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un loups dans la ville ainsi que des pirates et un chasseur sans m'oubliez moi ainsi que les civils...

Rappel du premier message :

J'étais assis au bureau de la forge de la base depuis le petit matin, je n'avais toujours pas fini de décrypter le livre sur les meitous j'avais bien avancé mais c'était pas beaucoup.J'avais certes découvert toutes le hypothèse sur l'origine des meitous et j'avais apris pas mal de trucs.je lachai un long soupir en m'étirant sur ma chaise,mon loups,Oeol-de-nuit accouché près du feu leva la tête et produisant une série de sons dans le langage que nous avions inventé me dit:

*finis pour ce soleil ?*

-Je pense bien

*Je suis sortis faire un tour pendant que tu ne faisais rien*
Pour lui la plupart des activités intellectuelle signifie ne rien faire mais cela ne voulait pas dire qu'il n'aimait pas faire ça

-et ?

*j'ai appris un autre signe d'inutilité,regarde,plein de deux pattes le font*
J'avais essayé de lui enseigner la politesse mais ça ne servait à rien son cerveau trouvait cela inconcevable il les retenais mais sans plus.

Il se leva croisa ses pattes avant et me fit un bras d'honneur ou plutôt des pattes d'honneurs.

-Hahahaha oaui, t'as raison tous le monde le fait, mais c'est une insulte...une provocation.

Il retroussa ses babines, et fis une série de grognement rapide,je pense que c'est sa façon de rire.

*utile*

-allez viens on va faire un tour,ce n'étais pas une promenade d’ailleurs il savait très bien le faire seul, c'est juste qu'il m'accompagnait partout, et comme mes hommes avait eu leur semaine on était seuls tout les deux.

Nous sortîmes en ville sans, j'avais pris mes armes, à présent j'avais l'habitude de devoir me battre n’implore où n'importe quand,d'ailleurs j'avais menée ma bataille la plus épique dans un resto avant qu'il ne saute.

-on va manger un truc ?


*friture ?*

Il était étrangement très friand des petits snaks chauds,de la viande crue,fumée,séchée et des gâteaux.

Allez suit moi y'as un choutte snak dans le coin.

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Cette odeur de poudre et cette chaleur ! Tu n'y attaches pas d'importance, mais pourtant, elles contribuent à donner à la scène des allures de scénario qui tourne mal. Trois brigands se trouvent face à toi, et tous tiennent à leur merci l'un de ceux qui ont eu le malheur de se trouver au mauvais endroit au mauvais moment. La peur se lit dans leurs yeux comme les mots sur les pages d'un livre ouvert. Toi, tu as beau être du métier, tu ne t'es jamais vraiment habitué à la cruauté. Tes serpes encore ruisselantes de sang en mains, tu restes tétanisé. Que faire ? Au moindre geste de ta part, c'est l'exécution sauvage et sans merci.

-Aller ! Fais pas le con, dépose tes armes !
-On a besoin de t'expliquer les détails ?
-Moi, j'dirais bien que oui ! Tiens !

Soudain, l'un des truands resserre sa prise autour du manche de son couteau, en vient en presser la lame contre la gorge de sa victime. Une goutte vermeille luit sur la peau égratignée, à la lueur de l'incendie. Pendant ce temps, d'autres s'occupent de vider la caisse et la réserve. Toi, tu lâches l'affaire. Mieux vaut un pillage que des meurtres inutiles, auxquels tu risquerais du reste fort d'être mêlé. Pauvre Sören ! A ne jamais vouloir faire de mal, on ne fait guère de bien !

Mais... Qu'est-ce que c'était que ce bruit ? Et cette ombre... Eh ! Sören, les renforts sont là ! Et pas n'importe lesquels ! Tu as eu le jugement juste, comme bien des fois... Celui qui a bondit, qui a pris les bandits en défaut, c'est le voyageur de tout à l'heure. Celui-là même qui avait manqué de vendre son âme pour la première sirène, la première catin, la première pirate !

Miaw, quel spectacle ! En quelques secondes, la situation est retournée. Les bandits prennent la fuite avec ce qu'ils peuvent. Ils t'ont vu combattre, ils savent que plus rien ne les protège. Pas fous... Il est vrai que pour avoir eu la patience d'attendre le moment opportun, il faut avoir plus d'un gramme de sagesse et d'expérience. Ah !

Mais... Que fais-tu ? Tu ne les poursuis pas ? Oh... Tu laisses les choses à l'étranger. Comment se fait-il que tu lui fasses confiance à ce point, Sören ? Il y a des fois où je me dis que je n'aurais jamais fini d'apprendre sur toi, du premier jusqu'au dernier jour de ma vie ! Et même des suivantes !


-Je te laisse gérer ! On est trop de deux de c'côté, j'retourne donner la main au p'tit, avec sa gueuse !

Reprenant ta course, tu retournes de quelques pas en arrière, sur la place de la bataille entre Rei et Yamamaman Katoubu (désolé, j'ai pas la mémoire des noms !). Comme tu t'y attendais, la marine a investi les lieux, et désormais, l'officier n'est plus seul avec son horrible bête. Quelques soldats d'élite se battent à ses côtés, tandis que les autres se trouvent déployés sur les lieux de l'incendie. Tu ne réfléchis plus. En brandissant tes armes, tu te jètes dans une bataille qui n'a déjà que trop duré.

Au diable la galanterie que tu n'as jamais eue, et au diable les bons principes !



[Hrp : et c'est la reprise ! Pour rappel, Rei est okay pour un passage à la case capture. Hésitez pa sà torcher le combat, qu'on avance un peu sur des choses intéressantes =D]
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Damnation! Il y avait trop de monde, trop de Marine, trop de neige et trop malchance pour aujourd'hui. D'abord, mon emportement qui me rendait insouciante et stupide pour avoir déclenchée cette bagarre. Et dire que je ne voulais pas perdre de temps à Tanuki... Et puis il y avait ce temps misérable. Le sol glissant me fit un sale coup. Maudit intempérie.

Quel diablerie! Le combat entre le jeune officier arriva à sa fin. Je commençais à perdre l’équilibre quand le gamin parvient à me désarmer. Dans ma chute, ma gunblade vola derrière moi. Quant à moi, je me cognai le fessier contre le sol humide par la neige. "J'étais fait comme un rat". Le freluquet pouvait me donner le coup de grâce, mais ses supérieurs lui ordonna de me capturer sous des "bravo". Même les civils encore présent étant content de me voir à terre. Je me relevai et des soldats s'empressaient de me mettre les fers.

On se mit en route pour la caserne et pendant ce temps-là, je jurais et je gesticulais dans tous les sens. Je cherchais vraiment à m'enfuir de là. Si jamais je me faisais coffrer, je pouvais dire à dieux à mon existence. Que penserait mon équipage? Je cogitais en chemin un plan avec plusieurs variables de chance pour qu'il arrive tel ou tel évènement. Je pouvais également compter sur mon équipage, mais valait mieux se débrouiller au maximum seul. Je devais juste faire un appel à mon corbeau pour que cette dernière rapplique. Ensuite, je pouvais l'ordonner à chercher du secours au près de mon équipage, mais je ne la voyais pas arriver. Bordel! J'espérais le voir dans les parages. Lui aussi pouvait m'être utile...

On arriva enfin dans le bâtiment militaire qui était près du port. On pénétra dans l'enceinte des édifices. Le soldat que je m'étais livré en duel plus tôt marchait à côté de moi. J’imaginais bien qu'il espère avoir un prix ou autre.


Dernière édition par Aoi D. Nakajima le Sam 10 Nov 2012 - 13:19, édité 4 fois
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Les autres gars commençaient à affluer et les bandits disparaissaient peu à peu. Nos lames continuaient à s'entrechoquer, soudain je remarquai une ouverture et fis sauter l'épée des des mains de mon adversaire, sous l'impact, la lame vola plusieurs lame derrière et la pirate tomba à terre. Je lui posai la lame sous la gorge.

-laissez la en vie pour l'interrogatoire !

"Comme si j'allais la zigouiller ... s'pèce de planqué"

*We are the winner and she is a loooser*

* J’n’aurais pas dis mieux*


Le loup venait d’arriver à mes coté.

*ses odeurs et celles du toutou?
*

Les marines lui passèrent les fers et muselèrent le toutou à sa mémère avant de le faire rentrer dans une cage, Oeil les renifla et revint.

*Celles de la vielle du loups et d'une loupiote...ainsi que celle de la mort sur la vielle*

Elle à donc tué récemment et aucun lien avec l'autre Gus.

