Cielo Meranii

>> Cielo Meranii

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Pseudonyme : Mera' ou La Lame Noire Age: 18 ans Sexe : Homme | Femme | Okama Race : Humaine Rang : Métier : Bretteur Groupe : Pirate Déjà un équipage : Bloody Sorrow But : Devenir plus forte et ainsi vaincre ceux qui se dresseront face à elle Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : / Équipements : Un Katana à la Lame Noire comme la Nuit Codes du règlement (2) : Parrain : /

>> Physique Décrivez votre personnage, sa taille, sa masse, musclé ou pas... [minimum 10 lignes] Une rose, c'est une fleur magnifique qui nous donne envie de caresser délicatement ses pétales d'un noir profond comme la nuit, mais dès que notre main se pose sur sa tige, rien qu'un doigt qui frôle celle-ci, on se retrouve tâché de rouge, d'une petite goûte de rouge qui coule légèrement le long de votre peau pour se perdre dans le vide. De magnifique cheveux noirs, ce noir de jais comme le plumage d'un corbeau, aussi long que le feuillage tombant d'un sol pleureur. Un visage aux couleurs pâles contrastant parfaitement avec le noir habillant son corps, ces yeux d'un bleu pur ressortant de ces couleurs tristes. Dessinait d'un magnifique trait fin, une bouche a croqué, fine et aussi délicate que les pétales d'une rose. Un corps fin et fragile comme la tige de cette rose aux couleurs sombres, revêtue d'une peau douce, une simple caresse permet de sentir toute la finesse de ce corps. Une silhouette parfaitement dessinée avec de simple forme sans rechercher à en vouloir trop, sans réelle muscle, une silhouette féminine banale. Que de fin trait, aucun plaisir à regarder ce corps si pauvre, maigre, mais pas anorexique. De simple musculature, passez votre main sur cette peau délicate et vous le sentirez, une force dans ce corps aussi fragile. De petits bras qui tiennent un katana presque aussi grand qu'elle, de fines jambes qui soutiennent un corps en recherche de puissance. Pas très grande, mais ni petite, une taille parfaite combiné à un corps fin, procurant ainsi une agilité digne d'une femme, ou d'une adolescente. Toujours vêtu de son plumage noir confondu à son pelage blanc, très peu couverte, laissant paraître son corps frêle, elle ne quitte pas le monde triste des couleurs. Presque toujours ainsi, il est facile de la reconnaître, elle, rose aux pétales noirs délicates et si défensives. >> Psychologie Que pense votre personnage face à un adversaire, qu'aime-t-il manger, quelques traits de caractères... [minimum 10 lignes] Jolie petite rose aux pétales noires, es-tu aussi piquante que ça? Auras-tu assez de cran pour montrer ton vrai visage ou resteras-tu clos sur toi-même? Dit nous tout de toi, même tes plus noirs secrets, enfin ceci est pour cela, ne mélangeons pas les roses et les lys. Un corbeau ... Quel présage cela vous laisses? C'est le malheur ... La tristesse ... La noirceur ... Pour autant, avez-vous déjà vu un corbeau sourire? Un corbeau presque aussi joyeux qu'un nouveau né? Cela sort de l'imagination des gens ... Mais, si je vous dis que c'est vrai? Un magnifique sourire se dessine sur ses lèvres, le visage illuminait et riant à pleins poumons. Toujours gaie, mais jamais triste. Jamais noir comme ses habits, toujours illuminée comme le soleil, une personnalité différente de son apparence. Comme dit le proverbe: "Les apparences sont parfois trompeuse." Légèrement maladroite malgré une habilité impressionnante lors des combats, maladroite physiquement, mais maladroite moralement. Cherchant souvent ses mots, ses sentiments a affiché, un peu comme un panneau qui doit réfléchir avant de poster. C'est machinal, mécanique, il n'y a presque plus réflexion au bout de 18 ans. Attentive, à l'écoute des autres, toujours là quand vous avez besoin d'elle, elle est quelqu'un sur qui vous pouvez compter. Elle vous écoute jusqu'au derniers mots, choisissant ensuite