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Shippû Kurushimi [Terminé]

>> Nom & Prénom



Shippû Kurushimi [Terminé] 22478510

Pseudonyme : $
Age: 18 ans
Sexe : Masculin
Race : Humain
Rang :

Métier :
Groupe : Pirate
Déjà un équipage : Si vous aviez un parrain, il est probable que vous ayez déjà
un équipage, mettez son nom ici !
But : Inventez la meilleur torture au monde, celle qui fait le plus souffrir tout en laissant sa victime vivant.

Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Itamie Itamie no mi: le fruit de la souffrance (je vais le proposer)
Équipements : Un katana, une dague de 15 cm dont le fourreau et remplie de poudre de soude.

Codes du règlement (2) : ...ou pas ♪

Parrain : Kaygen D. Shin

>> Physique

Je suis un garçon, oui, j'ai vérifié, je ne suis contrairement à beaucoup de personnes, pas très fort, je préfère être rapide, souple et agile. Dans un combat ce sont pour moi, les choses les plus importantes, il est plus facile de vaincre un ennemis en le laissant se fatigué que en parant toute ces attaques. Je suis aussi plutôt petit, cela m'arrange, bien qu'il y est certain désavantage, je ne mesure en effet que 1 mètre 65 et bien entendue mon poids correspond à peu près à ma taille puisque je ne pèse que 53 kilos. Des cheveux noir de jet avec quelque teinte violette sur le bout des mèches à l'arrière de ma tête ainsi que sur le coté droit, j'ai des yeux tout aussi sombres et qui ne reflète que rarement une expression restant morne et vide comme pour quelqu'un qui n'a aucune conscience de la réalité, bien entendue ce n'est pas mon cas. Un menton pointue, des muscles apparents je suis toujours pied nue préférant laisser ceux-ci à l'air libre plutôt que de les enfermer dans des chaussure inconfortable, par conséquent, ces même pieds sont plutôt calleux et recouvert d'une peaux morte qui les protège ce qu'on appelle communément la corne recouvre tout le dessous de mes pieds. Sur mon dos, un énorme tatouage formant des arabesques dont moi seul connaît leurs véritable signification, une signification cacher qui s'étale sur ma peaux allant du bas du dos jusqu'à la nuque le traversant de part en part dépassant sur l'épaule gauche ainsi que sur le bras. Je suis habillé simplement, du moins c'est ce que pour moi j'appelle simple portant un kimono blanc et gris en bas et vert et noir en haute attaché grâce a une ceinture blanche ainsi que deux petites cordelettes l'une rouge et l'autre bleu sur les qu'elle est accroché du coté droit mon katana et le coté gauche ma dague. Au dessus de mon kimono, je porte une veste noir, presque de la même couleurs que met cheveux bien qu'elle soit usé par le temps et donc sa couleurs légèrement ternis. Mon katana, un fourreau noir, une cordelette rouge pour le maintenir à la ceinture et une garde légèrement dorée et décoré presque exactement comme ma dague. Sur le bras gauche, pour me protéger la main de l'usure et des hoc je porte une mitaine remontant presque jusqu'au coude, entièrement noir en cuir confortable mais un peu chaude.


