>> Girachi Shnisuke
une image 200*300  | Pseudonyme : Le jeune stratège, le Roc Age: 29 ans Sexe : Homme Race : Humain Rang : A voir après présentation Métier : Historien Groupe : Marine Déjà un équipage : Si vous aviez un parrain, il est probable que vous ayez déjà un équipage, mettez son nom ici ! But : Mettre fin à l'air des pirates, parcourir le monde pour découvrir son histoire. Trouver des adversaires de valeurs. Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Fruit du Démon Équipements] -Katana de Taki ( sabre simple). -Pistolet à un coup. Codes du règlement (2) : Parrain : Mettez le nom de votre parrain ici, si vous en avez un bien sûr |
[center]>> [b]Physique
[minimum 10 lignes]
Girachi est un jeune homme, à la peau blanche assez foncée. Il vient de fêter son 29ème printemps et mesure environ 1m70. Il a les cheveux bruns assez ébouriffés. Son visage est assez fin et bien proportionné. Son front est assez large et plat. Ses deux yeux bruns sont surmontés par de fins sourcils bruns eux aussi. Son nez est assez rond et fin. On aperçoit à peine les lèvres du jeune homme, ce qui lui a valu durant sa jeunesse des railleries de ses camarades d’école. Son visage se termine par un petit menton à fossette et qui a la forme d’un V, ce qui rappelle un coude replié. Le crâne du soldat est soutenu par un cou large et puissant. On peut d’ailleurs voir une légère entaille sur le côté gauche de ce dernier, souvenir d’un combat contre un brigand lors de ses jeunes années de marine. Au niveau de la pilosité, Girachi possède souvent une barbe rasée de près, il n’aime pas la barbe de trois jour qui lui fait paraitre négligé.
Le poitrail et l’abdomen du jeune homme arbore eux aussi un certain nombre de blessures légères, de même qu’une musculature légère dessiné par ses entrainements au sabre. Sans pour autant être une montagne de muscles, notre homme n’est donc pas le gringalet qu’il était lors de son entrée dans la Marine. Il possède une carrure générale assez large, avec des épaules imposantes et osseuses. Elles soutiennent une paire de bras assez longs si l’on compare au reste du corps. Là encore son entrainement lui a permit de se former des bras capable de manier une lame avec aisance. Ses mains se terminent par des doigts fins et longs. On peut remarquer des écorchures constantes sur l’intégralité des paumes du jeune homme. Une blessure en forme de X est présente sur le dos de la main gauche du marine. Encore un énième symbole de ses nombreux combats. On peut y voir aussi des cales de corne, dans ses deux mains, ce qui montre ces nombreuses heures d’entrainement. Tout cela se déplace sur des jambes longues et agiles pour avoir une rapidité suffisante dans un combat de bretteur.
D’un point de vue vestimentaire, notre jeune homme, bien que marin ne porte plus l’uniforme que les matelots sont obliger de revêtir tout le temps et qu’il avait en horreur. Il porte un T-shirt à col montant noir, puis un gilet vert au dessus. Il a dissimulé en dessous une côte de maille, pour le garder des coups de lames. Par contre il porte un pantalon de marine noir et les bottes de ce corps militaire très pratiques. Par-dessous tous cela il s’est revêtu d’un manteau bleu marine, avec écrit en Kanji dans le dos, « La Marine est la justice ». Il y a accroché ses galons de colonel pour faire bonne figure, bien que pour lui ce ne sont que des médailles rien de plus. Il lui arrive de porter un large chapeau de paille de forme conique.
Le poitrail et l’abdomen du jeune homme arbore eux aussi un certain nombre de blessures légères, de même qu’une musculature légère dessiné par ses entrainements au sabre. Sans pour autant être une montagne de muscles, notre homme n’est donc pas le gringalet qu’il était lors de son entrée dans la Marine. Il possède une carrure générale assez large, avec des épaules imposantes et osseuses. Elles soutiennent une paire de bras assez longs si l’on compare au reste du corps. Là encore son entrainement lui a permit de se former des bras capable de manier une lame avec aisance. Ses mains se terminent par des doigts fins et longs. On peut remarquer des écorchures constantes sur l’intégralité des paumes du jeune homme. Une blessure en forme de X est présente sur le dos de la main gauche du marine. Encore un énième symbole de ses nombreux combats. On peut y voir aussi des cales de corne, dans ses deux mains, ce qui montre ces nombreuses heures d’entrainement. Tout cela se déplace sur des jambes longues et agiles pour avoir une rapidité suffisante dans un combat de bretteur.
D’un point de vue vestimentaire, notre jeune homme, bien que marin ne porte plus l’uniforme que les matelots sont obliger de revêtir tout le temps et qu’il avait en horreur. Il porte un T-shirt à col montant noir, puis un gilet vert au dessus. Il a dissimulé en dessous une côte de maille, pour le garder des coups de lames. Par contre il porte un pantalon de marine noir et les bottes de ce corps militaire très pratiques. Par-dessous tous cela il s’est revêtu d’un manteau bleu marine, avec écrit en Kanji dans le dos, « La Marine est la justice ». Il y a accroché ses galons de colonel pour faire bonne figure, bien que pour lui ce ne sont que des médailles rien de plus. Il lui arrive de porter un large chapeau de paille de forme conique.
>> Psychologie
[minimum 10 lignes]
Le caractère de notre soldat est un peu paradoxal. D’un côté on a un homme assez jovial et honnête avec les gens qui l’entoure. Quelqu’un de droit et de respectueux envers ses supérieurs. Bref un homme qui sait où se trouve sa place dans la grande institution qu’est la Marine. Comme tous bon marine, il ne refuse jamais de faire son devoir et de combattre le mal où qu’il se trouve. Les pirates représentent pour lui ce mal. Il a une haine grandissante pour les gens de leur espèce. Cependant, son sens de l’honneur qu’il a acquit en tant que bretteur, lui a apprit à respecter certains d’entre eux et à voir que tous n’étaient pas des criminels sans cœur. Même si le devoir passe pour notre homme, il se doit donc d’arrêter même les personnes qu’il respecte.
