Sharp Jones

◊♠ Sharp Jones ◊♠



Nom: Jones
Prénom: Sharp
Pseudonyme :
Age : 35
Sexe: Homme
Race: Homme
Rang: Pirate
Déjà un équipage : Non
But : Amasser des sommes astronomiques et accroître mon influence par delà le nouveau monde.
FDD ou aptitude pour la suite :
Equipements : Canne épée. Pistolet gravé
Codes du règlement:
Parrain: Kaitô (changement de compte)

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♣ Physique ♣

Jones arbore un costume 3 pièces uni et taillé sur mesure à sa morphologie. L’étoffe orangé ne souffre d’aucun pli et épouse parfaitement les formes de son porteur. Le vêtement orangé est le résultat d’un travail minutieux d’un tailleur hors pair de West Blue, réputé pour son tissage légendaire. En effet, l’homme a sélectionné les meilleures fibres naturelles pour la confection de ce vêtement. 4 boutons dorés de manchette ornent chacune des emmanchures de cette veste peu commune. Des gants fins en vinyle blanc viennent recouvrir les mains d’orfèvre de Jones. Une chemise blanche de bonne facture sous plombe un gilet sombre, presque opaque. La coupe de la veste rappelle l’époque phare des jeux de hasard, l’ère des nouveaux riches qui claquent ostensiblement et de manière totalement inconsidéré leur pactoles. La silhouette de Jones fine et élancé fait écho à celle des croupiers et autres commis de ces établissements du hasard. Une plume brune dans la pochette de sa veste vient ponctuer le style très marqué de ce personnage atypique.

Une étoffe rouge carmin entoure son cou et met en valeur tricot figurant en dessous de sa veste. Un chapeau haute forme en cuir noir surplombe la tête du personnage. Il y figure quelques formes géométriques, illustrant l’attrait de l’homme pour le jeu. Un faciès plat aux traits fins sans profondeur, une peau lisse et un teint rosat rendait cet homme quelconque à l’instar de n’importe quel quidam. Il arbore cependant des cheveux mi-long et roux dont les mèches fougueuses viennent recouvrir des pans de son visage. Une ébauche de barbe de même teinte complète le portrait de ce personnage. De larges prunelles bleues dissimulent un regard cupide et calculateur auquel la gente féminine ne résiste guère. L’homme se déplace toujours avec un pistolet dont la crosse gravé d’arabesques est serti de grains d’or, c’est là un héritage familial dont l’homme ne se sépare jamais. Une canne épée l’accompagne aussi de jour comme de nuit dans ses aventures et autres coups fumants. Enfin, une chouette brune sournoise est devenue à part entière l’un de ses compagnons de route, elle renseigne son propriétaire sur le jeu de ses concurrents aux tables de jeu. Enfin, il figure dans les poches intérieures de sa veste tout un attirail d’objets utiles venant compléter sa panoplie de gentilhomme : cigares, monocle, briquet et montre à gousset.



♦ Psychologie ♦

Sharp Jones est un joueur invétéré, il fréquente les tables de jeux comme personne et est un fervent adepte de tous les jeux de hasard. Roulette, Black Jack, Poker, Mahjong, il connaît toutes les ficelles de ses divertissements et n’hésitera pas à faire une partie avec vous si votre mise de départ est assez importante. Il a poussé cette passion pour le jeu à un stade exacerbé, tout évènement notoire devient un motif pour jouer une partie et bien entendu la remporter haut la main. Cet homme est mué par le vice du jeu, il ne vit que pour et par le jeu ou plutôt l’argent qu’il ramassera à la fin de la soirée. C’est un stratège qui vous poussera dans vos derniers retranchements pour vous asséner le coup final. Calculateur et froid, il vous fera croire à votre victoire avant d’abattre en dernier ressort ses cartes maîtresses. Il cultive le challenge et relève souvent les défis qu’on lui propose sur une table de jeu. Jones est un homme fier et orgueilleux et sans doute ce point précis qui constitue sa plus grande faiblesse. Il garde les pieds sur terre et fait preuve d’un sang froid inégalé dans toutes les circonstances. Il adopte une logique de probabilité sans faille et refuse la défaite.