>> Psychologie

Je suis fou, enfin c'est ce que dirait n'importe qu'elle personne normal en me voyant, ou alors est-ce simplement parce que je fais des choses bizarres, oui c'est peut-être sa, même si pour moi ce sont des choses naturel pour les autres cela doit paraître étrange. Je suis, comment dire, inconscient de la plupart du danger, affrontez quelqu'un de bien plus fort que moi ne me dérange pas même si je sais que c'est la mort qui m'attendra à la fin. La mort, la libération envers cette souffrance qu'est notre vie, c'est cette libération que j'aime offrir aux gens que je croise, bien entendue je l'offre la plupart du temps très lentement, après des heures, des années de souffrance afin que le plaisir de quitter cette vie soit à son paroxysme.
Haaaa détruire la vie des gens est une chose si agréable à faire, le son produit par leurs souffrance, leurs pleur, l'odeur du sang, c'est si... excitant que souvent je n'arrive pas a m'arrêter. La douleurs, infligeait à mon ennemi ou à moi même, cela à peu d'importance, j'adore les deux trouvant un plaisir existant à aucun autre endroit que celui la, un plaisir qui dur puisque je peut me le procurer quand j'en est envie.
Je ne suis, par contre pas très intelligent, après des années à souffrir et a me battre, la seul chose que j'ai vraiment apprise est la survie, survivre pour pouvoir faire souffrir, survivre pour souffrir, survivre pour tuer. Cette seul idée me donne envie de rester en vie et comme vous pouvez vous en doutez j'adore la torture. La torture, si douce, si longue qu'elle paraît infinie à celui qui la supporte, une torture douce, lente et infinie qu'elle soit physique ou psychologique j'utilise les deux. Une victime que j'ai torturer physiquement pendant plusieurs heures, même plusieurs jours gardera à vie des séquelle au plus profond de son âme, soit il voudra se venger et reviendra à moi pour que je le tue soit il vivra, toute sa vie dans la peur de me revoir et de retourner en enfer.
Et bien, après tout sa je suppose que vous n'avez pas envie d'être mon ami, pourtant je joue très bien la comédie, je ne compte plus le nombres de personne qui sont morte après m'avoir prit pour leur ami, ce que je me souviens, c'est leurs cries de douleurs et de désespoir après avoir constaté qu'ils avait fait une erreur, un erreur qui leurs fût fatal puisqu'ils sont mort.
Je suis carnivore, presque exclusivement, la plupart des légume me répugne au plus haut point, je préfère un bon steak saignant d'où qu'il vienne que ce soit d'un poisson, d'un singe, d'un tigre ou d'un humain, sa n'a pas d'importance, toute les viandes, bien cuisiné sont bonne à manger. La plupart des gens s'offusque à l'idée que j'ai déjà manger un être humain, mais si vous ne savez pas que s'en est et que vous mangez cette viande délicieuse sans savoir que cela provient d'un de vos congénère bipède vous ne direz rien et vous régalerez de ce repas.
Repousser les limites de souffrance tolérable par son propre corps, c'est mon passe temps préféré, c'est utile dans tout les cas, une blessure me fait ainsi moins mal, enfin moins mal, elle est toujours aussi douloureuse mais j'ai apprit, au fil des ans à surmonter cette douleurs de plus en plus loin. La douleurs paralyse, une douleurs intense pourrait même tuer quelqu'un ou le rendre fou, c'est sans aucun doute pour cela que je le suis moi même mais grâce à cette entraînement spécial et long.
Je suis cupide, oui j'adore l'argent il aide tellement pour trouver une victime la soudoyer, lui donner confiance, c'est un processus long mais facile a réaliser, qui refuse de l'argent contre rien? Personne et chaque personne qui accepte devient plus tard ma victime préféré du moment.

Petite surprise pour vous, à force de souffrir, de tuer, de faire souffrir, j'ai finie par développer une seconde personnalité, une personnalité différente et, disons moins dangereuse pour mon entourage. Je ne sais absolument pas pourquoi cette personnalité existe ni comment elle est arrivé la mais dans tout les cas, il arrive que de temps en temps elle prenne le dessus sur moi, c'est rare, mais sa arrive d'un seul coup et je n'ai pas le choix.
C'est une personnalité que je n'aime pas, dans c'est cas la je suis un trouillard, toujours aussi solitaire mais je n'aime pas me battre ni avoir mal, tout le contraire de ce que je suis normalement. Cette seconde personnalité et rieuse et aime s'amuser, elle est donc probablement plus agréable à connaître que la première. Néanmoins sa présence peut durer de quelques secondes à plusieurs jour d'affiler ce qui devient dans c'est cas la très dérangeant pour moi.