Ces études en Histoire de ce monde, lui ont également appris à respecter toute forme de vie. Il considère que la place de quelqu’un doit être déterminée par ses capacités et non par son sang ou sa race. Mais cette partie de sa personnalité est souvent tut pour ne pas froisser les Dragons Célestes qu’il sait implacable et orgueilleux. L’esclavage est pour lui une chose qui assombrit le Monde. S’il n’écoutait que lui il l’abolirait, mais là encore, son rang et le respect qu’il porte pour le Gouvernement Mondial l’empêche de trop l’affirmer. Il est généralement souvent à la recherche de combattants de valeurs, aussi bien chez les pirates que chez les marines pour mesurer sa force. Lors d’un duel, cet homme fait toujours face à son adversaire. Mais ce n’est pas non plus un idiot qui refuse de fuir lorsqu’il se sait vaincu. Il ne présume que très rarement de ses forces. Sa capacité d’analyse lors d’une bataille, lui a valu le surnom du « Stratège »dans sa caserne. Il utilise ses yeux pour chercher une faille dans les techniques de son adversaire. Sa philosophie martiale est la suivante, « ce n’est pas l’arme qui fait le combattant, Mais bien le combattant qui fait l’arme ».
En tant que bretteur, il respecte les Meitou et aimerait naturellement en posséder un, un jour. Mais tout sabre d’exception, dans de mauvaises mains n’est rien de plus qu’un couteau effilé. En se qui concerne les goûts alimentaires de notre colonel, on peut dire qu’ils sont simples, il ne mange rarement à outrance et boit très peu. Son maitre lui ayant enseigné que l’alcool pouvait parfois être le plus perfide des poisons. Il ne fume pas non plus. Cependant il a un péché mignon qu’il a gardé de son ile natale de West Blue, les pâtes. Après de manières générales, il aime la bonne cuisine. Il est également un grand lecteur, un livre à pour lui autant d’importance qu’un bijou. Ces ouvrages sont pour lui le témoignage d’un passé révolu qu’il faut préserver.
Enfin concernant la relation qu’il a avec ses hommes, on peut dire que Girachi à une haute vision de sa responsabilité. Alors que certains gradés pourraient laisser les « sous grades » prendre tous les risques, lui serait plus un digne représentant du bouclier qui protège les faibles. Ce qui est pour lui la mission première de la Marine.
Ces études en Histoire de ce monde, lui ont également appris à respecter toute forme de vie. Il considère que la place de quelqu’un doit être déterminée par ses capacités et non par son sang ou sa race. Mais cette partie de sa personnalité est souvent tut pour ne pas froisser les Dragons Célestes qu’il sait implacable et orgueilleux. L’esclavage est pour lui une chose qui assombrit le Monde. S’il n’écoutait que lui il l’abolirait, mais là encore, son rang et le respect qu’il porte pour le Gouvernement Mondial l’empêche de trop l’affirmer. Il est généralement souvent à la recherche de combattants de valeurs, aussi bien chez les pirates que chez les marines pour mesurer sa force. Lors d’un duel, cet homme fait toujours face à son adversaire. Mais ce n’est pas non plus un idiot qui refuse de fuir lorsqu’il se sait vaincu. Il ne présume que très rarement de ses forces. Sa capacité d’analyse lors d’une bataille, lui a valu le surnom du « Stratège »dans sa caserne. Il utilise ses yeux pour chercher une faille dans les techniques de son adversaire. Sa philosophie martiale est la suivante, « ce n’est pas l’arme qui fait le combattant, Mais bien le combattant qui fait l’arme ».
En tant que bretteur, il respecte les Meitou et aimerait naturellement en posséder un, un jour. Mais tout sabre d’exception, dans de mauvaises mains n’est rien de plus qu’un couteau effilé. En se qui concerne les goûts alimentaires de notre colonel, on peut dire qu’ils sont simples, il ne mange rarement à outrance et boit très peu. Son maitre lui ayant enseigné que l’alcool pouvait parfois être le plus perfide des poisons. Il ne fume pas non plus. Cependant il a un péché mignon qu’il a gardé de son ile natale de West Blue, les pâtes. Après de manières générales, il aime la bonne cuisine. Il est également un grand lecteur, un livre à pour lui autant d’importance qu’un bijou. Ces ouvrages sont pour lui le témoignage d’un passé révolu qu’il faut préserver.
Enfin concernant la relation qu’il a avec ses hommes, on peut dire que Girachi à une haute vision de sa responsabilité. Alors que certains gradés pourraient laisser les « sous grades » prendre tous les risques, lui serait plus un digne représentant du bouclier qui protège les faibles. Ce qui est pour lui la mission première de la Marine.
>> Biographie
Chapitre 1 : L’époque dorée, une enfance loin de tous dangers.
Le jeune Girachi naquit sur une petite île de West Blue, spécialisée dans les études en tous genres, lors du printemps de l’année 1595. Le nom de cette ile ? Offordia, l’île université reconnue dans le monde entier pour l’érudition de ses enseignants. Cette île est un paradis pour quiconque souhaite apprendre. On y dispense aussi bien des matières littéraires, que des matières scientifiques, en passant par des enseignements artistiques. Les parents du tout jeune garçon étaient deux des enseignants de cette île. Ni trop renommés, ni totalement inconnus sur ce petit bout de terre perdu en mer, ils faisaient leur petit bout de chemin dans ce monde sans se plaindre. Seulement vous l’aurez compris, leurs recherches prenaient énormément de leur temps. Ils en donnaient donc nettement moins à leur rejeton. Le père, Hitachi Shinsuke était un enseignant en physique et passait le plus clair de son emploi du temps enfermé dans son laboratoire.
La mère, Olvia Mishima, prénommée ainsi par sa grand-mère en l’honneur d’une historienne oubliée disait-on, avait suivi la même voie qu’elle puisqu’elle était historienne de profession. Cette femme était la plus proche de son enfant, puisqu’elle travaillait beaucoup à la maison. Même si elle aussi passait plus ses journées à lire les rares livres d’histoires autorisés par le Gouvernement Mondial pour tenter de finir ses travaux.
