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[L'île des écumes azures] Vous allez entendre parler de nous - Chapitre n°2 Des recherches à deux, c'est mieux

Jeu: Gouvernante

Précédemment

08h00

- Mademoiselle White!!

Hrnf, un réveil un peu lourd tout ça... C'était déjà l'heure? Cela faisait un moment que je n'avais pas joué la femme de ménage. Moi qui justement avais plus l'habitude d'en avoir une...

Quoi qu'il en soit, je me dépêcha de mettre ma tenu et voir celui qui s'occupait de moi. Je descendis à la hâte les escaliers grinçants à chaque marches et je me dirigea vers le petit salon de l'étage. On m'avait mis une ridicule chambre près des combles. Question confort, ce n'était pas le luxe là-haut. J'ouvris donc la double porte en verre et je me présentai à Charles. C'était lui qui était chargé de mon confier certaine tâche.

- Ah, te voilà enfin! J'ai faillis attendre. Pour une seconde journée, tu commences mal. Mais vu que tu avait fait du bon boulot hier, je ne vas rien te dire et je ne suis pas là pour te parler de ça.

Il continua de m'indiquer les instructions avec un ton qui avait un peu adoucie. Je pense qu'il devait bien m'aimer. J'avais remarquée la vielle que la plupart des personnes masculines m'appréciaient. Certain pour le travail, mais d'autres j'imagine plus pour ma beauté...

- Il y a un hommes dans le hall, près du piano. Vas-donc t'en occuper. Les autres gouvernantes ainsi que le personnel sont déjà fort débordé.

- Bien, j'y vais tout de suite, monsieur.

Sans plus attendre une seule seconde, je fis volte-face et je courrai dans le couloir. Je descendis à nouveau des escaliers, mais fait en marbre avec un élégant tapis, cette fois. En voyant l'hôte en bas, je freinai mon allure pour adapter à une démarche plus soutenue. Plus je m'apprcohais, plus j'avais l'étrange impression d'avoir déjà vu cet homme. Mais? Cette mallette! Ces cheveux bruns! C'était donc lui? Ohohoh.

J'arrivais alors près de lui, je le reconnaissais très bien. C'était le mec qui me suivait hier. Alors comme ça il avait su où j'étais. Cela pouvait certainement dire qu'il était du Cipher Pol et qu'il m'espionnait. Il faudra donc que je fasse très attention. Je l'invitai à me suivre.

- Bien je bonjour, monsieur. Veuillez m'accompagner jusqu'à la chambre d'hôte, s'il vous plait.


Dernière édition par Aoi D. Nakajima le Mer 31 Oct 2012 - 22:05, édité 5 fois
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A travers les rideaux, les rayons de l'astre jaune passent avec aisance et se propagent dans la pièce comme de la gangrène. Le réveil se fait progressivement pour l'infiltré. Bien évidemment, on ne réveille pas les gens à coup de cloche lorsqu'on paye le prix fort pour passer une nuit dans un bon lit. Mais l'heure n'est pas au repos. Ses paupières se soulèvent doucement. Une fois grandes ouvertes. Il sort du côté droit, les pieds directement dans ses chaussons. Douche. Lavage de dents. Costard. Chapeau. Clope ? Clope. C'est parti, il faut étudier le terrain. Il descend les escaliers. Attaché-case à la main. Il est fin près. Le flingue est bien là, sous la veste, au cas ou. La boite de coton aussi, pour étouffer le bruit. C'est bon. C'est parfait. Le bâtiment est rectangulaire et englobe une place au centre, où sera exposé dans la soirée le dit diamant. Bien sur, nul se doute que c'est un faux. De quoi induire en erreur bien des voleurs.

Noriyaki arrive à la cafette. De nombreuses femmes, toutes aussi élégantes les unes que les autres. Traditions oblige, il ôte son chapeau et affiche un sourire dragueur. Il prend un journal et s'assoit à une table. Ouvrons le. L'expo' du diamant fait les grands titres. Nombres seront ceux qui voudront s'en emparer, et ils seront tués, ou pire.

_Hum.

Le Dandy abaisse son papier et voit apparaître une dame massive dont le cou semble avoir complétement disparu de la circulation. Ses boulets coulent sur la table comme de l'eau, ils se propagent à vitesse grand V. Que veut elle ?

_Oui ? Que puis je pour vous ?

_Non, qu'est ce que moi je puis pour vous, cher monsieur.


Ajouté à cela un clin d’œil et c'est le parfait plan malsain d'une femme mal entretenue à cause de son sex-appeal inexistant. Cette femme veut Satoshi Noriyaki dans son lit.

_Oh mon dieu Sandy, tu as intérêt à me dire qu'un médecin t'as accidentellement frappé le visage à l'aide d'une batte de baseball à ta naissance, ce qui t'as endommagé le nerf de ta paupière, parce que tu viens de me faire un clin d’œil !

_Non ça c'est juste...

