C'était le matin, il faisait un temps agréable. Le vent était doux. Tout allait pour le mieux. Je referma la fenêtre dans l'auberge où j'avais dormis. Je finissais de ranger les affaires. J’observais la pièce pour vérifier sir rien ne manquait. Rien, tout était en ordre. Je ferma la porte. Alors que je me gratter la main, la Grab Chain sortis de mes doigts. Le fer m'aida beaucoup mieux à enlever ma démangeaison.
- Tu es encore là, toi?
J'avais oublié qu'il m'arrivait que la chaîne sorte d'elle-même. Pourtant, je faisais des efforts pour en comprendre le fonctionnement et surtout pour pouvoir l'utiliser à mes fins.
Je descendis les escaliers le sac sur le côté. Je me dirigea immédiatement au comptoir. Je paya ma nuit, mon repas d'hier. Je ne voulais pas manger mon déjeuné. Même s'il est le plus important dans la journée, je me sentais en pleine forme et je n'en voyais pas forcement la nécessité.
J'étais en route pour la destination que m'avait fixé mon ami Seido D. Noroma. Je devais le rejoindre dans une taverne du nom de "Jonquille Bleue". J'en avais au moins pour une journée de marche. La route va allait être longue. J'étais encore dans cette petite ville au bout de 5min. J'avais l'étrange impression d'être suivis. Je repensais à cet homme qui m'avait pris en chasse alors qui traquait un autre individu. Lui aussi était encapuchonné. Il se bâtait pour la révolution, je crois. Il n'était pas question qui m'arrive une nouvelle péripétie alors que j'étais proche de mon point de rendez-vous. Pour moi, j'étais toujours en cavale et l'arrivé de la Marine me faisait peur. Il fallait que je sois sur mes gardes.
Je tentais de me rassuré en chantant des mélodies de campagnes. Je sifflotais en marchant. Je m'arrêtais à emprunter la derrière rue avant de déboucher dans la grande quand j'entendis mon nom derrière moi. Je ne connaissais pas la voix. Et peu de gens pouvait savoir mon indenté sur North Blue et encore moins sur Inari. Je lâcha un petit gloussement. J'avais une soudaine peur. Je me retourna lentement.
*Eh merde... Le pire est arrivé, c'est eux.*
- Oui?
C'était inutile de le nier. J'avais stopper ma course. De plus, j'avais l'angoisse qui me saisissais. Je tenter de l'évacuer en espérant qu'il s'agit d'un contrôle ou une autre connerie du genre. Il y avait une femme et deux hommes. A coup sûr, c'était la Marine...
- Tu es encore là, toi?
J'avais oublié qu'il m'arrivait que la chaîne sorte d'elle-même. Pourtant, je faisais des efforts pour en comprendre le fonctionnement et surtout pour pouvoir l'utiliser à mes fins.
Je descendis les escaliers le sac sur le côté. Je me dirigea immédiatement au comptoir. Je paya ma nuit, mon repas d'hier. Je ne voulais pas manger mon déjeuné. Même s'il est le plus important dans la journée, je me sentais en pleine forme et je n'en voyais pas forcement la nécessité.
J'étais en route pour la destination que m'avait fixé mon ami Seido D. Noroma. Je devais le rejoindre dans une taverne du nom de "Jonquille Bleue". J'en avais au moins pour une journée de marche. La route va allait être longue. J'étais encore dans cette petite ville au bout de 5min. J'avais l'étrange impression d'être suivis. Je repensais à cet homme qui m'avait pris en chasse alors qui traquait un autre individu. Lui aussi était encapuchonné. Il se bâtait pour la révolution, je crois. Il n'était pas question qui m'arrive une nouvelle péripétie alors que j'étais proche de mon point de rendez-vous. Pour moi, j'étais toujours en cavale et l'arrivé de la Marine me faisait peur. Il fallait que je sois sur mes gardes.
Je tentais de me rassuré en chantant des mélodies de campagnes. Je sifflotais en marchant. Je m'arrêtais à emprunter la derrière rue avant de déboucher dans la grande quand j'entendis mon nom derrière moi. Je ne connaissais pas la voix. Et peu de gens pouvait savoir mon indenté sur North Blue et encore moins sur Inari. Je lâcha un petit gloussement. J'avais une soudaine peur. Je me retourna lentement.
*Eh merde... Le pire est arrivé, c'est eux.*
- Oui?
C'était inutile de le nier. J'avais stopper ma course. De plus, j'avais l'angoisse qui me saisissais. Je tenter de l'évacuer en espérant qu'il s'agit d'un contrôle ou une autre connerie du genre. Il y avait une femme et deux hommes. A coup sûr, c'était la Marine...