Wanajima
Toro
By Rirukia Millow.
It's all ABOUT me...
Pseudonyme : Le roux. Age: 18 ans. Sexe : Homme. Race : Humain. Rang : Le roux. Métier : Bretteur / Médecin. Groupe : Chasseur de prime. Déjà un équipage : Aucun. But : Pouvoir manier avec perfection chaque lame existante et devenir comme son maître un grand chasseur de prime. Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Aucun (pour le moment en tout cas). Équipements : J'aimerai que suite à mon histoire, une des 21 lames me soit offerte, seulement si vous déciderez que j'en ai le niveau. Codes du règlement (2) : Parrain : Phoenix D. Juusei. | Kélian (e) Homme 14 ans RP depuis 6 mois Dispo 5/7 Geek Vive Sanji |
Quoi ?! Comment ça il faut que je me décrive physiquement et mentalement !? Je suis en face de vous ça ne suffit pas peut être ? Ah, vous êtes aveugle ... Mais vous vous foutez de moi, il y a cinq minutes vous vous êtes moqué de la couleur de mes cheveux ! Oui c'est ça, dégage vieux fou ...
Et bien oui, voilà ma routine, toujours les gens viennent se foutre de moi par rapport à mon look ou à ma couleur de cheveux, faut dire que vu le trou pourri où on vit, ils ont rien d'autre à faire. Je me demande s'ils ne sont pas jaloux de moi en fait, pas que je me trouve beau ...
En fait si je me trouve beau, vous penserez que je suis un peu narcissique, surement, mais est-ce un crime ? Voir des gens se lamenter sur leur physique à longueur de journée c'est démoralisant quand même. Alors moi j'ai décidé de changer. Je vais me décrire un peu, par la suite vous me direz si j'ai raison de me trouver beau ou pas, bien que tous les avis négatifs ne soient pas pris en compte ... Si tu n’es pas content c'est pareil !
Moi je m'appelle Toro, j'ai 18 ans et ma principale passion c'est de m'entrainer au sabre, mais pour ça, j'ai dû avant tout me sculpter le corps que j'ai aujourd'hui. Mes cheveux de couleurs rouges sont souvent victime de moqueries comme dit plus haut, ils sont plutôt longs, alors pour éviter d'attirer encore plus l'attention je les attache de manière à ce que je fasse une queue de cheval ... c'est pas moi qui ai inventé le nom.
Ensuite, de nombreux tatouages sont apparents sur mon front, mais pour éviter une fois encore d’attirer les blaireaux, je porte un genre de bandeau noir un peu abîmé, qui je dois l’avouer, me rend plutôt beau gosse … On peut néanmoins voir quelques parties de mes tatouages apparaitre vers mes yeux et mon nez. D'ailleurs ce dernier n’a rien de très particulier, et comme sur chaque être humain, il est entouré de mes yeux, qui eux sont d’un noir intense.
La plupart de mes émotions se transmettent par mes yeux ou bien par ma bouche, et non par le biais de mon comportement. En parlant de ma bouche, celle-ci n’a été conçue que pour embrasser les jeunes femmes bien charmantes, mais cela ne vous intéresse surement pas.
Parlons maintenant si vous le voulez bien de ma musculature, que j’ai dû forger avec beaucoup d’effort pour pouvoir manier avec facilité les sabres que je possède. Sans vouloir me vanter, elle est plutôt bien apparente, vous pouvez le voir par vous-même, surtout au niveau de mes bras et mon torse. C’est avec des années d’entrainements intensifs que j’ai pu forger tout ça ! Pour mon style vestimentaire, il reflète tout simplement mon dévouement au culte que je pratique depuis que je suis enfant : le maniement du sabre. Mon habit noir de samouraï en a fait rire plus d’un, mais quand je serai un grand sabreur, ils seront tous humiliés ! J’en bave déjà …
Pour finir au sujet de mon physique, autant dire que je suis grand, 1 mètre 85 pour être précis.
Bon allez, je me tire moi ! Bonne journée … Quoi encore ? T’es toujours là vieux fou ! Ah, tu m’admires tellement que tu veux que je continue à me décrire ? Ce n’est pas un problème, j’ai toujours un peu de temps pour mes fans.
Me revoilà donc ! Cette fois-ci me décrire mentalement, cela risque d’être nettement plus intéressant … Pourquoi ? Et bien c’est logique, ne suis-je pas intéressant ? Je vais faire comme si je n’avais rien entendu et continuer mon « récit ».
Comme vous avez pu le voir, l’un de mes plus gros défauts doit surement être l’amour que je porte pour moi-même. Mon esprit narcissique je le possède depuis seulement quelques temps, pourtant on pourrait croire que je le suis depuis que je suis né … Apparemment ce défaut a le don d’énerver à un point pas possible certaines personnes, et au contraire d’en faire rire d’autres !
