>> Erin M. Redd
Pseudonyme : Ririn pour ma soeur et pour les ennemis... rien Age: 19 ans Sexe : Femme Race : Humaine et surtout le restera Rang :.... Métier : Musicienne et couturière Groupe : Révo mais on n'est pas encore recrutées Déjà un équipage : ... Pas que je sache non But : Suivre ma soeur jusqu'à la mort. Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Je ne pense pas en vouloir ni en demander Équipements : Avec une flûte "magique" et deux petits pistolets bien cachés dans ma jupe... Codes du règlement (2/2) : Parrain : ... |
>> Physique
Et me voici me voilà... Je sais ce que vous vous dites, que Erin va juste copier la fiche de sa soeur et que vous n'aurez même pas besoin de la lire. Eh bien non ! Il va y avoir des commentaires à sa sauce et surtout de la bonne humeur... enfin presque.
C'est vrai, Erin et Stia se ressemblent, c'est normal me direz-vous, elles sont jumelles. Tout à fait, enfin du moins physiquement. Les deux demoiselles font la même taille, mais n'ont pas vraiment le même mode alimentaire. Erin ne mange presque jamais rien, elle a un appétit d'oiseau. Contrairement à sa soeur qui elle engloutit tout ce qu'elle peut, dès qu'elle le peut. Mais son travail est beaucoup plus physique.
Quant au visage, c'est le même que celui de Stia : le teint clair, les yeux gris à vous clouer sur place, les mêmes lèvres, sourcils, nez, enfin tous ça quoi ! Pas besoin de vous faire un dessin.
Et vous vous demandez comment les différencier. Ne vous inquiétez pas, elles n'ont pas du tout le même style vestimentaire.
Alors que sa soeur se plantait de nombreuses choses dans les cheveux, Erin, elle, a décidé de faire plus simple. Après s'être teint les cheveux en noir vers le bas, laissant la racine plus claire, elle leur fit un traitement de choc pour les lisser durablement. Résultat : toujours bien coiffée, elle pourrait passer pour une lady en train de boire le thé à n'importe qu'elle heure de la journée.
Comme le disait sa soeur, le style froufrou et steampuk est caractéristique de la famille Redd. C'est chic et pratique à la fois. Erin adore coudre vêtements et accessoires. Si bien qu'en fait on ne peut différencier les jumelles que par leurs couleurs. Rouge et noir pour Stia, blanc et violet pour l'aînée. Sinon elles portent toutes deux jupes et corsets.
Erin s'habille avec une longue jupe violette, retroussée pour laisser voir un jupon plus foncé. (oui oui je sais c'est pas la même chose que mon avatar, mais il a été légèrement modifié pour juste faire joli, alors référence sur la signature), ainsi que des bottines de la même couleur. Le corset est dans les mêmes tons de blanc, et violet, et la touche hivernale est le manteau à manches longues en fourrure tenu par une simple broche. Des gants en résilles, et un chapeau haut-de-forme digne des plus grands de l'histoire complètent cette tenue.
Bon maintenant passons aux équipements. Erin ne veut pas montrer ses petits secrets. Alors sa flûte enchantée, fabriquée par sa soeur sur sa demande, est cachée dans sa manche et tenue grâce à une gaine. Les pistolets eux, sont mis dans une poche spéciale de son jupon. Toujours à portée de main bien sûr, mais non visibles de l'extérieur.
Il me semble que c'est tout. Oui alors c'est vrai, les soeurs Redd sont complémentaires. Mais n'est-ce pas cela qui fait leur charme ?
C'est vrai, Erin et Stia se ressemblent, c'est normal me direz-vous, elles sont jumelles. Tout à fait, enfin du moins physiquement. Les deux demoiselles font la même taille, mais n'ont pas vraiment le même mode alimentaire. Erin ne mange presque jamais rien, elle a un appétit d'oiseau. Contrairement à sa soeur qui elle engloutit tout ce qu'elle peut, dès qu'elle le peut. Mais son travail est beaucoup plus physique.
Quant au visage, c'est le même que celui de Stia : le teint clair, les yeux gris à vous clouer sur place, les mêmes lèvres, sourcils, nez, enfin tous ça quoi ! Pas besoin de vous faire un dessin.