>> Biographie

Je suis née il y a donc 18 ans, cela fait donc 18 ans que je souffre dans cette vie et presque autant que je libère les autres de celle-ci. J'ai était élevé par mon père, ma mère étant mort juste après ma naissance ce fut mon père qui me donna mon nom et me façonna de façon que je soit digne de celui-ci. La souffrance à donc toujours dirigé ma vie, des mon plus jeune âge ce que mon père appelez « entraînement » et le commun des mortel « acte de barbarie », au départ je ne comprenait pas pourquoi il faisait cela, je souffrait, terriblement mais il ne laissait jamais aucune trace sur mon corps le laissant vierge de toute cicatrice de façon à ce que personne ne voie ce qu'il faisait. Oui, ce qu'il me faisait n'était sans aucun doute pas très légal au yeux de la justice, comme il me le disait si souvent il m'endurcissait pour que je puisse survivre au monde extérieur mais ne supportant pas ce qu'il me faisait une haine importante emprisonner par la peur apparut envers lui. Oui, j'avais peur de lui, tellement peur que lorsqu'il s'approchait de moi mes jambes se pétrifier. Cette mise en scène, cette entraînement, cette torture, qualifiez la comme vous voulez dura jusqu'à mes 5 ans et le jours de mon anniversaire ma vie prit une tournure plutôt étrange, ce n'était plus à moi de subir mais à moi de faire mal, du moins c'est ce que je réussi à comprendre le jour de mon anniversaire. Ce jours la mon père m'avait attacher à un pilier de la maison, j'avais froid et peur me demandant ce qu'il préparait, j'attendis plusieurs heures, sans bouger et il revînt trainant derrière lui un homme assommé. Il me détacha au passage et m'entraîna de force à la cave, tremblant, les yeux agrandit de peur je fût forcé de le suivre, pénétrant dans la cave il referma la porte derrière nous et accrocha la clef sur le mur hors de portée de mes petite main. Il entraîna ensuite le groupe près de la table de bois, la pièce étant légèrement éclairé, il abaissa celle-ci à mon niveau et attacha l'homme dessus qui commençait d'ailleurs à se réveiller.
Il alla ensuite cherchait les outils de torture, allant du scalpel au cure dent, tout ce qui pouvait servir à faire mal puis me les tendit en me disant que c'était à mon tour de faire mal aux gens, il parlait simplement de façon que je comprenne avec une voix douce qui étrangement, me fît plus peur que sa voix grave et menaçante habituel.
Baissant les yeux sur les outils, tremblant me demandant ce que je devais exactement faire, mon père passa derrière moi, me saisit doucement la main et me fît prendre le couteau, l'homme en face de moi ouvrit les yeux apeuré lui aussi et nous regarda. Je vis le couteau avancer lentement, dirigé par mon père il s'enfonça dans le bras de l'homme, lentement la peaux résistant au début se tendit puis fût perforé, le sang coula d'abord lentement recouvrant la lame puis plus rapidement au fur et a mesure que celle-ci s'enfonçait dans le bras. L'homme grimaça avant de lâcher un petit crie de douleurs, infime mais qui me fît sursauter, ferme mon père me retint et continuant la manœuvre m'obligeant à bouger le couteau dans la plaie.
A mon grand soulagement il me fît retirer le couteau avant de me dire d'un ton autoritaire de choisir un autre outil, je ne bougeait pas, trop apeuré pour faire quoique ce soit et c'est à ce moment qu'il me frappa me projetant violemment à travers la pièce. Sonner, je le regardait s'approchait de moi et il m'obligea a recommencer, je n'arrivais pas à lui résisté, pendant plusieurs heures d'affiler il m'obligea à faire du mal à la personne allonger sur la table, pour finir mon père m'ordonna de lui trancher le gorge afin de l'achever. Tremblant de tout mes membres je saisit le couteau hésitant et avant de me faire frapper j'obéis en hurlant des excuses, l'homme mourut après plusieurs heures de souffrance. Je m'agenouiller sur le sol, des larmes coulant sur mon visage mon père s'approcha de moi, me prit dans ces bras et me conduisit jusqu'à mon lit dans lequel je m'endormis presque immédiatement sans même remarquer que j'étaie à nouveaux attacher.
Cela dura deux ans, deux ans ou j'avais peur a l'idée de la prochaine séance, entre chacune de celle-ci c'était moi la victime. C'est sans aucun doute à cette période la que mes personnalité se séparèrent en deux, je le remarquais lentement, au fur et à mesure que je prenais goût à la torture, ma deuxième personnalité qui elle est trouillarde faisait son apparition de temps à autres. Mon père ne comprit jamais et je ne prit pas la peine de lui expliquer ce qui m'arrivait, il prenait ces changements de personnalité pour une régression de ma part et ainsi durcissait le régime pour me remettre à niveau. Du moins c'est la justification qu'il me donnait à chaque fois que je j'osais lui demander la raison de ces régime beaucoup plus difficile à supporter.
C'est aussi lorsque j'eus 7 ans qu'il commença à m'apprendre le maniement des armes, plus précisément celui du katana et de la dague, il était sans pitié ne s'occupant pas des coup que je recevait ni de la douleurs que je ressentait, après tout pourquoi s'en serait-il occuper maintenant alors qu'il avait passer sa vie à me faire du mal de toute les façon possible.
C'est aussi à cette âge la qu'un déclic se produisit dans mon cerveaux et je sombrais dans la folie, cette même folie qui animait mon père. Je n'hésitais plus lors des lorsque je torturais quelqu'un, jy prenais même plaisir cherchant à aller de plus en plus loin, de faire durer la souffrance le plus longtemps possible tout en gardant en vie la victime. Désormais a peu près libre de faire ce que je voulais, du moins dans la maison j'avais le droit à une victime tout les deux mois et environ chaque année nous déménagions afin de ne pas laisser de trace de ce que l'on faisait réellement.