Son tempérament taciturne et renfermé ne plaira pas à tout le monde. Par ailleurs, il affectionne tout ce qui se rapporte aux mystères et aux énigmes en tous genres. Jones est un homme soigné et ordonné qui exécute méthodiquement les actions qu’il a planifiées, il planifie et anticipe autant que possible les agissements adverses comme il le ferait dans une partie de poker. Sa passion pour l’argent n’a pour limite que son ambition démesurée. Il soudoie, corrompt pour et par l’argent qu’il peut en retourner et s’arrange toujours pour s’en sortir indemne. En conséquence, il s’intéresse aussi aux investissements financiers, aux placements financiers et trempe dans toutes les magouilles nébuleuses où un gros paquet de berrys est à rafler. Il fera toujours en sorte d’effacer ses traces afin de rester inconnu. C’est un homme qui sait se montrer patient et méticuleux, comme dit la maxime : patience est mère de sûreté. Ses proies ? Les baleines comme ils se font appeler dans le milieu, Jones les appâte et les laisse gagner puis vint le moment où il les cueille dans leur phase descendante. Il ne supporte pas d’être catalogué comme un playboy et s’arrangera pour vous faire garder en mémoire et vous remonter l’ascenseur un jour prochain…héhé. Il affectionne les vêtements de qualité et pense que ses tenues attestent d’une qualité et d’un confort comme on n’en fait plus de nos jours.



Histoire :

L’homme est originaire du royaume de Luvneel sur North Blue. Laissé à l’abandon dans les rues hostiles de la cité et dans le dénuement le plus total, il vécut tant bien que mal son enfance à travers des larcins et méfaits pour assurer sa subsistance. De la nourriture bon marché aux bijoux dorés, Jones se fit aisément la main dans ce royaume où l’opulence et la richesse ne manquent pas à l’appel. Il perfectionna son sens de l’observation et son appréciation des situations, étroitement lié au contexte de ces vols et autres actes illégaux. Il vivait en marge d’une société aisée pour qui l’argent était un gage de position sociale et de rang. Oui, le royaume de Luvneel abritait son lot de nantis expansifs qui soulagent leurs bourses dans les divertissements et le clinquant afin d’accroître leur notoriété. Ces hommes et femmes, principalement des propriétaires terriens et de riches bourgeois ayant fait fortune dans le commerce, dilapidaient des sommes colossales tout en méprisant ostensiblement les infortunés à l’image de Jones. Il y avait une pyramide sociale, un ordre à respecter dans cette hiérarchie, des riches devaient séjourner en haut tandis qu’en bas, les gamins comme Sharp Jones pouvaient agoniser dans l’indifférence la plus totale. C’était un fait avéré, les autochtones en avaient accepté l’idée même si les autorités en cachaient le phénomène. Ces riches propriétaires entretenaient cette spirale et visait à ce que l’ascenseur social reste au niveau 0. Jones incorpora aussi cette idée de l’argent, du rôle qu’il tenait au sein de cette hiérarchie, du respect qu’il procurait à ceux qui en jouissait.

C’est ainsi qu’il décida de rentrer dans le milieu du jeu d’argent et ce à partir du recel des biens qu’il avait rapiné aux bourgeois locaux. Bien qu’il pénétrait dans cette dimension par la petite porte, il fut rapidement témoin des risques qu’il incombait à ceux qui ne payaient pas leurs dettes de jeu. Assassinat prémédites, contrat passés avec des tueurs à gage professionnels, mise à prix des têtes devenait une partie du quotidien qu’il côtoyait. Un monde dans foi ni loi, c’était là les aléas des tables de jeux officieuses et des humeurs des convives. Mangé ou être mangé, une jungle à ciel ouvert si ce n’est à la seule différence que l’argent constitue une caution formidable qui trouve un écho auprès de chacun et peut ainsi vous éviter une mort subite. Vous savez ce qu’on dit, l’argent est le nerf de la guerre, cette maxime se vérifie partout dans les rapports interpersonnels, la politique, les investissements frauduleux. C’est un mal nécessaire qui sévit depuis que le commerce existe et qu’on a institué une unité d’échange. Sharp Jones apprit progressivement les ficelles de ce monde en soutane, à ses dépens bien entendu, il lui arrivait de perdre des sommes importantes mais gagnait en expérience à chaque confrontation, il se frottait aux meilleurs de la branche pour observer leurs raisonnements à l’œuvre et les anticiper. Chaque soirée n’était en réalité qu’une seule et même partie pour le joueur, l’objectif était de rafler le plus de pognon possible avec une rigueur méthodique. Bien sur, la chance était un facteur à ne pas négliger mais les probabilités issues des calculs renseignaient bien mieux que la carte du hasard. Au fil des années, Jones commença à se faire un nom sur Luvneel, il participait à la fois aux évènements officiels et officieux de jeux de cartes, il se rendait dans les tripots les plus renommées de la capitale, faisait acte de présence, jouait petit et raflait la mise. Il se faisait bien voir auprès des bourgeois et nobles locaux tandis que le soir, il opérait sous l’identité de l’homme-mystère et investissait de grosses sommes pour en retirer un joli magot. Le petit commerce florissant permettait au personnage de jouir d’une influence certaine sur le royaume, son carnet de contacts s’étoffait au fil des soirées et il engrangea des sommes astronomiques grâce à des pots de vins touchés sur des affaires politiques. Jones œuvrait principalement dans l’ombre, toujours en quête de peaufiner son jeu et ses tricheries.

