Haïko Kuro

>> Haïko Kuro

Pseudonyme : Age: 24 Sexe : homme Race : Homme Rang : Métier : musicien Groupe : Pirate Déjà un équipage : à voir ^^ But : Être reconnu par les plus grands, graver son nom dans l’histoire Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : J’aimerais bien développer un technique à partir de la musique. A voir ! Codes du règlement (2) : Parrain :

>> Physique ”Ici Chisako Maeda en direct de Shell Town pour la retransmission du concert très attendu d’Haïko Kuro. Depuis le début de l’année, le jeune homme fait un triomphe...Mais attendez, je crois qu’il arrive ! Oui, c’est bien lui ! Il est magnifique dans son costume noir. Oh, et quelle meeerveille chers téléspectateurs que la vue de ses cheveux rayonnant de ce bleu si profond...Mais je m’égare, je vous remercie encore de nous avoir rejoint sur Chanel 11 mesdames et messieurs pour assister à ce récital qui sera je l’espère à la hauteur de vos attentes. Pour les malchanceux dont le den den mushi n’est pas adapté à la projection, je passe le micro à notre envoyé spécial situé dans la fosse pour une description plus détaillée !” Le den den mushi grésille une seconde puis repart de plus belle. Des cris (pour la plupart féminins) roetentissent, couvrant la vix du pauvre employer que l’on entend hurler dans le micro entre deux bousculades pour couvrir le vacarme. “Comme vous pouvez le constater, la fosse est en ébullition, je vais tout de même tenter une vague description. Le musicien porte une chemise blanche que recouvre un magnifique veston queue de pie noir. Parait-il que ses habits de tout les jours ne sont pas moins élégants. Ses cheveux n’ont rien perdu de leur charme, toujours d’un bleu électrique qui illumine la scène ! Ses yeux de la même couleur semblent empli d’une inspiration profonde qui me laisse présager le meilleur pour ce concert à venir chers téléspectateurs. Il vient de s’arrêter au milieu de la scène et salut humblement le public ! Il se redresse, quelle posture mesdames et messieurs, quelle po-sture ! Droit comme un I, voila un homme qui n’a pas honte de s’afficher !” À nouveau le den den mushi s’agite, des cris retentissent de plus belle et l’on sent à la voix du présentateur que les secousses se multiplient. “Mesdames et messieurs, il semble que le sourire du jeune homme n’a pas épargné la gent féminine qui compte déjà quatre individus de moins ! Haha quel séducteur ! Haaa, mais voila le moment tant a-tt-en-du chers auditeurs. Mr Kuro vient de revêtir son visage d’une expression des plus sérieuses. À n’en pas douter, le concert est sur le point de débuter ! Je repasse donc le micro à mlle Maeda !” La femme s’adresse à nouveau à l’auditoire mais d’une voix murmurante. À l’arrière plan, les cris se sont tu, témoignant du début imminent de la représentation. La voix assurée du musicien résonne en arrière fond. “Merci Robb ! Mesdames et messieurs, le silence est to-tal. Obtenir un tel calme de la part des spectateurs en un seul geste, quelle présence ! Il faut dire que sa voix envoûtante a de quoi adoucir les plus hardis esprits. Je vous laisse maintenant apprécier la musique ! Et bon spectacle sur chanel 11 ! >> Psychologie Extrait de l’interview paru dans le journal du monde : Monsieur Kuro, comment vous définiriez vous en temps que musicien ? Hé bien, je pense que la musique que je compose parle d’elle même. En temps que musicien, je me dois d’apporter au monde une touche d’art, de création. N’est ce pas le rôle de tout artiste ? Bien sûr ! Mais créer ces pièces doit demander un temps et une patience considérable : Oui, mais je suis quelqu’un de très patient. Et comme je déteste plus que tout de ne pas finir quelque chose que j’ai entamé, je les termines toujours. C’est comme une compétition de sport quelconque, les joueurs abandonnent ils au milieu de la partie ? Ça serait absurde en effet. Quelque chose vous irrite t’il par dessus tout ? Au risque de me répéter, je déteste ne pas finir quelque chose ! Que l’on m’interrompe lorsque j'interprète ou que j’écoute un morceau me met d’une humeur massacrante. N’y a t’il pas de pire torture que d’interrompre un plaisir absolu ? Vous considérez donc la musique comme le plaisir absolu ? Absolument, cela dis, cela n’engage que moi et je ne pense pas pouvoir dire que tout le monde partage cette passion. Mon but est de toucher un maximum de public, c’est pour cela