Finalement, le clin d’œil est juste un ordre du patron pour obliger les clients à débourser plus d'argent dans les boissons et nourriture. Elle a du mal interpréter les dires de son supérieur qui devait surement s'adresser aux femmes dont les courbes son généreuses. C'est gênant pour lui. Il vient d'essayer de lire dans les pensées de la femme et cela fut couronné d'échec. Encore heureux qu'il l'ait chuchoté.

_Eh bien. C'était un clin d’œil tout de même. Mais je voudrais bien un café.

Le café vient. Le café est à la température parfaite. Le café est bu. Y a pu qu'à. Noriyaki se lève et se dirige vers sa chambre. Il est temps d'étudier le terrain. Il doit bien avoir certaines pièces donnant vue sur la place. Arrivé dans le hall d'entrée, quelqu'un semble l'observer en haut des premières marches. Air de déjà vu. Oui. C'est cette femme, mais en tenue de corvée. Nouveau job ?

_Bien je bonjour, monsieur. Veuillez m'accompagner jusqu'à la chambre d'hote, s'il vous plait.


_Oh mais avec plaisir, rien de mieux qu'une visite guidée.

Finalement, ce sera pour plus tard les chambres.





Dernière édition par Satoshi Noriyaki le Sam 2 Juin 2012 - 22:10, édité 3 fois
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On arriva au bout de quelques couloirs et pièces dans un petit salon. Je fis installer l'hôte dans de canapés forts confortables. Ça donnait presque envie de faire l'amour. Mais bon, j'étais encore perplexe le fait qu'il soit là. Tout en ouvrant l'armoire où était rangé les alcools, je le surveillais. Je proposais un verre le temps de trouver quoi faire. Je ne voulais même pas qu'il rencontre le propriétaire même s'il n'était pas fort occupé. Non, je ne voulais pas me coller dans les pattes un membre du Cipher Pol ou que savais-je.

*Hmm, je pense que cela devra être à son gout, si je me souviens bien de ce qu'il avait pris hier Enfin, si ça se trouve, il avait consommé autre chose.*

- Whisky?

Il esquissa d'un signe de tête son approbation. Une fois le verre et la bouteille en main, je me dirigeais vers lui. Je posai alors la vaisselle sur la table base. Je le laissai savourer. On avait tout notre temps. Enfin, "on" surtout lui. Pendant ce temps-là, je préférais l'ignorer, car je cherchais un moyen pour masquer sa subite disparition. Oui, j'avais bel et bien l'attention de l’assommer et de le planquer quelque part, mais où? Quoique, à part mon supérieur, nul était au courant. Remarque, j'avais aussi la possibilité de le tuer maintenant et comme ça l'histoire sera vite réglée. Seulement, gardait pour l’interroger ultérieurement n'était pas un crime.

- J'aurais besoin de votre nom et prénom, ainsi que l'objet de votre visite. Avez-vous pris un rendez-vous avec Monsieur Léonard? De cette manière, je pourrais aller l'annoncer et comme ça, votre attente pourra être moins longue.

Il était vrai qu'il devait certainement rien à faire des modalités habituelles, tant normal moi non plus, mais vu que j'avais affaire à un type qui avait tendance à m’espionner, j'aurais peut-être la possibilité de connaitre son identité. Seulement, je n'avais pas de sérum de vérité pour vérifier... Diantre!

Je ne montrais pas ma nervosité. Je gardais tout sur moi. Après toute, je suis comédienne! Je me dirigeai vers une commode et prit un chandelier. Cela devait au moins faire 5 à 10min que j'étais dans la pièce avec lui, les autres pouvaient se demander ce que je foutais. L'objet que je tenais fermement dans la main, venait d'un meuble qui lui était de dos. De cette manière, je me glissai dernier lui et je frappai un grand coup sur la nuque. Un bruit sourd indiqua son état d'endormissement.

Ça y était, je ne devais pas perdre du temps supplémentaire. J'ouvris la porte pour vérifier qu'on n'avait rien entendu et surtout que la voie était libre. Par chance, il y avait un débarra pas loin. Je traînais le corps jusqu'à la dite salle.

Une fois débarrassée de cet intrus, je regagnai très vite à mon devoir. Avec cette perte de temps, je risquais d'avoir de gros ennuies...
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BAM


Pas de sang qui gicle, non, sinon ça aurait fait splash, mais un bon vieux coup sur la tronche avec un son bien viril pour englober le tout. Faites perdre dix minutes à quelqu'un si vous le voulez, mais si c'est pour l’assommer au bout de tout ce temps... Enfin, c'est venu comme ça, sans prévenir, dans la nuque. Après un interrogatoire plus que soporifique, auquel Satoshi ne répondis pas franchement, il faut le dire, néanmoins il remarqua une chose avant de tomber dans les vapes. Elle a les mêmes formes que la fille suivit précédemment dans les rues de la ville. Dès lors, tout devint presque clair, mais tout sortit de la tête de notre brave Gentleman lorsque le coup d'on-ne-sait-quoi frappa sa nuque.

