Au bout de quelques heures de marche, Wohrwèlch arrivant enfin dans le petit village où vivant les parents de son ami Masato. Épuisé par la marche, il chercha un établissement pour se désaltérer. Il entra donc dans une auberge miteuse. À première vue, il n'y avait que des personnes âges de plus de 40ans. Sans vous mentir, il n'y avait que des vieux! Même le tavernier et sa femme dernière le comptoir étaient des vieillards. Patelin de chnoques? Le jeune homme fatigué s’assit d'une traite sur un siège. Il en pouvait plus. Tout de suite, l'aubergiste vint lui demandait sa commande:
- Bonjour étranger, il est plutôt rare de voir de nouvelles têtes par ici. Et qui plus est, des visages jeunes. Puis-je prendre votre menu?
- Bonjour monsieur, oui je veux bien. La route m'a bien creusé. Je prendrais votre plat du jour, s'il vous plait. Merci pour le compliment.
L'historien se sentait un peu mal à l'aise. Pendant que "l'ancien" alla en cuisine, il regardait tout autour de lui. Les gens de la salle lui rendaient l'appareil. Alors, il se redressa comme il faut, l'air gêné. Il chercha dans son sac un livre dont il avait glissé la lettre de son ami Masato. Il y jeta un coup d'œil.
De retour avec l'assiette pleine de nourriture chaude, le cuisinier fut immédiatement questionné. Wohr lui tendit enveloppe pour que ce dernier puisse lire comme il faut le nom du lieu:
- Excusez-moi, je cherche cette adresse-ci. Savez-vous où puisse-je trouver monsieur et madame Ado, s'il vous plait?
À ces mots, toute la pièce se retourna, les regards se pointaient en direction de Wohrwèlch, comme s'il avait dit une chose qu'il ne fallait pas. Cette fois-ci, il n'y prit pas attention. Son interlocuteur lui répondit avec douceur:
- C'est moi-même. À qui ai-je l'honneur? Vous êtes de la Marine?
- Oulah, non. Du tout, du tout. Je suis un ami de votre fils unique Masato qui vit actuellement à Logue Town. D’ailleurs, cela va faire environ 5ans que l'on se connait. Gardez cette lettre. Elle vous est adressée. Le contenu plaide en ma faveur. Elle est de lui-même.
- Ah bon? Ce n'est pas souvent qu'il nous écrit, le bourg. Et qui c'est qu'on reçoit à la place? Un de ses amis... Ne le prenez pas mal, monsieur... ?
- ...Wohrwèlch.
- Bien, monsieur Worlbèche...
- Non, Wohrwèlch. Je sais que mon prénom, n'est pas commun mais appelez-moi Wohr.
- Certes. Nous n'avons guère de nouvelle de notre chère fils ma femme et moi. Je suppose qu'il va bien, visiblement.
Avant que le père de Masato lu la lettre, l'archéologue demanda une chose:
- Hmm, vous ne pouvez pas me dire où se trouve les toilettes?
À nouveau des chaises se grinçaient sur le sol, un tumulte se créa brièvement et une personne se retourna.
[Hrp: Clin d'œil à l’enquête Corse.]
- Bonjour étranger, il est plutôt rare de voir de nouvelles têtes par ici. Et qui plus est, des visages jeunes. Puis-je prendre votre menu?
- Bonjour monsieur, oui je veux bien. La route m'a bien creusé. Je prendrais votre plat du jour, s'il vous plait. Merci pour le compliment.
L'historien se sentait un peu mal à l'aise. Pendant que "l'ancien" alla en cuisine, il regardait tout autour de lui. Les gens de la salle lui rendaient l'appareil. Alors, il se redressa comme il faut, l'air gêné. Il chercha dans son sac un livre dont il avait glissé la lettre de son ami Masato. Il y jeta un coup d'œil.
Le 10 janvier 1624à Logue TownChèr père,
je vous écris cette lettre d'abord pour prendre de vos nouvelles, mais aussi pour que vous puissiez héberger gratuitement quelques jours mon ami Wohrwèlch. C'est lui qui vous a apporté cette missive.
J'espère que vous vous portez bien tous les deux. Les affaires marchent bien de votre côté?
Voici ci-joint un peu de mes économies afin que vous puisez accueillir Wohrwèlch chaleureusement.
Je vous embrasse tendrement.Masato Ado
De retour avec l'assiette pleine de nourriture chaude, le cuisinier fut immédiatement questionné. Wohr lui tendit enveloppe pour que ce dernier puisse lire comme il faut le nom du lieu:
- Excusez-moi, je cherche cette adresse-ci. Savez-vous où puisse-je trouver monsieur et madame Ado, s'il vous plait?
À ces mots, toute la pièce se retourna, les regards se pointaient en direction de Wohrwèlch, comme s'il avait dit une chose qu'il ne fallait pas. Cette fois-ci, il n'y prit pas attention. Son interlocuteur lui répondit avec douceur:
- C'est moi-même. À qui ai-je l'honneur? Vous êtes de la Marine?
- Oulah, non. Du tout, du tout. Je suis un ami de votre fils unique Masato qui vit actuellement à Logue Town. D’ailleurs, cela va faire environ 5ans que l'on se connait. Gardez cette lettre. Elle vous est adressée. Le contenu plaide en ma faveur. Elle est de lui-même.
- Ah bon? Ce n'est pas souvent qu'il nous écrit, le bourg. Et qui c'est qu'on reçoit à la place? Un de ses amis... Ne le prenez pas mal, monsieur... ?
- ...Wohrwèlch.
- Bien, monsieur Worlbèche...
- Non, Wohrwèlch. Je sais que mon prénom, n'est pas commun mais appelez-moi Wohr.
- Certes. Nous n'avons guère de nouvelle de notre chère fils ma femme et moi. Je suppose qu'il va bien, visiblement.
Avant que le père de Masato lu la lettre, l'archéologue demanda une chose:
- Hmm, vous ne pouvez pas me dire où se trouve les toilettes?
À nouveau des chaises se grinçaient sur le sol, un tumulte se créa brièvement et une personne se retourna.
[Hrp: Clin d'œil à l’enquête Corse.]
Dernière édition par Wohrwèlch le Ven 6 Avr 2012 - 12:10, édité 1 fois