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Rhyne Ovalie



RHYNE OVALIE

Pseudonyme - « La danseuse d'acier »
Age - « 17ans »
Sexe - « Femme »
Race - « Humaine »
Rang - « X »

Métier - « Bretteuse »
Groupe - « Pirate »
Déjà un équipage - « Là où est Rockor Egry, Rhyne est là aussi. -> L.I.O.N »
But - « Tuer Rockfor Egry. »

Fruit du démon ou Aptitude pour la suite - « X »
Équipements - « A voir »
Codes du règlement (2) - « »

Parrain - « Lilou B. Jacob »





Physique

« Admire cette silhouette qui s'approche de toi, le regard perçant, les mains le long du corps qui se balancent en cadence, au rythme d'une marche simple, mais légère, le regard fixé sur toi elle aborde un mignon petit sourire, si attendrissant, si enfantin, si joyeux, et si ... Faux. Comme c'est amusant n'est-ce pas? Une jeune fille en apparence si douce, joyeuse et pétillante. Et oui, elle a l'air pétillante, notre déesse du chaos, pleine de vie et de la bonne humeur à revendre. Hallucinant hin? Pourtant c'est bel et bien le cas. Rhyne Ovalie, est l'une de ses enfants qui nous font sourire en les voyant déborder de joies pour une peluche ratée, ratée, certes, mais qui se fiche des apparences parce que tout le monde le sait: le geste en dit plus que la parole. Et aussi parce que tout en elle, du moins en apparence, sonne faux.

Vous ne comprenez pas, n'est-ce pas? Alors pour mieux vous expliquer la chose, je vais vous la décrire, sans rien omettre de ses petits secrets qui font d'elle, ce qu'elle est. En profondeur bien sûr.

Tout d'abord, ses cheveux incroyablement longs, longs, soyeux et miroitants comme de l'eau. Ces fils noirâtre si fins qu'ils vous glissent entre les doigts, oui ces cheveux-là, en dessous, je veux dire en dessous la boite crânienne, se cache un cerveau machiavélique et calculateur, vous savez ce truc qui commande tous vos mouvements, ce qui fait notre moral. Mais passons, cette partie-là sera dévoilée plus tard. Puis son visage, ce doux visage en forme de cœur inspirant la tendresse et l'amusement, ce même petit visage que l'on retrouve sur tous les enfants. Sur ce même visage, on y trouve le miroir de l'âme, admirez-moi ces petits yeux pleins de malice, dans lesquels règne une certaine malignité sans borne, une envie d'amusement et de cruauté, vous ne le croirez pas avant de l'avoir vu. Rhyne est une personne qui ne trouve son bonheur que dans le chaos total, et ses petits yeux là, aux reflets si flamboyant de méchanceté, vous le diront plus que d'autre. Ces mêmes yeux, à la couleur grisé, ne cherche qu'une chose: le désastre et la zizanie, en un mot: La Discorde. Elle cherchera un petit enfant qui pleure, une femme heureuse, un homme saoul, et fera ce qu'elle fait de mieux, et là, seulement, dans un nouveau chaos, elle dégustera une bouteille de champagne en admirant son travail. Et ses lèvres, ni trop fine, ni trop pulpeuses, s'étireront en un sourire délicat et remplit d'un bonheur cruel.

Le haut de son corps n'est pas avachis, penché en avant comme tant d'adolescents, non le sien est tenu droit, les épaules en parfait alignement et les bras le long du corps. Des bras fins, soutenant plusieurs bracelets, ou d'autres bijoux du style, se terminant par des mains manucurés aux doigts longs et fin, une attitude purement hautaine qui n'incite pas à aller la voir Rhyne est du genre à lever la tête bien haute et regarder les gens de haut. Elle est fière, et le montrera. Elle possède avec ceci, certaines formes plutôt avantageuses, sa poitrine, ronde, et voluptueuse, en fait un atout pour la séduction, ni trop, pour les femmes, ni trop peu, pour les hommes. Ainsi elle peut mettre tout le monde dans sa poche. Son ventre plat, montre qu'elle pratique des exercices plusieurs fois par semaine, et son dos légèrement cambré met en valeur ce qui l'être. Ses hanches forment une courbe parfaite avec le reste de son corps, ses cuisses font ressortir sa démarche amusée et ses longues jambes interminables aux pieds perchés sur des bottes à talons aiguilles ou autres escarpins et chaussures à talons. Ce corps-ci est souvent mis en valeur par une mini chemise, une jupe et un grand manteau. Nul doute que cette adolescente dans la fleur de l'âge, représente la bonté et l'innocence personnifiée.

Mais attention, car même si ce sourire tendre -et faux- et cette silhouette digne d'une statue grec et surtout ces yeux, yeux qui font peur quand on y regarde de plus près, on a aussi envie qu'il nous détaille, qu'il nous remarque. Car autant se le dire, Rhyne possède un certain charme, un magnétisme même, qui fait que dès que l'on croise son regard, on se sent captivé. Vous êtes dès lors tombé dans son piège de séduction. Et tu ferais n'importe quoi, du moment qu'elle pose ses iris grisés sur toi, qu'elle se rende compte de ta présence et de ton existence. Tu veux que la jeune fille te désire, comme tu la désire, non, même plus encore. Et tu fulmineras quand elle embrasera la salle de son regard, car tu ne veux qu'une chose: que ce soit toi l'élu de cette tempête ensommeillée. A ce moment-là, la Discorde s'approchera d'un pas à la fois félin et enjoué, et te parlera de sa voix aux tons enfantins et heureux auquel tu succomberas. Elle te prendra toutes les informations que tu possèdes pour les retourner contre toi et provoquer un désordre social absolu et ainsi: ta perte. Et là tu te rendras compte de ton erreur, car son rire devant ta déchéance, te révélera sa vraie nature. »



Caractère

« La description mentale de cette jeune allumée résiderait en cinq mots: Espiègle, joueuse, fière, libertine et le mot global qui définirait ses envies serait: Gamine!

La jeune fille possède une trempe qu'on pourrait qualifier aux premiers abords d'enjoué, si ce n'est de banale. Bien que ses gestes montrent son entrain et sa joie de vivre. Pourtant ne vous y tromper pas. Si cette jeune fille parait surexcitée, derrière ce masque de joie incessante, se cache une personne d'une cruauté sans nom. Elle n'est pas jeune, mais elle n'est pas vieille non plus. A la voir, elle a arrêté de grandir, mentalement du moins.

Tout d'abord, Rhyne c'est quoi?

Rhyne c'est une adolescente au mental et aux airs enfantins. Observer ses gestes si simples, la commissure de ses lèvres où se dessine un sourire espiègle et rempli de malice. Ses petits yeux pétillants qui vous guettent au loin, faisant de vous sa proie. Approchez-vous n'ayez pas peur, approchez cette enfant, elle ne vous fera pas de mal. Du moins pas physiquement. Et écoutez la parler. Vous entendez cette consonance si douce, si joyeuse dans le son de sa voix, entendez-vous aussi cette note de dégout? En apparence elle semble à l'aise et parfaitement maître d'elle-même, on ne se doute même pas qu'elle lutte intérieurement pour ne pas vous déchiqueter sur le champ. Vous voyez ce sourire si paisible et heureux, et ce rire qui sonne comme le son cristallin d'une cascade? Ils sont tout ce qu'il y a de plus faux. Rhyne déteste les humains, elle les haït du plus profond de son être, et c'est pour cela qu'elle ne jure que par le Chaos qu'engendre la Discorde. Seulement pour en arriver là, il faut être gentille, aimable et souriante. Peut-être même montré un peu d'arrogance. Car les gens aiment ceux qui sont sur d'eux mêmes, ceux qui ne flanchent pas. Car eux ils ont peur, ils ont donc besoin d'un entourage stable, et ça, Rhyne le sait depuis bien longtemps, pour l'avoir vécu elle-même... Et cela, disons que Rhyne peut en abuser, de l'arrogance.