Il parvint à monter un petit groupe de joueurs professionnels, subventionné par de riches industriels de l’île. Ce petit groupuscule lui permit de se frotter aux meilleurs commis des autres Blues. Des affrontements d’envergures éclatèrent et le nom de l’homme-mystère commença tant bien que mal à être mêlé publiquement à des affaires sordides. Cet nouvelle réputation n’était pas s’en déplaire Sharp Jones ou plutôt l’homme-mystère mais il devait cependant prendre quelques précautions de réaliser quelques sacrifices indispensables pour pérenniser son entreprise lucrative. Ces compagnons de tables connaissaient l’identité de l’homme-mystère et même si il avait juré sous le sceau du secret de ne dévoiler cette information à quiconque, Jones ne pouvait leur faire confiance et les fit abattre froidement les uns après les autres. Après tout, il était de la même trempe que lui, il s’agissait de menteurs professionnels, d’imposteurs qui vous tourneront le dos à la moindre occasion si vous n’allongez pas la planche à billets. Dés lors, la popularité de l’homme-mystère augmenta expressément au point d’en inquiéter la marine, qui mena sa petite enquête sur le personnage. Ils ne parvinrent pas à obtenir à une conclusion tangible, faute de preuves concrètes. Jones avait toujours pris soin de bien maquiller ses affaires et de s’entourer des bons intermédiaires pour couler le poisson. Par ailleurs, il avait temporairement stoppé les activités de ce cher homme-mystère afin de déjouer les soupçons à son égard. Le machiavélisme à l’œuvre. Et comme tout bon joueur incurable, le vice sait se rappeler à lui, l’homme voulut accroître sa main mise sur les Blues, Grand Line et le nouveau monde.. Jones avait un second passe-temps lorsqu’il ne jouait pas dans ses soirées endiablés, il étudiait en profondeur l'architecture navale et ses procédés. Tous ces éléments éveillaient en lui un engouement particulier, il aimait la précision portée à la réalisation des plans de navire et la charpenterie l’intéressait tout autant. Il quitta le royaume de Luvneel et débuta des activités dans le marché noir et dans la vente d’esclaves. L’homme qui aimait prononcer des énigmes prenait la mer avec la ferme intention de concrétiser ses desseins pécuniaires.


Dernière édition par Sharp Jones le Mar 10 Avr 2012 - 0:00, édité 1 fois
    Salut Jones, voila ton test RP

    Partie de Poker tendue avec d'autres tricheurs, pardon, joueurs professionnels. La tension est à son comble, la somme sur la table est gigantesque, les armes posées à coté des piles sont chargés. Et une foule silencieuse regarde pleine d'envie la fin de partie en cours et l'énorme tapis que viennent de suivre les trois joueurs en face de toi. Sur la table cinq cartes retournées, deux as noirs, deux huit noirs, et un valet rouge. La main de l'homme mort, mauvais présage...

    Tu retournes tes deux cartes faces visibles en souriant, deux as, imbattable... Mais en face de toi les visages se ferment et chacun à leur tour les adversaires dévoilent leurs jeux. Deux as, deux as, deux as. Dix as dans un seul jeu, quelqu'un triche, c'est sur...


