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[combat ~ event] Yamamoto Kogaku Vs Janaï Reîzon [île]

Tu fus soufflé par l’explosion comme si tu n’étais qu’un vulgaire fétu de paille. Tu n’eus ton salut que grâce aux propriétés extraordinaires de ton corps que tu as obtenu grâce à ce fruit du démon que tu avais mangé depuis déjà quelques années. Encore pour cette fois, la malédiction du fruit du démon était plus une bénédiction qu’autre chose. Tes pieds avaient décollé du sol et tu étais tombé lourdement sur le sol, roulant sur un sol rocailleux où les bords des pierres étaient tranchants. Passant de la solidité du corps à la moelleuse texture du matelas, tu roulas sur tout cela sans en subir de très gros dommage, toi, matelas que tu étais pour un temps. De ce fait, tu fus l’un des premiers debout et tu contemplas la merveille de lumière qu’étaient les dernières traces de la fabuleuse explosion tout en pensant aux affreuses souffrances qu’elle avait faites à tes frères d’armes. Cruelle nature que de répandre le sang par de pareil jeu de lumière. Tu regardas autour de toi, hagard, tes frères se relever péniblement tandis que d'autres gisent au sol à jamais. Tu eus une pensée pour chacun de ceux que tu reconnaissais. Pour les autres, tu leur adressas une prière commune. Chaque visage allait être gravé dans ton cœur à jamais. C’était ton devoir de mémoire et tu ne devais pas faillir à cette tâche. Leur sacrifice ne devait pas être oublié.

À tes côtés, Le Libérateur prenait conscience de la situation désastreuse dans laquelle vous vous trouviez. Il fallait fuir. C’était l’ordre de Mandrake et, comme cet ordre émanait de lui, cette décision était certainement la meilleure à prendre. Tu avais et tu as toujours une confiance absolue en cet homme. Malgré les pertes, il ne fallait pas sacrifier d’autres frères dans cette lutte désormais inutile. Mandrake t’adressa la parole un instant à l’abri des oreilles indiscrètes. Le mot était donné. Yusuf. Il fallait le retrouver. Pourquoi lui ? Tu t’en doutais. La flamme de la colère et de la suspicion dans les yeux du grand révolutionnaire en disait long sur ses véritables pensées. Ainsi, vous n’étiez pas à l’abri de la traitrise ? Il ne fallait pas accuser sans preuve, mais Mandrake semblait avoir déjà son idée. Ça te suffisait. Tu acquiesças en silence et vous vous séparèrent rapidement ; chacun avait son rôle à jouer.

Tu te lanças au travers du champ de bataille, filant comme une ombre. Tu croisas de nombreux révolutionnaires mal en point sur les premières dizaines de mètres et tu dus toute ta détermination pour ne pas leur venir en aide. Ce n’était pas ton rôle. Tu devais trouver Yusuf. Tes yeux s’agitaient dans toutes les directions afin de trouver l’individu, mais il était introuvable. Au loin, tu aperçus les rangs des marines qui s’approchaient, prêt à massacrer les révolutionnaires désormais désorganisés. La rage fit trembler ton poing et ta colère contre Yusuf ne cessait de grandir. Si c’était lui le traitre, il devait payer pour tout ceux qui avaient eu à souffrir de sa traitrise. T’aventurant près des lignes ennemies, tu te fis tirer dessus par des marines tout proches et parvint à esquiver les balles, mais tu dus battre en retraite. Si Yusuf avait rejoint les marines, c’en serait fini de tes chances de le retrouver, même si cela aurait été pris comme un aveu. Tu espérais quand même que ce n’était pas le cas. Le champ de bataille était vaste et il pouvait se trouver n’importe où.

