La Reine des Masques [En attente de validation]

Je suis désolé mais il m'est difficile de trouver des images correspondantes aux physiques. Mais vu que mon PJ se maquille et prend soin de changer son apparence, il est clairement possible de changer de couleur de cheveux etc... C'est au niveau des habits que j'ai peiné...

Aoi D. Nakajima

Identité n°1 - Acquise dès sa naissance (Vraie). De 1584 à 1591: Nom: Inconnu. Prénom: Aoi. Âge: 41 ans. Identité n°2 - Acquise de son tuteur (Fausse). De 1591 à 1603: Nom: D. Fujitsu. Prénom: Aoi. Âge: 36 ans. Identité n°3 - Acquise de son mariage avec Akio D. Nakajima (Fausse). De 1603 à nos jours: Nom: D. Nakajima. Prénom: Aoi. Âge: 39 ans. Pseudonymes ou autres surnoms. Pseudonyme selon les habitants du royaume d'Alabasta: La Reine des Masques. Pseudonyme selon ses propres termes: Hathor. Sexe: Femme. Race: Humain. Rang: "La Reine des Masques". Fruit du démon: Toujours en recherche :/ . Haki: Aucun.

Professions.
Comédienne: Apprentissage dès sa jeunesse par son tuteur Iwao D. Fujitsu et le professeur de théâtre Miyazaki Watanabe. Peu à peu elle n'exécutera plus ce métier.

Groupe: Capitaine Pirate si possible, sinon Pirate  
Équipage:
Les Chacals de la Morts. (Capitaine).

But:
- Etre connue dans le monde entier pour ne pas être connue.
- Profiter de la vie et surtout celles des autres, une vrai opportunistes!
- Ramasser le plus d'argent possible pour sa pomme.

Équipements.
Armements et accessoires.
Armes.
- Gunblade à 6 coups
- Pour faire des meurtres plus discret elle utilisa des méthodes très diverses et variées. Ce que veux dire qu'elle pourrait avoir un couteau un jour et le lendemain un revolver ou du poison...

Sacoche en cuir:
- Livre à double fond.
- Deux fioles vides.
- Trois fumigènes (Poudre noir pour s’enfuir).
- Des barillets pour sa gunblade.
- Divers accessoires de cambriolage.
- Un appareil de photographie à l’apparence d'une montre.

Mallette:

Codes du règlement:


Parrain:

Sören Hurlevent et Seido D. Noroma.



De silhouette et de proportion normale, Aoi D. Nakajima possède une beauté qui jalouse de nombreux hommes. Elle se lava et se dirigea vers la petite commode de sa salle de bain pour se faire une toilette au niveau de visage et profiter pour se refaire une coiffure. Enfin, un peu de maquillage sur le museau et de la poudre sur les joues et elle était prête. Du moins, presque. Laissons-la arranger sa magnifique chevelure d'argent assez lumineuse qui est très soignée.

Elle sifflote face à son miroir: - Oh là-là, je devrais remettre mes cheveux en états, moi. Au moins, ils sont déjà lisses. Ah, j'ai une chance pour posséder cette jolie chevelure d'un blanc resplendissant. Je suis sûr qu'on pourrait s'y voir dedans. Oh, mais qu'est-ce que j'ai au visage? Un grain de beauté? Pff, ce n'est rien. Mon doux et gracieux teins clairs suffit à faire de moi une déesse d'une beauté aussi remarquable. Je les dégage de ma face pour les faire tomber à hauteur de ma taille sur mon dos. Mon magnifique visage est radieusement bien proportionné. Mon nez est fin. Aller, je passe aux yeux maintenant. Je vais me mettre des lentilles bleus-gris pour recouvrir leur vraie couleur d’un marron presque rouge éclatant. Ah! Ne pas oublier le rouge à lèvre. Ma bouche si pulpeuse… on voudrait y mettre nos lèvres. J'en voudrais presque la croquer à pleine dent.

Ensuite la femme retourna dans sa chambre avec un grand sourire. Elle était joyeuse en cette matinée. Elle ouvra donc son armoire.

En regardant sa garde-robe: - Alors, que vais-je mettre ce matin. Voyons voir... Hmm, peut-être ce magnifique ensemble? Ah non, je sais. Je vais prendre ce prêt à porter. Ah qu'est-ce que je suis belle. Bon finalement, c'est décidé. Je vais m'habiller avec cette jolie tenue. Eh? Mais je ne me souvenais pas qu'il y avait cette étiquette où il y avait marqué ma taille. Je ris. 1m68... Eh, eh, eh. Ça ne change rien de toute manière. Ce petit décolleté assez large, l'air provocateur donnera une certaine façon de me faire remarquer. Ahah-ah. Cela me va à ravi. J'adore me voir ainsi. Quant à mes bras, je ne change pas. Je les couvre avec mes gants en cuire. Bon ce n'est pas tout, il me faut de quoi recouvrir mon bas. Et ce pantalon? Non, non, non. Celui-là est parfait. Un simple jean bleu-gris? Oh non, trop masculin. Habituellement je préfère les jupes relativement courtes qui me vont jusqu'aux genoux. Hop! Tiens, j'ai maigris? Bah, ça doit être mes 57kg tout mouillés qui doivent me jouer un tour. Hihi-hi. Les hommes seront sous mon charme en voyant mon nombril percé de ce si joli piercing. Ce n'est pas tout, je ne sortirais pas comme ça. Il fait doux dehors. Hmm, disons ce grand manteau en peau de bête et de velours. Ahhh, faut pas partir sans se chausser... Généralement, j'aime laisser la douceur de mes jambes nues et marcher toujours avec mes grandes bottes de voyage en cuire. Maintenant, allons au boulot...

Eh oui, Hathor est une femme mature de nature très belle, une vraie Aphrodite qui vous sera fatale si vous ne la connaissiez suffisamment pas. D’ailleurs, elle s’arrangera toujours pour que vous ne la connaissez définitivement pas. Elle quitta sa chambre sans oublier bien sûr ses fidèles compagnons. D'abord, son corbeau du nom d'Isis qui vole souvent de manière à ne pas être vu des autres. Enfin, sa gunblade qu'elle range à sa taille au niveau de son flanc gauche grâce à un fourreau spécial. Elle ouvrit la porte de la salle et empoigna sa sacoche de cuire qu'elle épaula à sa droite et prit un chapeau ayant une fleur assortit à sa tenue vestimentaire. Pour ce qui est de la démarche, dans ce cas échéant, elle a le plaisir d'user de son arme de manière à la présenter comme une canne. Un peu comme un gentleman...