les meilleurs mots pour vous réconfortez, elle vous sort ce qu'il y a de meilleur comme bêtise. Le mot ou le geste pour rire, une solution en bouche, les paroles ne suffisent pas, le geste suit toujours. Légèrement rentre dedans quand il s'agit des personnes qui l'entourent, ne passe pas par quatre chemins, en mode bourrin, on lâche ce qu'on a sur le coeur. Enfin, tout ça pour aider ses amis, mais est-ce qu'il y a un retour? Non ... Il y a jamais de retour avec elle ... Pourquoi? Parce qu'elle est renfermée, dans sa petite bulle, son monde à elle, elle ne vous dira rien. C'est un monde où il fait tout le temps noir, il n'y a personne qui peut franchir la limite, le premier qui ose briser sa coquille s'en mordra les doigts et ce, pour le restant de sa vie. Bien-sûr, un pirate souriant, c'est bien mignon, mais ça survie pas longtemps dans le monde actuel. C'est simple, on se contente d'une sorte de double personnalité. Un énervement ... Un désastre ... Un malheur ... La colère l'envahie et elle n'est plus aussi gentille qu'avant. Le katana en main, elle vous fonce dessus sans même prendre en compte votre âge, votre sexe ou encore votre classe dans la société. Perdant presque la notion du bien et du mal, elle est prête à tuer sans broncher, même avec le sourire aux lèvres. Fidèle aux ordres, elle vous obéit un peu comme un chien. Courageuse, elle n'hésite pas à remplir les missions les plus risqués. Elle vous sera fidèle jusqu'à sa mort, faites-en votre jouet, votre petit chien, elle ne bronche pas tant que vous lui laissez un minimum de liberté. Jolie petite rose aux pétales noires, au plumage de corbeau, un chien a la botte de son capitaine. >> Biographie Votre biographie doit raconter votre vie, pas seulement un évenement précis. Essayez d'être large et de "zoomer" sur les évenements importants. Attention, elle est l'un des éléments déterminants pour votre futur niveau. Essayez d'être agréable à lire. [Minimum 20 lignes] Jolie petite rose écoute les aiguilles avancer dans le temps, vérifie à chaque minutes qu'elles ne s'arrêtent pas, attend ce moment que tu désires et écoute les douze coups de minuits. Au moment où les deux aiguilles se rencontrent pour ne faire plus qu'un, tu seras enfin délivrée de ta souffrance en écoutant la mélodie de minuit ♫. Dans un petit village, tranquille, loin de tous les conflits, un jeune couple d'honnête personne vivait les meilleurs années de leur vie. Pour couronner le tout, notre jeune femme était tombée enceinte, quel cadeau merveille que de vivre. Malgré ce fait, la jeune femme continua d'aider les habitants du village qui ne cessent de lui dire d'aller se reposer, mais aussi têtue qu'une mule, elle continua. Est-ce que c'était bien pour elle? Aucunement ... Loin de vous ces idées qui diront qu'elle sera en pleine forme grâce à ça, bien au contraire, notre jeune femme avait la santé fragile et gardait le bébé, reviendrait à lui faire perdre la vie le jour de l'accouchement. C'était maintenant un dur choix qui se présentait à eux, qui a dit que la vie était toujours rose? Pas moi ... Choisir entre un bébé qui n'a pas encore de futur et une jeune mère encore dans la fleur de l'âge qui respirait la joie de vivre ... C'était trop dur! L'homme craqua, il ne savait pas quoi faire, dévastant la chambre entièrement, il détestait la vie injuste qui venait de lui mettre des bâtons dans les roues. La jeune femme était assise dans un vieux fauteuil à bascule, caressant délicatement son ventre arrondis par la présence du bébé, les yeux fermés, elle se mit à chanter une berceuse. Elle avait peur de la mort, mais elle ne voulait pas empêcher cette enfant d'avoir à son tour une vie avec un futur court ou non. Il n'était pas facile de choisir, mais pour cette jeune mère le choix était tout fait, peu importe si son mari approuve ou pas, elle devait laisser cette enfant vivre à sa place, un peu comme si