- Spoiler:
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- P.S 1 : Pour ne pas obliger tout l’monde à combattre, je n’ai pas précisé quel homme-poisson vous colle aux baskets et encore si vous en avez un derrière vous. Vous pouvez donc choisir de fuir à l’intérieur des cabines du Léviathan, comme vous battre contre un homme poisson que vous aurez créé de toutes pièces. Si vous voulez du piment dans votre rp par contre, vous n’aurez qu’à me mp et j’vous créerais un poiscaille contre lequel vous devriez vous battre avec le nom, l’image d’un homme poisson et les dorikis qui seront approximatifs ou égaux aux vôtres.
P.S 2 : Il faut savoir que ces poiscailles sont comme les hommes d’Arlong. Idiots pour la plupart mais relativement faibles vu qu’ils semblent vouloir rééditer l’exploit de leurs idoles d’antan en partant tyranniser les populations des blues. Au Rhino Storms de les arrêter et de faire leur premier coup d’éclat. Dans l’ombre certes, mais ça sera déjà pas mal. Si Ussop et les Mugis en ont bousillé certains, pourquoi pas nous ? :p
P.S 3 : L’idée, c’est de faire un beau combat (ou une fuite) en un seul post seulement. C’est là où se situe le challenge. Donc s’il vous plait, ne bâclez pas vos posts comme certains l’ont fait lors du précédent rp vu qu’il ne s’agit d’en faire qu’un. (Je vise personne hein !) Vous avez matière à écrire dans ce rp : Entre votre combat (Ou votre planque), votre tension ou votre excitation, l’atmosphère générale toussa. J’ai aussi misé sur le combat pour un souci de cohérence. Parce qu'il faut que le Log pose de Ceres se charge avant que nous ne puissions débarquer sur la première île. Donc c’est un rp sur lequel on n’va pas s’éterniser.
P.S 4 : Là encore, je ne vous impose pas de limite de temps. Mais pitié, ne tardez pas trop quand même. ;w;
P.S 5 : Surtout, amusez vous et si vous avez la moindre question ou la moindre suggestion, n’hésitez pas à me mp. ♥
Précédemment : Premier chapitre ; En route pour Grand Line !
Le navire avait une allure dorénavant stable. Il eut juste une dernière secousse, mais plus rien. Le Léviathan venait de dompter Reverse Montain ! Mais non sans mal… Il avait prit gros au niveau des bastingages, tant et si bien qu’ils étaient à moitié amochés. S’ils n’avaient pas été en bois de première qualité, certainement qu’ils seraient complètement détruits à l’heure qu’il est. C’qui allait tout de même poser de gros problème. Et ça m’faisait vraiment, mais vraiment chier. Ma mine n’était plus inquiète… Elle était carrément froissée. Non pas à cause des piques acerbes de l’officier Solète qui faisait son show sur le pont, mais bien à cause des dégâts que nous avions accumulés durant le trajet de la montagne derrière nous. J’étais donc debout vers un rebord en constatant les dommages et m’demandant bien c’que j’allais faire, l’air toujours aussi grave. Fallait-il que je m’arrête ici en commençant des réparations immédiatement… ? Ou continuer ma route en les réparant dans le même temps ? La simultanéité était un risque à prendre, mais ne disait-on pas que prudence est mère de sureté ? Difficile choix que voilà quand on savait c’qu’était vraiment Grand Line. J’craignais un peu pour la suite. Alors que nous n’avions rien vécu encore… Mais ça risquait d’être intéressant tout ça ! Et ce n’était pas ce premier obstacle qui allait arrêter l’homme déterminé que j’suis. Cependant, il fallait tout d’abord maximiser ses chances de survie sur cette mer. Et ça passait par l’optimisation du navire qui devait être impeccable !
• Préparez vous à faire escale ici le temps que log pose se charge. Prévenez les charpentiers et les scientifiques que des réparations s’imposent pour les bastingages ! Que ça…
• CAPITAINE !!!
• Qu’est ce qu’il y a ?
• REGARDEZ, VERS LE PHARE DE GAUCHE !!!!