Seulement voilà, si elle révélait sa vraie nature, une personne détestable, qui ne brille que dans le Chaos le plus total, et la détresse la plus mortelle, si elle révélait son côté cruel, elle n'aurait plus rien, plus rien à se mettre sous la dent. On n'entendrait plus son rire cristallin, et même la vue de son sourie espiègle ne nous serait plus accordé. Car c'est avant tous grâce à ce caractère enjoué et simple, que Rhyne arrive à obtenir ce qu'elle veut: la désolation la plus totale. Car qui s'approcherait d'une jeune fille si ... haïssable? Personne ne veut voir sa vie sociale, familiale, et professionnelle, son travail de toute une vie, partir en fumée en l'espace de quelques jours. Or c'est justement ce qui arrive quand on révèle quelques secrets en trop à notre jeune fille mal aimée. Elle prend même un malin plaisir à votre vie fondre comme une bougie: petit à petit, ne vous laissant aucune chance d'éteindre la flamme qui vous consume, vous et votre bonheur. Elle n'est pas heureuse, alors pourquoi les autres le seraient? C'est de l'égoïsme, mais justement, voici le premier point: L'égoïsme, et l'égocentrisme. Elle ne jure que par elle. Étant petite, elle a passé trop de temps à s'occuper des autres, pour ce que cela lui à rapporter au final.. La voilà qui donne aujourd'hui des ordres à n'importe qui, à leur demander l'impossible, parce qu'elle le veut, parce que c'est elle, et que tous ses désirs, dans les moindres détails, doivent être satisfaits, sans aucune exception. Nous avons là aussi, une personne qui pique des colères parce qu'on lui refuse une friandise. En effet la belle aux cheveux noirs corbeau que voilà, peut se mettre dans des états pas possibles, serrant les dents, gonflant les joues, sans oublier le froncement des sourcils et le plus important: Les poings serrés à s'en faire couler le sang de frustration. Le "Non" est un mot qu'elle a banni de son vocabulaire d'interlocuteur. Ce qui nous amène donc à ce fameux deuxième point: La rancune.

Rhyne est rancunière, et n'hésite pas à rappeler aux autres, où se trouve leur place: en dessous d'elle. On ne s'attaque pas impunément à l'incarnation du Chaos! Alors, ami ou non, elle n'aura aucun, et je dis bien aucun, remord à vous trahir. Tous vos secrets, elle s'en servira contre vous pour vous détruire moralement parlant. Elle n'est peut-être pas une combattante, mais elle sait jouer de ses atouts: l'intelligence et la cruauté. Ainsi vous vous rappellerez qu'on ne dit pas "non" à la déesse de la Discorde, et surtout, vous n'oublierez pas qui est en face de vous. Il n'est pas bon d'avoir une telle personne à dos. Surtout si on a une vie heureuse et remplie, car elle s'en donnera à coeur joie, jusqu'à ce que l'étincelle d'espoir et de bonheur de vos yeux, est totalement disparu. Elle n'apprécie pas qu'on lui tourne le dos, à vrai dire elle considère que c'est une invitation à vous planter une lame. Méfiez-vous donc de ce que vous lui direz, car elle prendra le moindre prétexte pour vous en faire baver, qui plus est, elle est facilement susceptible et part au quart de tour en bonne gamine qu'elle est. Une parole de trop, un manque de tact, un geste déplacé, et elle voudra vous trucider jusqu'à étaler vos organes sur le sol pour rouler dessus avec un rouleau compresseur.

Ce qui nous rapproche du troisième point: La cruauté. Vous ne trouverez nulle part, des personnes aussi brillantes de méchanceté. Si en apparence elle ressemble à une enfant, à l'intérieur elle est pourrie jusqu'à la moelle. Oui Rhyne est de ce genre-là, faux semblant, sur faux semblant, mais ça je l'ai déjà assez répété. Non, attardons-nous sur ce désir de désolation. Rhyne est la petite fille que vous voyez sur les images de journaux qu'on publie le lendemain d'une bagarre en ville, dans une réception plus précisément, le genre de fête données par la haute société. Oui, cette petite fille, au long manteau vert avec son petit short noir, regardant la scène d'un oeil affamé, brillant de cette étincelle de méchanceté, la langue caressant ses fines lèvres étirées en un sourire satisfait. Satisfait de la bagarre que voilà, portant en sa main, un verre de champagne, boisson de fête, et de victoire, au milieu d'une catastrophe sociale sans précédent, car il ne faut pas croire qu'elle fasse à chaque fois le même désastre. Vous croyez? Que c'est naïf de votre part. Nous parlons de Rhyne Ovalie! Alors, forcément, elle hausse la barre de son talent d'un cran, à chaque réception. Ça n'en est que plus amusant et cela lui permet de voir, et surtout de tester ses limites, le problème c'est que jusqu'à ce jour il n'y en a pas...

Mais Rhyne c'est aussi la fierté et l'orgueil. La jeune fille aux yeux gris ne va pas se laisser marcher sur les pieds. Elle est fière de ce qu'elle est et le fera savoir. Elle est orgueilleuse et n'apprécie pas l'échec. Alors, bien entendu, si jamais vous l'humiliez, elle vous le fera payer. Inutile de vous préciser ce qu'est la fierté. Rhyne n'admettra jamais ses torts. Elle vous regardera passer, de haut, le regard hautain et l'attitude fière. Elle ne se prend pas pour n'importe qui, et même si un sourire se dessine sur ses jolies lèvres rosées, elle aime aussi vous rabaisser, de manière indirecte et implicite. Le tout réside dans le sous-entendu. Ce n'en est que plus drôle. Remarquer, elle fait aussi preuve d'un franc parler assez direct. Mais cela dépend de la personne qui se trouve en face d'elle, et de son influence, soit dit en passant. Elle aime provoquer les suicides sociaux chez les autres, mais pas pour elle-même. Elle n'en raffole pas plus que cela, c'est plus amusant de voir les réactions des autres joueurs. On ne touche pas au meneur. Et puis elle n'aime pas perdre, cela règle donc la question. Alors bien sûr, si elle ne risque rien à vous déballer de but en blanc ce qu'elle pense, elle le fera. Or à ce jour, il n'y qu'une seule personne qui mérite cet honneur : Munster.

Le cinquième point concerne sa vision de la vie. En effet, Rhyne, est une libertine dans l’âme. Elle prend, jette, passe à autre chose, et recommence. Elle prend la vie comme elle vient et ne se soucie de rien, à vrai dire elle ne prend rien au sérieux. Elle considère que la vie est trop courte pour que l’on s’attarde sur ses problèmes. Quoi de mieux qu’une bonne prise de tête avec les gens pour vous ruiner le moral pour la soirée ? Et bien Rhyne considère que l’on ne doit pas s’arrêter à cela. La vie continue, et ce n’est pas une petite dispute avec quelques amis qui vont changer quelque chose. A vrai dire elle pense que si les gens doivent disparaitre de sa vie, c’est qu’ils n’ont plus rien à lui apporter. Elle ne ressent donc aucun regret à les voir partir.

Mais il faut avouer que Rhyne est une bonne joueuse, une joueuse qui sait ce qu'elle fait, elle aime manipuler et faire en sorte que les gens soient à son service. Qu'ils fassent ce qu'elle leur demande, qu'ils soient à ses ordres. Elle aime par-dessus tout se sentir puissante. Entre autre, contrôler votre vie, vous rabaisser et vous regarder pleurer à même le sol, lui donne ce sentiment. Dans tous les cas, Rhyne sait très bien utiliser les masques de la vie. Par contre, elle ne peut pas utiliser ces masques-là avec les L.I.O.N. Ils devinent donc quand elle est en colère, frustrée, triste ou joyeuse. Ce qui est un peu plus dur avec des inconnus... »




Âmes sensibles s'abstenir, va y avoir Carnage.