elle se disait qu'elle allait vivre à travers ce bébé. Terminant sa chanson, les douze coups de minuit se firent entendre dans tout le village, un long tintement de cloche, assourdissant, mais paisible à la fois. La femme commença à paniquer, c'était l'heure, personne n'avait prévue ça, c'était bien trop tôt, mais personne ne pouvait prédire la naissance d'un enfant. Le mari arrivant paniqué dans la pièce prit sa femme et l'emmena dans son lit, appelant son médecin, il savait que c'était ces derniers jours avec elle. Le lendemain matin, tout était fini. La mère était allongée dans son lit, un sourire aux lèvres, dormant paisiblement pour une durée indéterminée. Le bébé était dans les bras d'une villageoise, celui-ci criait à pleins poumons, mais son père refusait de le prendre pour lui, c'était la fautive de son malheur. Les villageois ne pouvaient pas laisser ce bébé sans famille, alors sans lui dire qui était ces vrais parents, ils décidèrent de l'élever dans une famille qui avait toujours voulut avoir un bébé. Ce n'était pas simple de lui cacher la vérité, car son père était dans ce village. Tout le monde avait peur qu'il s'énerve contre elle alors qu'elle ne lui avait réellement rien fait, si le destin avait décidé que sa mère meurt le jour de sa naissance, on pouvait rien y changer. Le jour de ces sept ans, un malheur s'abattit sur le village. Le père devenue fou à cause de ses longues années de solitude décida de se suicider, couteau à la main, sur le lit de sa bien-aimée, il enfonça le couteau dans son coeur. Tombant sur le lit aux draps immaculés, ils devinrent rouges, mort dans son sang. Pourquoi le destin avait décidé de s'acharner sur cette famille? Allez lui demander au bon dieu, celui qui se prétend juste et bon! La jeune fille pleura la mort de cet homme sans savoir qu'il était son père, en fait, elle pleurait pas réellement, son visage était neutre, mais les larmes coulaient toutes seules de ses yeux, comme si son coeur le savait lui, la vérité. Les villageois ne savaient pas quoi faire, lui dire la vérité ou non ... Comment pourrait-elle l'apprendre d'elle-même maintenant qu'il est mort? Ils n'ont pas à lui dire vu qu'il est mort, tel fut leur réflexion, mais il y a toujours un moyen de savoir ce qu'on veut savoir. Un jour de pluie, la jeune fille décida d'entrer cette maison vide qui avait autrefois habité par un couple charmant, comme lui disaient souvent les villageoise. A petit pas, elle pénétra dans la maison, regardant autour d'elle chaque choses présentent à l'intérieur. Elle frôla du bout des doigts la chaise à bascule, elle s'assit sur le lit aux draps immaculés, elle observa entièrement la maison et dans une armoire, elle y trouva un journal intime. Lisant chaque pages avec grand intérêt, elle apprit des choses qui n'auraient jamais dû être su. Le destin s'acharne réellement sur eux ... Elle n'avait que neuf ans ... Sortant en courant de la maison, les larmes aux yeux, les cheveux volant au vent, elle partit en courant en direction de la forêt, mais elle ne savait pas les dangers qui l'attendaient là-bas. Il n'est pas toujours simple de savoir que nos vrais parents sont tous les deux morts à cause de nous, mais le pire est de savoir que ceux sur qui ont croyez pouvoir compter, vous plantes un couteau dans le dos en ne vous disant sur votre passé. Courant à travers la forêt, sautant au-dessus des obstacles, les souffles courts, la vue complètement flou à cause des larmes, les idées complètement embrouillés, elle ne savait plus quoi faire. Puis dans sa course, on se prend une branche dans les jambes, on tombe au sol en s'écorchant les genoux non-couvert, tandis que la pluie continue de vous trempez jusqu'à la moelle. Vous ne pouvez même plus retenir vos larmes, elle pleure comme une madeleine, comme un sale gosse qui a fait une bêtise. C'est alors que le danger débarque avec peu de discrétion, un