>> Inconnu inconnu demande de rename en Ken'boushou
Pseudonyme : Ken'boushou (amnésique) Age: inconnu mais ni jeune, ni vieux. Sexe : Homme Race : humain Rang : inconnu
Métier : forgeron / bretteur Groupe : pirates Déjà un équipage : les ombres du chaos. (si acceptez) But : retrouver la mémoire. Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : haki de l'observation / genpou i possible Équipements : un katana noir a la lame gravé avec un manche noir orné de rouge nommé Akuma Kireru (diable tranchant) (par la suite je decouvrirais que c'est un meitous avec l'accord des admins), un pistolet noir avec un chargeur de onze balle.
Codes du règlement (2) :
Parrain :...
>> Physique
Ken'bouchou est un homme d'environ deux mètres et de quatre-vingts kilos, il est noir de peau a quelques cicatrices sur le corps et est ridé par la vie. Ses cheveux sont grands, gras et frisé en coupe d'afro tenue par un bandana blanc qui retombe sur son dos, orné de caractère noir et d'un point rouge en son centre il est assez beau. Il n'est pas barbu malgré que ses grandes pattes le font croire, à de grandes oreilles avec un anneau sur chacun des globes. Ses sourcils sont bien fournis, ses yeux sont noirs et son regarde est perçant tel celui d'un démon. Son nez est assez imposant, long et épais à la fois. Sa bouche quant à elle est assez petite, la lèvre du dessus est fine comparé à la lèvre inférieur qui elle est très épaisse. Il est toujours en train de fumer une cigarette roulée sur le coin de sa bouche. Son visage est de forme ovale qui tire sur le triangle. Son corps est très svelte ce qui laisse ressortir ses muscle. Il est toujours vêtue d'un haut de kimono blanc qui le grossis légèrement, qui est assez usé sur les extrémités et qui laisse apparaître ses avant-bras qui eux porte des bracelets en acier sur les poignets, d'un pantalon noir assez épais vers le bas et de Geta (sandale japonaise) noire. Accroché à sa ceinture il y a un katana noir dont le manche est orné de rouge et qui fait environ un mètre, la lame est gravé par quelque symbole inconnu et est extrêmement tranchant qui lui aussi est d'un noir pétants. Il a aussi un pistolet noir en acier assez gros et long avec un chargeur rempli de onze balle, qu'il cache dans son dos entre son pantalon et son haut de kimono.
>> Psychologie Ken'bouchou ne connait pas grand-chose sur lui et sa personnalité du fais qu'il soit amnésique. Cependant, il sait que le fait de ne plus se rappeler de rien le rend extrêmement haineux envers le monde. Il est persuadé que c'est à cause de ce même monde qu'il est devenu amnésique. Il se pose souvent des questions sur sa personnalité passée. Était t-il bon et gentil ou mauvais et vil ? Était-il respectueux ou irrespectueux ? Responsable ou non ? Un psychopathe ou juste un homme ordinaire ? Ces questions le hantent... le fait d'avoir un grand néant dans le cerveau fais de lui quelqu'un d'assez ignorant. Il a un ami imaginaire psychopathe adorateur des combat qui refuse de lui révéler son passé, il préfère le torturé mentalement, pour lui c'est beaucoup plus marrant. Ken'bouchou pense que c'est son doppelgänger qui la rendu amnésique mais il est obligé de courir après son passé pour savoir ce qui c'est réellement passé. Dans des moments inopportun il aime lui envoyé des images de son passé ou juste apparaitre et faire la conversation avec lui. De temps en temps Ken'bouchou tombe dans les pommes sans raison apparente, c'est surement le fait qu'il soit amnésique ou c'est peut être juste son ami que seul lui peux voir qui tape son cerveau... allez savoir. Il est extrêmement attiré par les arme à feu et blanche, il adorerais en fabriquer mais il n'a aucune connaissance dans se niveau. Souvent la nuit il a des rêves étranges où il cours après une mystérieuse personne de dos qui est situer au fond d'un couloir sans fin. Il les croit réel mais à son réveil il se rend compte que ce n'était que des rêves.