*trouve la gamine ok.*

*Qu'elle différence ?*

Et il s'en alla en trottant (et terrorisant plein de gens) (*non, ils me vénèrent, ils m'ont même lancé à bouffé*) (Si tu le dis).Je ramassais la "Gunblade" de la vielle et attrapai un avis de recherche tombé au sol. J’attrapai un marin par l'épaule.

-Sergent, trouvé moi un dossier sur cette Rei !

-Bien, monsieur!

C'est utile d'avoir un p'tit machin sur l'épaule, ceux qui en ont un moin beau font tout ce que je veux.

-y'as t'il un Doc?

Un petit homme à moitié chauve qui heureusement faisait partie de la marine (vive les p'tit machins) arriva la blouse trempée de sang.

-Oui?

-Lorsque vous aurez fini de vous occuper des vivant, vous trouverez un macchabé dans la boutique, trouvé la cause de la mort et si c'est par balle, ce dont je suis presque sur, amenez les moi le plus vite possible.


Si elle avait tiré avec sa lame-pétoire, les balles ne seraient pas normales. Donc je pourrai priver son meute mais comme elle a déjà une prime je pense qu'elle s'en fout un peu.

-Vous deux essayé de me trouver un p'tit blond avec un chat et un mec en manteau noir et tricorne.

J'adore vraiment ces p'tits trucs, un autre marin m'apostropha.

-Ce n'est pas parce que vous étés relativement haut-gradé et un Ghost que vous pouvez donné autant d'ordres.


-Ferme-la ou j'te fous en corvée latrine.
dis je en souriant

-C'est de l'abus de pouvoir !


-Rien à foutre, par contre, je pense que Bob à la chiasse tu t'en occupe ?

Il fut trop estomaqué pour répondre âpres tout, je l'avais prévenu. (Je ne sais toujours pas si Bob existe et à la chiasse mais la dernière fois que je le vis il avait une sale tête.)

En marchant vers la caserne, j’examinai la lame, elle avait déjà servi et a de nombreuses reprises et si je ne me trompe pas contre des sabres de la marine .Il y avait aussi des éraflures provenant de la rencontre de la lame avec un os, ce n'était donc pas sa première victime. (c'est surtout que je veux l'envoyer en taule aussi...je ne suis pas très objectif la.)

Je croisai un de mes hommes et je lui passai l'arme.

-fais moi une copie de l'arme et ramené la moi.


-Avec le machin en truc la....oublié le nom.

-oui

étonnement je l’avais compris. Il lui suffisait de poser l'arme sur une plaque, de faire couler de la résine ainsi j'aurais une "copie" de l'arme et je pourrais l'étudié à mon aise.Ca faisait longtemps que je rêvais d'en étudier une et comme elle sera classé, je ne pourrais pas l'étudié.

Nous arrivâmes devant le bureau du boss de la caserne.

-Ah oui ....machin, le chef du coin aime voir les têtes roulé

Mon homme revint et me tendit l'épée et m'indique que la copie séchait dans la forge.

J'entendis un bruit de patte et me retournai.


Dernière édition par Yamamoto Kogaku le Dim 28 Oct 2012 - 17:51, édité 13 fois
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    Arrivé sur les lieux de l'incendie, Howard Prince fut d'abords horriblement surpris par la taille des flammes, qui, à divers endroits du bâtiment, paraissaient projeter leurs serres jusqu'au ciel sombre : des citoyens criaient aux alentours des flammes, certains d'ailleurs, tentaient d'amoindrir quelques foyers en lançant des seaux d'eau ou en utilisant divers tuyaux d'arrosages... Toute réalité avait fuit le pirate qui se demanda, pendant un court instant, si la nuit était tombée ou si l'obscurité du dôme azur était justement dû à l'intensité de la fumée noire ambiante... La chaleur était également incroyablement dense aux alentours du bâtiment et le pirate devait souvent plaquer l'avant de son bras sur ses yeux tellement son visage le faisait souffrir à la moindre bourrasque.
    Tandis qu'il regardait le triste spectacle, un rire rauque fusa jusqu'à ses oreilles malgré le bruit de l'armurerie entrain de se consumer petit à petit. Regardant les alentours, Prince distingua alors le jeune homme à la tête blonde de tout à l'heure, au prise avec trois hommes armés :

    « Encore lui ? Mais qu'est-ce qu'il fait ici ?! »

    Les sourires des types devant tête blonde et surtout l'otage qu'un d'eux avait avec lui ne laissait présager rien de bon : ces gars étaient assurément des bandits, peut-être étaient-ce ces mêmes types qui avaient causé l'incendie de l'armurerie ?
    Sans plus attendre, le pirate bondit alors en avant, sabre à la main : atterrissant en dessous de l'homme qui avait l'otage, Prince frappa directement dans l'arme de ce dernier qui vola dans les airs avant d'envoyer un coup de pied puissant dans l'estomac de son vis-à-vis qui ne s'attendait pas à une chose si soudaine. Le bandit tomba en arrière, à plusieurs mètres de sa position initiale, directement dans un petit foyer de flammèche : les habits de l'homme commencèrent alors à prendre feu et la panique s'empara de ce dernier. Le hors-la-loi commença alors à courir dans tous les sens, bientôt rejoins par ses deux compères.

    Satisfait d'avoir mis en déroute les bandits et surtout d'avoir sauvé la femme prisonnière, Prince avait affiché un sourire fier sur son visage, avant de se pencher vers l'ancienne prisonnière, en pleure : tendant son bras vers la victime, le pirate aida alors la jeune femme à se relever :

    « Il ne vous arrivera plus rien Mademoiselle, ces lâches sont partis et ne vous causeront plus de problèmes. »

    La femme sur le bras, Prince regarda alors en direction de "tête blonde", qui, tout sourire, lança vers le pirate avant de repartir rapidement :

    « Je te laisse gérer ! On est trop de deux dec'côté, j'retourne donner la main au p'tit, avec sa gueuse ! »

    Regardant le mystérieux jeune homme s'envoler, il reposa son attention vers la femme, qui en sanglot, cramponnait le long manteau noir du pirate : ses vêtements avaient noircies et paraissaient, à plusieurs endroits, brulés, comme ci cette dernière avait tenté quelque chose dans la fournaise du bâtiment... Avait-elle été prise au piège durant l'incendie ? Voyant qu'il n'arrivait pas à la consoler, Prince allait la remettre à un groupe de citoyen quand cette dernière cramponna le pirate avec une telle détermination, qu'il s'en arrêta de marcher : des larmes coulaient en abondance sur ses joues et une angoisse était plaquée sur son visage :

    « Mon fils... Mon fils est encore pris au piège dans le bâtiment !! »

    La phrase se répercuta dans l'esprit du pirate comme un coup de marteau sur une enclume... Il resta planté là, pendant ce qui lui avait semblé être une éternité, comme ci la phrase que venait de prononcer cette femme était tellement complexe, qu'il n'avait pas pu la comprendre tout de suite...
    Reprenant alors ses esprits, Howard prince ferma les yeux un moment avant d'afficher un air grave et sérieux. Regardant vers la fournaise démoniaque, le pirate réajusta son tricorne ainsi que son long manteau noir sur ses épaules, comme pour se préparer à un duel sans retour, avant de répondre à la femme, sans la regarder :

    « Laissez-moi aller chercher votre enfant ! »



    Ce que les gens peuvent être curieux, des fois ! Voilà que tu accours, essoufflé, le visage noirci par les affres de l'incendie. Tu empestes la sueur et le sang, tu es prêt à en découdre pour éviter les dommages collatéraux, pour jeter aux fers une véritable peste des mers, et quoi ? Tu vois le petit officier que tu t'attendais à trouver dans une posture des plus fâcheuses occupé à se dandiner devant ses subordonnés. Trop occupé qu'il se trouve être à prendre un air important, il t'ignore complètement. Agacé par tant de légèreté, tu te crispes. Sören, lâche un peu tes opinions sur le devoir et l'honneur ! « A trop prendre les choses à cœur, il arrive que l'on en meure ». Aphorisme félin !

    Mais déjà, tu te détends. Quelque chose cloche dans la scène, et sérieusement. Tu connais bien la réputation de Rei. Tu as entendu des guerriers parler d'elle, de sa manière de se battre. Tu crois deviner qu'elle n'a pas tout donné, qu'elle s'est laissée faire. Ou alors, le petit officier se serait vraiment dépassé... Mais cela t'étonnerait. Oui, c'est ce que tu penses. Trop fier, trop surpris de sa propre victoire pour être honnête. Tu n'es pas un vieux combattant, Sören. Mais tu connais bien certaines catégories de personnes.