que mon style de musique est très varié. Violon, piano, guitare, flute, y a t’il un instrument que vous ne sachiez jouer ? Je joue très mal du banjo. Mais pour être plus sérieux, j’ai reçu grâce à ma famille un entraînement très efficace sur plusieurs instruments ainsi que sur la théorie musicale, ce qui explique que j’ai des facilités à assimiler un nouvel instrument. On dit que vous êtes un homme à femmes, certain vous surnomment Don Juan : Il est vrai que la célébrité facilite ce genre de relation, néanmoins je n’aime pas profiter de ma réputation. On sent dans vos œuvres une véritable sérénité, qu’en est il de votre vie ? Composer ou interpréter une musique ne peut pas être réalisé si il y a dualité entre ce que l’on ressent et ce que l’on veux faire ressentir. Si l’on est en colère, l’interprétation sera plus violente. Vous en déduirez mon tempérament. Un petit mot pour vos fans ? J’ai réalisé récemment une chose très importante qui m’a conduit à faire un choix de vie particulier. Ma décision pourrait vous surprendre, mais ne cessez pas de m’écouter ! L’information sera divulguée dans quelques jours !. Merci de cet interview et nous vous souhaitons le meilleur pour l’avenir !. Merci à vous. >> Biographie Chapitre I Biographie tirée du livre “La musique pour tous” : Haïko Kuro Né en 1600 à Orange d’un père musicien et d’une mère artiste peintre, le jeune Haïko se retrouve bien vite plongé dans le milieu artistique. Fils unique de ses riches parents, il passe son enfance dans le manoir familial ou il apprend de son père l’art musical. Il progresse rapidement et maîtrise dès l’âge de 15 ans le violon, le piano et la guitare. Son père s’improvisant impresario et compositeur, Haïko voyage d’île en île à partir de ses 17 ans en tant qu’interprète. S’ensuit une tournée de plusieurs mois qui mènera le jeune homme dans chacune des quatre Blues. Musicien de génie, il est vite apprécié du public et ne tarde pas à se faire un nom dans le milieu. À l'âge de 18 ans, alors qu’il rentre de sa longue tournée, le jeune homme décide de s'émanciper. Il déclare : “La vie de manoir n’est pas celle des musiciens. Pour réaliser une œuvre il faut s’inspirer de ses expériences vécues, de ses voyages. Il faut avoir le souvenir de longues journées d’attente perdu au milieu de l’océan, de ses joies et de ses peurs, de ses expéditions. Et pour cela il n’est d’autre moyen que de vivre sa propre vie, pas celle que l’on vous impose.” Il quitte la demeure familiale n’emportant que ses instruments. Pendant une année, le jeune homme se retire de la scène pour prendre le temps de devenir son propre compositeur. Il revient à l’attaque en 1619 avec une musique emplie de sentiments, expression d'une inaltérable foi en l'homme et d'un optimisme volontaire. Haïko consacre l'art musical comme action d'un homme libre et non plus comme simple distraction, il est alors âgé de 20 ans. Il entame à nouveau une tournée qui restera gravée dans les mémoires comme l’apogée d’une carrière brillante. Le jeune homme développe alors un système brillant et se lance dans la création de concerts uniques dans lesquels le style musicale diffère. Le grand concert de Shell Town reste à ce jour l’œuvre phare de musicien. Lors de cet ultime concert il annonce : “Mes amis, j’ai pris conscience récemment d’une chose que je me dois de partagé avec vous. Peu importe la conviction avec laquelle j'essaie, ma musique n’atteint jamais le niveau d’intensité que je souhaiterais lui voir prendre. J’ai réalisé que ce fait est le produit de mon mode de vie. Voyez vous, il m’est impossible de jouir d’une pleine liberté . J’ai donc décidé de me retirer. Mais je vous le promet, vous entendrez à nouveau parler de moi !” Suite à cette déclaration, Haïko Kuro n’est jamais réapparu en deux ans d’absence. Nul ne connaît le vrai sens de ses paroles, mais espérons que le jeune homme n’ai pas mentis. Chapitre II “Mes amis, j’ai pris conscience récemment d’une chose que je me dois de partagé avec vous. Peu importe la conviction avec laquelle j'essaie, ma musique n’atteint jamais le niveau d’intensité que je souhaiterais lui voir prendre. J’ai réalisé que ce fait est le produit de mon mode de vie. Voyez vous, il m’est impossible de jouir d’une pleine liberté . J’ai donc décidé de me retirer. Mais je vous le promet, vous entendrez à nouveau parler de moi !” Le jeune homme venait de