« Le bateau tangua, remua, la jeune fille de dix-sept ans tomba de son hamac sur les fesses et se mit à pester de toutes ses forces. Lentement elle se redressa et se mit à monter les escaliers en criant qu’’elle n’était entouré que d’incapable.
Sur le sol, on pouvait apercevoir un livre, dont les pages se tournèrent avec la houle du navire. Celles-ci disaient :

17.02.1620
Ce matin je suis tombée sur le journal de maman. Papa l'avait caché dans le grenier, tout en haut, sur une armoire vide et cassée. J'y ai d'ailleurs trouvé un certain nombre de choses, mais ce n'est pas le plus important. Ne me demande pas non plus comment je suis arrivée là-haut, ou pourquoi. Toujours est-il que j'y ai trouvé un bien précieux. On ne m'a jamais parlé de ma naissance, on ne m'a jamais dit ce qu'il s'était passé. Je me rappelle que Papa ne voulait pas que maman m'en parle, alors elle me souriait et changeait de sujet avec un clin d'oeil furtif. Comme si elle me disait : Tu sais très bien que je n'ai pas le droit. Alors docilement je jouais son jeu, et changeais de sujet à mon tour. Mais là, j'ai enfin trouvé un écrit de ce jour, écrit par maman elle-même. Te rends-tu compte ? Je pensais que Papa avait tous jeté, mais non. Alors je l'ai lu, le premier chapitre de son journal, et celui de ma vie. Il devait dire à peu près :
« 23.11.1607
Aujourd'hui, ma petite Rhyne est née. C'est une petite chose toute fragile qu'on a envie de protéger. Qu'on a envie de rendre heureuse. Et je le ferais, je la protégerais des personnes qui voudront lui faire du mal, je la protégerais de ce qui fait mal, peu importe ce que c'est. Je prendrais les coups à sa place, ses blessures deviendront les miennes. Je la rendrais heureuse, je lui achèterais tout ce qu'elle voudra, je lui donnerais tous ce dont elle a besoin, et plus encore. Je veux la voir me sourire. Oui je veux voir son petit sourire illuminer son visage comme il illumine le mien. Son père n'est pas là, encore en déplacement, mais ce n'est pas grave, car moi je peux prendre soin d'elle.

C'était une vraie torture, je l'admets, mais les pires souffrances sont vivement récompensées. Et voilà où j'en suis. A avoir dans mes bras ma petite fille. La chair de ma chair. Un être qui à mon sang dans les veines, mon patrimoine génétique. Rhyne, ma fille...
»

Puis le vent souffla, et les pages se tournèrent encore.

14.07.1614
Aujourd'hui fut le pire jour de ma vie. Je ne vois pas très bien comment expliquer cela, mais disons qu'il ne pouvait pas m'arriver pire. Commençons par le commencement. En rentrant de mon temps libre passé dans le jardin, comme toujours -de toute façon je n'ai nulle part où aller à part les jardins...-, quand j'ai vu maman allongée sur le sol, ses pots de peinture répandus par terre, son pinceau lui ayant échappé des mains roulant encore sur le carrelage du salon. J'ai crié à l'aide en me précipitant sur elle. Elle était pâle, son teint rosé avait laissé place à une peau plus blanche, plus terne... Pire encore, je sentais à peine sa respiration. Ce fut la gouvernante qui arriva en premier. Elle laissa tomber le plateau qu'elle tenait dans ses mains, arrivant d'un pas lent et agacé par mes cris -encore-. Ce ne fut qu'après avoir vu ma mère sur le sol qu'elle se rendit compte que ce n'était pas du bluff ou un jeu. Elle parti en courant chercher de l'aide dans les cuisines alors que je tentais de réanimer ma génitrice en la secouant légèrement. La gouvernante revint finalement avec un verre d'eau et lui épongea le visage avec une serviette imbibée d'eau froide. Je me souviens encore de la peur que j'ai ressentie, je me souviens de l'angoisse, et je me souviens aussi avoir pleurée. C'était effrayant de voir ma mère allongée sur le sol et de ne pas savoir quoi faire pour la sauver. De ne pas non plus savoir ce qui lui arrivait. Les employés au service de la maison et de mes parents appelèrent un médecin et installèrent ma mère dans son lit en la déplaçant avec une délicatesse particulière. Ne sachant pas de quoi elle souffrait, ni comment était son état, il fallait au moins cela. Le médecin arriva finalement une heure plus tard, une heure qui me parut être interminable. Ma mère reprit ses esprits, puis re-sombra dans un profond sommeil agrémenté de cauchemars. Assise à son chevet, sa main dans la mienne, je ne pouvais que la regarder souffrir, les lèvres pincées, je la regardais tenter de se retenir de crier. L'arrivée de cet homme fut un soulagement. Sa blouse blanche sans tâche ni défaut m'indiquait qu'il exerçait surtout chez les gens fortunés, ce que nous sommes. Heureusement, car je ne pense pas que nous aurions pu nous payer ses honoraires sinon. Il examina ma mère avec précaution, il attendit qu'elle se réveille pour lui parler. Moi-même, alors qu'elle dormait encore, il me questionna sur ses habitudes, si j'avais remarqué quelques petites choses d'inhabituel. Puis finalement, au bout de plusieurs heures, il alla voir le majordome pour lui donner son diagnostic. Cachée derrière la porte, dans le salon, je les entendis prononcer ce qui me fait déprimer à l’heure actuelle : Ma mère possède une maladie pas vraiment incurable, mais dont on ne peut pas vraiment être soigné. Il ajouta pour finir quelque chose ressemblant à : « Préparez-vous au pire. » Mais que, si nous le voulions, nous pouvions tout de même lui prescrire un traitement. Cependant les moyens mis en œuvre pour soigner cette maladie n’en sont encore qu’au stade de développement, et les soins sont long et … Douloureux, à quoi mon majordome répondit qu’il allait en parler avec le maitre de la maison, mon père. Mais je connaissais déjà la réponse de mon paternel : « Il est hors de question que ma femme serve de cobaye à la science. » Tout cela parce que son propre père était un chercheur et s’est servie de sa femme pour prouver ses expériences, il avait donné l’excuse : « C’est pour faire avancer la science » à mon père quand celle-ci décéda des suites de ses blessures. De toute façon, mon père n’allait pas rentrer avant plusieurs mois… Cela faisait déjà un an que je ne l’avais pas vu. Il revient pour l’anniversaire de maman, et puis s’en va, et revient l’année suivante. Et entre temps, seule ma mère trouve le courage de lui demander des nouvelles. J’admire sa patience, et l’amour qu’elle lui porte. Personnellement j’ai arrêté d’attendre quoi que ce soit venant de lui. Il ne m’achète jamais rien, et ne me voit pas comme étant de son sang. Le souvenir que j’ai de mon père est celui d’un homme froid et austère. Le genre de paternel qui vous regarde de haut en se demandant comment il a pu vous engendrer. Pourquoi c’est tombé sur lui… Le genre de regard qui vous transperce le cœur comme une flèche de glace. Une flèche ayant le pouvoir de geler tout ce qui se trouve autour. Quand je vois mon père, quand je sens son regard se poser sur moi, je sens aussitôt une vague de froid m’envahir. Sait-il seulement que sa seule présence suffit à m’intimider ? Que le fait de savoir qu’il est dans la maison me donne envie de partir en courant à l’autre bout de la maison ? Non je ne pense pas. Mais qui sait, c’est aussi une personne cruelle. Alors dire que l’on va attendre son avis avant de faire quoi que ce soit, sur le coup cela m’est apparu comme étant la plus grosse débilité que je n’avais jamais entendu. Puis je me suis souvenue que le majordome de la maison avait en sa possession un moyen de le contacter en cas de besoin. Comme aujourd’hui… C’est ce qu’il a fait. Nous avons attendu encore plusieurs heures avant d’arriver à le joindre. La réponse fusa aussitôt : hors de question.
Je suis donc condamnée à regarder maman mourir