    Tu attends ton heure, bien décidé à ne pas lâcher la pirate du regard jusqu'à son arrivée à la caserne. Après, tu t'expliqueras. Tu rappelleras à Yatatati Kamaloku son sens des responsabilités, ce qui serait arrivé à la population environnante, sans l'intervention de l'inconnu au tricorne, ou sans la tienne. Et tu dirais également volontiers comment certains marines se plaisent à prendre du galon tout en comptant sur d'obscurs inconnus pour éliminer le collatéral... Comment la gloire des uns se fait au profit de celle des autres.

    Ta propre gloire, tu t'en moques, je le sais bien Sören. Mais tu as horreur que l'on te retire le pain de la bouche. Et en s'attribuant le mérité de la capture de Rei, c'est précisément ce que ce marine arrogant, pétant d'orgueil sous le poids de ses galons, vient de faire. Tu ne cherches pas vengeance, tu cherches justice. Sans énervement.

    En traversant la rue, tu te rends compte que l'incendie a été maîtrisé. Certains habitants t'envoient des saluts. Dans la petite foule, tu reconnais l'étranger, traité en héros. Tu parleras aussi de lui au chef-lieu. Pas de raison qu'il ne soit pas récompensé à sa juste valeur, il t'a peut-être sauvé la vie. Et toi, tu n'en possèdes pas neuf. Peut-être plus, qui sait.


    -Ah ! Tiens, Yadukiri Kafondu !

    Tu es pire que moi pour ce qui est de la mémoire des noms, je crois...

    L'officier se tient debout devant le bureau du chef de l'avant-poste de la marine. Tu t'approches, précédé du loup qui revient tout juste de sa mission. Saloperie !


    -J'veux pas d'guerre entre toi et moi, mon gars, parc'que dans l'fond, j'pense pas qu't'ai spécialement pensé à mal. Mais j'tiens à t'dire qu'j'ai pas apprécié qu'tu fasses passer ton galon avant l'bien du peuple. J'veux qu'la marine soit au courant de c'qui s'est exactement passé. C'qu'elle saura avec ou sans moi, d'ailleurs. Avec le gars au tricorne, on a pas mal été aidés par de simples soldats, qu'ont pas hésité à mettre leur vie en péril pour mettre les voleurs hors d'état de nuire. Et y f'ront leur rapport. Ceci dit...

    Plein de bonne volonté, tu inclines légèrement la tête, et prend un air moins farouche.

    -J'suis rien qu'un modeste chasseur de primes. Tout c'que j'veux, c'est qu'on soit juste envers moi. J'ai fait c'que j'ai pu aujourd'hui, et j'pense y être pour quequ'chose dans la capture de Rei, et dans la sauv'garde d'Tanuki. De même que l'gars au tricorne. J'ai fait mon métier. J'mérite d'être payé. L'gars mérite d'être récompensé.

    Hésitant un instant, tu t'approches un peu, et, avant d'ouvrir la porte du bureau, tu lances une dernière invective à l'officier.

    -Pour être honnête, d'ailleurs, j'crois pas qu'Rei s'soit battue à fond. J'en ai trop entendu d'belles sur elle pour ça. J'parierais mon chapeau qu'elle a un plan tordu derrière la tête. L'est ben connue pour ça, du reste.
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    Bordel! Me voilà dans le bureau avec le chef des lieux, un chasseur de prime, un officier arrogant et son maudit loup... Au moins, je n'avais pas toute la troupe dans la pièce. J'aurais préférée avoir un tête-à-tête, mais pour l'instant ce n'était pas à mon avantage. Grr.

    Je ne gardais pas mon calme et je montrais tous les traits de caractères que les gens se souvenaient de Rei. Vu que j'étais fichée comme cette pirate sanguinaire, autant que je leur montre que j'étais elle jusqu'au bout. Ainsi, je ne pouvais pas souiller mes identités. Prétendre que j'étais une simple civile était beaucoup trop dur à prouver. Je devais donc coller tous les délies sur la pomme de mon côté pirate.

    L'homme qui se trouvait assis sur sa chaise devant moi prit la parole. Il était chauve et semblait être usé. Il y avait un certain regard de mépris. Une haine pour les forbans? Son allure ne m'inspirait pas. Je le trouvais bizarre. Il avait un ton plutôt faible dans sa voie, mais je sentais un petit quelque chose que je n'aimais pas et que je ne pouvais pas décrire. Sans parler de ses mimiques pour redresser ses lunettes en demi-lune...

    - Eh bien! À qui avons nous donc affaire?

    Je ne répondis pas. Je préférais entendre les deux guignols l'expliquer. De toute façon, j'allais être incarcérée. Et le seul moment où je pouvais m'échapper, était lors de la transition entre maintenant et la cellule. Je devais faire cela très vite et sans bavure.

    Je grinchais, je répliquai en injuriant tout le monde. Une pirate n'aimait pas se faire avoir et finir sa vie en prison. J'avais vraiment les traits de caractères de Rei. Limite si je ne crachais pas à la figure. Ce qui était subtile dans mon comportement, c'était que je ne faisais qu’accélérer l'entretient de manière à que je puisse avoir mon temps de gloire. Quand les deux autres allaient repartir, je pourrais être enfin en tête-à-tête avec le vieux. Ainsi, je pourrais facilement m’échapper.

    Au bout d'un certain moment, le chef de la caserne termina de remplir les papiers et donna de l'argent uniquement au jeune Marine qui m'avait livré. Et dire qu'il pensait m'avoir capturé, il se foutait le doigt dans l'œil. Si seulement il savait ce que j'allais faire, ahahah.


    Dernière édition par Aoi D. Nakajima le Ven 9 Nov 2012 - 19:07, édité 8 fois
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    -Yaduri Kiafondu !

    -salut p'tit blond c'est la loupiote dont tu parlais ?

    *pas trouvé , seulement machin marrant*

    *Dommage*

    Je laissais le p'tit blond finir son monologue Je sortis ma main de ma poche fit un quatre, indiquai Rei et moi et croisais mes doigts comme une bataille d'épée et un triangle.J'espère qu'il comprendra.

    -A ton avis qui est le plus dangereux quelques voleurs a forcés à se battre pour survivre rapidement maîtrise grâce à quelques bons gars et un loup et une possible meurtrière récidiviste et sans doute sachant très bien se battre?

    La pirate clama qu'elle n'y était pour rien et d'autres conneries mon cerveau se mit sur "off" tandis j'imitai son dialogue avec mes mains ce qui fit rire mes hommes présents.


    La porte s'ouvrit,le doc, quartes civils et un de mes hommes rentrèrent,pas trop tôt.Je lui fis un clin d'oeil discret.

    -Qu'es ce que je ferais sas toi !

    -T'irais les chercher par la peau du cul ou t'enverrais le loup.

    -Pas faux

    Ils déglutirent,le doc s’avança vers moi avec une balle, je chipai deux gants stérilisé qui se trouvaient , dans une boite dans ses poches.Il fit tomber la balle dans ma paume.

    -Un diagnostic ?

    -Heu...la victime...c'est ca ?S'est pris une balle dans la poitrine à bout portant,je l'ai retrouvée dans le coeur, D’après la position de la balle et du corps j'en déduis qu'il était accroupi et son agresseur debout devant lui, l'impact était puissant, il s'est brisé le crane sur le sol et il s'est méchamment mordu la langue.Il est presque mort sur le coups.


    Je lançais la balle et la relançait une fois dans ma paume.J'aimais jouer avec la preuve quand j'avais de quoi briser n'importe quel argument

    -Vous vous débrouillé bien,vous avez extrait cette balle vous êtes sur ?

    -J'aime les bouquins policiers,oui et non je pense qu'il est chez moi pourquoi ?

    J'attrapa la balle au vol et la tient entre deux doigts.

    -J'ai rarement forgé des balles mais je remarque qu'elle n'est pas "conventionnelle".Naio tu peux me faire l'état des lieux ?

    -C'est une bâtisse à un étage il n'y à a que deux sortie, toutes les fenêtres était fermée et aucune personne n'y était caché on a fouillé partout. Le meurtrier ne peut être donc que sortis par l'entrée principale ou de derrière.

    Je l'attrapai au vol.