finir son discours face aux auditeurs de Shell Town. Il tourna le dos à la foule après l’avoir salué et disparue dans les coulisses. À l’arrière plan on entendait le brouhaha des spectateurs abasourdis. Un homme de grand taille s’approcha d’Haïko, il était vêtu d’un ensemble noir et se tenait dans une position particulièrement droite. Il inspecta rapidement le musicien et s’adressa à lui d’une voix bouleversée. “Il y a un problème monsieur ?” “Il n’y a aucun problème Oto, tout va même très bien. Tu peux retourner au navire, tu trouvera dans ta cabine une enveloppe contenant l’adresse de tes nouveaux employeurs ainsi qu’une substantielle somme d’argent.” “Alors vous partez réellement... Et puis-je savoir où vous allez ?” “Non, je dois m’y rendre seul.” Sur ces mots, le jeune homme se retourna et quitta la pièce sous le regard triste et inquiet de son majordome. Il s’extirpa discrètement du bâtiment et monta dans une calèche miteuse. Le véhicule démarra lentement et s’enfuit en cahotant sur la route pavé en direction du port. Le cortège s’arrêta devant un navire amarré au quai en bois. Le vaisseau devait mesurer une vingtaine de mètres, la coque usée par l’eau salée paraissait cependant impeccable de part en part. A l’avant, la proue magnifique en forme de singe hilare semblait narguer les flots de sa place supérieure. Au sommet du grand mât flottait au grès du vent un drapeau recouvert de l’emblème des marchands de Shell Town. Haïko sortit une bourse qu’il remit à ce qui semblait être le capitaine du navire. Celui ci l’accepta avec un sourire aux lèvres, peu de gens payaient aussi bien pour une traversé. “Tout est à bord ?” “Oui, il ne manquait plus que vous ! Montez à bord, nous allons partir. TOUT LE MONDE MONTE À BORD ! LEVEZ L’ANCRE. Toi, montre à notre inviter sa cabine !” Autour du bateau, tous s’agitèrent aux ordres du capitaine. En quelques minutes à peine, tous étaient à bord sur le départ, l’ancre avait été levée. Bien vite la grand voile dévoila sa toile, offrant aux navire la poussée nécessaire à sortir du port. Le capitaine s’était placé devant le gouvernail et guidait le bâtiment entre les différents obstacles qui obstruaient la route. Haïko c’était installé dans sa cabine, une petite couchette et un bureau occupaient presque tout l’espace du lieu. Le sac contenant ses affaires personnelles avait été placé sur le lit. Il faudrait au moins deux semaines pour atteindre West Blue, alors autant s’occuper. Le jeune homme saisit une plume et un parchemin et entreprit de composer sa première oeuvre en tant qu’homme libre. Depuis dix jours déjà le navire avait quitté Shell Town, le voyage se déroulait sans incident notoire. Haïko passait chaque jour assis à l’arrière du bateau, à l'abri de toute agitation, à composer sa nouvelle oeuvre. Parfois, le soir, il cédait aux demandes insistantes des matelots et sortait son violon pour détendre l’atmosphère. L’accident survint le soir du onzième jour, l’obscurité avait envahie le ciel et un brouillard épais réduisait la visibilité à quelques mètres seulement. Le bateau avait été stoppé et des lanternes accrochées au mât principal afin de prévenir toute collision. C’est alors qu’apparut l’ombre menaçante d’un navire au travers de la brume opaque. Un terrible coup de canon suivis par le fracas assourdissant du bois défoncé déchira le silence lourd de la nuit. Le navire entier trembla et avant que quiconque est pu réagir, une dizaine d’hommes avaient envahis le pont, menaçant l’équipage de leurs armes. Des cris s'élevèrent de la cale. Soudain une voix grave sembla apparaître de la nuit elle même. “Ne bougez plus, la cargaison entière de ce navire m’appartiens à présent. Rebellez vous, et vous mourrez, criez et vous mourrez.” Déjà un flot de pirates les mains chargées de marchandises diverses émergeait de la petite trappe menant à la cale. J’observais ces hommes avec attention, des personnes libres, qu’aucune chaîne n’entrave. Ce voyage m’avait apporté bien plus que se que je pensais, la vie dont je rêvais s’étalait sous mes yeux sous la forme de ces pirates. Je me rapprochais de l’un d’eux qui surveillait l’équipage. “Toi ! Recule, t’as pas entendu not’ capitaine ?” “J’aimerais justement m’entretenir avec lui.” “Capt’aine, y’a un mec déguisé en pingouin qui veux vous parler !” Je sentis soudain une ombre se profiler derrière moi, je me concentrai pour