Puisque l’on parle de mes défauts, autant continuer sur cette piste. Ma flemmardise ! Oui oui, malgré que je m’entraine au sabre ou tout ce qui est en rapport, je suis très motivé, mais dès que cela concerne autre chose, vous pouvez m’oublier ! Je suis comme ça et rien ni personne ne pourra me changer, par contre, lorsqu’il s’agit de combattre, une activité en rapport avec mes sabres donc, je suis le plus motivé, prêt à tout pour gagner, même si pour cela je devrai en payer le prix fort : ma vie.
Pendant mes combats je deviens quelqu’un de plutôt protecteur, malin, ne fonçant pas tout le temps tête baissée, sauf dans les cas où je suis tellement excité du combat que je ne peux me retenir. On me dit aussi assez souvent que je suis sadique, mais je ne pense pas que ce soit vrai. Je sais juste que lorsque qu’un homme se tient devant moi, armé et en prétendant être mon ennemi, pour une cause totalement débile qui ne bénéficie pas de ma compassion, je le trancherai aussi vite que je pourrai.
Malgré tous ces détails, je reste quelqu’un de facilement abordable, sympathique et parfois même marrant. Je peux vite me lier d’amitié avec certaines personnes, et une fois que je considérerai ceux-ci comme des amis, ils peuvent être sûr que quel qu’en soit la raison je serai là pour eux ! C’est la seul manière pour moi de leur montrer mon amitié pour eux.
Pour le reste je ne sais plus quoi dire, je ne porte qu’un grand intérêt à mes sabres, le reste je n’y fais pas très attention. Après, bien sûr que comme tout être humain j’aime manger et boire comme un ogre … Je pense avoir tout dit … Oui j’en suis sûr vieux fou … Je te dis que oui ! Ah … oui j’allais oublier … On me reproche parfois, ou même très souvent d’être un pervers, mais ce n’est pas de ma faute si j’aime bien les femmes, elles sont pour moi le moyen de me faire un peu oublier mes sabres alors un peu de compréhension à mon égard !
My beginnings...
Chapitre n°1 : Un début difficile.
Je pense qu’il vaut mieux que je conte moi-même son histoire à présent … Un beau soir de pleine lune, non loin de la mer, un bruit assourdissant retentit. Il provenait d’une maison plutôt belle, une femme venait de faire tomber le verre qu’elle tenait à la main, elle s’écroula à son tour quelques secondes plus tard. Son mari, alarmé par le bruit se rendit toute vitesse voir sa femme, il fut incroyablement terrifié de voir sa femme, allongée par terre et qui semblait agoniser de douleur. Il le perdit pas une minute, et la dirigea vers l’hôpital le plus proche qu’il trouva. Il prit le temps d’expliquer aux médecins que sa femme était enceinte et qu’il fallait absolument la sauver coûte que coûte.
Après avoir attendu plus d’une heure et demi, on apprit au mari de la femme que cette dernière fut morte, elle possédait de trop gros problèmes respiratoires, et à cette époque, la chaleur si imposante ne put que la tuer …
L’homme qui aimait cette femme plus que tout au monde s’effondra par terre, pleurant à torrent tout en se demandant s’il devait continuer de vivre. Oui dans ces moments on a souvent la manie de dramatiser les choses, bien que le décès d’un de ses proches ne soit pas facile. Alors qu’il pensait que le foutu docteur en face de lui n’avait été capable que de lui apporter une mauvaise nouvelle, il le vit partir puis revenir avec un enfant, plus petit que la normal, des cheveux roux sur la tête, ayant à peine assez de voix pour hurler. Le père comprit tout de suite qu’il s’agissait là de son enfant, ce n’était pas très complexe à deviner, il avait hérité de la couleur de cheveux de sa mère, et de plus, une si petite taille était surement le résultat de sa naissance prématuré. Le docteur prit donc le soin de lui assurer que son fils avait été sauvé sans aucune complication, mais qu’il devrait rester encore un mois et quelques jours le temps que sa croissance augmente. Le père vit en son enfant l’âme de sa femme, c’était pour lui un signe, il devait s’occuper de cet enfant du mieux qu’il pourrait car c’était son fils, et celui de la femme qu’il aimait à mourir.
Quelques mois passèrent, l’enfant comme promis était sorti de l’hôpital, séjournant tranquillement avec son père, qui s’occupait de lui avec beaucoup d’attention, comme s’il eut craint de lui faire du mal ne serait-ce qu’en lui changeant une couche. Ainsi l’homme oubliait peu à peu la mort de sa femme pour se préoccuper un maximum à son fils.
Voilà maintenant deux ans que l’enfant était né, il savait à présent marcher et parler, ce qui le rendait beaucoup plus intéressant ! Une grande complicité régnait entre lui et son père, ce qui vous me direz n’est pas très étonnant.