Hathor, fumait la pipe dans son grand fauteuil de cuire et de lin. Ses coussins lui modelaient un meilleur confort à son fessier. Dans la pénombre, elle pensa à voix haute:

- Ahahah-ha. Nul ne connaitra réellement qui je suis. Dans la peau de cette identité montée de toute pièce, je suis une civile aristocrate veuve aux yeux du monde. La populace croit que je suis une mère douce et très câline. Que je serais une femme instruite ayant l'amour pour ses proches. Une véritable maman. Un enfant de coeur, quoi. J'aime jouer cette comédie de la femme capable d'être compassent, aimant, à l'écoute et toujours prêt à donner. Je mens tellement bien que leurs cerveaux chétifs ne voient que du feu. Les gens me trouvent un peu calculateur et anticipant.

Madame D. Nakajima prit une pause avant de replonger dans son esprit:

- En réalité, je suis toute autre. Je suis ingrat, je considère qu'on me doit beaucoup. Je me moque de la politesse et de bonne foi. J'aime jouer l'avare, c'est quand même ce qui se rapproche de ma véritable identité. Je suis méprisante envers les gens et je ne rends jamais service. Je cours après l'argent, naturellement... Et quelques femmes, parfois. Je me félicite d'être aussi égoïste que moi-même. Ahah, j'agis toujours pour ma pomme. Je suis sans scrupule et malicieuse. Enfin, je n'ai pas peur de la mort.

Miyako Satô

Identité n°4 - Acquise pour Cipher Pol (Fausse). De 1605 à nos à jours: Nom: Satô. Prénom: Miyako Âge: 38 ans. Pseudonymes ou autres surnoms. Pseudonyme: Aucun. Équipements. Armements et accessoires. Armes. - Voir l'arme d'Aoi D. Nakajima. Sacoche en cuir: - Un fumigène (Poudre noir pour s’enfuir). - Des barillets pour sa gunblade. Professions. Membre du Cipher Pol 5: Espionne pour le Gouvernement, en particulier dans le renseignement et la chasse aux pirates/révolutionnaires.

Voir la description d'Aoi D. Nakajima.



Hathor joue une fois la comédie. Elle laisse croire qu'elle est une solitaire, ne répondant qu'à l'appel de la justice. Elle simule qu'elle agit pour la bonne cause et donne l'impression d'être une protectrice. La femme est parfois mystérieuse. Elle n'aime pas les autres et elle le montre. Elle préfère carrément faire ses missions en solo. Elle peut devenir aussi très méprisante des fois. Sa distance avec les gens fait d'elle une femme qu'on se méfie. Elle change souvent d'adresse lorsqu'elle est sur le terrain. Elle se donne malgré tout un sombre caractère. Drôle de manière pour elle quelqu'un qui s’efforce d'accomplir le bien. Il est très difficile de cernait ses sentiments. D’ailleurs en jouant Miyako elle refuse de toucher un seul homme! Du moins, elle le fait croire. Des traits bien au fond de son âme jaillissent en surface avec cette identité comme être autoritaire, regarder les gens de haut et tenir tête. Un peu têtu quoi. Enfin, elle parlera très peu quel que soit son interlocuteur...

Rei Kimura en 1616

Identité n°5 - Acquise pour la piraterie (Fausse). De 1616 à nos à jours: Nom: Kimura. Prénom: Rei. Âge: 40 ans. Pseudonymes ou autres surnoms. Pseudonyme selon la populace de tout les Blues: Rei, la sanguinaire. Pseudonyme selon ses propres termes: Hathor. Professions. Proxénète: Elle a monté un bordel à Logue Town. Toutefois, elle s'en occupe rarement. Équipements. Armements et accessoires. Armes. - Gunblade à 12 coups du nom de Doragon no iki - Pistolet Combo "Apache" - Une lame de la longueur de l'avant bras dissimulée et ré-tractable grâce à un mécanise relié à une détente à la même main.

Sacoche en cuir:
- Voir les accessoires d'Aoi D. Nakajima.
- Un Eternal Pos pour Alabastia volé à Iwao lors sa fugue (Si possible. De toute manière, faudra que je me procure un Log Pos pour Grande Line ).

Gantelets de fauconnier en fer recouvert de cuir:
Celui de gauche se prolonge le long de l’avant bras. Elle s’en sert pour appeler son corbeau nommée Isis et parfois pour se protéger des coups. En effet, il y a une plaque de fer enduit sous le tissu, pratique pour les parades. Dans sa manche gauche, Hathor dissimule une arme blanche de la longueur de son avant-bras avec lequel elle actionne un mécanisme pour que sa lame sorte le long de son membre inférieur situé au niveau de la paume de sa main gauche.

Grandes bottes de voyage à double fond.

Style de combat:
Sous l’identité de Rei Kimura, Hathor a adoptée un style de combat relativement lent dans certaine occasion. Elle est tellement sûr d'elle qu'elle n'a pas froid aux yeux face aux nombreux dangers qu'il peut y avoir autour d'elle. Elle utilisera toujours en priorité sa gunblade d'abord comme une épée mais par moment où elle en estime le besoin comme un fusil. Étant une arme assez lourde, elle avance doucement face à son adversaire pour asséner juste un coup violent. En cas d'un trop grand nombre d'assaillants, elle utilisera sa lame de sa manche gauche. Et si elle doit se rendre, on aura toujours le droit à la fumigène en dernier recourt. Quelle lâche...



Rei Kimura empoignait de sa main gauche le cou d'un homme blessé à mort. Elle le regarda, puis commença à se décrire.

Jouant la femme méprisante: - Ahaha-ha ah. Misérable, ne sais-tu donc pas qui je suis?! Tâche de t'en souvenir! Tu ne verras qu'une comme moi. Les horreurs du feu et du sang se reflètent dans mon style d'accoutrement. Mon manteau en fourrure sera toujours l'expression de ma colère. Je porte systématiquement une magnifique robe aussi rouge-sang que mes yeux. À cela, j'ajoute un haut richement travaillé, laissant aux petits curieux pas malin de voir ma poitrine. Tututu! Obessédé! Je marche fièrement sous le bombardement et les tires de mes assaillants vers mes victimes avec mes grandes bottines fétiches. Elles sont faites en cuire noire qui luisent à la lueur de l'incendie que j'aurais provoquée. Pour finir cette description, tu me verras souvent dans les tintes pourpres. Mes cheveux sont soignessement colorées d'un rouge vif, voir marron si je suis un peu plus calme. Et parfois, les survivants auront peut-être la chance de me voir sous un jour plus serin avec ma chevelure naturellement argentée lisse et brillante qui me tombe dans mon dos au niveau de la chute des reins.