En plus d’être un centre culturel important de la mer à l’ouest du monde, Offordia était également le lieu où la Marine avait décidé de placer son QG de région. Elle était d’ailleurs sous les ordres directs du contre-amiral Heiachi Shinsuke, le grand-père de Girachi. C’est cet homme qui prit sur lui de faire l’éducation du jeune garçon. Au niveau du caractère, le vieillard était réellement ce que l’on pouvait appeler « un grand-père gâteau ». Il laissait pratiquement tout passer à son petit-fils, ce qui eu comme conséquence, pour ce dernier de le rendre arrogant. A 5 ans, il était sûr que personne n’oserait toucher le petit-fils du chef militaire de l’ile. Il ne se fit pas beaucoup d’ami et au contraire pas mal d’ennemis sur les bancs de l’école. C’était vraiment une enfance dorée pour lui, même les marines le traitaient avec respect. Que demander de plus à cet âge.
Au niveau de la scolarité, Girachi était un élève studieux, il avait des capacités pour l’apprentissage et surtout était curieux de nature, ce qui était une bonne chose au final pour quiconque veut réussir ses études. La relation qu’il avait avec sa mère, le poussa vers des études historiques plus que des scientifiques. C’est ça mère qui lui offrit son premier livre et il ne pût jamais endiguer cette passion pour la lecture. A 11 ans, il sortit de l’école primaire, majeur de sa classe. Tout sembla lui réussir, il avait déjà un avenir tout tracé…Mais le destin aime jouer avec les pauvres mortels.
Chapitre 2 : l’adolescence, la période du basculement.
Donc comme je le disais, notre jeune garçon allait entrer au collège. Il avait dans son esprit déjà tracé une voie de sa réussite. Il serait le doyen de l’université la plus prestigieuse du monde, voilà son but. Vous me direz que c’est peu ambitieux pour son jeune âge. Mais Girachi n’a jamais été un ambitieux de nature, il préfère prendre la vie comme elle vient et avec ce qu’elle lui donne. L’arrogance dont il avait fait preuve durant ses premières années s’étaient quelque peu estompée avec l’âge. Il avait apprit à apprécier les autres et à s’en faire des camarades de confiance. L’année de ses 12 ans, son grand-père devint vice-amiral, il dû donc quitter le QG de West Blue pour être nommé sur les bases de Grand Line. La Marine commençait enfin à se stabiliser après l’écartement de l’Amiral en Chef, Celdéborde, il y a 21 ans. Elle pouvait enfin remplir de nouveau, sa mission de Justice Suprême comme avant.
Plus les années passèrent, plus la relation entre Girachi et ses parents se dégradaient. Son père avait obtenu une chair de physique à l’université de l’île et sa mère était de plus en plus absorbée par des recherches sur l’histoire du Monde et le délaissait complètement. Un ami de Heiachi fut nommé à sa succession. Ce marine d’environ 50 ans était un maitre épéiste réputé dans ce prestigieux corps d’armée et il avait prit le jeune homme de 14 ans en affection. Enfin, je devrais plutôt dire elle car elle se nommait Taki Mitsurigi, contre-amiral fraichement promue elle tenue l’île d’une main plus ferme que son prédécesseur, sans pour autant tomber dans la tyrannie. La femme était d’un naturel autoritaire et entendait qu’on lui obéisse aveuglément lorsque la sécurité de l’ile était en jeu. Mais elle voulait donner à Offordia encore plus d’importance qu’elle n’en n’avait déjà, alors elle fit construire un centre de formation des officiers de la Marine sur celle-ci et un Amiral trouva même un créneau dans son emploi du temps chargé pour jouer au chef de cérémonie lors de l’ouverture.
Mais les choses commencèrent à mal tournée il y a 14 ans, lorsque le grand-père de Girachi revint sur l’ile avec tout un groupe d’hommes armés. Il était revenu de Grand Line avec une cicatrice au front et avec un caractère renfermé. Alors que le jeune homme rentrait du collège ce jour-là, il vit les marines enfoncés la porte de chez lui et emporter sa mère de force. Il tenta de les en empêcher mais celle qui était devenue en une année son maitre en art du maniement du sabre s’interposa. Girachi avait vite apprit à manier une lame, mais il n’avait pas les capacités suffisantes pour tenir tête à celle qui l’entrainait. Il débutait à peine son apprentissage. Il renonça donc mais demanda quand même pourquoi ça mère était traité de la sorte. Son grand-père lui répondit qu’elle s’était alliée à des pirates en faisant des recherches historiques interdites. Il ajouta que selon les règles de la Marine toute l’ile aurait pût être détruite si elle avait été plus loin et que le reste de la famille n’avait pas été inquiété que parce que l’Amiral Kenpachi du QG lui devait une faveur.
Girachi et son père assistèrent donc impuissants à l’arrestation d’Olvia. Six mois passèrent, Girachi calmait ses nerfs en ne passant presque plus le clair qu’à s’entrainer au sabre avec Taki et à étudier dans cette matière qui avait couté sa liberté à sa mère. Soudainement les journaux annoncèrent l’exécution prochaine d’Olvia à Impel Down la prison sous-marine. Mais une semaine plus tard, ce même journal annonça que les pirates avec qui sa mère s’était liée avait réussit par miracle à la sauver et à l’emmener lors de son transfert à la prison. Une autre nouvelle frappa le jeune homme, durant l’attaque le vice-amiral Shinsuke, chargé du transfert avait perdu la vie. Alors l’amertume et l’incompréhension du jeune homme, qui n’avait jamais réellement compris pourquoi on lui avait retiré sa mère, se transformèrent en haine tenace contre celle-ci. Il la jugeait responsable de ce qui était arrivé à son grand-père. Son père lui aussi tentait d’oublier la meurtrière (par extension) de son père. Girachi consacra les 4 ans et demi qui suivirent à son entrainement auprès de Taki et à ses études. Il entra en même temps dans la Marine, bien décidé à faire payer tous les pirates pour leurs crimes.
Chapitre épilogue : la Marine est Justice, vers une vengeance inhumaine.
