Inari. 1622
La contrée d’Inari est réputé au-delà des Blues pour le spectacle insolite qu’elle offre à quiconque venant fouler le pas en son sein. Une gigantesque toundra reliée à un système ingénieux de poulies et de filins permet à la structure de léviter à l’instar de soucoupes volantes. Le panorama extraordinaire de ces bâtiment suspendu permet d’attirer un bon nombre de touristes et autres étrangers sur l’île qui dépensent tout leurs ronds dans des échoppes touristiques et entretiennent ainsi le commerce rudimentaire de ce territoire. Il faut dire que les points de vue valent tous les déplacements du monde. Il paraîtrait même qu’à partir de la plate-forme la plus élevé, on arriverait à entrevoir aux confins de l’horizon et par temps dégagé l’arpent rocheux de Reverse Mountain. Allez savoir si cette anecdote relève de la légende urbaine ou si au contraire elle est véritable, les touristes et étrangers semblent y croire dur comme fer et dépensent sans compter dans l’espoir d’apercevoir la fameuse roche écarlate du passage vers Grand Line. La ville d’Inari était aussi considérée comme un lieu de culte et de pèlerinage pour tous les fidèles à travers le monde, une escale obligé pour toute personne pieuse souhaitant se recueillir auprès des cendres et ossements gardés dans les cryptes des bâtiments. Cette ferveur religieuse attirait bien entendu un bon nombre d’illuminés et autres fous à lier sur l’île qui se réclamaient être l’incarnation des dieux eux-mêmes ou même parfois des personnages mythiques qui ont marqué leur ère tel les Mugiwaras. Jones n’avait aucune croyance religieuse, il savait que lorsqu’il liquidait un corps, le type lâchait bien son dernier souffle et emportait ses lourdes révélations dans sa tombe, c’était tout ce qui lui importait. Les questions de migration d’âme, de réincarnation ou même de renaissance, il s’en foutait royalement et mieux fallait qu’aucun fanatique ou idéaliste essaye de le convertir sinon ca risquerait de chauffer pour son matricule. Le motif de la venue de Jones sur ce territoire n’était pas relative à tout ce tintamarre autour de la toundra, il n’était intéressé que par une seule et unique chose : le chantier naval d’Inari dont il lui était parvenu de très bons échos quant aux navires façonnés dans ses ateliers.
Si L’argent avait depuis toujours été le cœur qui faisait battre la carcasse de Jones, l’ingénierie navale en était l’hémoglobine qui traversait les sillons de ses veines. Jones vouait à la charpenterie un intérêt éminent et les maigres bases dont il disposait en la matière ne lui permettaient à l’heure actuelle que de rafistoler grossièrement un vaisseau et lui apporter quelques réparations de fortune. Il était loin de pouvoir tracer les plans d’un véritable vaisseau, de modifier ou de consolider les pièces de bois qui soutenaient toute l’architecture navale du bateau. C’était ce manque de connaissances, de savoir-faire et d’expérience qui l’avait conduit à Inari, il entendait bien qu’un charpentier aguerri le prenne sous son aile et lui apprenne les notions, fondements et autres principes qu’il ignorait amèrement. Jones fut étonné de découvrir que la cité ne comptait pas des maisons conventionnelles en briques ou en crépi mais qu’il s’agissait bien au contraire de paillotes posés sur des pieds escamotables, c’était encore un trait inédit propre à cette contrée apparemment hospitalière. Jones n’eut aucun mal à se rapprocher du chantier naval comme il l’escomptait, il mit les formes à sa demande et paya quelques coups à ces chers charpentiers pour les mettre dans sa poche. Au fil de son expérience, Jones apprenait le dur labeur de l’ingénieur naval, il apprenait en commettant des erreurs puis il réitérait encore et encore des coupes, des réparations et traçait avec le plus de minutie possible ce qui s’apparentait à des plans de chaloupe. Les charpentiers lui donnaient de précieux conseils et tuyaux pour faciliter les tâches qui lui étaient confiés et obtenir un gain de temps précieux dans leur exécution. Jones se découvrait bientôt de nouvelles aptitudes, il était loin encore d’égaler le niveau de ces maîtres charpentiers mais était convaincu qu’un beau jour, pourrait rivaliser avec leur génie de la construction. Il arrivait à Jones de se rendre sur la toundra pour solliciter l’aide d’artisans locaux principalement des menuisiers, des ébénistes et des métallurgistes pour le renforcement des bases des navires.
