Journal de bord : 3 janvier 1624
Je me baladais dans les rues de cette ville et observais le mode de vie des êtres humains. C’était difficilement compréhensible. Déjà, ils avaient pas de dials !! Comment c’était possible ça ? Chez moi, les dials servaient à... tout ! Le feu, la lumière, le vent, les photos... Tout se faisait avec des dials ! Les humains, eux, ils utilisaient des « machines » et encore, c’était plutôt rare. Bref, je comprenais pas grand-chose. Je regardais les objets vendus dans les magasins. Ca au moins, je savais ce que c’était. Enfin, pour la plupart, parce que j’avais découvert les pommes la veille. C’était bon, mais pas très nourrissant. Il faudrait que j’essaye d’autres trucs comme ça issus de la Vearth qui existe en très grande quantité dans ce monde.
Les humains n’étaient pas tous des gros nazes comme je le pensais avant. J’avais fait la rencontre d’un petit humain chanteur assez rigolo. Il avait sur son épaule une bestiole rousse amusante et il parlait en faisant des vers. Mais je l’avais battu à son propre jeu, héhé. Il faut dire, moi, un ange, perdre face à un humain ? Haha, je ris, je glousse, je m’esclaffe et me gausse ! Ce serait le déshonneur sur toute ma famille sur cent générations ! Enfin, un bon humain était sans nul doute une exception à la règle.
-Approchez, approchez! On fait un rabais sur nos plus belles pièces! Vous ne serez pas déçu!
Haaa ! Voilà une boutique qui m’est familière ! Un magasin d’armes ! Et des belles en plus. Même si moi, je ne me bats qu’avec ma fidèle batte de base-ball, j’aime beaucoup admirer les magnifiques épées, les dagues, les rapières, les haches et tout ce petit matériel destiné à blesser, couper, trancher, faire couiner nos adversaires. C’était un véritable travail d’artiste. Difficile de penser que ces armes étaient le résultat du travail d’un humain. C’était vraiment admirable !
Alors que je marchais le long de la vitrine, le regard braqué vers l’intérieur du magasin, je me cognai contre quelqu’un. Surpris, je fis un pas en arrière. C’était une jeune fille, qui me regardait. Elle était plus petite que moi, avait les cheveux rouges, ainsi que les yeux et... pas d’ailes. Décidément, j’allais avoir du mal à m’y faire à ça ! Ca faisait vraiment un vide, les filles perdaient tout leur charme sans leurs petites ailes derrière le dos.
-Hé, l’humaine ! Fais gaffe où je marche !
Je ne fis plus attention à elle et reporta mon regard sur la vitrine. Je vis alors une magnifique dague dans un fourreau en or. La garde était sertie de rubis, la crosse de saphir et le fourreau était recouvert d'émeraude et de topaze. Là d'où je venais, les pierre précieuses étaient immensément rares et avaient une valeur colossale. C'est donc avec des étoiles plein les yeux que je regardais cet objet, plus proche d'une œuvre d'art que d'une réelle arme. Mes yeux descendirent alors sur l'étiquette qui annonçait le prix.
Je relevais les yeux, ébahit. La fillette que j'avais bousculé avait, elle aussi, les yeux rivés sur le prix. Elle venait de le voir, comme moi!
Je me baladais dans les rues de cette ville et observais le mode de vie des êtres humains. C’était difficilement compréhensible. Déjà, ils avaient pas de dials !! Comment c’était possible ça ? Chez moi, les dials servaient à... tout ! Le feu, la lumière, le vent, les photos... Tout se faisait avec des dials ! Les humains, eux, ils utilisaient des « machines » et encore, c’était plutôt rare. Bref, je comprenais pas grand-chose. Je regardais les objets vendus dans les magasins. Ca au moins, je savais ce que c’était. Enfin, pour la plupart, parce que j’avais découvert les pommes la veille. C’était bon, mais pas très nourrissant. Il faudrait que j’essaye d’autres trucs comme ça issus de la Vearth qui existe en très grande quantité dans ce monde.
Les humains n’étaient pas tous des gros nazes comme je le pensais avant. J’avais fait la rencontre d’un petit humain chanteur assez rigolo. Il avait sur son épaule une bestiole rousse amusante et il parlait en faisant des vers. Mais je l’avais battu à son propre jeu, héhé. Il faut dire, moi, un ange, perdre face à un humain ? Haha, je ris, je glousse, je m’esclaffe et me gausse ! Ce serait le déshonneur sur toute ma famille sur cent générations ! Enfin, un bon humain était sans nul doute une exception à la règle.
-Approchez, approchez! On fait un rabais sur nos plus belles pièces! Vous ne serez pas déçu!
Haaa ! Voilà une boutique qui m’est familière ! Un magasin d’armes ! Et des belles en plus. Même si moi, je ne me bats qu’avec ma fidèle batte de base-ball, j’aime beaucoup admirer les magnifiques épées, les dagues, les rapières, les haches et tout ce petit matériel destiné à blesser, couper, trancher, faire couiner nos adversaires. C’était un véritable travail d’artiste. Difficile de penser que ces armes étaient le résultat du travail d’un humain. C’était vraiment admirable !
Alors que je marchais le long de la vitrine, le regard braqué vers l’intérieur du magasin, je me cognai contre quelqu’un. Surpris, je fis un pas en arrière. C’était une jeune fille, qui me regardait. Elle était plus petite que moi, avait les cheveux rouges, ainsi que les yeux et... pas d’ailes. Décidément, j’allais avoir du mal à m’y faire à ça ! Ca faisait vraiment un vide, les filles perdaient tout leur charme sans leurs petites ailes derrière le dos.
-Hé, l’humaine ! Fais gaffe où je marche !
Je ne fis plus attention à elle et reporta mon regard sur la vitrine. Je vis alors une magnifique dague dans un fourreau en or. La garde était sertie de rubis, la crosse de saphir et le fourreau était recouvert d'émeraude et de topaze. Là d'où je venais, les pierre précieuses étaient immensément rares et avaient une valeur colossale. C'est donc avec des étoiles plein les yeux que je regardais cet objet, plus proche d'une œuvre d'art que d'une réelle arme. Mes yeux descendirent alors sur l'étiquette qui annonçait le prix.
10 berrys
Je relevais les yeux, ébahit. La fillette que j'avais bousculé avait, elle aussi, les yeux rivés sur le prix. Elle venait de le voir, comme moi!