Le troisième tournant de ma courte vie se situe aux environs de mes 11 ans, ma haine envers mon père qui m'avait obligé à torturer des gens alors que à l'époque je ne le voulais pas n'avait cessé de grandir, pour des raison divers et varier comme le manque de victimes ou de chose plus idiote que je ne citerais pas ici, de toute façon cela n'a pas vraiment d'importance. Néanmoins ce jours arriva ou je détruisit la personne qui m'enfermer, cela dura longtemps, plusieurs heures. Un matin de beau temps mon père avait bue, pour une fois alors que j'étaie assez fort il pensait être à l'abri de ma colère, ou alors tout simplement qu'il pensait être suffisamment fort pour me résister. Alors qu'il allait me frapper encore une fois j'esquivai son coup, prit un pied de chaise briser qui trainait sur le sol et le frapper avec, il tituba en arrière et après quelques autres coup s'effondra sur le sol assommé. L'entraînant difficilement à la cave avec mes maigre force je l'attachais solidement sur la table de façon qu'il ne puisse plus bouger, prenant un sceau d'eau je lui jeté au visage afin de le réveiller. Il se réveilla, d'un seul coup et à sa grande surprise il n'était pas la ou il l'espérait, après toute ces années ce serait enfin lui la victime et cela ne semblait pas lui plaire, il me cria dessus m'ordonnant de me détacher, je failli obéir sans aucun doute par habitude mais pour finir, je saisit un couteau posé sur le sol avec un sourire mauvais.
Je me dirigeais lentement vers les jambe avant d'entailler la jambe gauche au niveaux de la cuisse, je voulais tester de nouvelle technique, des choses que je n'avais pas encore pue tester et je n'allais pas m'en priver. Après avoir fait une entaille assez conséquente je prit un morceau de tissue et en fît un garrot, le sang coulait et je ne voulais surtout pas qu'il meure à cause de sa. Heureusement pour moi il y avait tout le matériel nécessaire pour faire tout ce que l'on voulait avec la victime ou presque, la seul véritable limite était l'imagination. Je saisit un morceau de bois, le coupait rapidement de sorte qu'il ne fasse plus que la taille de mon index puis le fît pénétré lentement dans la blessure, mon père qui n'avait pas encore articuler de son en dehors de quelques mots me disant d'arrêter poussa un gémissement plaintif au fur et à mesure que ce morceau de bois s'enfonçait dans sa jambe. Lorsqu'il fût totalement entrer de façon à ce que je puisse le déplacer avec mes mains ce que je fît d'ailleurs juste après. Grâce a mes deux mains, appuyant sur le bord du morceau de bois je le fît remonter le long de la jambe jusqu'au garrot le stoppant à cette endroit en souriant, mon père poussait des gémissement de douleurs qui me firent sourire de toute mes dents. Je plongeais lentement ma main droite dans la blessure et saisissait lentement un muscle serrant de toute mes force puis tirant dessus. Il hurla un son si doux à mes oreilles que j'en frémissait de plaisir, je lâcher le muscle n'ayant pas encore assez de force pour l'arracher, ma main étant recouverte de sang je la léchait lentement prenant plaisir au goût du sang, ce goût si magnifique que peut de personne savait réellement apprécier. Mon père me regardais, transpirant abondamment avec un air ahurie sur le visage, je lui sourit puis me détournais lentement allant chercher un gants que je mit sur ma main gauche puis je me dirigeais à l'autre bout de la cave, dans cette endroit un produit très dangereux si trouvait: la soude. Une poudre blanche qui a un effet magnifique avec l'eau donc le sang, une chaleurs intense se dégage et cette réaction ronge doucement toute matière. J'en prit une petite poignet avant de retourner auprès de mon père, lentement, je prenais mon temps sachant parfaitement que l'angoisse de l'attente était la plus terrible. Je passait ma main gauche au dessus du visage de mon père laissant tomber un tout petit peu de poudre sur son visage, celle-ci réagit rapidement avec l'eau qui était déjà présente et il hurla. Cela ne devait pas être agréable et me fît sourire, enfin j'avais ma vengeance, enfin j'allais être libre et je comptait profiter le plus possible de ce moment. Plongeant ma main gauche dans la blessure je lâchais toute la soude à l'intérieur de celle-ci qui se mît a réagir avec le sang, les hurlement de souffrance redoublèrent et je ressortie rapidement ma main me débarrassant du gants d'un geste brusque, celui-ci commençait à se désagrégeait rapidement et je ne voulais pas ressentir cette même réaction sur ma propre peau. Souriant encore plus je retournais à l'autre bout de la cave et me saisit d'un morceau de bois et de tissue, enrouler celui-ci autours du bois avant de l'imbiber d'huile et de l'allumer me fabricant ainsi une torche précaire. Retournant auprès de ma victime j'appliquais la torche sur la blessure la cautérisant empêchant ainsi le sang de couler, jetant la torche sur le sol je dé serrer brusquement le garrot permettant au sang de circuler dans l'ensemble du corps et donc à la réaction de se déplacer et de faire plus de dégâts. Je décidais d'en finir, il ne m'amusait plus et n'avait plus rien à m'apporter, je prit le sceau de soude et le renversa sur le corps de mon père qui mourut dans un dernier hurlement, les vêtement imbibé de transpiration, de sang et d'eau cela ne pardonné pas mélangé à la soude. Satisfait je regardait ce qui restait de la dépouille, même la table avait était attaqué par la réaction, il n'y avait aucune trace de ce qui c'était passez ici en dehors du sang qui restait sur ma main, je sortie de la cave pour me préparer à partir, je ne voulais surtout pas rester dans les parages maudissant tout les endroits ou j'avais habité. Prenant le katana et la dague de mon père qui était tout de même des armes de meilleurs facture que les mienne je remplie le fourreau de la dague de soude avant de prendre un sac de voyage, de le remplir de nourriture, j'accrochais une bouteille d'eau puis je partie rapidement en direction de la forêt. C'était la première fois que je sortait librement dehors, sans être surveillé par mon père et cela en devenait excitant et je m'enfonçait dans les profondeur obscure de ce lieu.
Les années suivante fur disons plutôt étrange, je passait mon temps à voyager découvrant divers endroit, personne ne savait qui j'étaie exactement et cela me plaisait, de temps en temps lorsque je trouvait une ferme isolé où les occupants étaient suffisamment gentil pour m'accueillir je me livrais à mon plaisir favoris: la torture.
Ces personnes la regrettait rapidement de m'avoir accueilli chez eux, après tout ils en était mort, je les avaient libéré de la souffrance de la vie et leurs visage était maintenant figé dans une grimace. Mon visage peu avenant faisait peur aux gens et la plupart du temps j'étaie seul, sans aucune compagnie, volant, tuant discrètement me déplaçant toujours pour ne pas me faire attraper, c'est ainsi que j'ai vécue pendant 7 ans, 7 ans de liberté absolue ou je pouvais faire ce que je voulais, quand 'en avait envie.