18.08.1614
La journée avait pourtant si bien commencée ! Maman et moi étions dehors, depuis un mois je n'avais plus de cours, étant donné que maman est malade, je reste avec elle à longueur de journée, pour profiter d'elle, et elle pour profiter de moi. Je jouais donc dans le jardin, sous la surveillance de maman qui lisait un roman à l'ombre d'un saule pleureur, allant chercher mon ballon qui s'était égaré sur le chemin qui traversait les plantes quand une ombre vint me cacher le soleil. Il m'était toujours apparu comme une personne relativement grande, à chaque fois que je le voyais, je le regardais d'en bas. J'avais beau grandir, c'était comme s'il prenait des centimètres avec moi, c'était frustrant. Je le détestais encore plus. Il a cette manière de mettre de la distance entre nous. Qu'il le veuille ou non d'ailleurs. Toujours est-il que d'une façon ou d'une autre, mon père et moi sommes diamétralement opposés. Ceci par le fait que je ne peux pas passer une seule minute en sa compagnie sans lui vouloir. Or aujourd'hui j'étais partagée. Ma mère tenta de se lever, mais il lui fit un signe de la main, lui demandant de se rassoir. Je lui portais un bref coup d'oeil, elle avait un sourire tendre et aimant. Mais ses yeux fatigués détonnaient avec ce visage rayonnant... J'ai peur, car à chaque fois que je pose les yeux sur elle, elle semble un peu plus pâle. Néanmoins j'espère en silence que mon père arrivera à la guérir, par sa seule présence, car si elle me rend mal à l'aise, pour ma mère c'est le contraire. La présence de mon paternel l'apaise et la rend heureuse. Plus qu'avec moi ou n'importe qui d'autre. Quant à lui... Une fois qu'il eut posé les yeux sur elle, il ne put s'en détacher. Son air austère et froid qu'il abordait en permanence disparut de son visage. J'avais l'impression de voir un autre homme, et puis tout d'un coup je me suis surprise à lui sourire, à sourire à cet homme que j'ai toujours détesté et hait. Parce que le sourire qu'il donna à maman à ce moment-là, et le sourire qu'elle lui rendit cela valait bien de ne plus le détester pendant un temps. Il s'approcha d'elle, d'un pas lent et mesuré exactement comme quand on s'approche d'un animal sauvage. Il s'agenouilla près d'elle, prit ses mains dans les siennes, murmura son nom dans un soupire amoureux et inquiet et resta là, à la regarder dans les yeux. Intriguée, je m'approchais de mes parents, mon ballon dans les mains. J'avais l'espoir futile que nous allions maintenant formés une famille unie et heureuse. Ce fut sans compter sur mon père qui se retourna d'un bloc, se relevant par la même occasion, il me toisa de son regard noir et supérieur. Finalement rien n'avait changé, mais tout allait changer... il ne prit même pas la peine de m'indiquer la maison d'un geste du doigt, son regard toujours posé sur mon visage, il me tonnât de rentrer : « va t'en, tu nous gênes ! ». Ma mère m'adressa un sourire désolé, et je partie dans ma chambre. Cette journée avait pourtant si bien commencée...

14.04.1619
Tu sais, beaucoup de choses ont changées depuis ton départ, il y a deux jours. Papa a arrêté de voyager, il s'est maintenant installé définitivement à la maison, pour mon grand bonheur, tu t'en doutes, je le vois désormais tous les jours, je le supporte désormais tous les jours. Je le vois tout le temps... C'est insupportable. Je voudrais que tu reviennes... Tu sais, j'ai toujours admiré ton courage et ta détermination, quand tu n'aimais pas quelque chose tu le disais à voix haute, tu n'avais pas peur. Au contraire, tu as toujours fait en sorte, que les choses, qui n'allaient pas, changent. Peu importait les moyens. Si tu savais comme je t'en veux. Je t'en veux de m'avoir laissée ici avec lui. Je t'en veux de m'avoir oublié ! A partir du moment où tu as su que j'étais malade, tu as commencé à me couvrir de cadeaux. Ma chambre est remplie de peluche offerte au fil des ans, d'objet en tout genre et d'autres merveilles du monde que tu achetais pour me faire oublier ta prochaine absence, un signe d'excuse, de pardon. Je m'en fiche ! Je te voulais toi. Et maintenant tu n'es plus là, tu ne pourras plus rien faire pour moi, plus jamais. Tu ne pourras plus jamais m'aider ou me prendre dans tes bras comme avant. Tu ne pourras plus me dire : « bonne nuit princesse. » Ou « bonne journée » et j'en passe. Sais-tu à quel point je t'aime ? Non et tu ne pourras plus le savoir maintenant. Tu es partie. Partie pour toujours. Partie à jamais en m'abandonnant dans les mains d'un monstre. En me laissant seule. Mais comment je vais faire moi, sans toi ? Comment je vais faire sans ma mère pour m'aider.
Je serais la princesse de qui? A qui je vais dire : Je t'aime maman?
Pourquoi tu m'as abandonné, pourquoi tu m'as laissé avec lui ?

28.02.1621
En trouvant ce passage dans le mur il y a trois ans, je n'aurais jamais pensé qu'il pouvait s'agir de ma délivrance. Surtout que je l'ai trouvé tout à fait par hasard. Tu aurais pu me dire qu'elle était là, toi qui passais tes journées dans les jardins. Toujours est-il que je l'avais trouvé tout à fait par hasard. Et le hasard fait bien les choses, car voilà où j'en suis. Avec Yume nous avons réussi à gagner une partie de cartes en observant les joueurs pendant plusieurs mois. Petites comme nous le sommes-nous avons pu voir ce qui se passait sous les tables, ainsi les techniques de tricheries ne sont plus un secret pour nous. Ce qui manquait c'était l'application. Alors nous nous sommes entraînés avec des gamins des rues. Ses frères d'abord -tu te souviens de Yume ? Je t'avais parlé d'elle il y a plusieurs mois, c'est l'amie que j'ai trouvé en quittant la « prison doré » c'est comme cela que nous appelons la maison, pour elle qui habite dans la rue et qui ne veut pas d'obligation, elle voit cela comme une prison.- puis nous avons arnaqué plusieurs touristes de passage, avant de nous en prendre à un plus gros gibier. Nous avons donc pris notre courage à deux mains, ou plutôt, notre arrogance nous porta et nous fit pousser la porte d'un bar de fond de village. L'odeur était atroce, un mélange d'alcool, de vomit, d'urine et de viande avariée qui planait dans les airs, menaçant de faire rendre nos boyaux et nos tripes sur le carrelage de cet endroit clairement mal famé. Yume me poussa en avant, la main sur la bouche et le nez, faisant de son mieux pour ne pas respirer cet air putride, tenant fermement dans sa main tremblante le bas de ma veste verte alors que j'avançais, la tête haute, parmi ce ramassis d'homme plus ou moins sobres qui nous entouraient. Pour entrer ici il fallait une certaine tenue de circonstance. Entre autre avoir l'air de sortir d'un égout, ou une tenue « badass » c'était le terme que les frères de Yume employaient pour dire que quelque chose ou quelqu'un était classe. Ou quelque chose de ce genre, tu sais ils ont une façon de parler qui n'est pas comme la nôtre. La leur est plus directe, plus négligée et moins conventionnelle. Elle me dit souvent que je devrais quittes mes manières de fille de riche. Que c'est comme cela qu'on survit et que l'on ne devient pas pirate avec de bonnes tournures de phrases. Devenir pirate... Qu'est-ce que papa dirait en apprenant ça, d'ailleurs, qu'est-ce qu'il dirait en sachant que je profite qu'il ait le dos tourné pour m'enfuir dans la ville ? Il ne serait surement pas ravi. Loin de là même. Bref, j’en étais où… Ah oui. Nous étions donc dans ce bar mal famé, prêtes à rendre nos tripes sur le sol, avançant avec la force de ma volonté de leur en mettre plein la vue, Yume me suivant avec la volonté de ne pas me laisser tomber. Ou alors elle ne voulait pas faire marche arrière seule. Je n’ai pas vraiment su. Nous nous sommes dirigées vers une table pleine de joueurs, et je me suis installée, affichant une fausse confiance, un sourire plein d’assurance, la tête haute et droite. J’avais une allure arrogante. Je signais ma mort.