La femme menaçante et prête à frapper son otage. Elle lui déclara après une petite pause. Elle le fixa de nouveau, puis lui dit dans un sourire mesquin:

- Ce que je viens de te dire concernait plus ma tenue vestimentaire... Maintenant, écoute attentivement. Il est très rare que je décris mon physique, surtout pour une personne qui serait susceptible d'être relâchée. J'ai un sombre visage qui marque les esprits. Mon regard noir, donne de la frayeur à mes adversaires. Je n'ai pas de ride car j'ai la peau d'une déesse! Je suis belle et je le proclame. Des comme moi, tu n'en verras pas deux. Bon, on ne dirait pas mais j'ai l'épiderme extrêmement doux. Mes bras et jambes son lissent. À propos de mes membres inférieurs hauts, je les habits délicatement de mes canon d'avant-bras de cuire. Je porte un peircing au nombril. Je mesure relativement d'une taille moyenne et mon poids et plutôt bien proportionné. Cela t'importe peu, je sais! Mais je dis ce que je veux, cloporte! Enfin, je me coiffe d'un magnifique diadème dont le rubis central signifie ma toute puissance! Mouahahahah!!

Hathor, lâcha sa prise. Le pauvre homme tomba à genoux autour des décombres. Les flammes faisaient rage à proximités. Elle lui tourna les talons, le laissant sur le tas et lança sa dernière réplique après un rire démoniaque:

- J'en ai fini de toi. Je ne m'amuse plus. Observe désormais mes pas car se sera la dernière chose qui te restera dans le crâne! Ahahah. J'ai une démarche sûr, j'avance lentement. Tiens, regarde ton compagnon fou qui s'élance naïvement vers moi. Je marche avec fierté dans la gloire et l'assurance. C'est avec un tel déplacement que j'assène mes meilleurs coups. Ahah. J'aime voir la souffrance luire dans vos yeux. Je les entends déjà me supplier. Au fait, ton ami est mort. Quel pauvre diable...

C'est ainsi qu'elle s'en alla. Le feu dansant dans les ruines qui signaient son massacre. Sa présence influait la crainte et la peur des villageois. Après ces dernières paroles, l'homme amoché n'entendit plus que son rire satanique raisonner dans la nuit... Elle quitta les lieux du carnage et se dirigea vers son navire dans l'obscurité. Elle marchait aussi aisément le soir que le jour. Et oui, elle est nyctalope.



- Pour moi, quand je dis je t'aime, cela signifie "je veux". À propos, lorsque j'ai décidé une chose, il vaut mieux pour vous de ne pas me faire obstacle! Je prends généralement tout le monde de haut et je ne supporte pas d'être contredit. J'ai horreur d'être interrompue. Je m'arrange toujours pour avoir un coup d'avance sur mes ennemies. Ahah, je suis une manipulatrice, une démoniaque opportuniste. Si je devais mettre une échelle de l'espèce humaine, je mettrais mon auguste personne au sommet évidemment, ensuite mes semblables s'ils existent, et le reste tout en bas, voir inexistant. Tiens, ça me fait penser que que je suis encore plus égoïste avec Rei. Je suis un bourreau qui aime la souffrance et la douleur. Je suis... comment appelle-t-on ce type d'individu déjà? Ah oui! Un sado-masochisme... enfin... une sadique, quoi. Je suis autoritaire et je m'assois sur ma puissance. Je fonce avec assurance. Je n'ai absolument pas peur de la mort, ni des autres pirates adversaires ou des différentes organisations du Gouvernement. Je ne suis pas pour rien Rei Kimura dite la sanguinaire. Quand j'y pense, j'aime ce pseudonyme choisi par les faibles. Ahah. Je fais la dure.

* Je fais expres de mettre seulement la description physique d'Aoi D. Nakajima et de Rei Kimura car celle de Miyako Satô est très proche de celle d'Aoi.
* Cependant, la Reine des Masques marque bien la frontière au niveau des traits de carractères entre Aoi D. Nakajima,  Miyako Satô et Rei Kimura.








Je ne sais pas d'où je viens, ni de qui j'étais autrefois mais une chose est sûr, je sais pleinement où je vais et qui je suis.

J'avais 5ans quand tout a commencé. Je me souviens encore malgré mon jeune âge, de l'homme que j'appelle père. J'étais orpheline, et je mendiais comme je le pouvais pour survivre dans ce monde. Je me demande encore aujourd'hui comment je faisais pour vivre avec mon état à cette époque... Quoi qu'il en soit, Iwao D. Futjisu fut le seul qui eut pitié de ma misérable condition. C'est pourquoi, je lui dois tant. Est-ce d'abord mes magnifiques cheveux couleur d'argent qui l'attira vers moi ou justement ma pauvre personne?

Cela me fut expliqué relativement tôt. En réalité, il n'avait pas d'enfant pour relayer son entreprise de criminelle. Durent mon enfance, il m'enseigna l'écriture, l'histoire, les mathématiques ainsi que les sciences. J'étudiais déjà intensément pour ma petite tête. Parfois, je craquais sous le poids immense de ce que cela représentait mais maintenant, je ne le regrette pas. Bien au contraire, cela portait des fruits en moi. Et grâce à ces savoirs, j'ai pu me faire une grande place dans ce monde... En plus de ces études, j'apprenais fortement et plus en particulier l'art du théâtre avec l'aide de son ami Miyazaki Watanabe. C'était important pour mon père. Je suis contente de l'avoir fait pour lui rendre heureux. En réalité, c'était pour m'accomplir d'une destiné sécurisé. D'abord pour sa personne mais aussi pour moi. je ne lui en voulais pas. Grâce à la comédie, j'ai pu monter les échelons de la vie pour devenir ce que je suis actuellement. Une parfaite assassine, cambrioleuse et espionne! Oui, en me forgent des personnalités diverses, je trompais le Gouvernement, comme mes ennemis pirates ou encore les organisations que j'infiltrais aisément.

