>> PhysiqueDoucement je descend la couette, elle dort encore et pour mon plus grand plaisir je vais pouvoir la regarder, la détailler sans qu'elle ne puisse émettre le moindre son de protestation, elle ne peut que se laisser admirer, dans son plus simple appareil. Plus la moindre protestation, je peux donc me permettre de relever cette mèche qui lui barre de temps à autre, dès qu'elle bouge un peu trop, cette mèche châtain qui lui barre le visage. Elle n'attache pas souvent ses cheveux et pourtant passe son temps à se plaindre quand il lui passe un peu trop dans les yeux, tout juste incohérente. Mais c'est tellement dommage que je doive attendre qu'elle s'endorme pour pouvoir ainsi la détailler, son regard vert me manque, ses yeux qui me fusillent continuellement, tout cela me manque. Mais tant pis, profitons qu'elle ne réagisse pas pour continuer à la déshabiller, même si j'ai le plaisir d'avoir le contact de sa chair, je ne prend jamais assez le temps de la regarder. Le sommeil la rend vraiment vulnérable, elle ne remarque pas que je découvre sa peau un peu pâle, ces longues journées que nous avons passées ensemble ne lui a pas permis de prendre une douce couleur un peu plus chaude, enfermée qu'elle était elle n'a pas suffisamment vu le soleil, les quelques couleurs qui restent encore sur sa peau, sont celles de ses lèvres entrouvertes et de ces pointes rosées que j'aime tant. La chair sur laquelle elles reposent n'est pas non plus négligeable et elle détourne le regard de ceux qui ne la possède pas, moi je préfère me plonger dans tout son corps plutôt que de me concentrer sur une seule partie de son être. Elle frissonne doucement à cause du courant d'air qu'elle ne ressentait pas avant avec la couverture, heureusement elle ne se réveille pas. J'en profite pour la mettre totalement à nu sur les draps, une envie fugace de lui apporter encore du plaisir monte en moi, mais mieux vaut que je me contente de lui caresser ses longues et fines jambes si je ne veux pas me faire violemment décapiter, le fait qu'elle m'ait accepté autant de temps auprès d'elle est déjà suffisamment miraculeux pour ne pas tenter le démon. >> PsychologieEt là c'est le drame qui fait qu'en fait je n'aime pas les descriptions, enfin les descriptions de présentation, et tout ce que je gratte là en blablatant il est rendu après hein, promis. Donc bon, définir cette jolie femme, sur le plan physique c'est facile, mais sur le plan mental, c'est encore pire que la morale. Bah tient, commençons par cette idée, elle a ses propres idées et ses propres convictions, la mort c'est trop doux, mieux vaut faire souffrir. Sadique ? Non à peine, juste consciente que pour certains la mort n'est qu'une forme d'apaisement et en aucun cas une punition, bref, en clair, pour être efficace, il faut trouver le véritable point faible de l'ennemi et le viser bien comme il faut, en oubliant les scrupules. En revanche, il suffit de se concentrer un tout petit peu plus pour voir qu'elle est adorable, avec tous les mauvais jeux de mots possibles, car même si elle paraît affreusement dégoûtante en vous parler de décorticage massif d'être humain (oui oui, de magnifiques et sanglantes descriptions...) c'est quand même un peu un bisounours sur les bords. Malheureusement le bisounours en question change régulièrement d'orientation : le corps humain est une source inépuisable de perversions en tous genres. Aussi perverse donc, même si elle ne le dit pas trop tout le temps ou juste un peu. Mais il ne faut pas non plus voir chacun de ses câlins comme un tentative de vous détourner de votre grande voie de la pureté, ça peut juste être une marque d'affection quelconque, ou juste un merci, ou juste pour le plaisir, ou simplement sans raison. Et il faut que j'arrête mes phrases de dix kilomètres. La petite s'inquiète quand même pas mal pour ceux qui l'entourent, même si parfois elle prend un malin plaisir à les blesser, intentionnée mais pas trop. Donc, gentille, vilaine, adorable, sadique, un chouia masochiste, pour faire simple : relativement lunatique. (Plus pas clair tu meurs) >> Biographie« On est tout seul, Hémon. Le monde est nu. Et tu m’as admiré trop longtemps. Regarde-moi, c’est cela devenir un homme, voir le visage de son père en face, un jour. » Antigone J. Anouilh