Et vous vous demandez comment les différencier. Ne vous inquiétez pas, elles n'ont pas du tout le même style vestimentaire.
Alors que sa soeur se plantait de nombreuses choses dans les cheveux, Erin, elle, a décidé de faire plus simple. Après s'être teint les cheveux en noir vers le bas, laissant la racine plus claire, elle leur fit un traitement de choc pour les lisser durablement. Résultat : toujours bien coiffée, elle pourrait passer pour une lady en train de boire le thé à n'importe qu'elle heure de la journée.
Comme le disait sa soeur, le style froufrou et steampuk est caractéristique de la famille Redd. C'est chic et pratique à la fois. Erin adore coudre vêtements et accessoires. Si bien qu'en fait on ne peut différencier les jumelles que par leurs couleurs. Rouge et noir pour Stia, blanc et violet pour l'aînée. Sinon elles portent toutes deux jupes et corsets.
Erin s'habille avec une longue jupe violette, retroussée pour laisser voir un jupon plus foncé. (oui oui je sais c'est pas la même chose que mon avatar, mais il a été légèrement modifié pour juste faire joli, alors référence sur la signature), ainsi que des bottines de la même couleur. Le corset est dans les mêmes tons de blanc, et violet, et la touche hivernale est le manteau à manches longues en fourrure tenu par une simple broche. Des gants en résilles, et un chapeau haut-de-forme digne des plus grands de l'histoire complètent cette tenue.
Bon maintenant passons aux équipements. Erin ne veut pas montrer ses petits secrets. Alors sa flûte enchantée, fabriquée par sa soeur sur sa demande, est cachée dans sa manche et tenue grâce à une gaine. Les pistolets eux, sont mis dans une poche spéciale de son jupon. Toujours à portée de main bien sûr, mais non visibles de l'extérieur.
Il me semble que c'est tout. Oui alors c'est vrai, les soeurs Redd sont complémentaires. Mais n'est-ce pas cela qui fait leur charme ?
>> Psychologie
Erin est d'un caractère calme et posé. Rien ne la fait se presser, à part de savoir sa petite soeur en danger. Elle passe son temps à lire, ou jouer de la flûte, sur un toit ou à simplement se promener sur les quais. A force de vagabondage, elle rencontre pas mal de gens, à qui elle parle difficilement. Mais surtout il ne faut pas mal lui parler ou mal la regarder sinon la situation dégénère très vite. Adepte des piques sanglantes et bien ajustées, elle ne se bat que si la situation dérape.
Cela remonte à l'enfance. Stia allait mettre les mains dans le cambouis avec leur père, histoire de découvrir quelque chose de nouveau, quand sa soeur restait à la maison avec leur mère à l'aider dans les tâches ménagères. Et elle se rendit compte rapidement que la couture, c'était vraiment son truc, ainsi que la musique que son père lui apprit le soir devant le feu.
Alors quand sa soeur à besoin de quelque chose, n'importe quoi, Erin est ravie de l'aider, car les deux s'adorent. Mais elle ne l'accompagne pas dans ses beuveries, non, elle est une jeune femme civilisée, quelle horreur de se saoûler ! Non, elle préfère des soirées bien au chaud avec une tasse de thé et un roman à lire ou une nouvelle partition à apprendre pour sa flûte. Toujours perdue dans une rêverie, elle n'en reste pas moins attentive à son environnement, pour éviter des mauvaises surprises. Comme la fois où étant encore une enfant, elle se prit les pieds dans un cordage et tomba à l'eau parce qu'elle ne regardait pas où elle mettait les pieds.
Cela remonte à l'enfance. Stia allait mettre les mains dans le cambouis avec leur père, histoire de découvrir quelque chose de nouveau, quand sa soeur restait à la maison avec leur mère à l'aider dans les tâches ménagères. Et elle se rendit compte rapidement que la couture, c'était vraiment son truc, ainsi que la musique que son père lui apprit le soir devant le feu.
Alors quand sa soeur à besoin de quelque chose, n'importe quoi, Erin est ravie de l'aider, car les deux s'adorent. Mais elle ne l'accompagne pas dans ses beuveries, non, elle est une jeune femme civilisée, quelle horreur de se saoûler ! Non, elle préfère des soirées bien au chaud avec une tasse de thé et un roman à lire ou une nouvelle partition à apprendre pour sa flûte. Toujours perdue dans une rêverie, elle n'en reste pas moins attentive à son environnement, pour éviter des mauvaises surprises. Comme la fois où étant encore une enfant, elle se prit les pieds dans un cordage et tomba à l'eau parce qu'elle ne regardait pas où elle mettait les pieds.
