qui éclate. Le sabre se brise, Noriyaki ne sent aucune douleur. Il touche son cou, dur. Glissant. Ses mains aussi. Il les regarde.

    ...

    « DU DIAMANT ?! *_* »



    Dernière édition par Satoshi Noriyaki le Ven 13 Avr 2012 - 11:10, édité 4 fois
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    Ses poches et son balluchon étant remplis d’objets volés, après un débat houleux avec lui-même, Ange estima qu’il était plus prudent de mettre son butin à l’abri dans le Lady avant d’aller voir les cactus. En effet, même une personne douée d’un très grand sens de la répartie ou un génie de l’excuse bidon aurait du mal à justifier le fait de se promener en pleine nuit avec suffisamment de quincaillerie pour ouvrir une petite brocante, et ce serait d’autant plus difficile s’il en croisait les propriétaires. Arrivé au bateau, il entassa tous les objets dans son coffre personnel qu’il ferma à clé –oui, avec la clé qui est cachée sous le… enfin qui est cachée-.

    Hop ! Bon, je vais vois les cactus maintenant ?
    Minute, papillon ! C’est ton bon sens qui te parle.
    Quoi ? Qu’est-ce que j’ai fait de mal encore ?! Je ne me suis pas fait voir –enfin je crois-, personne ne m’a suivi –normalement-, et j’ai bien rangé la clé sous le… enfin je l’ai cachée.
    Ta clé à beau être cachée, elle ne te sera pas très utile si quelqu’un vient dérober ton coffre, car je voudrais te faire remarquer que personne de surveille le navire puisque tout le monde est à la fête.
    Oh, ah, oui. Bon, je vais voir s’il y a encore quelques gars en état de marcher, et je vais les coller à la surveillance. Il ne manquerait plus que l’équipage de pestes qu’on a recueillies après qu’elles aient stupidement -hum hum- cassé leur bateau, ou un brigand du coin profite de notre absence pour venir me voler mes affaires.


    Après avoir soigneusement rangé son coffre, le cambrioleur descendit du bateau. Dehors, la lune s’était faite belle pour l’occasion (le maire l’avait commandée pleine, parce que c’est beaucoup plus classe d’avoir une pleine lune) et son éclat blanc sur les maisons et les cactus-montagnes, ainsi que le tiède vent nocturne invitaient le promeneur à s’arrêter un moment pour se reposer et profiter paisiblement du paysage. S’arrachant à la contemplation du décor, Ange distingua une silhouette venait à sa rencontre ; en écarquillant les yeux, il reconnut Den Shim’Pa… enfin le médecin de l’équipage, qui portait des plaques hérissées de pointes dans les bras.

    - Hey, salut Den’Sh… enfin salut, Doc’ !
    Tiens donc, je ne suis pas le seul à avoir pensé que les plantes géantes qui ornent cette île peuvent valoir des sous.
    Tu verras ça plus tard, pour l’instant du dois veiller à ce que tu possèdes déjà !
    - C’est une bonne idée d’avoir pris des morceaux de cactus : je pensais y aller aussi. Il y en a des faciles d’accès pas trop loin d’ici ?
    Je t’ais dit que ce n’était pas le moment !!
    - Ah, au fait, il me faudrait quelques gars pour surveiller le bateau, maintenant que la fête est finie. Dans ta trousse à l’infirmerie, tu n’aurais pas une sorte de… dégrisant, enfin un truc contre la gueule de bois crût bon d’expliquer le sauvage, qui ne connaissait lui-même la signification du mot "dégriser" que depuis peu. Si tu veux bien, va mettre ton chargement à l’abri et rejoins-moi à la salle des fêtes.

    ***

    Mr 2 était à la fois très fier et très satisfait de la situation : son supérieur, n°1, lui avait confié la direction des opérations, et il allait pouvoir gérer lui-même la capture de l’équipage des Truands, dont les deux grosses têtes atteignaient à eux deux la prime de 75 millions de berrys. Ce joli pactole servirait entre autres à financer l’ajout d’une petite tourelle à sa maison, mais aussi et surtout à approvisionner la ville pour les mois à venir, acheter quelques armes supplémentaires –Mr 2 avait très envie d’acquérir une mitrailleuse gatling-, et de remplacer les banderoles de bienvenue aux pirates qui commençaient à s’effilocher. Il était dehors, dans la rue, et ses hommes étaient réunis autour de lui : ils avaient sorti leurs armes ainsi que toute une collection de menottes et de chaines. Lui-même s’était placé dos à la lune pour se donner un aspect majestueux, et exécutait le sourire machiavélique qu’il s’entrainait à faire tous les matins devant la glace après s’être rasé ; il savourait l’instant ou il se sentait LE chef. Enfin, après un geste de sa part, les chasseurs de primes de Wiskey Peak entrèrent dans la salle des fêtes.

    Il fallait être efficace : d’abord, les pirates s’étaient un peu éparpillés, et si la majorité ronflait dans la salle une bouteille à la main, certains était allé dormir dans un coin isolé, ou pire, étaient partis faire un tour. C’était d’ailleurs le cas, aux dernières nouvelles, du capitaine des pirates, mais Mr 1 se chargerait de lui régler son compte (la on réalise à la fois la fourberie et l’optimisme du chef des brigands qui espère récupérer pour lui seul toute la gloire de la capture d’un puissant capitaine pirate, tout en laissant à son bras droit la charge de capturer le menu fretin.).

    ***

    Mr 1 savait que Satoshi ne se trouvait pas dans la salle des fêtes, et c’était d’ailleurs pour ça qu’il en avait confié la charge à son second. Un peu trop ambitieux, celui-là, un jour il faudrait s’occuper préventivement de son cas… Il pouvait sembler optimiste de croire pouvoir s’occuper seul d’un puissant capitaine pirate, mais il misait sur l’alcool ainsi que sur Elia, la fille qu’il avait envoyé pour tenter de l’occuper et de l’affaiblir mentalement, pour saper les résistances de son adversaire. Avec un peu de chance, il n’aurait plus qu’à le cueillir à demi endormi.
    Cela dit, tout ne se passait pas aussi bien que prévu puisque le n°1 traquait Satoshi à travers toute la ville sans savoir ou il était : son indicateur –un vieux clochard miteux- avait perdu sa trace et le chef des chasseurs de prime parcourait maintenant la Wiskey Peak au hasard en espérant trouver sa cible. Ce qu’il ne savait pas non plus, c’est que son escort-girl s’était laissée conquérir par le capitaine pirate.

    Pendant ce temps, toute la troupe de n°2 avait fondu sur les Truands endormis pour les attacher. Laissant à ses hommes l’équipage, le second maitre de la ville monta directement à l’étage ou était sensé dormir celui qui avait été présenté comme le second : un type avec l’air aussi malin que ses pieds, et coiffé d’une espèce d’ensemble de cordons à rideau noués les uns aux autres –à moins que ça ne soit ses vrais cheveux ?-. Il poussa un juron en découvrant le lit vide, qu’Ange avait quitté plus d’une heure auparavant après ne l’avoir occupé que quelques minutes. En bas, certains pirates étaient en meilleur état qu’ils ne l’avaient laissé paraitre, et ils s’étaient relevés pour tenter de repousser les attaquants, sans vraiment comprendre ce qui se passait. On commença à crier, à jeter des meubles –comme dans toute bagarre générale digne de ce nom-, à briser le miroir accroché au mur –idem-, et c’est ce bazar que découvrit Ange lorsqu’il apparut dans l’encadrement de la porte.

    ***

    Zut, il se passe quoi ?!
    On dirait nos hôtes… mais c’est bizarre, je croyais qu’ils aimaient les pirates.
    Ils ont peut-être découvert le cambriolage ? Hum, je fais quoi ? Je file ?!
    Pas question, de toute façon on ne peut pas manœuvrer le bateau sans équipage. Sors tes armes, et fonce dans la bagarre !


    - Bougez-vous, les Truands ! Je ne sais pas pourquoi ils nous attaquent, mais ce n’est pas le plus important. Commençons par les virer de la salle, et on avisera ensuite !
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    Découpant différents morceaux très petits du morceau originel de cactus géant, les plaçant dans différentes éprouvettes remplies d'eau pour voir leur développement et s'il pouvait en tirer quelque chose. Mais en même temps le gros morceau qu'il avait ramené prenait pas mal de place dans la pièce et il ne fallut qu'un quart d'heure pour se rendre compte de ce problème, à résoudre. Shimeru se leva et empoigna le cactus dont les petites épines se cassèrent sous ses mains, avec sa jambe gauche il repoussa les objets qui lui faisaient obstacle et de l'autre jambe il gardait son équilibre. Mais ça c'était que dans son cabinet, maintenant il fallut remonter tout le navire avec son paquet sur le dos, car il avait bien l'intention de rapporter cette pelouse piquante à son lieu de naissance. Il partit affronter l'escalier, son pire ennemi de toujours qui lui en avait montrer des vertes et des pas mûres, la première marrche ce fut du gateau, mais le défi commença à la deuxième : la première marche ne soutenait que la moitié avant du pied gauche, et le deuxième pied chercha alors la deuxième marche à tatons (mais il avait oublié ses tatons). Le duel continua plusieurs minutes, jusqu'à ce que enfin il atteignit le palier, quel sentiment de victoire pour le tas de ferraille, un point de plus pour la conserve. Et bah maintenant le deuxième escalier ...