Adora se réveilla en sursaut, ce maudit examen n’arrêter pas de lui faire avoir des cauchemars, elle allait enfin réaliser le rêve de reconnaissance qui était né en elle depuis qu’elle était en âge de penser, mais maintenant elle paniquait, elle ne pouvait pas s’empêcher d’imaginer les pires situations possibles. Pourtant être médecin ce n’est pas si difficile, ce n’est pas si inaccessible que cela… Elle regarda l’heure et se passa une main dans les cheveux, observant sa pâleur. Aucune vie, elle ne s’était autorisée aucune vie avant de pouvoir sauver celle des autres. Seize ans, elle était la plus jeune parmi son groupe d’étude et pourtant on la considérait déjà à moitié comme une adulte. Devenir adulte, grandir, se découvrir, tout cela était passé à la trappe dans son histoire tellement elle s’était focalisée sur son but. Mais une fois qu’elle l’aurait atteint qu’est-ce qu’elle ferait ? Voyager ? Peut-être, elle avait encore beaucoup à apprendre et parcourir le monde lui permettrait peut-être de faire tout ce qu’elle souhaitait. Si seulement elle savait quoi souhaiter, ses rêves tournaient vaguement autour de princes charmants, de quêtes un peu folle, d’aventures ! Mais il lui fallait encore ce fichu examen et l’approbation de sa famille. Quoique… Approbation ou non, elle ne resterait plus avec eux, plus avec cette absence d’intérêt, plus avec ce rôle de figurante qu’elle se traînait depuis beaucoup trop longtemps.
Pratique et théorie, elle avait réussi, tout, elle en était sûre, certaine, l’herbe était confortable, il faisait beau, elle avait forcément réussi. Elle allait pouvoir devenir adulte ? Non, pas à cet âge-là, on ne devient pas adulte sans rien connaître à la vie enfin pour Adora, elle était plus proche que jamais de sa croissance, elle était juste ce qu’elle voulait, elle allait faire ce qu’elle voulait. Ne se doutant absolument pas que le monde suit son bon plaisir. Mais oui, elle réussit son examen et se retrouva diplôme en poche, tout de même soulagée de l’avoir obtenu. La confrontation familiale, il n’y avait plus que cela à régler. Evidemment cela finit mal, très mal, et elle partit en ayant qu’un sac lui garantissant trois jours de vie. Jusqu’à présent, elle n’a toujours par revu ses parents, elle ne compte pas non plus les revoir rapidement, ou de les revoir tout simplement. Le seul qui sembla avoir des regrets de la voir partir, aussi jeune, aussi intrépide, fut son père, il la comprenait, il la comprenait mais la trouvait trop jeune lui aussi. Bien que trop jeune elle prit la mère sur un bateau marchand qui cherchait un médecin pour l’accompagner sur une courte distance. Premier salaire, premier voyage, première aide. Sa première rencontre et son premier pas pour de vrai sur la grande route du destin.
Jude : « Dis-moi Adora, toi qui aime tant le bruit des vagues, pourquoi ne vas-tu pas te plonger dedans pour ne plus jamais en ressortir ? » Adora : « Parce que malgré tout ce que je peux prétendre, j’ai envie de vivre un peu moi aussi… »
Jude était… Jude, avec ses délires macabres enfouis au fond de lui, il ne les laissait ressortir que parfois comme cela, proposant à la jeune femme de mourir. Pourtant ce n’était pas ce qu’il lui murmurait le soir alors qu’il l’étreignait de plus en plus fort, presque à l’étouffer parfois. Ce n’était pas non plus ce que ses gestes faisaient en tentant à moitié de faire naître la vie sur ce jeune corps. C’était lui, c’était ce jeune homme qui lui avait fait découvrir son propre corps dans ses moindres recoins, qui lui avait appris qu’elle pouvait avoir des réactions qu’elle n’aurait jamais imaginées. Ça s’était dans les meilleurs moments, car lui appris aussi toute la froideur qui existait en elle, tout ce côté sombre qui existait en elle et dont elle n’avait même pas conscience. Humiliations, obéissance, soumission. Dépravation. A chacun de ses désirs elle se pliait, finissant régulièrement en sang mais apprenant à s’affirmer en même temps, ce n’est qu’à lui qu’elle cédait tout, absolument tout. Aux autres elle n’offrait rien, si ce n’est qu’un impitoyable jeu où elle avait le dessus, où les seuls sentiments qu’elle éprouvait étaient la satisfaction de voir quelqu’un se retrouver à ses pieds, rêvant de trouver un adversaire plus tenace qu’elle finirait par vaincre. Le voyage fut long, elle travailla au moins autant de temps qu’elle passa à s’amuser, mais au moins elle fut satisfaite sur plusieurs plans. Elle commençait à vraiment grandir, elle avait pris un an de plus et se sentait plus proche de la majorité, plus proche de devenir adulte. Adulte sur ce bateau, aux côtés de Jude qui la tourmenterait encore et encore pour son bon plaisir. Tout aurait pu continuer ainsi et son histoire aurait encore moins d’intérêt qu’elle en a actuellement.