Une bonne heure passe. Noriyaki commence à refaire surface en douceur. Une vue floutée pour commencer, un atroce mal de dos couplé à cela, et enfin, la sensation d'avoir un bâton qui lui caresse la raie. Pire, ce n'est pas un bâton. ( vous imaginez quoi, là ? ) C'est un balais. La femme de ménage l'avait vraisemblablement enfermé dans le local où elle range ses outils de travail, en admettant qu'elle travaille vraiment ici.

Si la théorie du Dandy est correcte, la femme l'aurait assommé pour l'écarter de son terrain de jeu, une chose qu'il a souvent fait, excepté il y a quelques mois lors de l'assassinat du gros tas, où il collabora avec "Corbeau", un agent plus que compétant qui l'avait beaucoup aidé à atteindre sa cible. Cette fois, cela pourrait être différent. Cette femme l'a attaqué de suite, sans poser de question, sans chercher à savoir, sans chercher à avoir des preuves. Satoshi aurait pu être un marin, un agent du gouvernement, quelqu'un qui chercherait à la coincer, en l'attaquant de dos alors qu'elle était la seule présente dans la salle fut une erreur, espérons qu'elle ne la reproduira plus.

Quoiqu'un peu pas douée sur les bords et assez stressée, cette fille pourrait faire des ravages, non seulement en utilisant ses formes délicieuses, dont ses jambes qui ne demande qu'à être croquées... Et sa chevelure... Enfin bref. Il faut qu'elle s'explique clairement avec Satoshi.

Se relevant difficilement de sa position assez... Etrange, il sort du placard à balais en retombant sur le sol puis se relève et réajuste son costume. Mh. Maintenant il fallait qu'il la trouve. Satoshi se dirige donc vers le bureau du gars qui gère le bâtiment.


Dernière édition par Satoshi Noriyaki le Lun 20 Aoû 2012 - 14:30, édité 1 fois
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Pff, bonne ou mauvaise journée? De toute manière, j'avais bien crue que cette matinée m'était une éternité! De plus, pendant un moment, j'avais perdue ma notion du temps. Quoi qu'il en était, je me lassai vite de mon travail. C'était une grossière erreur de m'être engagée ici en tant que boniche!! Ces mes gosses et mademoiselle Rose, ma gouvernante qui se moqueraient de moi! Je ne trouvais plus d'informations utiles, à croire qu'ils avaient volatilisés. Sans parler du jeune homme de ce matin...

Dans la pièce o je me situais il n'y avait personne. Je posais mon plumeau en plan sur une table en bois, ainsi que mes autres affaires pour le ménage. J'avais terminée de toute façon. Ils n'avaient plus besoin de moi. Je devais juste faire un saut dans ma chambre avant de m’envoler. Je fis attention qu'aucun individu se pointaient en même temps que moi dans le couloir et je me précipitai dans les escaliers jusqu'à regagner l'étage supérieur. Une fois en haut, je continuai doucement vers la chambre où je couchais. J'entendais une discussion dans le bureau de mon chef.

- Oui bien sûr, montez à l'étage, au fond du couloir. Mais à cette heure-ci elle devrais être en train de travailler...

*Eh merde...*

Je me hâtai de poursuive ma route aussi calmement que possible. Je fis attention de ne pas relevé ma présence près de son bureau. On pourrait me dire que je l'espionne... J'arrivais enfin dans ma petite chambre. Je remballais à la va-vite mes affaires quand la porte vibra. Et merde!!!

Toc Toc Toc!!

Je respirai un bon coup, l'air découragée. Je savais que j'avais pas trente-six-miles solutions. Je me dirigeai vers l'ouverture à grand pas, mais avec une sorte de dégoût. J'étais prête à taper s'il le fallait.

- Toi??!

Je vis le mec de tout à l'heure qui entrait, l'air chaleureux. Je m'attendais pas à lui. Sa présence me déstabilisa, voir me paralysait d’angoisse. Diantre! Seulement, il me faisait signe de me taire et de l'écouter. Il voulait à tout prix qu'on se parle, qu'on mettait les points sur les "i".


Dernière édition par Aoi D. Nakajima le Dim 22 Juil 2012 - 13:17, édité 1 fois
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Sur sa route, il avait pu repérer bon nombre de femmes portant des bijoux de grande valeur. Il aurait pu décider de faire une pierre deux coups, mais rester une nuit de plus après avoir volé, ou tenter de voler, un diamant exposé devant des centaines d'aristocrates et de nobles, ne serait pas raisonnable. C'était donc en essayant de résister à la tentation de poser la main sur toutes ces babioles de grandes valeur qu'il se dirige vers le bureau de l'organisateur. Maintenant devant la porte du dit bureau, il toque, puis entre, rajuste son costume et s'exprime.