>> Biographie
Vivant toutes deux dans un petit hameau sans histoire, les jumelles furent choyer par leurs parents durant toute leur enfance. Nées très proche l'une de l'autre, en 1605 exactement, elles firent la joie de toute la famille, même si personne ne s'attendait à deux filles d'un coup. Leur père prenait souvent la cadette pour un garçon, même s'il ne sait jamais plaint auprès de qui que se soit de ne pas avoir eu de fils.
Cependant, les jumelles se ressemblaient tellement étant enfants, que leurs parents se trompaient souvent. Seul leur caractères très différents permettaient de les distinguer. Alors leur mère décida de leur attribuer une couleur qu'elles auraient choisies pour permettent de les différencier. Vous connaissez la réponse non ? Peut-être que les deux chipies échangèrent leurs vêtements, mais cela personne ne le sut vraiment. Très jeunes, leurs caractères étaient déjà bien différents. Mais vous en avez déjà eux un aperçu peu avant non ?
Mais un jour, vers l'âge tendre, les deux gamines partirent faire un tour sur la plage. Comme chaque matin, elles se promenaient sur la grève pour ramasser des coquillages et autres bibelots rejetés par la mer. Soudain Stia vit une lumières briller au loin. Elle attira l'attention de sa soeur et lui tirant la manche.
Ririn ! Sa brille par là-bas, regarde !
Sa soeur mis sa main en visière pour regarder ce que lui indiquait sa cadette.
Mais oui ! Mais qu'est-ce que sa peux être ?
Je ne sais pas mais allons voir !
Stia tira sa soeur par la main pour l'emmener. C'était toujours elle qui menait les aventures et sa soeur qui geignait. Les deux fillettes longèrent la bordure de sable, et débouchèrent sur un étroit sentier. Elles le suivirent et après quelques temps de marche, peut-être un quart d'heure. Et là elles débouchèrent sur une grande décharge à ciel ouvert. Bien sur elles n'avaient pas l'habitude de fréquenter ce genre d'endroit. Leurs parents ne voulaient pas, et on peut les comprendre, qu'elles jouent et puissent se couper avec des objets qui traînaient là depuis pas mal de temps visiblement.
L'éclat brillant qui avait attirer leur attention était un bout de métal tout rouillé avec des boulons qui eux étaient aussi neufs qu'au premier jour. Stia s'en empara et le tourna dans tous les sens pour mieux l'examiner. Elle le tendit à sa soeur pour qu'elle le touche, mais celle-ci refusa, cela ne l'intéressait pas. Elle laissa là sa jumelle et se promena seule parmi les monceaux de déchets.
Puis soudain, comme une révélation, elle trouva un bout de piano abandonné depuis très longtemps vu son état. Intriguée Erin posa son doigt dessus. Et là un son discordant résonna. A tel point que sa soeur se précipita vers elle tenant toujours le bout de métal dans sa main droite.
Qu'est-ce que tu as fait ? Oh un piano...
Oui bon ça va j'ai juste touché et ça à fait un bruit bizarre.
Bon ba moi je vais regarder si je trouve quelque chose d'autre dans le même genre que se machin brillant.
La laissant seule, Stia retourna à ses affaires. Erin, elle continua d'appuyer à tors et à travers sur les touches restantes de l'instrument de musique. On ne pouvait pas ne pas entendre. Et c'est ce que fit un vieil homme qui décuvait plus loin. Il débarqua dans la décharge et trouva les deux gamines en train de jouer. Il se douta que vu leur habits et leur coiffures qu'elles n'avaient rien à faire ici. Il apostropha celle qui jouait du piano.
Eh gamine ! Que ce que c'est ce raffut ? Vous n'avez rien à faire ici !
Erin se leva précipitamment et leva la tête vers le vieil homme. Stia lâcha son jouet improvisé et vient se placer à côté de sa jumelle. C'est même elle qui répondit insolemment à l'homme.
On fait rien de mal monsieur, c'est un lieu public, on a le droit de venir jouer !