A 20 ans, notre jeune homme avait prit de l’assurance. Il était devenu un puissant soldat dans la Marine et était devenu un épéiste reconnu dans son île. Il servait sous les ordres de Taki avec un zèle remarqué et donnait même des cours d’histoire militaire à l’école des officiers d’Offordia. Il étudia aussi durant deux trois ans les stratégies militaires. Son habileté à créer une tactique défensive impressionnante, lui valu le surnom dans le QG de « Roc », car comme une pierre on pouvait rarement le faire reculer, une fois qu’il avait prit position. Pendant neuf ans il continua à vers son travail dans la Marine. Gravissant doucement mais sûrement les échelons. Les pirates qui tentaient de prendre la mer vers Grand Line passaient forcément par Offordia et le contre-amiral et lui était toujours là pour faire régner la justice. A 28 ans, celui qu’on surnommait également « le jeune stratège » avait réussit à se hisser à un poste dans le QG de la Marine. Mais cette même année Taki tomba malade et les médecins affirmèrent qu’elle ne passerait pas l’année. Girachi prit donc sur lui de demander à contrecœur au QG de nommer un nouveau contre-amiral pour Offordia. On lui fit clairement comprendre que la chose serait difficile. Il est vrai que la situation du Gouvernement Mondial s’était passablement compliquée ses dernières années. Trois ans plus tôt un nouveau Conseil des 5 avait été mis en place et la politique c’était considérablement durcie. Par contre et cela n’était pas pour déplaire à Girachi, les effectifs de West Blue comme partout dans le monde avaient été revus à la hausse.
Mais cette année 1623 était la pire de toute, North Blue était en ébullition avec l’évasion massive de prisonniers qui avait eu lieu au QG de cette mer. West Blue comme toutes les autres mers avaient renforcés son propre protocole de sécurité et Taki avait envoyé des hommes pour se tenir au courant de la situation. Les Noms de Sirup, Mahaga, White Basara et Aldo avaient également fais la une des journaux du monde entier. Ce fut vraiment une année noire pour le Gouvernement. Néanmoins après une aggravation de l’état de Taki et une nouvelle demande Girachi le QG confirma l’envoi d’un nouvel contre-amiral au début de l’année prochaine. En attendant, Taki et Girachi, devraient tenir West Blue dans le giron de la Justice Suprême de la Marine.
En décembre, Taki fut emportée par une quinte de toux et succomba a sa lente agonie. La tristesse que ressentit le jeune gradé de la Marine fut vite éclipsée par ses responsabilités à West Blue. Dans les mois qui suivirent, un nouveau contre-amiral fut nommé et Girachi décida que plus rien ne le retenait sur cette ile. Il avait eu son diplôme d’historien confirmé en Mars et pouvait donc exercé un métier ici. Mais sa vengeance refit surface le jour où il vit dans le journal, le nom de sa mère apparaitre. Une première en 10 longues années. Apparemment elle était sur Grand Line depuis 3 ans et avait enfin été repérée près d’Alabasta. Après un bref au revoir à son père, devenu directeur du département des sciences physiques à l’Université, il fit ses bagages. Il n’oublia pas la lame de Taki seul souvenir encore vivace de son maitre disparu puis il prit la mer bien décidé à avoir sa vengeance…
Le jeune Girachi naquit sur une petite île de West Blue, spécialisée dans les études en tous genres, lors du printemps de l’année 1595. Le nom de cette ile ? Offordia, l’île université reconnue dans le monde entier pour l’érudition de ses enseignants. Cette île est un paradis pour quiconque souhaite apprendre. On y dispense aussi bien des matières littéraires, que des matières scientifiques, en passant par des enseignements artistiques. Les parents du tout jeune garçon étaient deux des enseignants de cette île. Ni trop renommés, ni totalement inconnus sur ce petit bout de terre perdu en mer, ils faisaient leur petit bout de chemin dans ce monde sans se plaindre. Seulement vous l’aurez compris, leurs recherches prenaient énormément de leur temps. Ils en donnaient donc nettement moins à leur rejeton. Le père, Hitachi Shinsuke était un enseignant en physique et passait le plus clair de son emploi du temps enfermé dans son laboratoire.
La mère, Olvia Mishima, prénommée ainsi par sa grand-mère en l’honneur d’une historienne oubliée disait-on, avait suivi la même voie qu’elle puisqu’elle était historienne de profession. Cette femme était la plus proche de son enfant, puisqu’elle travaillait beaucoup à la maison. Même si elle aussi passait plus ses journées à lire les rares livres d’histoires autorisés par le Gouvernement Mondial pour tenter de finir ses travaux.
En plus d’être un centre culturel important de la mer à l’ouest du monde, Offordia était également le lieu où la Marine avait décidé de placer son QG de région. Elle était d’ailleurs sous les ordres directs du contre-amiral Heiachi Shinsuke, le grand-père de Girachi. C’est cet homme qui prit sur lui de faire l’éducation du jeune garçon. Au niveau du caractère, le vieillard était réellement ce que l’on pouvait appeler « un grand-père gâteau ». Il laissait pratiquement tout passer à son petit-fils, ce qui eu comme conséquence, pour ce dernier de le rendre arrogant. A 5 ans, il était sûr que personne n’oserait toucher le petit-fils du chef militaire de l’ile. Il ne se fit pas beaucoup d’ami et au contraire pas mal d’ennemis sur les bancs de l’école. C’était vraiment une enfance dorée pour lui, même les marines le traitaient avec respect. Que demander de plus à cet âge.
Au niveau de la scolarité, Girachi était un élève studieux, il avait des capacités pour l’apprentissage et surtout était curieux de nature, ce qui était une bonne chose au final pour quiconque veut réussir ses études. La relation qu’il avait avec sa mère, le poussa vers des études historiques plus que des scientifiques. C’est ça mère qui lui offrit son premier livre et il ne pût jamais endiguer cette passion pour la lecture. A 11 ans, il sortit de l’école primaire, majeur de sa classe. Tout sembla lui réussir, il avait déjà un avenir tout tracé…Mais le destin aime jouer avec les pauvres mortels.
Chapitre 2 : l’adolescence, la période du basculement.