    -Témoins avez vous vu quelqu’un d'autre sortir et étais ce l'arme de l'accusée ?

    Ils avaient bien vu Rei se battre avec cette arme.j'attrapai la gunblade,tapotait le barillet et l'agitait dans tous les sens pour enfin faire tomber quelques balles.Un de mes hommes entra avec le moule de l'arme.Je l’attrapai,l'étudia au moin une minute en faisant quelques fois un "ttt" ou un claquement de langue et après certains signes d'impatience j'expliquai.

    -Vous pouvez ici observez les éraflures de l'armes en reliefs, ici, je pense que cela à été fait suite à la rencontre avec un os...et la une lame de marins, pour les ignares présent dans l'assistance, il y à nonante-cinque ans, l'amiral de l'époque suite à une affaire problématique ordonna que les lames des marins aient une lame de 0,3 mm plus large et un tranchant plus fin de 1 mm que les lames conventionnelles.Tao...amène les deux autres moules.Ici le moule d'une lame de marin et ici seul la partie où se trouve un impact due à la lame d'un marin...Oh ils s’emboîtent parfaitement ah oui la lame que j’utilise actuellement n'as pas pu suivre le modèle imposé à la marine.

    Je comparai les balles après avoir rendu le moule.

    -Oh c'est la même...étrange...Belle arme quand même

    J'attrapai une balles et la fit "danser" au dessus du bureau et commençai une petite pièce de théâtre.

    "-Bonjour je suis Rei , je suis un tueuse, mais cé pas moa qui a tué le monsieur dans le magsin d'où je suis sortit.Je suis trop gentillllle pour ca

    Je marchais vers la fenêtre et me retournai en pointant Rei du doigt.

    -Les 13 coups on été joué Rei, avouez pour que nous puissions faire tombé les rideaux sur cette affaire !

    Et pour finir ce speech en beauté quoi de mieux qu'une belle réplique sur son métier, elle était humiliée et condamnée.

    L'officier nous congédia en distribuant me la prime en sortant je mit mon bras autour du cou du chasseur, comme pourrait le faire des potes pour déconner et l’entraînant dehors, je fis signe à mes hommes de me suivre ...mais pas de trop prêt.

    -Vien ON va fêter ça !

    Je lui soufflai un peu plus loin.

    -Je te rappelle que t'était face à un officier si tu veux pas perdre 30 centimètres essaye de tenir aussi bien ta langue que moi et de faire en sorte que les plus puissant n’aie rien à te reprocher...tant que tu ne sauras pas plus puissant qu’eux. La court martiale existe encore...si tu veux parler avec moi suis moi sinon bon vent


    Dernière édition par Yamamoto Kogaku le Ven 9 Nov 2012 - 19:50, édité 3 fois
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      La fumée noire et épaisse obligea le pirate à rapidement placer une partie de son long manteau noir, devant son nez, afin de lui éviter d'inspirer l'air étouffant du bâtiment. La chaleur que produisait cet enfer pesait également sur l'homme qui devait marcher prudemment afin, d'une part, d'économiser ses efforts et surtout pour garder une certaine concentration : les flammes, qui rongeaient le sol à divers endroits et la quasi totalité du mobilier, menaçaient Howard Prince qui pouvait, s'il ne faisait pas attention, rester prisonnier de ce véritable bûcher... Une vision que le pirate retira rapidement de son esprit afin de rester focalisé sur son objectif principal : retrouver l'enfant de cette femme...

      Tandis qu'il progressait dans la pièce, un craquement net juste au-dessus de lui, le fit instinctivement sauter sur le côté afin d'éviter tout possible effondrement de l'étage... Mais rien ne se produisit. Un soulagement de courte durée, car au moment où il passait l'avant de son bras sur son front moite, une flamme, probablement nourrit par un produit à proximité, grandit en une fraction de seconde et vint lécher le pirate, qui était pourtant à une distance respectable : levant rapidement son manteau pour se protéger intégralement la tête, Prince recula de quelques pas afin de ne put être proie aux flammes. Plusieurs flammèches commencèrent néanmoins à ronger l'habit du pirate qui du frapper ce dernier à terre afin d'enlever le danger...Cette pensée lui rappela également qu'une triste découverte était également fortement envisageable : retrouver le corps de l'enfant, mangé par les flammes des enfers, était tout-à-fait possible et bien qu'il appréhendait une rencontre de ce type, Prince ne voulait, en aucun cas, mettre fin à ses recherches.

      « Surement à l'étage... »

      Marchant prudemment sur l'escalier en bois qui menaçait de céder à chaque marche en feu, Prince arriva à l'étage et fut rassuré, en entendant, tout d'abord, des pleures chétifs, malgré le bruit de la fournaise, puis en voyant l'enfant, assis sous une table, la tête entre les bras et encapuchonné sous un long drap sombre. Sans préambule, le pirate cria en direction du gosse :

      « Ohé petit ! »

      L'enfant sortit alors lentement sa tête noircie de son abri de fortune et regarda l'individu qui venait d'arriver :

      « Je vais te sortir de là petit, laisse-moi juste... »

      Pendant que le pirate tentait de rassurer l'enfant, tout en s'approchant lentement de lui, un craquement terrible le fit bondir en arrière, le faisant revenir à l'endroit où il était, pendant que le sol du centre de la pièce s'effaçait, tombant et s'effritant jusqu'à laisser un énorme trou noir béant : des flammes immenses jaillirent alors de l'étage du dessous, créant une barrière brûlante et aveuglante entre l'enfant et Prince, qui du, une nouvelle fois, se protéger pour ne pas être brûlé :

      « Bordel... »

      Pris de panique, l'enfant criait, hurlait de peur en vue de ce qui se déroulait devant ses yeux.

      « Maman ! Maman aide-moi ! Maman !!! »

      Regardant autour de lui, Howard Prince ne trouva aucun autre moyen que de sauter directement au-dessus du trou pour arriver au niveau de l'enfant : prenant quelques pas d'élan tandis que l'escalier qu'il avait emprunté quelques minutes auparavant s'effondrait, complètement dévoré par les flammes, le pirate fonça en avant, poussant sur ses jambes afin de prendre le maximum de vitesse possible.

      Sautant en avant après être arrivé au bord du trou, Prince fut soudainement déstabilisé lorsqu'une partie fragilisée du sol, tomba également sous son poids : l'homme, qui ne pourrait jamais atteindre l'autre partie du plancher encore debout, lança sa main en avant, rattrapant in-extremis, le bord des lattes en bois... Suspendus à plusieurs mètres au-dessus du feu, le pirate se hissa difficilement tandis que les flammes lui léchaient les bottes et que la chaleur des planches lui brûlaient les mains.
      Se relevant lentement, le pirate regarda alors des mains, dont l'intérieur était boursouflé et jura intérieurement avant de se précipiter vers le jeune garçon, dont les larmes coulaient à flots : tendant une main vers ce dernier, il sourit chaleureusement, tentant de calmer l'enfant apeuré :

      « Hey... Ça te dirait de sortir d'ici ? »

      Le garçon acquiesça d'un timide mouvement de tête, avant de s'approcher du pirate et de lui prendre la main. Regardant l'enfant, dont les sanglots avaient cessé, Howard Prince se demanda quel âge pouvait bien avoir son nouvel ami... huit ans, peut-être dix tout au plus...En tout cas, le courage dont il faisait preuve l'impressionna tandis qu'une nouvelle explosion, au rez-de-chaussée, le sortit de ses pensées : partout où il regardait, les flammes étaient présentes, rongeant l'ensemble des éléments... Des poutres tombaient dans un fracas bruyant, mélangeant le son du verre qui casse et celui du bois qui se fend, qui hurle de douleur... Désormais, personne ne pourrait plus rien faire pour cette maison... Elle était condamnée, dévorée et sacrifiée aux flammes du pandémonium...

      Ne pouvant revenir en arrière après l'effondrement de l'escalier, Howard Prince chercha une solution, puisant dans son esprit afin de trouver un plan qui pourrait les sortir d'ici, tandis que les flammes grossissaient de plus en plus et que l'air devenait irrespirable, les condamnant toujours un peu plus... Le plancher s'effrita une nouvelle fois, agrandissant le trou encore plus et obligeant les deux compagnons à se coller contre le mur du fond... Bientôt, tout l'étage n'existera plus.
      La situation devenait critique et Prince n'avait plus le choix : prenant l'enfant dans ses bras et encapuchonnant ce dernier dans une partie de son manteau, le pirate prit quelques pas d'élan et tandis que le reste de planché de l'étage tombait, tel un seul bloc, le pirate fonça en avant et sauta par la fenêtre dans un terrible son de verre éclaté.