>> Test RP

Le Test rp est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation.
Faire un test rp avant l'intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas.


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Informations IRL

    Prénom : On m'appelle Ancia mais mon vraie nom est Zian.

    Age : 16 ans

    Aime : le rp

    N'aime pas : beaucoup de chose

    Personnage préféré de One Piece : Nami

    Caractère : (définissez vous en quelques mots) fou, joyeux

    Fais du RP depuis : environs 7 mois

    Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) 5/7

    Comment avez vous connu le forum ?
Kaygen D. Shin


Dernière édition par Shippû Kurushimi le Mer 12 Jan 2011 - 13:56, édité 1 fois
    Yop !

    Ton test rp donc :

    Code:
    Occasionnellement, tu travailles dans une boucherie. Pour te faire un peu d'argent. Mais à un moment, deux hommes, déjà pleins de sang, entrent, et disent qu'ils veulent tout. Que vas-tu faire ? Ils ont l'air complétement fous, et sanguinaires.

    Bonne chance ! Si tu as besoin d'aide je suis là, comme d'hab ! ; )
    • https://www.onepiece-requiem.net/t146-ryuuku-no-fiche
    • https://www.onepiece-requiem.net/t99-rp-donwload-100-100-ryuuku-gakuen
    Bonjour et bienvenue, bonne chance pour ton rp ^^
      Yo shipp, déjà un superbe débuts, j'adore les descriptions physiques et mentales, et je ne vois que très peu de fautes de grammaires donc soit tu y a vraiment passer du temps pour me faire plaisir, soit tu n'es pas si nul que tu me le disais au lycée ^^.

