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un loups dans la ville ainsi que des pirates et un chasseur sans m'oubliez moi ainsi que les civils...

Rappel du premier message :

J'étais assis au bureau de la forge de la base depuis le petit matin, je n'avais toujours pas fini de décrypter le livre sur les meitous j'avais bien avancé mais c'était pas beaucoup.J'avais certes découvert toutes le hypothèse sur l'origine des meitous et j'avais apris pas mal de trucs.je lachai un long soupir en m'étirant sur ma chaise,mon loups,Oeol-de-nuit accouché près du feu leva la tête et produisant une série de sons dans le langage que nous avions inventé me dit:

*finis pour ce soleil ?*

-Je pense bien

*Je suis sortis faire un tour pendant que tu ne faisais rien*
Pour lui la plupart des activités intellectuelle signifie ne rien faire mais cela ne voulait pas dire qu'il n'aimait pas faire ça

-et ?

*j'ai appris un autre signe d'inutilité,regarde,plein de deux pattes le font*
J'avais essayé de lui enseigner la politesse mais ça ne servait à rien son cerveau trouvait cela inconcevable il les retenais mais sans plus.

Il se leva croisa ses pattes avant et me fit un bras d'honneur ou plutôt des pattes d'honneurs.

-Hahahaha oaui, t'as raison tous le monde le fait, mais c'est une insulte...une provocation.

Il retroussa ses babines, et fis une série de grognement rapide,je pense que c'est sa façon de rire.

*utile*

-allez viens on va faire un tour,ce n'étais pas une promenade d’ailleurs il savait très bien le faire seul, c'est juste qu'il m'accompagnait partout, et comme mes hommes avait eu leur semaine on était seuls tout les deux.

Nous sortîmes en ville sans, j'avais pris mes armes, à présent j'avais l'habitude de devoir me battre n’implore où n'importe quand,d'ailleurs j'avais menée ma bataille la plus épique dans un resto avant qu'il ne saute.

-on va manger un truc ?


*friture ?*

Il était étrangement très friand des petits snaks chauds,de la viande crue,fumée,séchée et des gâteaux.

Allez suit moi y'as un choutte snak dans le coin.

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Comme la place de l'incendie grouillait de badauds en tout genre je décidai de me rendre dans un resto du dock (selon le guide du forgeron c'était l'endroit parfait pour s'échanger des "recettes secrétés «aussi bien que pour la forge que pour la cuisine car forger ça creuse...ça donne la dalle...je trouverai bien un jour...).

Nous ne dîmes pas un mot intéressant pendant le voyage, on parla du temps et d'autres choses.
(-ah il faut beau - ah bon hier j'ai mangé du poulet - Sinon tu pense quoi des frites au chocolat ?)Ce genre de connerie en gros. Nous poussâmes la porte et entrèrent dans un Boui-boui où flottait une odeur rance de vomit et de ...snif...snif...chicons cuit. Il y' avait plusieurs clampins qui dormaient à même le sol d'autre la tête dans leur chope, je reculai d'un pas et jetai un coup d'œil à l'enseigne.

- Ah merde...c'est à coté héhé . Ca y'est j'ai encore l'air con.

Nous poussâmes la porte du bon établissement. C’était une grande pièce lumineuse et propre, chaque table était séparé par un gros paravent et un petit juke-box se trouvait à chaque table ... "les chiens ne sont pas permit" disait un petit écriteau...rien à battre j'ai un loup...

Nous nous assîmes à la table la plus isolée possible. Une mignonne serveuse de mon âge ou un peu plus (moins que la vielle peau de tout à l'heure en tout cas) vient prendre notre commande, elle ne fit aucune objection lorsque je lui dis que c'était un loup, Œil lui dit même bonjour. Je commandai des pilons de poulets pané (alors c'est du poussin oh oh oh) et une bouteille de jus maison. Elle repartit en cuisine mais j’aperçus qu'elle me jeta quelques coups d'œil discrets, elle rougit dés que je lui souris. J’enlevai ma veste et ma cravate.

