~ I'm Edward W. Flower
Pseudonyme : « Le poussin », sans doute à l'attention de mes cheveux blonds et de mon allure chétive. Parfois, on m'appelle aussi Ed', tout simplement. Nom : Watturi Prénom : Edward Age: 19 ans, le temps passe vite, vous croyez pas ? Sexe : Je suis un mec, un vrai de vrai (...)ou pas ! Race : Pas difficile à remarquer, je suis tout ce qu'il y a de plus humain, enfin je crois. Rang : « Le poussin » Métier : Théoriquement, je suis fleuriste mais, par la suite de mon aventure, je serais amené à m'occuper de la vigie ! Porter mon regard vers l'horizon tout le long de la journée, il n'y a rien de mieux ! Groupe : Pirate, fidèle représentant de la liberté ! Déjà un équipage : On m'a de manière très sympathique proposé de rejoindre l'équipage « The Desperados Pirates » ! But : Mener une aventure d'homme libre ! [...]et éventuellement, assassiner les Dragons Célestes et ainsi mettre un terme à leur règne tyrannique. ! Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Sans compter les compétences grobillesques des sabres/Meitou, je prévois d'acquérir le haki, mais bon va falloir attendre encore un peu ;D Équipements : Un katana de très bonne facture mais semble-t-il, pas suffisamment pour rentrer dans le classement des lames les plus recherchées au monde. Ajoutez à cela deux ou trois sacoches autour de la taille, où je place mes « armes florales » ainsi que le strict nécessaire pour exercer l'art botanique en extérieur. Comme tout bretteur, j'espère impatiemment mettre sur la main sur un Meitou ! Pour les premiers jours de mon voyage, j'ai une petite bourse de 10 000B. Codes du règlement : |
Ketya : Bonjour à toi Edward. Tout à bord, je te remercie d'avoir accepté mon invitation, nous sommes impatients d'en apprendre plus sur toi.
Edward : Salut. Tout le plaisir est pour moi. On peut commencer ? J'en ai peut-être pas l'air mais j'ai une journée bien remplie aujourd'hui...
Ketya : Très bien, commençons. Tout d'abord, peut-tu te décrire ?
Edward : Alors tu veux que je me présente ainsi… C’est pas le genre de demande qu’on me fait souvent tu vois mais bon, je vais y répondre malgré tout puisque t’as l’air gentil. Avant de commencer, je préfère te prévenir : Je suis quelqu’un de moyennement modeste alors ne t’attend pas à voir en face de toi un Dieu vivant. Bref par soucis de lisibilité, j’vais commencer par me décrire physiquement, si ça te dérange pas… Non ? Tant mieux, de toute façon j’aurais tout de même commencé par ça.
Edward : Salut. Tout le plaisir est pour moi. On peut commencer ? J'en ai peut-être pas l'air mais j'ai une journée bien remplie aujourd'hui...
Ketya : Très bien, commençons. Tout d'abord, peut-tu te décrire ?
Edward : Alors tu veux que je me présente ainsi… C’est pas le genre de demande qu’on me fait souvent tu vois mais bon, je vais y répondre malgré tout puisque t’as l’air gentil. Avant de commencer, je préfère te prévenir : Je suis quelqu’un de moyennement modeste alors ne t’attend pas à voir en face de toi un Dieu vivant. Bref par soucis de lisibilité, j’vais commencer par me décrire physiquement, si ça te dérange pas… Non ? Tant mieux, de toute façon j’aurais tout de même commencé par ça.
~ Physique
Edward : Commençons par le commencement : Grossièrement, j’ai fêté mes dix-neuvièmes bougies le mois dernier et malgré ça, j’ai vraiment l’allure d’un gamin… Ou plus précisément, d’une gamine. C’est pas quelque chose que j’apprécie réellement mais en réalité, qu’importe mon identité qui stipule bien une présence de bijoux à l’entrejambe, j’ai un corps de gamine. Avec le temps, il est vrai que j’ai fini par accepter ça mais le problème principal reste le même : Pour rentrer dans le milieu de la piraterie, un corps comme ça n’aide pas des masses… Bref on se détourne du sujet principal, continuons. Ce ne sont pas des choses que je vérifie régulièrement et je ne dois pas être le seul mais, aux dernières mesures, il m’était indiqué une taille d’un mètre soixante-cinq et cinquante-cinq kilogrammes. Dis comme ça, les caractéristiques sont pas trop flatteuses mais croyez-en mon expérience, cette taille et ce poids me permettent une agilité sans pareille et font de moi un véritable singe dans mes mouvements. D’autre part, j’ai beau avoir l’allure d’une gamine de loin, en regardant de plus prêt tu peux apercevoir une musculature bien présente qui se dessine sur un corps pour la majeure partie imberbe. Je n’ai évidemment pas de tablettes de chocolats ni de muscles saillants mais je possède le minimum utile et ainsi, mon agilité est conservée : De ce fait, je garde de manière générale une allure svelte qui me convient parfaitement, nul besoin d’autres atouts.
Pour la suite, je vais maintenant zoomer et m’attarder aux différentes parties du corps, une description plus particulière de la tête jusqu’aux pieds. Ainsi commençons par ce qui est un symbole fort de mon physique vu que l’on me reconnait en partie grâce/à cause de ça, ma chevelure. Teintés d’un blond puissant, ces cheveux mi-longs sont attachés à l’arrière à l’aide d’un simple bout de tissu faisant office de « chouchou », afin d’éviter qu’ils m’arrivent sur la tronche quand je me déplace et plus particulièrement quand je me bats. J’aimerais rajouter que même si l’on peut me comparer à une fille sur de nombreux points, je reste un mec : En partant de ça, il est juste hors de question pour moi de passer de longues heures lors du réveil devant un miroir à coiffer ma tignasse et de toute façon, coiffer est l’une des nombreuses choses que je déteste. C’est donc dans un bordel pas possible que la plupart du temps, tu pourras observer mes cheveux. En guise d’accompagnement pour cette chevelure blonde se dessine une paire d’yeux couleur noisette, soulignés eux-mêmes par ce regard enfantin qui me caractérise tant. Un peu plus bas se trouve une bouche plutôt fine, entourée de petites pommettes. Enfin, comme tout être humain je possède un nez de taille banale, un menton discret ainsi qu’une paire d’oreilles. Autant le préciser tout de suite, je possède un bijou à l’oreille droite : Une simple boucle d’oreille ovale teintée d’azur sans réelle valeur pécuniaire mais à laquelle j’accorde une très grande importance, t’en apprendra plus sur ça dans l’histoire. Ce bijou n’est d’ailleurs pas le seul qui a une valeur sentimentale pour moi. En deuxième élément, il y a ce foulard blanc auquel je tiens beaucoup aussi, que j’habille en permanence autour du cou : Ainsi, il me tient chaud et en plus, je l’ai sans arrêt à mes côtés, elle est pas belle la vie ?
