- Bonjour, une boisson fraîche s'il vous plait.
- Bonjour, est-ce que vous pouvez être plus précis, s'il vous plait?
- Oups, pardon. J'étais tellement assoiffé que je n'ai même pas pensé à ce que je voulais concrètement. Quel sot... Hmm, juste de l'eau pour commencer. Merci bien.
Wohrwèlch venait d'avoir une longue journée. Le soleil avait bien tapé aujourd'hui. Il se faisait tard. Il devait être dans les 19h. Il s'installa au comptoir. Et comme à son habitude, il avait l'esprit à moitié ailleurs. Il se remémorait des évènements passés. Autrement dit, il avait clairement perdu son temps. Aucune trouvaille pour ses recherches. Il commanda juste une soupe. Il n'avait même pas pris la peine de sortir ses livres pour étudier un peu. Il était complètement H.S. qu'il s'écroula sur le plan de travail. Le serveur posa néanmoins son dînée sur le côté. Seulement, cela faisait des heures que l'archéologue dormait à point fermé.
Mini nuit était passé, le barman alla tapotait le dos du seul "roupilard" dans la salle et lui demanda de bien vouloir se réveiller:
- Excusez-moi monsieur de vous sortir de ce sommeille si profond, mais vous ne pouvez rester éternellement dans cet état ici. De plus, vous n'avez même pas mangé votre repas du soir.
Le tavernier désignait du regard le bol encore pleine et froide de Worhwèlch. Il continua, toujours dans un ton mêlant l'excuse et l'autorité:
- Je vous demanderais bien de vouloir me payer et de vous en aller, l'auberge ferme, voyez-vous? Sinon, si vous insistez pour rester ici, nous avons des chambres disponibles si vous voulez.
Les yeux du jeune homme étaient encore dans le flou et avait à peine le temps de comprendre qu'il en était à la fermeture. Quand il entendit le mot "manger", il sauta d'un bond, reprenant un plus de force que tout à l'heure. Il s'exclama:
- Je suis complètement désolé monsieur, si vous voulez bien réchauffer ma soupe, je souhaiterais la prendre mine de rien. Tenez, voilà pour la soupe.
Il prit une petite pause:
- Merci bien, mais j'ai déjà payé un hôtel. Il faut d’ailleurs que j'y aille.
Après que le cuisinier ait réchauffé son plat, il l'avala à toute vitesse et sortit rapidement. Les rues étaient désertes. Par moment, on entendait des chats de gouttières ou le vent qui s'engouffrait dans les passages miteux. Par plusieurs reprises, Wohr cru être suivis et se retourna plus souvent. Il doubla sa vigilance et vérifia de nombreuses fois ses arrières. Il pensait. "Mais quel âge ais-je? Je ne suis plus en enfant, je ne devrais pas avoir peur pour si peu à chaque fois que j'entends un misérable bruit, voyons. Pff, quel crétin je fais...". Soudant, une poubelle roula dans son dos. Il se retourna et ne vit personne. C'est alors, quand il redressa sa tête qu'il remarqua une ombre en face.
[Hrp: je garde le mot qui n'existe pas "roupilard" car je trouve qu'il sonne bien pour désigner Wohr entrain de dormir ]
- Bonjour, est-ce que vous pouvez être plus précis, s'il vous plait?
- Oups, pardon. J'étais tellement assoiffé que je n'ai même pas pensé à ce que je voulais concrètement. Quel sot... Hmm, juste de l'eau pour commencer. Merci bien.
Wohrwèlch venait d'avoir une longue journée. Le soleil avait bien tapé aujourd'hui. Il se faisait tard. Il devait être dans les 19h. Il s'installa au comptoir. Et comme à son habitude, il avait l'esprit à moitié ailleurs. Il se remémorait des évènements passés. Autrement dit, il avait clairement perdu son temps. Aucune trouvaille pour ses recherches. Il commanda juste une soupe. Il n'avait même pas pris la peine de sortir ses livres pour étudier un peu. Il était complètement H.S. qu'il s'écroula sur le plan de travail. Le serveur posa néanmoins son dînée sur le côté. Seulement, cela faisait des heures que l'archéologue dormait à point fermé.
Mini nuit était passé, le barman alla tapotait le dos du seul "roupilard" dans la salle et lui demanda de bien vouloir se réveiller:
- Excusez-moi monsieur de vous sortir de ce sommeille si profond, mais vous ne pouvez rester éternellement dans cet état ici. De plus, vous n'avez même pas mangé votre repas du soir.
Le tavernier désignait du regard le bol encore pleine et froide de Worhwèlch. Il continua, toujours dans un ton mêlant l'excuse et l'autorité:
- Je vous demanderais bien de vouloir me payer et de vous en aller, l'auberge ferme, voyez-vous? Sinon, si vous insistez pour rester ici, nous avons des chambres disponibles si vous voulez.
Les yeux du jeune homme étaient encore dans le flou et avait à peine le temps de comprendre qu'il en était à la fermeture. Quand il entendit le mot "manger", il sauta d'un bond, reprenant un plus de force que tout à l'heure. Il s'exclama:
- Je suis complètement désolé monsieur, si vous voulez bien réchauffer ma soupe, je souhaiterais la prendre mine de rien. Tenez, voilà pour la soupe.
Il prit une petite pause:
- Merci bien, mais j'ai déjà payé un hôtel. Il faut d’ailleurs que j'y aille.
Après que le cuisinier ait réchauffé son plat, il l'avala à toute vitesse et sortit rapidement. Les rues étaient désertes. Par moment, on entendait des chats de gouttières ou le vent qui s'engouffrait dans les passages miteux. Par plusieurs reprises, Wohr cru être suivis et se retourna plus souvent. Il doubla sa vigilance et vérifia de nombreuses fois ses arrières. Il pensait. "Mais quel âge ais-je? Je ne suis plus en enfant, je ne devrais pas avoir peur pour si peu à chaque fois que j'entends un misérable bruit, voyons. Pff, quel crétin je fais...". Soudant, une poubelle roula dans son dos. Il se retourna et ne vit personne. C'est alors, quand il redressa sa tête qu'il remarqua une ombre en face.
[Hrp: je garde le mot qui n'existe pas "roupilard" car je trouve qu'il sonne bien pour désigner Wohr entrain de dormir ]