ne pas me retourner. Deux secondes plus tard, la tête du capitaine apparaissait au dessus de mon épaule gauche. Ses yeux sombres me dévisagèrent un instant puis le visage disparu dans le noir. La voix rauque s’éleva à nouveau : “Que veux tu ?” “J’aimerais me joindre à vous.” “Hahaha... Et qu’est ce qui te fais penser que nous aurions envie de cela ?” “Je suis musicien, et tout le monde a besoin de musique et puis vous ne perdrez rien à m’essayer quelques jours, si je ne vous plaît pas vous me jetterez par dessus bord...” “Ha ! Tu me plais bien, mais avec ton costume t’as pas l’air de jouer la musique qu’on aime.” J’attrapais au vol ma guitare que l’un des pirates emportait sur le bateau noir. J’empoignais le manche et commençais à chanter sur un rythme endiablé : Approchez vous, venez voir ! Car je vais vous conter l’histoire D’un pirate des plus noir, qu’au fin fond sa fortune fît choir. À la recherche de trésors, avait un jour quittez son port Le navire chargé de merveilles, de vivres d’armes et de bouteilles. L’histoire commence dans un vieux port, là où jamais le rhum ne dort Où le vent des rumeurs va fort et se vendent les cartes au trésor. Des bateaux amarrés aux quais, des flot de matelots s’échappaient Pour rejoindre les tavernes bondées, de marins ivres et assoiffés. Au fond d’une taverne sur une table, se signait un marché équitable Entre un pirate et un notable, au visage riche et affable. Un coffre d’or contre une carte, et un compas que rien n’écarte D’une route de richesse pavée, et d’un trésor d’or saturé Approchez vous, venez voir ! Car je vais vous conter l’histoire D’un pirate des plus noir, qu’au fin fond sa fortune fît choir. À la recherche de trésors, avait un jour quittez son port Le navire chargé de merveilles, de vivres d’armes et de bouteilles. Sur la route de tout les dangers, sans prendre la peine de s’effrayer Il s’engagea sans hésiter, à la pensé du bien prisé. À travers les vagues rugissantes, de la tempête encore naissante Il avançait tant bien que mal, pour rejoindre une île peu banale. Lorsque la vigie cria “TERRE”, se qu’ils virent les stupéfièrent Recouverte d’or toute entière, l’île brillait d’une chaude lumière. Sans avoir la main légère, tout le bateau ils replissèrent Vidant alcool et boustifaille, pour pouvoir entasser la maille. Approchez vous, venez voir ! Car je vais vous conter l’histoire D’un pirate des plus noir, qu’au fin fond sa fortune fît choir. À la recherche de trésors, avait un jour quittez son port Le navire chargé de merveilles, de vivres d’armes et de bouteilles. Le navire emplit de richesse, ils repartirent dans l'allégresse L’esprit occupé par l’ivresse, d’avoir trouvé cette forteresse. Ils ne virent pas que le bateau, s’enfonçait peu à peu dans l’eau Coulant sous le poids de cet or, qu’ils voulaient ramener à bon port. Fondant lentement dans la masse, ils disparurent de la surface La mer effaçant toutes traces, pour les punir de leur audace. Jamais personne ne retrouva, la trace de ce pirate la Mais si un île d’or vous croisez, passez votre chemin et partez ! Les pirates, qui c’étaient arrêtés dans leurs besognes pour m’écouter manifestèrent leur joie dans un éclat de rires et de cris. J'apercevais de ci de la des bouteilles de rhum qui circulaient de mains en mains. Le capitaine s’approcha de moi : “J’accepte ton offre, tu es désormais sous mes ordres. Embarques !” >> Test RP Voila deux ans que je m’étais invité dans l’équipage des Red Foxes, deux ans de pure liberté que j’avais mis à profit pour perfectionner mon art. Bien sûr la vie n’avait pas été simple tout les jours, devoir jouer pour les mêmes personnes durant deux années force la créativité et l’improvisation. J’avais à n’en pas douter tiré de cette expérience toutes les leçons qu’elle avait à offrir. J'avais acquis la certitude que la vie de pirate était faite pour moi, même si elle était bien loin de la vie luxueuse à la quelle je m'étais habitué. Notre navire voguait depuis plusieurs jours déjà au large du royaume de Bliss, profitant des allez et venus de nombreux bateau pour s'enrichir un peu. La nuit était tombée depuis plusieurs heures déjà sur l’océan calme, la lune ronde jetait sa lumière laiteuse qui se reflétait sur la surface ondulée de l’eau. Un bruit sourd brisa soudain le silence intense de la nuit, un coup de canon. Une partie du pont vola en éclat, projetant des