Deux ans après m'avoir recueilli dans sa demeure, mon tuteur appela un maitre d'arme du nom de Ryo Itâ pour m'enseigner secrètement un peu d'art martiaux, le maniement de l'épée et du sabre. Mais surtout, mon professeur de théâtre fit de moi une professionnelle dans de ce qui est le pick-pocket, les assassinas discrets et l'habilitée d'un déplacement furtif. Je m’entraînais sur des mannequins et c'est seulement à 14ans que j'effectuais mon premier meurtre. Quant à mon père, celui-ci m'apprenait comment tenir des discours et faire de moi une vraie tribun capable de soudoyer les informations de mes ennemies. Je pouvais alors tenir plusieurs types de discours et parler aisément à n'importe qui. Une bonne oratrice! Mais cela, il le fit qu'à mes 15ans. C'est ainsi que le début de mon adolescence commença.

Entre mes 15ans et mes 18ans, j'augmentais mes connaissances et mes performances de manière spectaculaire. La volontaire de mon père se réalisait. Je devenais son outil, son bouclier. J'avais mes spécialités. Je volais, renseignais et parfois tuais pour le réseau d'Iwao dans tout Alabasta. Dans ces périodes, j'apprenais seule à devancer quiconque. Mais là, c'était une autre paire de manche. C'étais un peu plus difficile au début jusqu'à être une pro.

Ainsi, je m'habituais à cette ambiance, ces actes criminelles. Mon cœur s'endurcissait au fur et à mesure que je grandissais. Ce quotidien ne me déplaisait pas. Bien au contraire, tant qu'il y avait de l'argent à la clef, ces pratiques ne me faisaient ni chaud, ni froid...

Parallèlement, je devenais célèbre dans la ville grâce à ma pièce de théâtre ayant pour titre "La déesse Hathor". J'avais évidemment le premier rôle où je jouais cette même personne. J'avais déjà interprété d'autres pièces auparavant et toujours dans le succès mais celle-ci fut la plus marquante pour tout le monde. La population me surnommait la Reine des Masques et moi Hathor...

Bien sûr, je n'avais guère d'ami de mon âge. Je côtoyais principalement des adultes sans foi, ni loi. En fait, je devenais membre malgré moi au réseau anonyme de mon père. Je réalisais avant tout leurs desseins. Mais moi, ce qu'il m'importait à cette histoire, c'était d'être aussi libre que l'air, d'aller où bon me semblera comme le vent et surtout rapporter de la tune pour mon auguste personne.

C'est alors, que je quittai le parti sans un mot. Je décidais de faire ma vie sur les Blues pour commencer et peut-être un jour revoir mon île natale. Qui sait? J'étais consciente du danger, les risques que je pouvais endurer. J'avais de fortes chances pour que les hommes de main d'Iwao m'éliminent suite à mon départ, car étant membre à l'organisation ils avaient peur que je les dénonce. Tout est possible. Mais vu que je ne laissais pas de trace, il leur était difficile pour eux. J'avais toujours un coup d'avance. J'étais plus rusée qu'eux.

J'arrivai alors dans un premier temps à Logue Town où je décidai de forger une nouvelle identité, une nouvelle personnalité. Et pour ce fait, je jouais la comédie. Je profitai aussi pour travailler à mi-temps au théâtre ou l'opéra.

Et bien sûr, dans la branche où j'avais le plus de tallant, je cherchais des clients anonymes et des organisations pour me faire de l'argent. Je pouvais bosser pour une personne un jour, puis, un autre le lendemain. Il m'arrivait aussi que les services que je rendais donner lieu à tuer un homme dont j'avais agit pour lui la veille, etc. J'offrais mes services pour ceux qui avait besoin que je vole ou tue quelqu'un discrètement.

Un jour, pour le compte d'un inconnu je devais récupérer des lettres de marques. Ce fut une chose très délicate et lente. D'abord, je fis tomber sous mon charme la cible. Pour qu'il gagne peu à peu ma confiance pour enfin finir ma mission en beauté. Je fréquentais de plus en plus cet homme dans le seul but de menais à bien mon devoir et ainsi donc, récupérer son héritage mais aussi un nouveau nom. Oui, on s'était marié, mais dans le cadre du travail bien évidement. Je ne l'aimais pas du tout. Ce n'était qu'un jeu pour moi. Depuis, je porte pour toujours le nom de ses ancêtres: D. Nakajima. Cela m’arrangeait. Je  créai une autre Aoi.



En tournant autour de lui, je n'ai pas su maitriser certaine chose. En particulier, lorsque je tombai enceinte. Au début, je ne voulais pas de l'enfant mais finalement, je décidai de le garder dans le seul but de me protéger. Oui, je suis sadique. Entre temps, mon client me demanda d'assassinée mon propre marie. Ça tombait bien, je n'avais plus rien à faire avec lui et je lui avais dérodée ses lettres. La grossesse me servi de leçon.

Bien sûr, à cause de mon état j'ai dû stopper provisoirement mes activités. À la fin de mes 9mois, je fus agréablement surpris. J'accouchai donc dans mon appartement uniquement en compagnie de Rose, ma servante, pour garder les gamins secrets. Je mis au monde deux beaux bébés. Un petit garçon que je nommai Ichimaru et une petite fille que j'appelai Yumi. J’utilisai cette dernière pour m'offrir plus tard une protection.

À cela s'ajoutait mon engagement dans le Cipher Pol 5. Il m'était assez difficile de m’engager. Je perdis d’ailleurs 2 minables années à faire des CV... Quelle déception! Enfin, je m'indentifia comme étant Miyako Satô. Encore une autre personnalité que j'inventai car avec mon ancienne vie de criminelle, il fallait que joue serré affin qu'on ne me démasque pas. Je suis la Reine des Masques! Je voulais faire bonne figure en faisant croire au Gouvernement que je travaillais pour eux. Ce qui me permettait de tromper la Marine. Mais aussi profiter de cet avantage pour pincer d'autres réseaux de criminelles qui m'était nuisible. Je pouvais donc, découvrir d'autres renseignements de cette manière. Notamment sur certain pirates.

Aux yeux de l'État, j'étais un bon petit pion qui devait s'infiltrer partout. Or, j'agissais seulement au nom de l'argent et cela me permettait de couvrir mes futures agissements. Je commençais donc à faire double jeux en décrivant ce qu'aller faire la Marine pour les pirates et vice versa. En tant que civile, je gagnais mon pain faiblement avec les pièces de théâtre. Bon, le point positive, c'est que je gagnais en popularité. Ahah. Et bien évidemment, j'exécutais toujours les ordres de divers clients masqués à la manière d'un chasseur de prime. Cela me plaisait énormément. La vie, devenait de plus en plus difficile, cela dit. Entre être comédienne, agent du CP5 et faire des crimes je commençais à perdre la faculté de tenir ces activités en même temps...