-Je pense que je vais revenir plus tard....

Je lançais le juke-box qui lança la musique d'un groupe inconnu je réglai le son de façon à ce que l'on s'entende ... mais pas les autres...même si la salle était vide.

-Déjà je tenais à te dire merci, pour ton aide tout à l'heure nous n'aurions sans doute pas réussi à attraper Rei...même si comme tu dis elle à sans doute ... pas joué au maximum de ses capacités.

Elle nous apporta notre commande et s'enfuit dés que je la remerciai.

-De plus si j'ai tenus à affronté Rei...Ce n'est pas pour le galon...mais pour la personne, j’exècre les monstres qui prennent plaisir à tuer, mon sang n'avait fais qu'un tour tout ce qu'y importait c'était d'envoyé cette vielle peau en tôle pour le restant de ses jours, je l'avoue j'ai fais une faute impardonnable en me laissant gouverné par mes sentiments plutôt que mon devoir, je ne sais pas ce qui ce serait passé sans vous deux...foutu protocole...J'ai du te donner l'impression d’être un monstre aux dents longues tout à l'heure...merci encore d'avoir protégé les innocents à ma place, dis t’entend pas un bruit.
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Tu t'es laissé conduire par le marine sans mot dire, les épaules raides et le regard alerte. Ce qui ne l'a pas empêché de débiter toutes sortes de banalités pendant le trajet, auxquelles tu n'as répondu que par des onomatopées... Miaw ! Que cet homme peut être curieux, Sören ! Je parierais mes deux oreilles qu'il n'a même pas remarqué ton manque flagrant de participation. Comme un ami ou comme un frère, il te tient aux épaules en souriant. Tu n'en es que plus agacé. Même le matou le plus débonnaire et doux n'aime pas que l'on vienne dévorer le contenu de sa gamelle...

Tu t'es assis en face du marine, mais tu n'as rien commandé. Au contraire, tu es allé jusqu'à sortir le panier de victuailles acheté un peu plus tôt. Une manière implicite de faire comprendre à ton vis-à-vis que tu avais besoin de cette prime pour vivre. Mais celui-ci a l'air plus préoccupé par les dessous de la serveuse que par ceux de ta bourse. Sans même remarquer ton silence, il attend sa commande qui ne tarde pas à arriver.

Tu te fais un honneur de ne pas accorder un regard à la viande odorante. Tu restes concentré sur ses mots voulus apaisants. Mais chacun d'entre eux te fait l'effet d'une insulte. Avec ton allure de vagabond et ton verbe rude, tu sais que nombre de gens sont tentés de te prendre pour un crétin. Mais tu n'as jamais été de ce bord, de même que tu n'as jamais pu supporter ceux qui jugent selon les apparences.

Avec une patience imprégnée de colère, tu écoutes le vice-lieutenant jusqu'au bout. Visiblement satisfait, il s'est mis à dévorer son poulet pané. Toi, tu avales un morceau de saucisson avant d'émettre un léger sifflement. Ta manière à toi de feuler.


-Facile à dire une fois qu'on a gardé pour soi tous les honneurs... et qu'on a monté l'son d'la musique pour qu'personne surprenne la vérité. M'prend pas pour plus con que j'suis. J'l'ai d'jà dit. J'me moque des médailles et d'la gloriole. J'laisse ça a ceux qu'en ont b'soin pour s'sentir exister. Seul'ment, là, l'soucis, c'est que tu viens d'achever d'me faire perdre une occasion d'gagner d'quoi manger et voyager pour les deux prochains mois. Et ça, c'est l'comble de la honte pour un homme de bien.

En contrôlant tes gestes, tu replies la lame de ton vieux couteau, avec lequel tu as découpé le saucisson. Tes mains ne tremblent pas, mais je sens que ton cœur bat plus vite.