ours géant, il vient des montagnes plus loin, il cri faim et il vous a entendu. Il sent l'odeur de votre sang, vos genoux saignent, vous êtes repérés et vous ne savez pas vous défendre contre un monstre pareil. Votre corps se met à trembler tout seul, vous avez peur, les larmes coulent encore se mélangeant à la pluie, vous essayez de vous faire silencieux, mais rien à faire, il sait où vous êtes. Dans un dernier espoir, vous fermez les yeux alors que sa patte se lève doucement annonçant qu'il est prêt à vous attaquez. Vous êtes mort, c'est la fin de votre vie, vous êtes pourtant si jeune, pourquoi tant de cruauté, dans un monde ou les gens pensent que la vie est toujours rose? La patte de l'ours redescend à toute vitesse dans votre direction pour avoir votre peau, au dernier moment, dans un dernier souffle, vous êtes arrachés aux griffes de l'ours. Sous le choque, vous perdez connaissance alors que votre vie vient d'être sauvée, qui est là? Qui arriverait dans ce village à tenir tête à un ours géant? Personne ... Ils sont tous faibles ... Qui est-ce? On vous réveille dans un lit pas très confortable, vous savez alors que vous n'êtes pas dans le village, une personne est à côté de vous. Elle vous regarde comme si vous étiez une chose étrange, un peu comme un monstre qui sort de la forêt, qui est-ce? Doucement, vous vous redressez, votre tête qui vous fait légèrement mal, mais vous désirez savoir, la curiosité est un vilain défaut et on sait les dégâts qu'elle peut engendrer. Il est simple, ne cherchez pas à savoir, laissez le savoir venir, vous allez en savoir bien plus. Il vous garde, vous racontez votre histoire, il vous nourrit, vous lui dîtes vos rêves, il vous rend plus fort. Il n'est qu'un simple homme qui vit dans la forêt depuis des années, ayant quitté le village pour devenir plus fort, il s'entraîne chaque jours. Son nom? Il vous le dit avec un sourire aux lèvres, Sully. Il porte un nom bien trop gentil pour une personne avec un tel gabarie, le monde est fait étrangement. Elle a douze ans, ça fait maintenant trois ans qu'elle vit avec lui. Il lui a apprit tant de chose en seulement deux ans, elle sourit, elle rit, tout est oubliée. Maintenant, elle annonce son grand rêve de devenir pirate, parce que les pirates sont cool et qu'ils sont fort. Il vous rit au nez et vous apprend quelques trucs, il vous entraîne durement, vous narguant chaque jours sur le fait que vous êtes trop faible pour devenir pirate. Le temps s'écoule lentement, vous en bavez un peu plus chaque jours, vos entraînements sont longs et parfais même trop long, vous ne voyez pas les jours passaient, ni même les années. Enfin, vous avez dix-huit ans, un bel âge pour partir en mer fièrement. Il est temps de le quitter, c'est triste de dire au revoir à quelqu'un qui vous tient à coeur, pourtant vous savez qu'il sera toujours avec vous, dans votre coeur. Un dernier cadeau avant que vous ne partez, tel le corbeau noir qui prendra son envole pour les terres inconnus, il vous offre une lame noir pour vous défendre comme il vous la apprit. Lui tournant le dos, acceptant son présent, vous pleurez en silence et prenez enfin la mer, heureux de quitter l'île maudite. Rose noire regarde bien où tu mets les pieds, on ne sait jamais ce qui pourrait t'attraper ♪. >> Test RP Le Test rp est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation. Faire un test rp avant l'intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas. Se lancer à l'aventure, quitter le cocon familial...plus facile à dire qu'à faire. Surtout que le chemin est parsemé d'embûches. Tu t'es à peine lancée depuis quelques jours qu'on te dérobe le dernier cadeau de Sully, ton épée fétiche. Raconte comment tu as surmonté cette première épreuve, et retrouvé ta lame. Quelques jours seulement que je suis partis de chez moi, seulement quelques jours et je me sens déjà triste. Triste d'avoir quittée