« Monsieur, excusez moi de vous déranger, mais une rumeur circule comme quoi le diamant que vous allez nous montrer est un fa*

« Taisez vous né ! Evidemment que c'est vrai né ! Le vrai diamant est caché dans les sous sols né ! Vous me prenez pour qui né ?! »

« Excusez moi si je vous ai paru irrespectueux, monsieur, mais ne pensez vous pas que si vous mettez un terme à cette rumeur, beaucoup de gens viendront, comptant voir un véritable chef d'oeuvre ? »

« C'est vrai né, mais il faudrait leur mentir né... »

Au début de la conversation, Satoshi pense vraiment que celui ci se fiche de lui, qu'il se paye sa tête, mais au fil des phrases, il remarque que ce n'est pas voulu, c'est un toc, il ne peut le contrôler. Sa manie à dire "né" en fin de phrase. Étouffant un rire en simulant un éternuement, il reprend ses esprits puis enchaîne, il est maintenant sur que le diamant est un faux, et que l'autre est caché, néanmoins, en le convainquant de dire que c'est un vrai, il gagnera des clients, mais en plus, il perdra en voleurs.

« Oui, mais les meilleurs organisateurs sont prêt à tout pour avoir des clients, et ainsi gagner de l'argent. Sinon, ils auraient fait bénévole, vous êtes un homme d'affaire, et il faut prôner l'oseille à tout le reste. »

« Pourquoi vous avez dit ner né ? Vous vous fichez de moi né ? Hein né ? »

« Non, je vous aide. »

« Alors fermez votre bouche né, et sortez né, là vous m'aiderez né. »

« ... »

Au même moment, la porte s'ouvre, une femme entre, une femme de ménage. Une autre femme de ménage. Non celle qui avait quelques temps auparavant assommé le Gentleman, pour ensuite le coincer dans un placard à balais.

D'ailleurs, en pensant à ce placard, ils se dandine, frissonnant de dégoût. Mais il ne lui en veut pas. Après tout il ne veut que lui parler. D'ailleurs, elle n'est pas prudente. Il aurait pu être un marine, mais ça, ce sont les erreurs de débutants trop confiants rattrapés par les évènements. Mais il remarque quelque chose chez l'homme. La touffe qu'il porte est une perruque. Et sur son poignet, on peut lire un sigle gravé au fer, celui là même de l'équipage de Grasgow, terrible pirate anciennement très réputé sur North Blue. Sanguinaire, sans pitié, il vidait le sang de ses victimes en les pendant à l'envers puis en leur coupant la tête, pour enfin les jeter à la mer, mais tout le monde le dit disparu. Quelque chose d'étrange se déroule ici, l'Avare n'a plus le vent en poupe. Les choses allaient être plus compliquées, si l'organisateur est un usurpateur. La femme de ménage entrée précédemment demande une chose étrange et intéressante à l'organisateur. Enfin, au faux organisateur.

« Je ne trouve pas la nouvelle femme, monsieur, sauriez pas où qu'elle est ? »

« Oui bien sûr, montez à l'étage, au fond du couloir. Mais à cette heure-ci elle devrais être en train de travailler né... »

La nouvelle, surement celle qui l'avait assomé. Il faut en avoir le coeur net. Sortant en suivant la femme de ménage, il la prend en filature jusqu'à la dite chambre, puis l'interpelle.

« Mademoiselle, il semblerait que quelqu'un vous demande, en bas ! »

Puis elle file, et un boulevard s'offre jusqu'à la porte de la dite chambre. Cette fois, il faut pactiser. Il frappe. Elle ouvre. A la vue du Dandy, la dite femme laisse échapper une exclamation interrogative assez mal venue tout de même. Avec un air de dégoût, de mépris, quelque chose qui n'est pas plaisant, mais qui est très caractéristique des femmes autoritaires. Attrapant son bras, rentrant sans demander et fermant la porte à clé, Satoshi lui explique tout.

« Le diamant qui va être montré sera un vrai, l'organisateur est un pirate, peut être même capitaine, il est dangereux et risque de tuer tous les clients. Il volera le diamant et récupérera la recette des entrées. Je sais que tu me suis, je sais que tu n'es pas comme les autres, je sais aussi que tu veux ce diamant, alors pourquoi ne pas faire équipe, puisqu'il est évident que chacun de son côté, nous n'arriveront à rien ? »
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- L'organisateur? Monsieur Timothée King? Ahahah, tu as un train d'en retard, jeune homme. Je le savais déjà et je le laissais faire pour m'en prendre qu'à lui une fois qu'il aurait prit le bijoux et l'argent.

Je pris une petite pause. Quelque part, je me dévoilais peu à peu.

Bon, je t'avais surestimée, mais visiblement, tu n'as pas l'air de savoir grand chose. Et puisque je n'y perds rien à ton marché, savais-tu au moins que l'endroit où aura lieux l'exposition avait changé au dernier moment?