>> Biographie
J'ouvris mes yeux avec un mal de crane atroce, la première chose que je vis était une enfant me regardant dormir. Elle avait de long cheveux bruns qui tombaient jusqu'au bas du dos, où on pouvait y apercevoir une magnifique rose blanche sur le dessus de l'oreille qui s'entrelaçait avec ses cheveux. Elle avait tous d'un ange, de superbe yeux vert, un sourire rendant heureux quiconque le croisaient et un visage resplendissant. Elle était plutôt petite et vêtue d'un débardeur rose froufrouté et d'une jolie petite jupe fuchsia. Je surélevai mon regard et vis deux grandes portes verte avec écrit au-dessus "Archipel verte". Je ne me rappelais plus de rien, je criais puis dit : La petite apeurée par mon cri parti en courant vers la ville. Je tentai de me relever à l'aide d'un katana posée accoté de mon cadavre, retomba nette et m’évanouis. *j'étais dans un couloir sans fin éclairé par une lumière reposante. Tout au fond de cette galerie on pouvait apercevoir une silhouette criant à l'aide. Je ne sais pourquoi, je me suis mis à courir dans sa direction, je courais et courais encore... j'avais l'impression de ne jamais pouvoir le rattraper, mais je ne pouvais pas me résigner à abandonner. Je devais continuer à courir alors je courus de toutes mes force, plus loin, plus vite, sans jamais m'arrêter, jusqu'à tomber.* Je me réveillais dans une pièce sombre, mur et plafond était noir effrité, odeur et vu rendait malade. Il n'y avait personne, j'étais seul. Je ne comprenais pas. Je courais puis je me retrouvais en ce lieu douteux. Que m'arrivais-t-il ? Qu'avais-je fais aux dieux pour être maudit ? Quelques instants après avoir retrouvé mes esprits, je me levais, baissaient les yeux et vis mes vêtements souiller, puant le sang, la sueur et les déjections. Je sortis de cette pièce lugubre et allai dans la rue. Je déambulais dans les ruelles de l'archipel d'un pat trainant, le crane compresser, les yeux fatigué, le corps mourant. J'arrivai dans ce qui était une aire d'entrainement où des hommes combattaient entre eux. Je m'assis quelque instant sur un banc et vu un des hommes crachés une boule jaunâtre, ce cracha colla sur un mur son adversaire. D'un coup j’eus une vision de ce qui semblai être mon passé. J'étais côte à côte avec un homme face à une armada, l'air sentais la mort, le sable était chaud et les personnes haineuses. Je reprenais conscience et me demandai qu'est-ce qui pouvait bien s'être produit. Etant bien reposé, je continuai d'errer dans la ville sans but et sans souvenir, boitant, bousculant les gens. Je commençais à avoir faim alors je décidais de trouver un restaurant. Celui que je trouvai était assez petit, les murs étaient peints d'une couleur bleue marine et les tables rondes avec de jolie nappe. Je m'assis à l'une d'elle dans un coin et une serveuse vint prendre ma commande. Je commandais du poisson et du riz. Quelques minutes plus tard la jolie serveuse aux cheveux d'or et vêtement de soie m'apportait mon repas. J'apportais les cuillères à ma bouche avec difficulté. D'un coup je retombai dans les pommes, j'avais la tête dans le bol de riz... *courir et encore courir dans ce couloir lumineux ... toujours plus loin, toujours plus vite.* Je me réveillais dans une chambre stérile blanche avec des appareils de médecine. Une jeune femme aux cheveux rouge et aux yeux bleus électrique, assis sur une chaise à mon chevet me regardant dit : "-qui est tu ? Qu'est-ce que fais-tu ici ? Tu n'es pas du coin c'est sûr. -mon pauvre ken'bouchou (amnésique) tu es dans un sale état, tu as les cotes cassés et un traumatisme crânien. Et non je ne te connais pas, une femme t'a amené dans cet hôpital. Le médecin en charge de toi m'a appelé pour que je vérifie si tu n'es pas un criminel, je suis « la police » de ce village." Sur ses paroles je refermai mes yeux et sombra dans un profond sommeil. Quelque temps plus tard je sortais de l'hôpital avec quelque bandage sur mon corps. J'avais toujours ces questions qui était dans ma tête, comme si un petit doppelgänger était dans mon cerveau et criai avec l'écho qui es-tu? D'où viens-tu? Je déambulais en ville regardant les gens, avec l'espoir qu'on me reconnaisse, qu'on me donne des réponses. Je me retrouvai dans un endroit familier, ce qui me surprit au plus