      L'air frais arriva à ses narines comme une délivrance longtemps attendue, pendant qu'il tombait, l'enfant dans les bras. Il n'eut alors pas le temps de voir les citoyens qui observèrent la scène avec effrois...

      L'atterrissage fut alors difficile : ne voulant absolument pas blesser le gamin, Prince se positionna de manière à pouvoir rouler, en touchant le sol et éviter, ainsi, de faire du mal à l'enfant. Le mouvement fut un succès.
      Néanmoins, le choc fut plus rude pour le pirate qui prit directement au niveau des cotes et de l'épaule... Sonné, la douleur se propagea en lui comme une drogue, le maintenant au sol.

      Les citoyens accoururent vers le pirate toujours à terre, prenant en charge l'enfant, dont la mère pleurait de joie.

      « Prenez l'enfant vite ! Un docteur !!! »

      « Monsieur ?! »

      « Ohé monsieur vous allez bien ? »

      Une voix plus forte demanda soudainement à la foule de reculer, un ordre... Le son d'un fusil qu'on braque sur une cible retentit alors aux oreilles d'Howard Prince qui, sur le dos, leva doucement la tête : deux marins étaient là, au-dessus de lui :

      « Howard Prince ! Le pirate aux 3.000.000 de Berrys ! Tu vas gentiment nous suivre ! »

      Contre toute attentes et au moment même ou le pirate allait répondre aux hommes de la justice, certains citoyens crièrent au scandale, apparemment choqués de la réaction des marins devant un individu qui venait de risquer sa vie pour un enfant.
      Perplexe devant cette réaction populaire, le marin, qui avait braqué son fusil sur Prince, le retira doucement avant que son propre collègue ne le pousse et, à la grande surprise du pirate, ne tende la main vers lui :

      « Excusez-nous monsieur... Nous... bien que les ordres soient claires en ce qui concerne la piraterie, je ne pourrais me résoudre à vous arrêter après le geste que vous venez de faire... »

      Agrippant le bras du marin, Howard Prince se mit doucement debout, avant de passer une main sur son épaule douloureuse. Il regarda alors le marin qui venait de l'aider, avant de sourire à ce dernier : l'autre, apparemment mécontent de la décision de son collègue aboya sur ce dernier :

      « Tu es fou ?! Howard Prince est devant nous ! Et qui plus est, il est blessé ! L'occasion d'attraper ce déchet ne se reproduira pas de si tôt ! Il faut donc le... »

      L'autre marin, agacé, répliqua aussitôt :

      « Assez !! A ce que je me souvienne, je suis ton supérieur ici ! C'est donc moi qui prends les décisions et je prends l'entière responsabilité concernant celle-ci ! Rompez maintenant soldat ! »

      Regardant son collègue partir pendant un moment, l'homme reposa ses yeux dans ceux du pirate, avant de continuer :

      « Cependant... Ne vous méprenez pas, la prochaine fois que nous nous croiserons, je vous arrêterais et vous enfermerais personnellement... »

      Howard Prince, dont les yeux émeraudes avaient également plongés dans ceux de son interlocuteur, sourit davantage, avant de saluer l'homme avec un signe de tête, sous l'acclamation générale des quelques citoyens présents : le pirate n'oubliera pas cet acte, car rares étaient les marins avec, en ces temps, ce genre de mentalité...

      Après avoir été soigné auprès d'un docteur plutôt bavard, Howard Prince reprit son chemin vers le port, accompagné, pendant un bout du chemin, par l'enfant qu'il avait sauvé et qui, désormais, allait beaucoup mieux.
      Avant de reprendre les voiles, il se demanda, néanmoins, qui pouvait bien être ce mystérieux garçon à la tête blonde... Le reverrait-il un jour ?




      Il n'y a rien à dire, tu es juste suffoqué par la mauvaise foi et la malhonnêteté du jeune officier. Ah ! C'est sûr, sa démonstration est brillante, aussi brillante que son sens de l'équité est bancal. Tu en es maintenant convaincu : il te doit le fait d'avoir eu les mains libres pour avoir capturé Rei. Et ce n'est pas comme s'il s'agissait d'un chasseur, auquel cas tu aurais compris. Le bonhomme possède un salaire, un confort de vie que tu ne saurais envier; mais le fait de te reconnaître un quelconque mérite, à défaut de lui faire perdre de l'argent, lui ferait de l'ombre.

      Tellement facile de faire appel aux bas instincts !

      Tu restes en retrait jusqu'à ce que l'odieux personnage ait achevé sa démonstration. Alors seulement, tu t'éclaircis la voix en t'adressant directement à l'officier supérieur qui siège toujours derrière son bureau.


      -Bien, y m'semble qu'les faits sont clairs. J'ai aidé à la capture d'une criminelle, avec un gars dont j'sais pas l'nom, mais qu'a visiblement été même trop brave pour s'présenter ici. Sans doute pas un chasseur. Ce gars mérite les honneurs, s'il repasse par ici. Facile à r'connaître, il porte un tricorne, et un grand manteau comme j'en ai rarement vu d'semblables. Et y cause comme une duchesse, aussi.

      Gêné par ce que tu t'apprêtes à dire, tu croises les bras sur ta poitrine.

      Quant à moi, c'est pas dans ma routine d'insister, mais j'mérite le minimum. Pas toute la prime, c'est clair. Mais vous pouvez pas dire qu'la marine me doit rien sur c'coup là.

      Un sourire discret plisse un coin de ton visage, déjà parcheminé par le sel et le soleil.

      -Si vous osez l'dire malgré tout, j'peux parier mes godasses qu'la population s'ra contre vous.

      C'est vrai... Tu as beau revenir d'un long voyage, tu as retrouvé des visages connus sur Tanuki. Tous prêts à te venir en aide. Ta réputation n'a pas changée et tu es resté, dans le cœur de tous, Sören Hurlevent le barde aux mille chats, le conteur et le modeste chasseur.
      Dire que tu pensais protéger Yamatotote Kadisparu, en lui venant en aide contre Rei ! Il arrive que les bonnes volontés soient fort mal récompensées.

      Dans son fauteuil, le supérieur a l'air de réfléchir, comme pris entre deux feux. Malheureusement, tu n'as jamais eu affaire à lui par le passé, habitué que tu étais des officiers de l'avant-poste de Manshon. Un retour bien brutal à la réalité de l'existence ! Malgré tes actes et ton mérite, tu risques fort de te trouver évincé... au profit d'un petit vice-lieutenant soucieux de prendre du galon plutôt que d'agir en homme juste.

      Mais avant même que celui-ci ait eut le temps d'achever de peser le pour et le contre, le jeune marine s'est dirigé vers la sortie en t'entrainant de force avec lui. Au grand soulagement de son supérieur que tu entends presque soupirer d'aide. Une décision pénible de moins à prendre pour lui... Tu tentes de protester, mais l'officier te maintiens fermement, et te coupe la parole. Par le grand Belzébuth ! Le voilà qui te menace, à présent ! Comme si tu allais avoir peur ! Tu en as vu d'autres, et tu comptes dans les rangs de la marine de véritables amis. Tu sais que tu peux dire ce qui te semble juste sans avoir à craindre les paroles chargées d'orgueil d'un freluquet en costume de mouette qui se sent malin parce que des galons ornent ses épaules.


      -J'ai rein à dire à un vendu, mais j'caus'rai quand même. Jamais un ami d'la justice d'vrait craindre d'dire son bon droit.

      Tu suis le jeune homme qui ne te lâche toujours pas, mais je sens que tu t'es crispé, derrière ton air détendu et sûr de toi. Tu redoutes un nouveau coup de la part du marine. Se croirait-il dans le vrai au point de risquer de t'attaquer pour te mettre hors de cause ? C'est sur la défensive que tu l'accompagnes hors du poste, et dans une ruelle située à bonne distances de l'incendie survenu un peu plus tôt...
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      J'étais enfin seule avec le vieux. Par conséquent, c'était le moment opportun pour tenter une évasion. Seulement, je voulais avant tout libérer mes mains et récupérer mon arme. Ensuite, j'improviserais la fuite. Pour le moment, je devais déconcentrer l'officier pendant qu'il était encore le temps. J'utilisais alors ma petite technique pour qu'il ne se focalise uniquement que sur moi, même si on était seul. Genre poitrine et visage... En effectuant cela, l'homme ne faisait plus attention autour de lui et ne regardait que moi. C'était pratique pour attirer un adversaire quelque part et l'avoir par derrière... ou par devant, hu hu.