Ils me regardèrent un moment me demandant ce que je voulais. Ce que je venais faire ici, d'une voix assurée qui me surprit moi autant que Yume, je leur dis :
    -Je viens vous dépouiller.

Eclat de rire général. Il ne leur en fallut pas plu pour se payer notre tête à Yume et moi. Je fis alors quelque chose dont je ne me serais jamais crue capable en ces circonstances : j'abattis mon poing sur la table avec une telle violence qu'elle en trembla. Le silence suivi, j'abordais un air sérieux, armé d'un sourire arrogant. Je voulais me faire une place dans ce monde qui n'était décemment pas le mien, moi qui était issue de la bourgeoisie, je me retrouvais à vouloir jouer les grandes filles des rues dans un bar. Tout cela ne serait jamais arrivé si tu n'étais pas morte tu sais. Tout a changé depuis que tu n'es plus avec nous. Surtout moi. Regarde où je suis... Regarde ce que je fais. Ce que je suis devenue en quelques années. Tout a changé. Jamais je ne me serais risquée à devenir amie avec Yume, jamais je n'aurais eu idée de voler, de semer le chaos, d'être une peste comme je le suis avec les gens que je fréquente, en dehors de la maison. D'ailleurs, je commence même à devenir exécrable avec les employés de papa.

Leurs mines devint sérieuse, puis d'un geste de la main, l'un d'eux intima au reste du bar de se taire. Il se leva, me toisa de haut, comme le fait papa... Puis il me dit :
    -D'accord gamine, tu veux jouer, alors jouons.

Le but de l'exercice était de voir si nous avions assez de cran. Si nous étions assez courageuses et déterminées. Etait-ce parce que je n'avais pas envie de passer pour une dégonflée, ou parce que cet homme me rappelait papa, je ne sais pas, toujours est-il que je me suis levée à mon tour, je lui ai adressé le sourire le plus provoquant de mon répertoire, et sur un ton tout aussi provoquant, je lui dis :
    - Alors prépare-toi à perdre. Parce que personnellement ce n'est pas mon intention.

Le vent commençait à se lever. Les pages se tournaient de plus en plus vite, les chapitres de la vie de Rhyne défilaient sur le sol humide. Le bois craquait, les pages se tournaient. Puis finalement le calme se fit, sur le dernier chapitre de son journal.

02.03.1624
Aujourd'hui j'ai rencontré l'être le plus méprisable de la terre. Rockfor Egry.
Le ciel bleu, le soleil qui réchauffe, la brise qui soulage de la chaleur. Les nuages qui rafraîchissent... Des abrutis à plumer. Tout était parfait. Absolument tout. J'avais trouvé une bonne table, de bons pigeons qui alignaient les billets. Plus je les battais -en trichant- plus ils montaient avec l'espoir de m'avoir. S'ils avaient su que j'étais très habile pour ce genre de tours de passe-passe, jamais ils n'auraient accepté de jouer contre une gamine de mon acabit. De 16 ans certes. Mais tout de même. Tu vois comme c'est facile de se jouer des gens. Je reste persuadée que cet homme qui m'a chassé de chez lui il y a quelques années se fichait de nous. De toi surtout.

Je devais être rendue à ma cinquième partie, les montant dépassaient mes espérances, j'accumulais tellement d'argent que je pris le risque d'en faire une sixième. Je le vis arriver, dans un costume blanc éclatant, un chapeau sur la tête. Je souris. Encore un qui voulait se démarquer. Pour ma part j'abordais un air fier et confiant. Je portais un long manteau noir à capuche, un simple débardeur et une minijupe accompagnée de cuissardes de la même couleur, mon masque blanc posé sur mon nez masquait le haut de mon visage et me donnait un air mystérieux qui n'était pas pour me déplaire. L'homme s'arrêta me regarda jouer, puis il s'installa. En premier lieu je le dévisageais. Pourquoi ce mettait-il à ma table. N'avait-il pas vu que je remportais toutes les mises ? Que diable venait-il faire ici à s'installer tranquillement ?! Je pris cela pour de la provocation. Mais débordante de confiance, je servis les cartes et commençait la partie. Tout allait bien, jusqu'à son arrivée. Tout se passait à merveille ! Mais non il a fallu, bien évidemment, qu'il se pointe et rafle tout. Furieuse, et me disant que j'avais dû me planter à un moment où un autre, je relançais la partie. Au bout de la troisième j'en étais certaine : il trichait. Et pas en amateur, non le bougre savait y faire. Il fallait donc que je monte le niveau d'un cran à mon tour. Partie après partie il gagnait ce que je mettais sur la table, ce que j'avais durement gagné. C'était impensable, et pourtant véridique. Ce mec me plumait, et plus rapidement que je ne l'avais fait avec ces autres abrutis. Je n'arrivais pas à y croire et restais interdite, réalisant que j'avais tout perdu sans rien gagner.

Le silence autour de nous était palpable. Mes yeux figé sur la mise que j'avais mise en jeu, passant dans ses mains fut le déclic qui me fit bondir par-dessus la table pour l'égorger. Depuis que je suis dans la rue, je n'avais perdu que rarement, ceci car j'étais une gamine d'une taille relativement moyenne -pour ne pas dire petite-. J'étais devenue une bonne épéiste en m'entraînant assez souvent. Je ne m'imaginais donc pas perdre à ce jeu-là non plus. Il esquiva, plus j'attaquais, plus ceux-ci frappaient le vent, fendaient l'air et ne touchait que du vide. Ce type commençait sérieusement à m'agacer. Non seulement il me prenait mon argent, mais en plus je ne pouvais pas le tuer et le pendre à un arbre avec ses tripes ! Je n'avais qu'une envie, lui arracher les organes pour les lui faire bouffer à coups de pelles dans la gueule ! J'ai beau n'avoir que 16 ans, j'avais déjà égorgée plus d'une personne. Je n'aime pas qu'on se croit supérieur à moi, qu'on me dise non. Je n'aime pas non plus qu'on me trahisse comme l'a fait Yume. Elle fut la première à tomber, et je continuerais à assassiner tous ceux qui se mettront sur ma route. Entre autre, ce type était devenu ma nouvelle cible. Puis enfin il se décida à riposter, et en un seul mouvement, je me retrouvais à terre. Furieuse, je me redressais sur mes jambes et dégainais mon sabre, remettant ma dague dans son étui d'un simple mouvement. Cette fois je me fichais de le torturer, je voulais qu'il meure. Et vite.
Mes coups se firent plus pressés, plus vif. J'attaquais sans me démordre, cet enfoiré allait gouter ma lame, je voulais la lui enfoncer dans sa gorge, je voulais qu'elle traverse son crâne. Je voulais le trucider et que son sang se répande sur le sol ! Ce serait ma victoire et j'avais l'intention de porter ce chapeau en signe de trophée !

Il me sortit des phrases invraisemblables, me disant que je devais le suivre, me promettant presque un avenir meilleur à ses côtés, son arrogance quasi flagrante donnait à mes coups une nouvelle force : l'envie d'en finir au plus vite. Il espérait quoi ? Que je me sente flatté parce qu'il m'avait choisi ? Moi ce que je voyais, c'était qu'il m'avait humiliée, et je devais réparer cela dans les plus brefs délais ! Quitte à le suivre jusqu'en enfer, je le tuerais un jour ou l'autre.