C’est donc alors qu’elle tentait de surprendre son aimé dans une situation compromettante pour pouvoir ensuite le faire chanter, pour tenter, comme elle le pouvait, de reprendre le dessus. Jude avait, en effet, des choses à cacher. Il était révolutionnaire, mais cela notre demoiselle ne l’apprit que plus tard, lorsqu’elle surprit une conversation qu’elle n’aurait pas dû surprendre. S’en suivi une lourde dispute où elle finit par poser un pied à terre et à jurer obéissance au jeune homme, qui avait besoin d’elle et de ses capacités. Adora se fichait des buts qu’il avait, elle se fichait de tout tant qu’elle pouvait rester à ses côtés et lui être utile au passage, tout cela l’arrangeait, enfin pour le moment tout cela l’arrangeait… Car oui, il faut que cette histoire prenne une tournure un peu plus dramatique sinon ça devient juste de plus en plus ennuyant. En effet, son cher et tendre préparait quelques quelconques plans de révolutionnaires, et emmenait la jeune femme sur le champ de bataille. Il avait tout juste pris la peine de lui apprendre les rudiments du combat que déjà il la laissait voir les pires horreurs malgré son jeune âge, faut dire qu’à peine majeure qu’elle était pour notre monde à nous, elle en tenait quand même une pas mal. Alors les cadavres et tout ce qui allait avec ça ne lui faisait rien tant que son aimé revenait la torturer tard le soir.
Mais il fallut que tout bascule, un jour, l’infirmerie se retrouva directement dans le champ de bataille, des personnes des deux côtés mourraient, marines comme révolutionnaires, mais seuls ceux de son camp lui étaient amené à soigner. Après avoir vu quatre marines au bord de la mort, pouvant être sauvés par ses soins et l’interdiction qu’elle avait, elle alla se plaindre auprès de Jude.
Adora : « Jude, je ne suis pas médecin pour laisser ceux que je pourrais sauver de côté son prétexte qu’ils sont mes ‘’ennemis’’ » Jude : « Tais-toi petite folle, tu fais ce que je te dis, comme toujours. » Adora : « Toujours et à jamais, comme je te l’ai promis… »
Elle s’approcha docilement de lui, tendant doucement les lèvres pour un baiser, elle ferma les yeux et il posa une main sur sa gorge, serrant doucement pour lui rappeler qui était le maître entre eux deux. Ils échangèrent un baiser où se mélangeaient passion et tension. La belle mordit à sang les lèvres de son aimé, et attrapa un scalpel dans sa poche avant de donner un coup à la figure de Jude, suffisamment profond pour le surprendre, pas assez pour le défigurer.
Adora : « Qui se soumet n’est pas toujours faible, maintenant tu peux dire adieu à ta docile petite femme et médecin. »
Elle partit sans se retourner vers le camp adverse, allant prêter main forte à tous ces blessés marins dont aucun médecin ne venait en aide, faute de moyens. On ne lui demanda pas d’où elle venait, on se contenta d’accepter son aide. C’est dans ces conditions peu conventionnelles qu’elle intégra la Marine, cette fois sans l’idée de changer de camp, car, contrairement à Jude et ses compatriotes, on lui promettait beaucoup plus d’aider ceux qui en ont vraiment besoin.