En supplément de cette « écharpe de fortune », je suis habillé avec un léger t-shirt bleu sans réelle particularité surmonté lui-même d’une veste à capuche dotée de différentes teintes de bleu, veste de bonne qualité puisqu'offerte en cadeau part un couturier ami de ma famille, très sympathique d’ailleurs *Dédicace à toi, Kyo’ on pense à toi ;D*. Tout comme le maillot, la veste reste légère malgré son important confort et sa capacité à bien couvrir du froid, ce qui me permet encore une fois de me déplacer sans difficulté. Si l’on descend un peu plus bas, tu peux constater sans problème un pantalon de style bermuda blanc, attaché à la taille par un foulard de la même teinte que la veste, bleu azur. Enfin, pour mes petits pieds j’ai pas fais dans le compliqué : Je suis chaussé d’une simple paire de sandales qui me convient très bien. Pour terminer cette description physique, je vais préciser une dernière chose : Pour combattre j’utilise parfois l’art floral (je compte développer ça après) et de ce fait, je possède deux petites sacoches de cuir blanc au niveau de la taille, l’une à droite et l’autre à gauche, contenant toutes deux le nécessaire pour exprimer mon art. En équipement, j'ai récemment fait l'acquisition d'un sac à dos léger de la même couleur que la veste (que je ne garde pas en permanence sur moi) qui contient de petits outils pour les fleurs ainsi que le nécessaire vital pour voyager donc en définitive, pas grand-chose. Ajoute à cela mon katana, forgé par un artisan compétent, dont le manche blanc contraste avec le reste de mon équipement. La plupart du temps, lorsque je ne combat pas, le katana est positionné au travers du foulard autour de la taille.
Pour la suite, je vais maintenant zoomer et m’attarder aux différentes parties du corps, une description plus particulière de la tête jusqu’aux pieds. Ainsi commençons par ce qui est un symbole fort de mon physique vu que l’on me reconnait en partie grâce/à cause de ça, ma chevelure. Teintés d’un blond puissant, ces cheveux mi-longs sont attachés à l’arrière à l’aide d’un simple bout de tissu faisant office de « chouchou », afin d’éviter qu’ils m’arrivent sur la tronche quand je me déplace et plus particulièrement quand je me bats. J’aimerais rajouter que même si l’on peut me comparer à une fille sur de nombreux points, je reste un mec : En partant de ça, il est juste hors de question pour moi de passer de longues heures lors du réveil devant un miroir à coiffer ma tignasse et de toute façon, coiffer est l’une des nombreuses choses que je déteste. C’est donc dans un bordel pas possible que la plupart du temps, tu pourras observer mes cheveux. En guise d’accompagnement pour cette chevelure blonde se dessine une paire d’yeux couleur noisette, soulignés eux-mêmes par ce regard enfantin qui me caractérise tant. Un peu plus bas se trouve une bouche plutôt fine, entourée de petites pommettes. Enfin, comme tout être humain je possède un nez de taille banale, un menton discret ainsi qu’une paire d’oreilles. Autant le préciser tout de suite, je possède un bijou à l’oreille droite : Une simple boucle d’oreille ovale teintée d’azur sans réelle valeur pécuniaire mais à laquelle j’accorde une très grande importance, t’en apprendra plus sur ça dans l’histoire. Ce bijou n’est d’ailleurs pas le seul qui a une valeur sentimentale pour moi. En deuxième élément, il y a ce foulard blanc auquel je tiens beaucoup aussi, que j’habille en permanence autour du cou : Ainsi, il me tient chaud et en plus, je l’ai sans arrêt à mes côtés, elle est pas belle la vie ?
En supplément de cette « écharpe de fortune », je suis habillé avec un léger t-shirt bleu sans réelle particularité surmonté lui-même d’une veste à capuche dotée de différentes teintes de bleu, veste de bonne qualité puisqu'offerte en cadeau part un couturier ami de ma famille, très sympathique d’ailleurs *Dédicace à toi, Kyo’ on pense à toi ;D*. Tout comme le maillot, la veste reste légère malgré son important confort et sa capacité à bien couvrir du froid, ce qui me permet encore une fois de me déplacer sans difficulté. Si l’on descend un peu plus bas, tu peux constater sans problème un pantalon de style bermuda blanc, attaché à la taille par un foulard de la même teinte que la veste, bleu azur. Enfin, pour mes petits pieds j’ai pas fais dans le compliqué : Je suis chaussé d’une simple paire de sandales qui me convient très bien. Pour terminer cette description physique, je vais préciser une dernière chose : Pour combattre j’utilise parfois l’art floral (je compte développer ça après) et de ce fait, je possède deux petites sacoches de cuir blanc au niveau de la taille, l’une à droite et l’autre à gauche, contenant toutes deux le nécessaire pour exprimer mon art. En équipement, j'ai récemment fait l'acquisition d'un sac à dos léger de la même couleur que la veste (que je ne garde pas en permanence sur moi) qui contient de petits outils pour les fleurs ainsi que le nécessaire vital pour voyager donc en définitive, pas grand-chose. Ajoute à cela mon katana, forgé par un artisan compétent, dont le manche blanc contraste avec le reste de mon équipement. La plupart du temps, lorsque je ne combat pas, le katana est positionné au travers du foulard autour de la taille.
~ Psychologie
Edward : Trêve de bavardage, continuons. Pas besoin de me le dire, je comptais bien aborder ma personnalité ainsi que mes traits psychologiques dans cette seconde partie. Tout d'abord, il serait intéressant de préciser, même si le sujet sera approfondi dans la partie histoire de l'interview, mes origines. Je suppose que vous le savez déjà, mais la réalité prouve qu'un homme élevé dans la noblesse n'aura pas la même éducation, ni la même tenue que pourrait avoir un homme de la rue. Dans mon cas, je suis plutôt entre les deux, n'appartenant à aucun des deux côtés. J'ai en effet grandi dans une famille de simple marchands, des fleuristes pour être plus précis, d'où l'intérêt que je porte aux fleurs. Ce cadre de vie à la fois reposé et propice au travail a grandement contribué à façonner le jeune homme que t'as en face de toi. Ainsi, je demeure depuis toujours quelqu'un de plutôt respectueux, poli et aimable.
Ketya : Intéressant mais... Jusqu'ici, rien dans ce que tu as dis ne porte à croire que tu dériverais vers la piraterie... Je me trompe ?
Edward : Dans un sens, tu ne te trompes pas. Dans l'autre, il t'aurai suffit d'attendre quelques secondes pour que je puisse continuer à causer et expliquer tout ça... Bref je disais donc que sur de nombreux points, j'étais un fils de marchands tout à fait banal, n'ayant d'autre futur que celui d'un honnête fleuriste reprenant l'entreprise familiale, destiné à une vie de banalité. Et... C'est justement cette banalité, qui ne me convenait pas. Au fond je ne suis pas si différent des autres gars de ma génération, désireux de libertés, de voyage ! L'exemple n'est certainement pas le plus adapté, mais je peux tout à fait dire être le contraire absolu de la fleur, elle qui reste immobile, empêtrée dans son destin sans pouvoir y changer quoi que ce soit. Moi, je suis un humain. Si nous avons été conçus avec des jambes et des bras, un corps propice au déplacement, ce n'est pas pour ignorer nos gênes et agir en tant que légume. C'est pour cette liberté que j'ai choisie la piraterie... Je ne peux m'empêcher d'être joyeux lorsque je pense à cette liberté d'action qui m'était offerte avec ce statut. Ne plus être dirigé plus que part des hommes aux rêves de libertés semblables aux miens, pouvoir voyager partout dans le monde sans réelle contrainte... En d'autres mots, vivre !