Puis finalement, il me sourit, un sourire qui me fit perdre pied. J'arrêtais un instant de l'attaquer, écoutant finalement ce qu'il avait à dire. Sauf que la chute de l'histoire ne me plut pas du tout. Allons bon, en plus de ça il se prenait pour un roi. Il avait dû tomber dans les escaliers le matin en se levant. Etre aussi fêlé du bocal c'était impossible. Tu arrives à le croire ? Un type de cet acabit qui se prétend être un roi, MON roi qui plus est. Se croire autant supérieur à moi est une erreur fatale. Mais au moins elle eut le mérite de me calmer. Je le hais. Lui qui a osé sous-entendre que je lui étais inférieur. Sourcils froncé je lui décochais un regard haineux et assassin. Il partit. Et je le suivis.

Un jour ou l'autre, je le tuerais. Même si je dois le suivre en Enfer pour ça.

Rhyne arriva en pestant contre ses nakamas. Tous des abrutis. Pas un pour rattraper l'autre. Elle avait du mal à se calmer, apparemment ils avaient encore fait des siennes. Pourquoi était-elle avec eux bon sang! Elle trouva son journal près de son lit, ouvert sur une page blanche, le vent ayant encore soufflé. Elle le feuilleta un instant, puis le fourra dans son sac. Sans un mot. »




Test RP

Mauvaise journée aujourd’hui, Rockfor est descendu en ville et a trouvé une nouvelle façon de te rendre folle en trouvant une groupie à ramener sur le bateau. Le genre de potiche au look de mannequin qui t’insupporte complétement et qui lui voue un véritable culte tout en te considérant manifestement comme la pauvre fille délaissée du coin. Hors de question qu'elle reste à bord. Le départ est prévu dans deux heures, débarrasse toi d'elle.

«
    -C’est quoi ça ? Fit Rhyne en voyant Rockfor débarquer avec une jolie bimbo à son bras.

Super, il ne manquait plus que ça. Elle était fière d’être la seule fille à bord, et voilà qu’une pouffiasse de bas étages se pointait pour lui voler la place. Et encore, comme si cela n’était pas suffisant, elle était avec Rock.
    -Dites-moi que je rêve… Dit-elle en se redressant, ses avants-bras jusqu’à lors posés sur le bastingage du bateau. Car oui, elle croyait vraiment rêver. –quoi d’autre sinon-

Elle les regarda monter sur le pont. L'un mécontent, l'autre avec un air hypnotisé peint sur le visage. La jolie rousse agrippait fermement le bras de celui qui se prétendait être son roi, ou son maitre suivant ses humeurs. Le corbeau eut donc une vision d'horreur. Etait-ce le visage de Rockfor ou le fait que cette imbécile soit collée à son bras qui fut qu'elle dû réprimer une envie de vomir. Comment pouvait-on s'approcher de ce pervers mythomane et caractériel ? C'est du moins comme cela qu'elle le voit. Comment pouvait-on le toucher et être pendu à son brase comme elle l'était ? Cette fille qui le regardait avec admiration et lui avec... Cette attitude tout à fait insupportable : fier et arrogant, même s'il avait apparemment l'air mécontent. Une seule fille à son bras, ce n'était pas assez. Cet enfoiré représentait bien la cupidité. Par réflexe elle posa sa main sur la garde de son sabre, mais après tout, cela ne servirait à rien. Elle n'était pas encore assez forte pour le battre. Elle lâcha la garde de sa survie et s'en alla d'un pas frustrée et pressé vers la soute, histoire de se défouler un peu.
    -C'est qui cette gamine ? Qu'est-ce qu'elle fout là ? Questionna la rouquine avec une mine boudeuse. Elle est amoureuse de toi ?

Rhyne crut qu'elle avait mal entendu. Cette playmate de concours avait osée dire quoi ?!
Elle se retourna d'un bloc. Et puis quoi encore ?
Rock quant à lui regardait la scène d'un oeil plus qu'intéressé, son sujet n°1 était toujours une source d'amusement. Elle éveillait sa curiosité. Elle pesta silencieusement, se contentant de lui lancer un regard noir. Elle s'occuperait de l'égorger plus tard, pour l'heure elle devait faire taire cette pimbêche perchée sur des talons de trente centimètres, lui faire manger sa langue à coups de pelles dans la gueule. Elle, amoureuse de lui ? Cet espèce d'empaffé mal léché ? Lui qui regardait la scène avec attention car celle-ci l'amusait fortement. Pour lui la situation était comique. Comique ? Non juste ridicule. Il n'y avait même pas à réfléchir. Rockfor était un être insupportable. Si Rhyne le suivait c'était pour le protéger, pour mieux l'achever. La seule personne sur Terre qui pouvait lui ôter la vie, c'était bien elle. Et cette pimbêche en mini jupe qui déclarait de but en blanc que le corbeau était amoureux du paon. Elle était partagée entre une envie de rire, celle de la tuer et celle de partir. Et si elle lui ouvrait le crâne à la bimbo sur échasses, peut être que son cerveau allait enfin s'aérer, ainsi elle arrêterait donc débiter plusieurs idioties à la seconde? C'était peut-être ça le vrai problème finalement.... Un cerveau qui manquait d'oxygène. Et voilà ce que cela donnait : une dégénérée qui s'accroche à Rock.
Magnifique.
La pauvre enfant, il fallait lui faire retrouver la raison… D’ailleurs en parlant d’enfant…
    -Moi une gamine ?!

Elle saisit un seau d’eau posé par terre, à la base prévu pour nettoyer le pont du bateau, et le lui envoya dans la figure, et pour faire bonne mesure, elle lui balança aussi le balais qui allait avec.
    -J’AI DIX SEPT ANS ! PETASSE ! Hurla-t-elle furieuse.

Sans attendre de voir si elle avait atteint sa cible ou non elle prit finalement le chemin du port. Longer les quais allaient lui faire du bien... L'air marin mêlé à l'agitation du marché et des embarcations prêtes à lever l'ancre et prendre le large allait pouvoir lui faire oublier cette mijaurée déglinguée qui racontait n'importe quoi. Il fallait qu'elle parte d'ici, au plus vite ! Respirer le même air que Rock lui était déjà fort désagréable, alors se trouver, en plus, en présence d'une de ses groupies, non merci.

Elle descendit la passerelle en bois qui reliait l'île au bateau de son équipage, le pas rageur, l'esprit furax. D'un geste énervé elle rabattit sa capuche sur le sommet de son crâne et fourra ses mains dans ses poches. De plus en plus pressée et le visage trahissant sa mauvaise humeur, elle se fondit dans la foule. L'avantage d'être une teigneuse de cet acabit, c'est que quand vous êtes en colère, le chemin s'ouvre à vous de manière naturelle. Dans le pire des cas, vous faites comme Rhyne : vous dégager du passage ceux qui se trouvent sur votre chemin. L'impatience pouvait se lire sur les traits de la jeune fille. Elle avait envie de partir, de partir loin, mais le départ du bateau n'était prévu que dans deux heures. Deux heures ! Il ne lui restait donc plus que deux heures pour trouver comment virer cette grognasse à la chevelure de feu du pont de son bâtiment. La tuer ? Non trop expéditif. La faire dégager de manière subtile ? Non trop long. Lui demander gentiment de partir ? C'était une manière diplomate de régler la question... En somme ce n'était pas du tout son genre. Elle s'arrêta en plein milieu de la rue, entre les étalage de peintures et de chaussures, et se mit à observer le ciel, levant la tête, prête à se dévisser le cou. Elle regarda les nuages passer en tentant de trouver une solution à son problème. La seule qui lui venait à l'esprit était de tuer Rockfor. Une fois cela fait, tous ses problèmes seraient réglés... Elle poussa un soupire à fendre l'âme en baissant la tête. Non elle ne pouvait pas. Pas maintenant. C'était encore trop tôt.