Donc comme je le disais, notre jeune garçon allait entrer au collège. Il avait dans son esprit déjà tracé une voie de sa réussite. Il serait le doyen de l’université la plus prestigieuse du monde, voilà son but. Vous me direz que c’est peu ambitieux pour son jeune âge. Mais Girachi n’a jamais été un ambitieux de nature, il préfère prendre la vie comme elle vient et avec ce qu’elle lui donne. L’arrogance dont il avait fait preuve durant ses premières années s’étaient quelque peu estompée avec l’âge. Il avait apprit à apprécier les autres et à s’en faire des camarades de confiance. L’année de ses 12 ans, son grand-père devint vice-amiral, il dû donc quitter le QG de West Blue pour être nommé sur les bases de Grand Line. La Marine commençait enfin à se stabiliser après l’écartement de l’Amiral en Chef, Celdéborde, il y a 21 ans. Elle pouvait enfin remplir de nouveau, sa mission de Justice Suprême comme avant.
Plus les années passèrent, plus la relation entre Girachi et ses parents se dégradaient. Son père avait obtenu une chair de physique à l’université de l’île et sa mère était de plus en plus absorbée par des recherches sur l’histoire du Monde et le délaissait complètement. Un ami de Heiachi fut nommé à sa succession. Ce marine d’environ 50 ans était un maitre épéiste réputé dans ce prestigieux corps d’armée et il avait prit le jeune homme de 14 ans en affection. Enfin, je devrais plutôt dire elle car elle se nommait Taki Mitsurigi, contre-amiral fraichement promue elle tenue l’île d’une main plus ferme que son prédécesseur, sans pour autant tomber dans la tyrannie. La femme était d’un naturel autoritaire et entendait qu’on lui obéisse aveuglément lorsque la sécurité de l’ile était en jeu. Mais elle voulait donner à Offordia encore plus d’importance qu’elle n’en n’avait déjà, alors elle fit construire un centre de formation des officiers de la Marine sur celle-ci et un Amiral trouva même un créneau dans son emploi du temps chargé pour jouer au chef de cérémonie lors de l’ouverture.
Mais les choses commencèrent à mal tournée il y a 14 ans, lorsque le grand-père de Girachi revint sur l’ile avec tout un groupe d’hommes armés. Il était revenu de Grand Line avec une cicatrice au front et avec un caractère renfermé. Alors que le jeune homme rentrait du collège ce jour-là, il vit les marines enfoncés la porte de chez lui et emporter sa mère de force. Il tenta de les en empêcher mais celle qui était devenue en une année son maitre en art du maniement du sabre s’interposa. Girachi avait vite apprit à manier une lame, mais il n’avait pas les capacités suffisantes pour tenir tête à celle qui l’entrainait. Il débutait à peine son apprentissage. Il renonça donc mais demanda quand même pourquoi ça mère était traité de la sorte. Son grand-père lui répondit qu’elle s’était alliée à des pirates en faisant des recherches historiques interdites. Il ajouta que selon les règles de la Marine toute l’ile aurait pût être détruite si elle avait été plus loin et que le reste de la famille n’avait pas été inquiété que parce que l’Amiral Kenpachi du QG lui devait une faveur.
Girachi et son père assistèrent donc impuissants à l’arrestation d’Olvia. Six mois passèrent, Girachi calmait ses nerfs en ne passant presque plus le clair qu’à s’entrainer au sabre avec Taki et à étudier dans cette matière qui avait couté sa liberté à sa mère. Soudainement les journaux annoncèrent l’exécution prochaine d’Olvia à Impel Down la prison sous-marine. Mais une semaine plus tard, ce même journal annonça que les pirates avec qui sa mère s’était liée avait réussit par miracle à la sauver et à l’emmener lors de son transfert à la prison. Une autre nouvelle frappa le jeune homme, durant l’attaque le vice-amiral Shinsuke, chargé du transfert avait perdu la vie. Alors l’amertume et l’incompréhension du jeune homme, qui n’avait jamais réellement compris pourquoi on lui avait retiré sa mère, se transformèrent en haine tenace contre celle-ci. Il la jugeait responsable de ce qui était arrivé à son grand-père. Son père lui aussi tentait d’oublier la meurtrière (par extension) de son père. Girachi consacra les 4 ans et demi qui suivirent à son entrainement auprès de Taki et à ses études. Il entra en même temps dans la Marine, bien décidé à faire payer tous les pirates pour leurs crimes.
Chapitre épilogue : la Marine est Justice, vers une vengeance inhumaine.
A 20 ans, notre jeune homme avait prit de l’assurance. Il était devenu un puissant soldat dans la Marine et était devenu un épéiste reconnu dans son île. Il servait sous les ordres de Taki avec un zèle remarqué et donnait même des cours d’histoire militaire à l’école des officiers d’Offordia. Il étudia aussi durant deux trois ans les stratégies militaires. Son habileté à créer une tactique défensive impressionnante, lui valu le surnom dans le QG de « Roc », car comme une pierre on pouvait rarement le faire reculer, une fois qu’il avait prit position. Pendant neuf ans il continua à vers son travail dans la Marine. Gravissant doucement mais sûrement les échelons. Les pirates qui tentaient de prendre la mer vers Grand Line passaient forcément par Offordia et le contre-amiral et lui était toujours là pour faire régner la justice. A 28 ans, celui qu’on surnommait également « le jeune stratège » avait réussit à se hisser à un poste dans le QG de la Marine. Mais cette même année Taki tomba malade et les médecins affirmèrent qu’elle ne passerait pas l’année. Girachi prit donc sur lui de demander à contrecœur au QG de nommer un nouveau contre-amiral pour Offordia. On lui fit clairement comprendre que la chose serait difficile. Il est vrai que la situation du Gouvernement Mondial s’était passablement compliquée ses dernières années. Trois ans plus tôt un nouveau Conseil des 5 avait été mis en place et la politique c’était considérablement durcie. Par contre et cela n’était pas pour déplaire à Girachi, les effectifs de West Blue comme partout dans le monde avaient été revus à la hausse.
Mais cette année 1623 était la pire de toute, North Blue était en ébullition avec l’évasion massive de prisonniers qui avait eu lieu au QG de cette mer. West Blue comme toutes les autres mers avaient renforcés son propre protocole de sécurité et Taki avait envoyé des hommes pour se tenir au courant de la situation. Les Noms de Sirup, Mahaga, White Basara et Aldo avaient également fais la une des journaux du monde entier. Ce fut vraiment une année noire pour le Gouvernement. Néanmoins après une aggravation de l’état de Taki et une nouvelle demande Girachi le QG confirma l’envoi d’un nouvel contre-amiral au début de l’année prochaine. En attendant, Taki et Girachi, devraient tenir West Blue dans le giron de la Justice Suprême de la Marine.