Tu finis par rejoindre le nuage de fumée que Rafaelo avait élaboré pour ses assassins. Celui-ci tendait à disparaitre sous l’avancée des marines. Où était le valeureux assassin ? Lui aussi manquait à l’appel. À ceux que tu croisais, tu demandais brièvement s’ils les avaient vus, mais leurs réponses étaient soit négatives, soit trop peu précises pour être exploitable. Le temps pressait et tu ne parvenais pas à le trouver. Malgré le contrôle de toi-même, tu commençais à subir les affres du stress. Tu finis par tomber sur un groupe de révolutionnaire qui t’apprenne avoir vu Yusuf et Rafaelo non loin. Les détails sur la réunion des deux individus sont confus, mais il semblerait bien qu’il y ait un problème. Lequel ? Tu ne pouvais savoir. Tu t’apprêtais à les rejoindre quand un groupe de marine apparut devant toi. Tes frères levèrent leurs armes vers eux et ils firent de même, mais l’homme de tête fit des signes d’apaisements. Tu lui laissas une minute pour parler, cela pouvait être important. Puis, pendant qu’il parlait, tu lorgnas sur ses galons. Vice-lieutenant. Tu laissas échapper un sourire mauvais tandis que le marine en termina avec son joli discours. Tu crachas à terre, juste devant le marine. Ton dédain était évident.


Ce n’est pas un sous-fifre de pacotille qui va décider de l’issu de cette guerre. SI c’est une stratégie pour nous piéger, c’est pitoyable ! C’pas ces belles paroles qui vont me faire oublier les morts de mes camarades gisant au sol ! C’pas tes promesses de bleusailles qui vont me faire oublier que plusieurs milliers de tes potes s’avancent pour nous massacrer. Je n’en ai rien à foutre de ton duel, toute façon, vous n’avez aucune parole, bande de chiens du gouvernement ! Ça, c’est pour nos frères !


D’un geste mainte fois répété durant ta vie de révolutionnaire, tu dégaines ton pistolet et tu vides le barillet sur l’homme de tête. Les révolutionnaires à tes côtés font de même avant de s’enfuir. Toi, tu couvres leurs arrières. Tu n’étais pas là pour te battre, mais tu n’allais pas laisser ce blanc-bec insulter l’honneur des révolutionnaires avec sa minable proposition de paix. Tu devais trouver Yusuf et tu ne laisseras aucun marine qui t’en empêchera en vie.


    Les rebelles m'écoutèrent très poliment avant de me cracher dessus, mes hommes commencèrent à s'approcher.

    -Ce n’est pas un sous-fifre de pacotille qui va décider de l’issu de cette guerre. SI c’est une stratégie pour nous piéger, c’est pitoyable ! C’pas ces belles paroles qui vont me faire oublier les morts de mes camarades gisant au sol ! C’pas tes promesses de bleusailles qui vont me faire oublier que plusieurs milliers de tes potes s’avancent pour nous massacrer. Je n’en ai rien à foutre de ton duel, toute façon, vous n’avez aucune parole, bande de chiens du gouvernement ! Ça, c’est pour nos frères !


    Il leva sa pétoire vers moi et vida son barillet, j'eus à peine le temps de me baisser, mais je me pris une balle dans l'épaule et le bras gauche et une autre m’effleura la mâchoire, laissant une longue éraflure. (Pourquoi toujours l'épaule ?)

    -Au moin y'aurait moin de gens mort vainement !


    Et je m’élançais vers Le-pas-poli, d'une main j'assemblai mes deux épées, laissai tomber la garde et insérai la double lame dans ma brassière. (En effet je pouvais assembler mes deux katanas à un tranchant et créé une lame à double tranchant pouvant être mis dans ma brassière)Comme j’avais un bras out fallait bien que je rentabilise mes deux lames.

    J’abattis ma lame sur lui et il la bloqua avec son flingue.

    -Pourrais je au moin avoir ton nom Grostas ?


    Je sautai en arrière et vis mes hommes se poster en arc de cercle autour de moi leur pétoire pointé vers Grostas.