    Bye, Red
      Autour de la table étaient réunis aujourd’hui une pléiade de joueurs d’expérience qui rivalisaient d’ingéniosité et de talent dans le monde du jeu. Des experts, des joueurs chevronnés qui avaient tous leur propre domaine de prédilection : craps, roulette, Black Jack, Poker. Il ne fallait pas se leurrer, cette table de jeu n’avait rien d’un caractère officiel. La partie, se déroulant à huit-clos dans une salle de tripot souterraine voyait le rassemblement des pires crapules et escrocs que North Blue comptait sur ses flots. Ils étaient tous de fins manipulateurs et prestidigitateurs de ce milieu très fermé du jeu d’argent. Leur présence ici n’était uniquement liée qu’au pactole alléchant disposé sur le plateau de jeu et tous visaient à repartir avec la mise sous le coude en fin de soirée. Ces parties d’envergure apporte leur lot de désagréments et de menace, ces petits inconvénients font partie des risques du métier et tout joueur aguerri en accepte l’indubitable règle. Une table ovale au sous-sol d’un bâtiment prestigieux « le Corbak » accueillait les 5 convives de cette partie décisive : Jones dit l’homme mysétère, Frankie 4 doigts (clin d’œil à Snatch), Bernie Blue, Tommy Sprat alias la gâchette facile et Walter Salmons. La tension ambiante était à couper à couteau et chaque protagoniste avait prit de sérieuses options sur la victoire. Ils baignaient tous dans le même bain et avait tous leurs propres stratagèmes pour s’accaparer la victoire. L’établissement était réputé pour ses débordements et ses règlements de compte type O.K Corral, certaines rumeurs disaient même que les murs de l’enceinte sont tâches de manière indélébile par l’hémoglobine de siècles de joueurs voulant faire fortune. La méfiance était de mise et chacun était venu avec ses propres moyens d’intimidation ne serait-ce que pour éviter que certains ne la fassent pas à l’envers et honorent leurs dettes de jeu.

      Frankie 4 doigts dit l’hypocondriaque était sérieusement connu pour sa faculté à péter littéralement les plombs lorsque le fric que lui revient ne rentre pas instantanément dans ses caisses. Il avait obtenu ce surnom suite à une erreur de jeunesse, une redevance d’argent qu’il n’avait honoré à temps à son débiteur, qui s’était servi à sa façon en fin de compte. Cette petite erreur de jeunesse lui causa la perte de son cinquième doigt et il apparaitrait que Franky s’est occupé de liquider lui-même après coup le fameux débiteur. La seule folie de cet homme servait de moyen d’intimidation auprès des autres protagonistes, ils savaient que l’homme avait le sang-chaud et qu’il n’hésiterait pas à dézinguer si l’envie subite lui en prenait. Le second Bernie Blue est un ancien perceur de coffre fort, il a multiplié les coups fumants dans toute sa carrière et a réalisé les 400 coups avec une bande de l’époque dénommé les « les Voks ». On n’en sait pas plus à son sujet si ce n’est que l’homme est un fanatique de tout ce qui perce, perfore, transperce et qu’il a en permanence dans son long manteau sombre tout un attirail de ces meilleurs équipements. Tommy Sprat était l’un de ces mafiosi issus de l’une des grandes familles du crime régnant sur les Blues. L’homme à la gâchette facile a démontré à maintes occasions le pourquoi de ce surnom manifeste. Sa vitesse et son adresse remarquable au six coups lui ont valu de nombreux surnoms et ont pleinement contribué à sa notoriété sur les Blues. Il serait étroitement lié au trafic de drogue et à la contrebande d’armes en tout genre sur Grand Line. Certains disent même qu’il serait en passe de prétendre au titre de parrain du crime de North Blue. Enfin, le dernier et de loin le plus intrigant, Walter Salmons ou l’homme explosif. Accompagné pour l’occasion d’une multitude de collaborateurs, l’homme est un aficionado des explosifs et de tout ce qui fait Boum en général. Il porte constamment sur lui des bombes et grenades multiples comme moyen de dissuasion, ce type est un psychopathe véridique qui aime faire souffrir ses victimes avant de les faire exploser en une multitude de morceaux. Son armada d’hommes de main est à son image et arborent tous le même costume noir rayé avec une rose comme pochette. Tous entretenaient d’étroites relations avec la pègre ou des politiciens véreux.