    *Surchauffe des circuits, certaines fonctions motrices ne répondent plus...*

    C'est quoi ce charabia ? La traduction la plus simple serait : j'en ai marre, je suis fatigué, je veux pas bouger. Nan bah nan, c'est pas le moment de s'arréter, allez go Den'pa !

    *Remise en route, trajectoire en cours, mouvement.*

    Et le voilà repartit, traversant escaliers et couloirs suant plus par colère que par fatigue, et enfin la lumière de la Lune arriva au visage de Shimeru qui s'autorisa une petite pause pour décompresser, le lopin de terre devenait lourd après toutes les épreuves qu'il venait d'enchaîner. S'asseyant sur son morceau de cactus il se tourna vers la ville de l'île de Whiskey Peak, regarda tout et rien comme si le vide l'entourait, se relaxant et profitant d'un de ces rares moments de calme...qui ne dura pas. L'espace d'un instant il eu crut voir l'ombre de son second qui venait de quitter le navire discrètement, second qu'il avait croisé en revenant au navire et qui lui avait demandé de garder le Lady Million, tâche qu'il avait accompli à merveille jusqu'à maintenant, mais après le parcours d'obstacle qu'il venait de faire à l'instant il se demandait si le navire n'était déjà pas assez bien gardé comme ça. En fait il boudait son sujet d'étude qui venait de lui jouer le sale tour des escaliers. Donc voulant abandonné sa terre pour une raison plus ou moins idiote, il se mit à suivre de loin son second juste pour voir le programme de nuit de son supérieur hiérarchique, et sa quête l'éloigna du navire. Il observa son second entrer dans l'auberge qui semblait correspondre à l'adresse du lieu festif prévu pour la nuit de l'équipage, mais voyant disparaître son second dans l'embrasure de la porte il ne chercha pas plus loin et en déduit qu'il repartait simplement dormir. Dommage, il va falloir repartir chercher son bloc de cactus et refaire le chemin inverse...pfff Shimeru a sommeil.

    - Bougez-vous, les Truands ! Je ne sais pas pourquoi ils nous attaquent, mais ce n’est pas le plus important. Commençons par les virer de la salle, et on avisera ensuite !

    Aaah suivre le second a mené Shimeru dans une embuscade mais vu qu'il est très tard, qu'il s'ennuie et qu'il n'arrête pas de marcher sans résultat ce n'est pas dans cette situation qu'il eut sa réaction la plus réfléchie. On fonce !! Il fait demi-tour et rentre dans l'auberge où plusieurs pirates de l'équipage avaient commencés à se défendre et le second qui les emporté dans une folie bagareuse. Dans cette situation pas de chichi à faire : on les attrape, on les écrase, on les étripe et on les cogne. Le cyborg entre dans la bagarre et commence à distribuer coups et blessures pendant que ses opposants tentent de le faire tomber à terre pour mieux le maîtriser. Pas grave certains de l'équipage viennent l'aider et lui en fait autant, échange de baffes mais aussi échange de coups de mains : on t'a frappé ? Je vais le frapper pour toi que Den'pa a appris avec son premier équipage de pirates. Il fallait atteindre la partie prisonnière de l'équipage pour pouvoir les libérer et avoir du renfort en plus pour matter cette bataille, mais comment les atteindre dans cette mélée générale ? Les brigands les avaient déplacés de leur côté pour empêcher que l'on accède à leur otages, plus finaud qu'ils ne semblaient paraître ces brutes. Impossible d'y accéder par la voie terrestre, il fallait y accéder par la voie des airs, mais Shimeru avait oublié de perdre quelques centaines de kilos ces temps-ci et il le sentait bien. Il fallait quelqu'un de léger mais d'expérimenté...comme le second par exemple, s'il avait ce poste c'est qu'il devait avoir de la bouteille, et puis il ne semblait pas pesait plus lourd qu'un autre. Se frayant un chemin par la violence il se rapprocha de son chef Flo qui allait faire flopflop, se pencha et lui en même temps qu'il le prenait avec ses mains :

    - Chef, avec tout le respect que j'ai pour vous ... vous voyiez les otages là-bas ?

    *Calcul de trajectoire...poids, énergie, vitesse...calcul de l'angle...envoi*

    Son second bafouilla inaudiblement dans les cris et les hurlements de la bagarre mais ça n'arréta pas Shimeru qui le souleva dans les airs et le lança le mieux qu'il le pouvait dans la direction du groupement des camarades prisonniers. L'Ange prit son envol...

    -Bonne chance monsieur !
      Whiskey Peak, le repaire de Baroque Works
      « La première île de Grand Line ! »
      /!\ J'ai adopté un nouveau style de RP, donc il faut juste que je m'y habitue et je pourrais faire des choses beaucoup mieux ^^ /!\
          Whiskey Peak nous voilà !


        « Ah, vous v'là enfin cap'tain ! Justement je vous cherchais. »

        Toujours ce méfié des apparences, c’est sans doutes ça le plus important. A vrai dire,la silhouette était tellement vraisemblablement à celle du capitaine Satoshi, que je ne pus m’empêcher de le traiter comme tel. Croyant de toutes les façons du monde à l'apparition du capitaine, une petite tape sur l'épaule, lui indiquant ma présence. En un quart de tour, les deux visages se retrouvèrent face à face et la chose apparu. Mais qu'est ce que c'était qu'ça ?! Des êtres vivants pouvaient ressemblés à de telles choses ? Mais ce n'était pas un rêve, il fallait sans douter, de toutes les personnes qu'il aurait fallu rencontrer, ce genre d'individu aurait bien été le dernier pour moi. Un travelo, et j'te mens pas, c'était un travelo ! T usais ce genre d'homme qui perd toutes raisons d'être un mâle et se tend vers le côté féminin ? Ces mêmes hommes qui s'habilles,se maquilles et se comporte comme des femmes. Quelle horreur ces mecs, j'te jure! Bref, ce type se retourna et ce fut le choc ! Me provoquant en me surnommant son choux, je revint sur mes pas, laissant ce dégénérer provenant un coup sur deux de l'île Kevantrav, l'îlot des travelos. Toujours pensant à cette rencontre, je repartit vers le navire pour y dormir encore un peu. Après tout, le navire tout le monde sait où il se trouve et donc, le capitaine allait revenir quand il en aura envie. Mais alors que l'itinéraire du retour était en cours, l'odorat de l'alcoolique que je suis me mena à une petite auberge. En faite, c'était le lieu de rendez-vous pour que bon nombre de matelots appartenant à notre petite équipe puissent dormir dans de bons lits, accompagné de draps doux et soyeux. prêt à franchir la porte pour rependre la deuxième grosse mine de la journée, je me stoppa net, voyant le cyborg et le crâne d'oeuf, à son seuil.

        « Bougez-vous, les Truands ! Je ne sais pas pourquoi ils nous attaquent, mais ce n’est pas le plus important. Commençons par les virer de la salle, et on avisera ensuite ! »


        Des mots provenant des lèvres de notre second, mais de quoi pouvait il bien s'agir ? Des hommes attaquaient notre lieu de repos ? Ça n'allait certainement pas se passer comme ça ! Mais ce qui était sûr, c'est que quelqu'un originaire de chez nous devait être le responsable de ce bordel ! Sans quoi, aucuns des individus présents à ce moment ne nous auraient attaqués. Les poussés en dehors de l'auberge, c'est ce qu'il fallait faire ? Et bien je ne flanchait pas et commença par jetés les premiers brigands qui étaient prêts à sortir, sur le bord de l'établissement. Rentrant à mon tour, j'aida un maximum de mes confrères pour éviter de trop gros dégâts que le capitaine Satoshi se verrait contraint de repayer. A tour de bras, nos adversaires sortaient de l'auberge comme des petits pains sautant du grille-pain. Au bout d'un certains temps, ils se retrouvèrent tous en dehors de la pièce et les truands sortirent à leur tour. Les armes en mains, nous leurs montrerons notre force en les anéantissant tous autant qu'ils sont. Les survivants ? Il n'y en aura aucun.