Sully, mais aussi les habitants du village, car je sais qu'ils n'ont pas voulu être méchant avec moi en me cachant la vérité. C'était pas le moment de regretter les décisions! Il faut que j'aille de l'avant et que je me concentre sur ma route, puis si je tombe, je me relèverais fièrement comme me l'a appris mon maître. Enfin ... Je pense que c'est plus facile à dire qu'à faire ... Soupire aux lèvres, la tête vide, une marche machinale, un repos bien mérité. Stoppant mon aventure pour le moment, je m'installa sous un arbre, posant mon katana à côté de moi, je le fixa quelques minutes des yeux bleus pour ensuite les fermer. Restant trop long sous un arbre avec une chaleur qui donne envie de dormir, c'est très dangereux, tellement dangereux qu'en ouvrant les yeux, on remarque que l'on a perdu quelque chose en cours de route. Une chose très précieuse. Il suffit de fermer les yeux quelques secondes pour vous faire prendre quelques choses, c'est ce qui arrive quand on est pas assez concentré. Me relevant rapidement, tournant plusieurs fois autour de l'arbre, je chercha mon katana partout autour de celui-ci, mais il n'y était pas. Je monta ensuite à l'arbre retournant chaque feuilles, mais toujours rien. C'est en descendant du végétal, en étant plus attentive, je pus voire au sol des traces de pas. Quelqu'un me l'avait volé! Je devais la retrouver!! Le plus vite possible! Sans elle, je ne suis rien qu'une personne normale, enfin même avec elle je suis normale, mais c'est tout ce qui me reste de lui. Il me la confiait en ayant confiance en moi, il sait qu'un jour je deviendrais un grand pirate avec, il a confiance en moi et ce n'est pas une personne qui va briser mon rêve. Tournant la tête en direction des traces de pas, le regard déterminé, je partis en courant pour suivre mon destin et le battre pour lui prouver que je suis maintenant déterminée à poursuivre ma route. Après un moment de course à pied, je me retrouva face à face avec une forêt. Je pouvais voir que les traces continuaient à l'intérieur, sauf que je ne pourrais plus savoir quel chemin il a prit si j'y rentre. Reculant légèrement d'un pas en arrière, j'avais peur de ce qu'il y avait à l'intérieur, j'avais peur de savoir ce qui m'attend, mais il valait que je sois plus forte que la peur. Un vent frais soufflant à ce-moment, il passa délicatement sur ma peau, un peu comme une personne qui vous enlace tendrement pour vous rassurez. Je ferma les yeux quelques secondes pour ensuite les ré-ouvrir plus déterminée qu'avant. Enfin décidée à avancer, j'entra dans la forêt, la tête en avant prête à foncer dans le tas s'il le faut, je devais le récupérer, c'était une question de vie ou de mort! Courant à nouveau, esquivant les obstacles sur ma route, sautant de temps en temps sur la branche d'un arbre pour voir s'il n'y avait pas quelqu'un, c'était une lutte acharnait dans une immense forêt. J'avais l'impression de mener un combat contre moi-même. Au départ, j'avais peur, maintenant, c'était un peu comme un jeu, à l'arrivée, comme ça sera? Je pouvais dire que j'avais beaucoup de chance qu'il n'y est pas l'ombre d'un animal dans cette forêt, d'ailleurs c'est une chose bien étrange, serait-ce un piège? M'arrêtant de courir, scrutant les alentours, c'était bien trop calme ... Position de défense, j'entendais les broussailles gigotés, comme si quelqu'un ou quelque chose venait les chatouillés du bout des doigts. D'une main distraite, j'essaya d'attraper mon katana, mais celui-ci n'était pas là, j'étais partis pour le chercher. Comment me défendre sans lui? Je ne sais pas quoi faire ... Je suis seule ... Sans défense ... Les battements de mon coeur s'accélérèrent, mon regard cherchait en vain ce qui créé ce bruit, mes mains tremblés, mes jambes pouvaient me lâcher à tout moment. Mes idées étaient embrouillées, je ne savais pas ce que je devais faire, j'avais à nouveau peur, il n'était