      Je ne lirais ton histoire qu'une fois avoir lu ton test rp c'est mieux je pense ;) (pour moi en tout cas car cela n'as aucune logique pour les autres ahahaha)
        Je soupirais tout en coupant un morceau de viande, je m'étais engagé temporairement dans une boucherie pour gagner de l'argent sans me faire remarquer. Le but? Pouvoir payer le voyage en bateau jusqu'à la prochaine île sans être suspecté de meurtre. Lorsque j'étais arrivé au port je m'étais rendu compte que je ne pouvais pas payer le voyage mais surtout que monter clandestinement à bord du navire serait le meilleur moyen pour me faire arrêter. J'avais donc demandé à plusieurs personne différente si quelqu'un dans le coin avait besoin d'aide. A force d'indication et de recherche j'avais finis par me faire employer par un boucher dont son unique employé était pour le moment malade.
        Je me retrouvais donc derrière le comptoir, à couper diverses viandes pour les clients. Il était dur pour moi d'être honnête, gagner de l'argent en travaillant était rare pour quelqu'un comme moi qui passait son temps à voler, mais, heureusement ce travail me convenait. Bon d'accord, il arrivait des fois que j'ai envie d'étriper les clients tellement ceux-ci étaient chiants mais cela rester tout de même rare et supportable.
        J'allais heureusement bientôt recevoir ma paye, celui que je remplaçais était d'après mon patron presque rétablit. Mon patron, un homme dur, sans aucune pitié pour les gêneurs mais foncièrement honnête s'appelait Corks bien que la plupart le surnomme simplement 'Le boucher'. Il avait beaucoup réfléchie avant de m'accepter comme remplaçant, après tout je n'y connaissait pas grand chose, mais, lorsqu'il avait vue qu'aucune tâche, même les plus sales, les plus sanglantes ne me répugnait pas, il m'avait immédiatement accepté avec un sourire.
        Pour le moment, je m'ennuyais, il n'y avait aucun client en vue et j'avais faim. Mon katana était rangé, à ma grande déception, à l'arrière de la boutique, malgré mon insistance je n'avais pas réussi à convaincre Corks de me laisser mon arme favorite, heureusement pour moi il m'avait laissé ma dague 'au cas ou' comme il disait.
        Une jeune femme entra en souriant, elle souriait toujours, du moins à chaque fois qu'elle venait pour acheter de la viande. Elle me parla avec sa voix habituelle, une voix légèrement aigue et agréable à entendre. J'appréciais cette jeune femme chez qui j'étais déjà allé manger une fois après qu'elle eut insisté 30 minutes d'affilé, m'obligeant presque à venir.


        -Salut, comment-vous allez?

        Je me forçais à sourire, mes yeux eux ne changèrent pas d'expression et je répondit.

        -Salut, un peu fatigué et vous?
        -En forme.
        -Je vois sa, sa sera quoi pour aujourd'hui?
        -Alors heu.... 800 grammes de porc et 450 grammes de veaux.
        -Tout de suite.

        Je regardais sous le comptoir et sortis les viandes demandées avant de prendre le hachoir et de couper les viandes de la main gauche pour faire les parts demandées. Quelques seconde à peine plus tard je lui tendit.

        -Cela fera 17 berry's.

        Elle fouilla quelques secondes dans ses poches puis en sortie un porte monnaie rouge avant de me passer l'argent demandé. Je recomptais le tout par mesure de sécurité avant de tout ranger dans la caisse derrière moi.

        -Vous voulez un sac pour transporter la viande?
        -Oui s'il vous plaît.

        Je lui tendit un sac de la réserve, elle y rangea la viande me remercia et sortie. Perdant mon sourire, je reprit mon hachoir pour redonner une forme présentable à la viande pour la clientèle lorsque j'entendis un cri. Un cri strident, aiguë qui se termina par un gargouillis sans aucun doute provoqué par du sang. Quelqu'un venait d'être tué, juste devant le magasin alors que le patron était absent, ce n'était pas le faite que quelqu'un meure qui me gênait mais simplement qu'il n'y avait pas Corks pour gérer les problème. La personne qui venait de mourir était surement la jeune femme qui venait de sortir, cette idée ne me fît ni chaud ni froid, je la connaissais à peine et tout ce qui me gêné c'est que je sentais que les ennuis n'allaient pas tarder à me tomber dessus.
        Une minute (grand maximum) plus tard, deux hommes entrèrent, je levais les yeux et remarquais juste qu'ils étaient recouvert de sang fraie et humain. Je continuais à couper la viande, l'odeur ne pouvait pas être confondue par quelqu'un comme moi, elle me donnait faim, me donner une soif, pas celle de boire mais celle de torturer quelqu'un, je levai à nouveau mon hachoir lorsque l'un des deux hommes tapa violemment du plat de sa main, les doigts écartés juste à l'endroit ou je travaillais et dit d'une voix menaçante.


        -Donne nous tout, l'argent, la viande, absolument tout, Immédiatement!

        Le dernier mots était presque un cri et c'était visiblement un homme, il me prenait de haut, sans doute à cause de ma petite taille, je levais les yeux pour le regarder. Il porter une petite barbe, avait les cheveux brun mal coiffé et il était habillé de tissu. Mesurant au moins 1 mètre 90 il me provoquais sans se douter que sa main droite courrait un immense danger.
        Je sourit lentement et abattit mon hachoirs, il attérie sur la main la coupant en deux entre l'annuaire et l'index, il recula brusquement et je retirai le hachoirs, sa main était entièrement coupé jusqu'au poignet et les deux morceau pendait chacun de leurs côté, il hurla de douleurs et de rage et je lui répondit.