Ketya : Très bien. Maintenant que nous en savons plus sur tes convictions, pourrais-tu te pencher sur ton caractère, ta personnalité de manière globale ?
Edward : Pourquoi pas, c'est la manière la plus simple de procéder à une description mentale après tout. Comme tu as certainement pu le constater, je suis de toute évidence un homme, pas un Dieu. De ce fait, je suis très loin d'être parfait et je ne suis pas le premier qui vous le dira ! J'ai des qualités, certes, mais en contrepartie de nombreux défauts. D'abord, je suis quelqu'un de plutôt posé, calme. Je suis typiquement le genre de personne qui préfère réfléchir avant d'agir, analyser la situation pour ne pas laisser place aux émotions. Dans cette lignée, je reste avant tout quelqu'un de sympathique et très facile d'approche, j'inspire ce qu'on pourrait définir comme un climat de confiance. Selon des situations où j'agis en éclaireur, pour analyser rapidement le terrain, je peux sans hésitation utiliser ce climat de confiance à mon avantage pour modeler les opinions et les guider comme je l'entends. Dans un sens, cela peut être irrespectueux et fourbe, mais n'oublie pas qu'avant d'avoir des origines dans le milieu du commerce, je suis désormais un pirate. Je n'hésite donc pas à user de mes qualités pour apporter de l'aide à mes compagnons. D'ailleurs, maintenant qu'on en parle autant aborder le sujet : Je suis le genre de personne qui peut tout à fait accepter l'humiliation, tant qu'elle ne concerne que moi et moi seul. Cependant, si l'on venait à humilier mes amis de quelques manières que ce soient, cette barrière de sympathie serait annihilée en un instant et la colère prendrait largement le dessus sur la gentillesse et la retenue. Ainsi, l'atteinte directe à mes compagnons restent l'une des seules choses qui me mettent hors de moi. La seconde chose, ce sont de manière générale tout ce qui entrave la liberté. C'est ainsi que je porte une haine sans limite envers les nobles mondiaux, ceux que l'on appelle bêtement les « Dragons célestes », soit disant descendants des « créateurs ».
Ketya : Je vais conserver ce dernier avis pour moi si cela ne te dérange pas, je n'ai pas vraiment envie de me retrouver aux fers à Marijoa. Il ne nous reste plus beaucoup de temps, peux-tu conclure rapidement sur ta personnalité ?
Edward : Très bien... En y repensant, je me suis vraiment emporté vis-à-vis des nobles et j'ai perdu mes mots... Je n'ai pas encore parlé de mes défauts. Faute de temps et d'envie, je ne citerais que les principaux : Avant tout, je suis quelqu'un de très pessimiste et dans un sens, cela ne me dérange pas plus que ça. Être pessimiste comme cela me force à me préparer à toutes les éventualités et ainsi ne pas être reçu si le futur attendu ne me convient pas. Ensuite, bien que je me force à prouver le contraire, on me fait très souvent remarquer mon caractère borné et têtu... Lorsque j'ai en tête quelque chose, il est très difficile de me faire revenir en arrière. Je sais que des personnes me trouvent chiant uniquement à cause de cela, mais c'est pas tellement de ma faute, j'ai toujours été comme ça moi. Pour terminer sur une note légèrement plus positive... Je peux dire avec certitude que je suis quelqu'un de très gourmand, au grand malheur des cuistots !
Ketya : Parfait ! Cette section est désormais bien complète désormais... Je suppose que tu peux passer au gros morceau de l'interview : Ton histoire !
Edward : Avec plaisir, je vais essayer de résumer au mieux, vu le peu de temps qu'il nous reste.
Ketya : Intéressant mais... Jusqu'ici, rien dans ce que tu as dis ne porte à croire que tu dériverais vers la piraterie... Je me trompe ?
Edward : Dans un sens, tu ne te trompes pas. Dans l'autre, il t'aurai suffit d'attendre quelques secondes pour que je puisse continuer à causer et expliquer tout ça... Bref je disais donc que sur de nombreux points, j'étais un fils de marchands tout à fait banal, n'ayant d'autre futur que celui d'un honnête fleuriste reprenant l'entreprise familiale, destiné à une vie de banalité. Et... C'est justement cette banalité, qui ne me convenait pas. Au fond je ne suis pas si différent des autres gars de ma génération, désireux de libertés, de voyage ! L'exemple n'est certainement pas le plus adapté, mais je peux tout à fait dire être le contraire absolu de la fleur, elle qui reste immobile, empêtrée dans son destin sans pouvoir y changer quoi que ce soit. Moi, je suis un humain. Si nous avons été conçus avec des jambes et des bras, un corps propice au déplacement, ce n'est pas pour ignorer nos gênes et agir en tant que légume. C'est pour cette liberté que j'ai choisie la piraterie... Je ne peux m'empêcher d'être joyeux lorsque je pense à cette liberté d'action qui m'était offerte avec ce statut. Ne plus être dirigé plus que part des hommes aux rêves de libertés semblables aux miens, pouvoir voyager partout dans le monde sans réelle contrainte... En d'autres mots, vivre !
Ketya : Très bien. Maintenant que nous en savons plus sur tes convictions, pourrais-tu te pencher sur ton caractère, ta personnalité de manière globale ?
Edward : Pourquoi pas, c'est la manière la plus simple de procéder à une description mentale après tout. Comme tu as certainement pu le constater, je suis de toute évidence un homme, pas un Dieu. De ce fait, je suis très loin d'être parfait et je ne suis pas le premier qui vous le dira ! J'ai des qualités, certes, mais en contrepartie de nombreux défauts. D'abord, je suis quelqu'un de plutôt posé, calme. Je suis typiquement le genre de personne qui préfère réfléchir avant d'agir, analyser la situation pour ne pas laisser place aux émotions. Dans cette lignée, je reste avant tout quelqu'un de sympathique et très facile d'approche, j'inspire ce qu'on pourrait définir comme un climat de confiance. Selon des situations où j'agis en éclaireur, pour analyser rapidement le terrain, je peux sans hésitation utiliser ce climat de confiance à mon avantage pour modeler les opinions et les guider comme je l'entends. Dans un sens, cela peut être irrespectueux et fourbe, mais n'oublie pas qu'avant d'avoir des origines dans le milieu du commerce, je suis désormais un pirate. Je n'hésite donc pas à user de mes qualités pour apporter de l'aide à mes compagnons. D'ailleurs, maintenant qu'on en parle autant aborder le sujet : Je suis le genre de personne qui peut tout à fait accepter l'humiliation, tant qu'elle ne concerne que moi et moi seul. Cependant, si l'on venait à humilier mes amis de quelques manières que ce soient, cette barrière de sympathie serait annihilée en un instant et la colère prendrait largement le dessus sur la gentillesse et la retenue. Ainsi, l'atteinte directe à mes compagnons restent l'une des seules choses qui me mettent hors de moi. La seconde chose, ce sont de manière générale tout ce qui entrave la liberté. C'est ainsi que je porte une haine sans limite envers les nobles mondiaux, ceux que l'on appelle bêtement les « Dragons célestes », soit disant descendants des « créateurs ».
Ketya : Je vais conserver ce dernier avis pour moi si cela ne te dérange pas, je n'ai pas vraiment envie de me retrouver aux fers à Marijoa. Il ne nous reste plus beaucoup de temps, peux-tu conclure rapidement sur ta personnalité ?