fragments de bois dans toutes les directions, deux matelots s’envolèrent pour atterrir quelques mètres plus loin. Déjà les cris des matelots s'élevaient, couvert par le flot d'ordres qu'hurlait le capitaine à ses pirates. Bien vite un autre coup fût tiré, provocant de nouveaux dommages au navire. La coque cette fois fût atteinte, la brèche formée laissait déjà s’infiltrer des torrents d’eau. Le bateau ennemi apparu soudain, semblant sortir des ténèbres, nul ne l’avait vu venir. Un trois mâts flambant neuf presque deux fois supérieur en longueur à notre navire et qui le faisait passer pour une coque de noix Le temps de se mettre en position de tire, notre navire avait reçu deux nouveaux boulets dans le flan. Les voies d’eau étaient maintenant irréparables, le bateau commençait déjà à sombrer dans la mer recouverte d’éclats de bois et de corps. Quelques coups furent tirés en guise de représailles mais sans succès. Je vis tout à coup le mât principale s’effondrer sous le choc du fer encore chaud d'un boulet projeté à pleine vitesse, le chaos semblait régner sur le pont, un feu s’était déclaré en différents foyers et semait la panique. Un autre boulet faucha net le capitaine, projetant son corps inerte à la mer et interrompant les instructions avisées de ce dernier. Il n’y avait plus qu’un solution pour moi, je saisi mon violon et me jetais à la mer sans hésiter. Étourdis par le choc, j’attrapais tant bien que mal l’un des fragments de bateau et m’y agrippais de toute la force de mes bras. Il est de ces jours ou l’on préférerait être rester à l’auberge plutôt que d’avoir pris la mer. La navire en flamme éclairait la surface de l'océan en désordre comme une torche immense. Des hurlements, surement de camarades brulés vif, s'échappait encore de l'épave. Je commençai à m'éloigner pour m'assurer de ne pas être attrapé par l'ennemi. Trois heures durant, je dérivais au grès des courants, je voyais au loin la fumée s’échapper du lieu du naufrage. Épuisé par les évènements, je sombrais dans un sommeil profond. J’ignore combien de temps je restai ainsi allongé, mais lorsque je repris connaissance, je gisais toujours sur mon radeau de fortune. Étrangement lorsque l’on se trouve au milieu de cette immense étendue d’eau, c’est la soif qui vous accable le plus. Le soleil rouge, qui avait remplacé la lune, m’envoyait ses rayons brûlants, me plongeant dans un état léthargique. Par un quelconque miracle, j’avais maintenu serré la main qui agrippait la chose qui m’était la plus chère, mon violon. J’employais mes dernières forces pour me hisser sur mon radeau improvisé et me mis à jouer machinalement. La soif, la faim et la chaleur m’accablaient toujours plus, mais je continuai à jouer, c’était l’unique chose qui me maintenait en vie. Je finis fatalement par m'évanouir et je sombrai à nouveau dans les ténèbres. Je dormis d'un sommeil agité de cauchemars probablement provoqués par la chaleur, la soif et la faim. Soudain on me sort de ma torpeur, des mains m’attrapent, me bousculent. On me hisse. “Hey mon gars tu m’entends ?” En guise de réponse un grognement s'échappe de ma bouche. Je reprends lentement mes esprits mais tout est flou autour de moi. J'aperçois la silhouette rose d'un visage qui me surplombe. “T’as eu une sacrée chance mon gars, un peu plus et je te repêchais plus mort que vif. Tu peux remercier les poissons haha.” Ma vue revient petit à petit, je me trouve sur un voilier de bonne taille, un bateau de pêcheur je crois. Au dessus de moi, un matelot bien bâtis m’observe, son gros visage barbu recouvert d'un large sourire. La surprise passée, je me rappel qu'une soif inextinguible m'assaille. “De..de l’eau.” L'homme me tend un gourde que je bois avidement jusqu'à la dernière goutte. Il me donne également une assiette remplie de poissons grillés, j'apprécie le repas comme si il était le meilleur des mets. Je remercie mon hôte du regard, trop occupé à manger pour parler. "Comment es tu arrivé là ?" "Notre bateau a été attaqué par des pirates, j'ai réussis à sauter à la mer avant qu'il ne me capture. Sans vous je ne serais plus la, merci." "Pas de problème mon gars. Sa ne te gène pas de rester sur le bateau jusqu'à ce soir, j'aimerais bien finir ma journée." "Non, je vais vous aider." "Tu ferais mieux de dormir ! Haha, tu ne tiens même pas debout. Je te déposerai ce soir dans le port, tu y trouvera une auberge."