        -Tu me gène dans mon travail, sa te coûtera 57 berry's pour la viande que tu a abimée avec ton sang.

        Il me répondit par un coup de poing de sa main gauche, rapide, puissant je ne pus l'éviter et je fût projeté en arrière, ma tête cognant violemment contre le mur. Son compagnon fît lentement le tour du comptoir avant de me saisir par le col tendit que je glissai contre le mur, il me souleva comme si je ne pesai rien et me plaqua violemment contre celui-ci. Aussi grand que son confrère il lui ressemblait en beaucoup de point notamment au niveau du visage et de la taille.

        -Fait pas le malin avec nous petit.

        Il me cracha ces mots au visage, un éclair de folie passa dans mes yeux et je sourit à nouveau, pour toute réponse à ce sourire il me décrocha un coup de poing dans le ventre, violent, brutal, non calculé pour faire mal mais qui me fît cracher du sang. Mon sourire s'agrandit, un filet de sang coulant au coin de ma bouche je dégainait discrètement ma dague, la lame étant recouverte de soude avant de la lui planté dans le bras qui me retenait au niveaux du coude. Il grimaça légèrement mais ne me lâcha pas et pendant que je recevais un coup de poing dans le ventre je fît descendre ma lame, tranchant tout au passage jusqu'au poignet. Sur le coup il me projeta sur le coté, contre la porte de service qui s'ouvrit à la voler et je pénétrait violemment dans la réserve de viande, des carcasse de porc pendant de ci de là, faiblement éclairé c'était l'obscurité qui dominait. J'enlevais le fourreau de ma dague le posant contre un mur de façon à ce que sont contenue ne se renverse pas sur le sol ce qui serait désastreux puis je reculais précipitamment, l'homme que je venais de blesser retira la dague qui commençait à s'abîmer, la soude sa ne pardonnait pas, déjà la peau sur son bras commençait à disparaître dévoilant les muscle qui eux aussi était attaqué par la réaction chimique. Cela devait être douloureux, très douloureux et le visage perclus de douleurs qu'il me montra m'en donna la preuve. Je continuait de reculais, au fond de la salle, juste derrière moi se trouvait mon katana, l'arme que je préférai entre toute notamment pour le faite qu'elle soit extrêmement maniable, je me relevais en souplesse, crachant le reste du sang que j'avais dans la bouche puis courût vers mon katana que je dégainait d'un geste fluide. L'homme sourit et dégaina son épée, une épée de belle facture qui devait sans doute valoir pas mal d'argent. Il me fonça dessus attaquant de face et abattit son épée d'un geste rapide et directe à la vertical. En réponse je fît un pas sur le coté en levant mon katana, emporté par son élan il ne put éviter mon attaque. Je lui coupait le poignet dont la main tenait l'épée puis, dans le même mouvement lui fauchait les jambes avec mon katana. Il tomba lourdement sur le sol en faisant trembler les étagères ce qui me fît sourire, prenant un air sadique je lui enfonçait mon katana au milieu du dos puis d'un mouvement de levier lui brisait la colonne vertébral. Paralysé, des morceau d'os sortant du dos il ne pouvait plus bouger et allez mourir lentement son corps se remplissant de son propre sang, la peur allait l'envahir puis la vie le quitter. Son compagnon entra, un peu en retard pour je ne savais qu'elle raison et vit son confrère mort, pendant que je regardais la dépouille il m'attaqua et je ne vit l'épée que lorsqu'elle m'arriva dessus. Je me jetais en arrière, lâchant mon arme évitant de justesse l'épée et je me cognait contre le cadavre d'un port, l'homme m'attaqua à l'horizontale d'un geste rapide et je me baissais, la lame se planta lamentablement dans le porc et je me jetais sur l'homme réussissant malgré la différence de force et de taille à le faire reculer. Il recula, trébucha sur celui qui était à terre et s'écroula. Je récupérai tranquillement mon katana, léchant la lame pour récolter le sang dessus et attendant que l'homme se relève, il se jeta à nouveau sur moi et je lui ouvrit le ventre, une entaille extrêmement profonde, fatal mais lente à agir. Malgré la douleurs il me saisit le cou et commença à m'étrangler, il ressemblait à un de ses guerrier surpuissant, les Bersekers qui ne ressentait pas la douleurs et était invincible. Surmontant le manque d'air, je lâchai mon katana puis tendit mes mains les faisant enter dans la blessure, saisit son cœur et le lui arracher, bien que cela fût légèrement difficile j'y parvint et l'homme me lâcha son cœur palpitant entre mes main. Je le regardais tranquillement s'effondrer comme si de rien était avant de boire le sang présent à l'intérieur de l'organe.
        C'est à ce moment la que la marine ce décida a entrer, je ne les avait pas entendue arriver et je tournais la tête vers eux en souriant, la bouche et le visage plein de sang, l'organe à la main et deux cadavre mutilé sur le sol. Sur un ordre bref trois marine prêt à tirer tendit que un quatrième examinait les corps, sans faire attention a eux je saisit ma lame que je secouait d'un coup sec afin d'en enlever le sang puis je dit.