pas là pour m'aider. Seule face au destin. Il m'intimidait, j'étais comme une enfant face à un gros chien. Le bruit s'arrêta enfin, comme mon coeur qui s'arrêta net, j'avais les larmes aux yeux, les jambes qui tremblent comme des feuilles, puis le silence total. Il n'y avait plus rien, plus un bruit, c'était vide, totalement vide. C'est alors qu'une ombre, au loin, se fit voire à mes yeux bleus qui étaient terrorisés à sa vue. Ce qui était rassurant, c'est que ce n'était pas l'ombre d'un monstre, mais une silhouette humaine que j'avais vu se dessiner parmi les végétaux. Reprenant foi en moi, je surmonta ma peur, courant en direction de la silhouette qui prit immédiatement la fuite, je lui sauta dessus. A deux, on tomba parmi les buissons et l'herbe du sol. Il se débattit de toutes ses forces pour que je le lâche, mais j'étais bien déterminée à le récupérer. C'est alors qu'il me dit tout en continuant de se débattre. _ C'est pas moi qui est volé ton katana!! Ce sont les autres, je leur avais dis de le laisser là où il était! Me mettant à califourchon sur lui, je le regarda de haut en bas. C'était un garçon, un peu plus jeune que moi aux cheveux bruns, il continuait de se débattre comme un animal en cage. Je lui mis mon poing dans sa figure pour le calme et d'un air très sérieux, je lui répliqua. _ Prouve moi tes paroles en me conduisant à eux! En me redressant, je pris sa main pour l'aider à se relever, tandis qu'il hocha simplement de la tête pour me montrer qu'il allait le faire. D'un pas lent, on se mit en route, marchant toujours dans cette immense forêt, silencieux. Au bout d'un moment, on arriva au bout de la forêt et face à nous se présentés une immense montagne! Puis dans la montagne, juste en face de nous, ce que je n'avais pas tout de suite remarquée, une grotte. C'était là que se trouvait les voleurs de katana! Courant rapidement en direction de la grotte, je me présenta à l'entrer en criant. _ Rendez moi, mon katana!!! Je pus voire une bande de gamin qui jouait tranquillement avec en faisant de faux combat, ce qui eut le don de me taper sur les nerfs, mais quand ils m'entendirent immédiatement ce fut la panique. Se calmant rapidement, celui qui semblait être le chef de la petite bande prit mon katana et il se dressa face à moi. Quand je le vus faire, je me recula de quelques pas n'ayant pas l'envie de me faire découper en deux par ma propre lame, mais c'était tout autant dangereux pour ce gamin qui ne savait même pas le manier. Mordant ma lèvre inférieur, je le regarda sortir de la grotte tout en me repoussant petit à petit, je voulais le récupérer, mais je ne voulais pas blesser quelqu'un. Fermant les poings, rageant entre mes dents, la tête basse, je cherchais une solution, mais en vain. C'est alors que le garçon que j'avais choppé dans la forêt intervint entre nous deux. _ Rend lui son katana, s'il-te-plaît! Elle ne t'a rien fait, puis un combattant sans sa lame ne faut pas grand chose, ne lui fait pas ça! Les paroles du brun firent rire le chef qui le regarda avec mépris avant de le frapper au ventre avec le plat de ma lame. Regardant ce spectacle avec mépris, je me ressaisis rapidement. Fonçant vers le chef qui fut surprit de ma soudaine réaction, je lui asséna un coup de poing dans le ventre qui le fit se plier en deux, puis attrapant sa tête entre mes mains, je lui mis mon genoux dans la tête avant de le laisser tomber au sol. Récupérant mon katana au sol, je regarda les autres les sourcils froncés, ils ravalèrent leur salive et se cachèrent dans la grotte. Je rangea mon katana avant de partir vers le jeune garçon qui m'avait aidé, je l'aida à se relever et je le remercia. _ Ca va aller? _ J'ai vu pire. Il me répondit ceci en riant. Je ria légèrement, restant quelques jours dans son village, chez lui avant de reprendre mon chemin. Ayant maintenant les idées plus claires, je pouvais me battre à fond!