    -Feu !
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    Tu vois tes adversaires subirent le courroux de tes balles. La vaillance qui les enhardissait il y a peu s'estompe maintenant pour laisser place à cette peur sauvage qui traine sur tout les champs de bataille : la peur de mourir. L'homme de tête se prend une balle dans l'épaule. Un autre derrière lui est touché à la jambe et s'écroule telle une poupée de chiffon. Les autres reculent d'un pas, aussi surpris par ta réaction violente que par la blessure de leur leader. Pour une action aussi dérisoire que cette série de coups de feu, le résultat est plutôt bon. Tu n'en espérais pas tant. Les hommes que tu accompagnais ont eu le temps de disparaître au travers des nuages de fumées et de goutte de pluie. C'est tout ce qui t'importait en faisant cela.

    Mais le chef des marines ne semble pas prêt à te laisser faire de même. Il s'élance vers toi et tu n'as que tes réflexes et ton arme pour éviter de te donner un coup sévère. La lame entame ton arme, mais ne parvient pas à la briser. Elle est toutefois devenue inutile et, tandis que le marine recule, tu la jettes au loin en soufflant de dépit. Reprenant de la substance, les marines t'encerclent, formant un cercle concentrique de trois mètres de rayons avec leur chef pour ton vis-à-vis. Les armes pointées vers toi, ta chance semble t'avoir quitté et le marine, certain de ta supériorité, ne s'embarrasse pas de politesse pour te demander ton nom.

    Ton regard va de visage en visage. Ils sont certains de leur victoire, mais tu comptes bien leur apprendre que rien n'est jamais sûr. Tu t'abaisses comme si tu t'apprêtes à rendre les armes. Ta main se rapproche du sol. Ton regard se fixe sur le sous-officier blessé. Ton visage dur n'exprime aucune émotion.


    Mon nom ne te regarde pas. Et je ne compte pas te demander le tien ; je n'ai aucune envie de retenir celui de mes adversaires vaincus.

    Ta main finit par toucher le sol.


    Tempuring.

    À la vitesse de l'éclair, comme une onde de choc partant de ta main, le sol perd de sa solidité et devient mou, tel un matelas, formant un cercle de cinq mètres de rayons, où le sol devient traitre pour quiconque n'y étant pas habitué. Les marines ne font pas exception à la règle. Sentant soudainement le sol instable, ils perdent tous l'équilibre. Certains trébuchent tandis que d'autres tentent de maintenir leur équilibre avec difficulté. Ceux-là ne peuvent que s'apercevoir de ta rapide approche. Car tu es adapté à la marche sur cette surface hors du commun. Tu en es l'auteur par le biais de ton fruit du démon. Te mouvant avec autant de facilité que sur le sol normal, tu te rapproches de la ligne de marine. Ton poing s'abat aussi ferme que ne l'est pas la surface sous leur pied. Plusieurs hommes tombent. Les autres ont du mal à se mettre debout et tu ne leur laisses aucune chance.

    Mais c'est sans compter la vigueur du jeune sous-officier qui semble plus stable que ses subordonnés. Tu t'élances vers lui avec la ferme intention de l'allonger sur ce semblant de lit géant.
      Il jeta sa pétoire devenue inutile, je n'étais pas spécialisé en arme à feu lais voyant le canon endommager je sus qu'aucune balle ne pourraient passer sans blesser le porteur.Grostas s'abaisse sans doute à t'il comprit qu'il était vainc de se battre, je fis un signe à mes hommes pour leur donner l'ordre de ne pas tirer.

      Nos regards se croisèrent, un regard dur et sans peur. (Étrange pour un gars qui ne peut plus se défendre)


      -Mon nom ne te regarde pas. Et je ne compte pas te demander le tien ; je n'ai aucune envie de retenir celui de mes adversaires vaincus.


      "Merde, il prépare un truc"
      Je me préparai à son attaque et ma bouche commença à s'ouvrir pour leur intimer l'ordre de faire attention. Mais je n'eus pas le temps de crier, Il posa sa main au sol et tout à coups il devient...mou comme...un truc mou. Je vois mes hommes perdre l'équilibre, même si de mon coté ce n’étais pas glorieux mes jambes se sont enfoncées dans le sol et j'avais réussi à rester debout car je m’étais préparé. C’est un peu comme quand on s’assit sur un lit et que l'on "tombe" dedans en croyant qu'il était moin moelleux.