Edward : Très bien... En y repensant, je me suis vraiment emporté vis-à-vis des nobles et j'ai perdu mes mots... Je n'ai pas encore parlé de mes défauts. Faute de temps et d'envie, je ne citerais que les principaux : Avant tout, je suis quelqu'un de très pessimiste et dans un sens, cela ne me dérange pas plus que ça. Être pessimiste comme cela me force à me préparer à toutes les éventualités et ainsi ne pas être reçu si le futur attendu ne me convient pas. Ensuite, bien que je me force à prouver le contraire, on me fait très souvent remarquer mon caractère borné et têtu... Lorsque j'ai en tête quelque chose, il est très difficile de me faire revenir en arrière. Je sais que des personnes me trouvent chiant uniquement à cause de cela, mais c'est pas tellement de ma faute, j'ai toujours été comme ça moi. Pour terminer sur une note légèrement plus positive... Je peux dire avec certitude que je suis quelqu'un de très gourmand, au grand malheur des cuistots !
Ketya : Parfait ! Cette section est désormais bien complète désormais... Je suppose que tu peux passer au gros morceau de l'interview : Ton histoire !
Edward : Avec plaisir, je vais essayer de résumer au mieux, vu le peu de temps qu'il nous reste.
~ Biographie
(Partie que très peu approfondie puisque je considère que mon histoire commence à même mon inscription ;D)
Edward : La vie d'un homme comporte différentes séquences : La naissance, la vie en elle-même puis la mort. Certains seront d'accord avec ça, d'autres non mais je tiens tout de même à donner mon avis sur le sujet : Selon moi, la naissance et l'enfance forge l'être et fonde sa personnalité, la vie perfectionne l'homme puis la mort noie son esprit, lui, sa personnalité et ses liens. Dans ce sens, je me contredirais si je disais que Gol D Roger a su perdurer dans le temps, autant en temps que légende qu'en temps qu'allégorie même des vagues de pirateries modernes... Et pourtant, je le pense aussi. Je n'ai pas connu le seigneur des pirates alors je ne peux pas exprimer mon avis sur son enfance, je ne la connais juste pas. Quoi qu'il en soit, je connais cependant bien la mienne, d'histoire. Sachant cela, je ne peux contester la vérité qui résume que l'écriture de ma personnalité s'est vu gravée dans mon esprit pendant l'enfance.
Comme tout humain normalement développé, je suis né d'une femme et d'un homme : Respectivement nommés Celesta et Vaien, ce couple de fleuristes tout à fait banal ne s'attendait pas le moins du monde à accueillir un nouveau membre dans la famille. En effet, jamais les deux individus n'avaient songés mettre au monde un enfant, non pas par soucis de santé mais tout simplement par envie : Ils n'envisageaient pas d'avoir un enfant, point final. Avec tout ça, vous devez vous en douter : Leur désir ne fut pas tellement respecté puisqu'une belle journée d'automne, les premiers signes de la grossesses arrivèrent. Évidemment, nul doute qu'à ce moment, ils s'étaient retrouvés face à un terrible dilemme. La première solution était radicale puisqu'elle consistait simplement en l'avortement : On expulse le fœtus de sa génitrice, il meurt et l'histoire est terminée, on en reparle plus. Effectivement, c'est pas très joyeux, j'en conviens... Surtout qu'ici, c'est de moi dont il s'agit. Pour la deuxième solution cependant, plus raisonnable fut-elle, il s'agissait « juste » de me vendre tel un esclave aux plus offrants. « Les enfoirés ! » direz-vous, exclamation qui serait à mon sens pleinement justifiée si l'histoire s'arrêtait là... Et pourtant ce ne fut pas le cas. Alors décidée à procéder à l'avortement, ma mère avait avec du recul prit en compte la situation et dans ce sens, avait finit par accepter ma naissance. Mais même avec cette décision, avouez que se sentir indésirable à sa naissance, il y a mieux comme mise en ambiance, même si d'un point de vue technique, j'étais sans doute pas tellement en âge de disserter à ce moment. De ce fait, malgré ces événements, je naquis naturellement un beau jour d'hiver dans un village paumé, situé sur une île paumée en North Blue.
Je ne compte pas le faire et de toute façon, il serait clairement inutile de décrire le déroulement de l'accouchement puisqu'au fond, on s'en fout royalement. Tout ce qu'il faut retenir, c'est que finalement, j'ai connu une enfance plutôt plaisante. De mon avis, j'ai connu des parents attentionnés qui me considéraient bien comme un fils, je n'eus alors pas à me plaindre de maltraitance ou quoi que ce soit d'autre. Dès mon plus jeune âge, mes parents m'apprirent les bases de la botanique et chaque jour, chaque instant se faisait au côté des fleurs. Bien qu'ils m'eurent « légèrement » poussés à me rapprocher des fleurs, j'y avais pris goût. D'une certaine façon, je m'étais réellement attaché à ces merveilles de la nature. Partant de cela, j'étais déjà différent des autres garçons qui préféraient jouer à des jeux d'extérieurs, jouer « au pirate et au marine » par exemple, tandis que moi, je restais quotidiennement dans la serre familiale à humer les doux parfums des fleurs, appréciant le contexte dans lequel j'avais été plongé avec joie et satisfaction. La botanique n'était cependant pas l'unique passe-temps auquel j'accordais mes journées. Malgré l'avis négatif que mes parents m'avaient apportés à ce sujet, je m'étais inscris à un dojo présent sur l'île, où un maître dans l'art du maniement du sabre transmettait ses connaissances avec passion. C'est ainsi que se déroulaient mes journées, à apprendre le maniement du sabre et agrandir mes connaissances botaniques... Cela paraissait un train de vie plutôt « chiant » mais personnellement, j'en étais heureux.
Les années passèrent et ma passion ne cessait de croître, jusqu'à ce qu'un jour, les fleurs de la serre et de l'île ne me suffisaient plus, je voulais en voir bien plus. En outre, j'apprenais l'art du sabre depuis plus ou moins dix ans, années où j'avais appris avec acharnement et motivation les ficelles du combat au sabre, tout en développant mes propres bottes et enchaînements. En outre, mes compétences en botaniques m'avaient permises alors de créer de nouvelles espèces de fleurs aux propriétés extraordinaires voire loufoque ! Je possédais par exemple une nouvelle espèce de fleur qui, lorsque les pétales s'ouvrent, dégage un intense voile de fumée et en liaison avec mes recherches, j'étais parvenu à développer de nouvelles graines dont la croissance est quasiment instantanée !
J'avais maintenant dix-neuf ans et plus rien à apprendre du dojo, plus rien à apprendre sur la botanique de mes parents. Ajoutez à ce mélange une goutte de raz-le-bol et vous obtenez le curieux mélange que voici : Rester aider à la boutique, j'en pouvais plus, malgré l'amour que je portais aux fleurs. Mon choix était déjà tout fait : Je désirais ne plus me contenter d'observer l'horizon, je voulais plus que tout le franchir de moi-même, naviguer par delà les océans ! Ce choix n'avait pourtant pas été annoncé de manière purement aléatoire et inopinée : J'y réfléchissais depuis quatre ans déjà et ce sentiment de liberté s'était accrût de manière grandiose lorsque j'avais porté pour la première fois mon attention aux nouveautés contenues dans le journal. À chaque édition paraissait des faits de pirateries, ces combattants de la mer attachés à chaque moment passés et présents entre compagnons, vivant leur vie au jour le jour, ne sachant pas de quoi sera constitué le lendemain. C'est dans ce contexte que chaque jour durant ces quatre dernières années, je lisais avec émotion les journaux, suivant de prêt l'évolution de ses êtres tant admirés.