-Maint'nant qu'tu m'as fait perdre la face d'vant l'officier du coin, j'vais pas y r'tourner. J'perdrais moins mon temps à aller voir ceux qu'j'ai aidés. J'trouv'rais ben quelqu'un qui pourra m'loger et m'nourrir pour rien. Surtout quand y saura comment la marine traite ses alliés. Par temps d'crise, on aime encore moins l'injustice que l'reste de l'année.

Oh... Déjà ? Sören, ne sois pas si dur. Après tout, tu as affaire à un homme jeune, qui n'a sans doute pas l'expérience de la vie que tu as eue, toi... il n'a probablement jamais vécu dans la rue, personne ne l'a regardé de haut en raison de ce qu'il était, il ne s'est peut-être même jamais senti aussi isolé que toi. Ces pensées ont l'air de te traverser l'esprit, car soudain tu te radoucis. Tu t'es levé, tu as rangé ton repas et revissé ton chapeau sur le sommet de ton crâne.

-Si t'es de North, on s'recrois'ra. Mais si t'as pas changé d'ici là, garde ben en tête que j'me laiss'rai pas faire deux fois.

Le sage une fois s'égare,
Mais il sait dire « j'ai tort »
Il n'est jamais trop tard
Pour redresser un tord.

C'est cadeau. Prend du bon temps 'vec la gamine, mais un conseil, garde l'œil ouvert. Les filles des ports ont toujours une heure pour aimer, et une aut' pour tuer.


Sans ajouter un seul mot, tu prends la porte. Non, non, tu ne la mets nulle part... tu la prends et tu sors. Calmement, tu rejètes ta colère loin de toi, et tu t'en retournes sur les lieux de l'incendie. Histoire de voir s'il reste de l'ouvrage, ou si les victimes se souviennent un peu plus de toi que la marine... Plongé dans tes pensées, tu n'entends pas la sirène interne au poste qui, à peine audible, annonce la fuite de Rei Kimura...
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Pendant qu'Aoi D. Nakajima se frayait péniblement un chemin vers le halle de la caserne, son navire arriva près du port sous le commandement de Valentina D. Méria, sa seconde. Les militaires mobilisés sur les quais ne prêtèrent pas d'attention à l’alerte interne et préférèrent s'occuper de la menace qui venait le long des côtes. Les soldats stoppèrent leur chargeaient en tout genre et se préparèrent à combattre le bateau pirate. Les caisses contenant des produits dangereux furent laissées à l’abandon à moitié sur le dock et sur le pont de leur caravelle. Ainsi, ils se mobilisèrent en masse pour couler les nakamas de la criminelle. Voyant que l'Inferno était sous les tires ennemies, la capitaine en second ordonna également d'ouvrir le feu sur leurs adversaires. Le bâtiment de guerre fut touché à la coque.

Le me voilà dans un couloir rempli d'hommes en tenue miliaires, tous prêt à en découdre avec moi. Ils étaient assez stressés, car je tenais encore ce gradé de malheur sous ma lame. Il y avait de la tension dans l'air. Ils avaient décidé d'un commun accord de me ralentir par un blocus. Je leur crachais.

- Laissez-moi passer, bordel!

Le pauvre diable que je gardais sous mon bras rappliqua pour pas que la situation ne s'aggrave davantage.

- Faites ce qu'elle vous dit. Reculez donc, bon sang.

Terrifiés parce que j'étais capable de faire, ils reculèrent par crainte ou par soumission aux ordres. La tension montait au fur et à mesure qu'on s'approchait de la sortie. J'étais maintenant au rez-de-chaussé. Je voulais absolument prendre le côté port. Je m'adressai sévèrement à la foule de soldats quand j'arrivais près de la porte.

- Si l'un de vous ose se lancer à ma poursuite, il en payera de sa vie!

Je savais que cela n'allait pas les empêcher après que je serais dehors. Et pour cela, je tenais encore le vieux avec moi, traînant ainsi ma victime pour être protégée provisoirement.