      -C'est quoi ce pouvoir à la con !

      J'attrapai un de mes couteaux de lancer et le fit tomber, il s’enfonça dans la pierre comme s'il était fais en beurre.
      Je le vis avancer vers nous, il se déplaçait sans problème, je l'étudiais pour comprendre comment avancer. Il étala plusieurs de mes hommes.

      -Les gars essayé de trouver un truc pour calmer le gars au pouvoir stupide !


      Mais je me désintéressé rapidement de mes hommes, en effet, Le-mec-qui-à-un-pouvoir-à-la-con me fonçait dessus .Le couteau s'était enfoncé avant de se ficher dans le sol, il n'avait donc pas tout transformé.

      Je me laissai donc m'enfoncé dans le sol, et mes genoux disparurent dans le sol ce qui me donnait une relative stabilitée, je lui lançai un couteau et tendit ma lame vers le gars ainsi si il ne voulait pas s'empaler il devrait ralentir et éviter mon couteau.
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      Tes buts sont clairs. Tu n'en as plus rien à faire de combattre ou de ne pas combattre. Ta tache se limite à sauver le plus de frères révolutionnaires et d'exécuter les ordres de Mandrake. Cet ordre est de trouver Yusuf. Quoiqu'il en coute. Les ordres du Libérateur sont indiscutables et ne souffre d'aucun retard. Plus qu'un ordre, c'est une volonté propre qui guide tes pas. Toi aussi tu veux comprendre. Cette situation. Ce piège. La clé se trouve peut-être avec Yusuf, lui qui a donné les informations s'étant avérées fausse. Ainsi, ta présence dans ce combat n'est pas motivée par une quelconque envie de se défouler sur de pauvres marines. Non. Tu combats parce que tu y es obligé.

      Cela, le marine ne semble pas l'avoir compris. Tu vois l'homme se stabiliser, quitte à s'immobiliser dans le sol devenu matelas. Il te regarde. Tu sens sa fierté dans son regard, mais tu es surpris plus qu'apeuré. Tu freines, heureusement, car tu n'as pas envie de t'empaler sur son sabre. Tu te détournes de lui et tu te contentes de mettre à terre les derniers hommes qui auraient pu se relever. Il ne reste bientôt plus que toi et l'autre marine. Le chef. Sans un regard pour lui, tu t'en vas, comme si tu le fuyais. Pas par peur. Non. Parce que tu as autre chose à faire que de perdre du temps avec cet inconnu. Tu ne l'as pas vaincu, certes, mais il s'est immobilisé tout seul. Les marines sont parfois bien étranges. Tes pas t'éloignent peu à peu de cette zone de combat. Les ténèbres t'engloutissent. Bientôt, tu vas pouvoir repartir à la chasse à Yusuf et tu ne te rappelleras plus de cette rencontre.

      Toutefois, c'est là que tu t'exposes. Car dans ton excès de confiance, tu oublies de vérifier que l'homme est toujours à sa place. Et parfois, les plans des marines bien qu'étranges, suintent souvent de la plus vile des perfidies. Serait-ce aussi le cas ici?
        "One step by ound"

        Je remontai à la surface quel effet de surprise, à moin que je ne vienne seulement d'y penser.

        -Ah ah t'en....he pourquoi tu te barre !

        Je parcourus la distance en mou , sans problème, en effet le pas du chien permettait de marcher sur une surface molle sans s'enfoncer,marcher sur la neige sans la froisser, marché sur une branche sans l'abimer.

        Quelle tapette, il avait peur de moi c'est sûr.S'enfuir comme ça, c'est une preuve de faiblesse .Je me demande si je deviendrais amiral en le capturant,ce mec n'est sans doute pas n'importe qui,sans doute un leader.

        Je voulais voir sa tête lorsqu'il verra que son pouvoir est obsolète. pleura t'il ? Abandonnera t'il immédiatement ?