Qu’avait dit l’un de mes sous-officiers en pointant l’horizon derrière moi. Le pauvre tremblait comme une vulgaire feuille morte sous l’emprise d’une quelconque brise. Et ce n’est que lorsque je vis clairement son expression, que j’pus ressentir toute la terreur qui l’animait. Il avait du apercevoir quelque chose de sérieux, de terrible… Et ce quelque chose n’me disait rien qui vaille. Comme la plupart des hommes, j’me retournai immédiatement vers l’endroit qu’il pointait, avant de constater un capharnaüm sans égal sur la terre du phare. J’fronçai tout d’suite mes sourcils et je me rapprochai une nouvelle fois du garde-corps abimé. Une goutte de sueur suintait le long de ma tempe gauche, signe même que l’image était sinistre, désolante. On aurait dit qu’un ouragan était passé par là, c’qui n’était pas impossible en soi sur ces mers imprévisibles. Tout était dévasté. Et par tout, j’parlais des constructions en bois qui avaient sans doute été ravagées par je ne sais qui/quoi. Il ne restait plus que des ruines encore fumantes. A croire que l’incident s’était déroulé il n’y a pas longtemps. J’aperçus aussi des restes de navires qui trainaient un peu partout autour du Léviathan, qui lui, continuait de longer doucement le cap des Jumeaux. L’horreur aurait pu simplement s’arrêter là, mais si elle avait tant suscité l’attention de tout un chacun, c’était bien à cause des cadavres qui jonchaient le sol en grand nombre. Que s’était-il passé ici ? Nous n’allions certainement pas tarder à le savoir…
• CAPITAINE, VENEZ VOIR, DROIT DEVANT !!!! QUELQUE CHOSE FAIT SURFAAACE !!!
Aussitôt, je m’avançai rapidement vers le centre du pont entre mes hommes qui regardaient maintenant droit devant. Les eaux du cap des jumeaux, soudainement soulevées avec violence, écumaient comme les fameuses vagues de la mer du triangle de Florian. Je serrai mes dents en voyant derrière un énorme rideau d’eau, une gigantesque ombre dépasser légèrement le bâtiment sur lequel nous étions, et ce dans un grondement sourd. Sous l’effet du nouvel invité surprise, la mer complètement agitée faisait dangereusement tanguer le bateau. Certains soldats ramassèrent leurs figures. D’autres plus prévenants s’accrochèrent fermement à n’importe quel objet. Quand à moi, j’étais toujours debout et j’avais sereinement croisé mes bras musclés sur ma poitrine. Ce truc qui émergeait allait morfler grave si jamais il nous cherchait des noises. Ce devrait être d’ailleurs le responsable du carnage que je vis tout à l’heure. Les victimes étaient certes des pirates (à supposer) mais cela m’faisait mal au cœur de voir autant de morts d’un seul coup. Et si mes soupçons étaient fondés, l’immense machin qui nous faisait dorénavant face allait vouloir nous faire subir l’même sort. Si seulement nous avions bien recouvert la quille de granit marin, nous aurions pu passer tranquillement… Mais voilà qu’un autre problème se présentait… Et il n’était pas des plus simples : En effet, l’eau coula abondamment d’la masse difforme, et laissa place à l’image d’un gigantesque monstre marin qui avait à peu près la même taille du Lev’. Il nous toisait de ses yeux rougeâtres. Et sur lui, trônaient une multitude d’hommes… Poissons…
• BWABWABWAAAAA !!!! ET ON TOMBE SUR DES MARINES EN PLUS, SI C’EST PAS INTÉRESSANT TOUT ÇA !!!!
Qu’est ce que des hommes poissons fichaient ici à l’extrême opposé même de leur île ? Va savoir… Toujours est-il que nous avions là un gros problème vu qu’ils n’étaient pas disposés à nous laisser partir. Il n’y avait qu’à voir comment ils ricanaient après la phrase de celui qui semblait être leur gourou, pour comprendre que bataille allait s’en suivre. Bizarrement, ces gars là ne semblaient pas vraiment effrayés par la taille du navire et par les multiples canons qui leur faisaient face. C’qui me rappelait un peu comment Grand Line pouvait être hard dans son genre, moi qui n’y avais plus posé le pied depuis plus d’une décennie. Fallait que je redescende un peu sur Terre. On était plus sur les blues où l’on pouvait pulvériser n’importe qui sur notre chemin ; Mais dans la cour des grands, où tout pouvait arriver. D’ailleurs, qu’est ce qui me prouvait que d’autres hommes poissons n’étaient pas entrain de détruire la quille ? Rien hein… ? Et c’est ça qui est le plus inquiétant. Mes soldats commencèrent à se repositionner rapidement en pointant la gueule de leurs fusils vers les nouveaux arrivants, mais en un clin d’œil, ces derniers disparurent pour ensuite se retrouver sur le pont après moult sauts agiles et prompts dans leur genre. Certains atterrirent tout juste derrière des hommes de grande importance, tels que l’officier Solète, Ceres ou encore Rain… Tandis que d’autres se tenaient devant la proue du navire d’où descendait leur chef. Une fois sur le pont, ce dernier leva ses poings palmés en l’air, avant de commencer à s’exclamer bruyamment pour que quiconque l’entende…
• FISHER TIGER ! ARLONG ! HODY JONES ! TOUS CES VALEUREUX GUERRIERS ONT PAYÉS DE LEUR VIE !!! MAIS LA SOMBRE ET TRAGIQUE HISTOIRE DES HOMMES POISSONS S'ACHÈVE MAINTENANT !!! NOUS ALLONS MASSACRER TOUS LES HUMAINS ET LEUR MONTRER QUE NOUS SOMMES LA RACE SUPRÊME !!!! SURTOUT QUAND IL S’AGIT DES CHIENS DU GOUVERNEMENT, BWABWABWABWAAAAAA !!!!