        « Allez v'nez vous battres bande de larves, on vous attend ! »


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      Here we are, born to be king... #

      Le temps manque à l'homme diamant, il ne peut contempler plus longtemps la masse de berrys vivante qu'il est devenu. Une demi seconde passe entre son étonnement et son mouvement de jambe lui faisant croiser le regard de son adversaire dans une ambiance électrique. La situation ne permet pas aux deux opposants de s'observer, à ce moment là, c'est soit on donne, soit on prend. Le capitaine pirate avait déjà pu observer la solidité de son nouveau corps, il ne lui reste donc qu'à attaquer pour tester sa puissance de frappe. Tapotant d'un pas lourd sur le sol, il commence à se déplacer à grande vitesse autour de son ennemi, malheureusement sa vitesse est beaucoup moins importante que lorsqu'il n'avait pas ce nouveau pouvoir.

      Attendant le moment opportun pour frapper l'homme qui lui fait face en brandissant sa deuxième lame qui elle est encore intacte, il se demande si les diamants qui recouvrent la totalité de son corps pouvaient être extraits et vendus. Un potentiel de gains tel qu'il en oublie le combat. Lorsqu'il revient à la réalité, sa vitesse a grandement baissée, laissant le temps à son adversaire de lui asséner un lourd coup d'estoc visant le torse. Le choc est proche.

      ***

      Spoiler:

      Pendant ce temps, l'équipage de L'éclair Jaune se rassemblent à leur navire, ayant échappé aux chasseurs de primes qui les pourchassaient eux aussi pour leur prendre leurs tête. Ils avaient quand même réussi à prendre celle du second de l'équipage, primé à vingt millions, mais d'un coup en traitre. Et c'est d'ailleurs la première chose que le capitaine remarque. Le fruit du démon qu'il convoite devait être rapporté par son second qui manque à l'appel, aurait-il été assassiné par un chasseur de prime ou quelqu'un d'autre de bien plus ambitieux aurait pris sa vie uniquement dans le but de vendre le fruit du démon ? Quelques heures auparavant ils avaient entendu dans la rue que Satoshi Noriyaki se trouvait lui aussi sur l'île, et au vu de sa réputation, l'éclair jaune le met en tête de la liste des suspects possible.

      Grimpant sur le bâtiment, deux de ses hommes arrivent pour rapporte les dernières nouvelles. Selon eux, les Truands se battent contre les chasseurs de primes dans la salle des fêtes et sont en mauvaise posture, leur fuite serait donc possible et ils retourneraient à leur navire. Après ça, tous les pirates présents voient une lampe s'allumer au dessus de l'éclair.

      Ils allaient questionner Noriyaki lorsqu'ils reviendront au port. Belle idée non ? Non...? Mh...

      ***

      Le choc allait être rude et malgré que le diamant ne peut être détruit que par le diamant, les réflexes de ces vingt neuf dernières années ne sont pas parties en une bouchée démoniaque, il se tourne au dernier moment pour que l'épée s'encastre dans son bras plutôt que dans son torse, malheureusement son manque de confiance en son pouvoir lui vaut son arrêt. Les diamants disparaissent sur la totalité de son corps en un instant et l'épée vient se planter dans son bras. Un cri de douleur audible sur la totalité de l'île retenti et l'homme se recule d'un bond pour s'éloigner de l'ennemi.

      « Il semble que ce pouvoir n'est pas si facile à contrôler n'est ce pas Mr Noriyaki ? »


      « Je n'aurais pas besoin de ça pour vous vaincre, très cher. »

      « Voyez vous ça... »

      Un échange de mots plus tard les enchaînements reprennent, Satoshi ne se laisse pas avoir par les coups tranchants de son ennemi, au contraire, il contre attaque de toute ses forces. L'ennemi tente une attaque par le haut, le Dandy utilise son "Black Catch" consistant à attraper le poignet au dernier moment et rester sur ses appuis pour pouvoir effectuer une contre attaque en tout genre, plus particulièrement son traditionnel "Strike Back" qu'il enchaîne en tordant le poignet de son ennemi avant de le projeter en vers l'avant. Mais ce n'est pas ça qui arrêtera quelqu'un de ce niveau. Son opposant repart de plus belle, plus rapide qu'au dernier assaut. On pourrait croire qu'il marche sur l'air. Le gentleman ne le suit plus, quoi que... Il est derrière. Mais notre protagoniste n'est pas assez rapide pour contrer l'attaque, il ne peut que tenter de s'avancer pour que l'entaille du coup de sabre vertical ne soit pas trop profonde. Ce qu'il fait.

      Mais pas le temps de souffrir cette fois, il se retourne et attrape le bras de son adversaire, l'empêchant en conséquent de reculer et d'attaquer. L'utilisateur des "Jambes Divines" se prépare à utiliser son Chester Field pour envoyer son ennemi en orbite. Il recule son pied et en un quart de seconde décoche celui ci dans le menton de son adversaire, en ayant pris soin quelques centièmes de secondes avant de lui lâcher le bras. Son ennemi en l'air, il bondit pour le rejoindre et utiliser son Win Field, un coup de pied retourné qui envoi valser dans les dalles son ennemi. Néanmoins celui ci est résistant et continue de se relever. Le Capitaine Pirate observe ses mains, ferme les yeux et visualise sa forme diamant, peut être que la dureté du diamant combiné à son meilleur coup annihilera toute résistance de la part de son adversaire. Tout son corps vire au blanc brillant du diamant, chaque cellule de sa peau se transforme. Il s’apprête à en finir. Paniqué, son adversaire se lance dans un ultime assaut, il se met en position d'attaque, tous ses muscles se gonflent, ses veines ressortent d'un centimètre, il commence à sprinter vers son ennemi qui lui aussi se prépare, mais d'une façon différente. Il tourne sur lui même, l'air se colle à sa peau, il observe son adversaire qui arrive sur lui et d'un coup il libère des lames d'air de tous les côtés, tranchant son ennemi qui néanmoins continue d'attaquer et finis ce qu'il a commencé en coupant dans le vif Noriyaki. Les secondes passent, les deux hommes sont encore debout. Tout autour d'eux, le silence pèse. Et l'ennemi de Noriyaki brise le silence.

      « Je suis un chasseur de primes, tu es fort, mais saches que le boss de cette île ne te ménagera pas... Néanmoins tu as gagné, Noriyaki... »

      Sans doute parle-t-il de Mr 1, mais cela n'a pas d'importance quant au fait qu'un combat aura suffit pour que les deux hommes se tutoient, mais c'est proche de la fin que cela arrive...

      Toutes ses blessures s'ouvrent, une mare de sang se forme à ses pieds et il s'écroule dans celle ci, l'homme est mort, mais avec classe. Et ce n'est pas parce qu'il s'est battu contre le pirate primé à 50 000 000 de berrys qu'il est mort avec classe. Non. C'est parce que...

      « Tu m'as touché sans le savoir... »

      Et il chute, son bras préalablement entaillé saigne, et sa cuisse est maintenant aussi touchée. Il ne peut tenir bien longtemps dans cet état, la seule solution c'est... De prendre les affaires de son ennemi défunt pour s'en servir comme compresse... Pas de temps à perdre, les compresses ne suffiront pas et il doit retourner au navire.



      Dernière édition par Satoshi Noriyaki le Lun 27 Fév 2012 - 20:24, édité 2 fois
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      La bataille faisait rage dans la salle des fêtes : les pirates, encouragés par l’arrivée de renforts, se battaient avec une ardeur renouvelée ; les chasseurs de primes, d’abord surpris, reprenaient du poil de la bête.
      Ange payait les conséquences de sa déclaration : s’il avait réussi, semblait-il, à motiver ses camarades, il s’était aussi désigné aux yeux de ses ennemis comme le chef à abattre. Ainsi, au lieu de rester tranquillement à tirer au pistolet dans un coin de la pièce, le dos contre un mur pour s’échapper en cas de problème, il se retrouvait à combattre plusieurs chasseurs qui en avaient après sa tête. Soudain, alors qu’il repoussait comme il le pouvait ses adversaires avec ses dagues, Den euh… ‘Pa apparut derrière lui, et lui offrit une solution inattendue pour échapper à ses ennemis.

      - Chef, avec tout le respect que j'ai pour vous ... vous voyiez les otages là-bas ?
      - Hein ? Euh oui, mais ils sont à l’autre bout de la salle. Hééé ! Mais… qu’est-ce que tu fais ?! Lâche-moi !!

      Sans écouter les protestations de son supérieur, l’homme vêtu de gris le souleva à bout de bras et le projeta dans les airs.

      -Bonne chance monsieur !

      ***

      Après un vol plané qui n’avait d’angélique que le nom, le cambrioleur atterrit violemment sur un homme dont, parce qu’il avait à la fois une tête de forban et un chapeau de cow boy, il ne réussit pas à déterminer s’il était un des truands ou un habitant de la ville.

      Aouch ! Heureusement que ce bonhomme était la pour amortir ma chute : sans lui, j’étais bon pour une belle bosse.
      Il faut voir le bon côté des choses : tu as échappé aux autres. Et puisque tu y es, autant délivrer les otages.