        Je jetai un coups d’œils à mes hommes, la plupart était Ko, les autres tentaient de se dépêtrer.

        -Trouvé moi des menottes en granits dans les décombres puis venez !


        Ainsi j'aurai peut être de quoi l’arrêter sinon j'aurai leur sécurités.

        Ca crève quand même cette technique et avec une épaule foutue, ça va être chaud.J’accélérai le pas.Et sortis de ma main valide un bandage que j'enroulais maladroitement autour de l'épaule avant de le serrer avec les dents.


        Arrivé à sa hauteur, je posai ma lame contre sa nuque.

        -BOUH...On ne tourne le dos qu'aux cadavres,...sinon ça fait quoi de savoir que ton pouvoir ne sert à rien ?
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        Perfidie, il pouvait y avoir. Toutefois, la situation est toujours aussi étrange. Tu sens soudainement ton adversaire dans ton dos, sa lame caressant la peau de ton cou. Et tu ne comprends toujours pas. Pourquoi ? Pourquoi cet homme ne t'attaque pas ? Pourquoi se contente-t-il de te menacer ? Ils n'ont pas hésité à tuer des marines pour déclencher leur ignoble piège et celui-là, il hésite pas te tuer. C'est bien étrange. Un moment, tu t'imagines une raison que tu ignores, mais rien de concret et de logique ne te vient à l'esprit. Est-il tout simplement trop simple d'esprit ? Peut-être.

        Quand l'adversaire n'attaque pas, il faut toujours en profiter. Et quand celui-ci ne fait que menacer, il faut réduire à néant sa menace.

        Tu te retournes lentement en faisant glisser la lame sur ta peau. Puis, quand l'angle est parfait, aussi vif qu'un serpent, tu attrapes son sabre à main nue. Tu sens l'espace d'un instant la lame mordre ta chair. Du sang coule de ta blessure, mais tu n'en as que faire. C'est bien trop peu comparé aux sangs versés par tes frères.

        Mérinosoft

        Enfin, tu finis par lâcher l'arme et as reculé d'un pas. C'est à ce moment-là que ton adversaire se rend compte du problème. Par le contact de ta main sur son sabre, tu as complètement ramolli ce dernier. La lame pendouille dans le vide comme un vulgaire morceau de caoutchouc, totalement inutilisable. Il aurait dû s'en douter. Tu avais déjà ramolli le sol, tu pouvais donc aisément ramollir son arme.

        Si tu ne veux pas que je te ramollise ta gueule d'ange, abandonne tout espoir de me suivre, gamin.

        Et tu commences à repartir, à reculons. Tes yeux perçants traversent ceux du marine. Il devrait rebrousser chemin, mais comment savoir sa réaction alors qu'il est déjà si imprévisible ? Tu restes sur tes gardes, vigilant.
          L'homme se retourna et attrapa ma lame,et la ramollit.J'aurais du m'y attendre.

          -Si tu ne veux pas que je te ramollise ta gueule d'ange, abandonne tout espoir de me suivre, gamin.

          Buté des gens me répugnait ou plutôt, je trouvai que je n'avais aucun droit de vie et de mort sur les autres, mais c'était le genre de gars que l'on ne pouvait arrête que blessé...ou mort.Et en plus il avait peut-être détruit irrémédiablement mon arme .Ce sera mon premier meurtre de sang-froid.

          Nous nous fixions,Vivement j'attrapai ma pétoire à six coup reçues d'un mec au début de la bataille,je détestais les armes à feu mais tant pis.Je vidai le chargeur sur lui,jetai l'arme à terre une fois vide et lui lançait plusieurs couteaux de lancers.

          -Désolé.


          J'entendis en échos plusieurs coups de feux, et vit un de mes hommes, la carabine fumante,je me retournai, ils étaient en tous 4 à avoir tiré sans me compté.Malgré son pouvoir il ne pourrait jamais les bloqués toutes et au pire...je le fouetterai avec mon ... épée.