Malheureusement tout n’était pas aussi rose, le père ne possédait plus assez d’argent pour continuer ainsi, il était pourtant riche avant la naissance de l’enfant, mais maintenant qu’il était seul, ne trouvant aucune personne volontaire pour garder son fils, n’étant pas très apprécié des pauvres sur peuplant le quartier, il était plutôt difficile pour lui de partir travailler. De mois en mois la richesse que sa femme et lui avaient économisé disparaissait peu à peu …
Heureusement très vite, il fit la rencontre d’une femme qu’il appréciait assez, au fil du temps ils apprirent à faire connaissance et tombèrent amoureux. Il se trouve d’ailleurs que cette femme ne possédait pas grand sous et ne travaillait pas, ce fit l’occasion rêvée pour le père de faire garder son fils par la fille dont il était amoureux pendant que lui partirait au travail. Cette situation convint à tous, autant à la femme et au père qu’à l’enfant. Ce dernier ne mit pas beaucoup de temps à considérer la femme si douce avec lui comme sa mère. Il faut dire qu’il n’avait jamais eu la présence quotidienne d’une femme avec lui.
Ainsi les problèmes financiers de la famille se réglèrent peu à peu, et à l’aube semblait se préparer un merveilleux avenir pour la famille …Chapitre n°2 : Un bonheur de courte durée.
Voilà maintenant qu’un petit bout de temps s’était passé tranquillement pour notre famille. Toro, notre jeune héros avait maintenant l’âge de huit ans, et comme tous les enfants de son âge il allait bien entendu à l’école. On peut dire que cela se passait plutôt bien, enfin il travaillait sérieusement, mais pour ce qui est de ses amis et bien il n’en avait pas vraiment …
Etre un enfant de riche, sans mère, et de plus avoir une couleur de cheveux peu répandu n’attiraient que la méchanceté gratuite des jeunes. Pour éviter d’empirer les choses il ne parlait à personne de ses problèmes, ce qui n’était surement pas la meilleure chose à faire. A cet âge les enfants n’étaient pas non plus assez méchant pour être violent, mais parfois les mots sont bien plus blessants et douloureux, bien que Toro faisait le plus d’effort pour faire abstraction aux remarques de ses camarades.
Pendant ce temps, l’histoire entre son père et la femme qui était maintenant devenu sa belle-mère se déroulait très bien, bien entendu comme dans tous les couples certaines querelles d’amour éclataient, mais jamais de trop grandes. De plus, maintenant que l’enfant avait grandi, il était maintenant à l’école et n’avait plus besoin qu’on le garde, sa belle-mère se mit alors à travailler elle aussi, pas qu’elle avait besoin d’argent, mais plutôt l’envie de faire quelque chose de sa vie. D’ailleurs, la relation entre elle et Toro se déroulait toujours aussi bien.
Vous vous doutez bien que les histoires paisibles ne durent jamais très longtemps ? Comme la tradition le veut, les bons moments sont toujours les plus courts …
Ainsi une journée comme les autres commença, Toro, gros flemmard qu’il est dût de se faire trainer du lit par son père, après cela, ils allèrent rejoindre la femme de la maison pour prendre le petit déjeuner, et enfin chacun partit de son côté. Toro, après quelques minutes de marche arriva enfin à son école, celle-ci avait une très bonne réputation, bien qu’elle n’était pas une école « de riche ». En effet si le petit garçon n’était pas dans une école de bourgeois c’était tout simplement car il n’aimait pas cette vie, alors il avait demandé à son père de l’envoyer dans une bonne école qui ne demandait pas trop d’argent.
Après quelques heures de cours qui s’étaient déroulées plutôt bien, la sonnette d’alarme pour indiquer la récréation retentit enfin, tous les élèves impatients de sortir de ses cours interminables se ruèrent vers leur sortie. Toro sortit le dernier, tout tranquillement, n’ayant aucun ami il n’avait pas besoin de se précipiter … C’est alors qu’un camarade à lui se rapprocha et dit :
- Hey, le rouquin ! Hier j’ai demandé à mes parents pourquoi tu n’avais pas de mère, et ils m’ont dit la vérité ! En fait tu es un monstre et tu la tué quand tu es né, tu l’as tué !
- Tais-toi et parles pas de ma mère espèce d’enfoiré ! répliqua Toro.
- Sinon quoi ? J’ai pas peur des roux moi !
Toro n’en pouvait plus de toutes ses moqueries, et qu’un camarade puisse tenir de tels propos sur sa mère, s’en était trop pour lui, il ne put de retenir et, tout en pleurant, il se jeta sur l’enfant et tombèrent tous les deux à terres. Puis, il se mit à le frapper sans aucun remord, tous les élèves vinrent vite se mettre autour pour regarder avec plus d’attention cette bagarre ! Là, très vite un enseignant intervint, voyant seulement Toro frapper l’autre, il ne put que penser que le seul coupable était Toro, de plus, il lui avait cassé accidentellement une côte. C’est ainsi que son père et lui furent convoqué dans le bureau du directeur.