En décembre, Taki fut emportée par une quinte de toux et succomba a sa lente agonie. La tristesse que ressentit le jeune gradé de la Marine fut vite éclipsée par ses responsabilités à West Blue. Dans les mois qui suivirent, un nouveau contre-amiral fut nommé et Girachi décida que plus rien ne le retenait sur cette ile. Il avait eu son diplôme d’historien confirmé en Mars et pouvait donc exercé un métier ici. Mais sa vengeance refit surface le jour où il vit dans le journal, le nom de sa mère apparaitre. Une première en 10 longues années. Apparemment elle était sur Grand Line depuis 3 ans et avait enfin été repérée près d’Alabasta. Après un bref au revoir à son père, devenu directeur du département des sciences physiques à l’Université, il fit ses bagages. Il n’oublia pas la lame de Taki seul souvenir encore vivace de son maitre disparu puis il prit la mer bien décidé à avoir sa vengeance…
>> Test RP
15 juin 1620. Ce jour restera marqué dans la mémoire de Girachi comme celui où il en a le plus bavé de sa jeune, mais déjà très active, vie. Cela faisait maintenant bien dix ans que notre homme était entré dans la marine. Il avait, sous la tutelle du contre-amiral Taki, fait de nombreux progrès. Mais pour lui ce n’était jamais assez. A bientôt 25 ans, il se trouvait toujours aussi faible que le jour où il était entré dans cette armée qui lui donnerait sa vengeance. Ce matin, comme tant d’autres avant lui, notre jeune homme s’était levé en sachant que sa journée ne serait pas très différente à celle d’hier. Ce sentiment de stagnation renforçait sa frustration ne pas être assez compétent pour pouvoir quitter West Blue et rejoindre Grand Line. Mais lorsqu’il arriva dans la cuisine, une lettre était là, à même le sol. Il lui lança un regard furtif avant de se concentrer sur la préparation du café. Il n’avait jamais été un as en cuisine, mais faire du café était encore dans ses cordes.
Mais la curiosité prit le dessus au environ de la deuxième ou troisième tasse. Il s’empressa de se lever pour aller voir ce que contenait l’enveloppe. Il fut d’ailleurs très surpris du message qu’elle gardait loin des yeux indiscrets. C’était son maitre Taki qui lui faisait parvenir une heure et un lieu de rendez-vous pour leur prochain entrainement. Ce soir, 22h30 dans les catacombes de l’université. La simple pensée de s’entrainer dans un lieu pareil était dérangeante pour le marine. Bien sûr il était trop vieux pour croire aux histoires de fantômes. Mais sur cette île même les anciens avaient peur de s’aventurer dans ses couloirs mortuaires la nuit tombée. On disait qu’ils cachaient un monstre très vieux et très caractériel...Bah c’était un moyen de vérifier si les légendes locales étaient fondées. Après tout il n’avait pas le choix, Taki lui ferait passer un sale quart d’heure. Connaissant cette femme, c’était un risque plus grand que d’affronter un monstre souterrain. Après un bref soupir, il jeta la lettre dans les braises encore fumante de la veille et alla s’habiller pour son premier cours de la journée. L’attente allait être longue jusqu’à ce soir.
Après une journée de travail assez harassante, Girachi se demandait comment il allait pouvoir tenir face aux assauts répétés du contre-amiral. Mais il ne fuirait pas, il devait faire face s’il voulait quitter cette ile un jour et combattre de plus dangereux pirates que ceux qu’il rencontrait sur cette mer. Après être rapidement repassé chez lui pour prendre son équipement d’entrainement, il arriva devant la grille des catacombes. Même elle avait l’air sinistre alors le reste devait vraiment être digne d’un film d’horreur. Qu’importe, il fallait continuer à avancer. Ouvrant la grille dans un bruit de gonds grinçant le jeune homme entra dans les ténèbres. Oui car a cette période de la journée, plus rien n’éclairait les catacombes si ce n’est deux ou trois lampes à pétrole disséminé dans toute la pièce. Soudain une voix se fit entendre dans ce noir oppressant.
-« Enfin te voilà, tu as failli être en retard. J’ai cru que tu te serais dégonflé, petit ! »
Même sans voir le visage de son propriétaire, Girachi l’avait reconnu entre mille…Le contre-amiral Taki l’observait dans le noir. C’était bien typique de cette sadique, trouver des entrainements plus dangereux à chaque fois. Alors que Girachi tirait son sabre, les rares lueurs qui donnaient à ce lieu une parcelle de vitalité s’éteignirent et les ténèbres oppressèrent les deux combattants. Là sa devenait plus compliqué. Girachi n’avait encore jamais combattu dans le noir total, il ne ferait pas long feu comme ça… Passablement irrité il le fit savoir à son maître.
-« Alors c’est ça votre nouveau jeu… Sérieusement maître vous voulez me tuer pour de bon cette fois… »
Il eu pour seule réponse un rire rauque d’une voix âgée. Cette situation était sans doute drôle pour elle, mais Girachi avait l’impression d’être en Enfer. Les bruits des os, posés à même le sol, craquelant sous ses pas n’étaient pas non plus pour lui plaire. Quel sinistre endroit pour s’entrainer je vous jure ! Mais au fur et à mesure que les secondes s’écoulaient son organisme semblait de mieux en mieux s’adapter à son nouvel environnement. Il ferma les yeux qui ne lui étaient plus vraiment utile dans la pénombre et se concentra sur ses autres sens. Mais il eu juste le temps d’entendre un cliquetis métallique, avant de sauter en arrière pour esquiver le coup de son maitre. Sans vraiment y arriver d’ailleurs puisqu’il sentit la lame faire une légère entaille sur le haut de son front, puis tout de suite la chaleur de son sang coulant de la blessure.
-« Hum je vois que tu commences à t’y faire. Bien…Écoute bien gamin, les pirates ne seront pas aussi magnanimes que moi. Alors reste sur tes gardes tout le temps, ces fourbes n’hésiteront pas à t’attaquer dès lors que tu auras le dos tourné… »
Pendant qu’elle continuait inlassablement de le sermonner, le jeune homme s’était relevé et s’approcha d’elle au maximum avant de frapper d’un grand coup vertical. Mais il entendit un pied toucher terre quelques secondes plus tard symbole de son échec.