Si son discours enflamma ses sbires qui commencèrent à gueuler comme pas deux, mes hommes se retournèrent instinctivement vers moi. Pour ma part, j’avais allumé une cigarette et ce ne fut que lorsque je recrachai ma première bouffé que j’énonçai :
• Faites gaffe au navire les gars et… NETTOYEZ-MOI CE PONT !!
Mon ordre provoqua une vive réaction de mes hommes, qui se mirent à hurler avant de charger les poiscailles. Dès lors, des lames s’entrechoquèrent et des coups de feu se firent entendre…
Le navire avait une allure dorénavant stable. Il eut juste une dernière secousse, mais plus rien. Le Léviathan venait de dompter Reverse Montain ! Mais non sans mal… Il avait prit gros au niveau des bastingages, tant et si bien qu’ils étaient à moitié amochés. S’ils n’avaient pas été en bois de première qualité, certainement qu’ils seraient complètement détruits à l’heure qu’il est. C’qui allait tout de même poser de gros problème. Et ça m’faisait vraiment, mais vraiment chier. Ma mine n’était plus inquiète… Elle était carrément froissée. Non pas à cause des piques acerbes de l’officier Solète qui faisait son show sur le pont, mais bien à cause des dégâts que nous avions accumulés durant le trajet de la montagne derrière nous. J’étais donc debout vers un rebord en constatant les dommages et m’demandant bien c’que j’allais faire, l’air toujours aussi grave. Fallait-il que je m’arrête ici en commençant des réparations immédiatement… ? Ou continuer ma route en les réparant dans le même temps ? La simultanéité était un risque à prendre, mais ne disait-on pas que prudence est mère de sureté ? Difficile choix que voilà quand on savait c’qu’était vraiment Grand Line. J’craignais un peu pour la suite. Alors que nous n’avions rien vécu encore… Mais ça risquait d’être intéressant tout ça ! Et ce n’était pas ce premier obstacle qui allait arrêter l’homme déterminé que j’suis. Cependant, il fallait tout d’abord maximiser ses chances de survie sur cette mer. Et ça passait par l’optimisation du navire qui devait être impeccable !
• Préparez vous à faire escale ici le temps que log pose se charge. Prévenez les charpentiers et les scientifiques que des réparations s’imposent pour les bastingages ! Que ça…
• CAPITAINE !!!
• Qu’est ce qu’il y a ?
• REGARDEZ, VERS LE PHARE DE GAUCHE !!!!
Qu’avait dit l’un de mes sous-officiers en pointant l’horizon derrière moi. Le pauvre tremblait comme une vulgaire feuille morte sous l’emprise d’une quelconque brise. Et ce n’est que lorsque je vis clairement son expression, que j’pus ressentir toute la terreur qui l’animait. Il avait du apercevoir quelque chose de sérieux, de terrible… Et ce quelque chose n’me disait rien qui vaille. Comme la plupart des hommes, j’me retournai immédiatement vers l’endroit qu’il pointait, avant de constater un capharnaüm sans égal sur la terre du phare. J’fronçai tout d’suite mes sourcils et je me rapprochai une nouvelle fois du garde-corps abimé. Une goutte de sueur suintait le long de ma tempe gauche, signe même que l’image était sinistre, désolante. On aurait dit qu’un ouragan était passé par là, c’qui n’était pas impossible en soi sur ces mers imprévisibles. Tout était dévasté. Et par tout, j’parlais des constructions en bois qui avaient sans doute été ravagées par je ne sais qui/quoi. Il ne restait plus que des ruines encore fumantes. A croire que l’incident s’était déroulé il n’y a pas longtemps. J’aperçus aussi des restes de navires qui trainaient un peu partout autour du Léviathan, qui lui, continuait de longer doucement le cap des Jumeaux. L’horreur aurait pu simplement s’arrêter là, mais si elle avait tant suscité l’attention de tout un chacun, c’était bien à cause des cadavres qui jonchaient le sol en grand nombre. Que s’était-il passé ici ? Nous n’allions certainement pas tarder à le savoir…
• CAPITAINE, VENEZ VOIR, DROIT DEVANT !!!! QUELQUE CHOSE FAIT SURFAAACE !!!