Quand le père arriva enfin, il lança un tel regard à son fils pour lui faire comprendre comme il était déçu de lui, en plus de cela, Toro avait été exclu de cette école pour un tel acte envers un camarade.
Ensuite, à peine rentrer à la maison, personne ne dit un mot, et le père monta à toute vitesse dans la chambre de son enfant et mit un maximum d’affaire dans une valise, il prit ensuite le temps d’expliquer à son fils qu’une tel aptitude n’était pas celle d’un noble et qu’il devait être éduqué d’une autre manière. Toro tenta d’expliquer par toutes les manières possibles ce qu’il s’était passé, mais rien ne pouvait changer l’intention du père qui prit son enfant et la valise au dos d’une charrette tiré par un cheval et partirent pour de longues heures de routes …
Une fois arrivé à destination, l’enfant pleurant toujours à torrent tentant de s’excuser à son père qui ne l’écoutait pas, toqua à la porte d’une vieille maison. Là un vieil homme ouvrit, il eut l'air plutôt choqué de voir Toro et son père, mais il leur fit signe d'entrer dans la maison.
- Bonjour, je t'amène le gosse, il a merdé, je pourrai pas le gérer, en ville tout le monde parle de la manière dont tu élèves des gosses, je sais pas si c'est si terrible que ça, mais je te laisse ton neveu pendant un an, ça devrait suffire !
- Ahahaha ! Tu n'as pas changé, je savais que ma sœur n'aurait jamais dû te donner un enfant … dit le vieil, il tourna ensuite sa tête vers Toro. Et bien tu attends quoi pour venir dans les bras de ton oncle ?!
- Je te connais pas, et papa a pas de frère ! Je t'en supplie papa pardonne moi et ramène à la maison ! Cria le petit en détresse ne comprenant pas vraiment la situation.
Le père ne répondit même pas et dit à son fils « A dans un an, fils ... », il sortit de la maison, sans même adresser un regard à son fils et partit, laissant derrière lui un pauvre enfant abandonné.
- Toro ne t'inquiètes pas, tu vas te plaire ici, en plus j'ai deux enfants, ce sont des jumeaux de 18 ans ! Ah mais tu ne sais toujours pas qui je suis ! Ahahaha ! Je suis le frère de ta maman, et je trouve que tu lui ressemble vraiment. Ton père t'a amené ici pour que je t’éduque, c'est ce qu'on avait convenu ensemble le jour de ta naissance, il pourrait ne jamais t'amener me voir mais le jour où il rencontrerait un problème avec ton éducation, il pourrait t'amener ici. Cette année va vite passer ne t'inquiète pas, on va s'amuser et apprendre à se connaître !
- Mon... mon père m'a abandonné … Il m'a laissé tout seul …
- Ne dis pas ça, il va bientôt revenir ne t'inquiète pas, allez, viens dans mes bras !
Ainsi le petit s'endormit dans les bras d'un oncle dont il venait d'apprendre l’existence, son père, lui, semblait être un de ces riches incapables du surmonter un problème lui même, au point d'envoyer son fils à un homme dont la réputation avec les enfants n'était pas très bonne. Une année plutôt particulière s’annonçait alors …Chapitre n°3 : Une nouvelle vie.
Cela faisait un petit moment maintenant que notre jeune héros séjournait dans cette vieille maison avec son oncle et ses deux cousins. Autant dire qu’au début cette situation fut plutôt compliqué à vivre pour un enfant de 8 ans, mais la bonne humeur de son oncle le fit vite sentir à l’aise. C’est ainsi qu’avec le temps Toro commença à oublier sa peine, bien que celle-ci était pour le moment toujours présent en lui. Quant à la réputation du vieil homme, celle-ci semblait n’être que des accusations non fondées ! La seul chose que l’homme faisait endurer à ses deux enfants, c’était un dur entrainement pour devenir de valeureux guerriers maniant avec perfection un sabre, et autant dire que ces deux-là n’étaient pas contre du tout, bien au contraire, l’entrainement n’était le résultat que de leur motivation. La famille fit assister Toro à beaucoup de leur entrainement et combat, et c’est ainsi, que lui aussi prit goût à cette véritable passion. Il ne put résister très longtemps alors son oncle, plutôt étonné qu’un enfant éduqué comme un « riche » soit motivé à fournir de réels efforts pour manier le sabre, accepta de l’entrainer à son tour.
Chaque jour, le petit fut alors confronté à des exercices plus difficiles les uns des autres, bien entendu, comme tout enfant de son âge, il se décourageait très vite et pensait pouvoir devenir fort en quelques semaines, mais malgré tout il ne baissa pas les bras et devint petit à petit un enfant avec le rêve de devenir un jour un grand aventurier connu pour sa grande maitrise du sabre, et son oncle comptait bien l’aider pour.