Finalement elle décida de laisser les choses suivre leurs cours et d’agir en fonction de, sur le tas. Après tout elle n’était plus là-bas, elle allait donc profiter de chaque instant passé loin d’eux et se détendre un peu.

Le marché était calme en ce début d'après-midi ensoleillé. La légère brise de l'est venait taquiner sa peau. Rhyne était une jeune fille au physique enfantin, mais une jeune fille mignonne. Le genre de gamine qu'in imagine pas du tout être en réalité une peste finie. Le genre de peste lunatique qui passe du rire à la fureur la plus totale. Une jeune fille invivable en somme. Dans ses yeux brille une aura de malveillance quasi permanente. La malice est son amie, la rancoeur est sa force. La Vengeance est sa maitresse. Mais Rhyne c'est surtout une enfant gâtée qui cherche son bonheur... Ailleurs. Mais pour l'instant, dans l'absolu tout du moins, elle s'occupe de suivre Rockfor. Uniquement pour mettre fin à ses jours elle-même. Depuis le jour de leur rencontre, elle n'a qu'une envie : l'assassiner. Elle cherche la manière de le tuer. Ce n'est pas une affaire de puissance. C'est plutôt qu'elle cherche le moment où il baissera sa garde.
Et elle le trouvera ce moment, elle l'a jurée.

Elle arriva finalement à la fin du marché. Devant elle se dressait la vaste étendue de l'océan, derrière se trouvait le chemin qu'elle venait de faire, et sur le côté gauche il y avait un chemin égaré vers la ville en contrebas. Le carrefour de sa vie. Mourir noyée, recommencer sa vie ou rentrer sur le bateau et affronter ses démons ? Elle prit une minute de réflexion. Qu'est-ce qu'elle voulait vraiment ? Au plus profond d'elle ? Pourquoi avoir suivi Rock alors qu'elle pouvait tout aussi bien le laisser filer après l'avoir incendier ? Elle observa la vaste étendue de l'océan, regarda à gauche et jeta un coup d'oeil par-dessus son épaule. Elle se sentait si bien loin de cet homme qui voulait conquérir le monde et les étoiles. Pourtant... C'était à lui qu'elle pensait il y a quelques minutes, alors qu'elle était accoudée au bastingage du bateau. Lui qu'elle attendait. Elle se sentait un peu perdu, un peu vide sans Rock à ses côtés. Et puis elle avait peur. Peur de ce qui pouvait lui arriver. Peur que quelqu'un l'assassine à sa place... Que ferait-elle, alors, si jamais cela devait advenir ? Elle avait comme ce besoin vital d'être dans son périmètre. De l'avoir dans son champ de vision. Après tout, quand on y réfléchissait, Rockfor était la seule figure masculine qu'elle avait eu depuis ces dix dernières années, elle avait tout de même vécu plus de quatre mois avec lui... Après que son père l'ai mise à la rue, elle avait peut-être cherché inconsciemment une figure paternel en lui... ? Non impossible. Idée à bannir. Elle voulait l'assassiner point à la ligne.

Finalement, elle soupira encore une fois, et fit marche arrière. Faire le tour du marché lui avait pris plus de temps que prévue, il fallait qu’elle se dépêche de remonter sur le bateau avant le départ de celui-ci.

La danseuse d’acier arriva finalement à temps sur le navire. Les voiles déployées, ils allaient bientôt appareiller. Mais quand elle fut sur le pont, elle eut le plaisir de voir que cette guigne était encore présente. Celle-ci lui adressait un sourire de victoire. Allons bon, super. Maintenant elle se croyait supérieur à elle… Rhyne fit une grimace et se dirigea sans tarder vers le pont inférieur.

    -Tu sais que tu ne l’auras jamais pour toi ? Fit la rouquine sur un ton qui ne plut pas à la jeune fille de dix-sept ans.
    -Tu sais que je m’en fiche ?
    -Je ne crois pas. A mon avis tu penses que tu peux l’avoir pour toi toute seule.
    -Je ne perdrais pas mon temps à t’expliquer que non, tout comme je sais que te dire que deux plus deux ne font pas six ne te rentrera pas dans le crâne.
    -Dis donc gamine ! S’impatienta la bimbo ramenée par Rockfor. Ce n’est pas parce que tu parles bien que tu peux me manquer de respect !
    -J’AI DIX SEPT ANS ! Hurla Rhyne à nouveau, encore une fois titillé sur sa taille et son âge. Et excuse-moi, princesse, mais une fille qui tombe amoureuse de cet abruti, c’est qu’elle a un problème relationnel ou mental ! Pas besoin de te parler ou de te connaitre pour savoir faire la part des choses. On devine juste en te voyant duquel il s’agit. Maintenant sale pimbêche, dégage de mon chemin avant que je ne te balance par-dessus bord !


Sur une attitude exaspérée, Rhyne partie vers les lieux qui lui servaient de chambre.
    -Tu parles, t’es juste une gamine pourrie gâtée en manque d’amour qui a voulu partir à l’aventure. Rock ne s’intéressera jamais à toi ! D’ailleurs qu’est-ce qu’une petite comme toi fais ici, à ta façon de parler on devine d’où tu viens ! Les enfants comme toi ont tout pour être heureux.
    -J’AI DIX SEPT POUFFIASSE ! Fit Rhyne en lui empoignant le bras, la jetant par-dessus bord, l’envoyant ainsi faire trempette avec les poissons du port. ET N’INSINUE PLUS JAMAIS QUE J’AI DES SENTIMENTS POUR CE CONNARD ! ET LA PROCHAINE FOIS QUE TU ME SORS QUE J’AI TOUT POUR ETRE HEUREUSE JE TE FAIS BOUFFER MON BONHEUR A COUPS DE PELLE DANS LA GUEULE ! C’EST CLAIR ?! Cria-t-elle


Elle se retourna, furieuse, et vit Rock’ sourire, avant de lui tourner le dos. Connard, il avait tout prémédité et elle était tombée dans le panneau. »




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Informations IRL

Prénom - « Kim-Lan »
Age - « 19ans »
Aime - « La vie »
N'aime pas - « Les dépravés suicidaires qui se plaignent sans arrêt. »
Personnage préféré de One Piece - « Nico Robin? En fait j'en ai pas... »
Fais du RP depuis - « Longtemps »
Caractère - « Aha. C'est drôle ça.
A ce qui parait je serais une peste narcissique, hautaine, égoïste et froide. A ce qui parait...
Enfin demandez à Lilou. .w. »
Disponibilité - « Tous les jours »

Comment avez vous connu le forum ? - « Lilou B. Jacob »




Dernière édition par Rhyne Ovalie le Dim 29 Avr 2012 - 15:59, édité 49 fois
  • https://www.onepiece-requiem.net/t8861-sexy-crazy-wild-skye
Bonjour et bienvenue sur OPR !
Bonne chance pour ta présentation et up si tu as des questions ou que tu veux ton test rp.
    Bonjour, premier et dernier avertissement !
      Ben en fait je suis en pleine période d'exam aha ^^"
      Donc je me concentre plus sur mes exam que sur ma pres, navré, mais elle sera bientôt finie. Enfin j'espère.
      • https://www.onepiece-requiem.net/t8861-sexy-crazy-wild-skye
      Pas de soucis, merci d'avoir prévenu ^^
      (je me doute que les exams sont plus importants !)
        Hop hop ♥
        Histoire terminée, descriptions finie. Ohw, mais il ne me manque plus que le test RP pour terminée tous ça. Héhé. -Ca me paraissait minuscule jusqu’à ce que Lilou me dise: "oui mais t'écris plus petit!" "... Ah ouais!"-
        • https://www.onepiece-requiem.net/t8861-sexy-crazy-wild-skye
        Salut Rhyne, voila ton test RP

        Mauvaise journée aujourd’hui, Rockfor est descendu en ville et a trouvé une nouvelle façon de te rendre folle en trouvant une groupie à ramener sur le bateau. Le genre de potiche au look de mannequin qui t’insupporte complétement et qui lui voue un véritable culte tout en te considérant manifestement comme la pauvre fille délaissée du coin. Hors de question qu'elle reste à bord. Le départ est prévu dans deux heures, débarrasse toi d'elle.