Le jour tant attendu de mon départ arriva enfin : Aujourd'hui, mon voyage en tant que futur pirate allait commencer, mes rêves lointains de libertés n'étaient plus inaccessibles, mon aventure d'homme libre était sur le point de débuter ! Mes parents n'étaient, pour être franc, pas réellement en accord avec ma décision et déclaraient fièrement ne m'apporter aucun soutien par la suite. Pourtant, malgré cette vision des choses, ils n'en restaient pas moins des parents, leurs regards trahissaient leur émotions, c'était prévisible. Afin de me porter chance durant mes périples, ma mère m'offrit sa boucle d'oreille droite et mon père son précieux foulard qu'il tenait de l'héritage familial. Par chance, un ami de la famille, charpentier, m'avait fabriqué avec attention un petit bateau à voile avec en son bord une petite cabine pour dormir tranquillement, même en cas de pluie. Par gentillesse, l'homme avait été jusqu'à préparer dans le bateau des outils de pêches et quelques rations pour le voyage, en plus de celles apportées par les deux parents. Cela avait prit un certain temps, mais j'avais finalement réussi à remplir un sac de voyage raisonnable : Celui-ci contenait mes outils botaniques, des livres sur mes recherches et sur la botanique en général, puis les nouvelles graines développées. J'étais fin prêt, le départ se fit sans regret, sous les salutations de départ d'une dizaine de protagonistes. La scène était émouvante, mais mon attention se portait sur l'horizon, mon cœur battait avec conviction au rythme de la houle. il ne me manquait plus qu'une chose... Partir à la recherche d'un équipage !
Comme tout humain normalement développé, je suis né d'une femme et d'un homme : Respectivement nommés Celesta et Vaien, ce couple de fleuristes tout à fait banal ne s'attendait pas le moins du monde à accueillir un nouveau membre dans la famille. En effet, jamais les deux individus n'avaient songés mettre au monde un enfant, non pas par soucis de santé mais tout simplement par envie : Ils n'envisageaient pas d'avoir un enfant, point final. Avec tout ça, vous devez vous en douter : Leur désir ne fut pas tellement respecté puisqu'une belle journée d'automne, les premiers signes de la grossesses arrivèrent. Évidemment, nul doute qu'à ce moment, ils s'étaient retrouvés face à un terrible dilemme. La première solution était radicale puisqu'elle consistait simplement en l'avortement : On expulse le fœtus de sa génitrice, il meurt et l'histoire est terminée, on en reparle plus. Effectivement, c'est pas très joyeux, j'en conviens... Surtout qu'ici, c'est de moi dont il s'agit. Pour la deuxième solution cependant, plus raisonnable fut-elle, il s'agissait « juste » de me vendre tel un esclave aux plus offrants. « Les enfoirés ! » direz-vous, exclamation qui serait à mon sens pleinement justifiée si l'histoire s'arrêtait là... Et pourtant ce ne fut pas le cas. Alors décidée à procéder à l'avortement, ma mère avait avec du recul prit en compte la situation et dans ce sens, avait finit par accepter ma naissance. Mais même avec cette décision, avouez que se sentir indésirable à sa naissance, il y a mieux comme mise en ambiance, même si d'un point de vue technique, j'étais sans doute pas tellement en âge de disserter à ce moment. De ce fait, malgré ces événements, je naquis naturellement un beau jour d'hiver dans un village paumé, situé sur une île paumée en North Blue.
Je ne compte pas le faire et de toute façon, il serait clairement inutile de décrire le déroulement de l'accouchement puisqu'au fond, on s'en fout royalement. Tout ce qu'il faut retenir, c'est que finalement, j'ai connu une enfance plutôt plaisante. De mon avis, j'ai connu des parents attentionnés qui me considéraient bien comme un fils, je n'eus alors pas à me plaindre de maltraitance ou quoi que ce soit d'autre. Dès mon plus jeune âge, mes parents m'apprirent les bases de la botanique et chaque jour, chaque instant se faisait au côté des fleurs. Bien qu'ils m'eurent « légèrement » poussés à me rapprocher des fleurs, j'y avais pris goût. D'une certaine façon, je m'étais réellement attaché à ces merveilles de la nature. Partant de cela, j'étais déjà différent des autres garçons qui préféraient jouer à des jeux d'extérieurs, jouer « au pirate et au marine » par exemple, tandis que moi, je restais quotidiennement dans la serre familiale à humer les doux parfums des fleurs, appréciant le contexte dans lequel j'avais été plongé avec joie et satisfaction. La botanique n'était cependant pas l'unique passe-temps auquel j'accordais mes journées. Malgré l'avis négatif que mes parents m'avaient apportés à ce sujet, je m'étais inscris à un dojo présent sur l'île, où un maître dans l'art du maniement du sabre transmettait ses connaissances avec passion. C'est ainsi que se déroulaient mes journées, à apprendre le maniement du sabre et agrandir mes connaissances botaniques... Cela paraissait un train de vie plutôt « chiant » mais personnellement, j'en étais heureux.
Les années passèrent et ma passion ne cessait de croître, jusqu'à ce qu'un jour, les fleurs de la serre et de l'île ne me suffisaient plus, je voulais en voir bien plus. En outre, j'apprenais l'art du sabre depuis plus ou moins dix ans, années où j'avais appris avec acharnement et motivation les ficelles du combat au sabre, tout en développant mes propres bottes et enchaînements. En outre, mes compétences en botaniques m'avaient permises alors de créer de nouvelles espèces de fleurs aux propriétés extraordinaires voire loufoque ! Je possédais par exemple une nouvelle espèce de fleur qui, lorsque les pétales s'ouvrent, dégage un intense voile de fumée et en liaison avec mes recherches, j'étais parvenu à développer de nouvelles graines dont la croissance est quasiment instantanée !
J'avais maintenant dix-neuf ans et plus rien à apprendre du dojo, plus rien à apprendre sur la botanique de mes parents. Ajoutez à ce mélange une goutte de raz-le-bol et vous obtenez le curieux mélange que voici : Rester aider à la boutique, j'en pouvais plus, malgré l'amour que je portais aux fleurs. Mon choix était déjà tout fait : Je désirais ne plus me contenter d'observer l'horizon, je voulais plus que tout le franchir de moi-même, naviguer par delà les océans ! Ce choix n'avait pourtant pas été annoncé de manière purement aléatoire et inopinée : J'y réfléchissais depuis quatre ans déjà et ce sentiment de liberté s'était accrût de manière grandiose lorsque j'avais porté pour la première fois mon attention aux nouveautés contenues dans le journal. À chaque édition paraissait des faits de pirateries, ces combattants de la mer attachés à chaque moment passés et présents entre compagnons, vivant leur vie au jour le jour, ne sachant pas de quoi sera constitué le lendemain. C'est dans ce contexte que chaque jour durant ces quatre dernières années, je lisais avec émotion les journaux, suivant de prêt l'évolution de ses êtres tant admirés.
