-Pudeme !!!
Voilà un mot plein de bon sens, en vérité il veut dire putain de merde et s’appropriais parfaitement à ma situation. Oui, je venais de sentir un petit soufflement au niveau de la hanche, pile à l’ endroit de ma bourse. Un homme me bouscula brutalement me jetant à terre et courut dans la foule afin de s’échapper. Je vérifier rapidement et constatais que ma bourse n’était plus la. Un voleur qui vole un voleur. C’est le comble. Je soupirais en me lançant à sa poursuite, moi qui quelques instants plus tôt m’ennuyais à mourir, je venais de trouver une occupation. Une occupation importante d’ailleurs. La prochaine fois je penserais à mémoriser ma bourse cela m’éviterais d’aller la chercher à pied. Mais le voleur n’était pas bien doué, oui, au lieu de se dissimuler dans la foule, il bifurqua dans une petite ruelle. Sans doute était-il un habituer mais, il ne me sèmerait pas. Courir, je savais parfaitement le faire. Les ruelles était complètement désordonné, pleine d’objet et de caisse qui devait sans doute avoir une utilité fonctionnel mais qui pour moi, me servis simplement à monter sur les toits. Je bondis dessus, un toit plus bas que les autres me permis de me mettre dans les hauteurs, puis, je suivis ma cible. Discrètement. L’homme regardait souvent derrière lui, il tourna plusieurs fois m’obligeant parfois à sauter au dessus d’une ruelle afin de changer de côté. Heureusement pour moi, celle-ci était de plus en plus étroite. Limite si l’on pouvait se croiser sans entrechoquer les épaules. Enfin il s’arrêta. Au milieu du passage, le dos tournait à moi.
Je souris, à pleine dent, ce voleur allait mourir. On ne vole pas un voleur, du moins on ne me vole pas moi. Sinon, la peine de mort est appliquée. Je me fatigue à trouver de l’argent dans les poches et les bourses des gens, ce n’est pas pour que l’on détruise mon travail. Je me plaçais lentement juste au dessus de lui, il comptait les pièces, cet enfoirer comptait profiter de Ma fortune sans Ma permission. Bon ce n’était pas vraiment une fortune mais c’est ce que je possédais pour le moment, de quoi survivre quelques jours. Je sautais. En sortant mon Troga de ma poche. Le choc serait rude, pour nous deux. J’avais bien calculé, tenant les deux bout du Troga, chacun avec une main, je le passais devant l’homme tendit que j’atterrissais derrière. Une traction brutal se produisit sur mes bras tendit que le fil se tendait. J’étais trop petit et, par conséquent, je me trouvais pendant quelques secondes, pendus en l’air à quelques cm du sol. Et l’homme s’écroula. En arrière. Il m’écrasa au sol et j’écartais les bras de façon à garder le Troga serrer autours de sa gorge, l’étranglant lentement. Il s’agitait, vainement, j’étais en position de force et à part voler, il ne savait apparemment pas faire grand-chose d’autre. Mais il lui fallut une bonne minute pour mourir. Dommage pour lui. Mourir étranglé, c’est bien une chose que je n’aimerais pas.
Je le poussais sur le côté et me relevais en lâchant mon arme. Qui restât encadré dans la gorge de ma victime. Celle-ci saignait légèrement, le fils de fer ayant transpercé la peau. Je soupirais, en plus de récupérer mon argent, il faudrait que je nettoie mes affaires. En parlant d’argent, toutes mes pièces étaient étalées sur le sol. Je soupirais. Encore. C’est fou ce que cette journée pouvait être soupirante. M’accroupissant, j’entrepris la tâche fastidieuse de ramasser mes pièces. Quelques minutes plus tard, je me relevais, non qu’il y avait beaucoup de pièce à ramasser, simplement, j’avais prit soin de toute les nettoyer avant de les remettre dans ma bourse. Regardant le corps sans la moindre émotion, je dés-encastré mon Troga, l’essuyait sur le cadavre et le rangeais dans ma poche. Voir un cadavre ne me dérangeais plus, lorsque l’on a étais assassin pendant une certaine période, il ne faut plus faire attention à ce genre de détail, sinon, c’est la mort assurer. Rapidement, en prenant conscience que j’étais restais trop longtemps prêt du cadavre, je m’éloignais. Cette ville Inari était largement peuplé est beaucoup trop surveiller par la marine à mon goût. Il s’agissait de se faire discret. Très discret. Malheureusement l’action toujours présente dans mon corps me donnait envie que pour une chose. Effectuer un vol très délicat. Qu’il rapporte ou non je m’en fichais, tous ce que je voulais, c’est que cela soit un challenge acceptable.