          -On s'est dit que t'avais besoin d'aide Yama.

          -Les gars...


          -On n’est plus des gamin, on à pas besoin d’être protégé.
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          Il n'abandonne toujours pas. Tu es peut-être trop tendre. Tu devrais en finir définitivement avec ce blanc-bec. Plus tu fais joujou avec lui et plus tu perds du temps pour retrouver Yusuf. Mandrake compte sur toi, c'est plus fort que s'amuser avec un marine en mal de sensation forte. Il sort son pistolet et commence à t'arroser. Tu tentes d'esquiver, mais tu n'es pas aussi rapide que Mandrake. Deux balles te transpercent de part en part. Tu es comme un matelas, les balles traversent plus facilement. Ça fait mal, mais c'est supportable. Tu as vu pire. Tu es solide. T'as ça dans le sang. Le sang de ton géniteur... Tu chasses cette idée de ton esprit. Tu as d'autres priorités.

          Le marine tente de t'avoir avec des dagues. Au dernier moment, tu sautes derrière un arbre et les armes viennent se planter dans le tronc. Un coup d'oeil te suffit à confirmer la présence d'autres marines. Il n'y a pas le choix, tu ne peux sortir sans te faire canarder et tu as beau supporter les balles, tu ne pourras pas longtemps y survivre. La meilleure défense, c'est l'attaque ; il te faut éliminer ces marines avant de pouvoir enfin fuir.


          Sealyine.

          De tes deux mains, tu transformes l'arbre entier en matelas. Le végétal se met à légèrement pencher vers les marines. Tu le pousses un peu avant de sauter dessus et de courir vers les marines. L'arbre penche de plus en plus jusqu'à attendre le sol, tombant sur un des marines qui n'en croyaient pas ses yeux. Au dernier moment, tu sautes dans les airs ; l'arbre retourne à sa position initiale, te frôlant de peu. D'un geste rapide, tu récupères un fusil tombé à terre et tu frappes brutalement deux autres hommes. Le fusil finit par casser. Tu te prends une autre balle qui te traverse la jambe. Tu envoies une partie du fusil cassé dans la figure du tireur qui vit assez mal cette rencontre entre le projectile et son nez. Tu te retournes vers l'officier un peu dur d'oreille. Tu n'es pas très rassuré. Au corps à corps, il suffirait de pas grand-chose pour t'avoir. Et avec des menottes de granit marin, ça serait franchement mauvais pour toi.
            Le révolutionnaire, se fit littéralement traverser de part en part par les balles.Son corps n'opposait aucune résistance, ça voulait donc dire que je pourrais lui couper l'un ou l'autre morceau sans problèmes, son corps était sans doute aussi moelleux que le sol de tout à l'heure.Je me demande si il survivrait même coupé en fines tranches.Ce serait facile à transporter, et au pire si il passe l'arme à gauche je pourrais toujours le vendre "Oreiller en forme d'humain pas cher .. 1 million 1 million pas cher".

            Il se cacha derrière un arbre, cela ne servait donc à rien que je continue à lui balancer des couteaux.soudain l'arbre s’affaissa et une balle le traversa.Transformait il tous ce qu'il touchait en mousse ou avait il décidé de le "moussifier"(oui çà existe:je moussifie,tu moussifies, il moussifie,nous moussifions,...)l’arbre commença à s’affaisser et il court dessus.Dommage que je n'ai pas de menottes en granit, elles auraient supprimé ses pouvoirs et il aurait été propulsé dans le ciel en criant "vers l'infini et l’au delà" ou "une fois de plus la révolution s’envole vers d'autres cieeeeuuuuxx"
            L'arbre s’abattit sur l'un de mes hommes, On allait faire une bataille de polochons ou quoi.

            Il sauta et l'arbre reprit sa position initiale.Je rengainai ma lame pour le moment inutile et dégainai un autre katana, avant de me battre à main nue, il me restait deux katanas, un poignard et divers couteaux de lancer.Il chopa un fusil et mit trois autres hommes hors jeux,il ne m'en restait plus beaucoup.