        Bye, Red
          Terminé!
          • https://www.onepiece-requiem.net/t8861-sexy-crazy-wild-skye
          Bonjour, voici un premier avis pour toi :

          Niveau forme : si la syntaxe est globalement correcte, il y a des passages où tu te relâches et des fautes d’orthographe qui traînent. Je prends comme exemple le début de la description physique :
          « Admire cette silhouette qui s'approche de toi, le regard perçant, les mains le long du corps qui se balancent en cadence, au rythme d'une marche simple, mais légère, le regard fixé sur toi elle aborde un mignon petit sourire, si attendrissant, si enfantin, si joyeux, et si ... Faux. > la phrase est trop longue, il y a un soucis de ponctuation.

          Comme c'est amusant n'est-ce pas? Une jeune fille en apparence si douce, joyeuse et pétillante. > là pareil, c'est bizarrement ponctué, la tournure est étrange.

          Et oui, elle a l'air pétillante, notre déesse du chaos, pleine de vie et de la bonne humeur à revendre. >idem.

          Hallucinant hin? > hein.

          Pourtant c'est bel et bien le cas. Rhyne Ovalie, est l'une de ses enfants qui nous font sourire en les voyant déborder de joies pour une peluche ratée, ratée, certes, mais qui se fiche des apparences parce que tout le monde le sait: le geste en dit plus que la parole. >tournure bizarre

          [...]

          Tout d'abord, ses cheveux incroyablement longs, longs, soyeux et miroitants comme de l'eau. Ces fils noirâtre si fins qu'ils vous glissent entre les doigts, oui ces cheveux-là, en dessous, je veux dire en dessous la boite crânienne, se cache un cerveau machiavélique et calculateur, vous savez ce truc qui commande tous vos mouvements, ce qui fait notre moral. Mais passons, cette partie-là sera dévoilée plus tard.

          Tu vois le topo, quand c'est mis en évidence ça fait mal, mais là c'est pas terrible du tout. IL manque une bonne relecture à voix haute !
          Donc en résumé : problème de tournures de phrases : il manque parfois des verbes et c'est mal tourné. Je te conseille de revenir (pour un temps du moins) au bon vieux sujet verbe complément. Il y a des petits soucis de concordance des temps dans la bio et le test rp.
          En point positif tu as du vocabulaire et tu l'exploites et c'est long (ce qui peut expliquer en partie le nombre de fautes ^^)


          Niveau fond : c'est mieux que la forme, le caractère du personnage est bien maîtrisé et ressort parfaitement dans le test rp. ("j'ai 17 ans pétasse" ^^)
          La biographie est sympathique même si je en suis pas fan de la succession de dates.

          Pour moi ce sera du 550-650 dorikis.

          EDIT : j'ai donné une fourchette plutôt qu'une quantité.
            Aha, Merci pour cet avis GM.

            J'admets m'être un peu laissée aller pour certains passages plus que d'autres.Mon esprit étant plus concentré sur ma vie IRL, notamment mes exams ;o; Et puis ouais, faut que je prenne l'habitude de me relire. C'parce que sur le coup dans ma tête ça sonne bien en fait xD

            J'admets aussi avoir un problème avec la concordance des temps -mais je me soigne-. Enfin bon, une fois mes exam' passé je serais un peu plus posée, je pourrais faire des RP qui déchirent le steak! Non je plaisante. Je ferais plus attention aux fautes et à tout le reste ;).

            Je savais que j'aurais du rester dans le classique pour la bio, m'enfin ravie que ça t'ait plut malgré tout =).
            • https://www.onepiece-requiem.net/t8861-sexy-crazy-wild-skye
            Yosh mectonne.

            Une voix pour toi, et un avis aussi donc.

            Descriptions :

            dès le départ un joli style qui nous plonge dans la lecture. Malgré tout, tu te perds parfois avec la ponctuation. Exemple :

            Ces fils noirâtre si fins qu'ils vous glissent entre les doigts, oui ces cheveux-là, en dessous, je veux dire en dessous la boite crânienne, se cache un cerveau machiavélique et calculateur, vous savez ce truc qui commande tous vos mouvements, ce qui fait notre moral.


            Là, j'aurais mis un point au lieu de la virgule rouge. Niveau orthographe, il y a bien quelques fautes qui traînent ou des mots oubliés mais c'est loin d'être mauvais, c'est même bon. 'fin pour moi.

            Pour la psychologie, faire des paragraphes par défauts est vraiment intéressant et permet une meilleure clarté. Point positif donc.

            Histoire :

            Le fait de lire un journal intime est vraiment super sympa. J'ai adoré imaginer la scène. Le bémol à ça c'est que du coup je m'attendais à ce que le « je » du bouquin soit la mère et non la fille. Mais j'ai du louper quelque chose... Parce que le « je » de la page du « 14.04.1619 » explique être malade et se plaint de la personne qui l'a abandonné. Je pense avoir deviné que c'est la fille qui parle à la mère, j'ai bon ?
            En fait il y a des passages excellents comme l'entrée dans le bar où on imagine admirablement bien la scène, et d'autres d'un niveau bien moins élevé comme celui dont je t'ai parlé. C'est tellement hétérogène que ça en devient surprenant...


            Sinon comme l'a dit Minos pour un autre frometon, c'est cool d’espacer les gros blocs en paragraphe parce que lire sur un ordinateur est bien moins aisé qu'avec un bouquin. Penses à tes lecteurs ! ^^

            Test rp :

            Sympa cette histoire d'amour meurtrier 'vec le Rockfort. On sent que tu contrôle assez la personnalité de la miss et ça c'est cool. Et puis ça annonce des rps sympas avec l'équipage.

            Au final, quelques petites incohérences viennent gâcher une lecture et un style que j'ai quand même bien aimer. Une personnalité bien travaillé et un personnage haut en couleur. Un choix de biographe risqué qui ne porte pas tous ses fruits. Bref, 650D.

            Si soucis, ma boite à mp est ouverte, bon jeu !
              Yo-ho, Rhyne. Troisième comm', l'a mis du temps mais il arrive.

              Pas énormément de remarques à faire, dans l'ensemble c'est bon. Parfois, des constructions de phrase qui paraissent un peu curieuses à la lecture, on tâtonne pour trouver le rythme. Mais ça peut passer pour une question de goût. Des fautes, ici ou là, pas des masses mais quand même quelques-unes. Bref, on tutoie le très bon, mais sans l'atteindre, il y a toujours un petit grain de sable. À voir, avec une relecture, y'a moyen de gommer les détails qui piquent. À mettre à ton crédit, des descriptions bien ordonnées, une bio plutôt originale dans son format.

              C'était pour la forme. Du reste, perso bien tenu, bien croqué; pas de reproche à ce niveau, Rhyne a tout à la fois un bon potentiel comique et dramatique. Pour avoir lu la préz de Rockfor aussi, on sent la bonne entente entre les joueurs de l'équipage, tout du moins vous deux, dans ton test RP, c'est prometteur pour vos aventures.

              Bilan, c'est du bon. Sympa à la lecture, perso bien travaillé; ne reste qu'à peaufiner certains détails. J'en arrive à du 650, comme Serge, et à peu près comme GM. Mettons 625 Dorikis pour la moyenne. C'est la valid, félicitations.