-« Vous parlez vraiment trop, vieille chouette. Vôtre grand âge aura finie par vous ramollir. »
La vielle femme relança son attaque tout en continuant de sermonner son élève. Finalement le combat dans le noir n’était pas si dur que cela. Il fallait juste savoir se fier à ses autres sens pour pouvoir tenir. Un coup de sabre dans un mur de pierre provoqua des étincelles qui illuminèrent quelques instants la pièce. Girachi pût alors s’apercevoir que le sol autour d’eux était jonché d’ossements humains. Le marine tomba à la renverse après une esquive mal calculée et se retrouva dans les bras d’un tas d’os qui tenait encore debout. Le mouvement de dégout qu’il eu ensuite lui sauva la mise, puisque la lame vint se figer dans l’espace entre les côtes qui protégeaient auparavant le cœur. Comme d’habitude cette vieille peau ne rigolait pas lorsqu’elle combattait et le fait que son élève lui est manqué de respect n’avait pas dû arranger les choses.
Alors que leurs échanges de coups avaient mené les deux bretteurs au centre des catacombes, un cri se fit entendre dans tous les couloirs de ce terrible endroit. Les deux combattants stoppèrent alors leur affrontement pour savoir d’où venait ce râle bestial. Mais la pénombre ne permettait à aucun de voir réellement de quelle bête provenait ce son horrible.
*Finalement, les anciens avaient raison. Il y a bien une bête ici*
-« Girachi attention derrière toi !!! »
Tournant brusquement la tête, le soldat vit deux grands yeux jaunes qui étaient à environ deux mètres du sol, l’observer. Ils faisaient froid dans le dos, même dans la pénombre ils étaient visibles…Un sentiment de malaise s’installa alors dans le subconscient du jeune. Mais il eu quand même l’instinct d’esquiver le coup de griffe de la créature. Même si sa réaction tardive lui avait laissé trois lacérations dans le dos. Se tordant de douleur, il perçut le son d’une lame fendant l’air, puis juste après les cris d’agonie d’une créature qu’on achevait. Quelques secondes furent nécessaires pour qu’une lampe à pétrole se rallume et laisse le jeune homme apercevoir la lame de son maitre teintée d’une couleur sombre. Bah…Après tout c’était un contre-amiral, il ne faisait pas le poids face à elle. Alors ce monstre…
-« Désolé…c’est un crocodile géant des mers que l’on a jeté ici il y a longtemps. Je croyais l’avoir solidement enfermé mais ce bougre c’est détaché. Enfin il n’embêtera plus personne maintenant. Pas mal pour une vieille chouette hein ? »
Girachi qui tentait toujours de faire face à la douleur ne pût esquisser qu’un léger sourire avant de perdre connaissance. Il se réveilla deux jours plus tard à l’hôpital de la ville, couvert de bandages. Apparemment son maitre avait eu la force de le porter jusqu’ici…Elle le surprendrait toujours cette vieille bique. Soupirant de contentement, il jeta un œil autour de lui et aperçu une lettre sur sa table de chevet. Il tendit le bras pour la lire. Encore une fois c’était Taki qui l’avait écrite. Elle disait à peu près ceci.
-« Puisque ton entrainement d’hier a été un fiasco...Tu t’entraineras deux fois plus ce soir. Je te préviens que la vieille chouette a encore des ressources. Ce soir même lieu, même heure et ne soit pas en retard, Gamin »
*Hum…Elle ne changera jamais. Je n’ai pas finis de me retrouver à l’hôpital avec une folle pareille*
Et en effet les 4 ans qui suivirent furent ponctués de ce genre de visite.
Mais la curiosité prit le dessus au environ de la deuxième ou troisième tasse. Il s’empressa de se lever pour aller voir ce que contenait l’enveloppe. Il fut d’ailleurs très surpris du message qu’elle gardait loin des yeux indiscrets. C’était son maitre Taki qui lui faisait parvenir une heure et un lieu de rendez-vous pour leur prochain entrainement. Ce soir, 22h30 dans les catacombes de l’université. La simple pensée de s’entrainer dans un lieu pareil était dérangeante pour le marine. Bien sûr il était trop vieux pour croire aux histoires de fantômes. Mais sur cette île même les anciens avaient peur de s’aventurer dans ses couloirs mortuaires la nuit tombée. On disait qu’ils cachaient un monstre très vieux et très caractériel...Bah c’était un moyen de vérifier si les légendes locales étaient fondées. Après tout il n’avait pas le choix, Taki lui ferait passer un sale quart d’heure. Connaissant cette femme, c’était un risque plus grand que d’affronter un monstre souterrain. Après un bref soupir, il jeta la lettre dans les braises encore fumante de la veille et alla s’habiller pour son premier cours de la journée. L’attente allait être longue jusqu’à ce soir.
Après une journée de travail assez harassante, Girachi se demandait comment il allait pouvoir tenir face aux assauts répétés du contre-amiral. Mais il ne fuirait pas, il devait faire face s’il voulait quitter cette ile un jour et combattre de plus dangereux pirates que ceux qu’il rencontrait sur cette mer. Après être rapidement repassé chez lui pour prendre son équipement d’entrainement, il arriva devant la grille des catacombes. Même elle avait l’air sinistre alors le reste devait vraiment être digne d’un film d’horreur. Qu’importe, il fallait continuer à avancer. Ouvrant la grille dans un bruit de gonds grinçant le jeune homme entra dans les ténèbres. Oui car a cette période de la journée, plus rien n’éclairait les catacombes si ce n’est deux ou trois lampes à pétrole disséminé dans toute la pièce. Soudain une voix se fit entendre dans ce noir oppressant.
-« Enfin te voilà, tu as failli être en retard. J’ai cru que tu te serais dégonflé, petit ! »
Même sans voir le visage de son propriétaire, Girachi l’avait reconnu entre mille…Le contre-amiral Taki l’observait dans le noir. C’était bien typique de cette sadique, trouver des entrainements plus dangereux à chaque fois. Alors que Girachi tirait son sabre, les rares lueurs qui donnaient à ce lieu une parcelle de vitalité s’éteignirent et les ténèbres oppressèrent les deux combattants. Là sa devenait plus compliqué. Girachi n’avait encore jamais combattu dans le noir total, il ne ferait pas long feu comme ça… Passablement irrité il le fit savoir à son maître.