      - Yowa seru miryoku

      Et voilà, il bavait déjà ce pervers. Je ne pensais pas que cela fonctionnerait si bien avec lui. Au contraire, plus nombreux étaient les officiers à résister à cette technique que les êtres en bas de l'échelle où ces derniers sombraient directement dans ce délire de perversion.

      Ainsi, je m'avançais près de lui en contournant son bureau en bois massif afin d'être près de lui. Evidemment, il voulait tout de suite mettre sa main dans mon décolleté, ce bougre. Je me laissais faire tripoter les seins afin que je puisse, pendant ce temps-là, lui prendre les clefs avec mes mains menottés. Ensuite, je réussis en un rien de temps à déverrouiller la serrure. À ce moment-là, l'effet de ma technique stoppa et le Marine réalisa subitement que je m'étais rapprochée de lui et que j'avais les membres inférieures libres. Avant même qu'il ne pousse un cri d'alerte, je lui assénai un grand coup pour l'assommer.

      Voilà une bonne chose qui était faite! Aucun bruit nuisible avait été faites et je pouvais maintenant trouver une solution pour partir discrètement ou faire parler de moi, c'était selon. Je récupérai mon arme, puis j'allais fermer la porte à double tour. Je retournai alors vers le meuble où était endormi le vieillard. Je m’avançai vers la fenêtre et je sifflai un bon coup. J'attendis ensuite en silence que mon corbeaux Isis vienne. Pour cela, j'avais rédigée sur un bout de papier arraché un ordre pour mon équipage. Vu que je ne voulais pas leur faire prendre des risques trop grands, je leur donnai un point de rencontre. J'avais aussi observée dehors pour savoir où je me trouvais grosso modo.


      Sortez le navire de la cachette et amenez-le, le plus proche du port, juste au niveau du premier quai. Pour ce qui est des navires adverses, ne tirez que si on vous attaque. Dès que je verrais notre pavillon, je sortirais alors de ma cachette pour joindre à cet endroit.


      Je pliai l'affaire dans la bague de mon volatile et elle partit en direction de mon bateau. Je risquai d'attendre un peu longtemps... Et ce que je craignais le plus arriva. Saacerace! Un soldat toquait à la porte et insistait lourdement.

      Toc TOc toC toc TOc! !!!

      Je réveillai alors l'avachi et je lui ordonnais de trouver une combine pour me laisser partir saine et sauve avec mon loup. Je le menaçais de ma lame de mon bras gauche. Le soldat avait intérêt à abandonner.

      - Fais-le repartir ou je te coupe la gorge.

      - Vous ne vous en sortirez pas comme ça. Vous êtes folle de croire que vous réussirez, Rei.

      J'insistais. Un peu de sang coula de son cou. Pas trop pour qu'il me soit encore utile.

      - Abrège!

      - Au secours!!

      Putain! Je me ferais une joie de l'étriper celui-là, même le torturer quand je serais enfin sortie de se merdier. Heureusement que je gardais encore ce con avec moi, au moins pour me servir d'otage. De l'autre côté de la porte, on comprit également qu'il se passait des choses anormales. Ils étaient en train de la défoncer. Je me préparais à tout. Je pointais alors ma gunblade vers eux avec mon autre main.

      CrAAacc!!!! !!!

      PaANnn !! !!!

      PaANnn !! !!!

      Je tirais sur deux types qui étaient restés derrière. Leur collègue, quant à lui, s’affala sur le tapis. Je traînais alors ma victime pour sortir sans oublié d'abattre ma lame dans son dos. C'était pitaoyable! Anubis nous suivit.

      On progressait dans le couloir quand l'alerte fut donné.

      PULLU PULLU ALERTE!! PULLU PULLU ALERTE!! PULLU PULLU ALERTE!!

      Cela allait annoncer la couleur, mais je m'en doutais déjà à l'avance. Ainsi, il faudrait trouver un moyen de pression pour avancer...
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      Comme la place de l'incendie grouillait de badauds en tout genre je décidai de me rendre dans un resto du dock (selon le guide du forgeron c'était l'endroit parfait pour s'échanger des "recettes secrétés «aussi bien que pour la forge que pour la cuisine car forger ça creuse...ça donne la dalle...je trouverai bien un jour...).

      Nous ne dîmes pas un mot intéressant pendant le voyage, on parla du temps et d'autres choses.
      (-ah il faut beau - ah bon hier j'ai mangé du poulet - Sinon tu pense quoi des frites au chocolat ?)Ce genre de connerie en gros. Nous poussâmes la porte et entrèrent dans un Boui-boui où flottait une odeur rance de vomit et de ...snif...snif...chicons cuit. Il y' avait plusieurs clampins qui dormaient à même le sol d'autre la tête dans leur chope, je reculai d'un pas et jetai un coup d'œil à l'enseigne.

      - Ah merde...c'est à coté héhé . Ca y'est j'ai encore l'air con.

      Nous poussâmes la porte du bon établissement. C’était une grande pièce lumineuse et propre, chaque table était séparé par un gros paravent et un petit juke-box se trouvait à chaque table ... "les chiens ne sont pas permit" disait un petit écriteau...rien à battre j'ai un loup...

      Nous nous assîmes à la table la plus isolée possible. Une mignonne serveuse de mon âge ou un peu plus (moins que la vielle peau de tout à l'heure en tout cas) vient prendre notre commande, elle ne fit aucune objection lorsque je lui dis que c'était un loup, Œil lui dit même bonjour. Je commandai des pilons de poulets pané (alors c'est du poussin oh oh oh) et une bouteille de jus maison. Elle repartit en cuisine mais j’aperçus qu'elle me jeta quelques coups d'œil discrets, elle rougit dés que je lui souris. J’enlevai ma veste et ma cravate.

      -Je pense que je vais revenir plus tard....

      Je lançais le juke-box qui lança la musique d'un groupe inconnu je réglai le son de façon à ce que l'on s'entende ... mais pas les autres...même si la salle était vide.

      -Déjà je tenais à te dire merci, pour ton aide tout à l'heure nous n'aurions sans doute pas réussi à attraper Rei...même si comme tu dis elle à sans doute ... pas joué au maximum de ses capacités.

      Elle nous apporta notre commande et s'enfuit dés que je la remerciai.

      -De plus si j'ai tenus à affronté Rei...Ce n'est pas pour le galon...mais pour la personne, j’exècre les monstres qui prennent plaisir à tuer, mon sang n'avait fais qu'un tour tout ce qu'y importait c'était d'envoyé cette vielle peau en tôle pour le restant de ses jours, je l'avoue j'ai fais une faute impardonnable en me laissant gouverné par mes sentiments plutôt que mon devoir, je ne sais pas ce qui ce serait passé sans vous deux...foutu protocole...J'ai du te donner l'impression d’être un monstre aux dents longues tout à l'heure...merci encore d'avoir protégé les innocents à ma place, dis t’entend pas un bruit.
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      Tu t'es laissé conduire par le marine sans mot dire, les épaules raides et le regard alerte. Ce qui ne l'a pas empêché de débiter toutes sortes de banalités pendant le trajet, auxquelles tu n'as répondu que par des onomatopées... Miaw ! Que cet homme peut être curieux, Sören ! Je parierais mes deux oreilles qu'il n'a même pas remarqué ton manque flagrant de participation. Comme un ami ou comme un frère, il te tient aux épaules en souriant. Tu n'en es que plus agacé. Même le matou le plus débonnaire et doux n'aime pas que l'on vienne dévorer le contenu de sa gamelle...

      Tu t'es assis en face du marine, mais tu n'as rien commandé. Au contraire, tu es allé jusqu'à sortir le panier de victuailles acheté un peu plus tôt. Une manière implicite de faire comprendre à ton vis-à-vis que tu avais besoin de cette prime pour vivre. Mais celui-ci a l'air plus préoccupé par les dessous de la serveuse que par ceux de ta bourse. Sans même remarquer ton silence, il attend sa commande qui ne tarde pas à arriver.

      Tu te fais un honneur de ne pas accorder un regard à la viande odorante. Tu restes concentré sur ses mots voulus apaisants. Mais chacun d'entre eux te fait l'effet d'une insulte. Avec ton allure de vagabond et ton verbe rude, tu sais que nombre de gens sont tentés de te prendre pour un crétin. Mais tu n'as jamais été de ce bord, de même que tu n'as jamais pu supporter ceux qui jugent selon les apparences.