Celui-ci soupira et lui répondit
Bon venez ici. Je vous ramène chez vos parents. Vous devez être ici depuis un bon bout de temps.
Erin se rendit alors compte que effectivement le soleil commençait à se coucher. Elle suivit alors sans un mot la main puante du vieillard et pris celle de sa soeur en l'encourageant à la suivre du regard. L'homme se mit en route et les ramena vers le village qui n'était pas si loin que cela finalement. En débarquant sur la place du village, Erin entendit la boulangère crier.
Erin ! Stia ! Mais où étiez-vous passer ? Aller prévenir Silva et Egart ! Leurs jumelles sont rentrées !
Les villageois les prirent dans leurs bras, arrachant la main de Erin à celle du vieillard. Celui-ci se teint alors en arrière, la foule se fendit pour laisser passer la mère des jumelles qui se précipita sur elles.
Les filles ! J'ai eu si peur ! Mais où étiez-vous passée ? Mais vous êtes couvertes de poussières ! Qu'est-ce que vous avez encore fait ?
Leur mère ne pouvait plus s'empêcher de parler, en les serrant dans ses bras et en vérifiant si elles n'avaient rien. Leur père remercia le vieil homme en lui serrant la main avec chaleur.
Merci infiniment ! Nous ne vous remercierons jamais assez de nous avoir ramener nos enfants.
Celui-ci balbutia qu'il n'y avait rien de plus normal et raconta aux parents comment et où il avait trouver les fillettes. Ceux ci parurent surpris et rirent. Ils voulurent inviter le vagabond pour le remercier à dormir chez eux autant qu'il le souhaiterait. Il resta quelques jours, mais, gêner de cette hospitalité et s'en alla comme il était venu.
C'est à partir de ce jour là que Egart décida de faire grandir les passions naissantes des deux petites filles pour la mécanique et la musique. Il se renseigna, lu de nombreux ouvrages, et consacra ses journées à sa fille Stia les bras plongés jusqu'aux coudes dans le cambouis. Pendant les soirées, il initiait l'autre aux mystères du solfège. Tout était pour le mieux, et à 12 ans, les deux filles s'offrirent mutuellement une robe rouge et une flûte en métal très légère.
Mais ce temps ne pouvait durer. Un jour tout cela bascula et les jeunes filles ne connurent plus jamais la même vie douce et paisible.
Alors qu'elles venaient de fêter leur quatorzième anniversaire, leurs parents leur ordonnèrent de monter et de ne pas bouger de leur chambre. Après des gestes d'affection peu coutumier pour Erin de la part de leur père, Silva vint leur conseiller d'être sage et de surtout de veiller l'une sur l'autre. Des paroles qui résonnaient comme un adieu. Et elle les enferma à clé dans la chambre parentale. Et là la porte explosa, et des hommes armés. Les deux filles surprirent des brides de conversation qu'elles ne comprirent pas. Au sujet de la révolution, de lettre secrètes et de poursuite. Et il y eu une déflagration, les hommes mirent le feu à la maison. Les jumelles purent d'échapper en sautant par la fenêtre. Là elles tombèrent sur leur voisine, qui avait remarquer les flammes qui s'échappait de la maison. Quand on leur demanda ce qui c'était passer, elles répondirent qu'elles n'avait rien entendu.
Alors la boulangère pris soin d'elles, les hébergeant et les nourrissant. Mais les deux enfants n'en étaient plus. Elles avaient décider de se préparer, retournant à la déchetterie en secret. Elle s'entraînaient d'abord l'une contre l'autre, et ensuite sur des mannequins fabriqués par Stia. Elles n'apprirent à compter que l'une sur l'autre.
Et puis à 16 ans, elles décidèrent de partir pour venger leurs parents défunts. Une annonce était même paru dans le journal local annonçant la mort de rebelles qui avaient refusés de parler. Alors les deux soeurs jurèrent de s'embarquer chez les révolutionnaires. Juste parce qu'elles sentaient que c'était ce que leurs parents auraient voulu.
Depuis ce jour elles vont et vient sur les mers, haïssant les Marines et le Gouvernement en général. Elles sont ambitieuses, belles et incroyablement déterminer à retracer le passé de leur parents. Stia est souvent celle qui crée les conflits, Erin elle, suit et répare comme elle peut les dégâts infligés par sa soeur.
