Groumf.
Hufffaeeeh. Warhf. Hm. Ptain, bien cru qu’j’arriverais pas à t’refermer, la claqueuse. Viens-y, bouge voir, le maxillaire ? …MhhAïe ! Rah. Pas encore bien r’mis hein. Et toi, mon tarin ? T’es bien ? T’es mieux ? T’es mieux. C’est cool. Bon, ouvrir la mire. Arf, non, celle-là est toujours pochée. Commodore Toji Arashibourei, la prochaine fois que je te vois, je te fais sauter un iris pour la forme. Et bouffer tes roustons d’poiscaille au passage. Pour être complet dans la bienséance. On graille bien celles des moutons, pourquoi pas celles des taureaux marins dans ton genre ? Ouvrir l’autre. Mh.
Qu’c’est beauuu… Yerk, vivent les cinq étoiles. Du ciel nocturne, héhéhé. Classe le pano, on s’croirait presqu’ r’venus à Troop. Hein mon canard ? Manque plus qu’le gel à t’faire tomber le stalagbite et c’srait la même. Qu’est-ce qu’on a là-bas ? Oh, des plaines. Et là-bas ? Oh, du rien. Youpi, des arbres. Et là-bas ? Yeah, du flotteux. Un lac ? Z’ont un lac dans c’coin sec comme mon pulsant ? Putain, évolués les gonzes. M’fin. A tous les coups c’est là qu’les taures font leurs ptites commissions, té. Bucolique.
Eh.
Une baraque. Comment j’ai pu la louper tàl en m’pieutant ? J’tais si faya qu’ça ? Roh, nan, mais c’est s’foutre de la gueule du bon peuple, là, Tyché. Et pourquoi t’me fais coucher dans l’fossé c’te fois ? C’pour la rascaille qu’j’ai laissée en vie à Kabool ? Jvais crever avec tes conneries, un jour, tsais. La pneumo, veux bien croire qu’suis vacciné, mais t’as vu comme jme suis fait pisser d’ssus par la rosée ? Deux chandelles d’plus dans c’jus, si tu m’fais ça tout l’séjour sur c’t’îlot à la con, jvais finir par en canner. Parole d’honnête gars. Parole d’moi.
Pis merde, s’tu voulais que j’le truande le bougre, t’avais qu’à m’en donner les moyens, hein. L’mettre sur ma voie à un aut’ moment. M’filer l’inspi pour lui percer la panse une fois qu’on a eu commencé. Lui déballer les intestins. Rah, j’ai l’ulcère qui m’reprend, faut qu’jme pose. En tout cas c’pas en m’voilant la rétine quand s’agit d’crécher pour la nuit dans un palace que jvais pouvoir m’rattrap’, si j’ai foiré tes beaux échafaudages pour mon futur. J’ai pas l’air mais m’faut les trois T à moi pour m’panser. D’la tape, du tafia, et un toit, ouais.
Bon, tu m’diras, jsuis aussi en dèche de liquidités, là. L’trajet aller vers c’trou du cul du monde a été plutôt aride et j’commence à déshydrater. T’crois faut qu’jrejoigne la civilisation pour finir de m’refaire la santé ? Haha. Kage Berg. Civilisation. Trouve l’intrus hein. Les sept erreurs. Bref.
D’erreur, y a c’te bicoque devant, d’jà, donc. Allons checker ça, tu veux ? Tu veux pas. Ben rest’ là. Te r’trouverai plus tard. T’façon niveau bonne étoile d’puis un moment tu t’poses pas trop là. Ouais. Nan jsuis pas un fils indigne, tu te calmes. Oh. C’est un constat. J’étais sur une bonne dynamique moi. D’puis un an. J’me r’dressais. Homme nouveau. Tout ça. Pis. V’là qu’tu m’emmènes sur East alors qu’jveux pas spécial’ment. Et bam. Loose à Goa. Passage sur South dans la mauvaise humeur qui tape…
Et si ça c’était arrêté là, hein. Mais non. Lattage de figues par le Commodore himself dès l’retour sur West. Bam. Crac, plutôt même. Putain, jfais comment si jveux des mômes un jour, moi ? T’y as pensé à mon épanouiss’ment personnel, hein ?! Salope ! Ouais, je veux qu’tu vas m’les réparer les noix, ouais. M’doute bien qu’tu vas faire un effort. Des comme moi stu casses le moule, ça va être la misère pour en avoir d’autres. M’doute bien aussi qu’ça va prendre son temps. Mais t’as intérêt à pas oublier.