Une fois à l'extérieur, je vis et entendis le bordel qu'il y avait. Des hommes se mobilisaient pour stopper mon navire. Des projectiles éclatèrent sur les deux rafiots. Bordel, il fallait faire vite. Heureusement, mon équipage ripostait aussi convenablement. Finalement, tout ne s'était pas passé comme je l'aurais imaginée. En tout cas, mes paires avaient fait vite, certes. Seulement, je pensais que je serais dehors plus rapidement.

Je courais maintenant, toujours en ayant avec moi ma cible. J'ignorais si les soldats qui étaient sur la caravelle étaient au courant de ma présence. En tout cas, mes nakamas m'avaient vue et lançaient une corde. J'étais loin encore et je devais me dépêcher. J’abandonnai alors le vieux en prenant le soin d'enfoncer ma lame dans sa chair.

- AAAaaahhhh!!!!

Je continuais à lui faire du mal un cours instant. Je pris mon plaisir à le faire souffrir le plus possible, au moins jusqu'à que je prenne la tangente. Il suffoquait en rejetant son sang. Il avait une chance de sortir, vu que j'étais pressée. C'était pathétique.

- Tu... teuheu, teuah... ne pourras pas partir... teuheu... comme ça, sale peste! Teuheu, teuah...

Je lui avais déjà tournée les talons. Évidemment, ceux qui étaient au courant de la prise d'otage se ruèrent sur moi, sortant en masse de la caserne. J'usai de mon arme à feu sur ces pauvres fous. Sur le dock, il y avait des tonneaux de poudres qui avaient dû être déposé là lors du chargement interrompu peu avant. Un boom se fit ressentir quand une de mes balles se logea dans le contenu dangereux. Une dizaine de malheureux volèrent en éclats. Des membres et des boyaux se répandirent sur le sol pavé et ruisselant de sang. J'étais vraiment décidée de mettre les voiles.

Ça commençait à devenir pénible! Bien sûr, ceux qui étaient dans la caserne s'étaient continuèrent se précipiter vers moi, seulement mes camarades de fortunes les avaient vus et envoyèrent une slave en direction de l'édifice. Les projectiles détruisirent la façade dans un terrible fracas. Je devais rattraper en vitesse le cordage, maintenant. Je gagnai rapidement mon bâtiment qui manœuvrait pour s'enfuir. Les derniers boulets volèrent de part et d'autre des navire qui se livraient bataille. Un second boum survient tout d'un coup. C'était le compartiment des munitions qui venait de sauter. La caravelle commença alors à sombrer peu à peu dans l'eau. Mon Inferno venait de faire mouche en bonne et due forme.

Les échanges entre les voilés furent terminés. Le côté bâbord avait bien souffert, mais mes camardes avaient parvenu à envoyer par le fond la corvette. Je m'accrochai donc à la corde de lin et commençai à escalader pendant que mes nakamas me protéger. Ils envoyèrent un dernier coup de canon sur les quais, là où se trouvaient des hommes complètement débordés par les évènements si soudains. Enfin, j'avais pu quitter cette satanée île!! Toute une histoire à cause d'une erreur...

un loups dans la ville ainsi que des pirates et un chasseur sans m'oubliez moi ainsi que les civils... - Page 3 Image_11


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Aoi D. Nakajima



~FIN~
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Soren sortit sa propre bouffe....Pourquoi ?

-Facile à dire une fois qu'on a gardé pour soi tous les honneurs... et qu'on a monté l'son d'la musique pour qu'personne surprenne la vérité. M'prend pas pour plus con que j'suis. J'l'ai d'jà dit. J'me moque des médailles et d'la gloriole. J'laisse ça a ceux qu'en ont b'soin pour s'sentir exister. Seul'ment, là, l'soucis, c'est que tu viens d'achever d'me faire perdre une occasion d'gagner d'quoi manger et voyager pour les deux prochains mois. Et ça, c'est l'comble de la honte pour un homme de bien.