Aussitôt, je m’avançai rapidement vers le centre du pont entre mes hommes qui regardaient maintenant droit devant. Les eaux du cap des jumeaux, soudainement soulevées avec violence, écumaient comme les fameuses vagues de la mer du triangle de Florian. Je serrai mes dents en voyant derrière un énorme rideau d’eau, une gigantesque ombre dépasser légèrement le bâtiment sur lequel nous étions, et ce dans un grondement sourd. Sous l’effet du nouvel invité surprise, la mer complètement agitée faisait dangereusement tanguer le bateau. Certains soldats ramassèrent leurs figures. D’autres plus prévenants s’accrochèrent fermement à n’importe quel objet. Quand à moi, j’étais toujours debout et j’avais sereinement croisé mes bras musclés sur ma poitrine. Ce truc qui émergeait allait morfler grave si jamais il nous cherchait des noises. Ce devrait être d’ailleurs le responsable du carnage que je vis tout à l’heure. Les victimes étaient certes des pirates (à supposer) mais cela m’faisait mal au cœur de voir autant de morts d’un seul coup. Et si mes soupçons étaient fondés, l’immense machin qui nous faisait dorénavant face allait vouloir nous faire subir l’même sort. Si seulement nous avions bien recouvert la quille de granit marin, nous aurions pu passer tranquillement… Mais voilà qu’un autre problème se présentait… Et il n’était pas des plus simples : En effet, l’eau coula abondamment d’la masse difforme, et laissa place à l’image d’un gigantesque monstre marin qui avait à peu près la même taille du Lev’. Il nous toisait de ses yeux rougeâtres. Et sur lui, trônaient une multitude d’hommes… Poissons…
• BWABWABWAAAAA !!!! ET ON TOMBE SUR DES MARINES EN PLUS, SI C’EST PAS INTÉRESSANT TOUT ÇA !!!!
Qu’est ce que des hommes poissons fichaient ici à l’extrême opposé même de leur île ? Va savoir… Toujours est-il que nous avions là un gros problème vu qu’ils n’étaient pas disposés à nous laisser partir. Il n’y avait qu’à voir comment ils ricanaient après la phrase de celui qui semblait être leur gourou, pour comprendre que bataille allait s’en suivre. Bizarrement, ces gars là ne semblaient pas vraiment effrayés par la taille du navire et par les multiples canons qui leur faisaient face. C’qui me rappelait un peu comment Grand Line pouvait être hard dans son genre, moi qui n’y avais plus posé le pied depuis plus d’une décennie. Fallait que je redescende un peu sur Terre. On était plus sur les blues où l’on pouvait pulvériser n’importe qui sur notre chemin ; Mais dans la cour des grands, où tout pouvait arriver. D’ailleurs, qu’est ce qui me prouvait que d’autres hommes poissons n’étaient pas entrain de détruire la quille ? Rien hein… ? Et c’est ça qui est le plus inquiétant. Mes soldats commencèrent à se repositionner rapidement en pointant la gueule de leurs fusils vers les nouveaux arrivants, mais en un clin d’œil, ces derniers disparurent pour ensuite se retrouver sur le pont après moult sauts agiles et prompts dans leur genre. Certains atterrirent tout juste derrière des hommes de grande importance, tels que l’officier Solète, Ceres ou encore Rain… Tandis que d’autres se tenaient devant la proue du navire d’où descendait leur chef. Une fois sur le pont, ce dernier leva ses poings palmés en l’air, avant de commencer à s’exclamer bruyamment pour que quiconque l’entende…
• FISHER TIGER ! ARLONG ! HODY JONES ! TOUS CES VALEUREUX GUERRIERS ONT PAYÉS DE LEUR VIE !!! MAIS LA SOMBRE ET TRAGIQUE HISTOIRE DES HOMMES POISSONS S'ACHÈVE MAINTENANT !!! NOUS ALLONS MASSACRER TOUS LES HUMAINS ET LEUR MONTRER QUE NOUS SOMMES LA RACE SUPRÊME !!!! SURTOUT QUAND IL S’AGIT DES CHIENS DU GOUVERNEMENT, BWABWABWABWAAAAAA !!!!
Si son discours enflamma ses sbires qui commencèrent à gueuler comme pas deux, mes hommes se retournèrent instinctivement vers moi. Pour ma part, j’avais allumé une cigarette et ce ne fut que lorsque je recrachai ma première bouffé que j’énonçai :
• Faites gaffe au navire les gars et… NETTOYEZ-MOI CE PONT !!
Mon ordre provoqua une vive réaction de mes hommes, qui se mirent à hurler avant de charger les poiscailles. Dès lors, des lames s’entrechoquèrent et des coups de feu se firent entendre…
La première bataille du Léviathan avait commencé !
Dernière édition par Alheïri S. Fenyang le Dim 5 Fév 2012 - 17:33, édité 1 fois