haut point. Je regardai au tour de moi et reconnu l'aire d'entrainement. Je ne savais pas pourquoi, mais j'avais une furieuse envie de trancher du bois avec mon katana. Je sortis mon arme de son fourreau, la lame frottant son étui chantait. Je me mis en position et fis la technique du battô. D'un coup j'eus un flashback de mon enfance. *La lune était déjà bien haute dans le ciel, éclairant de son habituelle blancheur la forêt de bambou dans laquelle je me trouvais. D'un pas léger et souple, je progressais parmi la végétation lorsque finalement, j'arrivai dans ce qui s'avérait être une clairière. J'y fis mon premier pas quant soudainement, du bruit retenti à ma droite. De manière vive et inopinée, je sorti ma lame et trancha d'un coup sec les bambous d'où provenait le bruit. À la chute des cannes se dessina une silhouette d'homme vêtue d'un kimono et d'un chapeau, équipé entre autre d'un katana attaché dans son dos. L'individu releva son chapeau, laissant apparaître un visage velu et disgracieux, d'où se dessinait une paire d'yeux vitreux qui trahissaient sa cécité. Nous nous mimes en garde, chargeâmes l'un sur l'autre, il bondit, me mit un coup en retombant. J'accusai le coup, glissa en arrière, rechargea sur lui, l'acier s'entrechoquait, les sabres se heurtant chantaient. Le combattant fit un salto arrière, se posa sur les bambous, je les sectionnai me retournant, l’aveugle sauta, planta son épée, m'envoya de la terre, j'esquivai par une cabriole avant. Mon adversaire rangea son katana, me provoqua, je fis tourner le mien, l'attaqua de front. il rebondit sur ma lame, m'attaqua de dos, me mit un coup, deux coups, trois coups, je virevoltais dans le ciel, pris un coup de face en retombant et valdingua dans les bambous. Me relevant rapidement, Le Fantassin se rua vers moi et m'entaillai la jambe… je m'écroulai, il mit sa lame face à mon visage. ..* Le flashback s'arrêta. J'allai m'asseoir et commença à penser sur qui pouvait bien être cet homme, mon sensei ? Un ennemi ? Aller donc savoir, moi-même j'avais du mal. Je me laissai emporté par la rage et fis d'étrange mouvement avec mon katana, les mannequins de bois se découpèrent, puis tombèrent en lambeaux sur le sol. Surpris parce que je vins de faire je décidai de le ranger dans son étui et de me renseigner sur mon passé.
>> Test RP
JJe sortais de l'aire d'entrainement de mon katana pour marcher. Je vadrouillais sans savoir où aller, me repassant cette scène de combat étant enfant. Pourquoi combattais-je contre l'aveugle ? Ou était ce fameux champ de bambou ? est-ce-que cela était important ? D'un coup j'eux l'idée de regarder mes effets personnels. Pourquoi ne pas y avoir pensé directement ? Je me décevais... surement que j'étais en plein désarroi, je ne voyais aucune autre raison. J'ouvris mon sac, le vidai en le secouant sur le sol fait de terre et d'herbe, les gens autour de moi me regardèrent avec des yeux dédaigneux, me comparant à un fou. Mes affaires était sur le sol, il y avait un canard à roulettes en bois peint en jaune attaché à un bout de corde pour le tirer, une grenouille séchée plutôt petite, une poignée de billes de différentes tailles qui roulaient et rebondissaient sur le sol, un vieux biscuit de marin qui avait l'air très vieux et une affiche wanted avec écrit Kiyori Tashahari représentant une jolie gamine vêtue de rouge et de noir aux cheveux bruns très long portant un katana. Sur cette affiche on avait barré le non-criminel et écris grande sœur à la place. Je me demandais qu'est-ce que je faisais avec un tel barda. Pourquoi avais-je des objets qui en apparence devaient surement appartenir à un enfant ou à un adulte très puéril. Etais-je cette adulte immature ? Subitement, je me rappelais la petite fille me regardant à mon réveil, aux portes du village. Ça devait surement être ses affaires, mais qui était cette enfant ? Ma fille ? Non je ne pense pas, elle n’aurait surement pas fuit m'entendant crier. Je décidai de retrouver cette fillette innocente pour en savoir plus sur mon passé. Je ramassai toutes les babioles qui traînaient par terre, les mis dans le sac et parti à sa recherche me servant toujours de mon katana comme troisième jambe. J'explorai le village arrêtant les passants de manière brusque, demandant s'ils avaient