Cependant, les jumelles se ressemblaient tellement étant enfants, que leurs parents se trompaient souvent. Seul leur caractères très différents permettaient de les distinguer. Alors leur mère décida de leur attribuer une couleur qu'elles auraient choisies pour permettent de les différencier. Vous connaissez la réponse non ? Peut-être que les deux chipies échangèrent leurs vêtements, mais cela personne ne le sut vraiment. Très jeunes, leurs caractères étaient déjà bien différents. Mais vous en avez déjà eux un aperçu peu avant non ?
Mais un jour, vers l'âge tendre, les deux gamines partirent faire un tour sur la plage. Comme chaque matin, elles se promenaient sur la grève pour ramasser des coquillages et autres bibelots rejetés par la mer. Soudain Stia vit une lumières briller au loin. Elle attira l'attention de sa soeur et lui tirant la manche.
Ririn ! Sa brille par là-bas, regarde !
Sa soeur mis sa main en visière pour regarder ce que lui indiquait sa cadette.
Mais oui ! Mais qu'est-ce que sa peux être ?
Je ne sais pas mais allons voir !
Stia tira sa soeur par la main pour l'emmener. C'était toujours elle qui menait les aventures et sa soeur qui geignait. Les deux fillettes longèrent la bordure de sable, et débouchèrent sur un étroit sentier. Elles le suivirent et après quelques temps de marche, peut-être un quart d'heure. Et là elles débouchèrent sur une grande décharge à ciel ouvert. Bien sur elles n'avaient pas l'habitude de fréquenter ce genre d'endroit. Leurs parents ne voulaient pas, et on peut les comprendre, qu'elles jouent et puissent se couper avec des objets qui traînaient là depuis pas mal de temps visiblement.
L'éclat brillant qui avait attirer leur attention était un bout de métal tout rouillé avec des boulons qui eux étaient aussi neufs qu'au premier jour. Stia s'en empara et le tourna dans tous les sens pour mieux l'examiner. Elle le tendit à sa soeur pour qu'elle le touche, mais celle-ci refusa, cela ne l'intéressait pas. Elle laissa là sa jumelle et se promena seule parmi les monceaux de déchets.
Puis soudain, comme une révélation, elle trouva un bout de piano abandonné depuis très longtemps vu son état. Intriguée Erin posa son doigt dessus. Et là un son discordant résonna. A tel point que sa soeur se précipita vers elle tenant toujours le bout de métal dans sa main droite.
Qu'est-ce que tu as fait ? Oh un piano...
Oui bon ça va j'ai juste touché et ça à fait un bruit bizarre.
Bon ba moi je vais regarder si je trouve quelque chose d'autre dans le même genre que se machin brillant.
La laissant seule, Stia retourna à ses affaires. Erin, elle continua d'appuyer à tors et à travers sur les touches restantes de l'instrument de musique. On ne pouvait pas ne pas entendre. Et c'est ce que fit un vieil homme qui décuvait plus loin. Il débarqua dans la décharge et trouva les deux gamines en train de jouer. Il se douta que vu leur habits et leur coiffures qu'elles n'avaient rien à faire ici. Il apostropha celle qui jouait du piano.
Eh gamine ! Que ce que c'est ce raffut ? Vous n'avez rien à faire ici !
Erin se leva précipitamment et leva la tête vers le vieil homme. Stia lâcha son jouet improvisé et vient se placer à côté de sa jumelle. C'est même elle qui répondit insolemment à l'homme.
On fait rien de mal monsieur, c'est un lieu public, on a le droit de venir jouer !
Celui-ci soupira et lui répondit
Bon venez ici. Je vous ramène chez vos parents. Vous devez être ici depuis un bon bout de temps.
Erin se rendit alors compte que effectivement le soleil commençait à se coucher. Elle suivit alors sans un mot la main puante du vieillard et pris celle de sa soeur en l'encourageant à la suivre du regard. L'homme se mit en route et les ramena vers le village qui n'était pas si loin que cela finalement. En débarquant sur la place du village, Erin entendit la boulangère crier.
Erin ! Stia ! Mais où étiez-vous passer ? Aller prévenir Silva et Egart ! Leurs jumelles sont rentrées !