      Après s’être relevé et massé sa poitrine douloureuse à cause de son atterrissage, le voleur s’approcha du pirate le plus proche, qui malgré la pagaille continuait de ronfler.

      Ah, zut, il a des menottes. Qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire ?...
      Tu peux commencer par le réveiller, et il t’aidera à relever tout le monde. Ensuite, tu chercheras les clés, et même si tu ne les trouves pas on pourra toujours… eh, attention !


      Alors que le sauvage, sans se préoccuper de se qui se passait autour de lui, s’était arrêté pour réfléchir, les chasseurs de primes restés à côté des prisonniers, après s’être remis de leur étonnement de voir ainsi un homme tomber du plafond, avaient conclu qu’il s’agissait très probablement d’un pirate et s’étaient décidés à l’éliminer. L’un d’eux s’était alors rapproché et lui avait décoché un grand coup de sabre. N’ayant pas le temps de parer, le voleur se jeta à terre. La, au lieu de s’affaler durement sur le plancher, il fusionna avec et se transforma en porte -ou plutôt en trappe- à la grande surprise de ses adversaires. Sitôt l’attaque passée, il annula sa transformation et reprit sa forme normale tout en revenant à sa position de départ, comme projeté par un ressort.

      Un, deux, trois,… hum, ils sont quatre autour de moi. Quoi qu’on puisse en dire, je crois qu’ils me surestiment largement !
      Alors tu devrais en profiter : prends un air méchant, lance une réplique incisive, et lance-toi dans l’attaque en poussant un cri de guerre terrifiant !
      Hein ?! Mais c’est moi qui suis terrifié ! Ils sont quatre !!
      C’est peut-être aussi toi qui te sous-estimes. Allez, au boulot feignasse !


      Ange s’exécuta : d’abord, un sourire, ça rend toujours bien les sourires. Même si on est en situation désastreuse, ça décontenance l’ennemi de voir son adversaire sur de lui, ou même se moquant de ses ennuis. Ensuite, une phrase bien : le voleur commença par tourner sa langue dans sa bouche pour ne pas dire de sottise, mais il ne se souvenait plus si on disait « tourne sept fois ta langue dans ta bouche avant de parler », ou « tournes dix fois ta langue dans ta bouche… ». Il eut alors la malheureuse initiative de la tourner sept fois, puis de commencer à parler tout en la tournant les trois fois restantes :

      - Ble Blai Blou découper en petits morceaux !
      Tu peux ajouter un rire sadique, pour faire meilleur effet.
      Oh oui, bonne idée !

      - Mouahaha !
      Non, ça c’est le rire du méchant qui est content de lui et qui nargue le gentil !
      Hum, on réessaie alors.

      - Nyahaha !
      C’est déjà mieux.
      - Ho ho ho !
      Non, non, stop, c’est bon, tu peux arrêter !

      Quoiqu’intrigués, les chasseurs de primes n’en menaient pas large. Déjà, leur adversaire avait évité le coup de sabre mais ils étaient incapables de dire comment. Ensuite, il s’était mis à les regarder avec un grand sourire gourmand. D’ailleurs, ses dents limées en pointe, comme c’était la coutume dans sa tribu, ne le rendaient pas moins menaçant. Après cela, il avait déclaré une phrase qu’ils n’avaient pas bien comprise mais qui ne les avait pas plus mis en confiance, puis s’était lancé dans une série de rires qui les avait renforcés dans l’idée qu’ils s’apprêtaient à affronter un type sadique. Maintenant, aucun des hommes qui entouraient le sauvage n’avait envie d’être le premier à attaquer.
      Profitant de leur hésitation, Ange pourra un hurlement à mi-chemin entre la terreur et la crise de nerfs, et se jeta sur le premier venu ; ce n’est qu’une fois au contact qu’il se rendit compte qu’il avait oublié de dégainer ses dagues…

      Poussé par son élan, l’albinos culbuta son adversaire et les deux hommes tombèrent à la renverse. Une fois par terre, chacun essaya de se débarrasser de l’autre en le repoussant à coup de pieds et de poings. A la fois par frayeur et pour amortir sa chute, le chasseur de primes avait laissé tomber ses armes –un très beau colt et un couteau avec le nom de sa petite amie gravé sur le manche. Avec un petit cœur autour. Le nom de sa petite amie, c’est Vanessa. Il a un peu dérapé sur le second « a » en le gravant-, si bien que le sauvage et le chasseur de pirates de battaient tous les deux à main nues, ce qui redonnait l’avantage à Ange qui pouvait compter sur des ongles longs comme de petites griffes et ses dents. Grattant, griffant, mordant, il finit par avoir raison de son adversaire qui se laissa choir sur le plancher, épuisé. Le cambrioleur se releva, se lécha des doigts car il ne supportait pas d’avoir des saletés sous les ongles, puis tira ses dagues et, sentant qu'on attendait un commentaire de sa part, dit dit :

      - Bon, -euh- à qui le tour maintenant ?

      Ça serait tout de même dommage qu’ils te répondent tous en même temps "à moi !".
      Houlala, j’aurais mieux fait de rester par terre, et de m’échapper en me transformant en trappe !


      Par bonheur, personne ne répondit. Les trois adversaires restant s’étaient mis en position défensive, et leurs visages affichaient une concentration intense : visiblement, ils n’en menaient pas large. Reprenant l’initiative, Ange se rua sur le Wiskey Peakien (ou Peakois, ou bien Peakais,…), qui se trouvait à sa gauche et lui assena un méchant coup de dague au visage.

      ***

      Le second de l’équipage était venu à bout des trois chasseurs de primes avec une facilité qui le surprenait beaucoup. Après que son dernier ennemi se soit écroulé en gémissant, il était resté plusieurs secondes à regarder ses mains serrant encore ses armes, comme si elles appartenaient à quelqu’un d’autre.


      Aargh…

      Wouhou, mais je suis plutôt bon en fait ! Ou alors ils étaient nuls… ?
      Je me doute bien que maintenant tu vas me dire que tu as bien le droit de te reposer, et donc de t’échapper, mais il reste encore plein de monde et nous ne sommes pas vraiment en bonne posture.
      Ah, zut, j’espérais pouvoir filer en douce. Bon, alors je dois faire quoi ?
      Si tu es venu ici, enfin si ShiPa’Eru… hum, si le doc’ t’as envoyé ici, c’est pour libérer nos prisonniers alors fais-le !


      Essayer d’enlever les menottes à tous les Truands prisonniers, et qui, alcool aidant, dormaient toujours, prit plusieurs bonnes minutes : d’abord, Ange essaya de forcer sur les menottes, mais elles tenaient bon. Ensuite, il tenta d’en forcer la serrure avec une de ses dagues pour les ouvrir mais ça ne marchait pas. Enfin, il voulut transformer ses mains en petites portes sur les poignets des menottes pour les ouvrir, mais c’était trop complexe pour lui.

      Tant pis, colle-leur des baffes pour les réveiller, ces poivrots ! Et une fois qu’ils seront debout, on filera par une porte dérobée.

      C’est ce qu’il fit, et cela se révéla efficace : bientôt, les pirates saouls émergèrent de leur torpeur et, la tête lourde, essayèrent de comprendre ce qui se passait.

      - Hum hum ! Bon, on ne va pas réussir à les sortir de la venez avec moi, on va prendre une porte dérobée ! Vite, suivez-moi.

      Mais oui, bien sûr, on préviendra les autres, ceux qui sont encore en train de se battre... une fois qu'on sera à l'abri !
      Tu n'as pas honte ?! Tu es leur second quand même.
      Hé, je ne suis pas fort comme Satoshi, moi !


      Profitant de la diversion qu’offraient Shimeru, Juusei, et les quelques membres d’équipage en état qui continuaient à combattre, Ange entraina ses camarades toujours menottés contre un mur s’y adossa, puis sentit l’impression maintenant plus familière qu’on l’écrasait dans un moule à crêpes , et, transformé en porte, pivota sur le côté, offrant une issue sur l’extérieur à ceux qui le suivaient.

      - Vite, dépêchez-vous, on va se réfugier au bateau ! Pressez-vous, je ne tiens pas à être encore ici quand ils s’apercevront de notre fuite.
      - Hé, regardez, les prisonniers s’échappent !

      Ah, trop tard…
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      - Hé, regardez, les prisonniers s’échappent !