vu cette enfant. A chaque fois je donnais une courte description de la fillette, son visage était devenu flou dans mon esprit, plus je cherchais, plus l’image devenais lointaine. La plus part des gens ne s'arrêtèrent même pas pour me répondre, d'autre partait en courant croyant que je les agressais et seulement quelques-uns prêtais attention à mes questions. A force de tourné en vint, je commençais à perdre espoir, jusqu'au moment où je croisai un vieil homme vivant surement dans la rue. Il était assis sur un rocher buvant du saké. Il m'interpella d'une voix roque me disant « et toi là, le jeune papy. » je le regardais d’un aire stupéfait pointant mon doigt dans ma direction. Il me fit un signe de main me disant de venir vers lui. Je me dirigeais vers lui puis il me dit :
« -pourquoi cherche tu cette enfant ? » Je lui racontai donc toute mon histoire dans les moindres détails, ce fut assez court du fait que j'avais toute oublié. Le vieux dérouté par cette nouvelle porta la bouteille à moitié pleine vers sa bouche, pris une bonne gorgé de son alcool, de la boisson coulais de sa bouche pendant qu'il me dit qu'il était son grand-père et qu'elle était en train de jouer dans la petite maison en face de nous. J'allai dans cette maison faite de pierres et de tuiles en mauvaise état, de couleur gis cramoisi, la petite enfant me vu et fut apeuré. Je la mise en confiance, lui dis que je n'étais pas méchant et que je venais lui rapporter son sac, malheureusement elle m'expliqua d'une voix tremblotante que ce n'était pas son sac. J'étais en déroute, je n'en croyais pas mes oreilles. La rage me consuma, mes yeux devinrent rouge sang, mes poings se serrèrent, les veine de mon visage donnais l'impression qu'elle allait exploser. Je criai de toute mes force puis tapa sur la table un grand coup et commença à tous cassé dans la maison, les chaises, les armoires, tout, je ne laissais rien en bonne état. L'enfant épouvantée était recroquevillé sur elle-même dans un petit coin de la maison, hurlant de toutes ses forces, pleurant à chaudes larmes. Je mis ma main sur mon katana. J’allais le sortir au moment où des hommes armé de sabres et mousquets entrèrent dans la maison et tentèrent de me maitriser. Ils me jetèrent par terre et me mirent leurs armes sur le visage. L'un d'entre eux me mis un grand coup de crosse sur l'arcade et je tombai dans les vapes. Je me réveillais quelques heures plus tard désarmé, enfermé dans une cellule de prison glauque, Sur les murs, il y avait du sang et des marques d'ongles. Un homme me ressemblant comme deux goûtes d'eau mis à part qu'il avait les cheveux blancs et portais des lunettes de soleil rouge était assis sur les toilettes. Il me sourit puis me dit : « -tu t'es mis dans un beau merdier, baka. Je me demande bien comment tu va-t’en sortir. Lui dis-je. Le temps que je cligne des yeux il avait disparu. Je devenais fou... j'imaginais des choses étrange... je n'en pouvais plus de cette merde ! Assis sur un lit déchiré, puant et taché de secrétions humaine Je pausai mes mains sur mon visage puis pleura, les larmes coulant sur la crasse de mes mains, je décidai de mettre fin à mes jours ! Je me levais, détacha ma ceinture, l'accrocha au barreau de la prison, mis mon coup sur cette même ceinture, pris une grande respiration essayant dans un dernier espoir de me rappeler ... c’était chose vaine alors je pliai mes jambes et mis fin à mes jours par pendaison...
Caractère : (définissez vous en quelques mots) je suis tres calme et respectueux.
Fais du RP depuis : je debute
Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) ça dépend
Comment avez vous connu le forum ? google est mon ami
Dernière édition par Ken'boushou le Ven 4 Mai 2012 - 18:43, édité 50 fois
Posté Lun 7 Mai 2012 - 14:01 par Invité
Salut Ken, dernière voix pour toi.
Pas grand chose à dire de plus que mes deux comparses. Une présentation assez succincte avec juste les minimas ,un choix de bio que je trouve un peu facile avec la carte j'ai tout oublié donc je ne dis rien, et heureusement un test RP ou la folie est vraiment présente, bel effort, mais dont je trouve la fin carrément trop abrupte, ou pas fini en fait. Dommage parce que le lancement était sympa.
Au bilan je suis sur du 300 dorikis ce qui te valide à 250 dorikis