            Je fonçais sur Bob l'éponge (beh oui il est mou et troué)et je fis un large coups qui l'aurait tranché en deux si il n'avait pas esquivé.

            -Yama regarde ce que j'ai trouvé .


            Il courrait avec un truc en main.
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            L'homme attaque de nouveau. Un coup de sabre. Un nouveau coup sans aucune finesse. Le marine a-t-il une stratégie ? Ça te semble trop étrange. Il doit être dos au mur, incapable de pouvoir t'affronter. Tu pourrais ramollir une deuxième fois son arme, mais malgré son manque de plan viable, ton adversaire est quand même rapide. Tu préfères exécuter une roulade sur le côté. La lame passe au-dessus de toi, ne brassant que du vent. Tu te relèves presque aussitôt et tu attrapes un autre fusil tombé à terre. D'une main experte, tu réarmes l'arme et tu fais feu sur le marine qui n'a d'autre choix que d'esquiver.

            Tu penses tenir ta fenêtre pour disparaître dans les ombres, mais un marine apparaît à l'opposé. Il tient dans ces mains une paire de menottes. Surement du granit marin. Ce rebondissement suffit à t'inquiéter sérieusement. Une fois en possession de cette chose, tu serais fini. Tu n'hésites donc pas une seconde. Tu poses des mains sur le sol.


            Tempurline.

            Entre le marine et tes mains, tout le sol devient mou. Surpris, le marine tombe en avant. Toutefois, il a l'intelligence de lancer les menottes vers son officier supérieur. Elle tombe à quelques mètres de lui. Le temps semble se figer comme si personne ne voulait bouger. Puis, tu finis par sauter dans sa direction dans le but évident de récupérer les menottes avant lui. C'est un sacré coup de poker. S'il les attrape avant toi, il pourrait bien te les mettre avant même que tu puisses riposter.
              Il esquiva à l'aide d'une roulade, attrape un fusil et tire, j'esquivai la balle d'un mouvement du torse.Mon gars continuait d'avancer tenant une menotte à l'aspect mat, avec un peu de chance elle était en granite...ou simplement enduite de calcaire.

              Bob fidèle à ses habitudes, fit chier tous le monde en rendant le sol mou,mon gars déstabilisé lança la menotte elle décrivit une courbe au ralenti avant de tomber à quelques mètres de moi. (Ca aurait été plus classe sil elle était en acier, bien lustrée et que des flammes et de trucs du genre se reflétaient dessus.)

              Nous nous dévisagames, qui allait partir en premier ?Il esquissa un pas et je le fis à mon tour j'étais plus prés,il plongea et je fis la seule chose qui me passa par la tête, je passai mon katana dans le main gauche non sans une grimace, dégainai de l'autre main et transperçai le révo pour le clouer au sol,les larmes me montèrent aux yeux sous la douleurs.

              Je fis un pas, fis passer ma lame par l'une de mes menottes et la récupérait.C'était ça ou un match de rugby, ca aurait pu être marrant.(1 pour Yama 0 pour Bob et Yama va tenter le Touchdown)

              Je fis tournoyer la menotte autour de mon doigts et me tournai ver l'autre gus.Je n'avais jamais touché de granit marin de ma vie et j'espérais que cela en était.Et je lui passai les menottes.(Touchdown)
              Je tatais ma lame, elle était à nouveau en acier.