Quelques années plus tard, il m'était encore de plus en plus impossible de tenir fermement mes rôles variés sans me faire pincer. Mes deux rejetons n'arrangeaient pas la situation. Je regrettais presque par moment de les avoir laissée en vie... Finalement, je me débrouillai pour être en mer. Pour ce fait, je volai un navire et j'assemblai quelques pirates pour aboutir à une nouvelle personnalité: Rei Kimura. C'est la dernière que je forgea. J'abandonna malheureusement mon métier d'origine. Tant pis, c'était le prix à payer mais de toute façon, ça me couter rien. À partir de là, je réalisa pleinement mon petit jeu. En tant que membre du CP5, je faisais semblant de courir après Rei en plus d'autres forbans. Ce qui était drôlement comique. Je me permet de faire un pléonasme pour souligner le ridicule qui me faisait marrer. En plus de me "pourchasser", je cherchais des renseignements sur mes rivaux. Le Gouvernement gagnait mon estime et mes ennemies étaient un peu dépouillés dans un certain sens.

Je vécue longuement ainsi. Je pratiquais de moins en moins ce pourquoi j'étais formée mais je le reportais ce savoir sur ma propre fille. L'État, ignorait que je possédais une adolescente qui était la chaire de ma chaire. Avec elle, je l'enseignais tout ce que j'avais appris de mon père et de ses complices sur mon bateau. Sur l'océan, je pouvais faire vivre Rei Kimura. D'ailleurs, je devenais assez puissante pour répandre la terreur à chaque débarquements si je le voulais. La populace me craignait. C'est là, où j'ai plus le plaisir de faire vire une telle personne...

J'avais rencontré de temps en temps des agents d'Iwao qui m'entraver sur ma route, mais je les avais fais disparaître de ce monde à chaque fois. Je me demandais de temps en temps si je ne devais pas me débarrasser de l'entreprise de mon père... Par contre, j'ouvris ma propre organisation. Un commerce illégale à Logue Town. C'était de la vente de jeune femme pour les forcer à se prostituer. Ainsi, j'étais devenu une proxénète affirmée.

J'avais rencontrée une femme aubergiste assez particulière du nom de Valentina D. Méria. Elle avait toujours eu envie de prendre la mer et de quitter très loin sa ville et son mari qui la battait souvent. Seulement, elle avait sa fille Muchacho sous le bras, elle ne pouvait pas trop être à la foire et au moulin. De plus, elle ne pouvait pas tout quitter du jour au lendemain. Une fois, je lui avais proposé qu'on parte ensemble sur la route de tous les périles!! On s'entendait très bien. Je faisais ce que je pouvais pour la rendre visite aussi souvent que possible...

Rei Kimura en 1624

J'ai maintenant 41 ballais, mes enfants ont 18 piges et je vogue librement sur le profond bleu de l'horizon. J'ai bien rempli ma vie. Sur le continent, je suis toujours Aoi D. Nakajima, la comédienne qui travaille en tant qu'espionne pour Cipher Pol 5. Mais je suis, comment dirais-je? Je me suis arrangée pour que Rei Kimura tue Miyako Satô... Maintenant, mon seul problème, sont les autres pirates, les agents de mon père et la Marine! Le peuple pensent avoir oublié la Rei Kimura? Celle que les gens nommaient la sanguinaire? Pff! Je me suis offert une vie plus tranquille ces derniers temps, certes. Tu vas voir, je vais vite les faire revivre leur mauvaises aventures d'autant. On ne m'ignore pas facilement! Mon retour sera marqué dans l'Histoire, c'est moi qui te le dis. Je réapparais donc toujours sous la même identité de terreur mais avec un look différent. La populace reconnaitra de toute manière mon style. Niveau tête, je me suis faite rousse. Je couvre mes cheveux fraichement coupés à la hauteur des épaules, le tout coiffé d'un magnifique tricorne à plume. En ce qui concerne ma poitrine, beh ça ne change pas. Eh oui, je garde toujours un petit chemisier blanc ouvert sur mon torse. Sinon, en petite touche de décoration, je m'enroule d'un foulard orange à la hanche. Je porte un pantalon beige qui est soutenue par une ceinture de cuire. Il me moule mes cuisse, ça me va comme un gant. Et pour finir, je me suis pris une nouvelle paire de bottes noires. Aoi D. Nakajima

Tu as 16 ans, c'est ton anniversaire et ton père vient de t'inviter au restaurant. Ton cadeau? Un bouquet de fleurs contenant un couteau, et une mission d'assassinat à accomplir immédiatement, ici même, maintenant, ou du moins dés que ton père aura quitté les lieux. Mais la mission est avant tout un test de plus, un piège de plus, non seulement les renseignements que ton père t'as fournis sont faux (points de fuites, gardes...) Mais en plus il a averti ta cible qu'elle allait être attaqué aujourd'hui. Raconte nous ce qui s'est passé, et comment tu t'en est tiré (ou pas) ...

Et voilà, je me retrouvais chaque année devant le même bâtiment. Mon père ne changera jamais ses habitudes. D'ailleurs, s'il souhaitait me faire plaisir c'est raté. Quoi qu'il en soit, il m'attendait à l'intérieur depuis un petit quart d'heure déjà et même s'il fait un quelconque cadeau j'en serais très heureuse.

Après avoir contemplé trente secondes l'insigne de la façade, j'avançai vers l'entrée. Une fois à l'intérieur, deux gardes me fouillèrent. Enfants, femmes et hommes devaient tous sans exception passaient par ce genre de processus pour éviter les meurtre où autres agitassions. Cela nuirait la bonne réputation de cet endroit de luxe. Ce restaurant est très connu aussi bien pour sa grande cuisine que sa richesse décorative. Il y avait de nombreux tableaux et de peinture de plafond de bonne valeur sans compter les bibelots et les divers meubles en bois exotiques. On pouvait dire que certains curieux qui avaient tenté un éventuel vol ou crime furent interceptés immédiatement par les videurs.