Si t’oublies. Jte quitte. Jte largue, recta. Plus d’Tahar pour la fée Fortune. Et tu peux t’brosser pour qu’jdéfouraille de l’innocent après. T’brosser ouais. Et les légendes qu’inspirent l’reste de l’humanité, tu t’trouv’ras un autre connard bonne poire que mézigue pour s’en bâtir une. Rideau, jraccrocherai. Ouais. Suis comme ça. Entier. Enfin entier… Dans mes décisions, roh, merde ! Mais t’vas arrêter d’me la rapp’ler l’affaire, ouais !? Grognasse. Allez, see you avant qu’m’énerve vraiment et qu’jme mette à arracher l’ivoire aux noiraudes du coin. Décarrez d’ailleurs, les cornues. Décarrez ! V’voulez pas qu’jvous fasse du mal. Et jpourrais. Mais laissez-moi passer bordel ! D’où vous v’nez d’ailleurs comme ça à trouze mille comme z’êtes ? Et où c’que vous migrez donc ? Y a d’la ville là-bas ? Du village ptet ? Du hameau ?
Du gens, au moins ?
Tain, c’que vous avez l’air connes. M’fin. Vais suivre l’élan. Nan. L’élan d’ton troupeau, Bovina. T’en vois un dans l’coin, d’vrai élan avec les bois et tout ? Brah. La ferme. Nan mais c’est une image encore, rah mais, d’abord Dame Hasard, ’suite vous, z’êtes toutes liguées contre moi en c’moment ou quoi… Ta gueule, oui ! Ouais, meuh meuh aussi. Et bonjour au paradis des steaks. Et tant pis pour la masure, ouais. On y r’tournera plus tard. Pour now, let’s see c’qui s’passe dans c’t’imbroglio d’toits bancals. L’aube s’lève, ça doit être cradingue et glauque comme j’aime, avec des vrais pedzouilles comme j’kiffe en phase d’réveil.
Hufffaeeeh. Warhf. Hm. Ptain, bien cru qu’j’arriverais pas à t’refermer, la claqueuse. Viens-y, bouge voir, le maxillaire ? …MhhAïe ! Rah. Pas encore bien r’mis hein. Et toi, mon tarin ? T’es bien ? T’es mieux ? T’es mieux. C’est cool. Bon, ouvrir la mire. Arf, non, celle-là est toujours pochée. Commodore Toji Arashibourei, la prochaine fois que je te vois, je te fais sauter un iris pour la forme. Et bouffer tes roustons d’poiscaille au passage. Pour être complet dans la bienséance. On graille bien celles des moutons, pourquoi pas celles des taureaux marins dans ton genre ? Ouvrir l’autre. Mh.
Qu’c’est beauuu… Yerk, vivent les cinq étoiles. Du ciel nocturne, héhéhé. Classe le pano, on s’croirait presqu’ r’venus à Troop. Hein mon canard ? Manque plus qu’le gel à t’faire tomber le stalagbite et c’srait la même. Qu’est-ce qu’on a là-bas ? Oh, des plaines. Et là-bas ? Oh, du rien. Youpi, des arbres. Et là-bas ? Yeah, du flotteux. Un lac ? Z’ont un lac dans c’coin sec comme mon pulsant ? Putain, évolués les gonzes. M’fin. A tous les coups c’est là qu’les taures font leurs ptites commissions, té. Bucolique.
Eh.
Une baraque. Comment j’ai pu la louper tàl en m’pieutant ? J’tais si faya qu’ça ? Roh, nan, mais c’est s’foutre de la gueule du bon peuple, là, Tyché. Et pourquoi t’me fais coucher dans l’fossé c’te fois ? C’pour la rascaille qu’j’ai laissée en vie à Kabool ? Jvais crever avec tes conneries, un jour, tsais. La pneumo, veux bien croire qu’suis vacciné, mais t’as vu comme jme suis fait pisser d’ssus par la rosée ? Deux chandelles d’plus dans c’jus, si tu m’fais ça tout l’séjour sur c’t’îlot à la con, jvais finir par en canner. Parole d’honnête gars. Parole d’moi.