      Avec une patience imprégnée de colère, tu écoutes le vice-lieutenant jusqu'au bout. Visiblement satisfait, il s'est mis à dévorer son poulet pané. Toi, tu avales un morceau de saucisson avant d'émettre un léger sifflement. Ta manière à toi de feuler.


      -Facile à dire une fois qu'on a gardé pour soi tous les honneurs... et qu'on a monté l'son d'la musique pour qu'personne surprenne la vérité. M'prend pas pour plus con que j'suis. J'l'ai d'jà dit. J'me moque des médailles et d'la gloriole. J'laisse ça a ceux qu'en ont b'soin pour s'sentir exister. Seul'ment, là, l'soucis, c'est que tu viens d'achever d'me faire perdre une occasion d'gagner d'quoi manger et voyager pour les deux prochains mois. Et ça, c'est l'comble de la honte pour un homme de bien.

      En contrôlant tes gestes, tu replies la lame de ton vieux couteau, avec lequel tu as découpé le saucisson. Tes mains ne tremblent pas, mais je sens que ton cœur bat plus vite.

      -Maint'nant qu'tu m'as fait perdre la face d'vant l'officier du coin, j'vais pas y r'tourner. J'perdrais moins mon temps à aller voir ceux qu'j'ai aidés. J'trouv'rais ben quelqu'un qui pourra m'loger et m'nourrir pour rien. Surtout quand y saura comment la marine traite ses alliés. Par temps d'crise, on aime encore moins l'injustice que l'reste de l'année.

      Oh... Déjà ? Sören, ne sois pas si dur. Après tout, tu as affaire à un homme jeune, qui n'a sans doute pas l'expérience de la vie que tu as eue, toi... il n'a probablement jamais vécu dans la rue, personne ne l'a regardé de haut en raison de ce qu'il était, il ne s'est peut-être même jamais senti aussi isolé que toi. Ces pensées ont l'air de te traverser l'esprit, car soudain tu te radoucis. Tu t'es levé, tu as rangé ton repas et revissé ton chapeau sur le sommet de ton crâne.

      -Si t'es de North, on s'recrois'ra. Mais si t'as pas changé d'ici là, garde ben en tête que j'me laiss'rai pas faire deux fois.

      Le sage une fois s'égare,
      Mais il sait dire « j'ai tort »
      Il n'est jamais trop tard
      Pour redresser un tord.

      C'est cadeau. Prend du bon temps 'vec la gamine, mais un conseil, garde l'œil ouvert. Les filles des ports ont toujours une heure pour aimer, et une aut' pour tuer.


      Sans ajouter un seul mot, tu prends la porte. Non, non, tu ne la mets nulle part... tu la prends et tu sors. Calmement, tu rejètes ta colère loin de toi, et tu t'en retournes sur les lieux de l'incendie. Histoire de voir s'il reste de l'ouvrage, ou si les victimes se souviennent un peu plus de toi que la marine... Plongé dans tes pensées, tu n'entends pas la sirène interne au poste qui, à peine audible, annonce la fuite de Rei Kimura...
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      Pendant qu'Aoi D. Nakajima se frayait péniblement un chemin vers le halle de la caserne, son navire arriva près du port sous le commandement de Valentina D. Méria, sa seconde. Les militaires mobilisés sur les quais ne prêtèrent pas d'attention à l’alerte interne et préférèrent s'occuper de la menace qui venait le long des côtes. Les soldats stoppèrent leur chargeaient en tout genre et se préparèrent à combattre le bateau pirate. Les caisses contenant des produits dangereux furent laissées à l’abandon à moitié sur le dock et sur le pont de leur caravelle. Ainsi, ils se mobilisèrent en masse pour couler les nakamas de la criminelle. Voyant que l'Inferno était sous les tires ennemies, la capitaine en second ordonna également d'ouvrir le feu sur leurs adversaires. Le bâtiment de guerre fut touché à la coque.

      Le me voilà dans un couloir rempli d'hommes en tenue miliaires, tous prêt à en découdre avec moi. Ils étaient assez stressés, car je tenais encore ce gradé de malheur sous ma lame. Il y avait de la tension dans l'air. Ils avaient décidé d'un commun accord de me ralentir par un blocus. Je leur crachais.

      - Laissez-moi passer, bordel!

      Le pauvre diable que je gardais sous mon bras rappliqua pour pas que la situation ne s'aggrave davantage.

      - Faites ce qu'elle vous dit. Reculez donc, bon sang.

      Terrifiés parce que j'étais capable de faire, ils reculèrent par crainte ou par soumission aux ordres. La tension montait au fur et à mesure qu'on s'approchait de la sortie. J'étais maintenant au rez-de-chaussé. Je voulais absolument prendre le côté port. Je m'adressai sévèrement à la foule de soldats quand j'arrivais près de la porte.

      - Si l'un de vous ose se lancer à ma poursuite, il en payera de sa vie!

      Je savais que cela n'allait pas les empêcher après que je serais dehors. Et pour cela, je tenais encore le vieux avec moi, traînant ainsi ma victime pour être protégée provisoirement.

      Une fois à l'extérieur, je vis et entendis le bordel qu'il y avait. Des hommes se mobilisaient pour stopper mon navire. Des projectiles éclatèrent sur les deux rafiots. Bordel, il fallait faire vite. Heureusement, mon équipage ripostait aussi convenablement. Finalement, tout ne s'était pas passé comme je l'aurais imaginée. En tout cas, mes paires avaient fait vite, certes. Seulement, je pensais que je serais dehors plus rapidement.

      Je courais maintenant, toujours en ayant avec moi ma cible. J'ignorais si les soldats qui étaient sur la caravelle étaient au courant de ma présence. En tout cas, mes nakamas m'avaient vue et lançaient une corde. J'étais loin encore et je devais me dépêcher. J’abandonnai alors le vieux en prenant le soin d'enfoncer ma lame dans sa chair.

      - AAAaaahhhh!!!!

      Je continuais à lui faire du mal un cours instant. Je pris mon plaisir à le faire souffrir le plus possible, au moins jusqu'à que je prenne la tangente. Il suffoquait en rejetant son sang. Il avait une chance de sortir, vu que j'étais pressée. C'était pathétique.

      - Tu... teuheu, teuah... ne pourras pas partir... teuheu... comme ça, sale peste! Teuheu, teuah...

      Je lui avais déjà tournée les talons. Évidemment, ceux qui étaient au courant de la prise d'otage se ruèrent sur moi, sortant en masse de la caserne. J'usai de mon arme à feu sur ces pauvres fous. Sur le dock, il y avait des tonneaux de poudres qui avaient dû être déposé là lors du chargement interrompu peu avant. Un boom se fit ressentir quand une de mes balles se logea dans le contenu dangereux. Une dizaine de malheureux volèrent en éclats. Des membres et des boyaux se répandirent sur le sol pavé et ruisselant de sang. J'étais vraiment décidée de mettre les voiles.

      Ça commençait à devenir pénible! Bien sûr, ceux qui étaient dans la caserne s'étaient continuèrent se précipiter vers moi, seulement mes camarades de fortunes les avaient vus et envoyèrent une slave en direction de l'édifice. Les projectiles détruisirent la façade dans un terrible fracas. Je devais rattraper en vitesse le cordage, maintenant. Je gagnai rapidement mon bâtiment qui manœuvrait pour s'enfuir. Les derniers boulets volèrent de part et d'autre des navire qui se livraient bataille. Un second boum survient tout d'un coup. C'était le compartiment des munitions qui venait de sauter. La caravelle commença alors à sombrer peu à peu dans l'eau. Mon Inferno venait de faire mouche en bonne et due forme.

      Les échanges entre les voilés furent terminés. Le côté bâbord avait bien souffert, mais mes camardes avaient parvenu à envoyer par le fond la corvette. Je m'accrochai donc à la corde de lin et commençai à escalader pendant que mes nakamas me protéger. Ils envoyèrent un dernier coup de canon sur les quais, là où se trouvaient des hommes complètement débordés par les évènements si soudains. Enfin, j'avais pu quitter cette satanée île!! Toute une histoire à cause d'une erreur...

      un loups dans la ville ainsi que des pirates et un chasseur sans m'oubliez moi ainsi que les civils... - Page 2 Image_11


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      Aoi D. Nakajima



      ~FIN~
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      Soren sortit sa propre bouffe....Pourquoi ?