Ensuite, je me retrouvais devant la réception et la demoiselle au comptoir m'indiqua la table que mon père avait réservée. En me dirigeant vers cette dernière j'ai vu qu'il était déjà installé. Un homme me proposa que je lui donne mon manteau mais j'y refusai. Malgré mon jeune âge, les citoyens me voyaient déjà comme une adulte. En effet, j'avais une maturité assez avancée et surtout une manière de me comporter complètement différent d'une autre gamine de 16ans. Oui, encore une fois je me mettais au-devant de la scène avec ma présomption. Et attendez de voir la suite.

Je m'approchai de ma place. Mon père se leva pour m'accueillir d'un baisé sur la joue et accompagné d'un fidèle "Joyeux anniversaire ma petite Aoi!". Ensuite, il me fit s'asseoir sur ma chaise pour ensuite regagner la sienne. Il y avait beaucoup de monde. Je parla:

– Excusez mon retard, père. J'ai fait aussi vite que j'ai pu.
– Ce n'est rien, voyons. Ne te fais pas de soucie pour si peu.

Un petit silence se posa. On s'observait. Je fus la première à prendre la parole:

– On ne changera pas nos habitudes, n'est-ce pas? J'aime bien ce restaurant. Je me souviens du premier jour où vous m'avais emmené. J'étais petite à cette époque...
– Moi aussi je m'en rappelle. Le jour de tes 6ans je crois qu'on était à la même table. Et 10ans se sont ensuite écoulés...

Il prit une petite pause et continua.

– Mais pour cette fois ma chérie, notre petite coutume sera très différente. Je vais droit au but. Cela va faire un an et demi que tu travailles pour moi. Je voudrais que tu accomplisses une énième mission, ici et maintenant.
– Ah. Qu'en est-il de ce nouveau devoir?
– Tiens, voici ton cadeau. J'espère qu'elle te plaira. Ce sont tes fleurs préférées.

Je distinguais nettement la lame dissimulée et l'ordre de mission. Je savais d'avance l'objectif à atteindre. Je réfléchissais cinq secondes. Je me demandais si je jouerais l'ignorance ou pas. Oh aller, juste quelque instant histoire de rire un peu. Après tout, c'est mon anniversaire, faut bien que je m'amuse. Je n'allais pas me contenter d'un simple bouquet. Je commençai par me moquer legèrement:

– Oh que c'est très originale. Des lys, des crocus... Je vois aussi des roses et des tulipes. Tiens, il y a même une drôle de plante toute en fer. Ah, elle enroulée d'une feuille pas verte...
– Qu'est-ce que tu fais? Cesse donc de jouer la fillette voyons. Je me suis donné du mal pour faire passer cette lame discrètement.
– Je regarde les différentes espèces...
– Lis plutôt l'ordre de mission. Tu n'as pas entendu ce que je t'ai dis?

Pendant que je lisais dans ma tête ce que je savais déjà, un serveur arriva et nous demanda notre comande:

– Monsieur, dame. Puis-je prendre votre commande?
– Désolé jeune homme, nous n'avons pas encore choisis.
– De toute manière je n'ai pas faim.
– Tu vas bien manger un petit quelque chose tout de même, non? Au moins pour m'accompagner.
– Dans ce cas, je reviens plus tard.
– Vous n'avez qu'à réfléchir à ce que vous allez diner en attendant que je lise.

Je devais tuer un homme qui mangeait une table derrière moi. C'était simple. Il y avait des informations concernant les gardes et les points de fuites. Seulement, je n'avais ni besoin de son stupide couteau, ni d'une porte de secours. Ahah. En réalité, j'avais déjà mené à bien l'opération. Il ne fallait plus qu'être patient. Le temps qu'un serveur lui offre son vin habituelle.

Juste avant de venir, j'avais discrètement fait un tour en cuisine le temps de d'échanger la bouteille de la cible avec une autre semblable, mais rempli d'un poison inodore qui ne perturbe pas la substance de l'alcool.

Plus tôt dans la journée j'avais préalablement espionnée mon propre père. Ainsi, j'avais suivi ce qu'il me préparait. En même temps, je le connaissais suffisamment assez bien pour anticiper ses actions. Il est tellement prévisible... Comme je le dis souvent, il faut toujours avoir un ou deux coups d'avance quelle que soit la personne. Je serai bientôt en mesure de le défier si cela me venait à l'esprit. Ahahah. Je relevai la tête avec le sourire et je vis Iwao prendre la parole:

– Alors Aoi, tu penses pouvoir t'en sortir?
– Bien sûr, je vous avoue que c'est plutôt original d'exécuter un meurtre le jour de sa naissance.
– Certes. Je suis curieux de voir comment tu vas t'y prendre.
– C'est très simple.
– Voyez-vous ça. Puisque tu es si sûr de toi explique.

Le garçon revint et demanda:

– Avez-vous fait votre choix?
– Votre plat du jour, mais sans trop de sauce s'il vous plait. Toujours décidée à ne rien manger, Aoi?
– Oui, père.
– Merci monsieur.

Une fois plus au calme, mon tuteur me rappela sa question. Non pas pour gagner du temps, mais pour le charrier un peu je sortis une cigarette longue et je la portais lentement à la bouche. Ensuite, je l'allumai. Je pris mon temps pour savourer la première lape et je rejetais la fumée vers mon père. Je savais déjà sa réaction. Étonné, il me questionna:

– Tu fumes, maintenant?
– Je vois que cela vous surprend. On a beau vivre sous le même toit, nous ne voyons guère. Ou du moins, vous ne me connaissez pas encore si bien. Pourtant, une décennie c'est amplement suffisant. Et ne pas savoir que je fume est certes un petit détail. Mais sachez que si vous ne savez pas que je fume depuis un an, je ne suis pas étonnée que vous ne sachiez rien d'autre sur moi.
– Que veux-tu me dire? Si tu comptes comploter derrière mon dos tu ne t'en sortiras pas.
– Ce n'est pas ce que j'ai dit. Ce que je veux dire par là, c'est que vous n'êtes pas à l'abri. Même avec votre propre fille. Voyez-vous, tôt ce matin j'ai pénétré dans votre bureau et découverte cette banale mission.
– Si tu sais par avance ce que tu dois faire, qu'est-ce que tu attends?
– Ahahah, vous n'avez toujours pas compris. Je n'ai nullement besoin de me fouler les pouces ce soir, j'ai déjà tuée cet homme.
– Parle plus clairement, je ne te suis pas. La cible continue de manger, il est bel et bien vivant à ce que je vois.