Pendant que le Dandy s'était assis sur un fauteuil à m'écouter, je me changeai. J'avais changée mon fusil d'épaule rapidement, car je pouvais être sûr de qui j'avais affaire, maintenant. "L'erreur est humain".

Toujours en face de mon interlocuteur, j’ôtai mon haut de travail sans prendre la peine de me retourner, non pas d'avoir peur d'une éventuelle attaque de sa part, mais tout simplement que je n'étais pas pudique. Alors que notre débat semblait se tourner vers une sorte de pacte, je lui révéla une dernière information utile qui pouvais être curial.

En fait, l'équipage qui répondait au nom de Grasgow, n'avait pas disparu véritablement. Leur navire se trouve dans une très grande grotte qui débouche dans une crique de l'île. De plus, la cave de la maison et cette captivité est relié par un réseau de galerie souterrain. Un vrai labyrinthe.

J'enfilais un soutient-gorge blanc autour de ma poitrine. Ensuite, je rentrai dans une magnifique robe de soirée toute rouge. Même si je m'y prenais à l'avance, je préférais être prête au moment venu. Je demandai au Gentleman de fermer mon vêtement au dos. Laissant ma longue chevelure d'argent reposais sur ma chute des reins, cela allait me mettre en valeur. Je me trouvais particulièrement belle.

J'expliquai à mon nouvel ami que j'attendais une personne avant de partir d'ici. Au bout de quelque instant mon fidèle corbeau arriva enfin en toquant de son bec la vitre de ma fenêtre. Je lui accrochai un mot à sa patte et il s'envola sous des croassements répétés. Maintenant, que l'homme d'affaire et moi nous nous ayons tout dit pratiquement, on pouvait partir à notre tour. Je pris mes derniers effets personnels qui invitai le beau brun de me suivre. En refermant la porte, je lui demandai son nom en échange du mien.
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Heaven holds a place for those who pray

Elle semble être apte à donner des informations au Dandy, sans pour autant se soucier de son identité. Ne sachant pas si c'est un des pirates de celui dont il vient de dévoiler les origines, elle lui confie des choses. Des choses qui, à certains moments, relèvent sans doute du bluff. Lui dire qu'elle l'avait surestimer en affirmant quelque chose qu'il vient de lui dévoiler n'est pas très impressionnant. N'importe qui serait capable de mentir pour s'en sortir et gagner dans l'estime d'autrui. Mais quelques phrases plus tard, elle change la donne en affirmant des choses qui n'ont pas été dites. Des choses pour le moins importante, comme le nom de l'équipage auquel appartient l'organisateur, déduit du fait de son tatouage. Tout cela indique qu'elle le savait vraiment, qu'elle ne bluff pas, et qu'elle est sans doute très forte, à moins qu'il n'existe quelque part en ce bas monde un fruit démoniaque donnant la capacité de lire dans les pensées, ou de voir le passé des gens.

Révélations après révélations, une étrange sensation naît dans l'esprit du Gentleman. Un doute. Comment sait elle cela ? Qui lui a dit ? Qui a-t-elle suivie ? Doute qui après la révélation du lieu où se trouve le navire des Grasgow, se transforme en soupçons. La probabilité qu'elle fasse partie de l'équipage et qu'elle tente d'éliminer les gêneurs est trop grande, le risque de se faire rouler en continuant de l'écouter alors qu'elle vient de charger son fusil d'épaule n'en vaut pas la peine. Assis dans un fauteuil dans le coin de la pièce, réfléchissant aux diverses options qui s'offrent à lui, il observe la femme tout en se creusant la matière grise. Il ne trouve rien. Quand...

Elle lui demande de remonter la fermeture de sa robe. Robe qui, soit disant passant, est d'un magnifique rouge, qui va à merveille avec son teint, et sa couleur de cheveux, et son côté rebelle qui ne doit rien à personne. Il se relève, s'approche, la ferme, et se rassoit. Tout cela est fait sans sentiment, avec une froideur sans pareil. Hop, hop, hop. Il ne faut pas tomber sous le charme d'une présumée criminel.

C’est alors qu’un corbeau fait son apparition. Echange de sourire entre les deux personnages, puis, une fois le mot glissé dans l’endroit prévu à ces effets, le corbeau part.

Robe mise, corbeau renvoyé, fin prête, celle-dont-on-ne-connaît-pas-le-nom se dirige vers la porte, et, avant de la claquer pour repartir on ne sait où, elle demande son nom au Dandy. Dandy suspicieux. Dandy qui ne donnera pas son vrai nom. Dandy qui donnera le premier nom qui lui vient à l’esprit.

« Je me nomme Garkunfel. »

Mais ça, c’est ce qu’il aurait du dire. Car oui, les charmes de cette femme sont d’une rare intensité.

