« EN AVANT, LES GUNS ! ON A UNE MONTAGNE A FAIRE PLIER ! »
Les vagues qui se brisaient sur la coque du navire n’ébranlaient en rien la combattivité de l’équipage. Chacun s’affairait pour passer le cap de Reverse et arriver sur Grand Line sain et sauf. L’ombre du fruit du démon avait beau planer sur les têtes des pirates, Unwin ne pouvait s’empêcher de sourire devant la montagne. Après vingt ans, enfin il avait réuni un équipage suffisant pour gagner la route de tous les périls, la route de la gloire : Grand Line.
« James, Shashô, à la barre ! Et que ce putain de narcoleptique ne s’endorme pas ! »
La voix puissante d’Unwin retentissait partout sur le bateau, distribuant les ordres et les consignes pour se tirer de là. Le sang froid dont il faisait preuve lui permettait de réagir vite et bien aux dangers qui se présentaient sur Reverse.
« Ivan, tu me lâches tes conneries de sculptures et tu te tiens prêt à colmater la moindre fissure ! »
Le charpentier acquiesça et mit la sirène qu’il était en train de façonner au fond de sa poche.
« Emiko, Torpedo, aidez ceux qui ont besoin de vous ! Archibald, tiens-toi prêt à soigner les blessés, et si tu prononces le mot amputation, je t’arrache ta putain de langue ! »
Disciplinés, les trois P8 rejoignirent leurs postes. Vail distribua enfin les derniers ordres pour les pirates qui restaient et rejoignit James et Shashô afin de gérer le mécanisme de navigation. Le capitaine n’était peut-être pas navigateur, mais ce bateau, cela faisait vingt ans qu’il le manœuvrait. S’il y avait une personne ici capable d’interpréter la moindre secousse dans la coque, c’était lui.
« Comment ça se présente ? »
Ignorant le violent coup de pied de James à Shashô pour réveiller ce dernier, Unwin se plaça derrière le mécanisme de navigation tout en interrogeant les P8 déjà présents.
« Pas mal, cap’taine. Nos probabilités d’arriver saufs sur Grand Line sont supérieures à la moyenne si on continue comme ça. Par contre, le pourcentage de mecs entiers à l’arrivée risque de pas être de 100%. Y’aura ptètre pas de morts, mais des blessés, c’est sûr. »
Vail accueillit le pronostic d’un signe de tête et reporta son attention sur la mer qui les conduisait toujours plus haut. Bientôt, les Guns pourraient tutoyer les nuages. Y’avait-il un océan dans le ciel ?
Les vagues qui se brisaient sur la coque du navire n’ébranlaient en rien la combattivité de l’équipage. Chacun s’affairait pour passer le cap de Reverse et arriver sur Grand Line sain et sauf. L’ombre du fruit du démon avait beau planer sur les têtes des pirates, Unwin ne pouvait s’empêcher de sourire devant la montagne. Après vingt ans, enfin il avait réuni un équipage suffisant pour gagner la route de tous les périls, la route de la gloire : Grand Line.
« James, Shashô, à la barre ! Et que ce putain de narcoleptique ne s’endorme pas ! »
La voix puissante d’Unwin retentissait partout sur le bateau, distribuant les ordres et les consignes pour se tirer de là. Le sang froid dont il faisait preuve lui permettait de réagir vite et bien aux dangers qui se présentaient sur Reverse.
« Ivan, tu me lâches tes conneries de sculptures et tu te tiens prêt à colmater la moindre fissure ! »
Le charpentier acquiesça et mit la sirène qu’il était en train de façonner au fond de sa poche.
« Emiko, Torpedo, aidez ceux qui ont besoin de vous ! Archibald, tiens-toi prêt à soigner les blessés, et si tu prononces le mot amputation, je t’arrache ta putain de langue ! »
Disciplinés, les trois P8 rejoignirent leurs postes. Vail distribua enfin les derniers ordres pour les pirates qui restaient et rejoignit James et Shashô afin de gérer le mécanisme de navigation. Le capitaine n’était peut-être pas navigateur, mais ce bateau, cela faisait vingt ans qu’il le manœuvrait. S’il y avait une personne ici capable d’interpréter la moindre secousse dans la coque, c’était lui.
« Comment ça se présente ? »
Ignorant le violent coup de pied de James à Shashô pour réveiller ce dernier, Unwin se plaça derrière le mécanisme de navigation tout en interrogeant les P8 déjà présents.
« Pas mal, cap’taine. Nos probabilités d’arriver saufs sur Grand Line sont supérieures à la moyenne si on continue comme ça. Par contre, le pourcentage de mecs entiers à l’arrivée risque de pas être de 100%. Y’aura ptètre pas de morts, mais des blessés, c’est sûr. »
Vail accueillit le pronostic d’un signe de tête et reporta son attention sur la mer qui les conduisait toujours plus haut. Bientôt, les Guns pourraient tutoyer les nuages. Y’avait-il un océan dans le ciel ?
Au besoin : Fiche des P8