      Le Texas hold’em Poker No Limit était le jeu retenu pour la soirée. Tandis que le croupier suait à grosses gouttes, soudoyé par tous autour de cette table, distribuait les cartes faces cachés à chacun. Tous mettaient en œuvre leurs méthodes ordurières pour s’accaparer le meilleur jeu possible. Le silence et la fumée des cigares des meilleures boutiques imprégnaient dorénavant la pièce de jeu. Salmons et Blue portaient des lunettes noires pour éviter toute lecture émotionnelle sur leurs visages. Un procédé ingénieux pour certains, une erreur maladroite pour d’autres qui estimaient que le recours à ces lunettes témoignaient de leurs incapacités à jouer au bluff. Après avoir distribué toutes les donnes, le croupier tira les unes après les autres 5 cartes faces cachés sur la table de jeu puis les dévoila à l’assistance : deux as noirs, deux huit noirs et un valet rouge. Tous restaient de marbre quant à cette main qui offrait des perspectives plus qu’intéressantes. Jones supputait l’idée du faux jeu, c’était évident, l’expérience lui avait appris à reconnaître ces jeux de cartes truqués.

      La première main de la soirée permettait à l’homme mystère de prétendre à un carré d’as cependant il restait intimement convaincu qu’il n’était pas le seul à pouvoir réaliser cette figure. Ils devaient tous préalablement s’acquitter de la mise de départ. Bernie Blue était le premier à suivre ou à relancer. Jones et les autres protagonistes comprirent les cartes en sa possession lorsque celui-ci décida de faire tapis, il fut suivi dans sa démarche par Frankie 4 doigts, Salmons et Tommy Sprat. C’était dorénavant au tour de Jones de miser, il aimait savourer chaque parcelle de ces périodes où le stress prend toute son importance. Tous avaient le regard viré sur sa personne et attendaient qu’il annonce la couleur et dévoile son jeu. Tandis que le flingue à la ceinture de Sprat semblait s’être atteint d’emballement et que Bernie Blue faisait descendre ingénieusement de sa large manche un couteau de cuisine dont la lame semblait assez grande pour éventrer un requin, Jones comprit que cette nuit se finirait dans un bain de sang général. Aussi si le sang devait couler, autant récupérer les jetons avant d’attenter toute action. Les spectateurs ne tenaient plus sur leurs chaises et l’homme-mystère décida de mettre en œuvre se stratégie et d’abattre sa dernière carte maîtresse.

      « Messieurs, j’ai une énigme à vous poser. Qu’est ce qui anime un roi avec des grelots ? Qui a un accoutrement des plus fantasques et une peinture blanche sur le visage ? »

      L’homme mystère abattit ses cartes et révéla à son auditoire, la résolution de l’énigme.

      « Le Joker, Poker chers confrères »

      Sous la table, le pistolet de Jones tira trois balles dans le buffet de Salmons. Aussitôt des hommes lourdement armés de sulfateuses à balles à fragmentation investirent la pièce et firent feu sur toute la zone tandis que Jones prenait la poudre d’escampette les jetons en poche. Il se dirigea vers la seule échappatoire de la pièce et donna l’ordre formel de ne laisser aucun témoin vivant. Un massacre s’ensuivit entre les hôtes et les hommes de main de Jones au moment où celui-ci quittait le tripot, esquissant un sourire duplice et s’engouffrant dans les ruelles désertes de ce quartier malfamé de Luvneelgraad.
        Re-bienvenu Sharp.

        Première voix, premier vote.

        Point forme d'abord.

        On commence par les descriptions :
        […]

        Voilà. En fait je n'ai rien à dire sur la forme. J'ai cru voir une faute à un moment dans ta description physique, mais j'm'en rappelle plus. Bien joué.

        Par contre pour l'histoire, quelques fautes commencent à traîner comme « monde dans foi ni loi » sur lequel j'ai tiqué.

        Description :

        Axer la psychologie du perso sur sa façon de jouer est assez intéressant et donne le plus gros de la psychologie, c'bien. Manque p't'être un peu d'originalité sur le physique m'enfin.