« Satoshi Noriyaki, pour vous servir. »

Il prend sa main, lui fait une fausse bise, sans que ses lèvres ne touchent le majeur de la dame, comme à son habitude, puis il attend un retour.
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Satoshi Noriyaki? Le légendaire Satoshi Noriyaki en personne? Oh-oh-oh-ho, c'était trop d'honneur. Maintenant qu'il m'avait révélé son identité, je pouvais faire de même sans trop de problème. Ça devenait de plus en plus intéressant, vraiment intéressant. Je lui donnerais donc mon nom de pirate, ça devait être celui qui devait certainement plus connaitre. Quoique, vu le genre de Dandy qu'il était, je pouvais largement l’imaginer dans un opéra. Si cela se trouvait, il m'avait déjà vu jouer une pièce de théâtre... Je ne pouvais qu'avoir un bon résultat avec un homme d'affaire de sa trempe... Et dire que je le prenais pour un agent du Gouvernement... Quelle sotte... Pfff!

De plus, on pouvait dire qu'il savait y faire avec le femme telle que j'étais. Il me plaisais de plus en plus. Soudain, je me mettais à penser des choses qui n'avaient rien à voir avec mon objectif ou plutôt notre objectif. Voilà que je me demandais s'il était marié et s'il avait des enfants... Je pouvais vite sombrer dans la folie avec ça. C'était presque comme quand j'avais rencontrée pour la première fois le père de mes enfants. Ce genre de comportement pouvait être dangereux. Bref, je m'éloignais du sujet...

- Rei Kimura.

Étrangement, on formait un magnifique couple. On était assortit pour aller à l'exposition. C'était parfait! Quelque part, c'était comme si on avait fait une alliance. Je projetais de lui proposer un pacte après notre affaire en commun. On était de la même catégorie, il y avait moyen pour que cela se fasse.

~~O~~


On était maintenant dans la rue. Je pouvais dire qu'on me remarquait déjà avec ce rouge vif. On se dirigeait donc vers la salle d’exposition. Je proposais à Satoshi de jouer mon mari pour que cela fasse plus crédible. On arriva enfin. Il y avait déjà une foule à l’accueil. J'en profitais alors pour briefer mon camarade de fortune pour lui expliquer quelques petites règles élémentaires pour que son jeu soit le plus naturel possible. C'était aussi l'occasion pour se préparer à toutes éventualités, car une fois à l’intérieur il faudra être sûr de notre coup. Faire machine arrière n'était plus possible... Je pris le bras de Satoshi par le coude, un peu comme les riches couples de la belle époque. C'était notre tour. Un homme au guichet nous demanda nos tickets pour pouvoir entrer. Je pensais qu'on devait payer, moi. Je ne voulais pas agir.

- Chéri, tu t'en occupe?

Je m'adressai évidemment à Satoshi. Il régla le problème et on pénétra dans la salle d'exposition. Cela ressemblait à un amphithéâtre. J'avais l'impression d'être dans mon milieu. Les articles serait entreposés dans quelques heures. À part le diamant, il avait d'autres babioles de valeur et peut-être même des tableaux et autres objets d'art. Question culture générale cela était assez intéressant. J'aimais bien ce genre d'endroit.

La première des choses qu'on fit, était d’analyser la situation. Repérer le nombre de garde et leur habitudes. Surtout, on devait savoir s'il y avait des hommes de l'équipage des Grasgows. Bref, des choses élémentaires à faire dans l'immédiat.


Dernière édition par Aoi D. Nakajima le Lun 20 Aoû 2012 - 17:32, édité 1 fois
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And here's to you...

Le couple entre. Les autres entrent. Le Dandy avait déjà pris un tiquet, mais le deuxième fut obtenu en faisant main basse dans la queue plus longue que l'appareil génital d'un Laboon adulte. Et donc plus fouillit que l'estomac grossissant secondes après seconde d'une Bonney. Mais néanmoins pratique pour profiter illégalement de cela, et pouvoir ôter le droit de voir ce magnifique diamant à un vieillard rabougri et sa jeune maîtresse, ce qui semble à peine légal. Mais il est mal placé pour parler légalité. Il faut avouer que ce n'est ni un civil, ni un marine, ni un haut dirigeant de ce gouvernement, c'est un criminel, et il ne fera jamais dans la dentelle. Lorsque quelque chose dépassera d'une poche, il y aura toujours Satoshi. Le faux couple fait enfin son entrée dans l'amphithéatre. Ouvert, circulaire, tous ceux d'une même rangée sont à équi distance de la scène. Scène où se trouvera bientôt le diamant. Scène où il demeure quelque chose à mi hauteur d'homme, couvert par une bache ornée de rubis et d'emeraude scintillantes de mille feux. Des escaliers descendent jusqu'au bas de la scène - qui surplombe le sol car monté sur estrade - tous les cinq mètres. Donc il ne faudra pas une éternité pour arriver aux escaliers en cas de fuite prématurée. De plus, le couple est posé à côté des escaliers, à mi distance sortie/estrade, pour fuir et pour se faufiler dans les loges, où se déroulera surement une bataille entre plusieurs prétendants à ce diamant. Mais il y aura aussi du monde dans les sous sols, qui auront l'idée d'aller chercher le faux, ou le vrai, et de l'échanger contre le faux, ou le vrai, placé sur l'estrade. Bien évidemment, ceux qui auront réfléchit à échanger cela vainqueront facilement ceux qui n'avaient dans l'idée que d'aller chercher celui caché, sans avoir de plan de secours ou autre, à la one again. Il n'y a donc pas besoin de se diriger vers là bas, ils viendront d'eux même. Du moins, Satoshi l'espère.