Hein ???!!!! y se passe quoi la ?...Et pis c'est ce qui était marqué à l'entrée...

-Maint'nant qu'tu m'as fait perdre la face d'vant l'officier du coin, j'vais pas y r'tourner. J'perdrais moins mon temps à aller voir ceux qu'j'ai aidés. J'trouv'rais ben quelqu'un qui pourra m'loger et m'nourrir pour rien. Surtout quand y saura comment la marine traite ses alliés. Par temps d'crise, on aime encore moins l'injustice que l'reste de l'année

Heu...y se passe quoi la ?

-Si t'es de North, on s'recrois'ra. Mais si t'as pas changé d'ici là, garde ben en tête que j'me laiss'rai pas faire deux fois.

Le sage une fois s'égare,
Mais il sait dire « j'ai tort »
Il n'est jamais trop tard
Pour redresser un tord.

C'est cadeau. Prend du bon temps 'vec la gamine, mais un conseil, garde l'œil ouvert. Les filles des ports ont toujours une heure pour aimer, et une aut' pour tuer.


Si tu le dis...hé pourquoi tu te barre ?

Je sortis une liasse de ma poche....ah oui la récompense merde...il a rien reçut...et il est super pauvre le mec en fait...
Je sortis et jetai un coup d'oeil à l'affiche collée à la porte.

"Veuillez mettre de la musique lorsque vous parlé, en effet comme il y a une mauvaise isolation le chef doit se farcir vos babelages inintérresants toute la journée, par contre il apprécie la musique ou alors ne parlez pas ca sera moins chiant."

J'avais raison...

*Tu peux le trouver?*

*sans problème*

Je sprintai derrière le loup et le retrouvai à la place de l'incendie.

-Salut...ha...ha...j'avais oublié que t'avais rien reçu ... ha...ha...Pour la récompense....Tient ta part....ha...ha...c'est pas comme si tu l'avais capturé toi même, comme je suis marin j'ai qu'un tiers de la récompense mais en voila déja la moitié...ha...Elle serait pas en tôle sans toi...Ha...pour la musique c'était obligé...c'était écrit pour la porte...Le forgeron bourlinguer en parlait pas ils disaient que c’était un bon coin pour parlé sans plus

-YAMA !

Un de mes hommes m'interpellait

Je glissais un morceau de papier griffonné en plus de l'argent.

-Si tu veux tu peux venir là c'est le logement qu'on m'as assigné pendant que je reste sur l’île

Je m'approchais de mon pote.

-Un problème ?

-suis moi elle s'est échappée.

On arriva devant un voile noir, je le soulevai et grimaçai, l'officier était étendu sur le dos le regard vide,couvert de sang,les tripes à l'air...mort.Il m’entraîna ensuite à la caserne qui avait morflé.

-Le navire de la pirate...je pense...à ouvert le feu et à endommager le bâtiment mais rien de grave, la façade est un peu arrachée et deux trois salles ont été détruites.

J'avais bien entendu un bruit.

Une bonne partie des marins étaient partis à la poursuite de Rei. Je parvins dans le bureau de l'officier,la porte avait été enfoncée...de l'extérieur,deux marins étaient étendu mort ils avaient pris une balle dans le buffet...donc ils ont voulu entrer.La fenêtre avait été ouverte...comme il avait plu la fenêtre avait été fermée mais à présent ouverte...Je jetai un coup d'oeil dehors rien d’accessible.

*Une odeur ?celle du mec au chapeau ?*

*Non...un oiseau peut etre.*

Voila comment elle avait peut-être contacté son équipage.Je me tournais vers le chaise tournante...tournée sur le coté...Il était ...je pense ...en contact avec la pirate, elle l'avait assommé sans doute...ils étaient seul...elle a du trouver un moyen pour s'approcher de lui sans qu'il sinquiète vraiment ou alors c'est une fausse piste...

Mon poing s'abattit sur la table et la brisa en deux.