Pis merde, s’tu voulais que j’le truande le bougre, t’avais qu’à m’en donner les moyens, hein. L’mettre sur ma voie à un aut’ moment. M’filer l’inspi pour lui percer la panse une fois qu’on a eu commencé. Lui déballer les intestins. Rah, j’ai l’ulcère qui m’reprend, faut qu’jme pose. En tout cas c’pas en m’voilant la rétine quand s’agit d’crécher pour la nuit dans un palace que jvais pouvoir m’rattrap’, si j’ai foiré tes beaux échafaudages pour mon futur. J’ai pas l’air mais m’faut les trois T à moi pour m’panser. D’la tape, du tafia, et un toit, ouais.
Bon, tu m’diras, jsuis aussi en dèche de liquidités, là. L’trajet aller vers c’trou du cul du monde a été plutôt aride et j’commence à déshydrater. T’crois faut qu’jrejoigne la civilisation pour finir de m’refaire la santé ? Haha. Kage Berg. Civilisation. Trouve l’intrus hein. Les sept erreurs. Bref.
D’erreur, y a c’te bicoque devant, d’jà, donc. Allons checker ça, tu veux ? Tu veux pas. Ben rest’ là. Te r’trouverai plus tard. T’façon niveau bonne étoile d’puis un moment tu t’poses pas trop là. Ouais. Nan jsuis pas un fils indigne, tu te calmes. Oh. C’est un constat. J’étais sur une bonne dynamique moi. D’puis un an. J’me r’dressais. Homme nouveau. Tout ça. Pis. V’là qu’tu m’emmènes sur East alors qu’jveux pas spécial’ment. Et bam. Loose à Goa. Passage sur South dans la mauvaise humeur qui tape…
Et si ça c’était arrêté là, hein. Mais non. Lattage de figues par le Commodore himself dès l’retour sur West. Bam. Crac, plutôt même. Putain, jfais comment si jveux des mômes un jour, moi ? T’y as pensé à mon épanouiss’ment personnel, hein ?! Salope ! Ouais, je veux qu’tu vas m’les réparer les noix, ouais. M’doute bien qu’tu vas faire un effort. Des comme moi stu casses le moule, ça va être la misère pour en avoir d’autres. M’doute bien aussi qu’ça va prendre son temps. Mais t’as intérêt à pas oublier.
Si t’oublies. Jte quitte. Jte largue, recta. Plus d’Tahar pour la fée Fortune. Et tu peux t’brosser pour qu’jdéfouraille de l’innocent après. T’brosser ouais. Et les légendes qu’inspirent l’reste de l’humanité, tu t’trouv’ras un autre connard bonne poire que mézigue pour s’en bâtir une. Rideau, jraccrocherai. Ouais. Suis comme ça. Entier. Enfin entier… Dans mes décisions, roh, merde ! Mais t’vas arrêter d’me la rapp’ler l’affaire, ouais !? Grognasse. Allez, see you avant qu’m’énerve vraiment et qu’jme mette à arracher l’ivoire aux noiraudes du coin. Décarrez d’ailleurs, les cornues. Décarrez ! V’voulez pas qu’jvous fasse du mal. Et jpourrais. Mais laissez-moi passer bordel ! D’où vous v’nez d’ailleurs comme ça à trouze mille comme z’êtes ? Et où c’que vous migrez donc ? Y a d’la ville là-bas ? Du village ptet ? Du hameau ?
Du gens, au moins ?
Tain, c’que vous avez l’air connes. M’fin. Vais suivre l’élan. Nan. L’élan d’ton troupeau, Bovina. T’en vois un dans l’coin, d’vrai élan avec les bois et tout ? Brah. La ferme. Nan mais c’est une image encore, rah mais, d’abord Dame Hasard, ’suite vous, z’êtes toutes liguées contre moi en c’moment ou quoi… Ta gueule, oui ! Ouais, meuh meuh aussi. Et bonjour au paradis des steaks. Et tant pis pour la masure, ouais. On y r’tournera plus tard. Pour now, let’s see c’qui s’passe dans c’t’imbroglio d’toits bancals. L’aube s’lève, ça doit être cradingue et glauque comme j’aime, avec des vrais pedzouilles comme j’kiffe en phase d’réveil.