Les gens s'asseoient dans tous les recoins de la salle, arrivant en masse pour voir l'exposition et ayant payé des sommes astronomiques pour pouvoir acheter des tiquets, ou même plus pour les acheter à l'entrée. Mais le fait est que si ces gens ont payé autant, peut être que cela sera plus rentable et moins risqué que de voler le diamant, et donc peut être qu'il y aura aussi des voleurs pour piquer dans la caisse, à la source, et dans ce cas là, le public sera coincé à l'intérieur, entre une dizaine d'équipes visant à piquer tous ces beaux billets. Dans quelques heures le décor sera chaotique, les gens crieront, pleureront, ils s’entre tueront.
Mais l'heure n'est pas à cela, le présent est plus important, car ce qui suit n'est jamais une certitude, contrairement à ce qui précède, dont épiloguer sur ce qui suit n'est qu'envoyer vaciller diverses théories qui pour la plupart ne se montreront jamais vraies. En effet l'heure est aux préparatifs, aux présentations, au baratin traditionnel pour faire monter la mayonnaise. Celui qui décrit de divers adjectifs à la fois avantageux et péjoratifs pour minorer l'attente du spectateur, mais aussi pour lui montrer que c'est pas tant de la merde que ça.

« Ladies & Gentlemen, si vous êtes réunis en ce jour, en cette salle et à cette heure, c'est pour une raison bien précise, et je suppose que vous espérez tous que le prix donné soit à la hauteur de ce que nous allons vous montrer ce soir. Bien sur, jamais personne n'aurait imaginer quelqu'un payer pour voir un diamant sur une scène au milieu d'un amphithéâtre rempli de riches aristocrates et de fortunés nobles, bien que loin de la noblesse des Dragons Célestes. Bien sur vous vous apprêtez à voir le plus gros diamant que le monde ait eu l'honneur de voir. Bien sur ce qui est grand est charmant, mais n'oubliez pas qu'en grossissant peut être qu'il perdra tout ce que vous, femmes, ou vous, hommes, trouviez de mignon dans un bijou diamanté. Néanmoins son brillant étincelant et sa mise en valeur vous ferons vite oublier tous ces vilains défauts que vous lui trouverez peut être, lorsque le voile sera levé.

Pour vous faire patienter, des serveurs seront à votre disposition dans les rangs, au menu : fois gras, belluga, omar, et tout ce que vous souhaitez. Et évidemment, cela sera gratuit... La présentation commencera dans quelques minutes, merci. »

Et la salle se remet à papoter dans tous les sens, bruyants comme des enfants, tous ces mondains semble être devenu concièrge, à moins qu'ils ne jouent dans des séries bidons pour adolescentes pré-pubère en manque de personnes masculines dans leur piètre existence.

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Peu de temps avant, l'équipage des Grasgow avait préalablement creusé des tunnels dans le sous-sol. Ils avaient réalisé pas mal de galeries amenant du manoir à la salle d’exposition et de la salle d’exposition à la crique où était caché leur navire. Dans peu de temps, leur opération allait se mettre en route.

Le bâtiment possédait un toit de verres impressionnant. C'était une belle structure. On pouvait voir le squelette de l'édifice dans cette partie là. En effet, les armatures en métal étaient à l'air libre. Il fallait dire que l'apport de lumière était primordiale par ici, car depuis les murs il n'y avait peu de baie. Non pas que les techniques étaient impossibles de réaliser des fenêtres dans un mur, mais que l'architecte et le maître d'oeuvre avaient peut-être voulue innover un certain style. En tout cas, il y avait un joli puits de lumière focalisé sur le diamant.

Au finale, le diamant pouvait être juste un appât. Qui savait? À voir tous ces nobles, il y avait de quoi se faire un bon magot. Et je ne parlais pas de la caisse à l'entrée où tout le monde à du payer pour voir l'exposition. C'était une occasion de faire une pierre deux coups. Je préférais commencer par ce qui était plus facile. Mon compagnon, toujours à côté de moi, devait être informé d'un changement de programme. Je lui chuchotai comme une femme amoureuse le ferait pour lui dire des mots doux sauf que moi je lui révélai une information.

Je me tenais près d'un cratère en céramique. Il était très riche en couleur. On y voyait une représentation d'un combat épique entre deux héros. Il y avait tant de choses à voler... Mais j'étais venue principalement pour le bijoux.