      C'était pourtant vrai ! Le second au crâne verni se faisait la mal avec les compagnons d'équipage pendant qu'ils n'étaient plus qu'une poignée à attirer toute l'attention des chasseurs de primes, ou plutôt ils venaient de perdre l'attention de leurs opposants qui étaient bouche-bée face à l'envolée des prisonniers. Pendant que certains tourné la tête Shimeru put souffler un peu grâce à la baisse de concentration de ceux-ci mais maintenant que tout le monde sortait il n'avait plus de raison particulière à rester là. Le nouveau plan c'était de partir. Mais il y a pleins de blessés à terre, comment on peut les rapatrier ?! Oh et puis turbines : avec un pied il écarte les plus courageux et avec les mains il ramasse un maximum de pirates. Un sur chaque épaule et sur la tête, quatre dans les bras et un dans chaque main et c'est le moment de partir ! Ouf ouf ouf on reprend son équilibre après s'être baissé pour passer le linteau de la porte et on court à toutes jambes, bandits derrière et navire devant, heureusement Juusei ralentit les poursuivants et le groupe de pirates prend de l'avance.

      *Problème détecté...perte soudaine de masse...t'as rien oublié en route ?*

      Hé ! Depuis quand mon analyseur lui parle comme ça ? Bref c'est pas son problème le plus urgent vu que la perte de plusieurs kilo est dut à ... oh non ... le gars qu'il avait sur son chapeau vient de tomber dans l'allée, à la merci des chasseurs qui s'approche à grande vitesse malgré les efforts désespérés du compatriote rouge. Vite demi-tour, resserant son étreinte sur les autres pour pas les perdre quitte à les étouffer...non les étouffer ce serai bête...bah alors quitte à leur faire des bleus, voilà ça c'est mieux. Den atteint sa cargaison perdue qu'il remet en place vite fait sur son haut-de-forme noir et reprend sa course, les bandits à quelques mètres de ses fesses et de celles de ses passagers. Oula un coup d'épée qui est pas passé loin, et puis un deuxième, un troisième, de plus en plus et ça en devient très dangereux. Etron ! Il a les mains occupées et les pieds en train de courir, il lui reste plus que la bouche mais manger de la chair humaine n'est pas dans ses fonctions (même s'il peut et d'ailleurs se demande quel goût ça a, mais passons...). Quoique il lui reste une option :

      *Application offensive...electric's air mode partiel...envoi*

      Il se retourne et se met à courir en arrière pour continuer à foncer au navire sans quitter ses ennemis des yeux, puis vaporise dans la direction des poursuivants un pulse d'eau de mer qui se répand dans les rangs des bandits. Ouïe ça doit piquer de l'eau salée dans les yeux humains, vu qu'ils sont la majorité en train de se frotter les yeux en continuant de courir pleins gazs...mais pas forcément dans la bonne direction. Beaucoups dévient ou bousculent d'autres pendant un laps de temps, mais la rage de l'or leur fait vite oublier la douleur et la poursuite continue, au moins les pirates ont gagné en distance et perdu quelques fou des berrys. La course continue et le navire n'est plus qu'à quelques mètres, les premiers arrivé préviennent déjà les renforts du navires qui étaient de garde et ne faisaient pas la fiesta. Pendant que les victimes montent, les hommes tout frais descendent et se confrontent aux chasseurs de primes qui commencent à avoir les miquettes en voyant une nouvelle vague de pirates arriver. Laissant la bagarre à d'autres Shimeru fonce et dépose ses passagers sur un banc du pont supérieur, part chercher à l'infirmerie une valise pour les blessures superficielles et remonte s'occuper d'eux, lui aussi à quelques contusions mais d'abord ses patients (de toute manière sa programmation l'empêche de se guérir en premier).

      - Tenez, serrez, appuyez, ne pas lâcher. Pareille, idem, même chose, vous aussi, ...

      -Beu blargh, fleugeula bllll ... dit-il en dégobillant par-dessus bord, du côté de la terre.

      Répétant instruction sur instruction et tapotant du doigt sur le doigt du vomissant, il aperçoit au même moment son subordonné au vol gracieux qui s'occupe des menottes des otages qui ont pris une autre issue pour sortir de la salle. Ils semblaient tous allez mieux mais une dernière personnes se présenta et pas au mieux de sa forme : le capitaine Noriyaki au bras à moitié ouvert le tenant fermement arrivait au navire un pied après l'autre. Il était pas en forme et Shimeru était déjà partit prendre un valise d'un calibre supérieur au blessures légères.

        Whiskey Peak nous voilà !
        ....................................................................................................................................................................................................................................................................................
        Cassons leur la gueule les mecs !

        Nom de dieu ! J'sais pas qu'est c'qu'on leur a fait mais cette bande de bras cassés avait bien l'intention tu tous nous enterrés six pieds sous terre. Une trentaine ? Ouais, ils doivent bien être une trentaine. Après moi j'dis ça, c’est à peu près ce que j'vois. Mais ils se prennent des trucs de ouf dans la tronche ces gars là ! Quelle bande de pourris, j'te jure. Arrghhh !!! Creve ordure ! - Humm ? C'est juste un type de cette troupe de guignols. J'le vois m'envoyer un coup de poing par terre via la glace qu'est devant moi, j'me baisse tout en me retournant, et boum, coup d'pied dans les côtes, coup d'poing dans les dents, il est à terre, inconscient. Quand j'te dis qu'c'est une bande de bras cassés. Ils savent même pas s'battre, nan mais c'est quoi c'délire tu m'explique ? Fin bref, la soif me brûle la gorge, le bar est juste en face, j'y fonce. Je m'excuse au prêt de pas mal de monde pour atteindre le Graal et fini par être interrompue en pleine course par un autre de ces bons-à-rien. J'dégaine une de mes masses et pas l'temps d'réfléchir, j'lui tape dedans. Il vole et s'explose contre le mur, je m'assoie au bar et demande le barman. Comme par la plus grand des hasard, y'a personne. Tous des chiffe-molle ... Je m'agrippe à la rambarde du comptoir, saute par dessus pour passé côté serveur et là: HALLELUJAH ! Du rhum, d'la vodka, du sky, p'tin, c’est l'paradis ! A moi, la grosse cuite de la journée ! Ziwhahahahaha ! J'commence par quoi ? Y'a tellement d'alcool différent !!!? Le rhum ? Ouais allez, c’est tellement délicieux, avec ce gout sucré et en même temps épicé pour certaines bouteilles, y'a rien d'mieux. Sauf le saké. J'décapsule la première bouteille et la siffle en seulement quelques gorgées. Il en reste trois, uniquement trois. Bon faut pas gâcher ça, surtout qu'avec toutes ses brutes aux alentours, elles sont condamnés à l'éclat et au gaspillage. Ce qui n'est absolument pas tolérable ! J'viens de foutre dehors pas mal de ces gaillards juste avant, alors j'me récompense c'est normale quoi... Allez, et une gorgée pour moi ! Gnuh,gnuh,gnuh,gnuh,gnuh,gnuh,gnuh,gnuh,gnuh,gnuh... Aaaarrrr. Boaaaaarfff ! Un p'tit rototo, et c’est repartit ! Dernière bouteille, j'entame la troisième. Rendu à la moitié, j'vois à travers le verre le Graal des Graal, le messie, l'alcool qui envoie n'importe quel homme qui le goûte au septième ciel. Il se trouve au fond d'la pièce et mon regard reste fixé à sa forme si raffiné. J'traverse de nouveau la pièce pour aller à son encontre. Bien sûre, pas mal des gars qui nous attaquent sont venus m'emmerder avec leur connerie, arme à la main. Le premier, j'l'éclate avec le bout d'la bouteille. Celui ci éclate et ne laisse que l’embout avec le reste en forme de piques. Un second s'ramène, j'le plante et le pousse contre une table, qui s'écrase à terre. D'autre viennent, j'prends mes deux marteaux, à moitié shooter, et leur balance dans la gueule. Ils tombent par terre, j'ramasse mes armes et continue mon pèlerinage. La voilà, la bouteille mystique. Je casse la vitrine la contenant et la prend délicatement. Je la porte comme la bouteille d'un grand cru et dévisse le bouchon délicatement. Je renifle doucement la substance par le trou et en prend une petite gorgée... MAIS IL EST TROP BON !!!! Un truc de dingue, alros je l'enfile en deux temps trois mouvement mais... *PAN* La moitié déjà bu, l'autre venait tout juste d'éclabousser le sol. Le réservoir coupé en deux, la balle d'un pistolet ne pouvait être que la cause de cet acte. Je regarde par la gauche et aperçoit le malfrat, avec l'arme à la main, le canon encore fumant.