Les villageois les prirent dans leurs bras, arrachant la main de Erin à celle du vieillard. Celui-ci se teint alors en arrière, la foule se fendit pour laisser passer la mère des jumelles qui se précipita sur elles.
Les filles ! J'ai eu si peur ! Mais où étiez-vous passée ? Mais vous êtes couvertes de poussières ! Qu'est-ce que vous avez encore fait ?
Leur mère ne pouvait plus s'empêcher de parler, en les serrant dans ses bras et en vérifiant si elles n'avaient rien. Leur père remercia le vieil homme en lui serrant la main avec chaleur.
Merci infiniment ! Nous ne vous remercierons jamais assez de nous avoir ramener nos enfants.
Celui-ci balbutia qu'il n'y avait rien de plus normal et raconta aux parents comment et où il avait trouver les fillettes. Ceux ci parurent surpris et rirent. Ils voulurent inviter le vagabond pour le remercier à dormir chez eux autant qu'il le souhaiterait. Il resta quelques jours, mais, gêner de cette hospitalité et s'en alla comme il était venu.
C'est à partir de ce jour là que Egart décida de faire grandir les passions naissantes des deux petites filles pour la mécanique et la musique. Il se renseigna, lu de nombreux ouvrages, et consacra ses journées à sa fille Stia les bras plongés jusqu'aux coudes dans le cambouis. Pendant les soirées, il initiait l'autre aux mystères du solfège. Tout était pour le mieux, et à 12 ans, les deux filles s'offrirent mutuellement une robe rouge et une flûte en métal très légère.
Mais ce temps ne pouvait durer. Un jour tout cela bascula et les jeunes filles ne connurent plus jamais la même vie douce et paisible.
Alors qu'elles venaient de fêter leur quatorzième anniversaire, leurs parents leur ordonnèrent de monter et de ne pas bouger de leur chambre. Après des gestes d'affection peu coutumier pour Erin de la part de leur père, Silva vint leur conseiller d'être sage et de surtout de veiller l'une sur l'autre. Des paroles qui résonnaient comme un adieu. Et elle les enferma à clé dans la chambre parentale. Et là la porte explosa, et des hommes armés. Les deux filles surprirent des brides de conversation qu'elles ne comprirent pas. Au sujet de la révolution, de lettre secrètes et de poursuite. Et il y eu une déflagration, les hommes mirent le feu à la maison. Les jumelles purent d'échapper en sautant par la fenêtre. Là elles tombèrent sur leur voisine, qui avait remarquer les flammes qui s'échappait de la maison. Quand on leur demanda ce qui c'était passer, elles répondirent qu'elles n'avait rien entendu.
Alors la boulangère pris soin d'elles, les hébergeant et les nourrissant. Mais les deux enfants n'en étaient plus. Elles avaient décider de se préparer, retournant à la déchetterie en secret. Elle s'entraînaient d'abord l'une contre l'autre, et ensuite sur des mannequins fabriqués par Stia. Elles n'apprirent à compter que l'une sur l'autre.
Et puis à 16 ans, elles décidèrent de partir pour venger leurs parents défunts. Une annonce était même paru dans le journal local annonçant la mort de rebelles qui avaient refusés de parler. Alors les deux soeurs jurèrent de s'embarquer chez les révolutionnaires. Juste parce qu'elles sentaient que c'était ce que leurs parents auraient voulu.
Depuis ce jour elles vont et vient sur les mers, haïssant les Marines et le Gouvernement en général. Elles sont ambitieuses, belles et incroyablement déterminer à retracer le passé de leur parents. Stia est souvent celle qui crée les conflits, Erin elle, suit et répare comme elle peut les dégâts infligés par sa soeur.
>> Test RP
(suite de celui de Titi)
Nous cherchons Stia M. Redd.
Installée en équilibre précaire sur un tabouret qui sentait le tabac et la sueur, Erin pesta intérieurement. Que voulais ces hommes ? Pourquoi sa soeur l'avait-t-elle obligé à venir ici ?! Elle lui pariait évidement. En attendant, affichant un air décontracté qu'elle ne ressentait plus, elle sirota son thé au goût plutôt bon il faut le dire, réfléchi à toute vitesse. Comment se débarrasser de ces fauteurs de troubles ? Et le plus important, retrouver Stia. Elle lui ferait une blague à sa sauce pour se venger. Un truc pas trop méchant, mais juste ce qu'il fallait pour que ça lui passe l'envie de la faire attendre dans un bar miteux et mal famé. Mais après. Elle sauta au bas de son siège souplement, puis s'approcha nonchalamment des deux hommes.