- Qu'est-ce que tu penses de celui-là chéri?

On changea d'endroit. Je me déplaçais en compagnie de Satoshi vers un autre objet. Un tableau cette fois. Toutes ces pièces de collections me faisaient penser à mon tuteur quand j'étais petite. Iwao, l'homme qui m'avait pris à part possédait lui aussi de belles ouvrages. Il méritait également d'être privé de toutes ses richesses.

Soudain, je vis une ombre passait sur la serre. Il eut un grand bruit de verres cassés. Les éclats tombèrent, créant de petits mouvements de panique dans la foule. Le mec qui avait détruit la baie horizontale c'était mal pris et chuta. Il s'écrasa contre une armure en fer. Les vigiles se mirent en action immédiatement. Les nobles commencèrent à courir partout.

Au même moment, des forbans en tous genres, ou plutôt des amateurs vinrent en force par l'entrée. Ils n’hésitèrent pas à bousculer les malheureux qui se trouvaient sur leur passage. Ils étaient pas très coordonnés. Bien sûr, eux aussi visèrent le diamant. En réalité, il n'y avait que ça qui comptait pour eux. Les gardes se ruèrent à leur rencontre pour les empêcher d'atteindre le bijoux. C'était très pathétique. Les civils quant à eux, tentèrent de fuir par les divers accès de secours. Seulement, ils étaient trop nombreux pour emprunter correctement les voies de sauvetage. Pas un seul coup de feu fut entendu.

Finalement, l'un des pirates parvient à récupérer ce qu'ils étaient venus chercher malgré les plusieurs coups de matraques occasionnés par les vigiles. Suivis de ses compagnons, ils se dirigèrent maintenant dans une autre espace. On avait la même idée qui naquit dans nos esprits respectifs. Les hommes de la sécurité n'arrivaient pas à gérer la situation. Tout était survenu si soudainement. Entre la panique et le vole ils étaient surpassés. Ceux qui poursuivaient les brigands furent mit en déroute rapidement. Pas si amateur que cela on dirait... Je regardai à présent mon compagnon. On se mit à les poursuivre.

Peu de temps après on tomba sur des mecs qui braquèrent les caisses. L'occasion de se faire de l'argent facilement était désormais venue, elle nous tendait même les bras. On n'avait juste à les mettre en pièce et se barrer avec la thune.

Pendant toute l'agitation créée dans la salle d'exposition, les Grasgows avaient bien réussi leur coup. Profitant de leur galerie, ils se dirigèrent à présent vers leur navire prêt à mettre les voiles pour de bon. Ils possédaient haut la main le vrai diamant, le seul et unique...

Spoiler:
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Il donne des coups de pieds. Dans cette scène bruyante, presque apocalyptique, il donne des coups de pieds. Les bandits affluent. Des pirates, des petites frappes, des cambrioleurs de luxe. Tous ces criminels convergent vers un point précis. Le diamant. Mais certains profitent de ceux ci pour voler les nobles, les aristocrates, tous ces riches personnages. Mais ils n'arrivent pas à voler un couple. Marchant au milieu de cela, Aoi et Satoshi se couvrent l'un l'autre. Coup d'estoc, coup de talon, coup de feu, coup de genou. Ils avancent lentement mais surement vers le petit compartiment dans lequel l'homme ayant récolté l'argent des entrées se situe. Satoshi passe en premier. Il empoigne la porte et pousse. Fermée. Il recule. Donne un coup de pied chargé. La porte se détruit à l'impact. Derrière, confiné sous des balais, des livres et beaucoup de choses qu'il serait malsain de nommer, l'homme recherché. Aoi couvre l'entrée. Satoshi l'intéroge.

« Tu sais quoi sur ce diamant ? »

« Rien m'sieur ! »


« Joue pas au con avec moi. »

« J'vous jure m'sieur ! »

« Eh bien... »


Satoshi attrape fermement son arme, la pointe vers la jambe de son interlocuteur peu intelligent de ne rien dire, puis tire. Un cri de douleur rententit, attirant les bandits, mais Aoi garde la porte. Le travail à deux, finalement, ça a un côté pratique.

« Le diamant. »

« Celui ci, c'est le faux ! Mais laissez moi vi* »

Balle dans la tête. La mission a échoué. Satoshi cède sous la colère. Celui ci est un faux, il ne pourrap as le ramener à Shinsen. Il range les billets en se remplissant les poches. Il laisse la moitié à son acolyte. Il sort. Il traverse la salle, dans un silence de plomb. Plus rien existe autour de lui. Il évite les coups, il passe au travers des combats. Il passe la porte. Un soleil rouge se lève. A travers l'avenue dallée, il peut apercevoir l'horizon. Horizon sur laquelle se situe un navire. Le navire des Grasgow.

« Alors c'était ça... »

Aoi le rejoint à l'extérieur.

« Prête à remettre ça ? »
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