      -Facile à dire une fois qu'on a gardé pour soi tous les honneurs... et qu'on a monté l'son d'la musique pour qu'personne surprenne la vérité. M'prend pas pour plus con que j'suis. J'l'ai d'jà dit. J'me moque des médailles et d'la gloriole. J'laisse ça a ceux qu'en ont b'soin pour s'sentir exister. Seul'ment, là, l'soucis, c'est que tu viens d'achever d'me faire perdre une occasion d'gagner d'quoi manger et voyager pour les deux prochains mois. Et ça, c'est l'comble de la honte pour un homme de bien.

      Hein ???!!!! y se passe quoi la ?...Et pis c'est ce qui était marqué à l'entrée...

      -Maint'nant qu'tu m'as fait perdre la face d'vant l'officier du coin, j'vais pas y r'tourner. J'perdrais moins mon temps à aller voir ceux qu'j'ai aidés. J'trouv'rais ben quelqu'un qui pourra m'loger et m'nourrir pour rien. Surtout quand y saura comment la marine traite ses alliés. Par temps d'crise, on aime encore moins l'injustice que l'reste de l'année

      Heu...y se passe quoi la ?

      -Si t'es de North, on s'recrois'ra. Mais si t'as pas changé d'ici là, garde ben en tête que j'me laiss'rai pas faire deux fois.

      Le sage une fois s'égare,
      Mais il sait dire « j'ai tort »
      Il n'est jamais trop tard
      Pour redresser un tord.

      C'est cadeau. Prend du bon temps 'vec la gamine, mais un conseil, garde l'œil ouvert. Les filles des ports ont toujours une heure pour aimer, et une aut' pour tuer.


      Si tu le dis...hé pourquoi tu te barre ?

      Je sortis une liasse de ma poche....ah oui la récompense merde...il a rien reçut...et il est super pauvre le mec en fait...
      Je sortis et jetai un coup d'oeil à l'affiche collée à la porte.

      "Veuillez mettre de la musique lorsque vous parlé, en effet comme il y a une mauvaise isolation le chef doit se farcir vos babelages inintérresants toute la journée, par contre il apprécie la musique ou alors ne parlez pas ca sera moins chiant."

      J'avais raison...

      *Tu peux le trouver?*

      *sans problème*

      Je sprintai derrière le loup et le retrouvai à la place de l'incendie.

      -Salut...ha...ha...j'avais oublié que t'avais rien reçu ... ha...ha...Pour la récompense....Tient ta part....ha...ha...c'est pas comme si tu l'avais capturé toi même, comme je suis marin j'ai qu'un tiers de la récompense mais en voila déja la moitié...ha...Elle serait pas en tôle sans toi...Ha...pour la musique c'était obligé...c'était écrit pour la porte...Le forgeron bourlinguer en parlait pas ils disaient que c’était un bon coin pour parlé sans plus

      -YAMA !

      Un de mes hommes m'interpellait

      Je glissais un morceau de papier griffonné en plus de l'argent.

      -Si tu veux tu peux venir là c'est le logement qu'on m'as assigné pendant que je reste sur l’île

      Je m'approchais de mon pote.

      -Un problème ?

      -suis moi elle s'est échappée.

      On arriva devant un voile noir, je le soulevai et grimaçai, l'officier était étendu sur le dos le regard vide,couvert de sang,les tripes à l'air...mort.Il m’entraîna ensuite à la caserne qui avait morflé.

      -Le navire de la pirate...je pense...à ouvert le feu et à endommager le bâtiment mais rien de grave, la façade est un peu arrachée et deux trois salles ont été détruites.

      J'avais bien entendu un bruit.

      Une bonne partie des marins étaient partis à la poursuite de Rei. Je parvins dans le bureau de l'officier,la porte avait été enfoncée...de l'extérieur,deux marins étaient étendu mort ils avaient pris une balle dans le buffet...donc ils ont voulu entrer.La fenêtre avait été ouverte...comme il avait plu la fenêtre avait été fermée mais à présent ouverte...Je jetai un coup d'oeil dehors rien d’accessible.

      *Une odeur ?celle du mec au chapeau ?*

      *Non...un oiseau peut etre.*

      Voila comment elle avait peut-être contacté son équipage.Je me tournais vers le chaise tournante...tournée sur le coté...Il était ...je pense ...en contact avec la pirate, elle l'avait assommé sans doute...ils étaient seul...elle a du trouver un moyen pour s'approcher de lui sans qu'il sinquiète vraiment ou alors c'est une fausse piste...

      Mon poing s'abattit sur la table et la brisa en deux.

      -VIEUX PLANQUE A LA CON!

      Je sortis en trombe du bureau en me massant le poing,plus qu'à espéré que les marins la chope.Il va falloir que je pose des questions au chasseur dur le mec au tricorne...si il la connaissait en trouvant ce mec...je retrouverai Rei si ils la retrouve pas...



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      Tu marchais en te demandant si tu n'allais pas te débrouiller pour quitter l'île au plus vite, lorsque l'officier était revenu. Tu as eu l'air de ne pas comprendre la moitié de ce qu'il disait, il faut bien l'admettre... Musique ? Sur la porte ? … bah ! C'est tout juste si tu parviens à déchiffrer les noms sur les avis de recherche. Alors il est très clair que tu ne t'amuses que très rarement à lire toutes les notes de service et autres lettres placardées qui te passent sous les yeux. Tu n'as appris à les règles de la lecture que sur le tard, voir le très tard, et de manière tellement peu orthodoxe que l'automatisme ne s'est jamais développé chez toi.
      Mais ce que tu retiens, c'est que le sous-lieutenant vient de t'offrir la moitié de la prime qu'il a reçu pour la capture de Rei. Soit 1 750 000 berrys. Oh... il a finalement compris sa méprise, il faut croire. Tu en es heureux, et tu n'en demandes pas davantage. Tu vas pouvoir prendre une place sur un navire sans avoir à négocier, dans les plus courts délais. Tu vas avoir de quoi manger pendant quelques temps. Le temps d'achever de te remettre de ton long voyage autour des Blues, et de te redonner un objectif. Grand Line n'est peut-être pas si inaccessible, même pour un seul homme...
      En plus, comme pour souligner sa bonne volonté, l'homme te donne son adresse. Tu l'acceptes avec bonne humeur, même si tu sais déjà que le soir, tu ne seras plus sur Tanuki.


      -Soit, j'crois que j'm'étais un peu égaré dans mon jug'ment. Pour sûr. Mes excuses. Même s'il aurait mieux valu pour nous deux qu'on s'arrange direct 'vec ton supérieur. Enfin, j'suis pas du genre à m'emmerder non plus. Tant qu'j'ai d'quoi vivre...

      Là, Sören, si ce que tu viens de dire est sincère, sache que c'est un tort que tu as. Tu devrais trouver le moyen de mettre des richesses de côté. Tu pourrais peut-être envisager de passer Reverse Mountain avec ta seule force, mais pour cela, il te faudrait un navire des mieux conçus. Et une véritable science de la navigation, bien loin des quelques connaissances que tu as glanées au fil de tes voyages à bord de bateaux de commerce.

      Mais tu n'as pas le temps de dire adieu et merci au marine qu'un de ses collègues le rappelle au devoir. Sans doute une facétie de Rei, tu n'en doutes pas une seule seconde. Mais pour aujourd'hui, tu as décidé que cela ne te concernait plus. Tu es fatigué de cette île, fatigué de cette journée, de cette situation qui n'en finissait pas. Tu n'as pas d'obligations, alors, tu prends le chemin des docks en mangeant une pomme. Plus besoin d'économiser les vivres, tu vas pouvoir prendre un peu de poids. Un avantage non négligeable pour passer l'hiver dans des conditions souvent rudes. Mais tu sais que si ton chemin recroise celui de la femme pirate, tu ne laisseras personne d'autre s'en charger à ta place, ou te distraire de ton devoir. Et toi, tu feras ton travail jusqu'au bout. Jusqu'à la porte des geôles s'il le faut. Car tu n'as jamais aimé l'argent mal gagné, et aujourd'hui, à supposer que Rei ait bel ait bien réussi à fuir, c'est là ce que tu as finalement récolté. Tu ne t'en plaints pas, mais tu sais que tu te feras, un jour, l'impératif de corriger le tir.

      Il y a des fois où tes principes me dépassent, et je bénis le ciel d'être de la race des opportunistes !
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