L’année fut plutôt courte, l’intégration de Toro se passa à merveille et il s’était maintenant attaché à cette famille, de plus, sa passion pour le sabre ne faisait que grandir et il adorait vraiment ça, mais pourtant, il savait que son père allait venir le chercher, il aurait dû être impatient de cela, mais bien au contraire cela ne faisait que le démoraliser … Le pauvre garçon ne pouvait pas lui pardonner ses actes ! D’ailleurs, ses craintes ne mirent pas très longtemps à se réaliser, c’est seulement quelques jours après, alors que chacun mangeait tranquillement le repas du soir, la sonnette de la porte se mit à retentir fortement. Le vieil homme se leva et ouvrit délicatement la porte, et sans le moindre étonnement il aperçut le père de Toro, habillé d’un très jolie costume noir, qui n’hésita pas à entrer puis déclara :
- Salut, je vais récupérer mon fils adoré, tu en as bien pris soin ?
- Ton fils adoré ? Tu rigoles, tu l’as abandonné lâchement ayant trop peur de t’occuper de lui, mais je ne peux pas t’en vouloir, tout le monde sait que les riches sont bons à rien … répliqua l'oncle.
- Papa, vas t’en ! Je ne veux pas rentrer avec toi mais je veux vivre avec mon oncle ! Lui au moins il m’aime et il s’occupe de moi … dit avec crainte l'enfant.
- Ne dis pas de conneries sale morveux ! Tu vas voir si tu ne vas pas rentrer à la maison !
Alors le père se jeta sur l’enfant et l’attrapa par les cheveux, se préparant à le trainer jusqu’à la sortie, mais heureusement, l’oncle intervint à temps et mobilisa l’homme sans trop de difficulté. Par cet acte, le père, totalement hors de lui décida de partir en ajoutant que Toro n’était à présent plus son fils … Il faut croire que les riches n’aiment vraiment pas avoir une vie toute simple !
Toro se sentit assez mal de la réaction qu’il avait eue, mais son oncle, aussi gentil qu’il était le rassura tout de suite et lui promit qu’il s’occuperait de lui quelqu’un soit le prix.
C’est alors que le petit roux vécut au sein de sa « nouvelle famille » dans la meilleure des façons. Sa passion pour les sabres, elle, ne fit que grandir avec lui, et de jours en jours il s’entraina avec maintenant un véritable et réel but : Réaliser son rêve !Chapitre n°4 : Un nouveau départ.
Ce matin-là, un soleil resplendissant semblait se lever non loin de la vieille maison où logeait Toro, son oncle et ses cousins. Celui-ci cela leva d'ailleurs avec difficulté, il devait être 14 heure, pourtant il venait à peine d'ouvrir l’œil. Toro était maintenant âgé de 18 ans et dormait depuis seulement quelques heures pour la simple et bonne raison qu'il avait fait la fête toute la nuit ! Pourquoi ? Et bien tout simplement car il avait annoncé à tout le monde que grâce à eux il se sentait à présent assez fort pour partir en mer et devenir un grand sabreur reconnu dans le monde entier! Personne ne voulut l’empêcher de partir, bien au contraire, tout le monde le soutint. C’est un peu normal, sa « nouvelle famille » ne pouvait qu’espérer qu’un jour, ce petit bonhomme puisse faire quelque chose de sa vie et qu’il parte réaliser ses rêves, de plus, ils l’avaient vu évoluer et ils ne doutèrent pas une seconde qu’il était prêt à partir pour l’aventure.
Après avoir pris le soin de se laver, finir de ranger ses affaires et après avoir mangé un bon dîner, il se prépara enfin à dire ses adieux à son oncle et ses deux cousins. Ce ne fut vraiment pas facile, il avait vraiment fini par s’attacher à eux, mais il devait le faire ! Il alla donc parler tout d’abord à ses cousins, puis enfin se dirigea vers son oncle, là une énorme discussion s’engagea et fit même verser quelques larmes aux deux personnes. C’est donc après ce long moment riche en émotion que notre jeune héros se décida enfin de partir, délicatement, il prit le soin de sortir de la vieille maison, puis, il prit le soin d’observer une dernière fois cette maison.
Une fois partis et en route pour la ville afin de trouver des marins susceptibles de l’amener vers une autre île que la sienne, il eut une petite hésitation à rendre visite à son père, mais la raison le rattrapa, il ne devait en aucun cas lui rendre visite, surtout pas après tout ce qu’il avait pu faire !
Après être arrivé en ville, il se mit à chercher dans tout le port des personnes se dirigeant vers une autre île, et proposa à chacun d’eux ses services de sabreur pour servir de « protecteur » le long du voyage, mais personne ne sembla très intéressé. Mais il ne baissa pas les bras et continua à chercher, et, c’est après une vingtaine de minute, qu’un groupe de 4 personnes plutôt suspectes, prétendant être des pêcheurs, accepta les services du jeune. Apparemment ils étaient plutôt inquiets par rapport aux activités pirates sur la mer qu’il devait emprunter, un protecteur n’était donc pas de refus.