-« Alors c’est ça votre nouveau jeu… Sérieusement maître vous voulez me tuer pour de bon cette fois… »
Il eu pour seule réponse un rire rauque d’une voix âgée. Cette situation était sans doute drôle pour elle, mais Girachi avait l’impression d’être en Enfer. Les bruits des os, posés à même le sol, craquelant sous ses pas n’étaient pas non plus pour lui plaire. Quel sinistre endroit pour s’entrainer je vous jure ! Mais au fur et à mesure que les secondes s’écoulaient son organisme semblait de mieux en mieux s’adapter à son nouvel environnement. Il ferma les yeux qui ne lui étaient plus vraiment utile dans la pénombre et se concentra sur ses autres sens. Mais il eu juste le temps d’entendre un cliquetis métallique, avant de sauter en arrière pour esquiver le coup de son maitre. Sans vraiment y arriver d’ailleurs puisqu’il sentit la lame faire une légère entaille sur le haut de son front, puis tout de suite la chaleur de son sang coulant de la blessure.
-« Hum je vois que tu commences à t’y faire. Bien…Écoute bien gamin, les pirates ne seront pas aussi magnanimes que moi. Alors reste sur tes gardes tout le temps, ces fourbes n’hésiteront pas à t’attaquer dès lors que tu auras le dos tourné… »
Pendant qu’elle continuait inlassablement de le sermonner, le jeune homme s’était relevé et s’approcha d’elle au maximum avant de frapper d’un grand coup vertical. Mais il entendit un pied toucher terre quelques secondes plus tard symbole de son échec.
-« Vous parlez vraiment trop, vieille chouette. Vôtre grand âge aura finie par vous ramollir. »
La vielle femme relança son attaque tout en continuant de sermonner son élève. Finalement le combat dans le noir n’était pas si dur que cela. Il fallait juste savoir se fier à ses autres sens pour pouvoir tenir. Un coup de sabre dans un mur de pierre provoqua des étincelles qui illuminèrent quelques instants la pièce. Girachi pût alors s’apercevoir que le sol autour d’eux était jonché d’ossements humains. Le marine tomba à la renverse après une esquive mal calculée et se retrouva dans les bras d’un tas d’os qui tenait encore debout. Le mouvement de dégout qu’il eu ensuite lui sauva la mise, puisque la lame vint se figer dans l’espace entre les côtes qui protégeaient auparavant le cœur. Comme d’habitude cette vieille peau ne rigolait pas lorsqu’elle combattait et le fait que son élève lui est manqué de respect n’avait pas dû arranger les choses.
Alors que leurs échanges de coups avaient mené les deux bretteurs au centre des catacombes, un cri se fit entendre dans tous les couloirs de ce terrible endroit. Les deux combattants stoppèrent alors leur affrontement pour savoir d’où venait ce râle bestial. Mais la pénombre ne permettait à aucun de voir réellement de quelle bête provenait ce son horrible.
*Finalement, les anciens avaient raison. Il y a bien une bête ici*
-« Girachi attention derrière toi !!! »
Tournant brusquement la tête, le soldat vit deux grands yeux jaunes qui étaient à environ deux mètres du sol, l’observer. Ils faisaient froid dans le dos, même dans la pénombre ils étaient visibles…Un sentiment de malaise s’installa alors dans le subconscient du jeune. Mais il eu quand même l’instinct d’esquiver le coup de griffe de la créature. Même si sa réaction tardive lui avait laissé trois lacérations dans le dos. Se tordant de douleur, il perçut le son d’une lame fendant l’air, puis juste après les cris d’agonie d’une créature qu’on achevait. Quelques secondes furent nécessaires pour qu’une lampe à pétrole se rallume et laisse le jeune homme apercevoir la lame de son maitre teintée d’une couleur sombre. Bah…Après tout c’était un contre-amiral, il ne faisait pas le poids face à elle. Alors ce monstre…
-« Désolé…c’est un crocodile géant des mers que l’on a jeté ici il y a longtemps. Je croyais l’avoir solidement enfermé mais ce bougre c’est détaché. Enfin il n’embêtera plus personne maintenant. Pas mal pour une vieille chouette hein ? »
Girachi qui tentait toujours de faire face à la douleur ne pût esquisser qu’un léger sourire avant de perdre connaissance. Il se réveilla deux jours plus tard à l’hôpital de la ville, couvert de bandages. Apparemment son maitre avait eu la force de le porter jusqu’ici…Elle le surprendrait toujours cette vieille bique. Soupirant de contentement, il jeta un œil autour de lui et aperçu une lettre sur sa table de chevet. Il tendit le bras pour la lire. Encore une fois c’était Taki qui l’avait écrite. Elle disait à peu près ceci.
-« Puisque ton entrainement d’hier a été un fiasco...Tu t’entraineras deux fois plus ce soir. Je te préviens que la vieille chouette a encore des ressources. Ce soir même lieu, même heure et ne soit pas en retard, Gamin »
*Hum…Elle ne changera jamais. Je n’ai pas finis de me retrouver à l’hôpital avec une folle pareille*
Et en effet les 4 ans qui suivirent furent ponctués de ce genre de visite.
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________
Informations IRL
[list]Prénom : Commence par un L.
Age : 20 ans
Aime : Lire, rp (évidement), les mangas, et beaucoup d'autres choses
N'aime pas : La mauvaise foi.
Personnage préféré de One Piece : Ao Kiji, Kizaru, Barbe Blanche, Zoro
Caractère : (définissez vous en quelques mots) Je suis quelqu'un d'assez sociable, je suis assez calme et m'énerve rarement. Mais je me laisse parfois déborder par les évènements et je suis légèrement impatient.
Fais du RP depuis : Depuis l'âge de 16 ans.
Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) je dirais 3.5/7.
Comment avez vous connu le forum ? Google est mon ami.
Dernière édition par Girachi "Roc" Shinsuke le Ven 17 Fév 2012 - 18:33, édité 3 fois
.