        « Tsss... Tu sais c'que tu viens d'faire là ?, lui dis-je les cheveux couvrant mes yeux. »

        « Nan, qu'est c'que j'ai fais ? Oh ... J'ai cassé ta bouteille, tu vas aller pleurer ta maman hein ?? Ahahahaha !, me répond t-il de son aire moquant. »

        « Nan, tu viens de signer ton arrêt d'mort ! »

        Quel connard ! J'vais t'éclater la gueule ! J'prend de l'élan et j'fonce sur lui. J'le plaque à terre, lui fou deux/trois baignes et lui me dégage par un coup d'genoux dans les côtes. J'me relève en m'appuyant à une chaise, j'la choppe et lui envoie dans la tronche. Il l'esquive et me tire dessus. Par chance, une table encore bien entretenu traînait dans l'coin. Je la prend et m'en sert comme bouclier pour stopper ses balles. J'l'entends qu'il recharge. je soulève la table et la balance dans sa direction. Je me décale vers la gauche et lui envoie par le côté une de mes massues. Tiens prend toi ça ! Il esquive encore une fois en rattrapant mon arme par son manche. J'lui envoie le deuxième et passe par l'autre côté de la table pour créer un effet de dispersion. Maintenant il a le choix, me tirer dessus ou rattraper une nouvelle fois mon arme. A lui d'choisir. D'un côté, moi qui lui fonce dessus et de l'autre, un marteau en granit qui vient lui éclater le crâne. Il détourne l'arme par le premier marteau qu'il venait de réceptionner mais trop tard. J'suis là mon pote ! J'le prend comme si j'allais le plaquer mais le pousse jusqu'à la paroi de l'auberge. Faite de bois, elle éclate en morceau une fois le choque de son corps reçus. Une fois à terre, j'lui flanque une raclée et le recouvre de sang. Tout en me relevant , je ressentais un sentiment que je n'avais pas ressentit voilà quelques années déjà, celui d'une puissance revenue.

        « Ah !!! Ça faisait longtemps qu'une bonne baston ne m'était pas arrivée comme ça ! »

        Je prend mon arme qui se trouve à côté de ma victime, je rentre par le trou causé d'il y a quelques secondes et récupère ma deuxième arme.

        « Bon les gars, où est le capitaine ? Et qu'est ce qu'on branle maintenant ?? », que j'dis tout en le criant dans l'auberge.
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        Soit Juusei est schizophrène et a un grave problème a régler, soit l'alcool a complètement atteint sa vision des choses, car la quasi-totalité de l'équipage est retournée au navire. Il faut avouer qu'il n'est pas dans son état normal, une véritable bête féroce. Voyez vous, rester tout seul dans une auberge et interpeller ses partenaires par la suite n'est pas vraiment une preuve de "Je suis sérieux et j'ai toujours ma tête". Peut être a-t-il été drogué, néanmoins sa situation reste assez comique pour que tous ses adversaires rient jusqu'aux larmes. Sa réaction sera peut être exagérée, les tuer tous ? En tout cas il n'a plus qu'à retourner au navire si il ne veut pas être surchargé par ses adversaires.

        ***

        Avant d'arriver au navire, Satoshi avait eu quelques ennuis, en effet marcher en ville de nuit avec un bras à moitié ouvert n'est que très peu conseillé dans les livres, surtout lorsque l'on se trouve dans une ville comme Whiskey Peak alors que notre prime s'élève à quelques dizaines de millions, il n'y a pas que les cactus qui seraient capable de piquer dans ces cas là.

        Mr 1 en était. En effet, il avait retrouvé la trace de sa cible depuis quelques centaines de mètres et attendait le bon moment. Restant dans l'ombre, silencieux, attendant de pouvoir bondir sur sa proie. Malheureusement pour lui, un coup dans une poubelle, un chat qui beuglait et le contenu qui s'entassait sur le sol le trahirent. Le Gentleman se retourna et observa son ennemi tout en tenant son bras, il était en position de faiblesse, un combat serait désespéré. Alors la seul solution est le dialogue.

        « Qui êtes vous ? Que voulez vous ? »

        « Votre prime. »

        « Vous êtes assez direct, mais pensez vous vraiment que je vais me laisser faire ? »

        « Et bien, battons nous. »

        « Néanmoins, quelque chose serait intéréssant non ? Pourquoi ne pas attendre que ma prime monte en flèche, vous gagnerez plus. »

        Les deux hommes se ressemblaient assez, tous deux amateurs de costards, de classe et d'argent, de casinos, voulant s'enrichir quel qu'en soit le prix. Noriyaki sait reconnaître ce genre de personne : une dégaine classe, un révolver caché derrière la veste et des paroles sans injures. Le point faible de cet homme, qui est aussi celui du Dandy, était repéré.

        « ... Certes mais si je vous laisse partir maintenant alors que vous êtes en position de faiblesse, peut être que cette occasion ne se présentera plus jamais. »

        « Et bien, si vous me tuez maintenant, mon équipage se disloquera et leur prime n'auront pas l'occasion de grimper elles aussi, non ? »

        « Mh...
        Je vous laisse partir, mais sachez que la prochaine fois que nous nous reverrons, ce ne sera pas pour discuter, car je suis sur que votre prime ne tardera pas à grimper, que ce soit la votre ou celle de votre équipage. »


        Un hochement de tête pour le remercier plus tard, Satoshi disparu pour se diriger vers son navire. L'organisation de chasseur de primes est écartée, mais personne sur le navire n'est au courant que ce ne seront pas leur seuls ennuis.

        ***

        Tous rendus au navire, les Truands semblent s'activer sur le pont, le capitaine se fait recoudre le bras tandis que de curieux personnages montent à bord. Un blond. Primé à quelques 32 000 000 de berrys qui plus est. L'éclair Jaune. Il est accompagné de quelques unes de ses comparses, un grand fort et gros avec un regard ténébreux qui fait fuir les plus faibles du pont et un petit maigrichon au sourire bête gaffeur et incapable. Un pirate amène l'homme jusqu'au capitaine du navire.

        « J'te connais toi... »

        « Non non, mais dîtes moi, vous n'auriez pas trouver un coffret ? Il semblerait qu'un de mes hommes l'ait égaré. »

        Satoshi avait longtemps fait parti d'une organisation l'obligeant à prendre de rapides décisions. Là il a le choix entre répondre franchement en narguant son concurrent rookie ou nier l'évidence. Mais la deuxième alternative est la plus sage, car le combat contre les chasseurs de primes a affaibli ses coéquipiers et lui-même. Néanmoins la tentation de piller son navire est assez grande pour qu'une gaffe sorte de sa bouche, et si cela se produit il faut que les pirates du Talon d'Or soient rapides. Assez pour qu*

        « C'est p'tet moi ouais, mais y'avait pas d'liquide dedans pff... »

        « ... Toi ... »

        L'éclair Jaune bondit sur le capitaine en train de se faire soigner, alors les nakamas, rapides ou pas ? Sur le pont comme dans l'infirmerie, ça allait péter grave. Et à la vue d'un combat sur le pont, les pirates du blond ne sauraient tarder.


        Dernière édition par Satoshi Noriyaki le Sam 25 Fév 2012 - 21:36, édité 1 fois
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        Il avait beau se passer et repasser le déroulement de la soirée dans sa tête, Ange sentait la situation lui échapper. Jusqu’au début des combats, ça se tenait à peu près. Ensuite, ça devenait de plus en plus flou ! En se repassant le déroulement de la soirée dans sa tête, il se souvenait avoir réussi à ramener ses camarades titubants et encore menottés -ceux qui avaient été fait prisonniers- jusqu’au Lady. La, il avait déniché un attirail de forgeron et s’en était servi pour libérer quelques matelots, qui avaient ensuite plus ou moins maladroitement délivrés de leurs entraves leurs camarades. A peu près au même moment, la plupart des autres pirates, ceux qui étaient restés à se battre dans la salle des fêtes, les avaient rejoints, ramenant derrière eux un groupe de poursuivants chasseurs de primes. Bon, jusque la, tout se tenait à peu près. Certains Truands, dont le capitaine, étaient encore portés disparus, mais il ne fallait surement pas s’inquiéter outre mesure : dans le pire des cas, on irait les chercher au matin, quand la situation se serait éclaircie.
        Finalement, Satoshi était rentré, le bras en sang, ce qui avait fait taire les mauvaises langues qui ne se privaient pas de dire que si aucun membre de l’équipage ne l’avait vu de la soirée, c’était parce qu’il était en train de se saouler dans un coin en compagnie d’un harem. Renonçant à demander des instructions à son chef blessé, Ange était remonté sur le pont et avait aidé ses hommes à tenir les attaquants à distance. Pour ce faire, il avait ordonné de tirer quelques coups de canons sur les quais. Les tirs n’avaient pas été très efficaces puisqu’ils n’avaient touché personne à l’exception de la façade d’une maison proche, mais ils avaient réussi à semer la panique parmi les chasseurs de primes.
        Finalement, une fois la situation repassée dans sa tête, le sauvage la comprenait déjà un peu mieux.

        En revanche, après cela, une bande de pirates sortis d’on ne sait-ou, avec à leur tête un homme qui avait une assurance de type qui a sa photo sur une affiche avec un gros chiffre en dessous, étaient monté à bord et avaient exigé de voir Satoshi. Ils ne semblaient pas appartenir au groupe des chasseurs de primes, et n’étaient pas plus agressifs que le pirate moyen. Un peu dépassé par les évènements, et ayant autre chose à faire que de se mettre d’autres personnes à dos, mais aussi parce que les regards de l’homme ténébreux qui accompagnait le blond le mettaient mal à l’aise, le second avait désigné un homme pour les conduire au capitaine, qui était en train de se faire rafistoler dans un coin.