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Informations IRL

Prénom : Félix

Age : 20

Aime : Le RP (sisi je vous jure) et le cirque et les gens qui ont un humour de merde aussi

N'aime pas : Les cours magistraux d’algorithmique (c’est hautement rébarbatif) et heu ba...

Personnage préféré de One Piece : Brook !

Caractère : Toujours de bonne humeur, très très fort en blagues pourris quand je suis fatigué, jamais mécontent et voila voila

Fais du RP depuis : Oula, depuis mon adolescence (5-6 ans quoi) mais par période : )

Disponibilité : entre 3 et 5 je pense !

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Salut Haiko, voila ton test RP,

La mer est ton amie, mais elle peut te tuer. Que ce soit à la suite d'un naufrage ou abandonné par tes compagnons d'infortunes tu te retrouves un jour coincé sur un bout de bois à la dérive sur l'océan. Raconte nous comment tu t'en es sorti. Tu as évidemment le choix du radeau, des circonstances et de tes éventuels compagnons.

Bye, Red

Voila, j'ai terminé le test ! Pas facile, il ne se passe pas grand chose sur une planche au milieu de l'océan ^^.

Bonjour et bienvenue ^^
Avant tout commentaire il va falloir étoffer tes descriptions, c'est trop court pour le moment ;)
Bonne chance !!

Voila j'ai rajouté quelques lignes, mais, et loin de moi l'idée d'être partisan du moindre effort, je pense que ces textes, même courts, en dise long sur le personnage. Je comprendrai si tu(vous) juge(z) que c'est encore trop court mais j'ai peur de perdre de la qualité au dépend de la quantité !
Bonne lecture en tout cas ! (j'ai également modifié un poil la fin de la biographie m'étant aperçu que les intentions de mon personnage étaient mal perçues)

Bonjour à tous !
Petit message pour prévenir que la pres va être modifiée, je trouve se personnage trop bateau et trop cliché et surtout pas assez fun !
Je fais au plus vite (tout en prenant mon temps) pour mettre une nouvelle pres !
Merci de votre compréhension.