>> Test RPBordel, ce n’était pas les bons champignons qu’elle avait pris en fait, c’était une saloperie et ce n’était vraiment pas le moment de tomber malade. On n’a pas idée de faire des omelettes aux champignons hallucinogènes. En plus ça fait royalement stupide de se retrouver dans un hôpital en tant que patient alors que de base on est médecin. D’autant plus quand on se réveille avec un espèce d’ahuri qui vous lèche la main en tentant de vous persuader de lui offrir votre petite culotte. Hum. En plus, il faut pas dire, mais cette clinique était plutôt d’un hygiène plus que douteux. Bref, notre belle jeune femme se leva et sortit de sa chambre, elle connaissait suffisamment son métier pour savoir qu’elle était largement en état de reprendre du service, surtout qu’il y avait des morts partout en ce moment et encore plus dans cet endroit de taré. Toute mignonne elle s’était présentée à l’accueil pour tomber sur un mec, étrange, qui feuilletait une revue pornographique sur les canards et dans un air de total ennui lui avait dit une phrase pour le moins mystérieuse. Tar, le mec à l’accueil : « Nan, t’es pas malade, c’est naturel. »Haussement de sourcils de notre demoiselle, passablement étonnée, elle avait juste demandé si elle pouvait aider en quoique ce soit dans cette clinique étant donné qu’elle était médecin. Autant qu’elle aille voir à droite à gauche si elle croisait quelqu’un de plus intéressant qui lui dirait si elle pouvait tout simplement rentrer chez elle ou servir à quelque chose. Au détour d’un couloir elle tomba sur un autre homme, brandissant une large pelle, oui, une pelle, dans un hôpital, et devant une bande gamins se curant méticuleusement le nez, l’un d’eux pleurnichant pour savoir où était passée sa chaise longue. Ce même homme, se prénommant visiblement Gin, racontait une histoire d’horreur qu’il fleurissait de temps à autres d’injures pour le moins déplacées. Adora se rappela alors de cette histoire, qu’on lui avait racontée quand elle était toute petite et qui avait eu le magnifique avantage de lui faire fermer la porte de sa chambre à clé, la rendant encore plus paranoïaque que l’histoire de la poupée qui revient découper sa maîtresse qui l’a oubliée à l’étage du dessous. Pour le coup elle avait enfermé le jouet dans une caisse, dans sa chambre, avec un nombre certain de dictionnaires par-dessus. Donc, l’histoire qu’il racontait se déroulait la nuit, comme par hasard, des parents venaient de laisser seules leurs deux petites filles, ces dernières regardèrent l’escargophone-image, un flash-info apparu, annonçant la fuite d’une folle mutilée, n’ayant plus de jambes à partir des genoux et plus de bras à partir des coudes. Vu la rapidité de déplacement qu’elle devait avoir ainsi peu membrée, il était étonnant qu’on ne parvienne pas à l’attraper. Il était précisé de correctement s’enfermer chez soi, car elle avait tout de même réussi à commettre plusieurs crimes. Les deux gamines riaient en se disant que cela n’était qu’un canular, mais au fond d’elles, elles étaient tout de même inquiètes. Elles finirent donc par aller se coucher, dans leurs lits superposés, la plus jeune dormant en bas. Au milieu de la nuit, la plus âgée entendit deux bruits sourds, suivi d’un long frottement, elle repensa à ce qu’elles avaient vu à l’escargophone-image, mais préféra s’enrouler dans sa couette pour ne plus rien entendre. Poum, poum, tshhhhh, poum, poum, tshhhhh, poum, poum, tshhhhh scrountch. A ce moment l’homme brandit sa pelle au-dessus de sa tête pour renforcer le désarroi de l’assistance, les effrayant encore plus. Adora sauvage prit la fuite, ne voulant retomber dans sa paranoïa d’enfance. Elle quitta donc le hall d’entrée pour s’enfoncer un peu plus dans la clinique, cherchant un quelconque médecin qui pourrait lui donner une utilité pour la nuit, avant qu’elle rentre chez elle au petit matin. Dans la pièce suivante se trouvait un homme passablement en surpoids en train de discutailler avec un patient. Ce même patient criait à qui voulait l’entendre, des blagues pour le moins étranges à la vue de son physique. D’après ses dires il était un capitaine pirate qui se baladait avec une pute à bord, un mec continuellement ivre et qui était mort. Sam le médecin : « Vous n’êtes pas malade, vous êtes maladivement