Le jour tant attendu de mon départ arriva enfin : Aujourd'hui, mon voyage en tant que futur pirate allait commencer, mes rêves lointains de libertés n'étaient plus inaccessibles, mon aventure d'homme libre était sur le point de débuter ! Mes parents n'étaient, pour être franc, pas réellement en accord avec ma décision et déclaraient fièrement ne m'apporter aucun soutien par la suite. Pourtant, malgré cette vision des choses, ils n'en restaient pas moins des parents, leurs regards trahissaient leur émotions, c'était prévisible. Afin de me porter chance durant mes périples, ma mère m'offrit sa boucle d'oreille droite et mon père son précieux foulard qu'il tenait de l'héritage familial. Par chance, un ami de la famille, charpentier, m'avait fabriqué avec attention un petit bateau à voile avec en son bord une petite cabine pour dormir tranquillement, même en cas de pluie. Par gentillesse, l'homme avait été jusqu'à préparer dans le bateau des outils de pêches et quelques rations pour le voyage, en plus de celles apportées par les deux parents. Cela avait prit un certain temps, mais j'avais finalement réussi à remplir un sac de voyage raisonnable : Celui-ci contenait mes outils botaniques, des livres sur mes recherches et sur la botanique en général, puis les nouvelles graines développées. J'étais fin prêt, le départ se fit sans regret, sous les salutations de départ d'une dizaine de protagonistes. La scène était émouvante, mais mon attention se portait sur l'horizon, mon cœur battait avec conviction au rythme de la houle. il ne me manquait plus qu'une chose... Partir à la recherche d'un équipage !
~ Test RP
Par soucis d'antigrobillisme ou autre principe similaire, j'estime la puissance de la bestiole à 250 voire 300 dorikis, donc monstre marin moins fort que celui affronté par Luffy
Cela faisait bientôt une semaine que le jeune botaniste, désireux d'en apprendre plus sur le monde qui l'entourait, était parti de son île natale, l'esprit rempli de rêves et d'ambitions. Les conditions avaient été de son côté depuis son départ puisque selon toute vraisemblance, aucun soucis météorologique ne l'avait frappé, lui et son embarcation. C'est donc sous un soleil radieux voire cuisant que Edward Wattori progressait parmi la houle tranquille des flots, avec comme premier objectif de rejoindre Manshon, une modeste ville située sur l'île de Barnanos, afin de se réapprovisionner en vivres et éventuellement, pour trouver un équipage. D'après la carte de North Blue qui lui avait été confiée et à la force du vent qui n'était pas aussi présente qu'elle aurait dû l'être, Edward estimait son arrivée sur la terre ferme au lendemain soir. D'ici là, le jeune homme s'était égaré dans la gourmandise et la naïveté, provoquant ainsi un manque certain de vivres tandis que son estomac, lui, criait à la famine. C'est en grande partie suite à cette erreur que le blond s'était retrouvé la canne à pêche en main, bavant en observant les poissons qui semblaient se jouer de lui. Encore un peu plus de temps dans cet état et il aurait été capable de tenir une discussion avec les mouettes, pour dire à quel point ce gars s'approchait de la folie.
« Kuso¹... J'ai la dalle ! Si j'avais su, j'aurais pas bouffé comme ça ! » s'exclama le futur pirate, conscient de ne pas avoir pour le moment les habitudes d'un marin, les yeux rivés sur le fil de la canne à pêche dans l'attente de voir celui-ci s'agiter.
Les faits étaient ainsi : Edward avait jusqu'à maintenant consacré son enfance et sa vie à l'étude des fleurs ainsi qu'à l'art du sabre, ne se focalisant que sur ça. Aujourd'hui, alors qu'il éprouvait le besoin de diversifier son activité, il se retrouvait dans l'incapacité de le faire aussi bien qu'il le souhaitait. Pêcher, ça n'était vraiment pas son truc. Certes, il avait peut-être à de rares occasions, observé son père le faire mais même avec ça, les connaissances du blond ne se limitaient qu'au vocabulaire « hameçon, ligne, appât et poisson ». Vous l'aurez donc compris, niveau pêche, notre protagoniste n'est pas une flèche. C'est dans cet état d'incapacité sérieuse qu'un élément attira l'attention d'Edward, ôtant de son visage l'expression blasée qu'il revêtait jusqu'à maintenant. Difficile de rater l'élément en question puisque parmi l'étendue d'or bleu qui se défilait jusqu'à l'horizon, cet élément paraissait plutôt hors-contexte. La raison pour laquelle notre héros restait fixé à sa présence était simple : L'élément en question s'avérait selon toute rationalité être une fleur, une magnifique fleur teintée d'azur. Étonnamment, une bien étrange conversation suivit la découverte, comme quoi il était dans l'intérêt de Edward de se nourrir, vite.
« Qu'est-ce que tu fais là, toi ? Je connais de nombreuses fleurs aquatiques, mais logiquement elles sont sous l'eau, justement. Tu t'es perdu ? » Questionna le jeune blond, d'un air curieusement sérieux.
Il va sans dire que naturellement il n'eut pas de réponse et resta ainsi, seul face à cet objet de convoitise. Heureusement, notre protagoniste favori n'était en réalité pas si fou que ça, ne faisant que blaguer avec soit-même pour faire passer le temps, finalement. Bien décidé de porter à cette curieuse fleur une analyse approfondie, Edward tendit le bras en se penchant un maximum hors du bateau afin d'attraper l'objet désiré. Cependant, d'une manière plutôt curieuse, la fleur s'éloigna à l'approche sa main, comme si elle exprimait une volonté propre, un refus de se retrouver en possession du blond. Naturellement, Edward ne resta pas sans réaction face à une telle désinvolture et en accord sa nature obstinée, répéta ce geste plusieurs fois, sans succès malheureusement.
« Primo, t'es une fleur inconnue au bataillon, ce qui est plutôt rare. Deusio, t'as rien à foutre en plein milieu de l'océan et tertio, tu t'éloignes constamment quand j'veux te chopper... Cette petite réflexion me pousse à la conclusion suivante : Soit ton existence n'a d'autre but que l'emmerdement de ma personne, soit t'es pas une fleur... Sur cette agréable touche de poésie et un rictus bien affiché, Edward empoigna son katana, prêt à le dégainer. Alors je te pose la question... T'es quoi ? » interrogea le jeune homme, conscient qu'il n'aurait pas de réponse.