Et c’est pour cela que je me retrouvais à présent en pleine rue commercial prenant en filature un homme possédant une casquette particulièrement attirante. Je voulais cette casquette. De plus, la voler ne serait pas facile. Oui, tout était parfait, sauf que pour le moment, je ne l’avais pas encore entre les mains et que la récupérer ne serait pas facile. Une casquette avec un motif de dragon. Oui, cela me plaisait et désormais elle m’appartenait. Du moins dans mon esprit. Je m’approchais rapidement tout en réfléchissant. Il était trop grand pour que j’atteigne sa tête avec mes mains, ce qu’il fallait, c’était qu’il se penche et pour saisir l’occasion, il faudrait que je sois juste à côté de lui. Ou alors. Un sourire apparue sur mes lèvres et j’attrapais mon boomerang le mémorisant de la main droite. Je n’étais pas bien loin, toucher ma cible serait facile. Faire en sorte que l’homme n’ait aucune séquelle le serait moins. Oui, le but était simplement de faire tomber la casquette, pour cela, il fallait que je touche juste le sommet du crâne. Un homme blessé réagis souvent très mal alors que s’il s’agit simplement d’un petit désagrément. Cela passe en général beaucoup mieux. Je ne voyais aucun marine, personne ne faisait attention à moi. Je lançais mon boomerang. A peine quelques mètre à parcourir, il n’y avait personne entre lui et moi. Une cible si facile. Je touchais le sommet du crâne, un peu plus bas que prévue mais la casquette tomba tout de même. Prenant un air affolé, je me précipitais vers lui, ramassais le boomerang de la main droite et la casquette de la main gauche que je mémorisais.
-Désolé désolé désolé. Je m’entraînais depuis les toits et j’ai raté mon tire. Désolé.
Je lui rendis la casquette et, avant qu’il ne réponde, afin de ne pas perde de temps, je m’enfuyais de la d’où je venais. Je détestais m’excuser devant une grande personne, pourtant, cette fois-ci je ne le regrettais pas. Sans vérifier si il me suivait, sans attendre un laps de temps nécessaire afin d’écarter tout soupçons. Une dizaine de secondes après être partie je récupérais la casquette.
La casquette apparue dans ma main gauche et je souris à pleine dent en continuant d’avancer. Je la posais sur ma tête comme si de rien était, désormais elle était a moi. Aucun remord ne me rongeais, aucun remord ne m’avais jamais rongé d’ailleurs. Je profité de la vie qui dans mon village aurait était anéantis à cause d’une simple différence. Et je comptais bien prendre tout ce que je voulais.
Voilà un mot plein de bon sens, en vérité il veut dire putain de merde et s’appropriais parfaitement à ma situation. Oui, je venais de sentir un petit soufflement au niveau de la hanche, pile à l’ endroit de ma bourse. Un homme me bouscula brutalement me jetant à terre et courut dans la foule afin de s’échapper. Je vérifier rapidement et constatais que ma bourse n’était plus la. Un voleur qui vole un voleur. C’est le comble. Je soupirais en me lançant à sa poursuite, moi qui quelques instants plus tôt m’ennuyais à mourir, je venais de trouver une occupation. Une occupation importante d’ailleurs. La prochaine fois je penserais à mémoriser ma bourse cela m’éviterais d’aller la chercher à pied. Mais le voleur n’était pas bien doué, oui, au lieu de se dissimuler dans la foule, il bifurqua dans une petite ruelle. Sans doute était-il un habituer mais, il ne me sèmerait pas. Courir, je savais parfaitement le faire. Les ruelles était complètement désordonné, pleine d’objet et de caisse qui devait sans doute avoir une utilité fonctionnel mais qui pour moi, me servis simplement à monter sur les toits. Je bondis dessus, un toit plus bas que les autres me permis de me mettre dans les hauteurs, puis, je suivis ma cible. Discrètement. L’homme regardait souvent derrière lui, il tourna plusieurs fois m’obligeant parfois à sauter au dessus d’une ruelle afin de changer de côté. Heureusement pour moi, celle-ci était de plus en plus étroite. Limite si l’on pouvait se croiser sans entrechoquer les épaules. Enfin il s’arrêta. Au milieu du passage, le dos tournait à moi.
Je souris, à pleine dent, ce voleur allait mourir. On ne vole pas un voleur, du moins on ne me vole pas moi. Sinon, la peine de mort est appliquée. Je me fatigue à trouver de l’argent dans les poches et les bourses des gens, ce n’est pas pour que l’on détruise mon travail. Je me plaçais lentement juste au dessus de lui, il comptait les pièces, cet enfoirer comptait profiter de Ma fortune sans Ma permission. Bon ce n’était pas vraiment une fortune mais c’est ce que je possédais pour le moment, de quoi survivre quelques jours. Je sautais. En sortant mon Troga de ma poche. Le choc serait rude, pour nous deux. J’avais bien calculé, tenant les deux bout du Troga, chacun avec une main, je le passais devant l’homme tendit que j’atterrissais derrière. Une traction brutal se produisit sur mes bras tendit que le fil se tendait. J’étais trop petit et, par conséquent, je me trouvais pendant quelques secondes, pendus en l’air à quelques cm du sol. Et l’homme s’écroula. En arrière. Il m’écrasa au sol et j’écartais les bras de façon à garder le Troga serrer autours de sa gorge, l’étranglant lentement. Il s’agitait, vainement, j’étais en position de force et à part voler, il ne savait apparemment pas faire grand-chose d’autre. Mais il lui fallut une bonne minute pour mourir. Dommage pour lui. Mourir étranglé, c’est bien une chose que je n’aimerais pas.