        ***

        Ange avait eu le choix entre écouter la conversation entre le pirate blond et son capitaine, tout en se tenant les bras croisés à côté d’eux, un grand sourire aux lèvres et en hochant la tête régulièrement pour faire semblant de comprendre ce qui se disait alors qu’il serait à coup sur largué par la conversation, ou tenter de remettre de l’ordre dans sa tête et réorganiser l’équipage en criant des ordres dans tous les sens. Misant sur le fait que les nouveaux venus étaient des alliés –sinon ils ne seraient sans doute jamais monté à bord si facilement !-, le cambrioleur choisit les seconde options et se mit à distribuer des ordres à qui voulait en entendre. Ce n’était sans doute pas la méthode la plus efficace, mais ça soulageait. A cause de son choix, il ne comprit pas pourquoi tout à coup les Truands se jetèrent sur les hommes du pirate blond, qui eux-mêmes tentèrent de se jeter sur Satoshi.

        Houlala,… j’ai tous les éléments dans la tête, mais décidément je suis perdu ! Qui sont ces gars, d’où sortent-ils ? Combien d’ennemis est-on en train de combattre à la fois ? Que doit-on faire ? Je serais bien tenté de rester dans un coin en attendant que ça se calme…
        Oui, ça éviterait peut-être que tu fasses surchauffer ton cerveau. Hum, en tout cas, on devrait peut-être commencer par essayer de mettre tout le monde à l’abri, en s’arrangeant pour que personne d’autre ne puisse monter à bord ?
        Se mettre à l’abri… ah, je peux monter en haut du mât et m’y faire oublier ?
        Mais non ! Il faudrait quitter le quai : nous seront plus à l’abri au milieu du fleuve, et personne ne pourrait s’approcher sous peine de subir nos canons.


        Des bagarres éclataient un peu partout, mais comme Ange, beaucoup de pirates n’étaient pas certains de saisir la tournure des évènements. A ceux-là, le sauvage ordonna de lever l’ancre pour mener le bateau au milieu du fleuve, puis aux artilleurs de se tenir prêts à aligner tous ceux qui tenteraient de s’approcher du Lady Million : l’extérieur sécurisé, on pourrait faire le ménage à l’intérieur. Ce qu’il ne pouvait pas deviner avec cet ordre malheureux, c’est que plus tard, un artilleur de l’équipage qui ne comptait pas sur son intelligence pour réussir dans la vie, en voyant arriver Phoenix avec un peu de retard et désireux de suivre scrupuleusement les ordres, essaierait de lui envoyer un boulet de canon.
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        Il n'avait eut que le temps de serrer le bandage de son capitaine que le petit teigneux le prit pour cible, et l'un de ses accompagnateurs qui assurés plus l'intimidation que sa sécurité préféra s'occuper de Den qui se prit un coup de poing de plein fouet au visage, le faisant s'écrouler en arrière sur le pont du navire, la force de l'homme n'était plus à prouver. Même s'il venait de remporter l'exploit de fire tomber Shimeru de toute sa hauteur, encore que ce n'était que de la lâcheté de s'attaquer à un médecin dans l'exercice de ses fonctions, mais vu qu'il soufflait sur sa main il avait dut se rendre compte de la matière qu'il venait de frapper avec tant d'entrain : le cyborg passa la main sur son visage pour vérifier que sa peau était toujours intact et qu'il n'y avait pas de bosse dans le coffrage. Il se releva peu à peu et en profita pour écouter ce qui se passait autour d'eux : les bagarres éclataient entre les deux groupes et le second donnait des ordres pour éviter que d'autres ne se mêlent de ce règlement de compte, on ne savait ce que le capitaine avait fait pour provoquer le gros bonhomme mais ce n'était sûrement pas parce qu'il lui avait volé une sucette.

        -T'as la peau dure toi hein ? Voyions jusqu'où peut-elle tenir, d'abord avec ça...

        Il se frotta une dernière fois la main et dégaina son sabre. S'il voulait tester Shimeru c'était sûrement la bonne arme à utiliser, mais est-ce que le bretteur qui la tenait s'en servait correctement ?

        *Analyse adverse...arme banal...attitude agressive...riposte de premier niveau*

        Voyant son opposants courir et tourner autour de lui il en déduisit que celui-ci au moins ne fonçait pas comme une mûle sur le premier ennemi venu, il ota donc son chapeau mais ce n'était pas par politesse. Il empoigna le bout de son ruban et suivit du regard le sabreur qui leva son sabre, sauta vers Shimeru pour abattre sa lame sur lui mais le ferrailleux lui lança son haut-de-forme de quelques centaines de kilos, pour l'éviter il dut s'arréter dans son élan et se coller à terre, mais c'était sans compter que tenant l'autre bout du ruban le cyborg put ramener le chapeau dans la direction opposée. Manquant d'élan le chapeau vint s'écraser à l'endroit que le sabreur avait choisi pour éviter le lancer, dommage que l'homme se soit déjà déplacé car le combat se serait vite conclu. Il avait recommencer de courir autour de sa cible mais cette fois-ci il n'attendit pas et se précipita sur Den avec la lame horizontale comme pour le décapiter, le coup aurait été judicieux s'il n'avait pas eu trop confiance en soi. La conserve de 3 mètres n'avait pas quitté son adversaire du regard et sa tête était tourné vers lui lors de sa seconde tentative d'assault, qu'il coupa dans son élan en lui vaporisant au visage un bon demi-litre d'eau de mer par la bouche.

        -'Tin qu'est-ce que tu m'as fait espèce de taré ! Attend que mes yeux redeviennent normaux et je te démolit membres par membres !

        - Tu te mets entre moi et des blessés, même si tu en es un toi-même tu comprendras mon choix.

        Le cyborg s'approcha du malheureux qui semblait souffrir mille martyrs, et leva son énorme poing au-dessus de celui-ci. Le combat allait s'achever quand soudain...

        -T'es aussi lent que t'es con.

        Ce dernier empoigna son sabre et l'abattit sur Shimeru qui se retrouva avec le torse entaillé sur sa hauteur...comment cela se pouvait ? Il le regarda et vit qu'il portait des lunettes. Pourqoi son système ne lui avait pas fait remarquer de l'inutilité de son jet de vapeur ? C'était sûrement dût aux anomalies magnétiques de Grandline, même si son système est sécurisé il y a certaines failles dans lesquels son programme pouvait se mélanger les pinceaux. Alors que son adversaire riait et se remettait en position d'attaque, ne courant plus car trouvant sa cible trop désavantagée, il sauta vers Shimeru de front pointe de son sabre vers l'avant. La grande boîte à ouverture facile n'eut comme réflexe qu'un simple coup de poing dans sa direction, que son opposants évita simplement en s'appuyant sur le poing lancé et en faisant un magnifique salto arrière. Seulement...il se trouve que Den avait gardé dans sa main le bout du ruban, avec à l'autre bout son chapeau qui était parti en même temps que le coup de poing, et poussé par l'élan avait continué sa course dans la même direction que celui-ci. Alors que le sabreur terminé son salto il reçut le haut-de-forme qui s'écrasa complètement sur lui, le faisant traverser tout le pont sans toucher le sol, il ne se releva pas.

        Recouvrant ses esprits le métallique regarda la plaie du sabre et vit que ce n'était une petite blessure qu'il avait là et partit vers la valise de secours qu'il avait laissé sur place lors du début de l'affrontement. Après s'être occupé de ça il faudra qu'il parte voir les autres victimes.
          Whiskey Peak nous voilà !
          ....................................................................................................................................................................................................................................................................................
          Cassons leur la gueule les mecs !

          « Bon les gars, où est le capitaine ? Et qu'est ce qu'on branle maintenant ?? »

          Cap'tain ? Cap'tain ? Où êtes vous capt.... Ouaah ! J'suis complétement torché ! Qu'est c'que j'ai mal à la tête ... J'ai l'impression qu'on m'a roulé d'ssus. J'ai tellement mal que j'vois plus personne dans l'bar. L'alcool c’est vraiment mauvais pour moi à c'quon dirait bien. J'ai du faire pas mal de connerie, car là y'a trois hommes de dégommer dont un étalé dehors. Mais qu'est c'qui c'est passé ici ? On s'est amusé sans moi on dirait. La barman qui venait de remplacer son collègue me regarde, la clope à la bouche *avec son air de pétasse*, et me rappelle la soirée.