Je pris un petit instant et je continuai. Je lui révélai donc comment j'avais réalisée cette tâche par avance. J'avais le sourire aux lèvres. Je jetai un oeil sur ma montre et j'expliqua:

– C'est très simple. Voyez-vous la cible derière? Dans peu de temps ce dernier suffoquera soudainement après avoir bu par m'égare mon poison dissimulé dans son vin. D'après vous, pourquoi je suis en retard? C'est que je suis passais d'abord discrètement en cuisine pour échanger les bouteilles. Ainsi, le serveur lui versa son vin habituel sans se douter qu'il lui versera le poison. Donc je n'ai nullement besoin de votre arme blanche. Mais comment puis-je savoir déjà tout cela? Connaître que la cible est une personne quotidienne du restaurant et qu'il avait toujours ses ha-bi-tu-des. J'ai mes propres sources, tout simplement. Et pour ce qui est de ma porte de secours, vous avez beau me tromper en faussant les points de fuites, cela ne change pas la donne.

À ces mots, je vis sa face changer de couleur. Je devinais largement ses pensées. Il était très surpris et très mécontent que je lui révèle tous ses plans. Le fait de dire tout ce que je savais sur l'ensemble des détails censés me stopper le dérangeait.

– Oui. Je sais déjà. Pourtant, cela ne devrait pas vous étonnez, n'est-ce pas? Ahah. Je n'ai qu'à emprunter la porte d'entrée comme si de rien n'était. Quelle belle classe de partir comme on est rentrée et n'avoir éveillé aucun soupçon. D'ailleurs, en retournant la situation, c'est plutôt à moi de vous demander comment allez-vous fuir lorsque les gardes vous trouveront suspect? Ahahah. Maintenant, si vous le voulez bien, j'ai un rendez-vous pressant.

Je me levai et pris mon manteau sur la chaise. Avant de lui tourner les tallons, je lui dis avec un petit sourire moqueur:

– Vous devriez m'apprendre des choses mieux que cela. J'en ris encore tellement que c'était minable. Un vrai jeu d'enfant. Franchement, vous me décevez beaucoup, père.

Je laissai alors Iwao en plan. Il était bouche bée. Alors que je franchis le seuil de la porte, j'entendis des cris d'étouffements. L'homme que je devais éliminer souffrait dans l'agonie pendant quelques instants, puis s'effondra net la gueule dans son plat de résistance... Les gardes qui étaient alertés accouraient vers la pauvre victime. Une fois de plus, je l'avais devancée. Ahah. J'avais menée à bien ma mission avant même d'en recevoir l'ordre. La panique fut rapidement rempli dans la grande salle. Je ne risquais rien car j'étais désormais dehors.

Aoi D. Nakajima

_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _



Prénom: Toujours le même^^

Âge: Euh... pareil, non?

Aime: Arf la liste...

N'aime pas: *Echos*

Personnage préféré de One Piece:

En rouge sombre: +++
En gras: ++
En italique +
En normal: +-

Monkey D. Luffy
Zoro Roronoa
Nami
Usopp
Sanji
Tony Tony Chopper
Shanks le Roux
Baggy le Clown
Kuro
Jango
Yasopp
Arlong
Octo
Mihawk (oeil de faucon)
Smoker
Monkey D. Garp
Zeff au pied rouge
Nefertari Vivi (Miss Wednesday)
Mr 3
Mr 2
Kaya
Merry
Johnny et Yosaku
Belmer
Nojiko
Genzo
Daddy Materson
Hiluluk
Docteur Kureha
Nico Robin (Miss All Sunday)
Karoo
Roi Cobra
Crocodile (Mr 0)
Ace
Igaram
Apis
Kozah
Ener

Après, c'est que je les connais pas.

Caractère: [...]

Fais du RP depuis: Même date!

Disponibilité: All 7/7

Comment avez vous connu le forum? Par Wohrwèlch?  

Enjoy

Bonjour bonjour, quelle présentation juge-t'on ?

Les 3^^ L'idée est qu'il s'agit d'une couverture pour une même personne^^

C'est à dire, Qu'Aoi, Miyako et Rei sont la même personne. Mais vu qu'elle est comédienne, c'est facile pour elle de créer 2 autres personnalités différentes en plus de sa véritable personnalité.

Sinon, je dirais Rei Kimura qui prendra plus d'ampleur en 1624^^

Salut Aoi, voila ton test RP:

Tu as 16 ans, c'est ton anniversaire et ton père vient de t'inviter au restaurant. Ton cadeau? Un bouquet de fleurs contenant un couteau, et une mission d'assassinat à accomplir immédiatement, ici même, maintenant, ou du moins dés que ton père aura quitté les lieux. Mais la mission est avant tout un test de plus, un piège de plus, non seulement les renseignements que ton père t'as fournis sont faux (points de fuites, gardes...) Mais en plus il a averti ta cible qu'elle allait être attaqué aujourd'hui. Raconte nous ce qui s'est passé, et comment tu t'en est tiré (ou pas) ...

Bye, Red

Bonjour le monde du staff, je Up en espérant que cette nouvelle présentation originale vous plaira. Et aussi, j'espère que ce que j'ai acquis portera ses fruits

Bonne et heureuse lecture ;)

Je me permets de upper (je n'ai pas le temps de commenter, je dois commencer mes révisions) mais j'espère que ce up te sera utile !

Merci GM. Je n'osais pas le faire^^

Salut Salut.

Voilà ton premier commentaire sur ta présentation et on commence par un point forme ultra rapide :

Une faute qui m'a quand même fait mal :
« Mes bras et jambes son lissent ». Non ! « Sont lisses ».

Une autre :
« femmes et hommes devaient tous sans exception passaient » : Non ! « Passer » !

Encore une :
 « Je me souviens du premier jour où vous m'avais emmené » Non ! « vous m'avez » !

Une derniàre :
 « je suis passais ». Non ! « Je suis passé »

Descriptions :


Tu tentes de faire quelque chose d'original pour le physique, c'est sympa =) Par contre dès le début tu nous perds entre le présent et le passé. M'enfin ça se lit et excepté quelques problèmes de syntaxe, je n'ai pas grand chose à dire. Les phrases sont un peu téléphonées mais c'est pour bien décrire ton perso alors on ne peut pas t'en vouloir.
Pour la psychologie, c'est un peu short mais on voit l'essentiel et tu en fais deux. Par contre là tu oublies plusieurs féminin : calculateur au lieu de calculatrice notamment.