Je le poussais sur le côté et me relevais en lâchant mon arme. Qui restât encadré dans la gorge de ma victime. Celle-ci saignait légèrement, le fils de fer ayant transpercé la peau. Je soupirais, en plus de récupérer mon argent, il faudrait que je nettoie mes affaires. En parlant d’argent, toutes mes pièces étaient étalées sur le sol. Je soupirais. Encore. C’est fou ce que cette journée pouvait être soupirante. M’accroupissant, j’entrepris la tâche fastidieuse de ramasser mes pièces. Quelques minutes plus tard, je me relevais, non qu’il y avait beaucoup de pièce à ramasser, simplement, j’avais prit soin de toute les nettoyer avant de les remettre dans ma bourse. Regardant le corps sans la moindre émotion, je dés-encastré mon Troga, l’essuyait sur le cadavre et le rangeais dans ma poche. Voir un cadavre ne me dérangeais plus, lorsque l’on a étais assassin pendant une certaine période, il ne faut plus faire attention à ce genre de détail, sinon, c’est la mort assurer. Rapidement, en prenant conscience que j’étais restais trop longtemps prêt du cadavre, je m’éloignais. Cette ville Inari était largement peuplé est beaucoup trop surveiller par la marine à mon goût. Il s’agissait de se faire discret. Très discret. Malheureusement l’action toujours présente dans mon corps me donnait envie que pour une chose. Effectuer un vol très délicat. Qu’il rapporte ou non je m’en fichais, tous ce que je voulais, c’est que cela soit un challenge acceptable.
Et c’est pour cela que je me retrouvais à présent en pleine rue commercial prenant en filature un homme possédant une casquette particulièrement attirante. Je voulais cette casquette. De plus, la voler ne serait pas facile. Oui, tout était parfait, sauf que pour le moment, je ne l’avais pas encore entre les mains et que la récupérer ne serait pas facile. Une casquette avec un motif de dragon. Oui, cela me plaisait et désormais elle m’appartenait. Du moins dans mon esprit. Je m’approchais rapidement tout en réfléchissant. Il était trop grand pour que j’atteigne sa tête avec mes mains, ce qu’il fallait, c’était qu’il se penche et pour saisir l’occasion, il faudrait que je sois juste à côté de lui. Ou alors. Un sourire apparue sur mes lèvres et j’attrapais mon boomerang le mémorisant de la main droite. Je n’étais pas bien loin, toucher ma cible serait facile. Faire en sorte que l’homme n’ait aucune séquelle le serait moins. Oui, le but était simplement de faire tomber la casquette, pour cela, il fallait que je touche juste le sommet du crâne. Un homme blessé réagis souvent très mal alors que s’il s’agit simplement d’un petit désagrément. Cela passe en général beaucoup mieux. Je ne voyais aucun marine, personne ne faisait attention à moi. Je lançais mon boomerang. A peine quelques mètre à parcourir, il n’y avait personne entre lui et moi. Une cible si facile. Je touchais le sommet du crâne, un peu plus bas que prévue mais la casquette tomba tout de même. Prenant un air affolé, je me précipitais vers lui, ramassais le boomerang de la main droite et la casquette de la main gauche que je mémorisais.
-Désolé désolé désolé. Je m’entraînais depuis les toits et j’ai raté mon tire. Désolé.
Je lui rendis la casquette et, avant qu’il ne réponde, afin de ne pas perde de temps, je m’enfuyais de la d’où je venais. Je détestais m’excuser devant une grande personne, pourtant, cette fois-ci je ne le regrettais pas. Sans vérifier si il me suivait, sans attendre un laps de temps nécessaire afin d’écarter tout soupçons. Une dizaine de secondes après être partie je récupérais la casquette.
naibu
La casquette apparue dans ma main gauche et je souris à pleine dent en continuant d’avancer. Je la posais sur ma tête comme si de rien était, désormais elle était a moi. Aucun remord ne me rongeais, aucun remord ne m’avais jamais rongé d’ailleurs. Je profité de la vie qui dans mon village aurait était anéantis à cause d’une simple différence. Et je comptais bien prendre tout ce que je voulais.