fictif. » Joe le pirate : « Vous me les brisez sévère même si je n’en ai plus parce que je suis déjà mort ! Khrrréhéhéhéhéhéhéhéhéhéhé ! »Adora eut un violent doute si elle devait ou non les déranger, mais elle resta quand même une poignée de minutes de plus pour se faire une vague idée de qui devait être le plus atteint. Dur de se décider en fin de compte étant donné qu’un médecin persuadé que tous ses malades ne sont que fictifs sert encore moins qu’un malade se croyant mort alors qu’il était bien en chair. La belle ne s’attarda pas plus et repartit à la recherche de quelqu’un un peu plus sensé. C’est alors qu’elle croisa un gynécologue qui passait par les, les poches pleines de sous-vêtements et poursuivi par l’autre bavant qui réclamait qu’on lui rende sa collection. L’homme, encore inconnu s’arrêta devant elle et commença à lui faire des remarques sur son teint un peu pâle et maladif, la conseillant fortement de la suivre vers son poste de travail où il l’osculterait. Médecin mais pas folle, la demoiselle décida de le suivre, tout en filant discrètement un coup de pied dans le postérieur bien musclé de l’amateur de petites culottes. Le médecin referma la porte derrière eux et la fit s’allonger sur la table prévue pour les patients. Il commença à lui caresser le front comme pour lui prendre sa température et il lui raconta un bout de sa vie. Troy Francis : « Vous savez, vous me rappelez ma sœur, je l’aimais beaucoup, vous permettez que je vous considère comme elle ? »Méfiante mais ne voyant pas encore où voulait en venir l’homme, elle lui fit un signe de la tête de continuer. Poum, poum, tshhhhh, poum, poum, tshhhhh, poum, poum, tshhhhh Adora sursauta et regarda la porte en s’inquiétant pour ce qu’il pouvait y avoir dehors, ne remarquant pas le gynécologue qui se penchait de plus sur elle. Troy Francis : « J’ai fait des enfants à ma sœur, ce fut très amusant. »La demoiselle écarquilla les yeux alors qu’elle se faisait embrasser par ce tordu qui commençait à la peloter tranquillement, comme si de rien n’était. Elle lui fila un grand coup de pied avant de s’écarter et de se précipiter vers la porte, oubliant le potentiel danger qui lui avait fait baisser sa garde pour cet autre danger humain visiblement fan de l’inceste et de l’adoption. Elle se mit donc à courir dans le couloir, elle croisa le mec qui visiblement allait voir le pervers en quête d’une nouvelle petite culotte et continua sa course avant d’entendre de nouveau le bruit qui la suivait, il semblait venir de partout à la fois. Adora percuta un infirmier, pria un instant qu’il soit un tant soit peu normal, mais il l’agrippa par les épaules et la secoua doucement, en arrière-plan sonore on entend encore ces deux bruits sourd suivit d’un autre, comme si on traînait quelque chose. Ne prenant plus la peine de s’inquiéter pour cette folle qui risquait de venir la tuer dans son sommeil pour peu qu’elle se trouve une sœur avec qui dormir dans un lit superposé. Bref, l’inconnu en blouse blanche, continuait de la prendre pour un prunier. Nora Niji, l’infirmier fou : « MAIS ELLE EST BELLE MA CRINIERE HEIN QU’ELLE EST BELLE ?! » Adora : « Ouais, si vous le dites. »Elle lui caressa gentiment la tête pour lui montrer que c’était une bien belle crinière qu’il possédait, il ronronna satisfait avant de lâcher un rugissement se voulant de lion. A demi rassurée sur la santé mentale des membres de cette clinique, elle continua sa route à la recherche de la folle sanguinaire. Elle tomba sur une pièce aussi grande qu’un placard où il était indiqué qu’elle permettait de transmettre des informations importantes à tout l’établissement. A ce moment-là l’homme aux canards passa devant elle se plaça devant la porte comme pour lui interdire et déclara. Tar, le mec de l’accueil : « Puisque c’est ça je me casse. Adieu. »En fait il allait manger, mais ça, il ne l’avouera à personne. Bref, notre demoiselle se retrouva devant la mystérieuse porte d’où s’échappait de plus en plus fort le bruit. La folle devait tourner en rond parce qu’elle n’arrivait pas à atteindre la poignée. Prenant son courage notre héroïne ouvrit d’un coup sec la porte. C’était un mec clinique une femme. [Je remercie Rockfor Egry, source de la chute dans sa blague pourrie ♥]
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