La contrée d’Inari est réputé au-delà des Blues pour le spectacle insolite qu’elle offre à quiconque venant fouler le pas en son sein. Une gigantesque toundra reliée à un système ingénieux de poulies et de filins permet à la structure de léviter à l’instar de soucoupes volantes. Le panorama extraordinaire de ces bâtiment suspendu permet d’attirer un bon nombre de touristes et autres étrangers sur l’île qui dépensent tout leurs ronds dans des échoppes touristiques et entretiennent ainsi le commerce rudimentaire de ce territoire. Il faut dire que les points de vue valent tous les déplacements du monde. Il paraîtrait même qu’à partir de la plate-forme la plus élevé, on arriverait à entrevoir aux confins de l’horizon et par temps dégagé l’arpent rocheux de Reverse Mountain. Allez savoir si cette anecdote relève de la légende urbaine ou si au contraire elle est véritable, les touristes et étrangers semblent y croire dur comme fer et dépensent sans compter dans l’espoir d’apercevoir la fameuse roche écarlate du passage vers Grand Line. La ville d’Inari était aussi considérée comme un lieu de culte et de pèlerinage pour tous les fidèles à travers le monde, une escale obligé pour toute personne pieuse souhaitant se recueillir auprès des cendres et ossements gardés dans les cryptes des bâtiments. Cette ferveur religieuse attirait bien entendu un bon nombre d’illuminés et autres fous à lier sur l’île qui se réclamaient être l’incarnation des dieux eux-mêmes ou même parfois des personnages mythiques qui ont marqué leur ère tel les Mugiwaras. Jones n’avait aucune croyance religieuse, il savait que lorsqu’il liquidait un corps, le type lâchait bien son dernier souffle et emportait ses lourdes révélations dans sa tombe, c’était tout ce qui lui importait. Les questions de migration d’âme, de réincarnation ou même de renaissance, il s’en foutait royalement et mieux fallait qu’aucun fanatique ou idéaliste essaye de le convertir sinon ca risquerait de chauffer pour son matricule. Le motif de la venue de Jones sur ce territoire n’était pas relative à tout ce tintamarre autour de la toundra, il n’était intéressé que par une seule et unique chose : le chantier naval d’Inari dont il lui était parvenu de très bons échos quant aux navires façonnés dans ses ateliers.
Si L’argent avait depuis toujours été le cœur qui faisait battre la carcasse de Jones, l’ingénierie navale en était l’hémoglobine qui traversait les sillons de ses veines. Jones vouait à la charpenterie un intérêt éminent et les maigres bases dont il disposait en la matière ne lui permettaient à l’heure actuelle que de rafistoler grossièrement un vaisseau et lui apporter quelques réparations de fortune. Il était loin de pouvoir tracer les plans d’un véritable vaisseau, de modifier ou de consolider les pièces de bois qui soutenaient toute l’architecture navale du bateau. C’était ce manque de connaissances, de savoir-faire et d’expérience qui l’avait conduit à Inari, il entendait bien qu’un charpentier aguerri le prenne sous son aile et lui apprenne les notions, fondements et autres principes qu’il ignorait amèrement. Jones fut étonné de découvrir que la cité ne comptait pas des maisons conventionnelles en briques ou en crépi mais qu’il s’agissait bien au contraire de paillotes posés sur des pieds escamotables, c’était encore un trait inédit propre à cette contrée apparemment hospitalière. Jones n’eut aucun mal à se rapprocher du chantier naval comme il l’escomptait, il mit les formes à sa demande et paya quelques coups à ces chers charpentiers pour les mettre dans sa poche. Au fil de son expérience, Jones apprenait le dur labeur de l’ingénieur naval, il apprenait en commettant des erreurs puis il réitérait encore et encore des coupes, des réparations et traçait avec le plus de minutie possible ce qui s’apparentait à des plans de chaloupe. Les charpentiers lui donnaient de précieux conseils et tuyaux pour faciliter les tâches qui lui étaient confiés et obtenir un gain de temps précieux dans leur exécution. Jones se découvrait bientôt de nouvelles aptitudes, il était loin encore d’égaler le niveau de ces maîtres charpentiers mais était convaincu qu’un beau jour, pourrait rivaliser avec leur génie de la construction. Il arrivait à Jones de se rendre sur la toundra pour solliciter l’aide d’artisans locaux principalement des menuisiers, des ébénistes et des métallurgistes pour le renforcement des bases des navires.