Histoire :

J'aime bien l'histoire. C'est triste mais sans rentrer dans le pathos. Ta façon de décrire la scène émouvante avec une « voix de chieuse assumée » fait passer le tout d'une manière assez sympa ^^
Et puis tu rentres dans le CP5 et là je n'en vois pas trop l'interêt. Après tout l'ancien CP qui devient pirate, c'est tabou. M'enfin moi ça ne me gène pas, à voir quand même comment tu comptes utiliser cette partie de l'histoire, je me méfie.

Test rp :

Hmmm, des gardes à l'entrée d'un restaurant ? Ca se peut mais c'est quand même assez étrange, non ? Quoi que c'est dans le post de Red alors cdoit être moi.
Sinon, la miss tue le gars avant même de recevoir son ordre de mission, c'est un peu couper facilement le test que t'a donné Red mais c'est bien amené et bien expliqué, alors moi j'y ai cru.


Au final : tu t'es bien embêté à faire le physique et la psycho des différentes personnalités de ton perso. Ce n'était pas forcément util et ça m'a plus embrouillé qu'autre chose. Tu aurai pû les regrouper. Autrement je vois que tu t'es bien appliqué, tu sors ici un perso sympa. Mon bémol sera qu'il ne pourra pas toujours s'en sortir aussi facilement que dans le test rp. Fais donc attention à ne pas abuser des facilités de déguisement et changements de personnalité de la miss.

Pis profite bien de mon vote pour 550 cailloux.

Merci Sergueï Suyakilo

Arf, je sais que j'aurais toujours des fautes mais de là à en avoir qui aurait pu être éviter m'en laisse sans voix >< ^^

Par contre dès le début tu nous perds entre le présent et le passé

Ah bon? Je ne vois pas --'

"De silhouette et de proportion normale, Aoi D. Nakajima possède une beauté qui jalouse de nombreux hommes. Elle se lava et se dirigea vers la petite commode de sa salle de bain pour se faire une toilette au niveau de visage et profiter pour se refaire une coiffure. Enfin, un peu de maquillage sur le museau et de la poudre sur les joues et elle était prête. Du moins, presque. Laissons-la arranger sa magnifique chevelure d'argent assez lumineuse qui est très soignée."

En fait le 1er et le dernier ont beau être du présent de vérité général, ça m'a plutôt perturbé, mais j'avoue ne pas trop savoir si c'est moi qui est embêtant ou la langue française.

Salut Aoi, deuxième avis pour toi,

D'abord niveau forme, comme mon collègue du dessus je trouve qu'il y a quand même beaucoup de fautes. Toujours des problèmes de passé simple et pas mal de soucis qu'une relecture devrait permettre d'éviter, exemples en vrac:

-Cela me va à ravi_ravir
-gants en cuire_cuir (cuire c'est pour la cuisine)
-j'ai une chance pour posséder_de posséder
-Elle ouvra donc son armoire_elle ouvrit
-Obessédé_obsédé
-les tires_les tirs
-tintes_teintes (le verbe tinter c'est pour un son)
-soignessement_soigneusement
-serin _serein (serin n'apparait pas en rouge car le mot existe, mais il désigne un canari)

Et y'a aussi pas mal de moment ou tu utilises une tournure qui semble correct mais dans un contexte pas forcément adapté. Par exemple :

-Aoi D. Nakajima possède une beauté qui jalouse de nombreux hommes... Déjà la formation n'est pas bonne. Une phrase correcte serait "une beauté QUE jalouse..." ce qui signifie que les hommes sont jaloux de ta beauté.... Mais pourquoi ? Ce serait des femmes effectivement ça collerait . Mais des hommes? Ils devraient te convoiter, ils n'ont aucune raison d’êtres jaloux de toi.

Bref, des trucs dans ce genre la, y'en a quelques uns...


Ensuite, physique/psycho... Bon l'idée de base de nous offrir une description romancée, c'est très bien. Mais d'un point de vue crédibilité du dialogue c'est très dur. Regarde ce que tu écris, est ce que tu vois vraiment quiconque se parler tout seul de cette manière ? "Mon doux et gracieux teins clairs suffit à faire de moi une déesse d'une beauté aussi remarquable. Je les dégage de ma face pour les faire tomber à hauteur de ma taille sur mon dos" Non, faut pas pousser ^^
De la même façon ta description devant ta future victime avec Rei kimura est aussi complétement surréaliste. Tu imagines la scène ?


La bio est par contre assez sympa, je regrette un peu que tu n'en dises pas plus sur les buts de l'orga de ton tuteur, mais bon, ça commencerait à faire beaucoup. Comme dit sur la CB je trouve le passage sur le CP carrément excessif, ce n'est jamais que le plus gros service de renseignement du gouvernement mondial que tu ballades et que tu manipules à l'aise sans qu'ils se doutent de rien... On se demande d'ou leur vient leur réputation.
A ce niveau la on est bien d'accord que ton personnage du CP est morte et qu'ils se sont enfin rendus compte que tu les avais promené comme des blaireaux pendant tout ce temps ?


Niveau test RP, bah, même réaction que Serguei, c'est bien mené et intéressant mais c'est un peu trop facile. Y'a pas de CP mais cette fois ci c'est le père qui fait un peu clown. On se demande comment un type aussi bidon que celui que tu nous décris a pu se hisser et se maintenir à la tête d'une organisation criminelle alors que la première gamine qu'il forme est capable de le ridiculiser sans forcer. Bref, attention à ne pas trop dénigrer l'adversaire, ça nuit aussi à ton personnage.


Au bilan, je suis globalement assez d'accord avec Serguei,. 500 dorikis pour moi.

Bye, Red

De la même façon ta description devant ta future victime avec Rei kimura est aussi complétement surréaliste. Tu imagines la scène?

Je sais que j'ai un peu forcé sur ce côté-là. Je sais que je pourrai pas reproduire de tel scène inrp^^

Comme dit sur la CB je trouve le passage sur le CP carrément excessif, ce n'est jamais que le plus gros service de renseignement du gouvernement mondial que tu ballades et que tu manipules à l'aise sans qu'ils se doutent de rien...

J'aurais peut-être du dire que le Gouvernement se doutait et qu'au finale elle ait lâcher prise la dessus? De toute façon, il est évidement qu'une fois validé se sera plus la même chanson. Elle ne sera pas parfaite, j'aurais peut être du en parler?

Merci Red