Qu'est-ce que vous lui voulez ?
C'était un ivrogne adossé au bar qui venait de parler. Erin n'était pas encore arrivée près de la porte, où ces imbéciles bouchait le passage.
Elle fait parti de la Révolution. Nous l'avons intercepter tout à l'heure, mais elle à réussit à nous filer entre les doigts.
Erin ricana bruyamment sans parvenir à se retenir. Oups...
Qu'est-ce que t'as toi ? Sa te fait marrer ou quoi ?
Attends, elle doit avoir des informations... Regarde comme elle lui ressemble à l'autre révolutionnaire.
Et là Erin se senti pris au piège. Elle lança une pièce sur le comptoir et essaya de trouver une sortie. Localisant la porte de service, elle sauta par dessus le bar, atterrit sur des bouteilles et des verres, ce qui provoqua la colère du serveur. Elle fracassa la porte d'un coup de pied et là se retrouva derrière le bar, dans une rue peu fréquentée. Les hurlements des deux agents du Gouvernement retenti, ordonnant au barman de les laisser passer. Erin n'attendit pas de les voir débarquer et détala comme un lapin le long de la route. Le long d'un des immeubles, une échelle permettait de monter pour accéder au toit. Sans attendre elle saisit les barreaux et grimpa rapidement. Soudain, une balle ricocha juste au dessus d'elle. Ils l'avaient repérer. Ne se laissant pas démonter, elle monta les derniers degrés et se retrouva sur le toit.
Rends-toi et il ne te sera fait aucun mal !
Rêves toujours, lui répondit la jeune femme.
Elle se saisit de sa flûte, cachée dans sa botte droite, elle continua à courir et là se retrouva devant un vide. Le toit suivant était trop loin pour pouvoir l'atteindre en sautant. Portant l'instrument à ses lèvres, elle entama les premières notes du serpent comme elle l'appelait. Et là les barreaux de l'échelle fait d'un alliage très commun de fer et de plomb il faut bien le préciser, car cette mélodie ne marchait qu'avec le fer pur, ou avec de minime quantité de carbone ou autres composants qui le rendait plus solide. Oui là les atomes composants du fer se désolidarisèrent et l'échelle tomba en milles morceaux. Les deux agents, toujours grimpés dessus, hurlèrent, et se retrouvèrent le nez dans la boue, comme deux cochons dans leur fange. Erin prit quand même le temps de se moquer d'eux, puis avisant une calèche remplie de foin, elle sauta la tête la première dedans. La réception se fit en douceur, et si des passants remarquèrent quoi que se soit, ils ne dirent rien.
Maintenant il fallait retrouver Stia. Elle plongea dans le foin pour passé inaperçue au barrage de la grande porte de la ville ou du village plutôt. Les soldats firent passer leurs lances dans le foin, mais la jeune fille les évita habilement. Poussant un soupir de soulagement en sentant que la calèche repartait, qu'elle ne fut pas sa surprise quand la paille bougea auprès d'elle et que la tête de sa soeur en sorti. Toute ébouriffée, elle ne rigolait pas moins d'avoir duper les gardes.
Stia !! Mais qu'est-ce que tu as encore fait ?
Pas le temps de t'expliquer, viens descendons.
Suivant son conseil, elles sautèrent au bas de la calèche et se réceptionnèrent comme elles purent dans le fossé. Puis elles se regardèrent et se mirent à rire comme des enfants.
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________Installée en équilibre précaire sur un tabouret qui sentait le tabac et la sueur, Erin pesta intérieurement. Que voulais ces hommes ? Pourquoi sa soeur l'avait-t-elle obligé à venir ici ?! Elle lui pariait évidement. En attendant, affichant un air décontracté qu'elle ne ressentait plus, elle sirota son thé au goût plutôt bon il faut le dire, réfléchi à toute vitesse. Comment se débarrasser de ces fauteurs de troubles ? Et le plus important, retrouver Stia. Elle lui ferait une blague à sa sauce pour se venger. Un truc pas trop méchant, mais juste ce qu'il fallait pour que ça lui passe l'envie de la faire attendre dans un bar miteux et mal famé. Mais après. Elle sauta au bas de son siège souplement, puis s'approcha nonchalamment des deux hommes.