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Informations IRL

Prénom : Mélanie

Age : 16 ans

Aime : Les Mangas - Dessiner - Grapher - Lire - Les Loups - Ecrire

N'aime pas : Les Araignées - L'école

Personnage préféré de One Piece : Monkey D. Luffy et Portgas D. Ace

Caractère : (définissez vous en quelques mots) C'est simple, je suis souriante, toujours occupée de rire, un peu bornée sur les bords, impatiente et la pire chose qui puisse vous tombez sur les bras! XD

Fais du RP depuis : 1 ans et quelques mois, Monsieur!

Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) 4/7 à cause des cours èé

Comment avez vous connu le forum ? C'est une bonne question ... J'ai des trous de mémoire D8

Salut Meranii, voila ton test RP

Se lancer à l'aventure, quitter le cocon familial...plus facile à dire qu'à faire. Surtout que le chemin est parsemé d'embûches. Tu t'es à peine lancée depuis quelques jours qu'on te dérobe le dernier cadeau de Sully, ton épée fétiche. Raconte comment tu as surmonté cette première épreuve, et retrouvé ta lame.

Bye, Red

On va tâcher de ne pas t'abîmer en cours de transfert, déjà songé au papier à bulles ?

Bienvenue Mélanie avec ton nouveau perso. C'est parti pour le premier comm'.

Tu le sais, Sato te l'a déjà dit à la présentation précédente, tu fais beaucoup de fautes. J'appuie sa remarque et ajoute qu'on ne peut pas tous être des rois de l'orthographe, mais le minimum, quand tu sais que tu peux vite fauter, c'est de se relire pour au moins ajouter les mots qu'il manque. Le rp a beau être un moment de détente et non un travail scolaire, des gens vont te lire, jouer avec toi et y prendre plaisir. Si tu soumets des écrits qui ne sont même pas relus, c'est relou, ça ne donne pas l'impression que tu as pris le temps de respecter ton lecteur. Si je te des commentaires ça, tu dirais que me fiche un de toi non ? Faut s'appliquer minimum sinon décroche vite. Ca c'est la base, le truc auquel tu dois absolument veiller dès maintenant. On t'a déjà conseillé des correcteurs au passage, ce n'est pas pour faire joli. Dans ton cas c'est vraiment indispensable pour fluidifier ta lecture.

Par la suite, tu devras veiller à trouver des synonymes à tes termes, alléger en virant ce qui ne sert pas ta phrase si possible bien ponctuer. Je vais prendre tout un passage de ton histoire pour t'indiquer précisément quel genre d'erreur tu commets. Ca t'aidera plus qu'un "améliore toi".

Comment pourrait-elle l'apprendre d'elle-même maintenant qu'il est mort? Ils n'ont pas à lui dire vu qu'il est mort, tel fut leur réflexion, mais il y a toujours un moyen de savoir ce qu'on veut savoir.

répétition de mort - telle fut, puisque la réflexion est un mot féminin - répétition de savoir à la limite du correct

Un jour de pluie, la jeune fille décida d'entrer cette maison vide qui avait autrefois habité par un couple charmant, comme lui disaient souvent les villageoise.

S à villageoises puisqu'elles sont plusieurs. La maison vide ne peut pas avoir habité par quelqu'un, elle a été habitée plutôt.

A petit pas, elle pénétra dans la maison, regardant autour d'elle chaque choses présentent à l'intérieur.

S à petits, ce sont des petits pas. Soit tu écris "chaque choses présentes", soit tu écris "chaque chose présente".

Elle frôla du bout des doigts la chaise à bascule, elle s'assit sur le lit aux draps immaculés, elle observa entièrement la maison et dans une armoire, elle y trouva un journal intime. Lisant chaque pages avec grand intérêt, elle apprit des choses qui n'auraient jamais dû être su. Le destin s'acharne réellement sur eux ... Elle n'avait que neuf ans ...

Sortant en courant de la maison, les larmes aux yeux, les cheveux volant au vent, elle partit en courant en direction de la forêt, mais elle ne savait pas les dangers qui l'attendaient là-bas.

On sait qu'elle court dès le début de la phrase, inutile de le répéter.

Il n'est pas toujours simple de savoir que nos vrais parents sont tous les deux morts à cause de nous, mais le pire est de savoir que ceux sur qui ont croyez pouvoir compter, vous plantes un couteau dans le dos en ne vous disant sur votre passé.

Phrase très lourde. Tu peux mettre un point après "cause de nous" et reprendre à la suivante.Ceux sur qui on croyait pouvoir compter.

Pourquoi une virgule après ça ? Tu marques un arrêt quand tu prononces ça tout haut ?

Qui plante ? C'est "ceux", rapporté aux vrais parents. Les vrais parents plantent, avec -ent.

En ne vous disant RIEN sur votre passé. Exemple concret de ce que je te signalais plus haut.

Niveau forme, il faut donc soit que tu te résolves à enfin employer un traducteur, soit que tu apprennes les règles de français qui te font défaut pour bien les appliquer. Ne faire ni l'un ni l'autre, ça sera pénible à lire pour les autres et je doute que tu veuilles être pénible à lire.

Petite indication pour la route, on ne dit pas je chercha/marcha/conjugua mais je cherchai/marchai/conjuguai. La -ai se prononce é d'ailleurs.

