Cela faisait trois ans que ma vie était devenu une incroyable routine affligeante, ou je ne faisais que forger, nager et m’entrainer à utiliser Futago no Ken. C’était une lame assez difficile à manier, car avec ses 2 extrémités tranchantes, il était facile de se couper si on ne préoccupait pas des deux lames à la fois. Enfin, à force de m’entrainer seule, je connaissais cette arme mais j’étais arrivé à un point où je ne m’améliorais plus vraiment. Personne dans mon village ne maniait l’épée, donc personne ne pouvait m’aider. Malgré cela, je continuais de persévérer, mais ça m’ennuyait de plus en plus.
Une belle après midi de fin de printemps, après avoir fini ma nage quotidienne, je débutai mon fameux entrainement répétitif qui ne m’apportait plus grand-chose. D’ailleurs, je ne pris pas la peine de me revêtir convenablement car s’était devenue un tel rituel que je connaissais mes mouvements par cœur et je ne craignais pas de me couper. De plus, avec la chaleur qui régnait sur cette plage, j’étais plus à l’aise dans mon bikini, je mis simplement un paréo rouge autours de ma taille, au cas où un villageois passerait dans le coin.
Malheureusement, je fus vite distraire. Près de là où je me trouvais, il y avait une fleur, une unique fleur d’un rouge éclatant, le même rouge que ma chevelure flamboyante. Bien évidemment ce n’était pas n’importe quelle fleur, c’était une rose, si belle et si fragile. Je fis une pause sur mon exercice et m’approchai de cette merveille. Plantant mon épée non loin d’elle, je m’asseyais juste à coté et respirai son parfum subtil. Cela me remémora la première fois où Léo m’avait offert une rose, le jour de mon treizième anniversaire, le jour ou il m’avait déclaré sa flamme. Il avait dis qu’a ses yeux, j’étais exactement comme cette fleur, aussi belle et attirante, mais aussi dangereuse lorsqu’on n’en connait pas tout ses aspects, et que lui connaissait tous mes aspects et qu’il savait qu’il n’aurait jamais rien à craindre de moi.
J’hésitais à la cueillir, car à cet instant, elle me ressemblait plus qu’à l’habitude, cette petite rose isolée. Je fini par me perdre dans ma réflexion et m’endormir sur place, près de ma semblable végétale et de ma création de métal. Ce furent des bruits de pas qui me sortir de mon sommeil. Lorsque j’ouvris les yeux et regardai dans la direction d’où provenait ce son qui m’avait réveillée. J’aperçus qu’un homme observait attentivement mon arme. Cet homme était vêtu de noir de la tête au pied et il portait une capuche qui m’empêcha de voir son visage. N’étant pas très bien réveillée, je m’assieds et m’étirai de tout mon long pour corriger ce problème puis battu trois fois des ailes pour les désengourdir.
Je m’adressai enfin à l’homme qui n’avait même pas vu que j’avais bougé tellement il était concentré :
-Bonjour, je peux vous aider ?
Une belle après midi de fin de printemps, après avoir fini ma nage quotidienne, je débutai mon fameux entrainement répétitif qui ne m’apportait plus grand-chose. D’ailleurs, je ne pris pas la peine de me revêtir convenablement car s’était devenue un tel rituel que je connaissais mes mouvements par cœur et je ne craignais pas de me couper. De plus, avec la chaleur qui régnait sur cette plage, j’étais plus à l’aise dans mon bikini, je mis simplement un paréo rouge autours de ma taille, au cas où un villageois passerait dans le coin.
Malheureusement, je fus vite distraire. Près de là où je me trouvais, il y avait une fleur, une unique fleur d’un rouge éclatant, le même rouge que ma chevelure flamboyante. Bien évidemment ce n’était pas n’importe quelle fleur, c’était une rose, si belle et si fragile. Je fis une pause sur mon exercice et m’approchai de cette merveille. Plantant mon épée non loin d’elle, je m’asseyais juste à coté et respirai son parfum subtil. Cela me remémora la première fois où Léo m’avait offert une rose, le jour de mon treizième anniversaire, le jour ou il m’avait déclaré sa flamme. Il avait dis qu’a ses yeux, j’étais exactement comme cette fleur, aussi belle et attirante, mais aussi dangereuse lorsqu’on n’en connait pas tout ses aspects, et que lui connaissait tous mes aspects et qu’il savait qu’il n’aurait jamais rien à craindre de moi.
J’hésitais à la cueillir, car à cet instant, elle me ressemblait plus qu’à l’habitude, cette petite rose isolée. Je fini par me perdre dans ma réflexion et m’endormir sur place, près de ma semblable végétale et de ma création de métal. Ce furent des bruits de pas qui me sortir de mon sommeil. Lorsque j’ouvris les yeux et regardai dans la direction d’où provenait ce son qui m’avait réveillée. J’aperçus qu’un homme observait attentivement mon arme. Cet homme était vêtu de noir de la tête au pied et il portait une capuche qui m’empêcha de voir son visage. N’étant pas très bien réveillée, je m’assieds et m’étirai de tout mon long pour corriger ce problème puis battu trois fois des ailes pour les désengourdir.
Je m’adressai enfin à l’homme qui n’avait même pas vu que j’avais bougé tellement il était concentré :
-Bonjour, je peux vous aider ?