Qu'est-ce que vous lui voulez ?
C'était un ivrogne adossé au bar qui venait de parler. Erin n'était pas encore arrivée près de la porte, où ces imbéciles bouchait le passage.
Elle fait parti de la Révolution. Nous l'avons intercepter tout à l'heure, mais elle à réussit à nous filer entre les doigts.
Erin ricana bruyamment sans parvenir à se retenir. Oups...
Qu'est-ce que t'as toi ? Sa te fait marrer ou quoi ?
Attends, elle doit avoir des informations... Regarde comme elle lui ressemble à l'autre révolutionnaire.
Et là Erin se senti pris au piège. Elle lança une pièce sur le comptoir et essaya de trouver une sortie. Localisant la porte de service, elle sauta par dessus le bar, atterrit sur des bouteilles et des verres, ce qui provoqua la colère du serveur. Elle fracassa la porte d'un coup de pied et là se retrouva derrière le bar, dans une rue peu fréquentée. Les hurlements des deux agents du Gouvernement retenti, ordonnant au barman de les laisser passer. Erin n'attendit pas de les voir débarquer et détala comme un lapin le long de la route. Le long d'un des immeubles, une échelle permettait de monter pour accéder au toit. Sans attendre elle saisit les barreaux et grimpa rapidement. Soudain, une balle ricocha juste au dessus d'elle. Ils l'avaient repérer. Ne se laissant pas démonter, elle monta les derniers degrés et se retrouva sur le toit.
Rends-toi et il ne te sera fait aucun mal !
Rêves toujours, lui répondit la jeune femme.
Elle se saisit de sa flûte, cachée dans sa botte droite, elle continua à courir et là se retrouva devant un vide. Le toit suivant était trop loin pour pouvoir l'atteindre en sautant. Portant l'instrument à ses lèvres, elle entama les premières notes du serpent comme elle l'appelait. Et là les barreaux de l'échelle fait d'un alliage très commun de fer et de plomb il faut bien le préciser, car cette mélodie ne marchait qu'avec le fer pur, ou avec de minime quantité de carbone ou autres composants qui le rendait plus solide. Oui là les atomes composants du fer se désolidarisèrent et l'échelle tomba en milles morceaux. Les deux agents, toujours grimpés dessus, hurlèrent, et se retrouvèrent le nez dans la boue, comme deux cochons dans leur fange. Erin prit quand même le temps de se moquer d'eux, puis avisant une calèche remplie de foin, elle sauta la tête la première dedans. La réception se fit en douceur, et si des passants remarquèrent quoi que se soit, ils ne dirent rien.
Maintenant il fallait retrouver Stia. Elle plongea dans le foin pour passé inaperçue au barrage de la grande porte de la ville ou du village plutôt. Les soldats firent passer leurs lances dans le foin, mais la jeune fille les évita habilement. Poussant un soupir de soulagement en sentant que la calèche repartait, qu'elle ne fut pas sa surprise quand la paille bougea auprès d'elle et que la tête de sa soeur en sorti. Toute ébouriffée, elle ne rigolait pas moins d'avoir duper les gardes.
Stia !! Mais qu'est-ce que tu as encore fait ?
Pas le temps de t'expliquer, viens descendons.
Suivant son conseil, elles sautèrent au bas de la calèche et se réceptionnèrent comme elles purent dans le fossé. Puis elles se regardèrent et se mirent à rire comme des enfants.
Informations IRL
Prénom : Juste juste
Age : 18 ans
Aime : Lire, faire des cartes et du théâtre...
N'aime pas : Les suicidaires et surtout les chieurs en général !
Personnage préféré de One Piece : Brooke
Caractère : Asociale ; Grognon ; Franche... un grizzly quoi !
Fais du RP depuis : hum... 1 an je crois je n'en suis pas sure...
Disponibilité : 2 ou 3 fois par semaine et tout le temps pendant les vacances. (je suis à l'internat)
Comment avez vous connu le forum ? Titi m'en a parlé hier (23/02)
Dernière édition par Erin M. Redd le Mar 28 Fév 2012 - 18:25, édité 18 fois