C’est alors que le moment arriva enfin pour le bateau de partir … Tellement de mélancolie pouvait se lire dans les yeux de Toro ! C’est tout à fait normal, après tant d’aventure qu’il avait vécu sur son île, tant de bons moments passés avec sa « nouvelle famille », jamais il ne pourrait oublier tout ça. Aussi il avait juré qu’un jour il reviendrait tous les voir. Après ce lourd sentiment passé, c’est celui de l’excitation qui prit place, Toro allait enfin vivre une véritable aventure, bien qu’il n’avait absolument aucun projet pour le moment. Il avait aussi hâte de voir le sabre que lui avait offert son oncle, pour le moment, quoi qu’il se passe, il devait se contenter d’utiliser son sabre de mauvaise qualité jusqu’à la prochaine île. Le voyage allait durer un petit moment, alors notre protagoniste, aussi flemmard qu’il est en profita pour faire une petite sieste …
Son esprit enfin reposé, il se leva, et à sa grand surprise il vit enfin une île apparaitre, il était si content, après tout, c’était la première île étrangère qu’il allait avoir l’honneur de visiter ! Mais c’est alors que les fameux pécheurs qui l’avaient accompagnés sortirent tous des armes en direction du roux, ce dernier ne tenta même pas de commencer une conversation et comprit que les hommes qu’il avait en face de lui n’était autre que des braconniers ! Comment pouvait-il le savoir ? Le cadeau que lui donnait son oncle n’était plus à côté de lui mais dans les bras de l’un d’eux. Il dégaina alors avec beaucoup de classe son sabre, un petit sourire à la bouche il déclara : « Ce sera mon premier véritable combat, j’essaierai de me retenir ! ». Le premier braconnier répondit aussitôt à sa provocation et bondit sur Toro, qui réussit à parer son coup, et lui mit un violent coup de son fourreau dans la nuque qui l’assomma tout suite. Il ne restait à présent plus que trois adversaires, le troisième prit donc la relève et tout en pointant son épée vers le roux, il avança délicatement. Lame contre lame, ils s’affrontèrent, et sans vraiment de difficulté Toro trancha l’homme au niveau du torse, qui tomba à terre immobile. Les deux combattants restant, eux, avaient sauté dans un autre bateau beaucoup plus rapide, qui apparemment les attendait, emportant le cadeau que l’oncle avait offert à Toro.
Celui-ci ne prit pas la peine d’essayer de sauter dans leur bateau pour les suivre, il avait bien trop la flemme, il décida tout simplement qu’une fois arrivé sur l’île il les traquerait jusqu’à les retrouve r…
Après tout, ils n’avaient pas l’air très fort, au plutôt, vu l’entrainement qu’avait subi le petit aventurier, les hommes ne semblaient pas de son niveau ! Ainsi il devait maintenant attendre que le bateau accoste sur l’île pour se mettre à la poursuite de ces braconniers.A suivre …
(Suite en RP que j’effectuerai avec un ami que j’ai réussi à faire venir, Minami Yuki/Yukio)
My Test Rp...
Test Rp : Une chasse mouvementée.
Loin, très loin dans la mer de South Blue se trouvait une petite île inconnue des étrangers. Ce matin-là, les rayons provenant du soleil se mirent à éblouir toute sa surface, ce fut un spectacle plutôt magnifique. En quelques minutes on put entendre le vacarme causé par tous les enfants se ruant vers la plage … Non mais sérieusement, ils ne peuvent pas dormir comme tout le monde ces démons !? Après un tel bouquant il était impossible pour moi de me rendormir, je me levai donc avec comme objectif de bien me réveiller puis partir à la recherche d’un contrat de chasse bien payé … Et oui, il faut bien gagner de l’argent pour vivre non ?
Voilà qu’après une bonne heure de préparation, j’étais fin prêt à partir à la quête de bon pirate primé ! Oui car il faut savoir que je suis un chasseur de prime pas encore très connu, alors pour tenter de me faire un nom assez rapidement je tente de récupérer des pirates bien primés, en général je m’en sors assez bien, sauf avec un, il m’avait bien éclaté l’enfoiré …
Voilà qu’après une bonne marche épuisante, seulement 300 mètres mais je suis très flemmard je vous l’ai dit, je partis en direction d’une taverne assez connue et fréquentée par les chasseurs, là-bas je pouvais être sûr que je trouverai des contrats de chasse ! Celle-ci s’appelait « La taverne de Papi Sam », drôle de nom mais que voulez-vous, elle avait plutôt mauvaise réputation auprès des pirates, mais jamais ils n’allèrent causer des problèmes, surement car les pirates de cette île ne sont que des blaireaux …
Une fois entré à l’intérieur, je m’installai à une table vide, d’ailleurs je pu remarquer que même à cette heure-ci la taverne était déjà remplie, et certains étaient même ivre mort ! Après cette observation faite, je levai la main histoire de faire comprendre que je voulais une boisson, le serveur me reconnut et ainsi il put m’amener un paquet de contrats de chasse suivit d’un verre contenant une boisson que je ne saurais nommer mais que j’apprécie beaucoup ! Je me mis alors à feuilleter chaque feuille, mais au même moment, je pu entendre la conversation qui se tenait à la table à côté, d’après ce que je compris, un homme tenant une entreprise assez importante fut cambriolé, ce dernier se mit alors à recruter des chasseurs pour retrouver mort ou vif ces hommes, avec à la clé une récompense assez importante. Les deux hommes discutant se levèrent alors pour se rentre sur le lieu de recrutement justement, ce fut alors pour moi l’occasion de les suivre afin de participer à la chasse !