        -Ils m'ont attaqué, ils n'étaient pas assez fort, ils sont mort, c'est ballot.

        Je partie chercher mon fourreau sur le sol dans un coin sombre de la pièce et sortie, personne ne m'arrêta, devant la porte du magasin il y avait Corks qui attendait, anxieux soit pour ma vie, soit pour son magasin, il me vit plein de sang sur le visage et prit un air inquiet.

        -Ca va? Y c'est passait quoi?

        Je prit un sourire forcé et lui répondit tranquillement en voyant un autre jeune homme à coter de lui .

        -On m'a attaquer, deux hommes, ils sont mort dans l'arrière boutique sa risque de faire un peu sale.

        Il soupira et me tendit une petite bourse remplie d'argent qui serait suffisante pour le voyage à travers la mer.

        -Tien, c'est ta paye, je suis désolé mais je n'ai plus besoin de toi, merci de m'avoir aider et d'avoir protéger le magasin.

        Je prit la bourse et partie lentement en direction du port.

        -De rien, sa ma occuper un peu de façon relaxant et de toute façon, il est temps pour moi de repartir, a plus.

        Je disparue à leurs yeux, définitivement et je ne comptais pas les revoir, ce séjour sans bougeait avait était reposant et m'avait permit de me défouler une bonne fois pour toute.
          Super bien fait le test rp, rien à dire du coté lexique. Un bon style de rp et un texte dégagé bien espacé qui permet une lecture aisé. Tu a ma voix, pour les dorikis, je propose 700.

          P.S. La douleur je vais te la faire goûter pirate. Tu sera peut être le premier à goûter à un style ravageur, destructeur. Comme la bombe qui avait frappé Hiroshima. Et je parle au nom de tous ! Username Razz bien trouvé, mais va falloir mieux pour nous avoir.
          • http://oprannexe.onepiece-forum.com/t296-
          merci pour les compliment sa fait plaisir =D
          Le Username est pas un secret non plus mais vas-y fait moi goûter cette douleurs j'aime sa ♥♥♥♥
              >Je suis née il y a donc 18 ans, cela fait donc 18 ans que je souffre dans cette vie et presque autant que je libère les autres de celle-ci. J'ai était élevé par mon père, ma mère étant mort juste après ma naissance ce fut mon père qui me donna mon nom et me façonna de façon que je soit digne de celui-ci.

              > Aucune faute d'orthographe, juste {née=né} ; {ma mère étant mort=ma mère étant morte};
              Je ne vois que deux fautes, c'est presque partout comme ça, essaye juste de bien concorder tes temps.

              >Donc je suis plutôt vers 700 dorikis pour moi, qui est déjà énorme. Mais tu as un style assez sympathique. J'aime bien le "j'ai vérifié" :d
            • https://www.onepiece-requiem.net/t146-ryuuku-no-fiche
            • https://www.onepiece-requiem.net/t99-rp-donwload-100-100-ryuuku-gakuen
            J'ai étaitélevé par mon père, ma mère étant mort juste après ma naissance ce fut mon père qui me donna mon nom et me façonna de façon que je soit digne de celui-ci.

            Etait : Faute de conjugaison, je pense que c'est une inattention ;D

            Etant mort : Faute d'accord avec le féminin de "mère"

            Ma mère étant morte juste après ma naissance ce fut mon père qui [...] : Alors là, des

            virgules ne serait pas en trop, après morte ou naissance, tout dépend, car là, il peut y avoir deux sens à ta phrase.

            La longueur me va, mais pour moi, je te conseillerais de mettre des virgules, tu peux lire tes RPs à voix haute pour cela, et voir là où tu respires pour mettre à ces endroits les virgules manquantes Very Happy

            Voilà, donc pour moi aussi 700 Dorikis me parait bien, je valide et déplace

            Shippû Kurushimi [Terminé] Valida10
            • http://oprannexe.onepiece-forum.com/t246-