En effet, cette question n'avait pas pour but d'obtenir une quelconque réponse, par cette interrogation Edward n'attendait qu'une chose : Un réaction de la part de ce qui se trouvait devant lui. Et il fut comblé, une ombre venue des profondeurs semblait se diriger vers la surface, assombrissant l'eau troublée qui se mouvait tout autour de la « fleur ». Une fraction de seconde après cela, la « chose » remontait à la surface, révélant ainsi quelque chose de plutôt inhabituel. Le spectacle, bien que plutôt effrayant, apporta une touche de surprise et d'incompréhension à notre protagoniste affamé. La bête, si l'on pouvait réellement la nommer ainsi, s'avérait être un curieux monstre marin, une étonnante chimère dont on pourrait croire l'existence tout droit sortie du célèbre roman de Mary Shelley. Derrière cette forme surprenante se dessinait des pattes palmées, un corps d'aigle ainsi que pour couronner la laideur de l'ensemble, une tête d'alligator. Avec un peu de recul, Edward ne savait plus s'il devait rire, pleurer ou revêtir un air effrayé mais au final, il ressentait plutôt un zeste de pitié pour cet être. Au contraire, au vu du cri étourdissant dont elle venait de faire l'usage, l'étrangeté en question ne semblait pas se déranger de telles inepties, son regard trahissait plutôt son ambition meurtrière. D'un mouvement sec, la chose abattit l'un de ses membres palmés en direction du blond, manquant de peu la destruction immédiate de l'embarcation mais la secouant de manière plutôt dangereuse. Avec une certaine difficulté cependant, Edward parvint à garder l'équilibre et évita la chute à l'eau qui, au vu de la situation, n'était pas la solution la plus adaptée. Toujours le rictus profondément ancré sur ses lèvres, le jeune homme en profita même pour ajouter une seconde touche d'humour à la situation.
« Hum... Remarque, tu tombes bien. J'avais justement plus rien à bouffer, Itadakimasu ! »
Le jeune homme avait enseigné des années durant les mécanismes même de l'art du sabre. Pendant son apprentissage, deux principales écoles avaient été apprises et perfectionnées : D'une part, le Kenjutsu, se définissant par l'utilisation du sabre déjà sorti du fourreau. D'autre part, il y avait le IaïJutsu : À l'inverse du Kenjutsu, cet art consistait en l'art de dégainer et couper en un seul mouvement. Bien qu'il avait appris les deux écoles, Edward avait spécialisé son style de combat sur le IaïJutsu, privilégiant la surprise et la vitesse dans l'exécution de ses coups, faisant de lui l'adversaire privilégié des combattants ayant tendance à sous-estimer leurs adversaires. Par chance, le cas présent coïncidait fortement avec cette vision des choses, comme quoi le jeune blond n'a pas rencontré dans ce début d'aventure que des problèmes. Sans se soucier de la mâchoire grande ouverte de l'atrocité, qui dévoilait des dents suffisamment aiguisées pour déchirer la chair comme de la barbe à papa, Edward surgit tel un jaguar devant la bête, dégainant son katana d'un coup sec et tranchant le torse de la cible en diagonale « Première voie du Iaï, Fuiuchi² ! ». Malheureusement, bien que l'attaque fut portée avec réussite, l'effet ne fut pas celui escompté. Certes, la blessure était profonde mais pas suffisamment pour tuer le monstre avec cet unique coup. Le sang de la chimère se libérait avec aisance de son enveloppe corporelle, provoquant en elle une colère encore plus intense qu'elle ne l'était déjà. L'esprit embué par l'idée de vengeance, le monstre s'apprêtait à se ruer vers le jeune homme pour le mettre entre ses dents lorsque soudain, un sabre vint d'une manière absolument inattendue s'enfoncer dans son organe vital, mettant immédiatement fin à son élan meurtrier. Toujours suspendu sur le torse de la chimère, le sabre encore enfoncé dans le cœur de la monstruosité, Edward s'appuya sur le torse de sa victime à l'aide de son pied et s'en extirpa. De nouveau, dès lors que le sabre fut ôté de la blessure, une giclée de sang vint s'ajouter à l'eau des environs désormais écarlate. Après que le monstre ait émis un intense gémissement, celui-ci s'effondra à même l'eau, la dépouille flottant alors dans son propre liquide corporel. S'il en avait eu le temps et les compétences, Edward aurait apprécié représenter la beauté de la scène sur une toile, souvenir de sa première rencontre, germe d'une longue aventure ! Sans perdre plus de temps, le jeune pirate reprit la mer. En attendant, malgré les événements, le protagoniste principal avait toujours faim, rien n'avait changé.
« C'est bien beau tout ça mais, en fait j'ai oublié de récupérer le poisson bizarre... Baaakaaaaa³ ! » s'exclama alors Edward, dont le cri s'éparpilla jusqu'à l'horizon en quelques échos.
C'est ainsi que d'une manière semblable au commencement de cette histoire, le jeune blond se remit à la pêche dans l'espoir cette fois-ci, d'avoir quelque chose à manger avant la tombée de la nuit.
¹/ Peut se traduire par : "Et merde..."
²/ Ici, Edward énonce le nom de son attaque.
³/ Peut se traduire par "Idiot".
« Kuso¹... J'ai la dalle ! Si j'avais su, j'aurais pas bouffé comme ça ! » s'exclama le futur pirate, conscient de ne pas avoir pour le moment les habitudes d'un marin, les yeux rivés sur le fil de la canne à pêche dans l'attente de voir celui-ci s'agiter.
Les faits étaient ainsi : Edward avait jusqu'à maintenant consacré son enfance et sa vie à l'étude des fleurs ainsi qu'à l'art du sabre, ne se focalisant que sur ça. Aujourd'hui, alors qu'il éprouvait le besoin de diversifier son activité, il se retrouvait dans l'incapacité de le faire aussi bien qu'il le souhaitait. Pêcher, ça n'était vraiment pas son truc. Certes, il avait peut-être à de rares occasions, observé son père le faire mais même avec ça, les connaissances du blond ne se limitaient qu'au vocabulaire « hameçon, ligne, appât et poisson ». Vous l'aurez donc compris, niveau pêche, notre protagoniste n'est pas une flèche. C'est dans cet état d'incapacité sérieuse qu'un élément attira l'attention d'Edward, ôtant de son visage l'expression blasée qu'il revêtait jusqu'à maintenant. Difficile de rater l'élément en question puisque parmi l'étendue d'or bleu qui se défilait jusqu'à l'horizon, cet élément paraissait plutôt hors-contexte. La raison pour laquelle notre héros restait fixé à sa présence était simple : L'élément en question s'avérait selon toute rationalité être une fleur, une magnifique fleur teintée d'azur. Étonnamment, une bien étrange conversation suivit la découverte, comme quoi il était dans l'intérêt de Edward de se nourrir, vite.
« Qu'est-ce que tu fais là, toi ? Je connais de nombreuses fleurs aquatiques, mais logiquement elles sont sous l'eau, justement. Tu t'es perdu ? » Questionna le jeune blond, d'un air curieusement sérieux.
Il va sans dire que naturellement il n'eut pas de réponse et resta ainsi, seul face à cet objet de convoitise. Heureusement, notre protagoniste favori n'était en réalité pas si fou que ça, ne faisant que blaguer avec soit-même pour faire passer le temps, finalement. Bien décidé de porter à cette curieuse fleur une analyse approfondie, Edward tendit le bras en se penchant un maximum hors du bateau afin d'attraper l'objet désiré. Cependant, d'une manière plutôt curieuse, la fleur s'éloigna à l'approche sa main, comme si elle exprimait une volonté propre, un refus de se retrouver en possession du blond. Naturellement, Edward ne resta pas sans réaction face à une telle désinvolture et en accord sa nature obstinée, répéta ce geste plusieurs fois, sans succès malheureusement.