Voilà qu’après une plutôt longue marche, et une vraie cette fois-ci, les deux hommes arrivèrent en face d’une grande maison, au beau milieu d’une rue remplit de petit commerce et de ses habitants. Aussi fou que cela puisse paraitre, ces deux-là n’avaient toujours pas remarqué ma présence. Enfin ils se décidèrent à ouvrir l’immense portail et entrèrent dans la cours de cette fameuse maison, je ne savais pas vraiment si je devais m’y introduire, mais qui ne tente rien n’a rien ! Je m’y introduis donc. Cette fois-ci autant dire que ma présence ne passa pas inaperçue, et un homme se pointa vers moi et me dit sèchement :
- Qu’est-ce que tu viens faire ici toi ? C’est une propriété privée alors dégage !
- Euh oui je sais, et je m’en excuse, mais je n’ai pas vraiment l’intention de partir. En fait je vous suis, vous et votre collègue, depuis votre départ de la taverne, il se trouve que j’ai entendu votre conversation, et cette chasse aux voleurs m’intéresse assez pour être franc. Y aurait-il moyen que j’y participe ?
- Ce n’est pas moi qui m’occupe de ça, je suis juste un des chasseurs qu’on a recruté, mais je ne pense pas que le boss ait besoin d’un minus comme toi …
- On parle de moi ? déclara un homme sortant de la maison. Et bien en réalité je ne recrute plus, j’ai déjà engagé 9 personnes pour chasser ces voleurs, je pense que c’est suffisant, mais si tu y tiens vraiment, tu peux y participer, mais sache que ce ne sera pas une promenade de santé, je veux ces hommes à tout prix, mort ou vif !
- Et bien j’accepte avec joie, la chasse est ma spécialité ! On commence quand ?
Ainsi le tour était joué pour moi, après ce court dialogue une longue discussion s’engagea avec notre « boss » et nous, les 10 chasseurs … Notre programme consisté à fouiller de fond en comble un quartier bien précis où les voleurs semblaient séjourner, je voulus d’abord partir seul, mais 5 d’entre nous pensèrent que faire des équipes de deux personnes étaient un choix plus judicieux, je trouvai cette décision assez louche, mais bon, après tout si cela devait aider à ne rien laisser passer ! Ainsi les 5 groupes contenant chacun deux personnes établies, mon « collègue » et moi partîmes en direction du quartier …
Une fois arrivé sur les lieux, la première chose que je vis fut un quartier mal fréquentée, où le regard des personnes suffisaient à vous dire « Dégage d’ici ! ». Je n’avais en aucun l’intention de partir d’ici, je me mis donc avec l’autre chasseur à chercher des petites tavernes où l’on pourrait apprendre diverses informations. Ce fut une merveilleuse idée puisque la troisième taverne qu’on visita, on put assister à une discussion d’un homme se ventant de connaitre les hommes coupable de ce cambriolage. Assez bizarrement l’homme précisa même qu’il connaissait son adresse, c’est donc sans attendre que le pris pas le bras et je l’entrainai en dehors de la taverne pour ensuite le questionné. Celui se mit à rire en m’assurant qu’il ne me dirait rien du tout, mais lorsque l’autre chasseur me rejoignit, l’homme commença à être paniqué, et très rapidement, il nous divulgua l’adresse et partit en courant ! Cette histoire commençait à être de plus en plus suspecte à mes yeux, je tentai de demander à mon camarade ce qu’il s’était passé, ou même s’il le connaissait, mais il m’assura que lui-même n’avait pas vraiment compris et qu’il l’avait surement effrayé dut à son physique. Ainsi sans vraiment comprendre la réelle raison je me contentai d’avancer vers l’adresse que l’homme nous avait indiquée.