Ok ok, donne-nous des nouvelles régulièrement ;)

Salut !
J'avance lentement mais surement, je finis la bio demain et j'attaque le test rp dans la foulé !

Bonne journée à vous !

OK c'est noté, bonne chance

Bonjour/soir, voila ma présentation est (enfin) terminée, bonne lecture !

Merci de votre future réponse (positive) !

Salut,

merci pour ce premier avis ! Désolé pour les fautes (j'en ai déjà retiré une bonne vingtaine à la relecture ^^) ce n'est pas mon point fort.
Oui le texte de la chanson est de moi (il vous plait ?) j'ai eu du mal.
Pour le rp désolé j'ai eu un peu de mal avec ce sujet, mais bon pas grave ^^ !

Bonne journée !

Ah oui il me plaît beaucoup

Salut l'artiste !

Et voilà ton deuxieme avis.

On commence direct par les descriptions :

Un point forme tout d'abord avec une phrase qui m'a fait mal ;
 Des cris (pour la plupart féminins) roetentissent, couvrant la vix du pauvre employer

Autrement on cerne les points les plus importants de ton personnage grâce à cette présentation originale et c'est tant mieux. Le seul soucis que je note c'est que tu décris ton personnage comme une célébrité. Or ton perso est un inconnu au départ, c'est marqué quelque part dans le règlement.

Histoire :

La partie 1 est sympa. On dirait une biographie d'artiste que l'on trouve dans certaines revues musicales ou sites spécialisés. C'est bien écris, quoi qu'un peu trop synthétique mais tout de même sympa. Quelques fautes traînent et gâchent un peu le tout mais la prochaine fois tu enlèveras ça avec une meilleure relecture ahah.

Le problème arrive avec la partie II qui se transforment en test rp en quelque sorte. Un peu trop de dialogue à mon goût. Et puis je n'ai pas compris le changement de personne de narration :

Tu passes du « Le jeune homme «  à un « je » qui fait plutôt tiquer.

Ensuite dernier soucis, tu oublies complètement deux ans de la vie de ton perso. Et ça c'est un peu moche. On aurait aimé savoir comment se passe sa vie de pirate. Même si tu le fais dans le test rp c'aurait déjà dû être fait dans la bio.

Test rp :

De jolies descriptions au passé que j'ai bien aimé. Encore une fois un peu synthétique quand même. Là on a l'impression que la bataille dure trente seconde m'enfin le scénario est très simple, mais efficace. Tu bascules au présent à la fin du récit je ne sais pas si c'est très français mais ça ne m'a pas fait tant tiquer que ça.



Au final tu nous sors un personnage sympathique. Tu écris bien et tu as une jolie plume. Tu nous sors un personnage original de par son métier mais pour moi sa personnalité est encore à améliorer. Je te conseille de lui créer un ou deux défauts, une ou deux caractéristiques sortant de l'ordinaire histoire de lui donner un peu plus de reliefs. Ça c'est le conseil de papi Sergueï mais ce n'est que ma vision.

Sur ce, profite bien de mes 700 D.

Salut Haito, derniére voix pour toi

Bon, pas grand chose à dire de plus que mes deux prédécesseurs. La description physique est une très bonne idée. J'aime moins la psy dont je ne trouve pas les questions assez percutantes. Tu aurais pu approfondir plus à mon avis.

La bio reste assez classique, sobre et sympa.

Et le test RP s'il est bien écrit et plutôt agréable à lire m'a un peu déçu au niveau de la survie en mer. Finalement on a l'impression que c'est relativement court et que tu ne souffres pas tant que ça de ton passage sur le bout de bois. J'avoue que je m'attendais à quelque chose de plus dur. Mais bon...

Au bilan je suis d'accord avec Serguei. 700 dorikis pour moi.

Ce qui devrait te valider à 750.

Bye, Red

Validé !
Donc je déplace.