              -We are the champions - my friends And we'll keep on fighting - till the end We are the champions We are the champions No time for losers 'Cause we are the champions - of the wARgh mon bras

              En effet j'avais oublié que mon bras était blessé et je l'avais levé en signe de victoire.
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              Aussi rapide que le vent, il courait avec une vivacité tel que l'on aurait cru qu'il esquivait les gouttes de pluie qui étaient nombreuses. Il venait de passer les derniers assassins qui reculaient et sa cible était bien trop prêt des lignes ennemies. C'était pas bon. Qu'importe la discrétion, il devait faire vite. Mandrake s'était juré de ne laisser personne derrière. Et il n'allait surement pas laisser Janaï sur cette ile maudite. Une minute à peine après avoir échappé à la vue de Rafaelo, Mandrake fut en vue d'une scène de mauvais augure. Janaï était en difficulté. En très grande difficulté même. Il venait de subir un coup fatal, la lame de son adversaire l'avait transpercé de part en part. Mandrake savait qu'avec les propriétés de son fruit, ce coup n'était pas mortel, mais le révolutionnaire était maintenant immobilisé. Le marine maniait une autre chose. Des menottes. Il fallait penser au pire : c'était peut-être des menottes en granit marin. Mandrake bondit pour arrêter le marine, mais il était déjà trop tard. Elles étaient mises sur les mains du révolutionnaire qui semblait accuser le coup. L'effet du granit ? Possible. La blessure allait être plus sérieuse.

              « Janaï ! »


              Le marine tourna la tête, juste à temps pour voir le libérateur lui décrocher un coup de poing dévastateur enrobé de haki de l'armement. Le marine fut littéralement propulsé dans les airs. Quand il revint à terre, Mandrake était déjà au chevet de Janaï. Ce dernier fit la grimace.


              « Désolé… J'ai failli. »

              « Non, mon frère. Nous avons tous failli. Pardon. »


              Et sur ce mot, il retira la lame du corps de Janaï. Celui-ci ne cria pas, mais une terrible grimace déforma ses traits. Mandrake observa les menottes, mais il ne savait guère s'ils étaient en granit marin. De toute façon, cela n'avait guère d'importance. Janaï était affaibli, il allait le porter. Comme s'il n'était qu'un sac de sable, Mandrake le prit sur son épaule. Le leader révolutionnaire regarda aux alentours afin de déterminer la présence des marines : les marines approchaient. Au loin, une forme apparut. Une lumière clignota.

              « Les pacifistas ! »


              Mandrake bondit par instinct et échappa de peu à l'explosion qui dévasta l'endroit où s'était battu Janaï. Un deuxième tir s'ajouta au chaos, envoyant de la terre un peu partout. Mandrake se mit à courir, sentant la chaleur torride de l'explosion dans le dos. C'était le dernier. Les révolutionnaires allaient être enfin regroupés pour le départ. Ils allaient enfin quitter cette ile.
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              -Janaï !

              La voix venait de survenir derrière moi je tournai la tête et entrevit un visage, ainsi qu'un poing.Je fus propulsé à plusieurs mètres et rebondit plusieurs fois sur le sol, ma vision commençait à se brouiller dans mes dernières seconde de lucidités j'entrevis la scène.

              -Désolé… J'ai failli.


              - Non, mon frère. Nous avons tous failli. Pardon.


              "Failli ?"

              - Les pacifistas !


              Un rayon doré traversa mon champs de vision et je fus projeté quelques mètres plus loin.

              ______________________________________________________________________________________


              J'étais dans la forge de mon père adoptif, j'avais vaincu la révolution e je me reposais, il se dirigea vers moi.

              -Yama
              Yama
              Yama
              Yama
              YAMA


              Je n'étais plus dans la forge mais couché sur une surface dure mon corps me faisait mal, ma joue et mon épaule m’élançaient.Ah oui c'est vrai après avoir vaincu le dénommé "Janai", un mec m'avais envoyé baladé d'un coups de poing.

              La tête d'un de mes homme, l'air inquiet.

              -Pourquoi je vois ta sale gueule et pas une jolie fille.

              -Ca va il à rien.

              -Il s'est pris une patate du Mandrake, le Mandrake et après avoir défait Janai reison en plus et il se relève comme si de rien n'était.Il a une belle bosse mais quand même.


              J'avais en effet un bel hématome d'au moin 5 centimètres.

              -Et c'est un sous fifre de pacotille qui à fait ca en plus


              -assez ri aidez moi à me relever.

              A notre prochaine rencontre Janai, Mandrake.
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