Une fois arrivé à destination, tout en prenant en compte que la nuit commençait à tomber, cela faisait pas mal de temps que nous nous étions mis à la recherche des voleurs, je vis les 4 autres chasseurs arriver sans leur coéquipier, je commençai à me poser des questions, mais avant même que je ne puisse ouvrir la bouche, j’eu compris que les 4 hommes se tenant devant plus l’autre qui m’accompagné était en réalité les 5 chasseurs proposant de formait des groupes de deux ! Je ne savais pas pourquoi, mais la situation était plutôt mauvaise pour moi …
L’un d’eux prit donc la peine de m’expliquer la situation avec ironie, en réalité les voleurs qui avaient cambriolés l’entreprise devaient de l’argent à ces 5 personnes, il fallait donc pour eux les retrouver, mais le problème c’est qu’ils ne connaissaient pas leurs coordonnées, cette chasse était donc le moment rêvé pour apprendre le plus d’information avec l’aide de plusieurs personnes. Ainsi, après l’aide des 5 autres chasseurs dont moi utilisé, leurs plans étaient de nous éliminer. Quant à l’homme qui s’était échappé auparavant, lui aussi leur devait de l’argent apparemment, cela était donc la raison pour laquelle il s’était enfuit …
Je savais maintenant tout, on destin était maintenant de mourir je dégainai mon sabre histoire de me défendre. L’un d’eux réagit à mon mouvement et se rapprocha à son tour de moi, il n’avait pas d’arme, la tâche semblait donc facile pour moi, ainsi d’un mouvement de jambe rapide je me déplaçai sur son côté afin qu’il ait plus de difficulté à parait mon coup et ce fut une totale réussite puisque je le mis au tapis en associant un coup de genoux au niveau de son estomac suivit d’un violent coup de fourreau dans la nuque. Autant dire que comme première adversaire ce n’avait pas été vraiment très compliqué. A peine fini deux autres se jetèrent vers moi sans vraiment réfléchir, je ne comptais pas me retenir c’est alors qu’avec mon sabre je pris le soin de transpercer le ventre de l’un d’eux en tentant de ne pas toucher ses organes vitaux. L’autre s’agrippa à mon dos, tel un lâche l’aurait fait, mais sans trop de difficulté je réussis à le faire vers basculer sur le côté. Une fois relevé, lui et un des deux autres restants prirent la fuite, quels lâches … Il ne restait à présent plus qu’une personne, celle qui m’avait accompagné depuis le début. Celui-ci se jeta à une vitesse folle sur moi, je n’eus même pas le temps de me protéger qu’il prit mon sabre et le jeta à plusieurs mètres ! Un combat « d’homme à homme » s’annonçait alors. Celui-ci commença plutôt bien puisqu’il ne manqua pas de me donner 2 bons coups de poing dans le ventre, et autant vous dire qu’il avait de la force ! Ensuite je tentai d’esquiver le plus possible ses coups impressionnants.
En fait cela dura près d’une dizaine de minute, cette montagne de muscle s’épuisa à tenter de me toucher, ce qu’il réussit néanmoins, mais pas autant qu’il l’aurait voulu, c’est donc grâce à mon agilité que je réussissais à être encore en vie bien que très mal au point. Lorsque l’homme s’arrêta le temps de respirer, ce fut pour moi le moment où jamais pour riposter ! Je me mis alors à lui mettre une succession de coups de poing et de pied qui semblèrent ne lui faire aucun effet, d’ailleurs il en profita par agripper ma jambe et me propulsa à plusieurs mètres plus loin. Alors que j’étais à terre et que l’homme se rapprochait pour me mettre une raclée, un violent coup de feu retentit. Mon adversaire tomba alors à terre … Un homme se tenant derrière lui venait de tirer dessus, celui-ci me souleva d’ailleurs et me dirigea chez lui.
Lorsque j’entrai et que je ne fus plus sonné par les coups de la brute, je reconnus le visage du cambrioleur, c’est lui qui m’avait sauvé ne sachant surement pas qui j’étais. Je vis aussi des enfants qui semblaient lui appartenir, l’un d’eux semblait d’ailleurs en très mauvaise état, mais heureusement des machines plutôt modernes semblaient le faire tenir en vie. Je compris alors où l’argent du cambriolage était passé, je me levai donc à la minute où j’eus compris tout cela, et, tout en remerciant l’homme et en lui dis disant rien d’autre, je m’en allai pour rentrer chez moi …
Lorsque je fus petit, mon rêve était de devenir un réel homme libre, connut pour sa grande maitrise au sabre, et non un chasseur de prime, traquant les voleurs voulant sauver leurs familles, je n’avais donc aucun intérêt, mis à part une maudite somme d’agent, à faire souffrir cette famille, ainsi je ne donnai plus aucune nouvelle de moi au « boss » qui m’avait engagé comme les neufs autres chasseurs, la plupart surement mort.
Je me mis ainsi en route pour de nouvelles aventures, en espérant ne plus retomber sur une brute tel que j’avais rencontré.
Dernière édition par Wanajima Toro le Jeu 8 Mar 2012 - 12:51, édité 55 fois