« Primo, t'es une fleur inconnue au bataillon, ce qui est plutôt rare. Deusio, t'as rien à foutre en plein milieu de l'océan et tertio, tu t'éloignes constamment quand j'veux te chopper... Cette petite réflexion me pousse à la conclusion suivante : Soit ton existence n'a d'autre but que l'emmerdement de ma personne, soit t'es pas une fleur... Sur cette agréable touche de poésie et un rictus bien affiché, Edward empoigna son katana, prêt à le dégainer. Alors je te pose la question... T'es quoi ? » interrogea le jeune homme, conscient qu'il n'aurait pas de réponse.
En effet, cette question n'avait pas pour but d'obtenir une quelconque réponse, par cette interrogation Edward n'attendait qu'une chose : Un réaction de la part de ce qui se trouvait devant lui. Et il fut comblé, une ombre venue des profondeurs semblait se diriger vers la surface, assombrissant l'eau troublée qui se mouvait tout autour de la « fleur ». Une fraction de seconde après cela, la « chose » remontait à la surface, révélant ainsi quelque chose de plutôt inhabituel. Le spectacle, bien que plutôt effrayant, apporta une touche de surprise et d'incompréhension à notre protagoniste affamé. La bête, si l'on pouvait réellement la nommer ainsi, s'avérait être un curieux monstre marin, une étonnante chimère dont on pourrait croire l'existence tout droit sortie du célèbre roman de Mary Shelley. Derrière cette forme surprenante se dessinait des pattes palmées, un corps d'aigle ainsi que pour couronner la laideur de l'ensemble, une tête d'alligator. Avec un peu de recul, Edward ne savait plus s'il devait rire, pleurer ou revêtir un air effrayé mais au final, il ressentait plutôt un zeste de pitié pour cet être. Au contraire, au vu du cri étourdissant dont elle venait de faire l'usage, l'étrangeté en question ne semblait pas se déranger de telles inepties, son regard trahissait plutôt son ambition meurtrière. D'un mouvement sec, la chose abattit l'un de ses membres palmés en direction du blond, manquant de peu la destruction immédiate de l'embarcation mais la secouant de manière plutôt dangereuse. Avec une certaine difficulté cependant, Edward parvint à garder l'équilibre et évita la chute à l'eau qui, au vu de la situation, n'était pas la solution la plus adaptée. Toujours le rictus profondément ancré sur ses lèvres, le jeune homme en profita même pour ajouter une seconde touche d'humour à la situation.
« Hum... Remarque, tu tombes bien. J'avais justement plus rien à bouffer, Itadakimasu ! »
Le jeune homme avait enseigné des années durant les mécanismes même de l'art du sabre. Pendant son apprentissage, deux principales écoles avaient été apprises et perfectionnées : D'une part, le Kenjutsu, se définissant par l'utilisation du sabre déjà sorti du fourreau. D'autre part, il y avait le IaïJutsu : À l'inverse du Kenjutsu, cet art consistait en l'art de dégainer et couper en un seul mouvement. Bien qu'il avait appris les deux écoles, Edward avait spécialisé son style de combat sur le IaïJutsu, privilégiant la surprise et la vitesse dans l'exécution de ses coups, faisant de lui l'adversaire privilégié des combattants ayant tendance à sous-estimer leurs adversaires. Par chance, le cas présent coïncidait fortement avec cette vision des choses, comme quoi le jeune blond n'a pas rencontré dans ce début d'aventure que des problèmes. Sans se soucier de la mâchoire grande ouverte de l'atrocité, qui dévoilait des dents suffisamment aiguisées pour déchirer la chair comme de la barbe à papa, Edward surgit tel un jaguar devant la bête, dégainant son katana d'un coup sec et tranchant le torse de la cible en diagonale « Première voie du Iaï, Fuiuchi² ! ». Malheureusement, bien que l'attaque fut portée avec réussite, l'effet ne fut pas celui escompté. Certes, la blessure était profonde mais pas suffisamment pour tuer le monstre avec cet unique coup. Le sang de la chimère se libérait avec aisance de son enveloppe corporelle, provoquant en elle une colère encore plus intense qu'elle ne l'était déjà. L'esprit embué par l'idée de vengeance, le monstre s'apprêtait à se ruer vers le jeune homme pour le mettre entre ses dents lorsque soudain, un sabre vint d'une manière absolument inattendue s'enfoncer dans son organe vital, mettant immédiatement fin à son élan meurtrier. Toujours suspendu sur le torse de la chimère, le sabre encore enfoncé dans le cœur de la monstruosité, Edward s'appuya sur le torse de sa victime à l'aide de son pied et s'en extirpa. De nouveau, dès lors que le sabre fut ôté de la blessure, une giclée de sang vint s'ajouter à l'eau des environs désormais écarlate. Après que le monstre ait émis un intense gémissement, celui-ci s'effondra à même l'eau, la dépouille flottant alors dans son propre liquide corporel. S'il en avait eu le temps et les compétences, Edward aurait apprécié représenter la beauté de la scène sur une toile, souvenir de sa première rencontre, germe d'une longue aventure ! Sans perdre plus de temps, le jeune pirate reprit la mer. En attendant, malgré les événements, le protagoniste principal avait toujours faim, rien n'avait changé.
« C'est bien beau tout ça mais, en fait j'ai oublié de récupérer le poisson bizarre... Baaakaaaaa³ ! » s'exclama alors Edward, dont le cri s'éparpilla jusqu'à l'horizon en quelques échos.
C'est ainsi que d'une manière semblable au commencement de cette histoire, le jeune blond se remit à la pêche dans l'espoir cette fois-ci, d'avoir quelque chose à manger avant la tombée de la nuit.
¹/ Peut se traduire par : "Et merde..."
²/ Ici, Edward énonce le nom de son attaque.
³/ Peut se traduire par "Idiot".
- "~ Informations IRL":
- Prénom : Kevin
Age : 18 ans, l'âge de pouvoir boire jusqu'à très tard comme un couard o/
Aime : Naturellement je suis plutôt un geek donc tout ce qui touche de prêt ou de loin à l'informatique (surtout le graphisme et un peu de codage web, les bases), le RP, la lecture, la musique (adoration pour le piano, le violon et la guitare) etc etc...
N'aime pas : Qu'on m'emmerde \o/ En version un peu plus sérieuse, j'aime pas les pâtes pas cuites, qu'on essaie de me soutirer des réponses en DS (ouais j'suis un crevard, je l'ai jamais nié) et trop de choses pour pouvoir toutes les énumérer
Personnage préféré de One Piece : Sans hésiter.... Aucune idée. J'adore Zoro, mais Luffy est sympathique aussi
Caractère : Hum... Quelques adjectifs pour me décrire => Chiant, impatient, mou, pas très futé (ou pas), gourmand, franc, exigeant (en fait non, c'était juste pour la rime), curieux, serviable, soumis (se pend) et bien d'autres
Fais du RP depuis : 2006 sur un fo' de kikoo (j'avais 12/13 ans en même temps), j'ai commencé sérieusement à partir de 2007.
Disponibilité : Par semaine, je suis dispo' normalement 7j/7, mais comme je vais entrer en période d'examens (Bac oblige), mes disponibilités s'adapteront en fonction de ça.
Comment avez vous connu le forum ? Via un top-site.
Dernière édition par Edward W. Flower le Sam 5 Mai 2012 - 21:24, édité 31 fois