        Histoire :

        Tu nous décris une ville pas du tout OnePicéenne et j'trouve ça un peu dommage. On aurait aimé ressentir quelques petites choses nous faisant deviner qu'on est dans l'univers du manga m'enfin. Tu axes encore ton histoire sur les jeux d'argent occultant le reste. Même l'histoire sur les gains grâce aux pots de vin politiques, on aurait aimé savoir en quoi ça consiste. C'est donc bien écris, mais pas assez détaillé, quel est le rapport entre la construction navale et l'esclavagisme ? Comment lui vient l'idée de « conquérir » Grand-Line ? Toutes ces choses, j'aurais bien aimé avoir plus d'infos là dessus.

        Test rp:

        Une bonne ambiance de mise en place. Une bonne référence à Snatch (même si en l'explicitant tu gâches un peu la chose pour moi). De bons PNJs bien sympas.

        Y'a quand même une phrase qui m'a fait mal :
        « Tandis que le croupier suait à grosses gouttes, soudoyé par tous autour de cette table, distribuait les cartes faces cachés à chacun. » Quand tu mets « tandis que […] » tu dois remettre un sujet après, 'fin j'crois.

        Sinon la fin est bien marrante, quoi qu'un peu facile. J'me demande comment ton perso peut donner des ordres pour massacrer toute la troupe. Pot d'vin ? On aurait aussi aimer le savoir.


        Au final, tu nous sors un personnage intéressant avec une écriture tout bien comme il faut. Attention quand même à la facilité scénariste.

        Niveau note, je galère là, parc qu'entre ton début sympa et ta fin où tu as choisis la facilité, c'dûr de trouver un compromis... Visons l'575 pour faire dans l'précis. J'peux ajuster 'vec les autres modos s'ils trouvent ça trop/pas assez.
          Bonjour et bienvenue sur OPR ! Voici un deuxième avis :

          Relevé de fautes :
          "L’étoffe orangé ne souffre d’aucun pli et épouse parfaitement les formes de son porteur. Le vêtement orangé" > attention aux répétitions.
          "4 boutons dorés " > on va éviter de commencer une phrase par un chiffre ^^
          "leur pactoles" > pactole sans "s" dans le contexte (mais j'ai un doute !)
          "La silhouette de Jones fine et élancé"> élancée
          "et met en valeur tricot" > un tricot, son tricot ^^ bref il manque un mot.
          "la crosse gravé " > gravée.
          Je commence par ça vu que Sergueï a été gentil là dessus Razz
          Plus sérieusement, j'ai été les chercher dans les coins ces fautes de la description physique et j'étais très concentré (je les cherchais en fait !). Donc c'est plutôt pas mal du tout, riche en vocabulaire, bonne syntaxe. Le contenu est au rendez-vous donc je n'ai rien à ajouter.

          Niveau mental : même topo, c'est agréable à lire et plutôt fluide même si j'ai eu la curieuse impression qu'il manquait quelque chose à cette phrase : Son tempérament taciturne et renfermé ne plaira pas à tout le monde.
          Elle est sans doute trop courte (et comme elle est en début de paragraphe ça passe moyennement bien.

          La bio : je rejoins entièrement Sergueï : on reste un peu sur notre faim et il y a quelques incohérences avec le monde de One Piece.

          Le test rp : Même topo que pour la bio même si il est mieux réussi.
          "sulfateuses à balles à fragmentation" > carrément ^^
          Pour le reste on se sent dans le truc.

          Je tablerais sur du 625 dorikis (en prenant en compte l'avis de Sergueï) !
            Bang ! Dernier avis et dernière voix !

            Bon ! Bah tout a été clairement expliqué par les collègues du dessus je pense, donc je vais faire court vu que ça rejoins ce qui a été dit au dessus.

            On comence donc par un un côté peu one piece de l'histoire comme l'a très bien souligné Serg', on ne se sent pas tellement dans l'univers d'Oda en te lisant ; un peu dommage donc de ce côté là. Des descriptions plutôt pas mal, j'ai trouvé ça un poil court quand même mais bon, c'est pas vraiment trop trop grave !

            Côté forme, bah quelques fautes qui traînent ici et là sans pour autant venir ternir la lecture. Pas vraiment d'autres problèmes à souligner. Rien à signaler niveau conjugaison, syntaxe et grammaire.

            Bilan des courses, je valide à 610 dorkis, bon jeu !