-VIEUX PLANQUE A LA CON!

Je sortis en trombe du bureau en me massant le poing,plus qu'à espéré que les marins la chope.Il va falloir que je pose des questions au chasseur dur le mec au tricorne...si il la connaissait en trouvant ce mec...je retrouverai Rei si ils la retrouve pas...



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Tu marchais en te demandant si tu n'allais pas te débrouiller pour quitter l'île au plus vite, lorsque l'officier était revenu. Tu as eu l'air de ne pas comprendre la moitié de ce qu'il disait, il faut bien l'admettre... Musique ? Sur la porte ? … bah ! C'est tout juste si tu parviens à déchiffrer les noms sur les avis de recherche. Alors il est très clair que tu ne t'amuses que très rarement à lire toutes les notes de service et autres lettres placardées qui te passent sous les yeux. Tu n'as appris à les règles de la lecture que sur le tard, voir le très tard, et de manière tellement peu orthodoxe que l'automatisme ne s'est jamais développé chez toi.
Mais ce que tu retiens, c'est que le sous-lieutenant vient de t'offrir la moitié de la prime qu'il a reçu pour la capture de Rei. Soit 1 750 000 berrys. Oh... il a finalement compris sa méprise, il faut croire. Tu en es heureux, et tu n'en demandes pas davantage. Tu vas pouvoir prendre une place sur un navire sans avoir à négocier, dans les plus courts délais. Tu vas avoir de quoi manger pendant quelques temps. Le temps d'achever de te remettre de ton long voyage autour des Blues, et de te redonner un objectif. Grand Line n'est peut-être pas si inaccessible, même pour un seul homme...
En plus, comme pour souligner sa bonne volonté, l'homme te donne son adresse. Tu l'acceptes avec bonne humeur, même si tu sais déjà que le soir, tu ne seras plus sur Tanuki.


-Soit, j'crois que j'm'étais un peu égaré dans mon jug'ment. Pour sûr. Mes excuses. Même s'il aurait mieux valu pour nous deux qu'on s'arrange direct 'vec ton supérieur. Enfin, j'suis pas du genre à m'emmerder non plus. Tant qu'j'ai d'quoi vivre...

Là, Sören, si ce que tu viens de dire est sincère, sache que c'est un tort que tu as. Tu devrais trouver le moyen de mettre des richesses de côté. Tu pourrais peut-être envisager de passer Reverse Mountain avec ta seule force, mais pour cela, il te faudrait un navire des mieux conçus. Et une véritable science de la navigation, bien loin des quelques connaissances que tu as glanées au fil de tes voyages à bord de bateaux de commerce.

Mais tu n'as pas le temps de dire adieu et merci au marine qu'un de ses collègues le rappelle au devoir. Sans doute une facétie de Rei, tu n'en doutes pas une seule seconde. Mais pour aujourd'hui, tu as décidé que cela ne te concernait plus. Tu es fatigué de cette île, fatigué de cette journée, de cette situation qui n'en finissait pas. Tu n'as pas d'obligations, alors, tu prends le chemin des docks en mangeant une pomme. Plus besoin d'économiser les vivres, tu vas pouvoir prendre un peu de poids. Un avantage non négligeable pour passer l'hiver dans des conditions souvent rudes. Mais tu sais que si ton chemin recroise celui de la femme pirate, tu ne laisseras personne d'autre s'en charger à ta place, ou te distraire de ton devoir. Et toi, tu feras ton travail jusqu'au bout. Jusqu'à la porte des geôles s'il le faut. Car tu n'as jamais aimé l'argent mal gagné, et aujourd'hui, à supposer que Rei ait bel ait bien réussi à fuir, c'est là ce que tu as finalement récolté. Tu ne t'en plaints pas, mais tu sais que tu te feras, un jour, l'impératif de corriger le tir.

Il y a des fois où tes principes me dépassent, et je bénis le ciel d'être de la race des opportunistes !
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