          « Hey bein mon mignon, on a du mal à s'lever ? »

          « Qu'est, qu'est c'qui s'est passé ici ... ? »

          « Premièrement, tu ne mettras plus les pieds ici pour dommage à autrui. Deuxièmement, on dirait que l'alcool te fait faire des choses pas correctes. Une fois que t'es rentrée, ta commencer à tabasser tout le monde pour la moindre goutte d'alcool. Tu vois les trois clodo par terre, c'est toi qui leur à fais ça. C'est pas beau à voir ... »

          « C'es,c'est moi ? ..... Et au faite, vous auriez vu un dandy au chapeau, un chauve et un mec au cheveux longs et gris avec un comportements bizarre ? »

          « Ah, un dandy non, mais les autres oui. Alors ces types sont avec toi ? »

          « Ouais c'est ça.... » * Ouch, j'ai mal à la tête !*

          « Ils m'ont dis en début de soirée qu'ils regagnaient leur navire et qu'ils partaient le plus tôt possible. Donc à toi d'voir. »

          « Qu..Quoi ?? Merde faut qu'j'y aille ! Merci encore pour tout ! »

          « De rien... »

          Putain, ils vont pas s'casser sans moi quand même ? J'rêve ou quoi ? Faut que j'me grouille ! Je cours, je cours, mais j'ai l'impression de ne pas avancer. J'suis tellement stresser par l'idée d’être abandonné sur cette île de dingue ... Après tout, j'suis sur Grand Line, faut pas s'étonner. Alors que je m'empressais de courir, me voilà enfin rendu au point de rendez-vous, là où on avait amarré le Lady Million un jour plus tôt. Mais quelque chose cloche et je dois en avoir le coeur net. La population à bord de notre navire était bien trop importante pour ne compter seulement les Truands à son bord. Et à y regarder de plus près ... Quoi ? Le Cap'tain a le bras en sang ! Et merde ! De plus, y'a pas mal de gaillard posté devant lui les armes en mains prêts à frappé dès qu'ils en auront l'ordre à mon avis. J'dois m'bouger le culsi j'veux pas l'voir crever sous les yeux. Attendez moi j'arrive les gars ! Je saute vers le bateau en prenant mon meilleur appuie et arrive à atteindre le bord du navire. Dégainant alors mes deux massues, la bataille venait déjà de commencer. Et merde, ils auraient au moins pu m'attendre comme même ! Deux, trois de mes coups suffirent à en éloigner plus d'un. Le second du Lady Million est entrain de vider ses poumons d'ordres pour contrés les attaques de l'ennemi. Lames contre lames, la bataille faisait rage au beau milieu du navire. On se débrouille comme on peu, mais c'est à dire qu'ils sont pas mal les gaillards là... J'suis entrain d'me battre avec pas mal de ces types, et là un grand blond m'approche. T'es qui toi, gros comique ?? - Tu n'sais pas qui je suis ? Je suis le grand.. !! - Ouais c'est ça, TA GUEULE ! Un coup dans les dents et il s'en va pleurer sa maman, AHahahah ! Rien d'mieux qu'une bagarre où on prend son pied avec ses ennemis. Fruuuush ! Qu, Quoi ?? Une lame ? A travers mon épaule ? Et merde fait chier... et ça fait mal en plus !!!

          « Qui c'est l'enfoiré qu'a fait ça hein ? »

          « C'est moi... Héhéhé. »

          « Fils de ... * Aiegh !!!* Tu vas voirAhhhhhh ! »

          J'suis vénère là, qu'on vienne pas m'les cassés ! Lui j'vais lui éclater la gueule, il va rien comprendre ! Mais merde, j'ai tellement mal à l'épaule gauche qu'il vient de me transpercer que je n'arrive même plus à soulever mon arme. J'ai des frissons, le sang coule de la plaie, je me vide de mon sang lentement, petit à petit, c'est la fin. Que dois-je faire ? Et merde... J'suis condamné ça y est, désolé maman, je ne pourrais jamais te venger....

          « Ahahah ! Adieu, misérable !!! »

          Jamais ! Sur ce cri d'espoir, je soulève de toutes mes forces, par le seul biais de mon bras droit, l'une de mes massues, et repousse son attaque. A partir de là, le combat avait commencer, et celui qui s’arrêtera à la moindre occasion, sera le perdant. Le bruit d’armes se frottant l'une à l'autre retentissait de plus fort et je me défendais comme je pouvais jusqu'à ce qu'il me touche une nouvelle fois mais cette fois, ce fut une petite entaille sur mon avant bras droit. On dirait qu'il veut jouer... Un nouveau coup arrive, je le bloque à l'aide de la partie avant du marteau. Je prends alors de nouveau appui sur moi et le repousse, enchaînant une nouvelle fois les nombreux coups envers lui. Tiens dans ta gueule ! Je réussis à le toucher une fois pour que la violence du choc lui fracasse un minimum le crâne puis, le jette par dessus bord. Une petite gue-guerre qui aura durée bien une trentaine de minutes, se soldant par quelques morts et de nombreux blessés. Nous réussissons à capturer leur boss et quelque uns d'entre eux. Ce qui pourrait bien nous faire une bonne poignée de berrys pour plus tard. Je suis maintenant entrain de me faire soignée assis contre le bas du mat et regarde le capitaine Satoshi.

          « Et maintenant, Cap'tain ? »


          Dernière édition par Phoenix D. Juusei le Lun 27 Fév 2012 - 20:02, édité 1 fois
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          L'intrus a été repoussé par Shimeru Den'pa, médecin compétant de l'équipage, juste le temps pour Noriyaki de se rendre sur le pont et de faire le point sur la situation actuelle de son équipage. De sa présence il attire les regards, son charisme est sans précédant. L'homme passe entre chaque ennemis sans broncher, il n'a peur de rien, que cherche-t-il ? Quel est le but de cette marche macabre ? No lo se.

          Il avance d'un pas lent. Il pourrait prendre part au combat et aider à repousser l'assaut, mais l'envie n'y est pas, il cherche quelque chose. Qu'est ce ? Encore une fois personne ne le sait. Certains pirates adverses tentent de briser sa tranquillité, mais aussi calmement, il riposte. Le bruit est assourdissant. Des Truands débutants tirent des coups de canon sur le navire ennemi quasiment désert. Tous ont joués à Tarzan quelques minutes plus tôt avant de se retrouver à bord du Lady Million. Ainsi, les seules paroles qui sortirent de son gosier ont animé tant de folie. Il ne s'en veut pas. Il continue d'avancer. Il est au centre du navire. Il ferme les yeux. Chaque cellules de son corps se transforment, attirant le regard de chacune des personnes présentes sur le navire. C'est la première fois qu'ils voient ça. Il apprête à terrasser ses ennemis. Pourtant, son regard quelques secondes auparavant n'indiquait aucune envie de se battre. Savait-il qu'il gagnerait ? Il rouvre les yeux, son corps est entièrement transformé. Puis il hausse la voix, d'un ton autoritaire.

          « Certes je ne connais pas les limites de ce pouvoir, mais regardez moi. Je suis l'idéal que vous pouvez espérer atteindre. Ces ennemis, aussi faiblard qu'ils sont vous ont donné du mal, il vous faut vous endurcir. Il vous faut devenir plus fort. Vous avez besoin d'un modèle. Je serais ce modèle. Observez mes gestes, arrêtez de faire des mouvements superflus. Tout cela vous ralenti. Regardez. Après quelques mois sur cet océan vous pourrez faire ça. Je ne bouge pas. Je ne les toucherais pas avec mes mains. Mais pourtant... Il me suffirait d'un seul coup pour tous les avoir. Tous. Sentez vos ennemis, battez vous autant avec votre corps qu'avec votre esprit. Soyez impertur*... »


          Il n'a pas fini son discourt, mais il est coupé. Sa réputation n'est plus à faire. L'un des pirates ennemis vient de lancer une pièce valant son pesant d'or. Satoshi l'observe. Il l'a regarde comme ci cela détermine son droit de vie ou de mort. Il la voie rouler jusqu'au bord du navire. Il retire son chapeau, sa veste, sa cravate. Mais ?! Est ce un suicide ? Avec un air sot, il reprends sa veste et attrape son portefeuille qu'il range dans la poche de son pantalon. Mais ?! Mais ?! Mais ?! La pièce tombe.

          « ...bable. »

          Il saute pour rattraper la pièce en vol. Il l'attrape à pleine poignée puis son corps s'écrase au fond de l'eau. Il ne peut bouger. Tout son corps est oppressé. Aucun de ses membres n'arrive à ne serait ce que montrer signe de vie. Il coule. Il sombre. Tout s'assombrit. Sa vision se trouble. Il perd conscience. Et à l'horizon...

          Un Galion fait son apparition. Un Galion endommagé. Celui ci se dirige à Vitesse grand V vers le Lady Million et le navire des pirates opposants. Tant d'événements qui arrivent au même moment. Qui se dévouera pour aller sauver Noriyaki ? Qui se dévouera pour tenter une manœuvre d'esquive ? Qui ?

          La suite, au prochain épisode.
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