Niveau histoire, c'est pas mal mais je me suis posé pas mal de questions restées sans réponses. Pourquoi décrire un perso virant furie meurtrière dès qu'il est vexé et n'en n'appliquer qu'une version édulcorée dans le test ? J'aime autant que Cielo ne soit pas une schizo, vu que tu ne pourrais pas jouer correctement cette tare, mais tu fais mousser le portrait psycho pour finalement présenter une brave personne qui reste assez humaine, même furax.

Je me demande aussi pourquoi aucun médecin n'empêche la mère visiblement très fragile d'aider les autres au mépris total de la vie de son bébé, tout comme je comprends difficilement le fait que le père renie sa gosse dès la mort de sa femme. S'il n'était pas prêt à assurer l'éducation d'une gamine qu'il jugerait responsable de la mort de sa femme, pourquoi être resté passif jusqu'à la naissance ? Et ces parents, pourquoi n'ont-ils pas d'autre nom que "l'homme" et "la femme". Et Cielo, pourquoi a-t-elle abandonné ses parents adoptifs dès qu'elle a apris la vérité pour vivre 3 ans avec un inconnu. Et cet inconnu, pourquoi encourage-t-il une petite villageoise à devenir pirate ? C'est comme si toi tu encourageais tes voisins à vendre de la drogue, ça n'a pas de sens. D'ailleurs le:

Maintenant, elle annonce son grand rêve de devenir pirate, parce que les pirates sont cool et qu'ils sont fort.

C'est un peu limite pour avoir une prime sur son dos, risquer la pendaison et se faire mal voir du monde entier. Et ça choque surtout parce que ça vient de nulle part, on ne comprend pas d'où elle s'est mise à vouloir cette carrière.

Donc voilà, pour moi tu dois prendre le temps de bien construire tes idées quand ton perso sera validé et il faudra que tu te donnes du temps pour progresser. Déjà veiller aux corrections de base, c'est un progrès. Pense bien au fait que les pnjs doivent être logiques puisqu'ils sont comme ton perso des habitants du monde de One Piece. Il faut te mettre à leur place pour les comprendre et leur donner de la richesse. Une histoire où seul ton perso compte, ce n'est pas attirant.

Enfin, essaye de ne pas t'enfoncer dans du déjà vu. Les métaphores sur la rose, le noir et le corbeau, c'est pas mal, mais sans grand effet puisque c'est la symbolique basique du mouvement gothique. Innove. ^^ Par contre, contraster ce sinistre du look par un caractère très jovial est une excellente idée que je t'encourage à garder.

125 dorikis pour moi, qui ne correspondent en aucun cas à une punition mais qui te permettront d'avoir assez de temps pour te parfaire avant d'entamer des choses sérieuses. Si tu t'appliques bien, tu monteras plus vite.

Salut Mélanie, deuxième voix pour ton perso.

Bon je ne vais pas rebondir sur les fautes que signale Minos, je suis évidemment assez d'accord avec lui, mais ça ferait doublon. J'ai plus été étonné par certaines tournures de phrases dont on a un peu de mal à saisir le sens. Du genre "un peu comme un panneau qui doit réfléchir avant de poster " Métaphore oui, mais de quoi? ^^
Je trouve aussi que dans tes descriptions, tu sautes parfois un peu vite d'un extrême à l'autre, et que ça donne une lecture assez décousue.

Niveau Biographie, bon c'est un peu simple et pas vraiment original... Mais bon, au mois tes parents ne se font pas tuer par la marine. Et comme minos je pense qu'il nous manque une clé pour comprendre un peu mieux le pourquoi du choix de la piraterie...

Le test Rp se laisse lire, mais je rejoins la aussi mon collègue du dessus. On ne retrouve pas vraiment la psychologie sombre que tu nous décris plus haut. La miss qui a perd sans son sabre, et qui veut juste le récupérer en se montrant sympa, ça colle bien à la description physique, mais moins à la psy. Faut voir quel aspect tu veux vraiment jouer.


Au bilan moi je dirais 200 dorikis. Plus qu'une voix d'admin à attendre.

Bye, Red

Salut.
Perso je serais d'avis moins dur que mes collègues, pour une fois.
P'tet par ce que les fautes d'ortho me brûlent moins les yeux...

Perso je misera sur un 250... Ce qui amène à une moyenne de 190 !
J'te mets tes couleurs, avec toutes mes félicitations !
Bon rp ! ^^